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Ein Praxishandbuch der COHEP Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen Un manuel pratique de la COHEP Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques November 2013 Verabschiedet durch die Mitgliederversammlung der COHEP Novembre 2013 Adopté par l’Assemblée plénière de la COHEP

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Ein Praxishandbuch der COHEP

Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen

Un manuel pratique de la COHEP

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques

November 2013Verabschiedet durch die Mitgliederversammlungder COHEP

Novembre 2013Adopté par l’Assemblée plénière de la COHEP

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Ein Praxishandbuch der COHEP

Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen

Un manuel pratique de la COHEP

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques

November 2013Verabschiedet durch die Mitgliederversammlungder COHEP

Novembre 2013Adopté par l’Assemblée plénière de la COHEP

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Inhaltsverzeichnis Sommaire Avant-propos 6 Principes 13 1 Situation initiale et objectifs visés par le calcul des coûts dans une école 141.1 Situation initiale 141.2 Objectifs, délimitations et structure du manuel 161.3 Comparabilité des résultats du calcul des coûts 18 2 Modèle de calcul des coûts et des contributions à la couverture 202.1 Calcul des coûts 202.2 Calcul des contributions à la couverture 24 3 Calcul des coûts 263.1 Objectif visé par le calcul des coûts: coûts et produits par filière d’études 263.2 Calcul échelonné des contributions à la couverture 283.3 Destinataires des calculs CC? 303.4 Structure des calculs CC 303.5 Comparaison entre les calculs CC pour l’école, les autorités responsables de la formation et la Confédération 323.6 Vue d’ensemble des calculs des contributions à la couverture devant être établis 34 Manuel d’établissement du calcul des coûts 41 4 Coûts par nature et plan comptable 424.1 Saisie des coûts par nature dans le plan comptable 424.2 Plans comptables généraux NMC et PME 44 5 Centres de coûts et répartition des centres de coûts 485.1 Centres de coûts d’une école 485.2 Centres de coûts obligatoires 485.3 Centres de coûts recommandés et répartition des centres de coûts recommandés 505.4 Définition des coûts directs et des coûts indirects ainsi que des coûts individuels et des coûts généraux 525.5 Définition des produits directs et indirects 545.6 Utilisation des clés de répartition et assurance qualité lors de répartitions 54

Vorwort 7 Grundlagen 13 1 Ausgangslage und Ziel einer schulischen Kostenrechnung 151.1 Ausgangslage 151.2 Ziele, Abgrenzungen, Aufbau des Leitfadens 171.3 Vergleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse 19 2 Modell einer Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung 212.1 Kostenrechnung 212.2 Deckungsbeitragsrechnung 25 3 Kostenrechnung 273.1 Ziel der Kostenrechnung: Kosten und Erträge pro Studiengang 273.2 Gestufte Deckungsbeitragsrechnung 293.3 Für wen werden die DB-Rechnungen erstellt? 313.4 Aufbau der DB-Rechnungen 313.5 Vergleichbarkeit der DB-Rechnungen für Schule, Schulträger und Bund 333.6 Überblick über die zu erstellenden Deckungsbeitragsrechnungen 35 Leitfaden zur Erstellung der Kostenrechnung 41 4 Kostenarten und Kontenplan 434.1 Erfassung von Kostenarten im Kontenplan 434.2 Der NRM- und der KMU-Kontenrahmen 45 5 Kostenstellen und ihre Überwälzung 495.1 Kostenstellen einer Schule 495.2 Obligatorisch zu führende Kostenstellen 495.3 Empfohlene Kostenstellen und ihre Überwälzung 515.4 Definition von direkten und indirekten Kosten bzw. Einzel- und Gemeinkosten 535.5 Definition von direkten und indirekten Erträgen 555.6 Vorgehensprinzipien und Qualitätssicherung bei Umlagen 55

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6 Calcul des objets de coûts: coûts par prestation fournie par une école 566.1 Modularisation 58 7 Infrastructure 607.1 Coûts d’infrastructure «immobilier» et coûts d’infrastructure «exploitation» 60 8 Gestion des installations 66 9 Calcul détaillé des contributions à la couverture 709.1 Récapitulatif 709.2 Directives sur le calcul détaillé des contributions à la couverture 74 10 Principes comptables complémentaires 8810.1 Coûts bruts et coûts nets 8810.2 Coûts effectifs et coûts estimés 9010.3 Comptabilisations internes 92 Annexes 95 Annexe 1: Classification officielle des filières d'études 96Annexe 2: Définition des prestations 98Annexe 3: Délimitations 112 Annexe 4: Définition des variables relatives aux étudiants 120Annexe 5: Structure des rapports sur les comptes 126

6 Kostenträgerrechnung: Die Kosten pro Leistung einer Schule 576.1 Modularisierung 59 7 Infrastruktur 617.1 Bauliche und betriebliche Infrastrukturkosten 61 8 Anlagenbewirtschaftung 67 9 Die detaillierte Deckungsbeitragsrechnung 719.1 Überblick 719.2 Wegleitung durch die detaillierte Deckungsbeitragsrechnung 75 10 Verrechnungsprinzipien 8910.1 Brutto- vs. Nettoprinzip 8910.2 Tatsächliche Kosten vs. kalkulatorische Kosten 9110.3 Interne Verrechnungen 93 Anhänge 95 Anhang 1: Offizielle Klassierung der Studiengänge 97Anhang 2: Definition der Leistungen 99Anhang 3: Abgrenzungen 113 Anhang 4: Definition der Studierendenmerkmale 121Anhang 5: Struktur Berichtswesen/Reporting 127

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Avant-propos Vorwort

Groupe de travail «Reporting CDIP»La formation des enseignants ne relève pas de la compétence réglementaire de la Confédération. Le 7 avril 2005, le Conseil suisse des HES a décidé de l’intro-duction et de l’application, dans les hautes écoles pédagogiques (HEP), du modèle comptable du SEFRI (anciennement OFFT) à partir de l’année 2005. S’appuyant sur cette décision, la Commission Administration et finances de la Conférence suisse des rectrices et recteurs des hautes écoles pédagogiques (COHEP) a édic-té, le 9 février 2006 déjà, des directives complémentaires relatives à la livraison de données comptables analytiques concernant les comptes 2005.

Projet SKOREAprès plusieurs exercices, il est apparu que les données comptables relevées étaient très différentes les unes des autres et qu’elles ne permettaient pas de comparer les comptabilités analytiques. Le projet «Standardisation de la présen-tation des comptes et de la comptabilité analytique des hautes écoles pédago-giques» a donc été lancé pour fournir des informations financières de qualité aptes à aider les hautes écoles dans leurs tâches de conduite et les organes politiques dans leur tâche de pilotage.Le projet avait pour double objectif, d’une part l’analyse des pratiques en cours dans les HEP en matière de comptabilité analytique, et d’autre part la définition des bases permettant l’harmonisation des comptabilités analytiques des HEP. Le présent manuel pratique, qui présente les aspects propres aux HEP, en est l’aboutissement.

Adaptation du manuel du SEFRI pour les hautes écoles spécialiséesLe présent manuel pratique se base sur la dernière version validée du manuel du SEFRI, datée de décembre 2006. La version la plus récente étant en cours de révision sous la houlette du SEFRI, il a en effet été décidé d’opter pour la version validée comme base du présent manuel. Toute référence utile sera intégrée dans des versions ultérieures.

Le présent manuel pratique a été rédigé par le bureau de la Commission Adminis-tration et finances de la COHEP, composé des membres suivants: – Erich Schmid, directeur des services centraux de la PHBern et responsable du projet SKORE

– Adrian Kuoni, directeur administratif PH Luzern – Alexandre Gygax, responsable des finances HEP BEJUNE – Aude Besseau, responsable financière HEP Vaud – Peter Geissberger, contrôleur de gestion PH FHNW – Roger Meier, directeur administratif PH Zürich – Gabor Bende, collaborateur scientifique à l’Office fédéral de la statistique – Loïc Lang, collaborateur scientifique PHBern et coordinateur du projet SKORE

Le présent manuel pratique a été adopté le 20 novembre 2013 par l’Assemblée plénière de la COHEP.

Arbeitsgruppe Reporting EDKDer Fachbereich Lehrkräfteausbildung fällt nicht in die Regelungskompetenz des Bundes. Am 7. April 2005 beschloss der Schweizerische Fachhochschulrat unter anderem, dass die Pädagogischen Hochschulen ab dem Jahr 2005 das Rech-nungsmodell des SBFI (ehemaliges BBT) einzuführen und anzuwenden haben. Gestützt auf den Beschluss des Schweizerischen Fachhochschulrates erliess die Kommission Administration und Finanzen der Schweizerischen Konferenz der Rektorinnen und Rektoren der Pädagogischen Hochschulen (COHEP) bereits am 9. Februar 2006 ergänzende Richtlinien zur Lieferung der Kostendaten für das Rechnungsjahr 2005.

Projekt SKORENach mehreren jährlichen Kostenerhebungen wurde festgestellt, dass die Daten sehr unterschiedlich waren und die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen nicht gewährleistet war. Um qualitative finanzrelevante Informationen z.H. der Hochschulen für ihre Führung und der politischen Gremien für die Steuerung zur Verfügung zu stellen, wurde 2009 das Projekt «Standardisierung der Rechnungs-legung und der Kostenträgerrechnung der Pädagogischen Hochschulen» lanciert.Ziel war es, einerseits eine Analyse der bestehenden Praxis im Bereich der Kosten-rechnung durchzuführen, andererseits die Basis für die Harmonisierung der Kostenrechnungen der Pädagogischen Hochschulen zu schaffen. Das vorliegende Praxishandbuch der COHEP bildet das Ergebnis des Projekts. Die für die Pädagogischen Hochschulen spezifischen Aspekte der Kostenrechnung werden in diesem Praxishandbuch behandelt.

Anpassung des SBFI-Leitfadens für die FachhochschulenDas vorliegende Praxishandbuch der COHEP basiert auf der aktuellen verab-schiedeten Version des SBFI-Leitfadens (Stand Dezember 2006). Derzeit befasst sich das SBFI mit der Optimierung des Leitfadens für die Kostenrechnung der Fachhochschulen. Die aktualisierte Version konnte deshalb bei der Erstellung des Praxishandbuchs der COHEP nicht berücksichtigt werden. Die Erarbeitung weiterer Grundlagen wird in die Folgeversionen des Praxishandbuchs integriert.

Das Büro der Kommission Administration und Finanzen hat das vorliegende Praxishandbuch erarbeitet: – Erich Schmid, Leiter Zentrale Dienste PHBern und Projektleiter SKORE – Adrian Kuoni, Verwaltungsdirektor PH Luzern – Alexandre Gygax, Leiter Finanzen HEP BEJUNE – Aude Besseau, Leiterin Finanzen HEP Vaud – Peter Geissberger, Controller PH FHNW – Roger Meier, Verwaltungsdirektor PH Zürich – Gabor Bende, wissenschaftlicher Mitarbeiter beim Bundesamt für Statistik – Loïc Lang, wissenschaftlicher Mitarbeiter PHBern und Projektkoordinator SKORE

Das vorliegende Praxishandbuch wurde am 20. November 2013 von der Mitglie-derversammlung der COHEP verabschiedet.

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Structure du présent manuelChaque chapitre et sous-chapitre est structuré comme suit:

Application des directives du SEFRILes directives du SEFRI s’appliquent en règle générale aux hautes écoles péda-gogiques. Le cas échéant, elles ont été complétées par des précisions qui concernent les hautes écoles pédagogiques.

Les directives du manuel pratique de la COHEP ont été définies de sorte qu’elles correspondent le plus possible aux règles en vigueur dans les cantons respon-sables des HEP. Le présent manuel pratique vise toutefois la comparabilité des comptabilités analytiques entre les HEP et le reflet de la vérité des coûts. En cas de divergences entre les directives cantonales et celles du présent manuel, deux versions sont présentées. Celle de la COHEP doit respecter les directives de la COHEP.

Struktur des DokumentsJedes Kapitel und Subkapitel des Dokuments ist folgendermassen strukturiert:

Anwendung der Richtlinien des SBFIGrundsätzlich gelten die Richtlinien des SBFI für die Pädagogischen Hochschulen. Wo nötig wurden sie für die Pädagogischen Hochschulen ergänzt.

Die Richtlinien des Praxishandbuchs der COHEP werden so definiert, dass sie soweit möglich mit den Vorschriften der Trägerkantone vereinbar sind. Ziele bleiben jedoch die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen der PHs und das Wieder- geben der Kostenwahrheit. Bei Abweichungen zwischen den kantonalen Vorga-ben und denjenigen vom Praxishandbuch der COHEP werden zwei Varianten erstellt. Die Variante der COHEP hat den Vorgaben des Praxishandbuchs zu ent-sprechen.

1. Allgemeiner Kommentar am Anfang bestimmter Kapitel bzw. Subkapitel, in grauem Kasten

2. Originaler Text des SBFI-Leitfadens, Stand Dezember 20063. Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen, in hellgrünem Kasten

1. Commentaire général au début de certains chapitres ou sous-chapitres, sur fond grisé

2. Texte original du manuel du SEFRI, daté de décembre 20063. Précisions qui concernent les hautes écoles pédagogiques, sur fond vert clair

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L'OFFT (ex-OFIAMT), de concert avec un groupe de travail composé de spécia-listes de divers cantons et écoles, a établi un manuel «Calcul des coûts dans les hautes écoles spécialisées». À titre d’appui, la maison B,S,S. sise à Bâle, nous a appuyé dans notre travail vu qu’elle avait élaboré le manuel de 1997.

Dans l’entretemps, les hautes écoles spécialisées (HES) appliquent le calcul des coûts, lequel sert en premier lieu aux établissements partenaires et aux HES d’instrument de gestion, de pilotage et d’information. Les informations tirées du calcul des coûts servent aussi à la Confédération de base au calcul et à la déter-mination des montants des subventions sous la forme de forfait par étudiant, afin d’établir des comparaisons horizontales (benchmarking); elles lui servent aussi de base décisionnelle en vue du développement du domaine des HES en Suisse.

Les expériences faites depuis la publication du manuel de 1997 ont été prises en compte dans le manuel d’avril 2002.

La révision partielle de la loi sur les hautes écoles spécialisées (LHES), entrée en vigueur le 5 octobre 2005 a été caractérisée notamment par le transfert dans la sphère de compétences de la Confédération de domaines jusqu’ici régis par les cantons: santé, social, musique, théâtre et autres branches artistiques, psy-chologie appliquée et linguistique appliquée. La Déclaration de Bologne et le com-muniqué de Prague (principe de la formation en deux cycles bachelor et master) ont en outre été mis en œuvre. Le présent manuel tient compte de ces condi-tionscadre et des expériences accumulées depuis 2002.

La commission «Finances, indicateurs et données HES» (KFID FH, Kommission Finanzen/Indikatoren/Daten), institué par le SEFRI, s’est chargé de la mise à jour du présent manuel.

Liste des membres du KFID FH (état: novembre 2006): – Urs Dietrich, Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie (SEFRI), président

– Wolfgang Annighöfer, Zürcher Fachhochschule (ZFH) – Thierry Bregnard, Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale (HES-SO) – Hans Peter Egli, HSR Hochschule für Technik Rapperswil – Andreas Kallmann, Berner Fachhochschule (BFH) – Petra Koller, Office fédéral de la statistique (OFS) – Aris Mozzini, Scuola Universitaria Professionale della Svizzera Italiana (SUPSI) – Diego Nell, Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie (SEFRI)

– Ruedi Patt, Fachhochschule Ostschweiz (FHO) – Reto Schnellmann, Fachhochschule Zentralschweiz (FHZ) – Ingrid Selb, Fachhochschule Nordwestschweiz (FHNW) – Fritz Wüthrich, Conférence suisse des directeurs cantonaux de l’instruction pu-blique (CDIP)

Das BBT (damals noch BIGA) hat 1997 zusammen mit einer Arbeitsgruppe, zusammengesetzt aus Spezialisten der einzelnen Kantone und Schulen, den Leit-faden Kostenrechnung für Fachhochschulen erarbeitet. Zur Unterstützung wurde die Beratungsfirma B,S,S. in Basel beigezogen, welche den Leitfaden von 1997 verfasst hat.

In der Zwischenzeit haben die Fachhochschulen die Kostenrechnung umgesetzt. Sie dient in erster Linie den Teilschulen und der Fachhochschule als Führungs-, Steuerungs- und Informationsinstrument. Zudem bilden die daraus gewonnenen Informationen für den Bund die Grundlage zur Berechnung und Festlegung der Subventionsbeiträge in Form von Pauschalen pro Studierende, zur Durchführung von Quervergleichen (Benchmarking) und dienen ihm als Entscheidungshilfe für die Entwicklung der Fachhochschullandschaft Schweiz.

Die mit der Umsetzung gewonnenen Erfahrungen wurden im überarbeiteten Leit-faden (Version April 2002) berücksichtigt.

Mit der Teilrevision des Fachhochschulgesetzes, welche am 5. Oktober 2005 in Kraft gesetzt wurde, sind unter anderem die bis anhin kantonalen Fachbereiche Gesundheit, soziale Arbeit, Musik, Theater und andere Künste, angewandte Psychologie sowie angewandte Linguistik in die Regelungskompetenz des Bundes überführt worden (Erweiterung des Geltungsbereichs) und die Erklärung von Bologna und des Prager Kommuniqués umgesetzt worden (Grundsatz der zwei-stufigen Ausbildung Bachelor und Master). Der vorliegende Leitfaden berücksichtigt einerseits diese Rahmenbedingungen und andererseits die seit 2002 dazu gewonnenen Erkenntnisse.

Die vom SBFI eingesetzte Kommission Finanzen/Indikatoren/Daten KFID FH hat den vorliegenden Leitfaden erarbeitet.

Kommission Finanzen/Indikatoren/Daten Fachhochschulen (KFID FH): – Urs Dietrich, Bundesamt für Berufsbildung und Technologie (SBFI), Vorsitz – Wolfgang Annighöfer, Zürcher Fachhochschule (ZFH) – Thierry Bregnard, Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale (HES-SO) – Hans Peter Egli, HSR Hochschule für Technik Rapperswil – Andreas Kallmann, Berner Fachhochschule (BFH) – Petra Koller, Bundesamt für Statistik (BFS) – Aris Mozzini, Scuola Universitaria Professionale della Svizzera Italiana (SUPSI) – Diego Nell, Bundesamt für Berufsbildung und Technologie (SBFI) – Ruedi Patt, Fachhochschule Ostschweiz (FHO) – Reto Schnellmann, Fachhochschule Zentralschweiz (FHZ) – Ingrid Selb, Fachhochschule Nordwestschweiz (FHNW) – Fritz Wüthrich, Schweizerische Konferenz der kantonalen Erziehungsdirektoren (EDK)

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

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Grundlagen

Principes

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1. Situation initiale et objectifs visés par le calcul des coûts dans une école

1.1 Situation initiale

La loi sur les hautes écoles spécialisées règle notamment les tâches des HES (art. 3 LHES): – Les hautes écoles spécialisées dispensent un enseignement axé sur la pratique, sanctionné par un diplôme et préparant à l’exercice d’activités professionnelles qui requièrent l’application de connaissances et de méthodes scientifiques, ainsi que, selon le domaine, d’aptitudes créatrices et artistiques.

– En complément aux études sanctionnées par le diplôme, elles proposent des mesures de perfectionnement professionnel.

– Dans leur domaine d’activité, elles se chargent de travaux de recherche-déve-loppement et fournissent des prestations à des tiers.

– Les hautes écoles spécialisées collaborent avec d’autres institutions de forma-tion et de recherche en Suisse ou à l’étranger.

Les exigences auxquelles sont soumises les nouvelles hautes écoles spécialisées concernent également les aspects financiers et les subventions versées par la Confédération. La loi sur les hautes écoles spécialisées règle les questions finan-cières principalement aux articles 18 et 19. Ces dispositions statuent entre autres que la Confédération assume un tiers des coûts effectivement nécessaires des hautes écoles spécialisées. L’ordonnance sur les hautes écoles spécialisées précise encore ces articles (OHES). L’art. 14 OHES statue que des subventions ne seront versées que pour les filières d’études conduisant au diplôme, les études postgrades et les domaines de recherche reconnus.

Ces dispositions exigent la présentation des coûts séparés pour chaque filière d’études. L’établissement de ces coûts constitue un des fondements du finan-cement forfaitaire (= basé sur les coûts moyens par étudiant des filières d’études comparables) ou de la fixation des coûts standards pour les filières d’études re-connues par la Confédération. Ainsi, l’école doit introduire un calcul des coûts qui permette de présenter les coûts des diverses prestations.

1.1 Ausgangslage

Das Bundesgesetz über die Fachhochschulen (FHSG) regelt unter anderem die Aufgaben der Fachhochschulen (Art. 3 FHSG): – Die Fachhochschulen bereiten durch praxisorientierte Diplomstudien auf berufliche Tätigkeiten vor, welche die Anwendung wissenschaftlicher Erkenntnisse und Methoden sowie, je nach Fachbereich, gestalterische und künstlerische Fähig-keiten erfordern.

– Sie ergänzen die Diplomstudien durch ein Angebot an Weiterbildungsveranstal-tungen.

– In ihrem Tätigkeitsbereich führen sie anwendungsorientierte Forschungs- und Entwicklungsarbeiten durch und erbringen Dienstleistungen für Dritte.

– Die Fachhochschulen arbeiten mit anderen in- und ausländischen Ausbildungs und Forschungseinrichtungen zusammen.

Die Anforderungen, die auf die Fachhochschulen zukommen, betreffen auch die finanziellen Aspekte bzw. die Subventionierung durch den Bund. Das Fachhoch-schulgesetz regelt die finanziellen Aspekte primär in den Artikeln 18 und 19. Diese Artikel legen unter anderem fest, dass der Bund einen Drittel der effektiv notwendigen Aufwendungen der Fachhochschulen übernimmt. Die Fachhoch-schulverordnung präzisiert diese Artikel weiter. Subventionen werden für aner-kannte Diplomstudiengänge und Forschungsbereiche ausgerichtet.

Diese Bestimmung verlangt den Ausweis der Kosten eines einzelnen Diplomstudien-ganges. Der Ausweis dieser Kosten ist eine der Grundlagen für eine pauschale (= auf den Durchschnittskosten gleichartiger Diplomstudiengänge je Studierender beruhende) Finanzierung oder zur Festlegung von Standardkosten der vom Bund anerkannten Studiengänge. Damit wird für die Schule die Einführung einer Kosten-rechnung notwendig, die erlaubt, die Kosten der einzelnen Leistungen auszuweisen.

1. Ausgangslage und Ziel einer schulischen Kostenrechnung

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

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1.2 Objectifs, délimitations et structure du manuel

La présente étude débouche sur la rédaction d’un manuel servant à établir le calcul des coûts d’une école. Le présent manuel poursuit les objectifs suivants: – servir aux hautes écoles spécialisées d’instrument interne de gestion et de controlling ainsi que d’instrument d’information des organes scolaires respon-sables et de la Confédération;

– présenter les exigences minimales du SEFRI en matière de calcul des coûts et d’établissement unifié des coûts dans les domaines d’activités d’une école;

– créer une base de comparaison des coûts entre les diverses filières condui-sant au diplôme (benchmarking).

Le manuel s’adresse à toutes les écoles qui offrent des filières d’études ou des domaines de recherche qui sont reconnus par le SEFRI. Il est conçu prioritaire- ment en fonction des besoins du SEFRI. Il peut aussi être utilisé par les hautes écoles pédagogiques (HEP). Les cantons responsables sont toutefois libres d’or-ganiser ou non le calcul des coûts dans toutes les hautes écoles spécialisées qui leur sont subordonnées selon les principes présentés dans cet ouvrage.

Le manuel se divise en deux partiesLa première partie est une introduction au calcul des coûts dans une école. Le chapitre 2 donne une vue d’ensemble des principes du calcul des coûts et du calcul des contributions à la couverture. Le chapitre 3 présente la structure du calcul des coûts d’une école et donne un aperçu des exigences spécifiques posées à ce calcul par les autorités qui assurent le financement.

La deuxième partie représente le manuel proprement dit et sert à l’établissement du calcul des coûts et des contributions à la couverture d’une école. Au chapitre 4 sont présentés les coûts par nature et le plan comptable qu’il faut utiliser, au chapitre 5 les centres de coûts, au chapitre 6 les objets de coûts, au chapitre 7 l’infrastructure et au chapitre 8 le calcul des contributions à la couverture. Enfin, le chapitre 9 donne la structure détaillée du calcul des contributions à la couverture, soit les différents coûts par nature et de centres de coûts et leurs positions par rapport aux niveaux de contributions à la couverture.

Le modèle de calcul des coûts est structuré de façon simple et claire. Le présent manuel devrait fournir à chaque haute école spécialisée les données recherchées sur les coûts.

1.2 Ziele, Abgrenzungen, Aufbau des Leitfadens

Die vorliegende Studie präsentiert einen Leitfaden für die Erstellung einer schuli-schen Kostenrechnung. Dieser Leitfaden hat folgende Ziele: – er dient den Fachhochschulen als internes Führungs- und Controllinginstrument sowie als Informationsinstrument zuhanden der schulischen Träger und des Bundes

– er soll die Mindestanforderungen zeigen, die das SBFI an die Kostenrechnung und die einheitliche Ermittlung der Kosten der schulischen Aufgabenbereiche stellt.

– er bildet die Grundlage für Kostenvergleiche zwischen den einzelnen Diplomstu-diengängen (Benchmarking).

Der Leitfaden richtet sich an alle Schulen, die vom SBFI anerkannte Studiengänge oder Forschungsbereiche führen. Er ist primär auf die Bedürfnisse des SBFI ausgerichtet. Der Leitfaden ist auch für die Pädagogischen Hochschulen (PH) anwendbar. Es liegt jedoch im freien Ermessen der Träger, die Kostenrechnungen aller ihnen unterstellten Fachhochschulen nach den hier vorgestellten Grundsätzen zu führen.

Der Leitfaden ist in zwei Teile aufgeteiltTeil I führt in die schulische Kostenrechnung ein. Kapitel 2 gibt einen Abriss über die Grundlagen der Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung, Kapitel 3 zeigt den Aufbau einer schulischen Kostenrechnung und gibt einen Überblick darüber, welche spezifischen Anforderungen an diese Rechnung gestellt werden.

Teil II ist der eigentliche Leitfaden für die Erstellung einer schulischen Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung. Kapitel 4 stellt die zu verwendenden Kostenarten bzw. den Kontenrahmen vor, Kapitel 5 die Kostenstellen, Kapitel 6 die Kostenträger, Kapitel 7 die Infrastruktur und Kapitel 8 die Anlagenbewirtschaftung. Kapitel 9 zeigt detailliert, wie die Deckungsbeitragsrechnung aufzubauen ist, d.h. welche Kostenarten und stellen auf welcher Deckungsbeitragsstufe aufzuführen sind.

Das Kostenrechnungsmodell ist einfach und verständlich aufgebaut. Mit Hilfe des vorliegenden Leitfadens sollte jede Fachhochschule in der Lage sein, die gewünschten Kostendaten zur Verfügung zu stellen.

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

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1.3 Comparabilité des résultats du calcul des coûts

Le but du modèle de calcul des coûts utilisé par les HES est d’atteindre un niveau qualitatif élevé des données sur les coûts et de la comptabilité analytique. Il s’agit de la sorte d’atteindre une comparabilité des résultats du calcul des coûts reconnue par toutes les personnes impliquées. Afin d’atteindre ce double objectif, chaque HES doit répondre aux critères suivants: – justificatif des coûts de chaque filière d’études conduisant au diplôme; – justificatif des coûts par prestation: études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services. Un justificatif par domaine d’étude suffit pour le mandat de prestations élargi;

– justificatif des activités relevant du domaine HES et ne relevant pas du domaine HES au niveau de la haute école (établissement partenaire);

– coûts administratifs (cf. section 5.2); – coûts globaux, y c. coûts d’infrastructure, des HES;

Afin de rendre possible la comparaison, au niveau suisse, des calculs des coûts de toutes les écoles (benchmarking), il faut impérativement prendre en compte les critères suivants: – justificatif des niveaux de contributions à la couverture (CC) 1 et 5 conformément au présent manuel;

– choix des clés de répartition de manière que les coûts soient attribués entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) (voir section 5.6.);

– non redondance des coûts et des produits dans le calcul des contributions à la couverture (par ex. facturation interne), non prise en compte de coûts et de produits externes aux HES (par ex. prestations informatiques pour des externes, utilisation par des tiers de matériel, de mensa, etc.) et transparence des coûts;

– obligation d’activer et d’amortir les moyens d’exploitation et l’équipement lorsque les montants sont égaux ou supérieurs à 50'000 francs (voir figure 68 page 33);

– répartition des coûts individuels (coûts de personnel) du niveau CC 1 entre les 3 catégories de personnel conformément au système d’information des hautes écoles suisses SIUS (les professeurs et les autres enseignants des catégories 10 et 20 sont mis ensemble).

1.3 Vergleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse

Ziel des Kostenrechnungsmodells ist eine hohe Qualität der Daten der Kosten- und Leistungsrechnung. Damit soll eine von allen Beteiligten anerkannte Ver-gleichbarkeit der Kostenrechnungsergebnisse unter den Fachhochschulen erreicht werden. Damit diese Zielsetzungen erreicht werden können, ist jede Fachhochschule in der Lage, die folgenden Kriterien zu erfüllen: – Ausweis der Kosten eines einzelnen Diplomstudienganges. – Ausweis der Kosten nach Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen. Für den erweiterten Leistungs-auftrag genügt der Ausweis pro Fachbereich.

– Ebene Hochschule (Teilschule): Ausweis der FH- und NICHT-FH-Aktivitäten. – Die Kosten der Administration (siehe auch Abschnitt 5.2). – Die Fachhochschulen weisen die Gesamtkosten (inkl. Infrastruktur) aus.

Damit die Kostenrechnungen der einzelnen Schulen für gesamtschweizerische Vergleiche (Benchmarking) herangezogen werden können, sind die folgenden Kriterien einzuhalten: – Ausweis der Deckungsbeitragsstufen 1 und 5 gemäss dem vorliegenden Leitfaden. – Die Umlageschlüssel sind so zu wählen, dass die Kosten verursachergerecht auf die 4 Leistungen Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte F&E und Dienstleistungen umgelegt werden (siehe Abschnitt 5.6.).

– Es ist sicherzustellen, dass in der DB-Rechnung die Kosten und Erträge nicht doppelt ausgewiesen werden (z.B. interne Verrechnungen) und keine FH-frem-den Kosten und Erträge (z.B. Informatikleistungen an Externe, Privatbezüge von Material, Mensa etc.) einfliessen. Die Kostentransparenz muss gewährleistet sein.

– Abschreibungen Betriebsmittel/Ausstattung: Anschaffungen ab 50'000 Franken sind zwingend zu aktivieren und abzuschreiben (siehe Seite 69, Abbildung 9).

– Die Einzelkosten (Personalkosten) der DB-Stufe 1 sind gemäss Schweizerischem Hochschulinformationssystem (SHIS) auf die 3 Personalkategorien aufzuteilen (Professoren und übrige Dozierende, Kategorien 10 und 20, werden zusammengefasst).

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

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Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

An den Pädagogischen Hochschulen erfolgen die Umlagen auf die 4 Leistungs-bereiche (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte F&E und Dienstleistungen) sowie auf den Nicht-PH-Bereich. Kosten für Dritte ausserhalb der 4 Leistungs-bereiche (z.B. Nutzung der Bibliothek durch die Volksschulen) sind auf den Nicht-PH-Bereich umzulegen.

Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

Les frais indirects et généraux des hautes écoles pédagogiques sont attri-bués aux quatre groupes de prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) et au «Domaine ne relevant pas des HEP». Les frais imputables à des tiers extérieurs aux 4 groupes de prestations (p.ex. coûts pour l’utilisation de la bibliothèque par les écoles cantonales) doivent être attribués au «Domaine ne relevant pas des HEP».

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2. Modèle de calcul des coûts et des contributions à la couverture

2.1 Calcul des coûts

Le calcul des coûts fait partie intégrante de la comptabilité interne d’une entreprise. Il est un instrument de conduite et de gestion interne. Son rôle est de fournir des informations sur la mise à contribution effective des ressources de l’entreprise et sur la création de prestations. La mission principale du calcul des coûts est la préparation d’informations sur les coûts effectifs, soit pour permettre la fixation de prix ou de tarifs de compensation internes, soit pour préparer les décomptes destinés à l’autorité qui accorde des subventions.

Le calcul des coûts enregistre la consommation de biens effective à l’intérieur de l’entreprise et non pas les opérations de paiement saisies dans la comptabilité financière (exemple: pour calculer le coût de la main d’œuvre, on n’introduit pas les salaires versés dans le calcul des coûts, mais les heures de travail, multipliées par un taux horaire qui a été préalablement fixé). La nécessité de tracer des limites avec la comptabilité financière peut également résulter d’une évaluation différente des actifs et des passifs (stocks, prestations de travail, etc.) ou des charges et des produits. Selon le type d’information recherchée, il convient de préciser qu’il est tout à fait possible de reprendre directement dans le calcul des coûts des données provenant de la comptabilité financière.

Le calcul des coûts est subdivisé en trois calculs des coûts partiels qui doivent fournir une réponse à trois questions différentes: – calcul des coûts par nature (quelles sont les natures de coûts générés?); – calcul des centres de coûts (où sont générés les coûts?); – calcul des objets de coûts (quelles sont les prestations qui génèrent des coûts?).

En suivant le déroulement habituel d’un décompte, on trouve en premier lieu le calcul des coûts par nature. Ce calcul fournit des informations sur la mise à contribution des facteurs de production pendant la période de décompte. Le calcul des centres de coûts permet d’analyser les coûts générés par les diverses unités d’une entreprise. Enfin, le calcul des objets de coûts renseigne sur les prestations ayant généré des coûts. Il est possible de faire le lien entre ces trois calculs des coûts partiels de deux façons différentes:

2. Modell einer Kosten- und Deckungsbeitragsrechnung

2.1 Kostenrechnung

Die Kostenrechnung ist Teil des internen Rechnungswesens eines Unternehmens. Die Kostenrechnung ist ein innerbetriebliches Führungs- und Lenkungsinstrument; ihr kommt die Aufgabe zu, über den Verbrauch betrieblicher Ressourcen und die Entstehung von Leistungen zu informieren. Wichtigste Aufgabe der Kostenrechnung ist die Bereitstellung von Informationen über die effektiven Kosten, sei es zum Zwecke der Preisfestlegung, interner Verrechnungspreise oder der Weiterverrech-nung an Subventionsgeber.

Die Kostenrechnung erfasst den effektiven betrieblichen Güterverzehr und nicht finanzbuchhalterische Zahlungsvorgänge (Beispiel: zur Berechnung der Lohnkos-ten werden nicht die bezahlten Löhne, sondern die Arbeitsstunden, multipliziert mit einem zuvor festgelegten Stundensatz, in die Kostenrechnung übernommen). Abgrenzungen gegenüber der Finanzbuchhaltung können zudem durch die unter-schiedliche Bewertung von Aktiven und Passiven oder Aufwand und Ertrag notwendig werden. Je nach gewünschter Information können jedoch Daten aus der Finanzbuchhaltung direkt in die Kostenrechnung übernommen werden.

Die Kostenrechnung teilt sich in drei Teilrechnungen auf, die drei unterschiedliche Fragen beantworten: – die Kostenartenrechnung (welche Arten von Kosten entstehen?) – die Kostenstellenrechnung (wo entstehen Kosten?) – die Kostenträgerrechnung (für welche Leistungen entstehen Kosten?).

Dem tatsächlichen Abrechnungsgang entsprechend steht am Anfang die Kosten-artenrechnung. Die Kostenartenrechnung gibt Auskunft darüber, welche Produkti-onsfaktoren in der Abrechnungsperiode verbraucht wurden. Die Kostenstellen-rechnung gibt Auskunft, an welchen Stellen im Betrieb Kosten entstanden sind. Die Kostenträgerrechnung schliesslich gibt Auskunft darüber, für welche Leistungen Kosten angefallen sind. Die drei Teilrechnungen können auf zwei verschiedene Arten zusammenhängen:

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Variante B

Einzel- und Gemeinkosten

KostenstellenKostenarten Kostenträger

Variante A

Direkt zurechenbare Kosten, Einzelkosten

Nicht direkt zurechenbare Kosten, Einzelkosten

Umlage- schlüssel

Kostenstellen

Kostenarten

Kostenträger

Variante B

Coûts individuels et généraux

Centres de coûtsCoûts par nature Objets de coûts

Variante A

Coûts directement imputables (coûts individuels)

Coûts qui ne peuvent être imputés directement (coûts généraux)

Clés de répartition

Centres de coûts

Coûts par nature

Objets de coûts

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Variante A Les coûts par nature sont, si possible, imputés directement sur les objets de coûts (coûts individuels); les coûts ne pouvant pas être attribués directement sont d’abord imputés sur un centre de coûts, puis répartis sur les différents objets de coûts à l’aide de clés de répartitions (coûts généraux).

Variante BTous les coûts par nature sont d’abord imputés sur un centre de coûts, puis répartis sur les objets de coûts à l’aide de clés de répartitions.Le choix entre ces deux variantes est dicté par le type d’informations recherchées. Le schéma suivant montre les rapports qui existent entre le calcul des coûts par nature, le calcul des centres de coûts et le calcul des objets de coûts.

Figure 1: Rapports entre le calcul des coûts par nature, le calcul des centres de coûts et

le calcul des objets de coûts

Il n’est pas toujours facile de faire clairement la distinction entre des objets de coûts et des centres de coûts. La littérature spécialisée américaine ne fait d’ail-leurs pas de distinction du tout à ce propos: ce qui est déterminant, c’est l’objectif (cost objective) pour lequel un calcul des coûts est établi. Celui-ci peut être d’évaluer des prestations déterminées ou une partie précise de l’entreprise (p. ex. un centre de profit).

Variante AKostenarten können entweder direkt den Kostenträgern zugerechnet werden (Ein-zelkosten); nicht direkt zuweisbare Kosten werden zuerst den Kostenstellen zuge-teilt und müssen anschliessend mithilfe von Umlageschlüsseln auf die Kostenträ-ger umgelegt werden (Gemeinkosten).

Variante BAlle Kostenarten werden zuerst den Kostenstellen zugerechnet, von wo aus sie mithilfe von Umlageschlüsseln auf die Kostenträger umgelegt werden.Die Wahl zwischen den beiden Varianten hängt von den gewünschten Informationen ab. Die folgende Abbildung zeigt den Zusammenhang zwischen Kostenarten, Kostenstellen und Kostenträgern.

Abbildung 1: Zusammenhang von Kostenarten-, Kostenstellen- und Kostenträgerrechnung

Die Unterscheidung zwischen Kostenträger und Kostenstelle ist nicht immer ganz eindeutig und einfach. In der amerikanischen Literatur wird sie überhaupt nicht gemacht: Entscheidend ist das Ziel («cost objective»), für welches eine Kosten-rechnung erstellt wird. Dieses kann darin bestehen, entweder bestimmte Leistungen oder einen bestimmten Betriebsteil (z.B. ein Profitcenter) zu evaluieren.

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2.2 Calcul des contributions à la couverture

Le calcul des contributions à la couverture est une forme particulière du calcul des coûts, le calcul des coûts partiels. La raison d’être du calcul des coûts partiels est double: fournir des informations sur la variation du bénéfice de l’entre-prise en fonction de la variation de la quantité des prestations, de même que fixer les limites minimales des prix. Le calcul traditionnel des coûts complets, qui sert à déterminer les coûts moyens, n’est pas approprié pour le calcul des coûts par-tiels, car il mélange coûts fixes et coûts variables, ainsi que coûts individuels et coûts généraux.

La caractéristique principale du calcul des coûts partiels est donc de ne pas attri-buer les coûts fixes et les coûts généraux à une unité de prestation individuelle, mais de les comparer sommairement aux produits réalisés. L’excédent de produits sur ces coûts partiels équivaut à la contribution à la couverture. Comme des coûts fixes ou généraux par rapport à une prestation déterminée peuvent égale-ment être des coûts individuels par rapport à n’importe quel groupe de presta-tions, il est possible de créer une subdivision en différentes contributions à la couverture ou à plusieurs niveaux de contributions. En augmentant le nombre de ces niveaux dans un calcul des coûts partiels, la précision des informations sur les coûts s’en trouve améliorée d’autant. En particulier, il est alors possible de déterminer quels niveaux de coûts entraînent effectivement quels coûts ou quels coûts par nature prédominent. Le calcul des contributions à la couverture d’une entreprise peut donc se présenter comme suit:

Produits./. Coûts individuels de la prestation

CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels de la prestation./. Coûts individuels du groupe de prestations

CC 2 Contribution dépassant les coûts individuels du groupe de prestations./. Coûts individuels du département

CC 3 Contribution dépassant les coûts individuels du département./. Coûts individuels de l’entreprise

CC 4 Bénéfice de l’entreprise

Si le besoin se fait également sentir, il est également possible de calculer les contributions à la couverture par unité de prestation.

2.2 Deckungsbeitragsrechnung

Die Deckungsbeitragsrechnung ist eine besondere Form der Kostenrechnung, nämlich eine Teilkostenrechnung. Ziel einer Teilkostenrechnung ist es vorab, Infor-mationen darüber bereitzustellen, wie sich der Gewinn eines Unternehmens ändert, wenn sich die Leistungsmenge ändert, sowie Preisuntergrenzen festzulegen. Die traditionelle Vollkostenrechnung, die Durchschnittskosten ausweist, ist dazu nicht in der Lage, da sie fixe und variable, Einzel- und Gemeinkosten miteinander vermischt.

Die wichtigsten Eigenschaften einer Teilkostenrechnung bestehen folglich darin, dass fixe Kosten und Gemeinkosten nicht auf die einzelne Leistungseinheit zuge-teilt werden, sondern summarisch den erzielten Erträgen gegenübergestellt wer-den. Der Überschuss der Erträge über diese Teilkosten ist der Deckungsbeitrag. Da Kosten, die für eine bestimmte Leistung fixe oder Gemeinkosten darstellen, für eine ganze Leistungsgruppe wiederum Einzelkosten darstellen können, ist eine Untergliederung in mehrere Deckungsbeiträge bzw. Deckungsbeitragsstufen mög-lich: je mehr Deckungsbeitragsstufen eine Teilkostenrechnung ausweist, desto genauer sind die damit erhaltenen Kosteninformationen, insbesondere die Antwort auf die Frage, auf welcher Ebene Kosten nun effektiv anfallen oder welche Kos-tenarten besonders dominant sind. Eine Deckungsbeitragsrechnung eines Betriebes kann damit z.B. folgendes Aussehen haben:

Erlöse./. Leistungseinzelkosten

DB 1 Beitrag über Leistungseinzelkosten./. Leistungsgruppeneinzelkosten

DB 2 Beitrag über Leistungsgruppeneinzelkosten./. Abteilungseinzelkosten

DB 3 Beitrag über Abteilungskosten./. Unternehmenseinzelkosten

DB 4 Unternehmenserfolg

Je nach Bedarf können die Deckungsbeiträge wiederum pro Leistungseinheit aus-gewiesen werden.

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3. Calcul des coûts

3.1 Objectif visé par le calcul des coûts: coûts et produits par filière d’études

Le calcul des coûts dans une entreprise doit permettre d’analyser les coûts des prestations offertes. Les prestations d’une haute école spécialisée - et donc les objets de coûts - sont les filières d’études offertes. L’objectif du calcul des coûts d’une école est par conséquent de saisir les coûts des filières d’études indivi-duelles offertes par une haute école spécialisée.

La filière d’études individuelle ne représente toutefois pas encore le véritable objet de coûts. En effet, une haute école spécialisée offre, en plus des études conduisant au diplôme, de la formation continue (études postgrades et cours postgrades); elle effectue également de la recherche appliquée et du développement, et elle fournit des prestations de services (voir annexe 2 «Définition des prestations indi-viduelles»). Pour chacune des ces «prestations», il faut donc effectuer un calcul des coûts séparé qui présente en détail les coûts et les produits. Du point de vue du SEFRI, un justificatif des coûts par domaine d’étude suffit pour le mandat de prestations élargi (formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services). L’ensemble des filières d’études doivent être réparties en voies d’études et en 13 domaines d’études (dont 11 sont de la compétence du SEFRI) (voir annexe 1 «Classification officielle des filières d'études»). Le domaine d’étude est constitué par la somme des filières d’études similaires ou semblables. Les coûts globaux doivent de plus être établis par établissement partenaire et pour l’ensemble de la haute école spécialisée. Les informations recherchées sur les coûts et les produits peuvent être présentées sous forme de matrice:

Filière d’études 1

Filière d’études 2

Domaine d’étude 1

Domaine d’étude 2

Établisse-ment par-tenaire E1

Haute école spé-cialisée H

Études conduisant au diplôme bachelor*

Études conduisant au diplôme master

Formation continue

Recherche appliquée et développement

Prestations de services

Total

*y c. filière d'études HES

Figure 2: Matrice des informations recherchées sur les coûts et sur les produits

3. Kostenrechnung

3.1 Ziel der Kostenrechnung: Kosten und Erträge pro Studiengang

Aufgabe der Kostenrechnung in einem Unternehmen ist es, die Kosten der bereit-gestellten Leistungen zu erfassen. Die Leistungen einer Fachhochschule – und damit die Kostenträger – sind in erster Linie die angebotenen Studiengänge des Diplomstudiums. Ziel einer schulischen Kostenrechnung ist es folglich, die Kosten der einzelnen Studiengänge einer Fachhochschule zu erfassen.

Der einzelne Studiengang ist allerdings nicht der einzige Kostenträger. Denn neben dem Diplomstudium bietet eine Fachhochschule auch Weiterbildung an (bestehend aus Nachdiplomstudien und Nachdiplomkursen), betreibt angewandte Forschung und Entwicklung und erbringt Dienstleistungen (siehe Anhang 2 «Defi-nition der einzelnen Leistungen»). Für jede dieser «Leistungen» ist folglich eine eigene Kostenträgerrechnung zu erstellen, die detailliert Kosten und Erträge aus-weist. Für den erweiterten Leistungsauftrag (Weiterbildung, aFuE und Dienstleis-tungen) genügt dem SBFI der Ausweis der Kosten pro Fachbereich. Sämtliche Studiengänge sind in total 13 Fachbereiche (davon 11 in Zuständigkeit des SBFI) eingeteilt (siehe Anhang 1 «Offizielle Klassierung der Studiengänge»). Der Fachbe-reich ist demnach ein Zusammenzug von gleichen oder gleichartigen Studien-gängen. Zusätzlich sind die Gesamtkosten pro Teilschule und für die gesamte Fachhochschule auszuweisen. Die gewünschten Kosten und Ertragsinformationen ergeben damit eine Matrix:

Studien-gang 1

Studien-gang 2

Fach-bereich 1

Fach-bereich 1

Teilschule S1

Fachhoch-schule F

Diplomstudium Bachelor*

Diplomstudium Master

Weiterbildung

angewandte Forschung und Entwicklung

Dienstleistungen

Total

*inkl. FH-Diplomstudiengang

Abbildung 2: Matrix der effektiven Kosten und Erträge

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Stufe 1Kleinste Einheit

Stufe 2Abteilung

Stufe 3Departement / Hochschule / Teilschule

Stufe 4Fachhochschule / Holding F

A1 A2

K1 K2 K3 K1 K2

H1 H2

Niveau 1Unité la plus petite

Niveau 2Section

Niveau 3Département / Haute École/ Établissement partenaire

Niveau 4Haute école spécialisée /Holding

H

U1 U2 U3 U1 U2

E1 E2

S1 S2

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3.2 Calcul échelonné des contributions à la couverture

Le calcul des coûts est basé sur le principe du calcul de la contribution à la cou-verture (calcul CC) échelonné (cf. la section 2.2.). Les coûts des divers objets de coûts sont en règle générale attribués aux niveaux des coûts dans lequel ils sont générés en tant que coûts directs ou individuels. En gros, une haute école spé-cialisée se compose de quatre niveaux, même si ce nombre peut varier selon le type d’organisation adopté par l’école considérée:Niveau 1: l’unité (U) la plus petite à l’intérieur du domaine d’étude (de la filière d’études conduisant au diplôme, de chaque étude postgrade ou chaque cours postgrade, de chaque projet de recherche ou encore de chaque prestation de services);Niveau 2: la section (S);Niveau 3: le département, la haute école ou l’établissement partenaire (E); Niveau 4: l’organisation faîtière/centrale de plusieurs établissements partenaires, désignée ci-après «haute école spécialisée» ou «holding» (H).

Le calcul des contributions à la couverture d’une haute école spécialisée comprend de ce fait au moins 4 niveaux de contributions. Graphiquement, la structure sommaire du calcul des contributions à la couverture d’une haute école spécialisée se présente donc ainsi:

Figure 3: Calcul échelonné des contributions à la couverture d’une haute école

spécialisée

D’après la théorie, le calcul des contributions à la couverture ne comprend que les coûts partiels et pas les coûts complets par unité de prestation, puisque les coûts généraux ne sont pas répartis à l’aide d’une clé. Dans la pratique, les calculs de coûts que les hautes écoles spécialisées doivent établir correspondent toutefois davantage au calcul traditionnel des coûts complets, dans lequel les coûts généraux sont en définitive entièrement imputés aux divers domaines d’études et prestations partielles à l’aide d’une clé de répartition. Cette imputation est nécessaire en raison des exigences posées par la Confédération qui demande la présentation des coûts complets par filière d’études.

3.2 Gestufte Deckungsbeitragsrechnung

Die Kostenrechnung wird nach dem Prinzip der gestuften Deckungsbeitragsrech-nung (DB-Rechnung) aufgebaut (siehe Abschnitt 2.2.). Die Kosten des einzelnen Kostenträgers werden im Prinzip auf jener Kostenstufe zugeteilt, auf der sie als direkte Kosten bzw. Einzelkosten anfallen. Grob betrachtet, besteht eine Schule aus vier Stufen, wobei je nach Organisation der Schule zusätzliche Aufteilungen nötig sein können: 1. der kleinsten Einheit innerhalb des Fachbereichs (dem einzelnen Diplomstudi-engang, dem einzelner NDS / NDK, dem einzelnen Forschungsprojekt, der einzelnen Dienstleistung), 2. der Abteilung, 3. dem Departement bzw. der Hochschule bzw. der Teilschule und 4. der Dachorganisation mehrerer Teilschulen, im Folgenden als Fachhochschule oder Holding bezeichnet.

Eine schulische Deckungsbeitragsrechnung verfügt damit über rund 4 Deckungs-beitragsstufen. Graphisch dargestellt sieht die Grobstruktur einer schulischen Deckungsbeitragsrechnung also wie folgt aus:

Abbildung 3: Gestufte Deckungsbeitragsrechnung für eine Fachhochschule

In der reinen, «theoretischen» Form der Deckungsbeitragsrechnung werden ledig-lich Teilkosten und nicht Vollkosten pro Leistungseinheit ausgewiesen, weil die Gemeinkosten nicht aufgeschlüsselt werden. Die von den Fachhochschulen zu erstellenden Kostenrechnungen werden jedoch stärker einer traditionellen Vollkos-tenrechnung entsprechen, d.h. die Gemeinkosten werden über Umlageschlüssel letztlich wieder vollständig auf die einzelnen Fachbereiche und Teilleistungen zu-geteilt. Diese Zuteilung ist auf die Anforderungen des Bundes zurückzuführen, der einen Ausweis der vollen Kosten pro Studiengang verlangt.

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3.3 Destinataires des calculs CC?

Plusieurs institutions sont intéressées par un calcul des coûts d’une école.

L’école L’école doit disposer d’un instrument de gestion et de controlling lui permettant de préparer la prise de décisions relatives à la structure de l’offre de prestations.

Les autorités responsables de la formation Les autorités responsables de la formation, à savoir les cantons, les communes et les institutions privées, doivent pouvoir disposer d’informations sur l’offre de prestations, ainsi que sur les coûts et sur les produits des écoles qu’elles sou-tiennent financièrement.

La Confédération La Confédération finance les hautes écoles spécialisées par le biais d’un forfait basé sur la moyenne pondérée des coûts par étudiant de filières d’études compa-rables. À cette fin, elle doit disposer d’informations précises sur les coûts donnant droit à des contributions.

C’est ainsi que chacune des trois institutions précitées pose donc des exigences différentes au calcul CC. Il s’en suit la nécessité d’un calcul séparé pour chaque institution.

Dans les sections suivantes, de plus amples explications sont données principa-lement sur les calculs CC internes des écoles et sur les calculs destinés à la Confédération, les autres calculs se déduisant en accord avec les organes sco-laires responsables. Les calculs CC destinés à la Confédération constituent l’un des fondements pour la comparaison des coûts et des prestations.

3.4 Structure des calculs CC

Chaque niveau CC a en règle générale la même structure au niveau des coûts par nature: elle comprend les charges de personnel, les charges de matériel et les coûts d’infrastructure «exploitation» du niveau concerné. Le niveau CC 1 correspond aux coûts directs de la plus petite unité examinée (d’un cours indivi-duel, d’un projet de recherche, d’une prestation de services). Aux niveaux CC suivants, les coûts directs correspondants de la section, du département / de la haute école / de l’établissement partenaire et de la haute école spécialisée / de la holding sont ajoutés et répartis sur les divers objets de coûts au moyen d’une clé.

3.3 Für wen werden die DB-Rechnungen erstellt?

An einer schulischen Kostenrechnung sind mehrere Institutionen interessiert.

SchuleDie Schule will mit einer Kostenrechnung ein Führungs- und Controllinginstrument in der Hand haben, das ihr Entscheide über die Struktur ihres Leistungsangebotes vorzubereiten hilft.

Schulische TrägerDie schulischen Träger – Kantone, Gemeinden und private Trägerschaften – benö-tigen Informationen über das Leistungsangebot und die damit verbundenen Kosten und Erträge der von ihnen unterstützten Schule.

BundDer Bund finanziert die Fachhochschulen mit einer Pauschale, die sich aus dem gewichteten Durchschnitt der Kosten gleichartiger Studiengänge je Studierender ergibt. Er benötigt zu diesem Zweck genaue Informationen über die beitragsbe-rechtigten Kosten.

Jede dieser drei Institutionen hat also unterschiedliche Anforderungen an eine DB-Rechnung. Dies bedingt die Erstellung von je einer eigenen Rechnung.

In den folgenden Abschnitten werden in erster Linie die internen DB-Rechnungen der Schule und diejenigen zuhanden des Bundes näher erklärt (die Ableitung der übrigen Rechnungen ergibt sich in Absprache mit den schulischen Trägern). Die DB-Rechnungen für den Bund bilden eine Grundlage für schulische Kosten- und Leistungsvergleiche.

3.4 Aufbau der DB-Rechnungen

Jede DB-Stufe weist grundsätzlich dieselbe Kostenartenstruktur auf: Sie setzt sich zusammen aus Personalaufwand, Sachaufwand und den betrieblichen Infrastrukturkosten der entsprechenden Stufe. Die DB-Stufe 1 entspricht den Kosten der kleinsten interessierenden Einheit (einem einzelnen Lehrgang, einem Forschungsprojekt, einer Dienstleistung). Auf den folgenden Stufen werden die entsprechenden Kosten der Abteilung, des Departements / der Hochschule / der Teilschule und der Fachhochschule / Holding hinzugefügt und über Umlage-schlüssel auf die Kostenträger verteilt.

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3.5 Comparaison entre les calculs CC pour l’école, les autorités responsables de la formation et la Confédération

Comme nous l’avons déjà mentionné, l’école doit établir en règle générale des calculs de contributions à la couverture à l’attention de trois institutions: pour elle-même, pour les autorités responsables de la formation et pour la Confédéra-tion. Ces calculs des contributions à la couverture sont structurés différemment. Toutefois, il est toujours possible de les comparer, les différences ne concernant que le type de l’attribution de certains produits et l’imputation des coûts d’infra-structure. Les divers calculs CC sont générés par l’addition et la soustraction des coûts et des produits individuels, ainsi que par leur attribution à d’autres niveaux CC. Cette procédure permet de présenter le niveau déterminant des coûts et des produits pour chaque institution intéressée par le calcul des coûts: – École: le bénéfice ou pertes; – Autorités responsables de la formation: les coûts restants devant être couverts; – Confédération: les coûts d’exploitation courants à prendre en compte effective-ment.

Comment se présente une vue d’ensemble des rapports existant entre les divers calculs CC?

1. Calcul interne (calcul à l’intention de l’école)Le calcul CC interne sert de fondement aux autres calculs CC. Dans le calcul interne, l’enregistrement de toutes les recettes d’exploitation importantes pour l’école a lieu au niveau des produits. Au niveau des dépenses, on attribue l’en-semble des coûts, y compris les amortissements, aux niveaux CC dans lesquels ils correspondent à des coûts directs.

2. Calcul externe (calculs à l’intention à la Confédération)Pour être utilisable sous forme de calculs CC externes, le calcul interne est modifié en procédant à de nouvelles additions et soustractions. Ces modifications calcu-latoires sont nécessaires pour la raison suivante: – Les autorités qui accordent des subventions, principalement la Confédération, font la distinction entre les subventions pour l’investissement et les subventions courantes.

Il en résulte les modifications ci-après – Au niveau des produits, on fait la distinction entre les subventions courantes («ordinaires») et les subventions pour l’infrastructure («extraordinaires»). Seules les subventions courantes doivent être mentionnées. Les subventions pour l’in-vestissement et les autres subventions extraordinaires sont saisies séparément;

– Au niveau des coûts - de façon analogue à la séparation des subventions pour l’infrastructure -, il s’agit d’éliminer tous les coûts d’infrastructure à tous les niveaux CC et de les présenter séparément. L’entretien est imputé directement. Voir chapitre 7 «Infrastructure».

3.5 Vergleichbarkeit der DB-Rechnungen für Schule, Schulträger und Bund

Wie bereits erwähnt, hat die Schule in der Regel Deckungsbeitragsrechnungen zuhanden von drei Institutionen zu erstellen: für sich selbst sowie für die Schulträger und den Bund. Diese Deckungsbeitragsrechnungen sind unterschiedlich aufgebaut. Die einzelnen Rechnungen sind jedoch stets miteinander vergleichbar; die Unter-schiede bestehen einzig in der Art der Zuteilung gewisser Erträge und der Infra-strukturkosten: Die unterschiedlichen DB-Rechnungen entstehen durch Additionen und Subtraktionen von einzelnen Kosten und Erträgen und deren Zuweisung auf andere DB-Stufen. Dieses Verfahren erlaubt, für jeden der an der Kosten-rechnung interessierten Institutionen die massgebenden Kosten- oder Ertragsgrö-ssen auszuweisen: – für die Schule: den Gewinn oder den Verlust, – für den Schulträger: die zu tragenden Restkosten, – für den Bund: die anrechenbaren laufenden Betriebskosten.

Wie sieht nun die Beziehung zwischen den einzelnen DB-Rechnungen im Über-blick aus?

1. Interne Rechnung (Rechnung zuhanden der Schule)Die interne DB-Rechnung stellt die Grundlage der übrigen DB-Rechnungen dar. In der internen Rechnung werden ertragsseitig alle für die Schule relevanten betrieblichen Erträge erfasst, kostenseitig werden alle Kosten inklusive Abschrei-bungen jenen DB-Stufen zugewiesen, auf denen sie direkte Kosten darstellen.

2. Externe Rechnung (Rechnung zuhanden des Bundes)Für die externe DB-Rechnung wird die interne Rechnung durch Additionen und Subtraktionen modifiziert. Diese Modifikation ist aus folgendem Grund notwendig: – die Subventionsgeber, insbesondere der Bund, unterscheiden zwischen Investi-tions- und laufenden Beiträgen

Daraus ergeben sich folgende Modifikationen – Ertragsseitig wird zwischen laufenden («ordentlichen») und Infrastrukturbeiträgen («ausserordentlichen») unterschieden. Aufgeführt werden nur die laufenden Beiträge. Die Investitionsbeiträge und übrige ausserordentliche Beiträge werden separat erfasst.

– Kostenseitig werden – analog zur Ausscheidung der Infrastrukturbeiträge – die Infrastrukturkosten aus allen DB-Stufen ausgeschieden und separat ausgewiesen. Der Unterhalt wird direkt verrechnet. Siehe Kapitel 7 «Infrastruktur».

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3.6 Vue d’ensemble des calculs des contributions à la couverture devant être établis

Les deux figures suivantes (en fait il s’agit plutôt de tableaux) donnent une vue d’ensemble de la systématique des calculs des contributions à la couverture devant être établis. Elles fournissent des informations sur les points suivants:

Figure 4: Calcul CC agrégé avec les calculs CC:

– études conduisant au diplôme bachelor (aussi appelées études bachelor); – études conduisant au diplôme master (aussi appelées études master); – formation continue (études postgrades et cours postgrades); – recherche appliquée et développement; – prestations de services.

Chaque calcul CC présente 5 niveaux de contributions à la couverture. La der-nière contribution à la couverture correspond au résultat global de la filière d’études individuelle (études conduisant au diplôme) et du domaine d’étude indi-viduel (mandat de prestations élargi). À la rubrique «produits» figurent uniquement les produits courants. Le poste «infrastructure» est traité séparément.

Figure 5: Les calculs CC de l’école et de la Confédération sont présentés à titre de

comparaison.

Le calcul CC détaillé avec l’imputation des coûts aux niveaux de contributions à la couverture correspondants est présenté au chapitre 9.

3.6 Überblick über die zu erstellenden Deckungs- beitragsrechnungen

Die beiden folgenden Abbildungen 4 (aggregierte DB-Rechnung) und 5 geben einen Überblick über die Systematik der zu erstellenden Deckungsbeitragsrechnungen. Die Abbildungen zeigen folgendes:

Abbildung 4: Aggregierte DB-Rechnung mit den DB-Rechnungen

– Diplomstudium Bachelor – Diplomstudium Master – Weiterbildung (Nachdiplomstudien und Nachdiplomkurse) – angewandte Forschung und Entwicklung – Dienstleistungen

Jede DB-Rechnung kann 5 Deckungsbeitragsstufen aufweisen. Der letzte Deckungsbeitrag entspricht dem Gesamtergebnis für den einzelnen Studiengang (Diplomstudium) bzw. des einzelnen Fachbereichs (erweiterter Leistungsauftrag). Unter «Erträge» werden lediglich die laufenden Erträge aufgeführt. Die Infrastruktur wird separat ausgewiesen.

Abbildung 5: Als Vergleich sind die DB-Rechnungen der Schule und des Bundes dar-

gestellt.

Die detaillierte DB-Rechnung mit der Zuteilung der Kosten auf die entsprechenden Deckungsbeitragsstufen findet sich in Abschnitt 9.

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Allgemeiner KommentarDie Berechnung der Deckungsbeiträge ergibt finanzielle Auswertungen nach Stufen, die für die Leitungen der Pädagogischen Hochschulen und die Beschlussfassung nützlich sind. Es wurde im Rahmen des Projekts SKORE entschieden, dass das Modell des SBFI mit zwei Deckungsbeitragsstufen (Stufe 1 für die Einzelkosten und Stufen 2 bis 5 für die Gemeinkosten) für die PHs ausreichend ist.

Ein direkter Kostenvergleich auf DB-Stufe 1 zwischen den Pädagogischen Hochschulen ist heute aufgrund der strukturellen Unterschiede nur begrenzt möglich.

Commentaire généralLe calcul des contributions à la couverture permet des évaluations financières par niveaux utiles à la conduite et à la prise de décision. Dans le cadre du projet SKORE, il a été décidé que le modèle du SEFRI à deux niveaux de marges (niveau 1 pour les coûts individuels et niveaux 2 à 5 pour les coûts généraux) est suffisant pour les HEP.

Il faut ici relever qu’en raison des différences structurelles entre hautes écoles pédagogiques, toute comparaison directe des coûts au niveau de couverture 1 reste limitée.

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Diplomstudium Bachelor Diplomstudium Master

Weiterbildung Angewandte Forschung und Entwicklung

Dienstleistungen

Erträge(für die detaillierte Aufteilung der Erträge siehe Kapitel 9.2)

– Pauschalbeiträge Bund pro Studierende

– Schulgelder FHV – Studiengelder – Übrige Beiträge Bund – Übrige Erträge – Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur)

– Studiengelder – Übrige Erträge – (Restfinanzierung Schulträger)

– Beiträge Bund – Erträge Dritter – Beiträge KTI und Nationalfonds

– Übrige Erträge – Restfinanzierung Schulträger

– Erträge Dritter – Studiengelder – Übrige Erträge – (Restfinanzierung Schulträger)

Total Erträge (ohne Infrastrukturerlöse)

./. Einzelkosten (Personalkosten)

./. Einzelkosten (Sachkosten)

DB 1 Beitrag über Einzelkosten

./. Gemeinkosten ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 2 Beitrag über Kosten kleinste Einheit

./. Gemeinkosten Abteilung ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 3 Beitrag über Kosten Abteilung

./. Gemeinkosten Departement/Hochschule/Teilschule ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 4 Beitrag über Kosten Departement / Hochschule / Teilschule

./. Gemeinkosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 5 Beitrag über Kosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten

Infrastrukturerlöse – Beiträge an Mieten SBFI – Infrastrukturbeiträge Träger – Sonstige Infrastrukturbeiträge

– Infrastrukturbeiträge Träger – Sonstige Infrastrukturbeiträge

Infrastrukturkosten – Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen – Unterhalt Bau / sonstige Kosten – Mieten

Gesamtergebnis

Abbildung 4: Aggregierte DB-Rechnung

Études conduisant au diplôme bachelorÉtudes conduisant au diplôme master

Formation continue Recherche appliquée et développement

Prestations de services

Produits(pour la répartition détaillée des recet-tes, voir section 9.2)

– Subventions forfaitaires de la Confédération par étudiant

– Contributions d’études forfaitaires par étudiant (AHES)

– Taxes d’études – Autres subventions de la Confédération – Autres produits – Subventions résiduelles par les orga-nes scolaires responsables (infrastruc-ture non comprise)

– Taxes d’études – Autres produits – (Subventions résiduelles par les organes scolaires responsables)

– Subventions de la Confédération

– Produits de tiers – Subventions de la CTI et du Fonds national pour la recherche scientifique

– Autres produits – Subventions résiduelles par les organes scolaires respon-sables

– Produits de tiers – Taxes d'études – Autres produits – (Subventions résiduelles par les organes scolaires responsables)

Total des produits (sans produits liés à l’infrastructure)

./. Coûts individuels (coûts de personnel)

./. Coûts individuels (coûts de matériel)

CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels

./. Coûts généraux sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 2 Contribution dépassant les coûts de la plus petite unité

./. Coûts généraux de la section sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 3 Contribution dépassant les coûts de la section

./. Coûts généraux du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 4 Contribution dépassant les coûts du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire

./. Coûts généraux de la haute école spécialisée sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 5 Contribution dépassant les coûts de la haute école spécialisée sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

Produits liés à l’infrastructure

– Subventions pour la location par le SEFRI – Subventions pour l’infrastructure par les organes responsables – Autres subventions pour l’infrastructure

– Subventions pour l’infrastructure mise à la disposition par les organes responsables

– Autres subventions pour l’infrastructure

Coûts d’infrastructure

– Amortissements et intérêts calculés – Entretien des constructions et autres coûts – Locations

Résultat global

Figure 4: Calcul CC agrégé

Page 21: Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen Comptabilité ...

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen38 39

Mögliche DB-Rechnung zuhanden Schule

DB-Rechnung zuhanden Bund

Erträge – Pauschalbeiträge Bund pro Studierende

– Schulgelder FHV – Studiengelder – Erträge Dritter – Übrige Erträge – Übrige Beiträge Bund – Pauschale u/o. Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur)

– Beiträge Bund an Infrastruktur – Infrastrukturbeiträge Schulträger

– Pauschalbeiträge Bund pro Studierende – Schulgelder FHV – Studiengelder – Erträge Dritter – Übrige Erträge – Übrige Beiträge Bund – Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur)

./. Einzelkosten (Personalkosten) ./. Einzelkosten (Personalkosten)

./. Einzelkosten (Sachkosten) ./. Einzelkosten (Sachkosten)

DB 1 Beitrag über Einzelkosten DB 1 Beitrag über Einzelkosten

./. Gemeinkosten ./. Gemeinkosten ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 2 Beitrag über Kosten kleinste Einheit

./. Gemeinkosten Abteilung ./. Gemeinkosten Abteilung ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 3 Beitrag über Kosten Abteilung

./. Gemeinkosten Departement / Hochschule / Teilschule

./. Gemeinkosten Departement / Hochschule / Teilschule ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 4 Beitrag über Kosten Hochschule

./. Gemeinkosten FH ./. Gemeinkosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten

DB 5 Studiengangergebnis DB 2 – 5

Beitrag über Kosten FH ohne bauliche Infrastrukturkosten

Infrastrukturerlöse:

+ Beiträge an Mieten SBFI+ Infrastrukturbeiträge Träger+ Sonstige Infrastrukturbeiträge

Infrastrukturkosten:

– Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen – Unterhalt Bau / sonstige Kosten – Mieten

Studiengangergebnis

Abbildung 5: Vergleich der Deckungsbeitragsrechnung Diplomstudium zuhanden der Schule und des Bundes

Calcul Comité central envisageable à l’intention de l’école

Calcul CC à l’intention de la Confédération

Produits – Subventions forfaitaires de la Confédération par étudiant

– Contributions d’études forfaitaires par étudiant (AHES)

– Taxes d’études – Produits de tiers – Autres produits – Autres subventions de la Con-fédération

– Subventions forfaitaires et/ou financement résiduel par les organes scolaires responsables (infrastructure non comprise)

– Subventions de la Confédération pour l’infrastructure

– Subventions pour l’infrastructure par les organes responsables

– Subventions forfaitaires de la Confédération par étudiant

– Contributions d’études forfaitaires par étudiant (AHES)

– Taxes d’études – Produits de tiers – Autres produits – Autres subventions de la Confédération – Financement résiduel par les organes scolaires responsables (infrastructure non comprise)

./. Coûts individuels (coûts de personnel) ./. Coûts individuels (coûts de personnel)

./. Coûts individuels (coûts de matériel) ./. Coûts individuels (coûts de matériel)

CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels

CC 1 Contribution dépassant les coûts individuels

./. Coûts généraux ./. Coûts généraux, sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 2 Contribution dépassant les coûts de la plus petite unité

./. Coûts généraux de la section ./. Coûts généraux de la section, sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 3 Contribution dépassant les coûts de la section

./. Coûts généraux du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire

./. Coûts généraux du département, de la haute école ou de l’établissement partenaire, sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 4 Contribution dépassant les coûts du département, de la haute école spécialisée ou de l’établissement partenaire

./. Coûts généraux de la haute école spécialisée

./. Coûts généraux de la haute école spécialisée, sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

CC 5 Résultat de la filière d’études CC 2 à 5

Contribution dépassant les coûts de la haute école spécialisée, sans les coûts d’infrastructure «immobilier»

Produits liés à l’infrastructure:

+ Subventions pour la location par le SEFRI+ Subventions pour l’infrastructure par les organes resp.+ Autres subventions pour l’infrastructure

Coûts d’infrastructure:

– Amortissements et intérêts calculés – Entretien des constructions et autres coûts

– Locations

Résultat de la filière d’études

Figure 5: Calcul de la contribution à la couverture des études fondamentales à l’intention de l’école et des autorités responsables de la formation

Selon l’organisation considérée, ces coûts sont subdivisés en niveaux CC différents 2 à 5. C’est pourquoi ces niveaux CC doivent être présentés de manière groupée dans le rapport annuel à l’attention du SEFRI (voir annexe 5).

Je nach der Organisationsform der Schule können die DB-Stufen 2 – 5 unterschiedlich sein. Aus diesem Grund werden für das jähr-liche Berichtswesen/Reporting an das SBFI (siehe Anhang 5) diese Stufen zusammenge-fasst ausgewiesen.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen40 41

Leitfaden zur Erstellung der Kostenrechnung

Manuel d’établissement du calcul des coûts

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen42 43

4. Coûts par nature et plan comptable

4.1 Saisie des coûts par nature dans le plan comptable

Les coûts sont classés selon des critères précis, les coûts par nature. La structure d’après ces types de coûts est reprise dans des plans comptables. L’objectif du plan comptable général d’une école est de présenter les coûts par nature générés dans une école de manière aussi pratique, complète et claire que possible, et d’éviter les chevauchements. Divers systèmes de plans comptables généraux ont été développés. Deux d’entre eux sont présentés ci-dessous: – Le plan utilisé le plus couramment dans les écoles publiques est sans doute le «nouveau modèle comptable» (NMC), introduit dans la plupart des cantons. Le NMC combine la comptabilité publique et la comptabilité financière. Il est spécialement adapté aux besoins comptables des collectivités publiques.

– Le «plan comptable général pour les petites et moyennes entreprises» a été développé à l’intention des petites et moyennes entreprises (PME), dont font également partie les hautes écoles spécialisées. Il se base sur la comptabilité double utilisée dans le commerce, les arts et métiers, l’industrie et les entre-prises de services.

La décision de l’école concernant le choix du plan comptable général dépendra de ses besoins spécifiques et des particularités institutionnelles au niveau des autorités responsables de la formation. Les écoles qui ont déjà introduit la comp-tabilité double se sentiront plus à l’aise dans le plan conçu pour les PME que dans le plan NMC. Toutefois, plusieurs cantons ont modernisé leur comptabilité ces dernières années et y ont également inclus les écoles. Une telle situation parle en faveur d’un choix porté sur le plan NMC. D’une manière générale, les deux plans comptables généraux sont adaptés à la comptabilité d’une école en tant qu’entreprise et les deux permettent la reprise de données provenant de la comp-tabilité financière dans le calcul des coûts au moyen de comptes de correction.

4. Kostenarten und Kontenplan

4.1 Erfassung von Kostenarten im Kontenplan

Kosten werden nach bestimmten Kriterien gegliedert, den Kostenarten. Die Glie-derung nach Kostenarten wird durch Kontenpläne abgebildet. Ziel eines schuli-schen Kontenrahmens ist eine möglichst praktische, vollständige, übersichtliche und überschneidungsfreie Darstellung der an einer Schule anfallenden Kostenarten.Für Kontenrahmen wurden verschiedene Systeme entwickelt. Zwei davon sollen im Folgenden kurz vorgestellt werden: – Der den öffentlichen Schulen vertrauteste Rahmen dürfte das von den meisten Kantonen verwendete «Neue Rechnungsmodell» (NRM) sein. Das NRM stellt eine Mischung aus der kameralistischen und der kaufmännischen Buchhaltung dar und ist auf die spezifischen Bedürfnisse öffentlicher Haushalte ausgerichtet.

– Für kleinere und mittlere Unternehmen, zu denen auch Fachhochschulen zählen, wurde der sogenannte «Kontenrahmen für kleine und mittlere Unternehmen» (KMU) entwickelt. Er basiert auf der kaufmännischen (doppelten) Buchhaltung. Seine Einsatzmöglichkeiten umfassen Gewerbe-, Industrie- und Dienstleistungs-unternehmen.

Welchen Entscheid eine Schule bezüglich der Wahl des Kontenrahmens trifft, hängt von ihren spezifischen Bedürfnissen und den institutionellen Gegebenheiten der Schulträger ab. Schulen, die bereits über eine doppelte Buchhaltung verfügen, werden sich im KMU-Rahmen eher heimisch fühlen als im NRM-Rahmen. Anderer-seits haben mehrere Kantone ihr öffentliches Rechnungswesen in den letzten Jahren modernisiert und auch die Schulen miteinbezogen, was die Übernahme des NRM-Rahmen begünstigt. Generell sind beide Kontenrahmen für den Aufbau einer schulisch-unternehmerischen Buchhaltung geeignet, und beide Kontenrahmen erlauben es, über Korrekturkonten Daten aus der Finanzbuchhaltung in die Kos-tenrechnung zu transferieren.

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen44 45

4.2 Plans comptables généraux NMC et PME

Ci-après, nous allons vous présenter un plan comptable général selon les normes NMC et un autre selon le modèle PME. Les deux plans correspondent à une vue d’ensemble d’écoles qui disposent déjà d’une comptabilité développée dans leur secteur d’activité. Le plan comptable général NMC n’utilise que 3 positions. Cette limitation est justifiée par le fait que les positions suivantes peuvent être librement définies par les cantons. On a donc renoncé à les unifier sur le plan suisse. Par conséquent, chaque canton devra décider en fonction de sa propre comptabilité quels seront les chiffres à 4 ou 5 positions qu’il utilisera pour les différents comptes. Chaque école est en droit d’affiner le plan comptable, la clas-sification figurant ci-dessous n’étant qu’une recommandation.

Désignation Numéro de compte NMC Numéro de compte PME

Actifs 1 1

Disponibilités – Caisse – Poste – Banque

10100101102

10100010101020

Créances/Avoirs – Débiteurs

11115

11110

Stocks et travaux en cours – Stocks et travaux en cours

125125

12120

Actifs de régularisation (Actifs transitoires) 13 13

Immobilisations financières – Obligations – Actions

12120121

14140142

Immobilisations corporelles mobilières – Machines et appareils – Installations destinées à la production – Installations d’ateliers – Installations de laboratoires – Mobilier de bureau – Machines de bureau – Infrastructures informatiques – Véhicules – Installations de stockage

146 (portées à l’actif par l’intermédiaire de 506)

15150115021510151115211522153015401550

Immobilisations corporelles immobilières – Laboratoires – Bâtiments de cours / Auditoires – Ateliers – Bâtiments administratifs – Bâtiments de l’école – Autres bâtiments – Biens-fonds non bâtis

14143.x143.x143.x143.x143.x143.x140

161640163016501610162016901600

Passifs 2 2

Engagements courants – Créanciers – Salaires – Assurances sociales

20200.x200.x200.x

20200120022003

Dettes à court terme 21 21

Passifs de régularisation (Passifs transitoires) 25 23

Dettes à moyen et à long termes – Emprunts hypothécaires – Autres – Provisions

2222022924

24241242243

Capitaux propres – Compte de compensation «Confédération» – Compte de compensation «Cantons» – Réserves/bénéfice – Provisions

29 28

Produits 4 3

Produits d’exploitation «formation» – Taxes d’études et émoluments – Subventions des cantons – Subventions de la Confédération

433461460

341341134123413

Produits d’exploitation «recherche et développement» – Subventions des cantons – Subventions de la Confédération – Subventions de privés – Produits de licences

461460434.x434.x

342

3422342334243425

4.2 Der NRM- und der KMU-Kontenrahmen

Nachfolgend werden je ein NRM- und ein KMU-Kontenrahmen vorgestellt. Die beiden Kontenpläne stellen einen Querschnitt von Schulen dar, die bereits über eine ausgebaute schulische Buchhaltung verfügen. Der NRM-Kontenrahmen ist nur bis auf 3 Stellen ausgeführt. Dies liegt darin begründet, dass die nachfolgen-den Stellennummern von den Kantonen individuell verwendet werden und nicht gesamtschweizerisch vereinheitlicht sind; jeder Kanton muss also aufgrund seiner eigenen Rechnung entscheiden, welche vier- und fünfstelligen Nummern er für die einzelnen Konten verwenden will. Jede Schule hat das Recht, den Kontenplan weiter zu verfeinern. Die unten abgebildete Klassifizierung ist als Empfehlung zu verstehen.

Bezeichnung Kontennummer NRM Kontennummer KMU

Aktiven 1 1

Flüssige Mittel – Kasse – Post – Bank

10100101102

10100010101020

Forderungen/Guthaben – Debitoren

11115

11110

Vorräte und angefangene Arbeiten – Vorräte und angefangene Arbeiten

125125

12120

Transitorische Aktiven 13 13

Finanzanlagen – Obligationen – Aktien

12120121

14140142

Mobile Sachanlagen/Sachgüter – Maschinen und Apparate – Produktionsanlagen – Werkstatteinrichtungen – Laboreinrichtungen – Büromobiliar – Büromaschinen – Datenverarbeitungsanlagen – Fahrzeuge – Lagereinrichtungen

146 (Aktivierung über 506) 15150115021510151115211522153015401550

Immobilien – Laborgebäude – Lehr/Hörsaalgebäude – Werkstattgebäude – Verwaltungsgebäude – Schulgebäude – andere Gebäude – unbebaute Grundstücke

14143.x143.x143.x143.x143.x143.x140

161640163016501610162016901600

Passiven 2 2

Kurzfristige Verbindlichkeiten – Kreditoren – Löhne – Sozialversicherungen

20200.x200.x200.x

20200120022003

Kurzfristige Schulden 21 21

Transitorische Passiven 25 23

Mittel- und langfristige Schulden – Hypotheken – Übrige – Rückstellungen

2222022924

24241242243

Eigenkapital – Verrechnungskonto Bund – Verrechnungskonto Kantone – Reserven/Gewinn – Rücklagen

29 28

Ertrag 4 3

Betriebsertrag Lehre – Schulgelder und Gebühren – Kantonsbeiträge – Bundesbeiträge

433461460

341341134123413

Betriebsertrag Forschung und Entwicklung – Kantonsbeiträge – Bundesbeiträge – Beiträge Privater – Ertrag aus Lizenzen

461460434.x434.x

3423422342334243425

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Manuel du SEFRI

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Produits d’exploitation «formation continue» – Taxes d’études et émoluments – Subventions des cantons – Subventions de la Confédération

433461460

343343134323433

Produits d’exploitation «prestations de services» – Produits résultant de la vente de prestations de services

434 3444

Autres produits d’exploitation 389

Charges 3 Divers

Biens, services et marchandisesMatériel d’exploitation (matériel d’enseignement, etc.): – Matériel d’enseignement général – Livres – Mobilier – Outils et appareils – Installations – Remplacement de matériel d’exploitation

31

310.x310.x311.x311.x311.x311.x

4

440441442443444445

Entretien, réparations, remplacements (de façon analogue au compte 124 NRM ou 15 PME) – Machines et appareils – Installations de production, etc.

315/318 61 et 62

Charges énergétiques 312 64

Petites fournitures 313 440

Charges administratives – Photocopies – Imprimés – Téléphones, frais de ports, etc. – Matériel de bureau – Publicité – Autres coûts administratifs

310/318/319310.x310.x318.x310.x310.x319.x

65651652653655656659

Charges de personnelCharges de personnel «formation et recherche»: – Professeurs – Corps intermédiaire supérieur – Corps intermédiaire inférieur – Personnel administratif et technique / personnel d’exploitation

30301/302302.x302.x302.x301.x

5505010502050305040

Autorités, commissions et juges 300 5000

Charges de personnel «direction» – Directeurs, recteurs, etc.

301301.x

50505050

Autres charges de personnel – Formation et perfectionnement – Excursions – Autres frais directs de personnel

309/317309.x317.x317.x

58581582589

Charges sociales – AVS/AI/APG/assurance-chômage/caisse d’allocations familiales

– Prévoyance professionnelle – LAA

303

304305

515121

51225123

Amortissement sur le matériel d’exploitation 331 69

Coûts d’infrastructure – Location de laboratoires, d’ateliers, de bâtiments de cours et autres

– Amortissements sur les laboratoires, ateliers, bâtiments de cours et autres

– Entretien des immeubles

316

331

313.x/314.x

696930

6940

60.x

Assurances-choses 318 63

Intérêts passifs – Dettes à court terme – Dettes à moyen et long termes

32321322

68068006810

Comptes de correction «calcul des coûts / comptabilité financière»

Figure 6: Plans comptables généraux NMC et PME

Le modèle NMC connaît les classes de comptes 39 et 49 qui permettent la comp-tabilisation de charges et de produits internes (p. ex. la fourniture d’imprimés par l’office cantonal des imprimés). Les classes de comptes 39 et 49 ne représentent pas des coûts par nature ou de produits. Ils ne permettent donc pas de tirer des conclusions au sujet des coûts par nature ou de produits qui se trouvent dans ces comptes. Pour cette raison, les classes de comptes 39 et 49 doivent être entièrement éliminées dans le calcul des coûts destiné à la Confédération et elles doivent être alors reportées sur une autre classe de comptes entre 31 et 38 ou entre 40 et 48.

Betriebsertrag Weiterbildung – Schulgelder und Gebühren – Kantonsbeiträge – Bundesbeiträge

433461460

343343134323433

Betriebsertrag Dienstleistungen – Ertrag aus DL-Verkäufen 434 3444

Übriger Betriebsertrag 389

Aufwand 3 versch.

SachaufwandBetriebsmittel (Lehrmittel etc.): – Allgemeine Schulmittel – Bücher – Mobiliar – Werkzeuge und Geräte – Einrichtungen – Ersatz von Betriebsmitteln

31

310.x310.x311.x311.x311.x311.x

4

440441442443444445

Unterhalt, Wartung, Reparaturen, Ersatz (analog zu Konto 124 NRM bzw. 15 KMU) – Maschinen und Apparate – Produktionsanlagen, etc.

315/318 61 und 62

Energieaufwand 312 64

Verbrauchsmaterial 313 440

Verwaltungsaufwand – Fotokopien – Drucksachen – Telefon, Porti etc. – Büromaterial – Werbeaufwand – Übriger Verwaltungsaufwand

310/318/319310.x310.x318.x310.x310.x319.x

65651652653655656659

PersonalaufwandPersonalaufwand Lehr- und Forschungspersonal: – Professoren – Oberer Mittelbau – Unterer Mittelbau – Administratives und technisches Personal/Betriebspersonal

30301/302302.x302.x302.x301.x

5505010502050305040

Personalaufwand Aufsichtsgremien 300 5000

Personalaufwand Direktion – Direktoren, Rektoren etc.

301301.x

50505050

Übriger Personalaufwand – Aus- und Weiterbildung – Exkursionen – übrige direkte Personalspesen

309/317309.x317.x317.x

58581582589

Sozialversicherungsbeiträge – AHV/IV/EO/ALV/FAK – Berufliche Vorsorge – UVG

303304305

51512151225123

Abschreibungen auf Betriebsmaterial 331 69

Infrastrukturkosten – Mieten Labors, Werkstätten, Unterrichts- gebäude, übrige

– Abschreibungen Labors, Werkstätten, Unterrichtsgebäude, übrige

– Unterhalt Gebäude

316

331

313.x/314.x

696930

6940

60.x

Sachversicherungen 318 63

Passivzinsen – Bankzinsen – Darlehen und Hypotheken

32321322

68068006810

Abgrenzungskonti KOST/FIBU

Abbildung 6: NRM- und KMU-Kontenrahmen

Das NRM-Modell kennt die Kontenklassen 39 und 49, die interne Aufwands- und Ertragsbuchungen erlauben (z.B. der Bezug von Drucksachen über eine kantonale Druckmaterialzentrale). Die Kontenklassen 39 und 49 stellen keine Kosten- bzw. Ertragsart dar, erlauben also keine Rückschlüsse darauf, welche Arten von Kosten bzw. Erträge hinter diesen Konten stecken. Es ist deshalb notwendig, in der Kos-tenrechnung zuhanden des Bundes die Kontenklasse 39 und 49 zu saldieren und auf eine der übrigen Kontenklassen 31 bis 38 bzw. 40 bis 48 umzulegen.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen48 49

5. Centres de coûts et répar- tition des centres de coûts

5.1 Centres de coûts d’une école

Dans les centres de coûts sont générés les coûts. Généralement, il s’agit des unités organisationnelles d’une école. Les coûts par nature leur sont attribués s’il n’est pas possible de les assigner directement aux objets de coûts. Les centres de coûts d’une école sont généralement structurés selon les fonctions, l’organi-sation et le lieu. Cela signifie qu’on peut identifier les centres de coûts par rap-port à leur situation «géographique» - p. ex. le centre de coûts «bibliothèque» - ou par rapport à un regroupement virtuel de certains coûts - p. ex. les coûts de la section. Le regroupement des coûts sous la forme de centres de coûts sert au contrôle des coûts. Pour cette raison, on désigne toujours un responsable par centre de coûts.La figure 3 (page 28) présente un schéma d’organisation simplifié d’une école. Selon cette présentation, les unités suivantes peuvent être des centres de coûts: les plus petites unités au sein du domaine d’étude (études individuelles conduisant au diplôme, études ou cours postgrades, projets individuel de recherche, presta-tions individuelles de services), les sections, les départements / hautes écoles / établissements partenaires et la haute école spécialisée / holding et les unités ad-ministratives correspondantes. À côté de ces éléments, une école dispose géné-ralement de centres de coûts supplémentaires non représentés dans le schéma simplifié: des sections générales (p. ex. informatique), des laboratoires et des ateliers centraux, une bibliothèque centralisée, un centre de calcul, une cafétéria et d’autres éléments encore. Certains centres de coûts peuvent être gérés comme des «centres de profit» internes qui facturent entièrement leurs coûts à d’autres centres de coûts ou aux objets de coûts. Pour des raisons pratiques et afin de permettre un meilleur contrôle des coûts, il peut s’avérer utile d’introduire des centres de coûts supplémentaires (centres auxiliaires, centres préalables et centres principaux), par exemple le centre de coûts «immeubles».

La suite explique comment une école peut structurer le calcul des centres de coûts. Dans cet exemple prévalent les principes appliqués dans les écoles dispo-sant déjà d’une telle comptabilité. Les suggestions sont divisées en deux groupes de centres de coûts, – ceux qui doivent obligatoirement être introduits dans chaque école – ceux dont la tenue est recommandée pour des raisons d’exploitation (simplifica-tion, contrôle des coûts).

La suite présente également la répartition sur les objets de coûts ou sur d’autres centres de coûts.

5.2 Centres de coûts obligatoires

Centres de coûts de l’administrationL’art. 15 de l’ordonnance sur les hautes écoles spécialisées précise que les frais administratifs ne peuvent pas dépasser une certaine proportion des coûts d’exploitation. Le calcul des coûts doit présenter ces coûts administratifs. Pour cette raison, il y a lieu d’introduire les divers centres de coûts suivants: – Direction, rectorat, administration/gestion de départements / hautes écoles / établissements partenaires

– Direction, rectorat, administration/gestion de la haute école spécialisée

Les centres de coûts doivent comme il se doit être répartis par filières d'études et/ou par domaine d’étude entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de ser-vices) (voir chapitre 9).

5.1 Kostenstellen einer Schule

Kostenstellen sind die Orte der Kostenentstehung, im Allgemeinen die organisa-torischen Einheiten einer Schule. Ihnen werden die Kostenarten zugeteilt, falls diese nicht direkt den Kostenträgern zugewiesen werden können. Schulische Kostenstellen werden in der Regel nach funktionalen, organisatorischen oder räumlichen Aspekten strukturiert; d.h. Kostenstellen lassen sich entweder geogra-phisch lokalisieren – z.B. die Kostenstelle «Bibliothek» – , oder sie stellen eine virtuelle Zusammenfassung bestimmter Kosten dar – z.B. die Kosten der Abtei-lung. Die Zusammenfassung der Kosten zu Kostenstellen dient der Kostenkontrolle; verantwortlich für eine Kostenstelle ist deshalb immer ein Kostenstellenleiter bzw. eine Kostenstellenleiterin.Ein vereinfachtes Organisationsschema einer Schule zeigte Abbildung 3 (Seite 29). Gemäss dieser Abbildung können Kostenstellen sein: die kleinsten Einheiten innerhalb des Fachbereichs (einzelner Diplomstudiengang, einzelnes NDS / NDK, einzelnes Forschungsprojekt, einzelne Dienstleistung), die Abteilungen, die Departemente / Hochschulen / Teilschulen, die Fachhochschule/Holding und die entsprechenden Verwaltungsabteilungen. Daneben verfügt eine Schule in der Regel noch über weitere Kostenstellen, die ausserhalb dieses einfachen Dia-gramms geführt werden: Allgemeine Abteilungen (z.B. Informatik), zentrale Labors und Werkstätten, eine zentrale Bibliothek, ein Rechenzentrum, eine Cafeteria und andere. Einzelne Kostenstellen können als sogenannte interne «Profitcenters» geführt werden, die ihre Kosten über interne Rechnungsstellung anderen Kosten-stellen oder den Kostenträgern vollständig verrechnen. Aus praktischen Gründen und zu einer besseren Kostenkontrolle kann es sinnvoll sein, weitere Kostenstellen (Hilfs-, Vor- und Hauptkostenstellen) zu führen, etwa eine Kostenstelle «Gebäude».

Im Folgenden wird dargestellt, wie eine Schule ihre Kostenstellenrechnung aufbau-en kann. Der Aufbau folgt Prinzipien, wie sie bereits an Schulen mit einer Kosten-stellenrechnung angewandt werden. Die Vorschläge sind unterteilt in Kostenstellen, – die von jeder Schule obligatorisch zu führen sind und solche – deren Führung aus betrieblichen Gründen (Vereinfachung, Kostenkontrolle) emp-fohlen wird.

Dargestellt ist zudem die Überwälzung auf die Kostenträger oder auf weitere Kos-tenstellen.

5.2 Obligatorisch zu führende Kostenstellen

Kostenstellen der AdministrationArt. 15 der Fachhochschulverordnung kann vorsehen, dass die Verwaltungskos-ten einen bestimmten Anteil der Betriebskosten nicht übersteigen dürfen. Die Kostenrechnung hat diese Verwaltungskosten auszuweisen. Aus diesem Grund sind die folgenden Kostenstellen zu führen: – Direktion, Rektorat, Administration/Verwaltung von Departementen / Hoch- schulen / Teilschulen

– Direktion, Rektorat, Administration/Verwaltung der Fachhochschule / Holding

Die Kostenstellen sind verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro Studiengang resp. Fachbereich umzulegen (vgl. Abschnitt 9).

5. Kostenstellen und ihre Überwälzung

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Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

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5.3 Centres de coûts recommandés et répartition des centres de coûts recommandés

A. Centres de coûts principaux – Chaque domaine d’étude ou chaque groupe de domaines d’études; – Sections générales.

Les centres de coûts principaux doivent être répartis par domaine d’étude au niveau CC 1 entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) (voir chapitre 9).

B. Centres de coûts préalables et centres de coûts auxiliairesExemples:

BibliothèquesLes centres de coûts «bibliothèques» sont attribués aux filières d’études au prorata du nombre d’étudiants.

Laboratoires et ateliersLes centres de coûts «laboratoires et ateliers» doivent comme il se doit être répartis, par domaine d’étude et conformément aux clés de répartition mentionnées au chapitre 9, entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services).

Centre de calcul, informatique, reprographie, services techniques, logistiqueCes centres de coûts doivent être attribués au moyen de prix de facturation in-ternes sur les prestations correspondantes (études conduisant au diplôme, for-mation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services). Le cas échéant, les déficits doivent comme il se doit être répartis, par domaine d’étude et conformément aux clés de répartition mentionnées au chapitre 9, entre les 4 prestations.

Cafétéria/restaurantLa cafétéria et le restaurant devraient être gérés comme des centres de profits. Leurs coûts doivent être couverts par leurs propres recettes et ne nécessitent donc pas d’attribution à des filières d’études. Le cas échéant, les déficits doivent comme il se doit être répartis, par domaine d’étude et conformément aux clés de répartition mentionnées au chapitre 9, entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, presta-tions de services).

Infrastructure/ImmeublesLes centres de coûts «coûts d’infrastructure “immobilier”» et «coûts d’infrastructure “exploitation”» doivent être répartis de manière proportionnelle à l’utilisation effective de l’infrastructure par domaine d’étude entre les 4 prestations (études conduisant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) (voir chapitre 9).

5.3 Empfohlene Kostenstellen und ihre Überwälzung

A. Hauptkostenstellen – jedes erteilte Fach oder jede Fachgruppe – allgemeine Abteilungen

Die Hauptkostenstellen sind auf DB-Stufe 1 verursachergerecht auf alle 4 Leistun-gen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro Fachbereich umzulegen (vgl. Abschnitt 9).

B. Vor- und Hilfskostenstellen Beispiele:

BibliothekenDie Kostenstellen Bibliotheken werden proportional zu den Studierendenzahlen auf die einzelnen Diplomstudiengänge zugeteilt.

Labors und WerkstättenDie Kostenstellen Labors und Werkstätten werden nach in Abschnitt 9 genannten Umlageschlüsseln verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro Fachbereich umgelegt.

Rechenzentrum, Informatik, Reprodienste, technischer Dienst, LogistikDerartige Kostenstellen sollen mithilfe interner Verrechnungspreise auf die bezie-hende Leistung (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Ent-wicklung und Dienstleistungen) zugeteilt werden. Allfällige Defizite werden gemäss den Umlageschlüsseln ebenfalls verursachergerecht auf alle 4 Leistungen pro Fachbereich umgelegt (vgl. Abschnitt 9).

Cafeteria/MensaDie Cafeteria/Mensa sollte als Costcenter geführt werden, dessen Kosten durch eigene Einnahmen gedeckt und deshalb nicht auf Studiengänge zugeteilt werden müssen. Allfällige Defizite sollen verursachergerecht auf alle 4 Leistungen (Diplom-studium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleist- ungen) pro Fachbereich zugeteilt werden (vgl. Abschnitt 9).

Infrastruktur/GebäudeEs sind Kostenstellen «Bauliche Infrastrukturkosten» und «Betriebliche Infrastruktur-kosten» zu führen, die proportional zur effektiven Nutzung der Infrastruktur auf alle 4 Leistungen (Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen) pro Fachbereich umgelegt werden (vgl. Abschnitt 9).

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Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Die Kostenstellen Bibliotheken werden proportional zu den Personaleinzelkosten auf die Kostenträger verteilt (vgl. Kap. 9.1).Les centres de coûts relatifs aux bibliothèques sont répartis entre les objets

de coûts, au prorata des coûts individuels de personnel. (cf. chap. 9.1).

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5.4 Définition des coûts directs et des coûts indirects ainsi que des coûts individuels et des coûts généraux

A. Coûts directs et coûts indirectsOn établit une distinction entre ce genre de coûts en fonction des critères suivants:

Coûts directsIls peuvent être directement mis à la charge des divers objets de coûts: – les filières d’études conduisant au diplôme; – les domaines d’étude en liaison avec un mandat de prestations élargi (forma-tion, recherche appliquée et développement, prestations de services).

Coûts indirectsIls ne peuvent pas être directement mis à la charge des divers objets de coûts et sont par conséquent mis à la charge des objets de coûts par le biais de répar-titions au cas par cas.

L’enregistrement comptable correspondant et l’importance dépendent fortement de la forme d’organisation et du fonctionnement de l’école considérée. Pour le calcul des contributions à la couverture, autant les coûts directs que les coûts indirects peuvent être pris en considération au niveau CC 1 (par ex. si une section générale offre des cours pour diverses filières d’études, les coûts peuvent être considérés comme indirects et être répartis au niveau CC 1). B. Coûts individuels et coûts générauxOn établit une distinction entre ce genre de coûts en fonction des critères sui-vants:

Coûts individuelsIls dépendent directement de la fourniture de prestations primaires d’une école: – les cours pour les filières d’études conduisant au diplôme et pour les études postgrades (EP) et les cours postgrades (CP) dans la formation continue;

– les prestations de recherche et de services dans les domaines d’étude.

Coûts générauxIls ne dépendent pas directement de la fourniture de prestations, mais créent les conditions pour la fourniture de celles-ci (direction, administration, service technique, bibliothèque, coûts généraux pour un domaine d’étude ou pour une section, etc.).

L’enregistrement comptable correspondant et l’importance dépendent fortement de la forme d’organisation et du fonctionnement de l’école considérée.

Pour le calcul des contributions à la couverture (CC), les coûts individuels sont répartis au niveau CC le plus élevé, puis les coûts généraux sont répartis aux niveaux CC 2 à 5 (selon la forme d’organisation de l’école).

5.4 Definition von direkten und indirekten Kosten bzw. Einzel- und Gemeinkosten

A. Direkte und indirekte KostenDie Kosten werden nach den folgenden Kriterien unterschieden:

Direkte KostenDirekte Kosten können direkt den einzelnen Kostenträgern belastet werden: – einzelne Studiengänge im Diplomstudium – einzelne Fachbereiche im erweiterten Leistungsauftrag (Weiterbildung, angewandte Forschung und Entwicklung, Dienstleistungen)

Indirekte KostenIndirekte Kosten können nicht direkt den einzelnen Kostenträgern belastet werden und werden dementsprechend über Kostenumlagen den einzelnen Kostenträgern belastet.

Die entsprechende Verbuchung und Wichtigkeit hängt sehr stark von der Organi-sationsform und der Funktionsweise einer Schule ab. Für die folgende Deckungsbeitragsrechnung können sowohl direkte als auch indi-rekte Kosten bereits auf DB-Stufe 1 anfallen (z.B.: falls eine Allgemeine Abteilung Lehrleistungen für diverse Studiengänge anbietet, können die Kosten als indirekt behandelt werden und über eine Kostenumlage auf DB-Stufe 1 gelangen).

B. Einzelkosten und GemeinkostenDie Kosten können auch nach den folgenden Kriterien unterschieden werden:

EinzelkostenEinzelkosten hängen direkt von der Erzeugung der primären Leistungen einer Schule ab: – Lehrleistungen für Studiengänge im Diplomstudium bzw. für – NDS/NDK in der Weiterbildung – Forschungs- und Dienstleistungen in den Fachbereichen

GemeinkostenGemeinkosten hängen nicht direkt mit der Erzeugung der Leistungen ab, schaffen jedoch die Voraussetzungen für diese (Direktion, Administration, technischer Dienst, Bibliothek, Fachbereichsgemeinkosten, Abteilungsgemeinkosten, usw.)

Die entsprechende Verbuchung und Wichtigkeit hängt stark von der Grösse, der Organisationsform und der Funktionsweise einer Schule ab.

In der Deckungsbeitragsrechnung werden die Einzelkosten Lehrleistungen auf der obersten DB-Stufe ausgewiesen, danach werden alle Gemeinkosten auf DB-Stufe 2 bis 5 (je nach Organisationsform der Schule) ausgewiesen.

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5.5 Définition des produits directs et indirects

Comme dans le cas des coûts et selon les mêmes critères, il est possible de différencier et de comptabiliser des produits directs et indirects.

En règle générale, les produits directs sont crédités directement sur les objets de coûts des quatre prestations.

Pour ce qui est des produits indirects, il convient, à l’aide de clés de répartition, de les imputer également sur les prestations que sont les filières d’études conduisant au diplôme, la formation continue, la recherche appliquée et le développement, ainsi que les prestations de services par domaine d’étude, et de les présenter comme des produits dans le calcul CC.

5.6 Utilisation des clés de répartition et assurance qualité lors de répartitions

Comme la forme d’organisation et le fonctionnement d’une école influe sur la structure du calcul des coûts de manière notoire, l’utilisation des clés de répartition doit être réglée comme indiqué ci-après: – conformément à la représentation du calcul CC au chapitre 9, des clés de répartition sont déterminées par avance de manière standardisée par centre de coûts;

– il convient de rechercher les véritables générateurs de coûts et de pratiquer la transparence des coûts par domaine d’étude et par prestation (études condui-sant au diplôme, formation continue, recherche appliquée et développement, prestations de services) en tenant compte des situations spécifiques en matière de direction, d’organisation et d’école.

5.5 Definition von direkten und indirekten Erträgen

Wie bei den Kosten ist es auch möglich, die Erträge nach den gleichen Kriterien in direkte und indirekte aufzuteilen und zu verbuchen.

Im Normalfall werden die Erträge direkt den Kostenträgern der 4 Leistungen gutgeschrieben.

Eventuelle indirekte Erträge müssen mit Hilfe von Umlageschlüsseln ebenfalls auf die Leistungen Diplomstudium, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung und Dienstleistungen pro Fachbereich umgelegt und in der DB-Rechnung als Er-trag ausgewiesen werden.

5.6 Vorgehensprinzipien und Qualitätssicherung bei Umlagen

Da sowohl die Organisationsform wie auch die Funktionsweise einer Schule den Aufbau der Kostenrechnung wesentlich beeinflusst, soll bei der Anwendung von Umlageschlüsseln wie folgt vorgegangen werden: – gemäss der Darstellung der DB-Rechnung in Abschnitt 9 werden pro Kosten-stelle jeweils Umlageschlüssel standardmässig vorgegeben;

– dabei soll pro Fachbereich und Leistung (Diplomstudium, Weiterbildung, ange-wandte Forschung & Entwicklung, Dienstleistungen) und unter Berücksichtigung der führungs-, organisations- und schulspezifischen Situationen, dem Prinzip der Findung der effektiven Kostentreiber bzw. der Kostenwahrheit nachgelebt werden.

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6. Calcul des objets de coûts: coûts par prestation fournie par une école

Le calcul des objets de coûts a pour but de présenter les coûts des prestations fournies par une école. Conformément au manuel, chaque école propose quatre prestations et comporte de ce fait quatre groupes d’objets de coûts: – études conduisant au diplôme (ED); – formation continue (FC), par ex. MAS, EMBA, DAS, CAS; – recherche appliquée et développement (Ra&D); – prestations de services (PS).

Les unités pour lesquelles il y a lieu d’établir le calcul des objets des cours sont: – la filière d’études conduisant au diplôme (bachelor et master), – le domaine d’étude pour les trois autres prestations.

Le calcul des objets de coûts se présente de ce fait par filière d’études et par domaine d’étude:

Études conduisant au diplôme bachelor Contribution de couverture par étudiant

Études conduisant au diplôme master Contribution de couverture par étudiant

Formation continue Contribution de couverture par EP/CP

Recherche appliquée et développement Contribution de couverture par projet de recherche

Prestations de services Contribution de couverture par projet de prestation

Chaque filière d’études et chaque domaine d’étude reçoit un code à utiliser de manière uniforme au sein de toutes les HES (de manière analogue aux codes de filières du système d’information sur les hautes écoles suisses). Ce code est déterminé de concert avec l’Office fédéral de la statistique (annexe 1 «Classification officielle des filières d'études»).

À ce propos, il convient de distinguer entre la branche ou le domaine d’enseigne-ment (centre de coûts) et la filière d’études ou le domaine d’étude (objet de coûts). En règle générale, les branches sont des éléments d’une filière d’études et peuvent donc être attribuées en tant que coûts individuels aux objets de coûts (exemple: la branche «statique» est un élément de l’objet de coûts «génie civil»). Les coûts de branches qui offrent des prestations à plusieurs filières d’études en même temps (exemple: la branche «mathématiques» qui est offerte à la fois dans les filières d’études «chimie» et «physique»), sont répartis proportionnellement au nombre d’étudiants. Les branches facultatives sont traitées de manière analogue. Entre la branche et la filière d’études on trouve donc les rapports suivants repré-sentables sous la forme d’une matrice:

Filière d’études 1

Branche 1

Filière d’études 2

Branche 2

6. Kostenträgerrechnung: Die Kosten pro Leistung einer Schule

Die Kostenträgerrechnung hat die Aufgabe, die Kosten der von der Schule ange-botenen Leistungen auszuweisen. Gemäss diesem Kostenrechnungsleitfaden bietet eine Schule vier verschiedene Leistungen an und weist damit vier verschie-dene Kostenträgergruppen auf: – das Diplomstudium – die Weiterbildung (MAS, EMBA, DAS, CAS) – die angewandte Forschung und Entwicklung – die Dienstleistungen.

Die Einheiten, für welche die Kostenträgerrechnung zu erstellen ist, sind: – der Studiengang in der Lehre Diplomstudium Bachelor und Master – der Fachbereich in den restlichen drei Leistungen.

Die Kostenträgerrechnung weist damit pro Studiengang resp. pro Fachbereich aus:

Diplomstudium Bachelor Deckungsbeitrag pro Studierenden

Diplomstudium Master Deckungsbeitrag pro Studierenden

Weiterbildung Deckungsbeitrag pro NDS/NDK

Angewandte Forschung und Entwicklung Deckungsbeitrag pro Forschungsprojekt

Dienstleistungen Deckungsbeitrag pro Dienstleistungsprojek

Jeder Studiengang resp. Fachbereich erhält einen Code, der von allen Fachhoch-schulen einheitlich zu verwenden ist (analog zu den Studiengang-Codes des Schweizerischen Hochschulinformationssystems SHIS). Dieser Code wird in Absprache mit dem Bundesamt für Statistik festgelegt (Anhang 1 «Offizielle Klas-sierung der Studiengänge»).

Zu beachten ist die Unterscheidung zwischen Fach / Fach- oder Lektionengruppen (Kostenstelle) und Studiengang oder Fachbereich (Kostenträger). In der Regel sind Fächer Teile eines Studienganges und können somit als Einzelkosten auf die Kostenträger zugewiesen werden (Beispiel: das Fach «Statik» als Teil des Kosten-trägers «Bauingenieurwesen»). Die Kosten von Fächern, die Leistungen zugunsten mehrerer Studiengänge anbieten (Beispiel: das Fach «Mathematik» sowohl für den Studiengang «Chemie» wie für «Physik»), werden proportional zur Anzahl der Stu-dierenden verteilt. Analoges gilt für Freifächer. Zwischen Fach und Studiengang besteht damit die folgende matrizielle Beziehung:

Studiengang 1

Fach 1

Studiengang 2

Fach 2

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Figure 7: Attribution des coûts des branches aux filières d’études

Abbildung 7: Zuweisung der Kosten von Fächern auf Studiengänge

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6.1 Modularisation

L’introduction du système en deux cycles bacherlor / master va entraîner une modularisation accrue des filières d'études HES; les classes, en tant que telles, disparaissent pour des raisons organisationnelles. Les étudiants s’inscrivent désormais dans des modules et ne sont plus attribués à des classes. Les modules peuvent être suivis par des étudiants de différentes filières d'études. L’objectif du calcul des coûts demeure l’établissement des coûts par filière d'études (subdivisée en cycles bachelor et master) et des coûts par étudiants. Chaque HES choisit librement la manière d’atteindre cet objectif, de situer le calcul de coûts au niveau des modules aux fins de pilotage et de constituer des centres de coûts ou des objets de coûts.

Les démarches des HES dans ce domaine sont régies par les principes suivants: – les coûts individuels des modules sont répartis sur les filières d'études au pro rata du nombre d’étudiants;

– la répartition des frais généraux s’effectue en fonction de la clé de répartition recommandée au chap. 9.

6.1 Modularisierung

Mit dem Studienmodell Bachelor / Master werden die Studiengänge vermehrt modu-larisiert angeboten; die Klassen fallen als organisatorische Einheit weg. Die Studie-renden schreiben sich in Module ein und sind nicht mehr einer Klasse zugeordnet. Die Module können von Studierenden aus verschiedenen Studiengängen belegt wer-den. Ziel der Kostenrechnung bleibt weiterhin, die Kosten pro Studiengang (unterteilt nach Bachelor und Master) und die Kosten pro Studierenden auszuweisen. Es ist jede Fachhochschule frei, wie sie das Ziel, die Kosten pro Studiengang und Studie-renden abzubilden, erreichen will. Es ist auch ihr Entscheid, ob sie die Kostenrech-nung auf Modulebene zu Steuerungszwecken einsetzen will. Auch ist es ihr über-lassen, ob sie dafür Kostenstellen oder Kostenträger bilden will.

Davon unabhängig sind folgende Grundsätze einzuhalten: – Die Einzelkosten der Module werden proportional zur Studierenden-Belegung auf die Studiengänge zugeteilt.

– Die Umlage der Gemeinkosten erfolgt gemäss den empfohlenen Umlageschlüsseln in Kapitel 9.

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7. Infrastructure

Les raisons d’être de ce chapitre sont les suivantes: – déterminer clairement les bases pour calculer les coûts d’infrastructure et leur attribution dans le calcul des contributions à la couverture;

– s’assurer que les coûts sont complets, selon les principes de l’économie d’en-treprise, dans le calcul des coûts et du rapport destiné au SEFRI;

– assurer la comparaison entre les données (standardisation) dans la perspective du benchmarking (coûts par étudiant de la filière d’études XY);

– assurer le financement de la consommation effective en terme de valeur des installations (pour éviter les manques de liquidités par suite d’amortissements trop élevés ou trop faibles).

Le principe suivant est valable en l’occurrence: dans le calcul des coûts à la couverture, les coûts d’infrastructure doivent être équilibrés et les produits répartis en conséquence.

7.1 Coûts d’infrastructure «immobilier» et coûts d’infrastructure «exploitation»

Font partie de l’infrastructure les terrains, bâtiments, installations (équipements) et l’entretien afférent. Selon l’organisation responsable de la haute école spécialisée, l’infrastructure est traitée de manière différente, si bien qu’une harmonisation n’est pas envisageable pour l’heure. Afin d’obtenir à l’échelle de la Confédération une base de comparaison et de benchmarking, on distingue pour le calcul CC à l’intention de la Confédération:

A. Coûts d’infrastructure «immobilier» Bâtiments/LocationsLa Confédération paie séparément des subventions d’investissement pour per-mettre l’acquisition, la construction et la transformation de bâtiments, ainsi que leur équipement initial. Les subventions sont versées pour des projets cohérents, bien définis sur le plan spatio-temporel et dépassant 300'000 francs. La factura-tion des coûts imputables est régie par les directives servant à la détermination des subventions fédérales à la construction (directives CSC ou directives de détermination des subventions1).

Pour autant que les bâtiments ou les locaux loués ne sont pas déjà cofinancés par la Confédération à titre d’investissements liés à la construction, les subventions fédérales destinées à la location d’objets loués par des tiers (coûts des objets en location) sont établies séparément.

C’est pour cette raison que les coûts listés ci-après sont établis séparément et non indiqués aux niveaux CC 1 à 5: – locations de bâtiments; – amortissements d’investissements liés à la construction; – intérêts (hypothèques, droits de superficie, prêts); – intérêts calculés.

B. Coûts d’infrastructure «exploitation» (CC 1 à 5)ÉquipementSont considérés comme équipement les machines, les appareils, le mobilier, l’infrastructure informatique, etc. Ils sont amortis aux niveaux CC 1 à 5.

Équipements loués ou en leasingLes coûts liés aux équipements loués ou en leasing dont les HES ont besoin sont répartis entre les niveaux CC 1 à 5 dans le calcul des coûts.

7. Infrastruktur

Zweck dieses Kapitels ist das: – Festlegen klarer Grundlagen für die Berechnung des Infrastrukturaufwandes und dessen Zuweisung in der Deckungsbeitragsrechnung.

– Gewährleisten der Vollständigkeit der betriebswirtschaftlichen Kosten in der SBFI-Kostenrechnung und -Berichterstattung.

– Sicherstellen der Vergleichbarkeit der Daten (Standardisierung) im Zusammen-hang mit dem Benchmarking (Kosten je Studierenden des Studienganges XY).

– Sicherstellung der Finanzierung des effektiven Wertverzehrs der Anlagen (Vermeiden von Finanzierungslücken als Folge von hohen Direktabschreibungen oder ungenügenden Abschreibungen).

Grundsatz: Infrastrukturkosten sollten in der DB-Rechnung ausgeglichen sein und die Erträge entsprechend aufgeteilt werden.

7.1 Bauliche und betriebliche Infrastrukturkosten

Zur Infrastruktur gehören das Land, Gebäude, Einrichtungen (Ausstattung) und der dazugehörige Unterhalt. Infrastruktur wird je nach Träger der Fachhochschulen individuell behandelt und eine Harmonisierung ist zur Zeit nicht möglich. Damit auf Bundesebene ein Vergleich bzw. ein Benchmarking möglich ist, wird für die DB-Rechnung zuhanden des Bundes wie folgt unterschieden:

A. Bauliche Infrastrukturkosten Gebäude/MieteFür den Erwerb, die Erstellung und den Umbau von Bauten einschliesslich der Erstausstattung bezahlt der Bund separat Investitionsbeiträge. Beiträge werden für zusammenhängende, zeitlich und räumlich klar abgrenzbare Vorhaben gewährt, die 300'000 Franken übersteigen. Die Berechnung der anrechenbaren Kosten für die Subventionierung sind in den Richtlinien für die Bemessung der Bausubven- tionen des Bundes (BSK-Richtlinien1) geregelt.

Sofern Gebäude oder gemietete Räume nicht bereits als bauliche Investition vom Bund mitfinanziert worden sind, werden Beiträge an Fremdmieten (Raumkosten) separat ausgerichtet.

Aus diesen Gründen werden die folgenden Kosten separat und nicht in den DB-Stufen 1– 5 ausgewiesen: – Mieten von Gebäuden – Abschreibungen auf baulichen Investitionen – Hypothekar-, Baurechts- oder Darlehenszinsen – kalkulatorische Zinsen

B. Betriebliche Infrastrukturkosten (DB 1– 5)AusstattungZur Ausstattung gehören Maschinen, Apparate, Geräte, Mobilien, IT-Infrastruktur etc. Diese werden in den DB-Stufen 1– 5 abgeschrieben.

Gemietete / geleaste AusstattungenDie Kosten für gemietete oder geleaste Ausstattungen, welche von der FH genutzt werden, werden in der Kostenrechnung unter DB 1– 5 ausgewiesen.

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1 Diese können beim Bundesamt für Bauten und Logistik, Sektion Gutachten, Holzikofenweg 36, 3003 Bern, bezogen werden.

1 Ces directives peuvent être commandées auprès de l’Office fédéral des constructions et de la logistique, Section des expertises, Holzikofenweg 36, 3003 Berne.

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C. Entretien et réparationsSelon l’organisation responsable prise en compte, l’entretien servant à maintenir ou à accroître la valeur de l’objet immobilier est considéré soit comme un inves-tissement, soit comme une charge courante. C’est pourquoi il n’est pas possible pour l’instant de procéder à une harmonisation dans ce domaine. Pour l’heure, il s’agit donc de distinguer, aux fins de comparaison des niveaux CC entre les hautes écoles, entre les coûts d’exploitation et les coûts d’entretien des bâtiments et des alentours. La comparaison des coûts devrait en particulier pouvoir se faire indépendamment du fait qu’il s’agit de biens loués ou en propriété, de bâtiments neufs ou anciens, entourés ou non de terrains. De ce fait, il est souhaitable que les subdivisions ci-après soient appliquées dans les domaines de l’entretien et de l’exploitation:

Entretien / Exploitation rencontrés en général uniquement en propriété (coûts d’infrastructure liés à la construction)Font partie de l’entretien d’une construction:la maintenance, la remise en état et la rénovation (voir aussi les directives CSC).

Font partie de l’exploitation: – l’entretien des environs et des installations autour du bâtiment; – l’entretien des façades; – les domaines annexes (internat, parkings, places de parc); – les contrats de maintenance (ascenseurs, groupes électrogènes, sécurité), – assurrances immobilières.

Entretien / Exploitation rencontrés dans le cas d’objets loués ou en propriété (coûts d’infrastructure liés à l’exploitation: CC 1 à 5)Font partie de ces coûts: – le nettoyage des locaux; – la maintenance des locaux; – l’eau et l’électricité; – l’exploitation des locaux scolaires, des laboratoires, etc.

Font partie des équipements à entretenir, à exploiter, à maintenir en état de marche ou à réparer – les machines, les appareils, les engins, les installations, l’infrastructure informa-tique (par ex. maintenance des logiciels et des matériels informatiques, réparation de machines, etc.).

La figure 8 suivante fournit un récapitulatif utile de ce qui précède.

C. Unterhalt / ReparaturenUnterhalt mit werterhaltendem oder wertvermehrendem Charakter wird individuell nach Träger als Investition oder über die laufende Rechnung abgewickelt. Aus diesem Grund ist eine Harmonisierung zur Zeit nicht möglich. Vorerst gilt es des-halb die Kosten für den Vergleich DB1 – 5 zwischen den Hochschulen bei den Betriebs- und Unterhaltskosten für Gebäude und Aussenbereich näher zu unter-scheiden. Insbesondere sollte der Kostenvergleich unabhängig ob Miete oder Eigentum, ob neues oder altes Gebäude, ob mit grossem oder kleinem Umschwung möglich sein. Daher sollte in den Schulen wo möglich folgende Unterteilung in den Bereichen Unterhalt und Betrieb vollzogen werden:

Unterhalt Bau / Betrieb, der in der Regel nur bei Eigentum anfällt (Bauliche Infrastrukturkosten)Zum Unterhalt Bau gehören:die Instandhaltung, Instandsetzung und Erneuerung eines Gebäudes (siehe auch BSK-Richtlinien).

Zum Unterhalt Betrieb, der in der Regel nur bei Eigentum anfällt: – Unterhalt Umschwung, Aussenbereich – Unterhalt Fassaden – Nebenbetriebe (Internat, Parkhäuser, Parkfelder) – Wartungsverträge von baulichen Installationen (Lift, Stromaggregate, Sicherheit) – Gebäudeversicherungen

Unterhalt / Betrieb bei Miete / Eigentum (Betriebliche Infrastrukturkosten: DB1– 5)Darunter fallen insbesondere: – Reinigung der Räumlichkeiten – Instandhaltung der Räumlichkeiten – Elektrizität / Wasser – Betrieb Schulräumlichkeiten, Labors etc.

Unterhalt / Betrieb / Wartung / Reparatur von Ausstattung – Maschinen, Apparate, Geräte, Einrichtungen, IT-Infrastruktur (z.B. Software- und Hardwarewartung, Reparatur von Maschinen)

Die nachfolgende Abbildung 8 gibt nochmals zusammengefasst eine Übersicht.

Page 34: Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen Comptabilité ...

Infrastructure / Investissements

Entretien / Réparation

Coûts d’infrastructure «immobilier»

Coûts d’infrastructure «immobilier»

Coûts d’infrastructure «exploitation»

Coûts d’infrastructure «exploitation» CC 1 à 5

Amortissements / Intérêts: Infrastructures Amortissements / Intérêts: CC 1 à 5

Équipement

Bâtiments

Locations Locations / Leasings

Coûts de location Coûts de location / Frais de leasing

Investissements immobiliers (acquis., constr., transformation)

y c. équipement initial > 300'000 francs Subventions du SEFRI pSubventions pour l’objet

Investissements immobiliers, y c. équipement initial < 300'000 francs

Aucune subvention du SEFRI

Bâtiments Bâtiments

Entretien des constructionsMaintenance, remise en état et rénovation (conformément aux directives CSC ou di-

rectives de détermination des subventions)Aucune subvention du SEFRI

Entretien courant / Exploitationeffectué(e) par les écoles dans les bâtiments loués ou en propriété

Maintien de la valeur foncière – conser-vation ou remise en état d’un bâtiment n’impliquant pas des modifications im-

portantes des exigences (assainissement/ rénovation)

Nettoyage des locaux, Maintenance des locaux, Eau / Électricité, Exploitation des

salles de cours et des laboratoires, etc.

Bâtiment avec alentours

Entretien courant / Exploitationeffectué(e) uniquement par les écoles

sur les biens fonciers en propriété.(si location, inclus dans les coûts

de location)

Entretien, alentours, parties extérieures, Entretien des façades, Domaines annexes

(internat, pl. de parc),Exploitation d’installation (ascenseurs)

Équipement

Entretien / Réparation

Investissements d’équipementMachine, appareils, engins, etc.

Aucune subvention du SEFRI (dès 2003)

Nettoyage, Maintenance, Réparation, Entretien, etc.

Infrastruktur/Investitionen

Unterhalt / Reparaturen

Bauliche Infrastrukturkosten

Bauliche Infrastrukturkosten

Betriebliche Infrastrukturkosten

Betriebliche Infrastrukturkosten DB 1 – 5

Abschreibungen/Zinsen: Infrastruktur

Gebäude mit Umgebung

Abschreibungen/Zinsen: DB 1 – 5

Ausstattung

Gebäude

Miete

Gebäude

Miete / Leasing

Gebäude

Mietkosten Mietkosten / Leasinggebühr

Bauliche Investitionen (inkl. Erstausstattung)

Erwerb, Erstellung, Umbau grösser CHF. 300'000Beitrag SBFI -> Objektbeitrag

Laufender Unterhalt / Betriebder nur bei Gebäudeeigentum von den

Schulen erbracht wird.(bei Miete in den Mietkosten enthalten

Unterhalt BauInstandhaltung, Instandsetzung und Er-

neuerung (gemäss BSK-Richtlinien), kein Beitrag SBFI

Laufender Unterhalt / Betriebder sowohl bei Gebäudemiete

wie -eigentum von den Schulen erbracht wird

Werterhaltender Charakter – Bewahren oder Wiederherstellen eines Bauwerks ohne wesentliche Änderungen der An-

forderungen (Sanierungen / Renovationen)

Reinigung Räumlichkeiten, Instandhaltung Räumlichkeiten, Elektrizität / Wasser

Betrieb der Schulräume, Labors, etc.

Bauliche Investitionen kleiner CHF. 300'000

kein Beitrag SBFI

Unterhalt Umschwung, Aussenbereich,Unterhalt Fassaden,

Nebenbetrieb (Internat, Parkfelder),Betrieb von Installationen (Lift)

Ausstattung

Unterhalt / Reparatur

AusstattungsinvestitionenMaschinen, Apparate, Geräte etc.

kein Beitrag SBFI (ab 2003)

Reinigung, Wartung, Reparatur, Unterhalt, etc.

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen64 65

Figure 8: Récapitulatif «Infrastructures / Entretien»Abbildung. 8: Übersicht Infrastruktur / Unterhalt

Page 35: Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen Comptabilité ...

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen66 67

8. Gestion des installations

Raisons d’être de la gestion des installations – Assurer le contrôle de la valeur en capital inscrite au bilan au moyen d’un inven-taire (liste détaillée avec indication de la valeur) et attester de l’existence des installations;

– avoir une vue d’ensemble des installations aux fins de règlement des questions d’assurance (couverture, plafond en cas de dégâts);

– servir de documentation pour planifier les investissements et les coûts, et pour gérer l’entretien et le remplacement des éléments défectueux;

– constituer la base de calcul des coûts d’économie d’entreprise (intérêts calculés et amortissements) de la valeur en capital.

Investissements corporels (installation en propriété)Les propres installations saisies et gérées dans la comptabilité des installations doivent remplir les critères suivants:1. elles appartiennent à l’école;2. elles ont une valeur de vente;3. elles ont une durée de vie supérieure à une année;4. elles ont une valeur d’achat ou de fabrication, facultativement supérieure ou

égale à 5000 francs et obligatoirement supérieure ou égale à 50'000 francs.

Biens immatériels (installations en propriété)Font aussi partie des installations les investissements de biens immatériels dont la valeur d’achat ou de fabrication, facultativement supérieure ou égale à 5000 francs et obligatoirement supérieure ou égale à 50'000 francs et qui présentent une utilité future mesurable répondant également aux critères 1 à 3 énumérés précédemment, notamment: – le développement de nouvelles compétences (nouvelles filières d’études condui-sant au diplôme et d’études postgrades)

– les projets de recherche; – le développement de logiciels; – les droits sur les brevets et droits analogues.

Comptabilité des installationsLa tenue de la comptabilité des installations constitue le fondement pour remplir les exigences légales en matière de contrôle du financement des investissements liés aux installations (suppression des subventions relatives aux investissements liés à l’équipement dès 2003).

Les taux d’amortissement doivent tenir compte de la durée d’utilisation et être calculés en fonction de la valeur brute à l’achat (compte actif avec justificatif de la valeur). Il convient de tenir une feuille d’amortissement par groupe d’installations.

Capitalisation dans l’optique de l’économie d’entreprise (durée d’utilisation et amortissement)Principe d’enregistrement à l’actif: – le principe du montant brut est appliqué; – l’actif est enregistré au moment de la réception de la production ou de l’utilisation effective de l’investissement;

– la capitalisation est calculée en fonction du prix d’achat ou de la valeur de fabrication de l’installation, prestations internes comprises.

La figure 9 ci-après offre un récapitulatif de l’évaluation, de la capitalisation et des amortissements de l’ensemble des investissements et signale où ceux-ci doivent figurer dans les calculs CC remis à la Confédération.

8. Anlagenbewirtschaftung

Ziel und Zweck der Anlagenbewirtschaftung – Nachweis aller bilanzierter Vermögenswerte mittels Inventar (Detaillierte Auf- listung mit Bewertung) sicherzustellen, und das Vorhandensein der Anlagegüter nachzuweisen.

– Die Anlagenübersicht dient für versicherungstechnische Überlegungen (Deckung, Schadenhöhe).

– Sie ist Planungsunterlage für die Investitions- und Kostenplanung, sowie für Unterhalt und Ersatz.

– Sie bildet die Grundlage für die Berechnung von betriebswirtschaftlichen Kosten (kalkulatorische Zinsen und Abschreibungen) des Anlagevermögens.

Sachinvestitionen (Eigene Anlagen)Die eigenen Anlagen, welche in der Anlagebuchhaltung erfasst und bewirtschaftet werden, erfüllen die folgenden Kriterien:1. Sie sind im Eigentum der Schule2. Sie weisen einen Veräusserungswert auf3. Sie haben eine Lebensdauer von mehr als einem Jahr4. Anschaffungs- oder Erstellungswert optional ab 5000 Franken, zwingend ab

50'000 Franken

Immaterielle Güter (Eigene Anlagen)Zu den Anlagen gehören auch Investitionen in immaterielle Güter, deren Anschaf-fungs- oder Erstellungswert optional ab 5000 Franken, zwingend ab 50'000 Franken einen messbaren zukünftigen, wirtschaftlichen Nutzen aufweisen und die voran-gehend erwähnten Kriterien 1 bis 3 erfüllen. – Entwicklung neuer Kompetenzen (neue Diplom- oder Nachdiplomstudiengänge) – Forschungsprojekte – Softwareentwicklungen – Patentrechte und dergleichen

AnlagebuchhaltungDie Führung einer Anlagebuchhaltung bildet die Grundlage zur Erfüllung der ge-setzlichen Anforderungen bezüglich Nachweis der Finanzierung der Ausstattungs-investitionen (Wegfall der Beiträge für Ausstattungsinvestitionen ab 2003).

Die Abschreibungssätze haben sich nach der Nutzungsdauer zu richten und sind vom Anschaffungswert aus zu berechnen. In der Finanzbuchhaltung sind die An-lagewerte Brutto darzustellen (Aktivkonto mit Wertberichtigung). Pro Anlagegruppe ist eine Abschreibungstabelle zu führen.

Betriebswirtschaftliche Aktivierung (Nutzungsdauer und Abschreibung)Aktivierungsgrundsätze: – Es wird das Bruttoprinzip angewandt – Aktiviert wird auf den Zeitpunkt der Produktionsaufnahme / Nutzung der Investition – Aktiviert wird der Kaufpreis beziehungsweise Erstellungswert der Anlage inklusive der intern erbrachten Leistungen

Die nachfolgende Abbildung 9 gibt eine Übersicht über die Bewertung, Aktivierung und Abschreibungen sämtlicher Investitionen und zeigt, wo sie in der DB-Rechnung zuhanden des Bundes dargestellt werden.

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen68 69

Bauliche Investi- tionen1

Ausstattungs-Investitionen

Weitere Investitionen

Gebäude Produkt-, Markt-, Orga-nisationsent-wicklung

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Bewertung / Aktivierung zu

Anschaffungswerten oder X X X X X X X X

Gebäudeversicherungswerten (X) (X) (X)

Abschreibungen

Direkt abschreiben X X

Linear nach Nutzungsdauer: X X X X X X

– 2 – 4 %: Gebäude X X X

– 5 – 20 %: Einrichtungen / Mobilien X X

Büromaschinen / Geräte

– 25 – 50 %: Immaterielle Anlagen X X X

(Server / Software, Personalcomputer)

– 00 %: Nicht abschreiben X

Zinsen

Effektiv bezahlte Zinsen (Hypothekar-, Baurechts- oder Darlehenszinsen) oder

X X X X

Kalkulatorische Zinsen (i.d.R. 5 %) Berechnet vom halben Anschaffungswert oder

X X X

Berechnet vom Restwert X X X X X

Darstellung auf DB-Stufe 3

DB-Stufe 1 bis 5 X X X X X

Im Bereich Infrastrukturkosten X X X X X

Abbildung 9: Behandlung der Investitionen1 Erwerb, Erstellung, Umbau (inkl. Erstausstattung)

2 Unterhalt Bau: Instandhaltung, Instandsetzung und Erneuerung

3 In den Mietkosten enthaltene Bestandteile für: – Verwaltungskosten (inkl. Marge des

Vermieters) – Betriebskosten – Hauswart – Energie + Entsorgung – Kleiner Unterhalt

4 Nur bis Ende 2002

1 Acquisition, construction, transformation (y c. équipement initial)

2 Entretien des constructions: Maintenance, remise en état et rénovation

3 Frais compris dans les coûts de location: – Coûts de gestion (y c. marge du loueur) – Coûts d’exploitation – Conciergerie – Énergie et élimination des déchets – Entretien courant

4 Valable uniquement jusqu’à fin 2002

Investissements immobiliers1

Investissement d’équipement

Autres inves-tissements

Bâtiments Développement de produits, de marchés, d’organisation

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Évaluation / Capitalisation aux

valeurs d’achat ou X X X X X X X X

valeurs d’assurance des bâtiments (X) (X) (X)

Amortissements

Amortissement direct X X

Amortissement linéaire en fonction de la durée d’utilisation:

X X X X X X

– de 2 à 4 %: Bâtiments X X X

– de 5 à 20 %: Équipements, mobilier, X X

machines de bureau, appareils,

– de 25 à 50 %: Installations immatérielles X X X

(serveurs, logiciels, ordinateurs personnels)

– 00 %: Objets non amortis X

Intérêts

payés effectivement (hypothèques, droits de superficie, prêts) ou

X X X X

calculés (généralement 5 %). Calculés sur la moitié de la valeur d’achat ou

X X X

sur la valeur résiduelle X X X X X

Représentation au niveau CC 3

niveau CC 1 à 5 X X X X X

dans le domaine des coûts d’infrastructure X X X X X

Figure 9: Traitement des investissements

Page 37: Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen Comptabilité ...

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen70 71

9. Calcul détaillé des contri- butions à la couverture

9.1 Récapitulatif

Le tableau ci-dessous rassemble des données sur le calcul des contributions à la couverture, les centres de coûts et les clés de répartition:

Niveau de la contribution à la couverture (CC)

Coûts par nature

Coûts directs

Coûts indirects

Centre de coûts Clé de répartition

Produits

./. Coûts de personnel de la filière d’études ou du domaine d’étude

Coûts indivi-duels

Coûts directsindivi-duels

Coûts indirects du centre de coûts des branches générales (langues, culture, etc.)

Coûts indirects du centre de coûts des prestations interdisciplinaires (formation continue, recherche appliquée et déve-loppement, prestations de services)

Nombre d’étudiants

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant ou de recherche

– Rapports et analyses périodiques

./. Coûts de matériel en liaison avec la filière d’études ou le domaine d’étude

Coûts indivi-duels

Coûts directsindivi-duels

Coûts indirects du centre de coûts des branches générales (langues, culture, etc.)

Coûts indirects du centre de coûts des prestations interdisciplinaires (formation continue, recherche appliquée et déve-loppement, prestations de services)

Nombre d’étudiants

– Saisie des prestations ou des coûts dupersonnel enseignant ou de recherche

= CC 1

./. Coûts de personnel et de matériel de la plus petite unité, section, départe-ment, établissement partenaire, haute école spécialisée, holding

Coûts géné-raux

-- Selon les besoins et les circonstan-ces liés à la haute école spécialisée: CC-2/3/4/5

Coûts indirects du centre de coûts «centre de calcul / informatique»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

Coûts indirects du centre de coûts «laboratoires généraux»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Rapport d’utilisation

Coûts indirects du centre de coûts «bibliothèque/ médiathèque»

– Nombre d’étudiants (uniquement ceux étudiant afin d’obtenir un diplôme)

Coûts indirects du centre de coûts «prestations interdisciplinaires»

– Saisie des prestations et des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / Analyse de la situation à divers moments

Coûts indirects liés au centre de coûts «reprographie»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

Centre de coûts «direction / administra-tion du domaine d’étude, de la section, de l’école»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

Centre de coûts «service technique et logistique»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

Centre de coûts «bâtiments, entretien»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Rapport d’utilisation

Centre de coûts «cafétéria, cantine» – Rapport d’utilisation – Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

Centre de coûts «direction / administra-tion de la holding»

– Saisie des prestations ou des coûts du personnel enseignant et de recherche

– Analyse temporelle / analyse de la situation à divers moments

= CC 5

9. Die detaillierte Deckungs- beitragsrechnung

9.1 Überblick

Die folgende Darstellung zeigt zusammenfassend eine Gegenüberstellung von Deckungsbeitragsrechnung, Kostenstellen und Umlageschlüssel:

Deckungsbeitragsstufe Kosten-typ

DirekteKosten

Indirekte Kosten

Kostenstelle Umlageschlüssel

Erträge

./. Personalkosten Studiengang / Fachbereich

Einzel-kosten

DirekteEinzel-kosten

Indirekte Kosten Kostenstelle für allge-meine Fächer (Sprachen, Kultur, usw.)

Anzahl Studierende

Indirekte Kosten Kostenstelle für inter-disziplinäre Leistungen (Weiterbildung, angewandte F&E, Dienstleistungen)

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr-/Forschungspersonal – Zeitrapporte/-analysen

./. Sachkosten Studiengang / Fachbereich

Einzel-kosten

DirekteEinzel-kosten

Indirekte Kosten Kostenstelle für allge-meine Fächer (Sprachen, Kultur, usw.)

Anzahl Studierende

Indirekte Kosten Kostenstelle für inter-disziplinäre Leistungen (Weiterbildung, angewandte F&E, Dienstleistungen)

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr-/ Forschungspersonal

= DB 1

./. Personal- und Sachkosten kleinste Einheit, Abteilung, Departement/Hochschule/Teilschule,Fachhochschule/Holding

Gemein-kosten

-- je nach Bedürfnisse und Gegebenhei-ten der Fachhochschule: DB-2/3/4/5

Indirekte Kosten Kostenstelle Rechen-zentrum/Informatik

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Indirekte Kosten Kostenstelle allgemeine Labors

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Nutzungsrapport

Indirekte Kosten Kostenstelle Bibliothek / Mediathek

– Anzahl Studierende (nur Diplom)

Indirekte Kosten Kostenstelle für inter-disziplinäre Leistungen

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Indirekte Kosten Kostenstelle Kopier-dienst

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Kostenstelle Verwaltung / Administration Fachbereich, Abteilung, Schule

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Kostenstelle technischer Dienst, Logistik – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Kostenstelle Gebäude, Unterhalt – Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Nutzungsrapport

Kostenstelle Cafeteria, Mensa – Nutzungsrapport – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

Kostenstelle Direktion / Administration Holding

– Leistungserfassung oder Kosten Lehr- / Forschungspersonal – Zeitanalysen / Multimomentaufnahmen

= DB 5

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

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état décembre 2006

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Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen72 73

Bei der Verwendung von Verteilerschlüsseln werden folgende Grundsätze beachtet: – Alle Kosten, die direkt mit der Leistungserbringung zusammenhängen, wer-den den Kostenträgern oder direkt den Kostenträgern zugeordneten Kosten-stellen zugewiesen.

– Für die Fälle, in denen eine direkte Zuweisung nicht möglich ist, erfolgt die Verteilung anhand der Personaleinzelkosten (Prinzip der Minimalanforderung).

– Abweichende Schlüssel können von den Pädagogischen Hochschulen ver-wendet werden, solange sie die Kostenwahrheit besser widerspiegeln (z.B. Quadratmeter für die Verteilung der Infrastrukturkosten). Somit wird eine methodische Harmonisierung gewährleistet bei gleichzeitiger Berücksichti-gung der lokalen Besonderheiten der Hochschulen. Es müssen so viele Schlüssel wie nötig definiert werden, so wenige wie möglich. Die Schlüssel müssen nachvollziehbar und transparent beschrieben werden.

Die folgende Tabelle enthält Empfehlungen für die Verteilschlüssel:

Personaleinzelkosten der «Kostenstel-len für allgemeine Fächer»

Es handelt sich um studiengangsübergreifende Fächer. Beispiel: Kostenverteilungen auf studiengangsübergrei-fende Modulpools bzw. Fächer. Sie werden anhand der Anzahl Studierender auf alle Studiengänge der Ausbildung inkl. Erweiterungsstudien verteilt.

Sacheinzelkosten der «Kostenstellen für allgemeine Fächer»

Beispiele: Fachkredite für die Materialbewirtschaftung oder Entschädigung der Reisekosten der Dozierenden. Sie werden anhand der Anzahl Studierender auf alle Studiengänge der Ausbildung inkl. Erweiterungsstudien verteilt.

Personal- und Sacheinzelkosten «Kostenstellen für interdisziplinäre Leistungen»

Diese Kategorie ist in der Regel für die PHs nicht rele-vant. Sollte eine PH solche Kostenstellen haben, wer-den sie anhand der direkten Personalkosten auf alle Kostenträger verteilt.

Gemeinkosten der Kostenstelle Infor-matik

Beispiel: Informatiksupport für die Mitarbeitenden der Hochschule. Die Kosten werden auf die Kostenträger anhand der Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.

Gemeinkosten der Kostenstelle Ver-waltung/Administration Fachbereich, Abteilung, Hochschule

Beispiele: – Zentrale Studienadministration – Kanzlei – Studienberatung – Verwaltung der Grundausbildungsstudiengänge – Institutsleitungen – Zentrale Dienste und Rektorat – Schulrat und Schulleitung – Deckungsdifferenzen (Saldo aus der Lohnkosten-verrechnung)

– Umlagen des Zentralsitzes der FH / HoldingDie Kosten werden auf die Kostenträger anhand der Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.

Kostenstellen technische Dienste, Logistik, Gebäudeunterhalt

Es handelt sich um die betrieblichen Infrastrukturkosten gem. Abbildung 8 im Kap. 7. Die baulichen Infrastruk-turkosten werden hingegen in einer höheren DB-Stufe (z.B. DB-Stufe 6) ausgewiesen.Die Kosten werden auf die Kostenträger anhand der Personaleinzelkosten (DB-Stufe 1) verteilt.

Voici les principes à suivre pour l’emploi de clés de répartition: – Tous les coûts directement liés à la fourniture d’une prestation sont soit attribués directement aux objets de coûts, soit attribués aux centres de coûts rattachés aux objets de coûts.

– Lorsqu’une attribution directe n’est pas possible, les coûts sont répartis au prorata des coûts directs de personnel (principe de l’exigence minimale).

– Une HEP peut employer d’autres clés pour autant que celles-ci expriment mieux la réalité des coûts (p.ex. mètres carrés pour la répartition des coûts d’infrastructure). De cette manière, si les méthodes sont harmonisées, les spécificités de chaque HEP sont néanmoins aussi respectées. Les clés doivent être aussi peu nombreuses que possible, mais aussi nombreuses qu’il le faut. Elles doivent être décrites de manière transparente et facile à comprendre.

Le tableau suivant présente des recommandations plus détaillées concernant les clés de répartition.

Coûts indirects de personnel du «cen-tre de coûts des branches générales»

Les branches générales sont des branches communes à plusieurs filières. Exemple: des coûts concernent des groupes de modu-les communs à plusieurs filières ou des branches com-munes à plusieurs filières. Ces coûts sont ventilés sur l’ensemble des filières (y compris les études menant à une qualification additionnelle) en fonction du nombre d’étudiants.

Coûts indirects de matériel du «centre de coûts des branches générales»

Exemples: crédit pour la commande de matériel, indemnisation des frais de voyage des enseignants. Les coûts sont ventilés sur l’ensemble des filières (y compris les études menant à une qualification additi-onnelle) en fonction du nombre d’étudiants.

Coûts indirects de personnel et de matériel du «centre de coûts des pres-tations interdisciplinaires»

Cette catégorie ne concerne en principe pas les HEP. Si une HEP devait avoir un tel centre de coûts, les coûts correspondants sont répartis au prorata des coûts directs de personnel sur tous les objets de coûts.

Coûts généraux du centre de coûts «informatique»

Exemple: support informatique pour le personnel de la haute école. Les coûts sont ventilés sur les objets de coûts au prorata des coûts de personnel individuels (niveau de couverture CC 1).

Coûts généraux du centre de coûts «direction / administration du domaine d’étude, de la section, de la haute école»

Exemples: – Administration centrale des étudiants – Chancellerie – Conseil aux étudiants – Administration des filières de formation – Direction des instituts – Services centraux et rectorat – Conseil de la HEP / Direction de la HEP – Différences de couverture (solde restant lors de la comptabilisation des salaires)

– Répartition provenant de la HES / de la holdingLes coûts sont ventilés sur les objets de coûts au prorata des coûts de personnel individuels (niveau de couverture CC 1).

Coûts généraux des centres de coûts «service technique et logistique» et «entretien des bâtiments»

Il s’agit des coûts d’infrastructure «exploitation» au sens de la figure 8, chapitre 7. Les coûts d’infrastructure «immobilier» doivent quant à eux être indiqués dans un niveau de couverture supérieur (p.ex. niveau 6).Les coûts sont ventilés sur les objets de coûts au prorata des coûts de personnel individuels (niveau de couverture CC 1).

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen74 75

9.2 Directives sur le calcul détaillé des contributions à la couverture

A. ProduitsLes calculs agrégés des contributions à la couverture figurant au point 3.6. indiquent quels sont les types de produits qu’il faut mentionner pour les différents objets de coûts.Il faut faire figurer les produits attendus au cours de l’année correspondante. Les produits qui n’ont pas encore été réalisés au cours de cette année seront inclus au niveau du résultat par la formation d’actifs transitoires. Les produits suivants sont pris en compte:

ED FC Ra&D PS

Subventions forfaitaires par étudiant versés par le SEFRI X

Taxes d’études AHES (à l’intérieur de la région des organes scolaires responsables)

X

Taxes d’études AHES (à l’éxtérieur de la région des organes scolaires responsables)

X

Taxes d’études forfaitaires X X X

Produits de tiers X X X X

Autres produits X X X X

Autres subventions versées par la Confédération X X X X

Subventions versées par la CTI X

Subventions versées par le FNS X

Recettes provenant des programmes de recherche de l’UE et d’autres programmes de recherche internationaux

X

Autres subventions versées par le SEFRI X X

Financement du solde par les organes scolaires responsables de la formation (sans les coûts d’infrastructure)

X (X) X (X)

Légende:ED = Études conduisant au diplôme FC = formation continueRa&D = Recherche appliquée et développement PS = Prestation de services

Explications relatives aux rubriques du tableau ci-dessus: – Subventions forfaitaires par étudiant versées par le SEFRI: contributions de base versées par la Confédération pour l’enseignement selon l’art. 19, al. 2a, LHES.

– Taxes d’études AHES (à l’intérieur de la région des organes scolaires respon-sables): dans le cadre de l'Accord intercantonal sur les hautes écoles spéciali-sées, contributions versées par les cantons situés à l’intérieur de la région de l’organe responsable de la haute école.

– Taxes d’études AHES (à l’éxtérieur de la région des organes scolaires respon-sables): dans le cadre de l'Accord intercantonal sur les hautes écoles spéciali-sées, contributions versées par les cantons situés à l’extérieur de la région de l’organe responsable de la haute école.

– Taxes d’études forfaitaires: ED: les écolages prélevés par les HES pour les filières d'études conduisant au diplôme. FC: les écolages prélevés par les HES pour les filières d'études postdiplômes (MAS, EMBA), filières d'études de formation continue (DAS) et les filières d'études sanctionnées par un certificat (CAS). PS: les écolages prélevés par les HES pour les filières d’études de formation continue, pour autant qu’il ne s’agisse pas de filières d’études MAS, EMBA, DAS ou CAS.

– Produits de tiers: ED: ressources de fondations affectées au financement d’une chaire d’ensei-gnement, au sponsoring et aux donations. FC: recettes provenant de sponsoring et de donations. Ra&D: recettes provenant de la recherche dans le secteur privé, y c. les

9.2 Wegleitung durch die detaillierte Deckungsbeitragsrechnung

A. ErträgeDie aggregierten Deckungsbeitragsrechnungen von Abschnitt 3.6. zeigen Ihnen, welche Arten von Erträgen für welche Kostenträger aufzuführen sind. Es sind die für das entsprechende Jahr zu erwartenden Erträge aufzuführen. Für das entsprechende Jahr noch nicht realisierte Erträge sind über die Bildung tran-sitorischer Aktiven erfolgswirksam zu gestalten.

Folgende Erträge werden ausgewiesen:

Bezeichnung DS WB aFuE DL

Studierendenpauschale SBFI X

Schulgelder FHV (innerhalb Trägerregion) X

Schulgelder FHV (ausserhalb Trägerregion) X

Studiengelder X X X

Erträge Dritter X X X X

Übrige Erträge X X X X

Übrige Erträge Bund X X X X

Erträge KTI X

Erträge Schweizerischer Nationalfonds X

Erträge EU- und andere internationale Forschungsprogramme X

Beiträge SBFI X X

Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastrukturkosten) X (X) X (X)

Legende:DS = DiplomstudiumWB = WeiterbildungaFuE = angewandte Forschung und EntwicklungDL = Dienstleistungen

Erklärung zur obenstehender Tabelle: – Studierendenpauschale SBFI: Grundbeiträge des Bundes für die Lehre nach Artikel 19 Absatz 2a des Fachhochschulgesetzes (FHSG) vom 6. Okt. 1995.

– Schulgelder FHV (innerhalb Trägerregion): Beiträge im Rahmen der Interkanto-nalen Fachhochschulvereinbarung (FHV), welche von Kantonen geleistet werden, die sich innerhalb der Region des Hochschulträgers befinden.

– Schulgelder FHV (ausserhalb Trägerregion): Beiträge im Rahmen der Interkan-tonalen Fachhochschulvereinbarung (FHV), welche von Kantonen geleistet werden, die sich ausserhalb der Region des Hochschulträgers befinden.

– Studiengelder: DS: Von den Fachhochschulen eingenommene Studiengebühren für Diplom- studiengänge. WB: Von den Fachhochschulen eingenommene Studiengebühren für Nach- diplomstudien (MAS, EMBA), Weiterbildungs-Diplomlehrgänge (DAS) und Zertifikatslehrgänge (CAS). DL: Von den Fachhochschulen eingenommene Gebühren für Weiterbildungs- angebote, sofern es sich nicht um MAS, EMBA, DAS und CAS handelt.

– Erträge Dritter: DS: Stiftungsgelder zur Finanzierung eines Lehrstuhles, Sponsoring, Schenkungen.WB: Erträge aus Sponsoring und Schenkungen. aFuE: Forschungserträge des privaten Sektors, inklusive Gelder aus Stiftungen und halbprivaten Unternehmen; Forschungsmandate Kantone und Gemeinden DL: Erträge aus Dienstleistungen für Private, Erträge aus Sponsoring und Schenkungen sowie Erträge aus Dienstleistungen für Kantone und Gemeinden.

– Übrige Erträge: DS; WB, DL: Prüfungsgebühren, verschiedene Verkäufe, Benutzungsgebühren, Vermögenserträge. aFuE: Abgrenzungen, Erträge nicht zuordnungsbar.

– Übrige Erträge Bund: DS: Finanzierung von Diplomstudien durch Bundesstellen.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen76 77

montants issus de fondations et d’entreprises semi-publiques, les mandats de recherche des cantons et des communes. PS: recettes provenant de prestations de services en faveur de tiers, du spon-soring et de donations et de prestations en faveur des cantons et des communes.

– Autres produits: ED, FC, PS: taxes d’examens, diverses ventes, taxes d’utilisation, revenus des biens. Ra&D: délimitations, recettes non attribuables.

– Autres subventions versées par la Confédération: ED: financement d’études sanctionnées par un diplôme par des services de la Confédération. FC: financement d’EPD ou de CPD par des services de la Confédération. Ra&D: mandats de recherche de services de la Confédération, subsides pour des projets dans le domaine de l’encouragement de la recherche «genre». ED: recettes provenant de prestations de services de la Confédération.

– Subventions versées par la CTI: y c. les programmes EUREKA et IMS, sans l’initiative CTI Start-up.

– Subventions versées par la Fonds national suisse – Subventions versées dans le cadre de programmes de recherche de l’UE et d’autres programmes de recherche internationaux

– Autres subventions versées par le SEFRI: ED: aides financières relatives aux coûts d’exploitation de filières d'études sanctionnées par un diplôme dans les domaines de la santé, du social et des arts. Subventions en vue de la formation continue des chargés de cours. Subventions pour des projets, par ex. Campus virtuel, Égalité des chances, etc. Ra&D: subventions de base pour la Ra&D.

– Financement du solde par les organes scolaires responsables de la formation (sans les coûts d’infrastructure): attributions de l’organe responsable de la haute école spécialisée. Part budgétaire cantonale allouée à la HES, subven-tions extraordinaires, subventions régulières versées par les communes des cantons responsables de HES.

WB: Finanzierung von NDS oder NDK durch Bundesstellen. aFuE: Forschungsmandate von Bundesstellen, Projektbeiträge Förderung der Geschlechterforschung. DL: Erträge aus Dienstleistungen für Bundesstellen.

– Erträge KTI: Einschliesslich EUREKA- und IMS-Programme, ohne KTI Start-Up-Initiative.

– Erträge Schweizerischer Nationalfonds – Erträge aus EU-Forschungsprogrammen und anderer internationaler Forschungsprogramme

– Beiträge SBFI: DS: Finanzhilfen an die Betriebskosten von Diplomstudiengängen in den Berei-chen Gesundheit, Soziales und Kunst. Beiträge an die Dozentenweiterbildung. Projektbeiträge wie z.B. Virtueller Campus, Chancengleichheit etc. aFuE: Grundbeiträge für aFuE.

– Restfinanzierung Schulträger (ohne Infrastruktur): Zuteilungen des Hochschul-trägers. Teil des kantonalen FH-Budgets, ausserordentliche Beiträge, regelmässige Beiträge von Gemeinden der Trägerkantone.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen78 79

B. CoûtsÀ partir des produits mentionnés, il convient d’indiquer et de soustraire les coûts pertinents à cinq niveaux CC, conformément à la figure 4 au point 3.6. De cette manière, il est possible de créer cinq types de contributions à la couverture. La dernière contribution à la couverture correspond au résultat global de la filière d’études concernée (sans les infrastructures).Il s’agit de faire figurer les coûts attendus dans l’année considérée. Les coûts accumulés, mais qui n’ont pas encore été payés au cours de l’année en question seront inclus, au niveau du résultat, par le biais de la formation de passifs transi-toires.

Voir aussi l’annexe 3 «Délimitations temporelles et matérielles…».

Niveau CC I: contribution dépassant les coûts individuelsCharges du personnel enseignant et de recherche:Les coûts découlant des activités d’une haute école spécialisée concernent à la fois le personnel enseignant, le personnel de recherche, le personnel fournisseur de prestations de service, le personnel administratif et le personnel technique. Les coûts doivent être répartis dans les catégories suivantes (catégories définies dans le système d’information des hautes écoles suisses, SIUS): – professeurs (professeurs ordinaires, professeurs assistants, recteurs, prorec-teurs) et autres chargés de cours – catégories SIUS 10 et 20;

– assistants et collaborateurs scientifiques – catégorie SIUS 30; – personnel technique (et administratif, s’il existe à ce niveau CC) – catégorie SIUS 40.

Les coûts de personnel représentent le facteur de coûts le plus important dans une haute école spécialisée. C’est la raison pour laquelle le coût des salaires n’est pas repris directement de la comptabilité financière dans le calcul des coûts, mais qu’il est déterminé en fonction du temps de travail effectif par prestation ou centre de coûts / objet de coûts. À cette fin, il est possible de procéder de deux manières différentes: – Rapports sur le temps de travail: toutes les personnes employées par une haute école spécialisée doivent remettre des rapports sur le temps de travail dans lesquels ils inscrivent les heures de travail dédiées aux différents centres de coûts / objets de coûts (par ex. pour la Ra&D).

– Sur la base de la planification des horaires et des activités, le temps peut être repris dans la saisie des prestations (prestations effectives), de telle sorte que seuls les écarts par rapport à la norme doivent être indiqués. Il faut présenter au minimum les données par année civile et par unité de prestation.

Pour déterminer les coûts, les heures ainsi obtenues sont multipliées par le taux horaire standard.

Les coûts correspondants sont enfin imputés directement par addition et par unité de prestation aux objets de coûts ou aux centre de coûts.

Rapports sur le temps de travail: le chiffre recherché porte sur le collaborateur individuel. La feuille de rapport sur le temps de travail ne doit donc s’appliquer qu’à un seul collaborateur. Somme toute, ces feuilles ne remplacent pas les rap-ports détaillés sur le personnel; elles sont complétées par le total des coûts de salaire par collaborateur. Cette manière de procéder permet d’une part de mettre en évidence de manière détaillée les écarts de salaires et de prestations, et d’autre part de servir de justificatif pour la délimitation des charges de salaires et de prestations.

B. KostenVon den aufgeführten Erträgen sind nun – entsprechend Abbildung 4 in Abschnitt 3.6. – in insgesamt fünf DB-Stufen die relevanten Kosten auszuweisen und abzu-ziehen. Auf diese Weise entstehen fünf Deckungsbeiträge. Der letzte Deckungs-beitrag entspricht dem Gesamterfolg des entsprechenden Studienganges bzw. Fachbereichs (jeweils ohne Infrastruktur). Es sind die für das entsprechende Jahr zu erwartenden Kosten aufzuführen. Für das entsprechende Jahr aufgelaufene, aber noch nicht bezahlte Kosten sind über die Bildung transitorischer Passiven erfolgswirksam zu gestalten.

Siehe auch Anhang 3 «Zeitliche und sachliche Abgrenzungen…».

DB-Stufe 1: Beitrag über EinzelkostenPersonalaufwand des Lehr- und Forschungspersonals: Die Kosten für die Tätigkeiten einer Fachhochschule setzen sich aus dem Lehr-, dem Forschungs-, dem Dienstleistungs- und dem administrativen und techni-schen Personal zusammen. Die Kosten sind nach den folgenden Kategorien zu unterteilen (Kategorien des Schweizerischen Hochschulinformationssystems SHIS): – Professoren (gewählte Hauptlehrer, Assistenzprofessuren, Rektoren, Prorektoren) und übrige Dozierende – SHIS-Kategorien 10 und 20

– Assistierende und wissenschaftliche Mitarbeitende – SHIS-Kategorie 30 – Technisches (und, falls auf dieser DB-Stufe vorhanden, administratives) Personal SHIS-Kategorie 40

Die Personalkosten sind der wichtigste Kostenfaktor einer Fachhochschule. Aus diesem Grund werden nicht die Lohnaufwendungen von der Finanzbuchhaltung in die Kostenrechnung übernommen, sondern aufgrund der effektiv für die ver-schiedenen Dienstleistungen bzw. Kostenstellen/Kostenträger gearbeiteten Zeit ermittelt. Dazu können zwei Verfahren angewendet werden: – Zeitrapporte: alle an einer Fachhochschule tätigen Personen führen Zeitrapporte, in welche sie die für die einzelnen Kostenstellen/Kostenträger aufgewandte Zeit erfassen (z.B. für aFuE). – Auf Grund der Pensenplanverwaltung kann die Zeit in die Leistungserfassung übernommen werden (IST-Leistungen), so dass nur noch Abweichungen von der Norm vermerkt werden müssen. Im Minimum müssen Kalenderjahresgrössen pro Leistungseinheit dargestellt werden.

Zur Bestimmung der Kosten werden anschliessend die ermittelten Stunden mit einem Norm-Stundensatz multipliziert. Die entsprechenden Kosten werden anschliessend dem Kostenträger oder der Kostenstelle direkt pro Leistungseinheit summiert belastet.

Zeitrapporte: Die interessierende Grösse ist der einzelne Mitarbeiter. Ein Zeitrap-portblatt hat sich deshalb immer auf den einzelnen Mitarbeiter zu beziehen. Dabei bleiben die detaillierten Personalrapportierungen bestehen und werden mit den totalisierten Lohnaufwendungen pro Mitarbeiter ergänzt. Dies hat den Vorteil, dass Lohn/Leistungsabweichungen detailliert nachgewiesen werden können. Sie dienen zugleich als Beleg für die Abgrenzung Lohnaufwand/Leistungskosten.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen80 81

Une feuille de rapport sur le temps de travail peut se présenter comme suit:

Enseignant: XXX Évaluation pour l’année civile 2000

Centre de coûts/Objet de coûts

Désignation Activité Heures Leçons Taux standards

Coûts Salaire Écart

10000 Administration de l’établissement partenaire

Admin. 100 100 39.50 3950.

20000 Architecture ED Enseigne-ment

1000 500 39.50 39'500

20500 Architecture EP Enseigne-ment

600 300 39.50 11'800

30600 Électrotechnique PS Projet 200 200 39.50 7900

SALAIRE Salaire brut, y c. charges sociales

SALAIRE 61'000

TOTAL 1900 1100 63'150 61'000 +2150

Taux horaire standard: Le taux horaire standard qui est calculé reflète les coûts du salaire brut d’un collaborateur. Il se détermine à partir du total des charges salariales, y compris les charges sociales et les absences payées (vacances), et se divise par le temps de travail annuel convenu en heures. Le taux horaire standard peut être calculé pour chaque enseignant/collaborateur scientifique.

Principe d’enregistrement comptable sur compte courant par collaborateur: Afin de pouvoir gérer un compte courant par collaborateur, il convient de passer en écriture les salaires (charges) et les prestations (coûts) de chaque collaboratrice et de chaque collaborateur. Cela fait, les charges salariales reflètent la charge en nombre d’heures théorique (durée planifiée annuelle x taux horaire) et les heures de travail effectivement faites représentent la décharge. Dans ce contexte, il importe, la première année d’exploitation des comptes courants des collabora-teurs de tenir compte si possible des prestations minimales et maximales de l’année précédente respectivement à titre de charge et de décharge. Les référen-ces (compensations, décharges) doivent dans la mesure du possible être passées en écriture avec les mêmes taux qui ont conduit à l’apparition de temps minimaux et maximaux; en d’autres termes, il convient de comptabiliser l’indemnisation des heures avec le taux en vigueur l’année précédente.

Cette méthode permet de consulter à tout moment le solde du compte courant des collaborateurs où les valeurs sont à la fois actualisées, correctement évaluées et en relation avec le nombre d’heures. Par ailleurs, signalons que ce solde constitue un justificatif pour chaque collaboratrice et collaborateur de son compte courant d’heures en ce qui concerne la différence entre le salaire et les presta-tions.

Les absences (accident, maladie), qui ne sont pas comprises dans le taux horaire standard et qui peuvent être mises en lien avec une filière d'études ou un projet, sont attribuées en tant que coûts individuels de niveau CC 1.

Coûts de matériel:Le niveau CC 1 comprend les autres coûts de matériel qui sont en lien immédiat avec les prestations offertes par l’école (coûts individuels). Parmi ces coûts, on compte le matériel d’exploitation (matériel d’enseignement et de recherche), l’entretien, la réparation et le remplacement de ce matériel, ainsi que le matériel de consommation en rapport avec l’utilisation courante de ce matériel d’exploitation. Les frais de formation et de formation continue, les excursions, etc., qui peuvent être mis en lien avec une filière d'études ou à un projet, sont également attribués en tant que coûts individuels de niveau CC 1.

Ein Zeitrapport kann damit ungefähr die folgende Form annehmen:

Dozent: XXX Auswertung Kalenderjahr 2000

KOST/KOTR

Bezeichnung Tätigkeit Std. Lekt. Normsatz Kosten Lohn Abwei-chung

10000 Administration Teil-schule

Admin. 100 100 39.50 3950.

20000 Architektur DS Dozieren 1000 500 39.50 39'500

20500 Architektur NDS Dozieren 600 300 39.50 11'800

30600 Elektrotechnik DL Projekt 200 200 39.50 7900

LOHN Bruttolohn inkl. SOZ LOHN 61'000

TOTAL 1900 1100 63 '150 61'000 +2150

Norm-Stundensatz: Der kalkulierte Norm-Stundensatz widerspiegelt die Brutto- Lohnkosten eines einzelnen Mitarbeiters. Er errechnet sich aus dem Total der Lohnkosten inkl. Sozialleistungen und bezahlte Absenzen (Ferien) dividiert durch die vereinbarte jährliche Normarbeitszeit in Stunden. Der Stundensatz kann für jeden einzelnen Dozenten/Wissenschaftlichen Mitarbeiter, berechnet werden.

Verbuchungsprinzip zeitliche Abgrenzung: Damit ein Mitarbeiterkontokorrent geführt werden kann, sollten pro Mitarbeiter/in die Löhne (Aufwand) und Leistungen (Kosten) gebucht werden. Dabei widerspiegeln die Lohnaufwendungen als Soll-zeiten (geplante Jahrespräsenzzeit x Stundenansatz) die Belastungen und ent-sprechend die effektiv geleisteten Stunden die Entlastungen. Wichtig in diesem Zusammenhang ist, dass beim ersten Betriebsjahr der Mitarbeiterkontokorrente die Minder/Mehrleistungen vom Vorjahr entsprechend als Belastung/Entlastung berücksichtigt werden. Bezüge (Kompensationen, Entlastungen) sollten wenn möglich mit denjenigen Ansätzen belastet werden, mit welchen die Minder-/Mehr-zeiten entstanden sind; d.h. im laufenden Jahr kann eine Abgeltung mit dem Ansatz des vorigen Jahres verbucht werden.

Mit dieser Methode zeigt das Mitarbeiterkontokorrent jederzeit den aktuellen, rich-tigen wert- und stundengerechten Saldo. Darüber hinaus bildet der Saldo eines einzelnen Stundenkontokorrents den Nachweis der Differenz zwischen Lohn und Leistung.

Nicht im Norm-Stundensatz enthaltene Absenzen (Unfall, Krankheit), welche direkt einem einzelnen Studiengang bzw. Projekt zugeordnet werden können, werden ebenfalls als Einzelkosten der DB-Stufe 1 zugewiesen.

Sachkosten:Die DB-Stufe 1 enthält auch die Sachkosten, die in unmittelbarem Zusammen-hang mit der Dienstleistungstätigkeit der Schule stehen (Einzelkosten). Zu diesem Aufwand gehören die Betriebsmittel (Lehr- und Forschungsmittel), der Unterhalt, die Wartung, die Reparatur und der Ersatz dieser Betriebsmittel, sowie das Ver-brauchsmaterial, welches mit dem Einsatz dieser Betriebsmittel verbunden ist. Kosten für Aus- und Weiterbildung, Exkursionen etc., welche direkt einem einzel-nen Studiengang bzw. Projekt zugeordnet werden können, werden ebenfalls als Einzelkosten der DB-Stufe 1 zugewiesen.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen82 83

Matériel d’exploitation: – Matériel d’enseignement et de recherche: livres d’enseignement, matériel d’école et de cours, livres et revues spécialisés, etc.;

– Équipement mobile: machines et appareils, installations de production et de laboratoires, etc.;

– Mobilier: tables, chaises, tables de dessin, tableaux noirs, rétroprojecteurs, sécateurs, etc. (pour autant qu’il ne soit pas porté à l’actif).

Matériel de consommation:Lubrifiants pour appareils, films, engrais, ampoules électriques, substances chimiques, petits outils, etc.

Entretien, maintenance, réparation:Entretien et maintenance des machines et appareils: maintenance du matériel informatique et des logiciels, maintenance des équipements de production, d’ap-pareils et d’installations.

Amortissements:Comptent parmi les amortissements sur le matériel d’exploitation les amortisse-ments opérés sur le mobilier figurant dans la classe de comptes 146 (NMC, portés à l’actif au travers du compte d’investissement 506) ou dans la classe de comptes 15 (PME). Pour les amortissements, il convient d’appliquer les principes émis au chapitre 7 «Infrastructure» et résumés à la figure 9 «Traitement des inves-tissements».

CC 2 à 5: Contribution dépassant les charges de personnel et de matériel utilisés par les sections, les départements / hautes écoles / établissements partenaires, la haute école spécialisée / les holdingsLes niveaux CC 2 – 5 comprennent l’ensemble des coûts généraux des hautes écoles spécialisées, coûts d’infrastructure non compris. Selon l’organisation de l’école considérée, ces coûts sont subdivisés en niveaux CC différents. Cette opération n’est pas requise dans le cas du calcul CC à l’intention de la Confédé-ration.

Autres charges de personnel (en partie attribuées en tant que couts individuels de niveau CC 1): – Absences: absences non prévues dans le taux horaire standard (accidents, maladies, etc.);

– Formation et formation continue: ce poste comprend tous les coûts de forma-tion et de formation continue, les taxes de cours et de participation, etc. Ne doivent pas être mentionnées ici les absences, puisque celles-ci sont déjà prises en compte dans le taux horaire standard;

– Excursions: coûts liés à la mise sur pied et la réalisation d’excursions; – Charges administratives: charges liées à la gestion d’une filière d’études; – Autres coûts de personnel: mises au concours paraissant dans les journaux, frais de voyage, frais de subsistance (repas pris à l’extérieur), nuitées, manifes-tations organisées pour le personnel, etc.

Charges de personnel employé dans les sections, les départements / hautes écoles / établissements partenaires et la haute école spécialisée: – Charges du personnel employé dans les secrétariats de section, de département, d’école et de haute école spécialisée;

– Charges du personnel employé dans les services centraux; – Charges du personnel employé dans les bibliothèques et les médiathèques; – Charges du personnel employé dans les centres de calcul et l’informatique; – Charges du personnel d’exploitation général (conciergeries, services techniques, services de sécurité, etc.);

– Salaires des membres de la holding (commissions, conseils, etc.).

Betriebsmittel: – Lehr- und Forschungsmittel: Lehrbücher, Schul- und Unterrichtsmaterial, Fach-bücher und -zeitschriften etc.

– Mobile Sachanlagen: Maschinen und Apparate, Produktionsanlagen, Laborein-richtungen etc.

– Mobiliar: Tische, Stühle, Zeichentische, Wandtafeln, Hellraumprojektoren, Baumscheren etc. (sofern nicht aktiviert).

Verbrauchsmaterial: Schmierstoffe für Apparate, Filme, Dünger, Glühbirnen, Chemikalien, Kleinwerk-zeug etc.

Unterhalt, Wartung, Reparaturen:Unterhalt und Wartung von Maschinen und Apparaten: Software- und Hard-warewartung, Wartung von Produktionsanlagen, Geräten, Einrichtungen.

Abschreibungen: Abschreibungen der in der Kontenklasse 146 (NRM, aktiviert über Investitions-konto 506) bzw. 15 (KMU) aufgeführten Mobilien. Für die Abschreibungen gelten die Grundsätze gemäss Kapitel 7 Infrastruktur und die entsprechende Abbildung Nr. 9 «Behandlung der Investitionen».

DB 2 – 5: Beitrag über Personal- und Sachkosten Abteilung / Departement / Hochschule (Teilschule), Fachhochschule/HoldingDie Deckungsbeitragsstufen 2 – 5 umfassen sämtliche Gemeinkosten der Fach-hochschule ohne bauliche Infrastrukturkosten. Je nach Organisation einer Schule werden diese Kosten auf unterschiedliche DB-Stufen verteilt. Für die DB-Rech-nung zuhanden des Bundes ist dies nicht notwendig.

Übriger Personalaufwand (zum Teil bereits als Einzelkosten der DB-Stufe 1 zugewiesen): – Absenzen: Nicht im Norm-Stundenansatz enthaltene Absenzen (Unfall, Krank-heit etc.)

– Aus- und Weiterbildung: Sie umfassen sämtliche Kosten für Aus- und Weiter- bildung: Kurskosten, Teilnahmegebühren etc. Nicht aufzuführen ist dagegen die Absenz selbst, da diese bereits mit dem verrechneten Norm-Stundenansatz abgegolten ist.

– Exkursionen: Sie umfassen alle mit der Durchführung von Exkursionen verbun-denen Kosten.

– administrativer Aufwand: administrativer Aufwand zur Führung eines Studien-ganges.

– Übrige Personalspesen: Dazu gehören: Inserate, Reisespesen, Verpflegung (auswärts), Übernachtungen, Personalanlässe etc.

Personalaufwand Abteilung, Departement/Hochschule/Teilschule und Fach- hochschule: – Personalaufwand Abteilungssekretariat, Departementssekretariat, Schulsekretariat und Fachhochschulsekretariat

– Personalaufwand zentrale Dienste – Personalaufwand Bibliothek/Mediathek – Personal Rechenzentrum/Informatik – Allgemeines Betriebspersonal: Hauswartung, Technik, Sicherheit etc. – die Löhne eines Holdingrates: Kommission, Rat etc.

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Activités

Services centraux 4 prestations

ind

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Log

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Ad

min

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atio

n

Études conduisant au diplôme

Conciergerie

Formation continue

Entretien

Recherche appliquée et développement

Reprographie

Prestations de services

Informatique

Bibliothèque

.....

HES / Haute école / Établissement

partenaire / Département

Section Filière d'études

AdministrationDirection

Tätigkeiten

Zentrale Dienste 4 Leistungen

Ind

irekt

Dire

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Log

istik

Verw

altu

ng Diplomstudium

Hauswart

Weiterbildung

Unterhalt

aF&E

Kopierservice

Dienstleistungen

Informatik

Bibliothek

.....

Fachhochschule/ Hochschule/

Teilschule/Departement

Abteilung, Studiengang

AdministrationLeitung

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen84 85

Autres charges de matériel utilisé dans les sections, les départements / hautes écoles / établissements partenaires et la haute école spécialisée: – Matériel de bureau en général; – Charges d’énergie: huile de chauffage, gaz, eau, électricité; – Taxes téléphonique, port postal, liaisons au fournisseur internet (provider, etc.); – Imprimés, publicités, taxes, impôts; – Entretien (conformément à la définition au chapitre 7 «Infrastructure») – Amortissements du mobilier d’exploitation (par ex. mobilier informatique de l’administration)

Administration / Direction (cf. section 5.2):À la rubrique «Administration / Direction» figurent toutes les activités administra-tives liées à la gestion et à la direction de l’école qui ne sont pas exclusivement et prioritairement dédiées à l’enseignement, à la formation continue, à la recherche appliquée et au développement, ou aux prestations de services. Les données s’y rapportant peuvent être tirées du calcul des natures de coûts ou du calcul des centres de coûts.La rubrique «Administration / Direction» s’applique à l’ensemble de la haute école spécialisée, y compris la holding, ainsi qu’à l’ensemble de la haute école ou de l’école partielle (département là où aucune école partielle n’existe).

Il s’agit en l’occurrence d’une grandeur statistique.

Exemples: – Administration générale de la HES, de la haute école, de l’école partielle ou du département;

– Direction de la HES, de la haute école, de l’école partielle ou du département; – Secrétariat de la HES; – Rectorat / Direction, secrétariat du rectorat ou de la direction; – Organe de surveillance; – Affaires du personnel: charges d’enseignement et décomptes de prestations de services, décomptes de salaires et d’indemnités, y c. décomptes d’assurances sociales;

– Planification de l’engagement des professeurs et des assistants; – Engagement et développement des ressources humaines; – Comptabilité financière et d’exploitation; – Assurances; – Statistiques.

Übriger Sachaufwand Abteilung / Departement / Schule / Fachhochschule: – Allgemeines Büromaterial – Energieaufwand: Öl, Gas, Wasser, Elektrisch – Telefon, Porti, Providerleitungen etc. – Drucksachen, Werbeaufwand, Gebühren, Abgaben – Unterhalt (gemäss Definition Kapitel 7 Infrastruktur) – Abschreibungen auf Betriebsmobiliar (z.B. Mobiliar Verwaltungsinformatik)

Administration / Leitung (vgl. Kapitel 5.2):Unter Administration / Leitung fallen sämtliche administrativen Tätigkeiten für die Führung und Leitung der Schule, welche nicht ausschliesslich oder primär die Lehre, Weiterbildung, angewandte Forschung & Entwicklung oder Dienstleistung betreffen. Die Daten können aus der Kostenstellen- oder Kostenartenrechnung herausgenommen werden.Administration / Leitung betrifft die FH als Ganzes (inkl. Holding), die Hochschule bzw. Teilschule (Departement falls keine Ebene Teilschule existiert).

Es handelt sich um eine statistische Grösse.

Beispiele: – Allgemeine Verwaltung der FH, einer Hochschule bzw. Teilschule bzw. eines Departements

– Leitung der FH, einer Hochschule bzw. Teilschule bzw. eines Departements – Fachhochschulsekretariat – Rektorat / Direktion, Rektorats- / Direktionssekretariat – Aufsichtsgremien – Personalwesen: Pensen- und Leistungsabrechnung, Lohn- und Entschädi-gungsabrechnung inkl. Sozialversicherungsabrechnung

– Dozenteneinsatzplanung – Personalanstellung und –entwicklung – Finanz- und Betriebsbuchhaltung – Versicherungswesen – Statistiken

Figure 10: Gestion des coûts administratifs

Abbildung 10: Behandlung der Administrationskosten

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen86 87

C. InfrastrukturDie Erfassung und Bewertung der Infrastruktur ist im Kapitel 7 abgehandelt.

Die Erträge und Kosten der Infrastruktur werden von der Schule separat wie folgt ausgewiesen:

Infrastrukturerlöse: – Beiträge an Mieten SBFI – Es werden die vom SBFI bezahlten Beiträge an Fremdmieten ausgewiesen.

– Infrastrukturbeiträge Träger – Sonstige Infrastrukturbeiträge – Erträge für Unterhalt, welcher nicht in DB1 – 5 ausgewiesen wird.

Infrastrukturkosten: – Kalkulatorische Abschreibungen / Zinsen – gemäss Kapitel 7. – Mieten – Es werden die effektiv bezahlten Mieten ausgewiesen. – Sonstige Infrastrukturkosten – Unterhalt gemäss Kapitel 7, welcher nicht in DB1 – 5 ausgewiesen wird.

Investition (gemäss Definition SBFI, Fachhochschulverordnung Art. 17) – Investition – effektive Kosten der Investition – Beitrag SBFI an Investition – ausbezahlter Bundesbeitrag.

Es empfiehlt sich, die Infrastruktur als Kostenstelle zu führen und Abschreibungen, Mieten sowie alle infrastrukturbedingten Nebenkosten (Unterhalt, Reinigung, Hypothekarzinsen, Baurechtszinsen, Gebäudeversicherung etc.) auf diese Kosten-stelle zuzuweisen. Anschliessend können alle Infrastrukturkosten mit einem einzi-gen Umlageschlüssel nach der Intensität der entsprechenden Nutzung auf Lehre, Forschung, Weiterbildung und Dienstleistungen sowie die Zentralen Dienste zuge-wiesen werden.

C. InfrastructureLa saisie et l’évaluation de l’infrastructure sont traitées au chapitre 7.

Les produits et les coûts d’infrastructure sont présentés par l’école sous forme séparée comme suit:

Produits d’infrastructure: – Subventions pour la location par le SEFRI: les subventions fédérales destinées à la location d’objets loués à des tiers sont inscrits en compte;

– Subventions pour les infrastructures par les cantons et les organes responsables; – Autres subventions pour l’infrastructure: les produits qui sont affectés à l’entretien et qui ne sont pas compris dans le calcul CC 1 à 5 sont inscrits en compte.

Coûts d’infrastructure: – Amortissements calculés et intérêts calculés conformément au chapitre 7; – Loyers: les loyers effectivement payés sont inscrits en compte; – Autres coûts d’infrastructure: entretien conformément au chapitre 7, qui ne sont pas compris dans le calcul CC 1 à 5, sont inscrits en compte.

Investissement (conformément à la définition SEFRI, Ordonnance sur les hautes écoles spécialisées, art. 17) – Investissement: les coûts effectifs de l’investissement; – Subventions du SEFRI pour les investissements: les subventions fédérales versées.

Nous recommandons de gérer l’infrastructure sous la forme d’un centre de coûts et d’attribuer les amortissements, les loyers, ainsi que tous les frais accessoires liés à l’infrastructure (entretien, nettoyage, intérêts hypothécaires, indemnités pour des droits de superficie, assurance immobilière, etc.) à ce centre de coûts. Par la suite, tous les coûts d’infrastructure peuvent être attribués au moyen d’une seule clé de répartition, en fonction de l’intensité de leur utilisation à l’enseignement, à la recherche, à la formation continue et aux prestations de services, de même qu’aux services centraux.

Die Variante mit den Zeitrapporten wird aus Gründen der Praktikabilität und der Wirtschaftlichkeit in der Regel nicht angewendet. In der Praxis weit verbreitet ist eine Ermittlung der Leistungen aufgrund der Pensenplanung (Soll-Stunden) und einer eventuellen Korrektur bei signifikanten Abweichungen zwischen dem Soll-Beschäftigungsgrad und dem Ist-Beschäftigungsgrad. Per Ende Jahr sind die Gleitzeit- und Ferienguthaben entsprechend abzugrenzen.

La variante des rapports sur le temps de travail n’est en principe pas utilisée, car jugée peu pratique et peu rentable. Les prestations sont le plus souvent calculées sur la base du plan horaire (heures dues), avec si nécessaire une correction en cas d’écart significatif entre le taux d’occupation dû et le taux d’occupation effectif. En fin d’exercice, les heures mobiles et les heures de vacances doivent être délimitées en conséquence.

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen88 89

10. Principes comptables complémentaires

Les hautes écoles pédagogiques ont défini dans le cadre du projet SKORE des principes complémentaires de présentation des coûts et revenus dans la compta-bilité analytique. Ces principes sont décrits dans le présent chapitre.

10.1 Coûts bruts et coûts nets

10. Verrechnungsprinzipien

Im Rahmen des Projekts SKORE haben die Pädagogischen Hochschulen folgende zusätzliche Grundsätze für den Ausweis der Kosten und der Erlöse in der Kosten-rechnung festgelegt.

10.1 Brutto- vs. Nettoprinzip

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Das Bruttoprinzip bedeutet, dass die Kosten und Erlöse in voller Höhe ge-trennt voneinander betrachtet und verbucht sind, d.h., die Kosten werden mit den Erlösen des gleichen Verwendungszwecks nicht gemischt. Das Brutto-prinzip gibt Auskunft darüber, wie viel ein Produkt (Leistung) während einer Referenzperiode (Kalenderjahr) effektiv gekostet hat.

Beim Nettoprinzip wird hingegen lediglich die Differenz zwischen den Kosten und den Erlösen des gleichen Verwendungszwecks verbucht. Das Nettoprinzip gibt Auskunft darüber, zu welchem Anteil die Hochschule ein Produkt (Leis-tung) selber finanziert hat.

Abbildung 11: Brutto- und Nettokosten

GrundsatzDa die Kostenrechnung in der Messung der effektiven Kostenhöhe einer Leis-tung während eines Kalenderjahres besteht, wenden die Pädagogischen Hochschulen das Bruttoprinzip an.

Beispiel 1: Kosten und Erlöse für Kopierer und Drucker – Die Kostenstelle generiert CHF 250'000.– Kosten für das Kalenderjahr 2012. – Durch die Gebühren der Studierenden für die Druckaufgaben können die Kosten um CHF 50'000.– vermindert werden.

– Die Kosten und Erlöse werden vollständig und separat berücksichtigt, d.h., die Kosten von CHF 250'000.– werden unter Sachkosten berücksichtigt, die Erlöse von CHF 50'000.– in der Zeile «übrige Erlöse» des Erfassungs-formulars für die Kostenstatistik des BFS.

– Die Kosten werden somit brutto (ohne Kompensation mit den Erlösen) in den Indikator Kosten pro Vollzeitäquivalent ausgewiesen.

Beispiel 2: Erlöse und Kosten beim Lehrleistungsaustausch zwischen Hochschulen – Die Studierenden der Hochschule A besuchen gewisse Module im Rahmen des Bachelorstudiengangs Vorschul-/Primarstufe an der Hochschule B.

– CHF 150'000.– werden jährlich an die Hochschule A fakturiert. – Die Hochschule A weist die Kosten und Erlöse in den Ausbildungskosten, Spalte Bachelor Vorschul-/Primarstufe, aus.

– Die Hochschule B weist die Kosten und Erlöse im Kostenträger «Nicht-PH-Bereich» aus.

Ausnahmen zum BruttoprinzipDie Erwerbsersatzordnungsbeiträge (EO) und die Taggelder der Versicherungen stellen einen Spezialfall dar, da sie je nach Rechnungslegungsstandard entwe-der als Aufwandminderung oder als Ertrag berücksichtigt werden können.

Selon le principe des coûts bruts, les coûts et les revenus correspondants sont comptabilisés dans leur intégralité et de manière totalement distincte (pas de compensation entre coûts et revenus). Le principe des coûts bruts renseigne sur le coût effectif d’un produit (prestation) pendant une année de référence (année civile).

Le principe des coûts nets consiste à comptabiliser uniquement la différence entre les coûts et les revenus correspondants. Il renseigne sur le degré d’autofinancement d’un produit (prestation).

Figure 11: Coûts bruts et coûts nets

PrincipeLe but de la comptabilité analytique étant de mesurer le niveau effectif des coûts d’une prestation pendant une année civile, les hautes écoles pédago-giques appliquent le principe des coûts bruts.

Exemple 1: coûts et revenus liés aux photocopieuses et imprimantes – Des coûts de CHF 250'000.– sont générés pour l’année civile 2012 – Les taxes d’utilisation payées par les étudiants s'élèvent à CHF 50'000.–. – Les coûts et les revenus sont comptabilisés de manière distincte: les coûts (CHF 250'000.–) sont indiqués dans les coûts de matériel, et les revenus (CHF 50'000.–) dans les «autres revenus» du formulaire de saisie des données de l’OFS.

– Les coûts présentés dans l’indicateur du coût par équivalent plein-temps sont donc les coûts bruts, sans compensation des revenus.

Exemple 2: revenus et coûts liés aux échanges de prestations entre hautes écoles dans le domaine de l’enseignement – Dans le cadre du bachelor de niveau préscolaire / primaire, les étudiants de la HEP A suivent certains modules de la HEP B.

– La HEP B facture CHF 150'000.– à la HEP A. – La HEP A comptabilise les coûts et les revenus dans les frais de formation, colonne Bachelor, degrés préscolaire et primaire.

– La HEP B comptabilise les coûts et les revenus dans l’objet de coûts «domaine ne relevant pas des HEP».

Exceptions au principe des coûts brutsLes allocations pour perte de gain (APG) et les indemnités journalières versées par les assurances constituent un cas particulier. Selon les normes de présen-tation des comptes utilisées, elles peuvent en effet être considérées soit comme une diminution de charge, soit comme un produit.

Kosten

Erlöse

Bruttoprinzip

Nettoprinzip

Coûts

Revenus

Principe des coûts bruts

Principe des coûts nets

Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen90 91

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Um die Vollständigkeit und die Vergleichbarkeit der Kostenrechnungen der Pädagogischen Hochschulen gesamtschweizerisch zu gewährleisten, werden sämtliche Ausgaben oder Aufwände, die für die Führung des Leistungsauf-trags der Hochschule gebraucht werden, in der Kostenrechnung ausgewiesen, auch wenn eine Leistung regelmässig durch Dritte unentgeltlich erbracht wird. In diesem letzten Fall müssen sogenannte Zusatzkosten in die Kostenrechnung einfliessen, auch wenn sie in der Finanzbuchhaltung nicht enthalten sind. Die Zusatzkosten entsprechen kalkulatorischen Werten.

Beispiel:Es werden der Hochschule Räumlichkeiten vom Kanton kostenlos zur Verfü-gung gestellt. Sind es Informationen oder Schätzungen über die finanzielle Nutzung dieser Räumlichkeiten, weist die Hochschule die entsprechenden Werte in der Kostenrechnung aus. Ist das nicht der Fall, macht die Hochschule eine Schätzung.

Weitere Beispiele: – Kosten für die Nutzung einer externen Bibliothek (ohne Bezahlung einer Miete) – Kosten für die Nutzung des Finanzsystems des Kantons ohne Entschädigung durch die Hochschule

– Kosten für Informatikleistungen und -infrastruktur vom Kanton ohne Ent-schädigung durch die Hochschule

– Kosten für die Lohnbuchhaltung bzw. Personaladministration ohne Entschä-digung durch die Hochschule

– Revisionsleistungen der Finanzkontrolle ohne Entschädigung durch die Hochschule

– Kosten der Liegenschaften zur Verfügung der Hochschule, ohne Bezahlung einer Miete

– Zurverfügungstellen von Betriebseinrichtungen ohne Entschädigung durch die Hochschule

Kosten für die Lehrleistungen an die Studierenden der Hochschule, die von einer anderen Institution ohne Verrechnung erbracht werden – Teilausbildung (ohne Fachausbildung) von Gymnasiallehrpersonen an der Universität

– Zurverfügungstellen von Praxislehrpersonen durch die Volksschulen – Leistungen von Bibliotheken, Mediencentern, welche den Studierenden unentgeltlich zur Verfügung stehen

– Etc.

Die Kosten sollen dort ausgewiesen werden, wo die Studierenden immatri- kuliert sind. Sind sie nicht in Rechnung gestellt, sollen sie kalkuliert werden. Empfehlungen für die Kalkulation – Lizenzkosten zulasten des Trägerkantons für mehrere Kunden (Schulen, Spitäler etc.): Schätzung einer %-Aufteilung gem. Grösse der Institution

– Leistungen des Trägerkantons im Finanzbereich (Lohnbuchhaltung) oder im Personalbereich (Personaladministration): Schätzung der notwendigen Perso-nalressourcen, wenn die Hochschule die Leistung selber erbringen müsste.

– Liegenschaften: Berechnung von kalkulatorischen Infrastrukturkosten gem. SBFI-Modell: Die im Flächeninventar ermittelten Quadratmeter für verschie-dene Raumtypen werden mit Standardkosten multipliziert und ergeben schliesslich die kalkulatorischen Infrastrukturkosten (Anzahl Quadratmeter × Kostensatz, pro Raumkategorie; die Handhabung eines Flächeninventars ist nötig); siehe auch unter «Leitfaden Flächeninventar»: www.sbfi.admin.ch/dienstleistungen/formulare/00392/index.html Als Alternative können 3,5% des Gebäudeversicherungswerts angewendet werden.

Afin d’assurer que les comptabilités analytiques des hautes écoles pédagogiques soient complètes et comparables au niveau suisse, la totalité des dépenses et des charges nécessaires pour réaliser le mandat de presta-tions de la haute école doivent être présentées dans la comptabilité analy-tique, y compris les prestations régulièrement fournies gratuitement par des tiers. Dans ce cas, des coûts additionnels, qui n’ont pas leur pendant en comptabilité financière, doivent être intégrés dans la comptabilité analytique. Il s’agit d’estimations.

Exemple:La haute école utilise des locaux mis à sa disposition par le canton, sans payer de contrepartie financière. La HEP intégrera dans sa comptabilité ana-lytique soit les chiffres réels, soit une estimation à laquelle elle procède elle-même.

Autres exemples: – Coûts des services d’une bibliothèque extérieure à la haute école utilisés sans contrepartie financière comme une participation au loyer

– Coûts de l’utilisation du système financier du canton, sans contrepartie financière de la HEP

– Coûts des services et infrastructures informatiques du canton utilisés sans contrepartie financière

– Coûts de la gestion de la comptabilité des salaires et de la gestion du personnel effectuées sans contrepartie financière

– Services de révision du contrôle des finances effectués sans contrepartie financière

– Coûts des immeubles mis gratuitement à la disposition de la haute école – Mise à disposition d’équipement d’exploitation, sans contrepartie financière

Coûts des prestations d’enseignement fournies aux étudiants de la haute école par une autre haute école, sans contrepartie financière – Partie de la formation du corps enseignant des gymnases dispensée par l’université (formation disciplinaire exclue)

– Mise à disposition des praticiens formateurs par les écoles cantonales – Services des bibliothèques et médiathèques proposés gratuitement aux étudiants

– Etc.

Les coûts doivent être comptabilisés là où les étudiants sont immatriculés. Les coûts non facturés doivent être estimés puis intégrés dans la comptabilité analytique.

Recommandations concernant les estimations – Coûts des licences informatiques à la charge du canton pour plusieurs cli-ents (écoles, hôpitaux, etc.): estimation d’un pourcentage pour la répartition selon la taille de l’institution.

– Prestations du canton responsable dans le domaine des finances (paiement des salaires) ou du personnel (gestion du personnel): estimation des res-sources de personnel qui seraient nécessaires à la fourniture de la prestation si la haute école devait la fournir elle-même.

– Immeubles: estimation fondée sur le modèle du SEFRI: les mètres carrés déterminés pour chaque type de locaux dans le cadre de l’inventaire des surfaces sont multipliés par des coûts normés. Le résultat donne l’estimation des coûts d’infrastructure; consulter également le «Manuel Inventaire des surfaces»: www.sbfi.admin.ch/dienstleistungen/formulare/00392/index.html Une autre possibilité consiste à utiliser comme estimation l’équivalent de 3,5 % de la valeur d’assurance de l’immeuble.

Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

10.2 Tatsächliche Kosten vs. kalkulatorische Kosten10.2 Coûts effectifs et coûts estimés

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Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen92 93

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Innerhalb einer Institution werden Leistungen zwischen den einzelnen Diensten transferiert. Beispiele: – Kosten für Lehrleistungen von Forschungseinheiten im Rahmen der Ausbil-dungen

– Kosten von den Grundausbildungseinheiten im Rahmen der Praxisaus- bildung

Um Doppelrechnungen zu vermeiden, werden entweder – die Kosten den erbringenden Kostenstellen entlastet und den empfangenden Kostenstellen belastet

– oder die Kosten den erbringenden Kostenträgern entlastet und den emp-fangenden Kostenträgern belastet.

Des échanges de prestations peuvent exister entre les services de la haute école.

Exemples: – Coûts des prestations d’enseignement fournies par les unités de recherche dans le cadre des formations

– Coûts des prestations fournies par les unités d’enseignement dans le cadre de la formation pratique

Afin d’éviter les comptabilisations à double, il convient de choisir entre les opérations suivantes: – les centres de frais «prestataires» sont débités et les centres de frais «bénéficiaires» crédités

– ou alors, les objets de coûts «prestataires» sont débités et les objets de coûts «bénéficiaires» crédités.

10.3 Interne Verrechnungen10.3 Comptabilisations internes

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Anhänge Anhang 1: Offizielle Klassierung der StudiengängeAnhang 2: Definition der LeistungenAnhang 3: AbgrenzungenAnhang 4: Definition der StudierendenmerkmaleAnhang 5: Struktur Berichtswesen/Reporting

AnnexesAnnexe 1: Classification officielle des filières d'étudesAnnexe 2: Définition des prestationsAnnexe 3: DélimitationsAnnexe 4: Définition des variables relatives aux étudiantsAnnexe 5: Structure des rapports sur les comptes

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Annexe 1

Classification officielle des filières d'études

Hautes écoles spécialiséesVoir manuel technique des hautes écoles spécialisées, Office fédéral de la statistique (OFS)www.shsfh.bfs.admin.ch

Hautes écoles pédagogiqueswww.cohep.ch/fr/hautes-ecoles-pedagogiques/filieres-detudes/?0=

Anhang 1

Offizielle Klassierung der Studiengänge

FachhochschulenSiehe Technisches Handbuch der Fachhochschulen, Bundesamt für Statistik (BFS)www.shsfh.bfs.admin.ch

Pädagogische Hochschulenwww.cohep.ch/de/paedagogische-hochschulen/studiengaenge/

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Annexe 2

Définition des prestations

Études conduisant au diplôme bachelor Par «études conduisant au diplôme bachelor», on entend toutes les activités diri-gées prioritairement vers l’enseignement et la formation des étudiants suivant les filières conduisant au diplôme bachelor dans les hautes écoles spécialisées, ou qui y sont liées directement.

Exemples: – Préparation et organisation de l’enseignement au niveau des études conduisant au diplôme;

– Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices pratiques; – Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme bachelor dans le cadre des filières d’études;

– Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et tra-vaux finaux);

– Encadrement général des étudiants (consultations, etc.); – Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).

Études conduisant au diplôme masterPar «études conduisant au diplôme master», on entend toutes les activités dirigées prioritairement vers l’enseignement et la formation des étudiants suivant les filières conduisant au diplôme master dans les hautes écoles spécialisées, ou qui y sont liées directement.

Exemples: – Préparation et organisation de l’enseignement au niveau des études conduisant au diplôme;

– Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices pratiques;

– Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme master dans le cadre des filières d’études;

– Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et travaux finaux);

– Encadrement général des étudiants (consultations, etc.); – Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).

Anhang 2

Definition der Leistungen

Diplomstudium BachelorDazu gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die Ausbildung der Studierenden in Bachelor-Diplomstudiengängen an den Fachhochschulen zum Gegenstand haben oder damit zusammenhängen.

Beispiele: – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Diplomstudiums – Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen Übungen

– Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehr-gänge

– Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschluss-arbeiten)

– Betreuung und Begleitung der Studierenden – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).

Diplomstudium MasterDazu gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die Ausbildung der Studierenden in Master-Diplomstudiengängen an den Fachhochschulen zum Gegenstand haben oder damit zusammenhängen.

Beispiele: – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Diplomstudiums – Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen Übungen

– Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehr-gänge

– Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschluss-arbeiten)

– Betreuung und Begleitung der Studierenden – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Allgemeiner Kommentar Die Kostenrechnung der Hochschulen ist nach Kostenträgern gegliedert. Als Kostenträger werden die Leistungen bezeichnet, die eine Hochschule gegen-über externen Leistungsbezügern erbringt. Die Kostenträgerrechnung gibt Auskunft darüber, in welcher Höhe die Kosten je Kostenträger (Leistungsbe-reich) angefallen sind.

Die Definition der einzelnen Leistungsbereiche und deren Aufteilung in Kosten-träger sind unten beschrieben. Die Definition zusätzlicher Kostenträger bleibt jeder Hochschule vorbehalten, z.B. für interne Führungsinformations- oder Führungskontrollzwecke.

Commentaire généralLa comptabilité analytique des hautes écoles est structrurée par objet de coûts. Les objets de coûts désignent les prestations fournies par une haute école pédagogique à des tiers. La comptabilité par objet de coûts renseigne sur le montant des coûts par objet de coûts (groupe de prestations).

Le contenu de chaque groupe de prestations et sa décomposition en objets de coûts sont définis ci-après. Chaque HEP est libre de définir des objets de coûts supplémentaires, p. ex. à des fins de contrôle et d’information internes.

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

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Formation continue – études postgrades (Master of Advanced Studies MAS et Executive Master of Business Administration EMBA)

– cursus conduisant à un diplôme postgrade (Diploma of Advanced Studies DAS) – cursus conduisant à un certificat (Certificate of Advanced Studies CAS)

Par «formation continue», on entend toutes les activités dirigées prioritairement vers l’enseignement et la formation des étudiants qui suivent des filières d’études postgrades, des cursus conduisant à un diplôme postgrade et des cursus con-duisant à un certificat dans des hautes écoles spécialisées, ou qui y sont liées directement.

Exemples: – Préparation et exécution d’enseignements du domaine postgrade (MAS, EMBA, DAS, CAS);

– Surveillance en laboratoires, y c. démonstration et contrôle d’exercices pratiques;

– Préparation et exécution de processus conduisant au diplôme postgrade dans le cadre des filières d’études;

– Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et travaux finaux);

– Toute activité servant exclusivement ou prioritairement aux activités d’enseignement (y c. tâches organisationnelles et administratives).

Recherche appliquée et développement (Ra&D)Principe: La recherche appliquée et le développement ne devraient pas déboucher sur des distorsions du marché et de la concurrence. Là où la concurrence prévaut, il n’est pas permis de désavantager certains acteurs sur le marché. Il y a donc lieu de facturer les prix habituels du marché, car il s’agit de prestations de services.Il convient aussi de tenir compte des critères suivants:

Recherche et développement (R&D)La recherche et le développement (R&D) englobent les travaux de création entre-pris de façon systématique en vue d’accroître la somme des connaissances, y c. la connaissance de l’homme, de la culture et de la société, d’utiliser cette somme de connaissances pour de nouvelles applications ou pour l’élargissement des connaissances.Sont incluses dans la recherche et le développement toutes les activités qui y sont directement liées: – Projets de la CTI et du FNRS, ainsi que les projets internationaux de recherche (par ex. dans le cadre d’EUREKA);

– Exécution, organisation et gestion de travaux de R&D en propre ou de mandats de R&D;

– Conception, gestion et suivi de projets de rercherche (management, évaluation); – Acquisition et gestion de moyens affectés à des projets de R&D; – Collaboration avec d’autres institutions actives dans la R&D, au niveau national et international;

– Participation à des assemblées et à des comités dans le domaine de la R&D (par ex. commission de recherche) au sein ou en dehors des hautes écoles spécialisées;

– Lectures, approfondissement des connaissances dans le cadre d’un projet de R&D;

– Élaboration et rédaction de publications scientifiques et de rapports de recherche; – Élaboration de nouvelles méthodologies scientifiques (méthodes de recueil de données, d’estimation et de pronostic, etc.)

– Fabrication, essai et perfectionnement de prototypes jusqu’à pleine maturité; – Construction et exploitation d’installations d’essai et autres chaînes pilotes; – Présentation et discussion de résultats de R&D; – Toute activité scientifique et non-scientifique servant exclusivement ou prioritaire-ment aux activités de R&D (y c. tâches organisationnelles et administratives).

Weiterbildung – Nachdiplomstudien (Master of Advanced Studies MAS und Executive Master of Business Administration EMBA)

– Weiterbildungs-Diplomlehrgänge (Diploma of Advanced Studies DAS) – Zertifikatslehrgänge (Certificate of Advanced Studies CAS)

Zur Weiterbildung gehören alle Tätigkeiten, welche primär den Unterricht und die Ausbildung der Studierenden in Nachdiplomstudiengängen, Weiterbildungs-Dip-lomlehrgängen und Zertifikatslehrgängen an den Fachhochschulen zum Gegen-stand haben oder damit zusammenhängen.

Beispiele: – Vorbereitung und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Nachdiplom- bereichs (MAS, EMBA, DAS, CAS)

– Laboratoriumsaufsicht mit Demonstrieren und Überwachen von praktischen Übungen

– Vorbereitung und Durchführung von Abschlussverfahren im Rahmen der Lehr-gänge

– Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschluss-arbeiten)

– Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der Lehrtätigkeit dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).

Angewandte Forschung und Entwicklung (aF+E)Grundsatz:Angewandte Forschung und Entwicklung sollte keine Markt- und Wettbewerbs-verzerrungen zur Folge haben. Wenn ein Konkurrenzumfeld vorhanden ist, dürfen andere Marktteilnehmer nicht benachteiligt werden. In diesen Fällen sind Markt-preise zu verrechnen und es handelt sich um Dienstleistungen.Im Übrigen gelten die folgenden Kriterien:

Forschung und Entwicklung (F+E) Forschung und Entwicklung (F+E) ist systematische, schöpferische Arbeit zur Erweiterung des Kenntnisstandes (einschliesslich der Erkenntnisse über den Men-schen, die Kultur und die Gesellschaft) sowie deren Verwendung mit dem Ziel, neue Anwendungsmöglichkeiten zu finden und/oder zu einer neuen Wissensord-nung beizutragen. Einzuschliessen in F+E sind alle Tätigkeiten, die direkt mit F+E verbunden sind, nämlich: – KTI- und SNF-Projekte sowie internationale Forschungsprojekte (z.B. im Rahmen von Eureka)

– Durchführung, Organisation und Verwaltung von eigenen F+E-Arbeiten oder F+E-Aufträgen

– Konzeption und Begleitung von Forschungsprojekten sowie deren Verwaltung (Management, Evaluation)

– Akquisition und Verwaltung von Drittmitteln für Forschungsprojekte – Zusammenarbeit mit anderen F+E-Institutionen (national und international) – Mitarbeit in Forschungsgremien (z.B. Forschungskommission) inner- und ausserhalb der Fachhochschulen

– Lektüre, Vertiefung des persönlichen Kenntnisstandes im Hinblick auf ein Forschungsvorhaben

– Verfassen und Redigieren von wissenschaftlichen Publikationen und Forschungsberichten

– Erarbeitung neuer wissenschaftlicher Methodologien (Erhebungs-, Schätzungs-, Erprobungsmethoden etc.)

– Konstruktion und Erprobung von Prototypen und deren Weiterentwicklung bis zur Systemreife

– Bau und Betrieb von Versuchsanlagen (pilot plants) – Präsentation und Diskussion von F+E-Resultaten – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär der F+E dienen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwaltung).

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Sont exclues de la recherche et du développement toutes les activités qui n’ont pas pour finalité la recherche ou qui ne sont pas liées à un projet de recherche.

Exemples: – Formation et formation continue du personnel; – Documentation et travaux bibliographiques (dans la mesure où ils n’ont pas de lien direct avec la R&D);

– Services scientifiques périodiques tels que recueil de données, mesures, établissement de statistiques, examens, contrôles ordinaires de la qualité et de la production;

– Travaux de normalisation; – Travaux administratifs concernant les brevets et les licences; – Conseils techniques, scientifiques et administratifs; – Production de biens (y c. séries de tests) et prestations de services (y c. contrôle);

– Services techniques après-vente, études de marché et d’économie d’entreprise; – Mercatique (marketing) et études de faisabilité (pour autant qu’elles ne portent pas sur un projet de recherche);

– Activités, contrôles et améliorations permanentes de routine; – Recours à des méthodologies et à des connaissances éprouvées.

Bien faire la différence entre:Recherche fondamentale: Travaux expérimentaux et théoriques entrepris principalement en vue d’acquérir de nouvelles connaissances sur les fondements des phénomènes et des faits observables, sans envisager d’application ou d’utilisation particulière.

Recherche appliquée:Travaux originaux entrepris en vue d’acquérir des connaissances nouvelles, dirigés vers un but ou objectif déterminé.

Développement expérimental:Travail systématique fondé sur des connaissances (obtenues par la recherche et l’expérience pratique) et conduit en vue de lancer la fabrication de nouveaux ma-tériaux, produits, appareils, et l’introduction de procédés, systèmes et prestations nouveaux ou substantiellement améliorés.

Prestations de servicesPar «prestations de services», on entend toutes les activités scientifiques et non scientifiques de routine qui n’ont pas trait directement à la R&D ni à l’enseig- nement, et qui s’adressent en priorité à un public évoluant en dehors des hautes écoles spécialisées.

Exemples: – Prestations de services telles que services d’information scientifiques et tech-niques dans la mesure où elles ne sont pas fournies à des fins de R&D;

– Expertises pour le compte de tiers; – Activités de contrôle pour le compte de tiers; – Offres de formation continue, à l’exclusion des études postgrades et des cours postgrades, exposés, séminaires, etc.;

– Publications et conférences destinées au grand public; – Recueil de données à des fins générales; – Toute autre activité se rapportant exclusivement ou prioritairement aux presta-tions de services, y c. les tâches organisationnelles et administratives.

Nicht unter Forschung und Entwicklung fallen alle Aktivitäten, deren Zweck nicht in der Forschung liegt, oder die nicht an ein Forschungsprojekt gebunden sind.

Beispiele: – Aus- und Weiterbildung des Personals – Dokumentation und bibliographische Arbeiten (sofern nicht direkt mit F+E verbunden)

– Periodische wissenschaftliche Dienstleistungen wie Datensammlung, Messungen, Erstellung von Statistiken, Prüfungen, routinemässige Qualitäts- und Produk- tionskontrollen

– Normierungsarbeiten – Administrative Arbeiten im Zusammenhang mit Patenten und Lizenzen – Technische, wissenschaftliche und administrative Beratung – Produktion von Gütern (einschliesslich der Testserien) und Dienstleistungen sowie deren Kontrolle

– Technische Verkaufsdienste, markt- und betriebswirtschaftliche Studien – Marketing und Machbarkeitsstudien (sofern sie sich nicht auf ein F+E-Projekt beziehen)

– Routinemässige Tätigkeiten, Kontrollen und laufende Verbesserungen – Benützung von bereits etablierten Methodologien und Kenntnissen.

Zu unterscheiden sind:Grundlagenforschung:ist experimentelle und theoretische Arbeit, die in erster Linie auf die Gewinnung neuer Erkenntnisse über den Ursprung von Phänomenen und beobachtbaren Tatsachen gerichtet ist, ohne auf eine besondere Anwendung oder Verwendung abzuzielen.

Angewandte Forschung:umfasst alle Aktivitäten zur Gewinnung neuer Erkenntnisse, sofern sie auf spezifi-sche, praktische Ziele gerichtet sind.

Experimentelle Entwicklung:ist systematische, auf vorhandenen wissenschaftlichen Erkenntnissen und/ oder praktischer Erfahrung aufbauende Arbeit, die auf die Herstellung neuer Materialien, Produkte und Geräte und die Einführung neuer Verfahren, Systeme und Dienst-leistungen sowie deren wesentliche Verbesserung abzielt.

Dienstleistungen Als Dienstleistungen gelten alle Tätigkeiten mit vorwiegend Routinecharakter, die nicht mit Forschung + Entwicklung und Lehre verbunden sind und sich primär an ein Publikum ausserhalb der Fachhochschulen richten.

Beispiele: – Dienstleistungen, v.a. wissenschaftliche und technische Informationsdienste, sofern sie nicht in erster Linie für F+E-Zwecke durchgeführt werden

– Gutachtertätigkeit für Dritte – Prüf- und Kontrolltätigkeit für Dritte – Weiterbildungskurse, Vorträge, Seminarien etc. – Publikations- und Vortragstätigkeit für eine breitere Öffentlichkeit – Datensammlung für allgemeine Zwecke – Alle sonstigen Tätigkeiten, welche ausschliesslich oder primär im Zusammen-hang mit Dienstleistungen erfolgen (inkl. organisatorische Aufgaben und Verwal-tung).

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Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

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Délimitation du domaine ne relevant pas des HESIl importe de bien distinguer les activités et les offres ne relevant du domaine des HES. Parmi celles-ci on compte les offres de formation subventionnées par le biais de la loi sur la formation professionnelle (LFPr), par ex. la formation au niveau des hautes écoles ou au niveau secondaire II, cours de préparation aux filières HES.

Abgrenzung des Nicht-FH-BereichsTätigkeiten und Angebote, die nicht zum FH-Bereich gehören, sind klar abzu-grenzen. Darunter fallen insbesondere Studienangebote, die über das Berufs- bildungsgesetz (BBG) subventioniert sind (z.B. Stufe Höhere Fachschule oder Sekundarstufe II, Vorbereitungskurse auf FH-Studiengänge).

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

AusbildungStudiengangbezogene Gliederung der Ausbildungskosten in Kostenträgern FHV-relevante Studiengänge: – BA Vorschulstufe und Primarstufe Die Kosten für die Klassenstufenerweiterungen im Rahmen der Vorschul-stufe und Primarstufe gehören zu derselben Spalte im Reporting für die Kostenstatistik des BFS.

– BA und MA Sekundarstufe I Die Kosten für die Ausbildung zur Lehrperson der Sekundarstufe I auf Masterstufe für Lehrpersonen der Vorschul- und Primarstufe sind ebenfalls dieser Kategorie zuzuweisen.

– BA Logopädie – BA Psychomotoriktherapie – MA Sonder- / Heilpädagogik Die Kosten für die Erbringung von Zusatzleistungen gem. Art. 5 bis 7 des Reglements über die Anerkennung der Diplome im Bereich der Sonderpädagogik sind ebenfalls dieser Spalte zuzuweisen.

– MA Logopädie – MA Fachdidaktik – DS Sekundarstufe II – DS Sekundarstufe I und II

EDK-anerkannte Erweiterungsstudien (auch wenn der Studierende nicht immatrikuliert ist): – Facherweiterung Vorschul- und Primarstufe – Facherweiterung Sek. I – Facherweiterung Sek. II

Nicht EDK-anerkannte Abschlüsse: – Kantonales Fachdiplom Sek. I der PHBern – Kantonaler Stufenumstieg für Primarlehrpersonen der PH Zürich – Übrige Studiengänge, z.B. nicht EDK-anerkannte Studiengänge zum Quer-einstieg in den Lehrberuf

Leistungen der Ausbildung für die Pädagogischen Hochschulen Lehrtätigkeiten: – Vorbereitung (inkl. Literaturstudium und Informationsbeschaffung wie z.B. Kongressteilnahme) und Durchführung von Lehrveranstaltungen des Diplomstudiums (mit Ziel Bachelor, Master, Diplom)

– Erstellen von Unterrichtsmaterial und veranstaltungsbezogenen Skripten oder Lehrbüchern für die Ausbildung

Prüfungen:Vorbereitung, Durchführung und Korrektur von Prüfungen (mündlich und schriftlich), Ausstellung von Bescheinigungen/Diplomen

Betreuung / Begleitung: – Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschlussarbeiten)

– Betreuung und Begleitung der Studierenden (z.B. Sprechstunden) – Berufspraktische Ausbildung

FormationDécomposition par filière des coûts de la formation Filières concernées par l’AHES: – BA préscolaire et primaire Les coûts des études additionnelles menant à une habilitation à enseigner dans des cycles supplémentaires doivent également être indiqués dans cette catégorie.

– BA et MA secondaire I Les coûts de la filière master permettant au corps enseignant des degrés préscolaire et primaire d’enseigner dans le degré secondaire I doivent éga-lement être indiqués dans cette catégorie.

– BA logopédie – BA psychomotricité – MA pédagogie spécialisée / curative Les coûts des prestations complémentaires à fournir au sens des art. 5 à 7 du règlement concernant la reconnaissance des diplômes dans le domaine de la pédagogie spécialisée, doivent également être indiqués dans cette catégorie.

– MA logopédie – MA didactique disciplinaire – Diplôme d‘enseignement secondaire II – Diplôme d‘enseignement secondaire I et II

Etudes complémentaires reconnues par la CDIP (également lorsque l’étudiant n’est pas immatriculé): – Degré préscolaire et primaire (branche supplémentaire) – Degré secondaire I (branche supplémentaire) – Degré secondaire II (branche supplémentaire)

Diplômes non reconnus par la CDIP: – «Kantonales Fachdiplom Sek. I» de la PHBern – «Kantonaler Stufenumstieg für Primarlehrpersonen» de la PH Zürich – Autres filières, p.ex. filières de reconversion dans l’enseignement non re-connues par la CDIP

Prestations de formation des hautes écoles pédagogiques Enseignement: – Préparation (y compris étude de la littérature spécialisée et autres formes d’actualisation des connaissances, p.ex. sous forme de participation à un congrès) et dispensation de l’enseignement dans les filières menant aux titres de bachelor, master ou diplôme

– Production de documents pédagogiques, de manuels ou autres documents d’enseignement

Examens:Préparation, réalisation et correction d’examens (oraux et écrits), établisse-ment d’attestations / diplômes

Encadrement et accompagnement: – Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et travaux qui sanctionnent la fin des études)

– Encadrement général des étudiants (p.ex. entretiens) – Formation pratique

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen106 107

Sonstiges: – Weiterbildung der Mitarbeitenden der Ausbildung (bezahlte Arbeitszeit und Teilnahmegebühren)

– Konferenzen, Kommissionsarbeit, Betreuung von Sammlungen von Unter-richtsmaterial (z.B. in der Biologie, in der Geografie etc.)

– Organisation, Evaluation und Weiterentwicklung der Lehrveranstaltungen inkl. Entwicklungskosten für die Studiengänge

– Organisatorische Aufgaben der Dozierenden und des administrativen und technischen Personals für die Lehre, inkl. administrativer Mitwirkung bei Prüfungen

– Umlagen (Overheads)

Inhalt der berufspraktischen Ausbildung1. Beratungsleistungen von einem Dozierenden der Hochschule (Mentor)2. Betreuung der Studierenden durch eine kantonale Praxislehrperson, die

von der Hochschule entschädigt wird (Pauschalbetrag pro Kontaktstunde oder pro Woche)

3. Koordinationsarbeit durch einen Dozierenden der Hochschule oder durch eine kantonale Lehrperson (in diesem Fall wird ein Teil des Lohns durch die Hochschule bezahlt)

4. Weitere Leistungen im Rahmen der Praxisausbildung (z.B. Organisation von «Ateliers», die die Studierenden für die praktische Ausbildung vorbereiten)

Umfang der berufspraktischen AusbildungGem. EDK-Richtlinien soll die Praxisausbildung zwischen 36 und 54 ECTS-Punkte (Vorschul- und Primarstufe), mindestens 48 ECTS-Punkte (Sek. I), mindestens 15 ECTS-Punkte (Sek. II) und mindestens 20 ECTS-Punkte (Sonderpädagogik) ausmachen.

Richtlinien zur Ermittlung der Kosten der berufspraktischen Ausbildung – Werden die Gehälter (inkl. Arbeitgeberbeiträgen) der Praxislehrkräfte für die berufspraktische Ausbildung nicht durch die Hochschule, sondern durch die Volksschule selbst bezahlt, werden sie auf der Basis von mittleren kan-tonsbezogenen Gehaltskosten bzw. der entsprechenden Entlastungen kalkula-torisch ermittelt (Mitte zwischen min. und max. Gehalt der Lehrpersonen der Zielstufe).

– Es werden nur die direkten Kosten (d.h. ohne Umlagekosten der Hochschule) berücksichtigt.

– Die Kosten für Mentorate ausserhalb der berufspraktischen Ausbildung wer-den den Kosten der berufspraktischen Ausbildung zugewiesen.

– Neben den Personalkosten sind auch allfällige Sachkosten im Rahmen der berufspraktischen Ausbildung zu berücksichtigen.

Abgrenzung zur WeiterbildungDie Kosten für Module, die sowohl für Weiterbildungslehrgänge als auch für Diplomstudiengänge verwendet werden, werden anteilsmässig auf die jeweili-gen Kostenträger verteilt.

WeiterbildungUmfang – Die Kosten sämtlicher Weiterbildungslehrgänge werden dem Kostenträger Weiterbildung zugewiesen, auch wenn die Studiengänge nicht EDK-aner-kannt sind, z.B. die Ausbildung der Praxislehrpersonen für die Ausbildung.

– Die kursorische Weiterbildung inkl. kantonaler Weiterbildungsaufträge wird ebenfalls dem Kostenträger Weiterbildung zugewiesen. Die Lernleistungen dieser Studiengänge werden grundsätzlich nicht mit ECTS-Kreditpunkten bewertet.

Autres: – Formation continue des collaborateurs de la formation de base (temps de travail rémunéré et frais de participation)

– Participation à des conférences, travaux en commission, suivi de la collecte de matériel destiné à l’enseignement (p.ex. en biologie, en géographie, etc.)

– Organisation, évaluation et développement des enseignements, y compris coûts de développement des filières de formation

– Tâches organisationnelles et administratives des enseignants et du personnel administratif pour l’enseignement, y compris assistance administrative aux examens

– Répartitions (overheads)

Contenu de la formation pratique1. Conseil par un enseignant de la haute école (mentor)2. Encadrement des stagiaires par une praticienne formatrice ou un praticien

formateur d’une école cantonale. Cette personne est indemnisée par la haute école (généralement par un montant forfaitaire par heure de contact ou par semaine)

3. Coordination des stages pratiques par un enseignant de la HEP ou d’une école cantonale (une partie de son salaire est dans ce cas pris en charge par la HEP)

4. Autres prestations fournies dans le cadre de la formation pratique (p.ex. organisation d’ateliers préparant les étudiants aux stages pratiques)

Périmètre de la formation pratiqueConformément aux directives de la CDIP, la formation pratique vaut entre 36 et 54 points ECTS (degrés préscolaire et primaire), au minimum 48 points ECTS (secondaire I), au minimum 15 points ECTS (secondaire II) et au mini-mum 20 points ECTS (pédagogie spécialisée).

Directives pour le calcul des coûts de la formation pratique – Si les salaires (y compris les cotisations de l’employeur) des enseignants en formation pratique sont payés non pas par la haute école mais par l’école obligatoire elle-même, ils sont calculés sur la base des coûts moyens des salaires du canton ou déterminés sur la base des décharges (revenu médian de l’échelle salariale du personnel enseignant, selon le degré d’enseignement).

– Seuls les coûts directs sont pris en considération (c’est-à-dire sans les frais de répartition de la HEP).

– Les coûts du mentorat en dehors de la formation pratique sont comptabilisés dans les coûts de formation pratique.

– En plus des coûts de personnel, les frais matériels doivent également être pris en compte le cas échéant.

Distinction par rapport à la formation continueLes coûts des modules suivis aussi bien dans le cadre des filières de forma-tion continue que dans le cadre des filières diplôme sont répartis au prorata sur les objets de coûts concernés.

Formation continuePérimètre – Les coûts de l’ensemble des filières de formation continue sont attribués à l’objet de coûts formation continue, même si les filières ne sont pas re-connues par la CDIP (exemple: formation des praticiens formateurs).

– Les coûts des cours de formation continue sont également attribués à l’objet de coûts formation continue, y compris les mandats cantonaux de formation continue. Les enseignements dans ces filières ne sont générale-ment pas crédités de points ECTS.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen108 109

Leistungen der Weiterbildung für die Pädagogischen Hochschulen Lehrtätigkeiten: – Vorbereitung (inkl. Literaturstudium und Informationsbeschaffung wie z.B. Kongressteilnahme) und Durchführung von Lehrveranstaltungen der Weiter-bildung

– Erstellen von Unterrichtsmaterial und veranstaltungsbezogenen Skripten oder Lehrbüchern für die Weiterbildung

Prüfungen:Vorbereitung, Durchführung und Korrektur von Prüfungen (mündlich und schriftlich)

Betreuung / Begleitung:Begleitung und Bewertung schriftlicher Arbeiten (Diplomarbeiten und Abschlussarbeiten)

Sonstiges: – Weiterbildung der Mitarbeitenden der Weiterbildung (bezahlte Arbeitszeit und Teilnahmegebühren)

– Konferenzen, Kommissionsarbeit, Betreuung von Sammlungen von Unter-richtsmaterial (z.B. in der Biologie, in der Geografie etc.)

– Organisation, Evaluation und Weiterentwicklung der Lehrveranstaltungen – Organisatorische Aufgaben der Dozierenden und des administrativen und technischen Personals für die Weiterbildung, inkl. administrativer Mitwirkung bei Prüfungen

– Umlagen (Overheads) Forschung und EntwicklungErgänzungen zur Definition des SBFI: – Es handelt sich um Leistungen innerhalb eines Projekts, deren Fokus auf dem Ergebnis liegt (inhaltliches Interesse).

– Der Erkenntnisgewinn liegt im Wesentlichen bei der Bildung und/oder Ausbildung.

– Es handelt sich in der Regel um eine einmalige Leistung.

Zur Forschung gehören auch die Kosten für die Forschungsarbeiten der Dozierenden der Ausbildung und der Weiterbildung.Die Unterrichtsvorbereitung wie Literaturstudium und Informationsbeschaffung gehört hingegen zur Ausbildung bzw. zur Weiterbildung.

DienstleistungenErgänzungen zur Definition des SBFI: – Bei den Dienstleistungen liegt der Fokus auf dem Ertrag (materielles Interesse). – Der Erkenntnisgewinn liegt im Wesentlichen bei den Leistungsbezügern (Produkteverkauf).

– Es handelt sich um eine einmalige oder wiederkehrende Leistung.

Beispiele für Dienstleistungen der Pädagogischen Hochschulen sind: – Gutachten im Auftrag Dritter – Publikationen, welche von Dritten bestellt werden oder zum Verkauf erstellt werden

– Vortragstätigkeiten für eine breitere Öffentlichkeit, z.B. Interview des Rektors mit Journalisten

– Pädagogische Schriften (soweit es sich nicht um Forschung handelt) – Aufträge von Kantonen ausserhalb eines Konkordates für kursorische Weiterbildung (z.B. Schulevaluationen)

– Beratung von Lehrkräften, wenn nicht an Kursen vermittelt – Informatikdienstleistungen für Dritte

Prestations de formation continue pour les hautes écoles pédagogiquesEnseignement: – Préparation (y compris étude de la littérature spécialisée et autres formes d’actualisation des connaissances, p.ex. sous forme de participation à un congrès) et dispensation de l’enseignement dans le cadre de l’offre de formation continue

– Production de documents pédagogiques, de manuels ou autres documents pédagoiques destinés à la formation continue

Examens:Préparation, réalisation et correction d’examens (oraux et écrits)

Encadrement / accompagnement: Accompagnement et évaluation des travaux écrits (travaux de diplôme et travaux qui sanctionnent la fin des études)

Autres: – Formation continue des collaborateurs de la formation continue (temps de travail rémunéré et frais de participation)

– Participation à des conférences, travaux en commission, suivi de la collecte de matériel destiné à l’enseignement (p.ex. en biologie, en géographie, etc.)

– Organisation, évaluation et développement des enseignements – Tâches organisationnelles et administratives des enseignants et du personnel administratif pour la formation continue, y compris assistance administrative aux examens

– Répartitions (overheads)

Recherche et développementCompléments par rapport à la définition du SEFRI: – Il s’agit de prestations dans le cadre d’un projet dont l’objectif essentiel est le résultat (intérêt scientifique).

– La connaissance profite essentiellement à l’éducation au sens large et / ou à la formation.

– Il s’agit en règle générale d’une prestation unique.

Les coûts des travaux de recherche des enseignants de la formation de base ou continue font également partie des coûts de recherche. La préparation de l’enseignement (p.ex. l’étude de la littérature spécialisée ou la mise à jour des connaissances), fait en revanche partie de la formation de base ou de la formation continue.

Prestations de servicesCompléments par rapport à la définition du SEFRI: – La prestation de services a un but lucratif (intérêt matériel). – La connaissance profite essentiellement au bénéficiaire de la prestation (produit vendu).

– Il peut s’agir d’une prestation ponctuelle ou récurrente.

Exemples de prestations de services des hautes écoles pédagogiques: – Expertises mandatées par des tiers – Publications commandées par des tiers ou destinées à la vente – Conférences destinées au grand public, p.ex. entretien du recteur avec des journalistes

– Ecrits pédagogiques (pour autant qu’il ne s’agisse pas de recherche) – Mandats cantonaux non liés à un concordat concernant les cours de for-mation continue (évaluations d’écoles cantonales par exemple)

– Conseil au corps enseignant en dehors des cours – Services informatiques à des tiers

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen110 111

Nicht-PH-BereichAlle Kosten für Leistungen, die nicht in Zusammenhang mit den vier Leis-tungsbereichen des Leistungsauftrags stehen, werden dem Nicht-PH-Bereich zugeordnet. Diesem Bereich muss auch ein entsprechender Teil der Over-headkosten belastet werden.

Beispiele: – Vorbereitungskurs auf PH-Studiengänge – Ausbildungen ausserhalb der Lehrkräfteausbildung (z.B. Gebärdensprach-dolmetschen od. Gebärdensprachausbildner)

– Verkauf von Lehr- und Lernmitteln – Tagungszentren (Kosten und Erlöse aus Vermietungen an Dritte)

Umsetzungshinweise für die Pädagogischen HochschulenBerechnungsmethode bei fehlenden Kosten der berufspraktischen PraxisausbildungSind Kosten für die Leistungen im Rahmen der berufspraktischen Ausbildung in der Kostenrechnung der Hochschule nicht enthalten (z.B. wenn die kanto-nalen Praxislehrpersonen von der PH nicht entschädigt werden), wendet die Hochschule folgende Schätzungsmethode an:

A = B x CA: Kosten der Leistungen der betroffenen Lehrpersonen pro Studiengang, in CHFB: Mittlere Stufe der Lohnklasse der betroffenen Lehrpersonen pro Zielstufe, in CHF pro StundeC: Summe der Stunden über alle betroffenen Lehrpersonen für die Leistungen zuhanden der Hochschule innerhalb der Referenzperiode (Kalenderjahr).Lehrpersonen sind Mentorinnen bzw. Mentoren, Praxislehrpersonen, Koordi-natorinnen bzw. Koordinatoren der berufspraktischen Studien.

Gehören die Lehrpersonen zu unterschiedlichen kantonalen Lohnklassen, dann sind die Kosten soweit möglich nach Lohnklasse separat zu berechnen. Ansonsten erfolgt die Berechnung anhand der durchschnittlichen Lohnklasse für alle Lehrpersonen.

Sind sämtliche Kosten für die berufspraktische Ausbildung in der Kosten-rechnung der Hochschule enthalten, ohne dass eine klare Trennung zu den gesamten Ausbildungskosten vorhanden ist, werden die gesamten Ausbil-dungskosten anhand der eingeschriebenen ECTS-Punkte auf die Fachaus- bildung und die Praxisausbildung verteilt.

Ausweis der Kosten für die ErweiterungsstudienIst eine direkte Abgrenzung zu den Diplom-, Bachelor- oder Masterstudien-gängen nicht möglich (z.B. im Falle von einheitlichen Modulen bei Facherwei-terungen), werden die Kosten anhand der Anzahl der eingeschriebenen ECTS-Punkte auf die einzelnen Teilkostenträger verteilt.

Domaine ne relevant pas des HEPTous les coûts des prestations sans rapport avec les quatre groupes de prestations sont répertoriés dans le domaine ne relevant pas des HEP. Un pourcentage des coûts overhead doit également être imputé à ce secteur.

Exemples: – Cours préparatoires aux filières HEP – Formations sans lien avec la formation des enseignants (p.ex. formation des interprètes en langage des signes)

– Vente de matériel de formation et d’enseignement – Centres de conférence (coûts et revenus liés à la location à des tiers)

Recommandations pour la mise en application Calcul des coûts manquants pour la formation pratique Dans le cas où les coûts pour les prestations dans le cadre de la formation pratique ne sont pas contenus dans la comptabilité analytique de la haute école (p.ex. lorsque l’enseignant de la formation pratique du canton n’est pas indemnisé par la HEP), la haute école effectue le calcul suivant:

A = B * Coù A = coûts des prestations fournies par les enseignants de la formation pratique, par filière d’étude, en CHF;B = position médiane de la classe salariale des enseignants concernés selon le degré d’enseignement, en CHF, par heure;C = total des heures investies par l’ensemble des enseignants concernés pour les prestations destinées à la haute école durant la période sous revue (année civile); et où les enseignants sont les mentors, praticiens formateurs et coordina-teurs de la formation pratique.

Si les enseignants appartiennent à différentes classes salariales du canton, le calcul décrit ci-dessus est effectué dans la mesure du possible séparément pour chaque classe de salaire. Lorsque ce n'est pas possible, la moyenne des classes salariales de tous les enseignants de la formation pratique est employée.

Si les coûts de la partie pratique de la formation sont recensés intégralement dans la comptabilité analytique de la haute école sans qu’il ne soit possible de les distinguer des coûts totaux de la formation, la haute école répartit les coûts totaux entre la formation disciplinaire et la formation pratique en fonc-tion du nombre de points ECTS inscrits.

Détermination des coûts pour les études additionnellesS’il n’est pas possible de distinguer les coûts des études additionnelles des coûts des filières diplôme, bachelor ou master (p.ex. en cas de modules communs), les coûts sont ventilés entre les différents objets de coûts en fonction du nombre de points ECTS inscrits.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen112 113

Annexe 3

Délimitations

Délimitations temporelles et matérielles entre la charge et le produit comptabilisés conformément à la comptabilité financière et aux coûts et aux produits imputés effectivement à une période comptable dans le calcul des coûts.

Délimitations temporelles et matériellesLe paiement de subventions par la Confédération et par les autorités responsables de la formation est lié à la fourniture de prestations qui engendrent également, de leur côté, une charge et un coût. Conformément à la définition, seule la charge requise pour les prestations effectivement fournies en conformité avec le mandat de prestations doit être subventionnée.

Définition de «charge d'objectif»: Consommation de valeur, qui apparaît lors d'une période par suite à des presta-tions d'exploitation et qui a été comptabilisée comme charge dans la comptabilité financière.

Dans la perspective d’un calcul parlant des coûts et des prestations, il est néces-saire de distinguer entre deux types de délimitations: – Des délimitations temporelles sont nécessaires dès que le flux des paiements comptabilisés n'intervient pas dans la même période comptable que celle où la prestation a été fournie

– Des délimitations matérielles sont nécessaires lorsque, par exemple, des réserves latentes ont été constituées ou dissoutes. Dans ces cas, la charge comptabili-sée ne correspond pas à la consommation effective et objective de valeur à indiquer dans le calcul des coûts et des prestations; de ce fait, la charge doit être corrigée. Exemples: amortissements et intérêts calculés.

Délimitations temporellesLes coûts et les produits sont comptabilisés en règle générale à des moments différents. Dans le cadre d'une comptabilité financière correctement tenue, les délimitations temporelles prennent obligatoirement la forme d'actifs et de passifs transitoires. Ceux-ci incorporent également les positions anticipées (par ex. prise en compte de subventions promises, mais payées seulement l'année suivante pactifs transitoires).

Exemples de prestations fournies par une école:Durant la formation initiale de base, des taxes d’études forfaitaires et des sub-ventions AHES sont comptabilisées dans les produits par avance, bien que les prestations ne soient fournies que plus tard. Il en va de même dans la formation continue avec les taxes d’études forfaitaires.

Les coûts de recherche appliquée et de développement, de même que les man-dats de prestations de services sont comptabilisés en général avant les produits. À la fin de la période comptable, il faut activer les coûts ou délimiter les produits.

Anhang 3

Abgrenzungen

Zeitliche und sachliche Abgrenzungen zwischen verbuchtem Aufwand bzw. Ertrag gemäss Finanzbuchhaltung und den effektiv einer Periode anzurechnenden Kosten bzw. Erlösen in der Kostenartenrechnung.

Zeitliche und sachliche AbgrenzungenSubventionszahlungen von Bund wie auch von Schulträgern sind an das Erbrin-gen von Leistungen geknüpft, welche ihrerseits auch einen finanziellen Aufwand bzw. Kosten verursachen. Es sollte gemäss Definition nur der Zweckaufwand für die effektiv gemäss Leistungsauftrag erbrachten Leistungen subventioniert werden.

Def. Zweckaufwand:Wertverzehr, der innerhalb einer Periode durch die betriebliche Leistungserstel-lung erwächst und in der Finanzbuchhaltung als Aufwand verbucht wurde.

Im Hinblick auf eine aussagekräftige Kosten- und Leistungsrechnung sind zweierlei Abgrenzungen notwendig: – Zeitliche Abgrenzungen sind notwendig, sobald der verbuchte Zahlungsfluss nicht in derselben Rechnungsperiode erfolgt, in welcher auch die entsprechen-de Leistung erbracht worden ist.

– Sachliche Abgrenzungen sind erforderlich, wenn beispielsweise stille Reserven gebildet oder aufgelöst werden. In diesen Fällen entspricht der verbuchte Aufwand nicht dem in die Kosten- und Leistungsrechnung aufzunehmenden tat-sächlichen, objektiven Wertverzehr: der Aufwand muss korrigiert werden. Weitere Beispiele sind: Kalkulatorische Abschreibungen und Zinsen.

Zeitliche AbgrenzungenGrundsätzlich fallen Kosten und Erträge zu verschiedenen Zeitpunkten an. Im Rahmen einer ordnungsmässigen Finanzbuchhaltung sind zeitliche Abgrenzungen in Form von transitorischen Aktiven und Passiven zwingend vorzunehmen. Diese beinhalten auch antizipatorische Posten (z.B. Berücksichtigung von zugesicherten, aber erst im folgenden Jahr ausbezahlten Subventionenptransitorische Aktiven).

Beispiele für die Leistungen einer Schule:In Lehre Grundstudium fallen bei den Erträgen Schulgelder und Beiträge FHV im Voraus an, die Leistungen werden aber erst in der Zukunft erbracht.In der Weiterbildung gilt das gleiche für die Schulgelder.

Kosten für angewandte Forschung + Entwicklung und Dienstleistungsaufträge fallen in der Regel vor den Erträgen an. Am Periodenende sind die Kosten zu akti-vieren oder die Erträge abzugrenzen.

Leitfaden des SBFI

für die Fachhochschulen

Stand Dez. 2006

Manuel du SEFRI

pour les hautes écoles spécialisées

état décembre 2006

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Charges (selon la comptabilité financière)

Charges non considérées comme des

coûts

Coûts<

Charges

Charges>

Coûts

Coûts>

Charges

Charges=

Coûts

Coûts=

Charges

Charges<

Coûts

Coûts non considérés comme des

charges

Coûts (pour la comptabilité analytique)

Charges et produits neu-tres (extraord./ hors exploit.)

Coûts supplétifs (p. ex. intérêts calculés)

Cas normal (les coûts équivalent aux charges)

Évaluation differenciée (p. ex. création réserves latentes)

Évaluation differenciée(p. ex. dissolution de réserves latentes)

Aufwand (gemäss Finanzbuchhaltung)

Aufwand, der nicht zu den Kosten zählt

Kosten<

Auswand

Aufwand>

Kosten

Kosten>

Aufwand

Aufwand=

Kosten

Kosten=

Aufwand

Aufwand<

Kosten

Kosten, die nicht Aufwand

sind

Kosten (für Betriebsbuchhaltung)

Neutrale (auss-erodentliche / betriebsfremde) Aufwände und Erträge

Zusatzkosten (z.B. kalkula-torische Zinsen)

Normalfall (Aufwand- gleiche Kosten)

Unterschiedliche Bewertung (z.B. Bildung von stillen Reserven)

Unterschiedliche Bewertung (z.B. Auflösung von stillen Reserven)

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen114 115

Délimitations matériellesLe graphique suivant fournit une vue d'ensemble des délimitations matérielles possibles entre les charges et les coûts. Des réflexions du même ordre valent de manière analogue pour la délimitation des produits (selon la comptabilité générale) et des prestations (selon la comptabilité analytique). Comme pour les coûts, les prestations sont comptabilisées de façon ordinaire et objective.

Figure 12: Délimitations matérielles

Les charges (et les prestations) neutres ne représentent pas des coûts (et des produits). Pour le calcul des coûts, seules les charges et les produits nécessaires à l'accomplissement de la prestation sont pris en considération. Par conséquent, toutes les charges et tous les produits qui ne desservent pas le but concret de l'entreprise et qui ne peuvent être attribués aux affaires courantes font partie des charges et des produits neutres et ne sont donc pas directement considérés dans le calcul des coûts.

Les coûts supplétifs n'ont pas leur correspondant dans le compte de résultats. Ils concernent les coûts qui correspondent économiquement à une diminution de valeur par suite d'exécution d'une prestation, mais qui par ailleurs ne doivent pas être retenus dans la comptabilité financière, par exemple les coûts d'intérêts calculés sur le capital investi (conformément au manuel du SEFRI).

L’emploi différencié des limites d’activation et des taux d’amortissement seront pris en compte lors du passage de la comptabilité financière au calcul des coûts. Les limites d’activation et les taux d’amortissement sont valables pour le calcul des coûts pratiqué au SEFRI conformément au manuel du SEFRI.

Sachliche AbgrenzungenDie folgende Grafik gibt eine Übersicht über die möglichen sachlichen Abgrenzun-gen zwischen Aufwand und Kosten. Die gleichen Überlegungen gelten analog für die Abgrenzung von Erlösen (gemäss Finanzbuchhaltung) und Erträgen (für die Betriebsbuchhaltung). Wie die Kosten sind auch die Leistungen stets ordentlich und sachzielbezogen.

Abbildung 12: Sachliche Abgrenzungen

Neutrale Aufwendungen (und Erlöse) stellen keine Kosten (und Erträge) dar. Für die Kostenrechnung sind nur die für die Erfüllung der Leistungen anfallenden Aufwendungen bzw. Erträge relevant. Demnach fallen alle nicht dem Sachziel des Unternehmens dienenden Aufwände und/oder Erträge, mit denen im Rahmen des üblichen Geschäftsverkehrs nicht gerechnet werden kann, unter die neutralen Aufwände und Erträge und finden damit in der Kostenrechnung keine unmittelbare Beachtung.

Die sogenannten Zusatzkosten haben kein Pendant in der Erfolgsrechnung. Sie umfassen Kosten, welche betriebswirtschaftlich betrachtet zwar einem leistungs-bedingten Wertverzehr entsprechen, in der Finanzbuchhaltung jedoch nicht ver-bucht werden dürfenpBeispielsweise kalkulatorische Zinskosten auf dem inves-tierten Kapital (gemäss Richtlinien SBFI-Leitfaden).

Die unterschiedliche Anwendung von Aktivierungslimiten und Abschreibungs- sätzen werden mit sachlichen Abgrenzungen in der Überleitung von der Finanz-buchhaltung zur Kostenrechnung berücksichtigt. Für die Kostenrechnung SBFI gelten die Aktivierungslimiten und Abschreibungssätze gemäss Leitfaden.

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Précisions pour les hautes écoles pédagogiques

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen116 117

Präzisierungen für die Pädagogischen Hochschulen

Zeitliche AbgrenzungenFall 1 – Schulgelder und FHV-Beiträge in der Aus- und WeiterbildungIm Grundstudium fallen bei den Erträgen Schulgelder und FHV-Beiträge im Voraus an, die Kosten für die Lehrleistungen entstehen aber teilweise erst im folgenden Jahr. Damit die Zuweisung der Studiengelder, der kantonalen Beiträge und der FHV-Beiträge mit der Erbringung von Leistungen und mit der Zuweisung der Kosten in der BFS-Kostenstatistik übereinstimmt, müssen die Erlöse korrekt abgegrenzt werden. In der Weiterbildung gilt das Gleiche für die Schulgelder.

Beispiel: – Im Jahr 2012 werden 5 Mio. CHF Studiengelder für das Herbstsemester 2012/13 als Erlöse verbucht.

– Die entsprechend erbrachten Lehrleistungen – und deren Kosten – für das Herbstsemester 2012/13 laufen von August 2012 bis Ende Januar 2013; darunter fallen auch die Vorbereitungsarbeiten vor dem Semesterbeginn.

– Ein Sechstel der Kosten fällt im Jahr 2013 an. – Damit die Verbuchung der Kosten und der Erlöse mit der Leistungserbrin-gung übereinstimmt, wird ein Sechstel der Erlöse abgegrenzt und in der nächsten Periode berücksichtigt.

Fall 2 – Kosten und Erlöse in der Forschung und in den DienstleistungenBeispiel: – 2012 werden 2,5 Mio. CHF Drittmittel für ein Forschungsprojekt vom Kanton bezahlt; die Verbuchung durch die Hochschule erfolgt ebenfalls im Jahr 2012.

– Das Projekt fängt am 1. Oktober 2012 an und endet am 30. September 2013. – Da die entsprechend erbrachten Leistungen – und deren Kosten – auf die beiden Jahre 2012 und 2013 fallen, werden drei Viertel der Erlöse abge-grenzt und in der nächsten Periode berücksichtigt; somit stimmt die Verbu-chung der Kosten und der Erlöse mit der Leistungserbringung überein.

Fall 3 – Über- und Minusstunden im Vergleich zur bezahlten ArbeitszeitPositive oder negative Gleitzeitsaldi (administratives und technisches Personal), Abweichungen des Beschäftigungsgrades gegenüber dem Leistungsauftrag (Dozierende) und Ferienguthaben bilden Kosten bzw. Kostenminderungen für die Hochschulen. Ein korrekter Ausweis des effektiven Leistungsumfangs einer Hochschule benötigt eine Bewertung der Gleitzeitsaldi und Abweichun-gen des Beschäftigungsgrades per 31. Dezember vom Kalenderjahr und eine Abgrenzung im Sinne von transitorischen Passiven (Kostenerhöhung) oder Aktiven (Kostenminderung).

Ausnahmen: – Werden aufgrund von kantonalen Richtlinien Überstunden über eine gewisse Grenze (z.B. 42 Stunden pro Jahr) gekürzt bzw. gestrichen, müssen sie nicht bewertet werden.

– Die Rektorinnen bzw. Rektoren sind für ihre Funktion bezahlt; ihre Über-stunden müssen nicht bewertet werden.

Die notwendigen Angaben für die Bewertung und die Abgrenzung stammen in der Regel aus der individuellen Pensenbuchhaltung (Dozierende) und der Ar-beitszeiterfassung (administratives und technisches Personal).

Délimitations temporellesCas de figure 1 – taxes d’étude et contributions AHES en formation de base et continueDurant la formation de base, des taxes d’étude forfaitaires et des subventions AHES sont comptabilisées par avance dans les produits, bien que les presta-tions ne soient en partie fournies que l’année suivante. Pour que les taxes d’étude, les subsides cantonaux et les contributions AHES indiqués dans la statistique de l’OFS concordent avec la fourniture de prestations et les coûts correspondants, les produits doivent être ajustés. Il en va de même dans la formation continue avec les taxes d’étude forfaitaires.

Exemple: – En 2012, des taxes d’étude d’un montant de 5 millons de CHF sont comptabilisées pour le semestre d’automne 2012/13.

– Les prestations (y compris travaux préparatoires avant le début du semestre) et les coûts pour le semestre d’automne 2012/13 se répartissent entre août 2012 et fin janvier 2013.

– Un sixième des coûts concerne l’année 2013. – Un sixième des revenus est ajusté et indiqué dans la statistique de l’année 2013, de sorte à garantir l’adéquation des coûts et revenus avec le niveau des prestations fournies.

Cas de figure 2 – coûts et revenus en recherche et dans les prestations de servicesExemple: – En 2012, 2,5 millions de CHF sont dépensés dans le cadre d’un projet de recherche.

– Le projet commence le 1er octobre 2012 et se termine le 30 septembre 2013.

– Les prestations fournies (et les coûts correspondants) se répartissent à la fois sur les années 2012 et 2013. Afin de faire coïncider la comptabilisati-on des coûts et des revenus avec les prestations fournies, les trois quarts de la subvention sont retranchés de la comptabilité analytique 2012 et re-portés sur l’année 2013.

Cas de figure 3 – différence entre heures effectuées et heures payéesLes soldes positifs ou négatifs de l’horaire mobile (personnel administratif et technique), les écarts entre le taux d’occupation et le mandat de prestations (enseignants) et les vacances non prises représentent des coûts ou des dimi-nutions de coûts pour les hautes écoles. Pour comptabiliser correctement le volume de prestations d’une haute école, il faut valoriser les soldes de l’horaire mobile et les écarts du taux d’occupation au 31 décembre de l’année civile et les ajuster en utilisant le passif transitoire (hausse de coûts) ou l’actif transitoire (baisse de coûts).

Exceptions: – Au-delà d’une certaine limite (p.ex. 42 heures par an) prévue par les direc-tives cantonales, les heures supplémentaires effacées ne doivent plus être comptabilisées.

– Le salaire des rectrices et recteurs étant fixé selon la fonction, leurs heures supplémentaires ne doivent pas être valorisées.

Les données nécessaires pour la valorisation et l’ajustement proviennent en règle générale de la comptabilisation du temps de travail (enseignants) et de la saisie du temps de travail (personnel administratif et technique).

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1 Quelle: Swiss GAAP FER, Fachempfehlungen zur Rechnungsführung, 2009 (FER, Zürich)

1 Source: Swiss GAAP RPC, Recommandations relatives à la présentation des comptes, 2009 (RPC, Zurich)

Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen118 119

Beispiel: – 2012 wurde mehr gearbeitet (geleistet) als bezahlt. – Die Überstunden werden im Jahr 2013 ausbezahlt. – Berücksichtigung der Kosten der Überstunden im Jahr 2012 (geleistet im Jahr 2012) als transitorische Passiven für die Auszahlung im Jahr 2013

– Umgekehrtes Verfahren bei Minusstunden (transitorische Aktiven)

Fall 4 – RückstellungenEine Rückstellung ist eine auf einem Ereignis in der Vergangenheit begründete wahrscheinliche Verpflichtung, deren Höhe und/oder Fälligkeit (noch) unge-wiss, aber schätzbar ist.1

Beispiel 1: – Im Jahresabschluss 2011 wird eine Rückstellung von CHF 500'000.– für einen Gerichtsfall, der auf das gleiche Jahr zurückgeht, gebildet und erfolgswirksam gebucht.

– Die gebildete Rückstellung wird in der Kostenrechnung 2011 berücksichtigt. – Die Ausgabe wird im Jahr 2013 effektiv und die Rückstellung aufgelöst. Falls die tatsächlichen Kosten vom Rückstellungsbetrag abweichen, muss die Differenz zu den effektiven Kosten erfolgswirksam gebucht werden.

Beispiel 2: – Im Jahresabschluss 2012 wird eine Rückstellung von CHF 500'000.– für einen Gerichtsfall, der auf das Jahr 2011 zurückgeht, gebildet und erfolgs-wirksam gebucht.

– Auch wenn das Ereignis das Jahr 2011 betrifft, wird die gebildete Rückstel-lung vollständigkeitshalber trotzdem in der Kostenrechnung 2012 berück-sichtigt. (Einmalige) Sondereffekte sind ggf. entsprechend zu kommentieren.

– Die Ausgabe wird im Jahr 2013 effektiv und die Rückstellung aufgelöst.

Sachliche AbgrenzungenKalkulatorische AbschreibungenDie unterschiedliche Anwendung von Aktivierungslimiten und Abschreibungs-sätzen wird mit sachlichen Abgrenzungen in dem Übergang von der Finanz-buchhaltung zur Kostenrechnung abgegrenzt. Werden keine Abschreibungen für die Investitionen in der Finanzbuchhaltung unternommen, sind diese in der Kostenrechnung durchzuführen und kalkulatorisch zu berücksichtigen. Die Vorgaben zu den Aktivierungslimiten und Abschreibungssätzen aus dem Leit-faden des SBFI für die Fachhochschulen, Kap. 8, gelten als Richtlinie für die Pädagogischen Hochschulen.

Exemple: – Le nombre d’heures effectué en 2012 est supérieur au nombre d’heures rémunéré.

– Les heures supplémentaires ainsi générées seront payées en 2013. – Les coûts de ces heures supplémentaires effectuées en 2012 sont considé-rés dans la comptabilité analytique 2012 comme passifs transitoires, le versement effectif aura lieu en 2013.

– Pour les heures travaillées en moins, l’opération est inversée: des actifs transitoires sont comptabilisés.

Cas de figure 4 – provisions Une provision est un engagement probable, fondé sur un événement passé, dont le montant et / ou l'échéance sont (encore) incertains mais estimables de manière fiable.1

Exemple 1: – Lors de la clôture de l’exercice 2011, une provision de CHF 500'000.– est constituée et comptabilisée dans le compte de résultat pour une affaire juridique dont l’origine remonte à la même année.

– La provision constituée figure dans la comptabilité analytique 2011. – En 2013 la dépense est effective et la provision dissoute. Si le montant de la provision diffère des coûts effectifs, la différence correspondante doit être comptabilisée dans le compte de résultat.

Exemple 2: – Lors de la clôture de l’exercice 2012, une provision de CHF 500'000.– est constituée et comptabilisée dans le compte de résultat pour une affaire juridique dont l’origine remonte à 2011.

– Bien que la provision constituée concerne l’année 2011, elle est intégrée à part entière dans la comptabilité analytique 2012. Les événements uniques et exceptionnels doivent être commentés en conséquence.

– En 2013 la dépense est effective et la provision dissoute.

Délimitations matériellesAmortissements calculés L’emploi différencié des limites d’activation et des taux d’amortissement sont pris en compte lors du passage de la comptabilité financière à la comptabili-té analytique. Lorsque les investissements ne sont pas amortis en comptabilité financière, des amortissements doivent être intégrés dans la comptabilité analytique de façon calculatoire. Les directives relatives aux limites d’activation et aux taux d’amortissement pour la comptabilité analytique des hautes écoles spécialisées selon le manuel du SEFRI, chapitre 8, s’appliquent aux hautes écoles pédagogiques.

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Comptabilité analytique dans les hautes écoles pédagogiques Kostenrechnung für Pädagogische Hochschulen120 121

Annexe 4

Définition des variables relatives aux étudiants

Le coût par équivalent plein-temps est un indicateur important pour le pilotage des hautes écoles pédagogiques et pour la comparaison entre les établissements. Parallèlement, l’Office fédéral de la statistique (OFS) est tenu de calculer le coût par étudiant, afin d’effectuer des comparaisons internationales dans le cadre des statistiques de l’OCDE.

Pour pouvoir calculer ces indicateurs de coûts, les variables relatives aux étudiants sont renseignées dans le reporting pour la statistique des coûts de l’OFS, en plus des données financières.

Nombre d’étudiants (effectifs)Identification des étudiantsLe numéro de matricule permet d’identifier les étudiants. Établi selon des règles communes, il reste le même durant toute la durée des études de l’étudiant con-cerné, y compris si celui-ci change de haute école, ou s’il interrompt ses études. Cette permanence garantit que chaque personne n’ait qu’un seul numéro.

En ce qui concerne les hautes écoles pédagogiques, seuls les étudiants des fili-ères reconnues se voient attribuer un numéro de matricule. Les étudiants sont immatriculés seulement si leur filière figure à l’annexe de l’accord intercantonal sur les hautes écoles spécialisées (AHES HEP), y compris lorsqu’il n’y a pas encore de préavis. Une exception est faite pour les filières de la «Hochschule für Heilpädagogik Zürich», pour laquelle un concordat existe et qui ne touche pas de contributions de l’AHES.

L’OFS contrôle au moyen des numéros de matricule si les étudiants sont immatri-culés dans diverses hautes écoles, respectivement dans plusieurs filières. Pour la formation des enseignants de niveau secondaire II, les doubles-immatriculations sont tolérées (se référer à la décision de la Commission AHES du 22 janvier 2009).

Source: manuel technique de l’OFS pour le relevé des étudiants dans les hautes écoles spécialisées et pédagogiques.

Étudiants en congéDans certains cas, les étudiants en congé sont saisis dans la statistique des étu-diants de l’OFS avec un motif de congé particulier. Voici les motifs de congé reconnus: – congé pour service militaire – congé pour maladie, accident ou maternité – congé pour une interruption d’études prévue par la HEP, pour autant que la personne reste immatriculée. Exemple: un étudiant qui ne réussit pas l’examen final du premier coup attend pour le passer sans pour autant bénéficier de prestations de formation.

– Autre motif, p.ex. pour un séjour linguistique à l’étranger, pour autant que des points ECTS ne soient pas acquis.

Source: manuel technique de l’OFS pour le relevé des étudiants dans les hautes écoles spécialisées et pédagogiques.

Anhang 4

Definition der Studierendenmerkmale

Eine wichtige Kennzahl für die Steuerung der Pädagogischen Hochschulen und für den Vergleich zwischen den Pädagogischen Hochschulen ist der Indikator «Kosten pro Vollzeitäquivalent» (VZÄ). Parallel ist das Bundesamt für Statistik (BFS) für den internationalen Vergleich im Rahmen der OECD-Statistiken auf die Berechnung der Kosten pro Studierenden angewiesen.

Um die notwendigen Kostenindikatoren zu berechnen, werden zusätzlich zu den Finanzdaten auch Studierendenmerkmale im Reporting für die Kostenstatistik des BFS ausgewiesen.

Anzahl Studierende (Kopfzahlen)Identifikation der StudierendenDie Matrikelnummer dient der Identifikation der einzelnen Studierenden. Sie ist nach einheitlich festgelegten Regeln zusammengesetzt und bleibt während des ganzen Studiums dieselbe, und zwar auch bei Hochschulwechsel und selbst bei vorübergehendem Unterbruch des Studiums. Somit wird garantiert, dass jeder Person nur eine Nummer zugeordnet wird.

Studierende der Pädagogischen Hochschulen erhalten lediglich eine Matrikel- nummer bei anerkannten Studiengängen. Studierende werden nur immatrikuliert, wenn der betreffende Studiengang im Anhang der interkantonalen Fachhochschul-vereinbarung (FHV-PH) aufgeführt ist, auch wenn der Préavis noch nicht vorliegt. Davon ausgenommen sind Studiengänge der Hochschule für Heilpädagogik Zürich, weil für diese ein eigenes Konkordat besteht und keine FHV-Beiträge aus-gerichtet werden.

Das BFS kontrolliert aufgrund der Matrikelnummern, ob Studierende an verschie-denen Hochschulen bzw. in mehreren Studiengängen gleichzeitig immatrikuliert worden sind. Für die Ausbildung der Lehrkräfte für die Sekundarstufe II werden die Doppelimmatrikulationen toleriert (siehe diesbezüglich den Entscheid der FHV-Kommission vom 22. Januar 2009).

Quelle: Technisches Handbuch zur Erhebung der Studierenden an den Fach- und Pädagogischen Hochschulen, BFS.

Beurlaubte StudierendeDie beurlaubten Studierenden werden in bestimmten Fällen mit einem besonderen Urlaubsgrund in der Studierendenstatistik des BFS erfasst. Folgende Urlaubs-gründe sind anerkannt: – Beurlaubt wegen Militärdienst – Beurlaubt wegen Krankheit, Unfall oder Schwangerschaft – Beurlaubt wegen eines von der Hochschule vorgesehenen Studienunterbruchs, sofern die Person immatrikuliert bleibt, z.B. wenn eine Studentin bzw. ein Student die Schlussprüfung beim ersten Mal nicht besteht und auf den zweiten Durchgang wartet, ohne Ausbildungsleistungen zu beziehen

– Übrige Urlaubsgründe, z.B. Erwerb von Sprachkompetenzen im Ausland, solange der bzw. die Studierende keine ECTS-Punkte erwirbt

Quelle: Technisches Handbuch zur Erhebung der Studierenden an den Fach- und Pädagogischen Hochschulen, BFS.

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Critères pour le renseignement dans la statistique des coûts – Le nombre d’étudiants doit être complet et correct; les divergences par rapport à la statistique des étudiants de l’OFS doivent être expliquées.

– Les étudiants doivent figurer dans la statistique des coûts, même lorsqu’ils ne sont pas immatriculés, p.ex. dans le cas d’études additionnelles contenant peu de points ECTS. Les étudiants des cours de formation continue ne sont en règle générale pas immatriculés.

– Les étudiants du secondaire II et, le cas échéant, du secondaire I, qui ont été immatriculés par deux hautes écoles sont également comptabilisés.

– Les étudiants immatriculés par d'autres hautes écoles et qui y reçoivent des prestations d’enseignement, ne sont pas comptabilisés (les coûts doivent éga-lement être délimités; voir définition des objets de coûts).

– Les étudiants en congé ne sont pas pris en compte puisqu'ils ne génèrent pas de frais. Exceptions:

– Ne sont pas considérés comme étudiants en congé ceux qui effectuent un stage professionnel et bénéficient donc de prestations d'enseignement.

– Les étudiants qui partent pour un séjour de mobilité (outgoings) sont consi-dérés comme immatriculés et ne sont pas mis en congé, en partant de l’hypothèse que les prestations dont ils bénéficient sont compensées par les prestations dont bénéficient les étudiants (immatriculés dans une autre haute école) qui viennent pour un séjour de mobilité (incomings).

– Pour la formation de base, le nombre d'étudiants est réparti entre les filières SIUS (y compris études additionnelles, qui sont indiquées séparément dans la mesure du possible) et les autres filières.

– Les étudiants de filières non reconnues par la CDIP sont également saisis et soumis à une délimitation par l'OFS.

– Pour le secondaire I, les étudiants des niveaux bachelor et master sont recensés de manière agrégée. Pour établir les statistiques de l’OFS, ils sont au besoin distingués sur une base calculatoire.

– Pour la formation continue, une distinction est faite entre les filières de formation continue (p.ex. MAS, CAS ou DAS) et les autres cours de formation continue, lesquels ne sont en principe pas sanctionnés par des points ECTS. De cette manière, l’indicateur «Coûts par point ECTS dans la formation continue» demeu-re comparable entre hautes écoles.

Points ECTS et équivalents plein-tempsType de points ECTSLe nombre de points ECTS utilisé pour la statistique des coûts valable selon le SIUS est fondé sur les points ECTS inscrits. Ces derniers représentent en effet le meilleur indicateur de fourniture de prestations. Les points ECTS inscrits forment aujourd’hui la base sur laquelle repose le calcul des contributions AHES.

Formation pratiqueLes directives de la CDIP indiquent que la formation pratique doit comprendre entre 36 et 54 points ECTS pour le préscolaire et primaire, au moins 48 points ECTS pour le secondaire I, au moins 15 points ECTS pour le secondaire II et au moins 20 points ECTS pour la pédagogie spécialisée.

Prise en compte des points ECTS pour les modules courant sur plusieurs semestresDans la mesure du possible les points ECTS sont répartis sur les semestres d’étude concernés et sont reportés séparément dans le reporting pour la statis-tique des coûts. Lorsqu’une distinction par semestre n’est pas possible, le nombre de points ECTS est indiqué sous le premier semestre.

Kriterien für den Ausweis in der Kostenstatistik – Die Anzahl Studierende muss vollständig und korrekt sein; die Abweichungen zur BFS-Studierendenstatistik müssen erklärt werden.

– Die Studierenden in den Studiengängen der Ausbildung sind in der Kosten- statistik des BFS auszuweisen, auch wenn sie nicht immatrikuliert sind, z.B. im Falle von Erweiterungsstudien mit einer sehr geringen Anzahl an ECTS-Punkten. Die Studierenden der kursorischen Weiterbildung sind in der Regel nicht immat-rikuliert.

– Studierende der Sekundarstufe II und gegebenenfalls Sekundarstufe I, die an zwei Hochschulen immatrikuliert sind, werden mitgerechnet.

– Übrige Studierende, die an anderen Hochschulen immatrikuliert sind und Stu-dienleistungen an der eigenen Hochschule erbringen, werden nicht mitgerechnet (auch die Kosten sind abzugrenzen; siehe Anhang 2).

– Die beurlaubten Studierenden werden nicht berücksichtigt, da sie keine Kosten generieren. Ausnahmen:

– Studierende, die ein Berufspraktikum absolvieren, beziehen Lehrleistungen und werden zu den Studierendenzahlen mitgezählt.

– Outgoing-Mobilitätsstudierende werden nicht beurlaubt und gelten als immat-rikulierte Studierende. Dabei gilt die Annahme, dass die Lehrleistungen von incoming-Mobilitätsstudierenden (Immatrikulation an den anderen Hochschulen) kompensatorisch bezogen werden.

– Für die Grundausbildung werden die Studierendenzahlen nach SHIS-Studien-gang (inkl. Erweiterungsstudien, nach Möglichkeit aber separat auszuweisen) und übrigen Studiengängen getrennt ausgewiesen.

– Die Studierenden von nicht EDK-anerkannten Studiengängen werden erfasst und für die BFS-Statistiken getrennt ausgewiesen.

– Bachelor- und Masterstudierende Sekundarstufe I werden zusammengefasst ausgewiesen und nötigenfalls für die BFS-Statistiken kalkulatorisch getrennt ausgewiesen.

– Für die Weiterbildung wird zwischen den Weiterbildungsstudiengängen, die mit ECTS-Punkten bewertet sind (z.B. MAS, CAS oder DAS), und der kursori-schen Weiterbildung, die grundsätzlich nicht mit ECTS-Punkten bewertet wird, unterschieden. So bleibt eine Vergleichbarkeit bei der Kennzahl «Kosten pro ECTS-Punkte in der Weiterbildung» möglich.

ECTS-Punkte und VollzeitäquivalenteArt der ECTS-PunkteDie Anzahl ECTS-Punkte, die für die gemäss SHIS gültige Kostenstatistik verwen-det werden, basiert auf den eingeschriebenen ECTS-Punkten, weil diese der beste Indikator für die Leistungserbringung sind. Die eingeschriebenen ECTS-Punkte bilden heute die Basis für die Berechnung der FHV-Beiträge.

Berufspraktische Ausbildung Gem. EDK-Richtlinien soll die Praxisausbildung zwischen 36 und 54 ECTS-Punkte (Vorschul- und Primarstufe), mindestens 48 ECTS-Punkte (Sek. I), mindestens 15 ECTS-Punkte (Sek. II) und mindestens 20 ECTS-Punkte (Sonderpädagogik) ausmachen.

Berücksichtigung der ECTS-Punkte für Module, die über mehrere Semester auftauchenSoweit möglich werden die eingeschriebenen ECTS-Punkte auf die entsprechenden Semester aufgeteilt und im Reporting für die Kostenstatistik getrennt ausgewiesen. Sollte dies nicht möglich sein, werden die ECTS-Punkte nur für das erste Semes-ter ausgewiesen.

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Prise en compte des points ECTS lors d’un échec à un module – L’étudiant doit resuivre le module pil est réinscrit au module et les points ECTS supplémentaires correspondants doivent être comptés dans le reporting de la statistique des coûts.

– L’étudiant doit seulement fournir une prestation d’étude complémentaire ou repasser l’examen pdans ce cas il n’est pas réinscrit au module.

Calcul des équivalents plein temps (EPT)Le calcul du nombre d’EPT d’un semestre donné est calculé automatiquement dans le reporting pour la statistique des coûts:EPT = nombre d’ECTS / 30

Il convient de considérer ici que des études à plein temps correspondent à 30 points ECTS par semestre d’étude respectivement 60 points ECTS par année d’étude.

Jours de référencePour assurer la comparabilité des HEP au moyen de ces indicateurs, il est impor-tant de définir clairement la pondération des effectifs d’étudiants concernant les différents semestres. Afin que le nombre d’étudiants corresponde aux coûts générés durant une année civile, les effectifs d’étudiants sont «annualisés» par une moyenne pondérée: – Jour de référence 15.10 année précédente: pondération 1/12 – Jour de référence 15.4 année de référence: pondération 6/12 – Jour de référence 15.10 année de référence: pondération 5/12

La pondération des différents semestres se base sur le calendrier académique, plus précisément sur la durée d’engagement des enseignants, harmonisé(e) entre les trois types de hautes écoles.

Sources des donnéesDans ses statistiques officielles sur les étudiants, l’OFS ne dispose que des données concernant le semestre d’automne. De plus, la statistique de l’OFS ne reflète pas l’ensemble de la réalité des hautes écoles: p.ex. certaines études additionnelles visant l’enseignement d’une branche supplémentaire sont exclues du périmètre statistique en raison du nombre trop restreint de points ECTS qu’elles contiennent.

Pour cette raison, les données concernant les étudiants sont saisies comme jusqu’à présent par la haute école dans le formulaire directement au moment d’établir le reporting financier et ce, pour les trois jours de référence.

Berücksichtigung der ECTS-Punkte, wenn ein Modul nicht bestanden worden ist – Der Studierende muss die Veranstaltungen wieder besuchen pdie zusätzlichen ECTS-Punkte werden nochmals eingeschrieben und im Reporting für die Kosten-statistik gezählt.

– Der Studierende muss nur Nachleistungen oder die Prüfung nochmals machen, ohne die Veranstaltungen wieder zu besuchen pes erfolgt keine Neueinschrei-bung für das Modul.

Berechnung der Vollzeitäquivalente (VZÄ)Die Anzahl VZÄ der eingeschriebenen ECTS-Punkte eines gegebenen Semesters wird anhand der folgenden Formel im Reporting für die Kostenstatistik automa-tisch berechnet:VZÄ = Anzahl ECTS / 30

Dabei ist zu beachten, dass ein Vollstudium aus 30 ECTS-Punkten pro Semester bzw. 60 ECTS-Punkten pro Studienjahr besteht. StichtageUm die Vergleichbarkeit zwischen den PHs zu gewährleisten, ist es wichtig, die Gewichtung der Studierendenzahlen der unterschiedlichen Semester eindeutig zu definieren.

Damit die Studierendenmerkmale in einem den Kosten entsprechenden Verhältnis angegeben werden, erfolgt durch Berechnung eines gewichteten Mittels ihre «Annualisierung» bzw. der Wechsel von den Studienjahren zum Kalenderjahr: – Stichtag 15.10. Vorjahr: Gewicht 1/12 – Stichtag 15.4. Berichtsjahr: Gewicht 6/12 – Stichtag 15.10. Berichtsjahr: Gewicht 5/12

Die Gewichtung der einzelnen Semester basiert auf dem zwischen den drei Hochschultypen harmonisierten akademischen Studienjahr bzw. den Anstellungs-perioden für die Dozierenden.

DatenquelleIn seiner offiziellen Studierendenstatistik verfügt das BFS lediglich über Daten für das Herbstsemester. Zudem bildet die BFS-Studierendenstatistik nicht sämtliche Hochschulrealitäten ab: z.B. sind aufgrund der geringen Anzahl an ECTS-Kredit-punkten gewisse Facherweiterungsstudiengänge in der BFS-Studierendenstatistik nicht berücksichtigt.

Aus diesem Grund werden von der Hochschule die Daten zu den Studierenden wie bis anhin im Erfassungsformular direkt beim Ausfüllen des Finanzreportings erfasst, und zwar für die drei Stichtage.

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Annexe 5

Structure des rapports sur les comptes

Hautes écoles pédagogiqueswww.shsfh.bfs.admin.ch

Anhang 5

Struktur Berichtswesen/Reporting

Pädagogische Hochschulenwww.shsfh.bfs.admin.ch

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Impressum

Herausgeber | ÉditeurCOHEPThunstrasse 34aCH-3005 Bernwww.cohep.ch

Publikationen | Publication1000 Exemplare / Website COHEP1000 Exemplaires / Site internet de la COHEP

Bern, 2013

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