La Bibliothèque - Exposition Aπtoiπe 8 Guilloppé · 2021. 1. 18. · la magie du théâtre...

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Exposition Aπtoiπe Guilloppé 03.02.15 28.03.15 CONTACT Manuela Loué manuela.loue[at]saint-herblain.fr T. 02.28.25.25.26 INFOS PRATIQUES Médiathèque Hermeland Rue François-Rabelais BP 40133 44817 Saint-Herblain cedex T. 02 28 25 25 25 www.la-bibliotheque.com Mardi au samedi 14 –19h, mercredi et samedi 10h –12h et 14h –19h. Bus 59 et 84, le 22, le C6, arrêt Hermeland. Périphérique ouest, sortie porte de Chézine. Des oeuvres seront également exposées à: -la bibliothèque Bellevue 26 rue de Saint-Nazaire T. 02 28 25 25 52 -la bibliothèque Bourg 126 bd François-Mitterrand T. 02 28 25 25 28 Légende de l’image Antoine Guilloppé - Ma jungle DOSSIER DE PRESSE 1 8

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ExpositionAπtoiπe

Guilloppé03.02.15

— 28.03.15

CONTACTManuela Louémanuela.loue[at]saint-herblain.frT. 02.28.25.25.26

INFOS PRATIQUES

Médiathèque HermelandRue François-Rabelais BP 4013344817 Saint-Herblain cedexT. 02 28 25 25 25www.la-bibliotheque.comMardi au samedi 14 –19h, mercredi et samedi 10h –12h et 14h –19h. Bus 59 et 84, le 22, le C6, arrêt Hermeland. Périphérique ouest, sortie porte de Chézine.

Des oeuvres seront également exposées à:-la bibliothèque Bellevue26 rue de Saint-NazaireT. 02 28 25 25 52-la bibliothèque Bourg126 bd François-MitterrandT. 02 28 25 25 28

Légende de l’image Antoine Guilloppé - Ma jungle

DOSSIERDE

PRESSE

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Artiste virtuose du blanc et du noir, l'illustrateur Antoine Guilloppé nous emmène dans un voyage

silencieux au milieu de forêts où les arbres aux ramures délicates s’entrelacent malicieusement

au-dessus de nos têtes.

Ouvrez bien les yeux, si vous savez regarder, si vous savez écouter, vous apercevrez les animaux

sauvages au milieu de la canopée !

La lecture de ses albums est toute une aventure : les héros, seuls le plus souvent, partent sur les chemins

du monde et, portés par la noblesse de leurs sentiments, aiment, affrontent leur peurs

et font confiance aux êtres qu'ils croisent pour mieux grandir.

Cette exposition sera l’occasion de traverser les plaines du grand nord, de se balader au pied

du mont Fuji, d’écouter le crissement de nos pieds dans la neige et le bruissement des oiseaux dans le ciel

ou encore d’observer les ombres blanches des pages finement découpées se reflétant sur les murs.

Antoine Guilloppé est un peu magicien, pas besoin de mots pour raconter ses histoires ;

ses images aussi délicates et précieuses que des dentelles, dans un écho permanent entre l’ombre et la lumière, nous emportent

dans des paysages lointains et inconnus.

Au fil de cette exposition, vous pourrez admirer la force du travail du noir et blanc dans des originaux à l'encre de chine de Grand Corbeau, et apprécier l'apport des papier japonais dans les collages d'Akiko.Découvrez également les secrets de fabrication des albums en vous penchant sur l'extrait du storyboard du Voyage d'Anoki et sur les esquisses crayonnées qui précè-dent le travail numérique finalisant le dessin de chaque page (Pleine lune, Plein soleil, Little man...).Des jeux de couleurs et de lumières vous plongent enfin dans l'univers urbain de Little man ou sous les feuillages de Ma Jungle.Une scénographie délicate et imagée, pour vous plonger au coeur de la fiction, comme les personnages le sont dans les paysages de l'illustrateur, et rendre sensible les jeux d'ombres et de lumière permis par les dentelles de papier de ses albums.

Dédicaces vendredi 20 mars de 17h30 à 19h.Vernissage et déambulation vendredi 20 mars à 19h.

Légende de l’image Antoine Guilloppé - Autoportrait

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ACCUEILS DE GROUPES

Comme chaque année, les élèves des écoles herblinoises pourront visiter l’exposition jeunesse en compagnie des bibliothécaires : plus de 600 élèves de 25 classes maternelles et élémen-taires sont attendus à la médiathèque Hermeland pour découvrir l’univers de l’illustrateur.L’occasion pour eux de travailler autour des techniques utilisées (encre de chine, papiers découpés), du théâtre d’ombres, du noir et du blanc, des jeux de perspectives ou de la construction des images d’un album (points de vue, découpage de l’histoire…).

Les jeudi 19 et vendredi 20 mars prochains, trois classes de cycle 3 auront également la chance de rencontrer Antoine Guilloppé lors d’ateliers au cours desquels l’illustrateur dévoi-lera certains de ses secrets. Les enfants pourront alors imaginer et créer, guidés par sa bienveillance et ses conseils techniques.

Antoine Guilloppé interviendra enfin dans le cadre d’un parcours culturel autour de la création d’un livre, auprès de deux classes de CP de l'école René Guy Cadou. Ces parcours, intégrés dans les projets d'écoles, permettent aux enfants d'aller à la rencontre de lieux culturels, d'artistes et d'oeuvres. Les deux classes accueillies à la médiathèque Hermeland travaillent tout au long de l'année autour de l’écriture, du livre et de l’imprimerie. Sous les conseils d'Antoine Guilloppé, les élèvent dessineront et composeront la couverture de leur livre en cours de création.

BIOGRAPHIE

L'enfanceAntoine Guilloppé est né à Chambéry en 1971. Après avoir vécu à Toulouse et Paris, c’est aujourd’hui à Montrouge qu’il a posé ses bagages.De son enfance nous savons peu de choses si ce n’est que l’école n’est pas son lieu préféré…Après avoir étudié le graphisme, Antoine Guilloppé rejoint la célèbre école Émile Cohl de Lyon qu’il fréquente durant quatre ans. Là, au travers de cours académiques, il se perfectionne et apprend à dessiner les corps, les visages en utilisant les outils les plus variés.

S’il avoue avoir toujours rêvé faire de la bande dessinée et cite avec passion ses maîtres : Franquin, Hermann, Franck Miller, sans oublier de rajouter l’émotion qu’il éprouve devant les peintures d’Edward Hooper, c’est bien sa rencontre avec l’univers des albums jeunesse qui lui ouvre les possibles.

Légende de l’image Antoine Guilloppé - Loup noir

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Les débutsAu sortir de l’école Émile Cohl, il réalise des logos et dessins de presse puis collabore avec les éditions Thierry Magnier en particulier pour les couvertures de la collection Romans. Les contraintes graphiques imposées par le format, l’absence de visages, le recours aux ombres marquent déjà son style.

Le noir et le blancRapidement, il réalise ses premiers albums dans lesquels apparaissent déjà les éléments caractéristiques de son travail : un dessin à la ligne claire d’une apparente simplicité dans lequel le noir et le blanc définissent la base de sa palette d’illustrateur.Serait-ce de son enfance savoyarde et des balades dans la neige et les forêts qu’il a gardé cette attirance singulière pour le blanc ? Car c’est bien là que sont la force et la particularité de ses images : un écho permanent entre le blanc et le noir, entre la lumière et l’ombre. Dans ses livres nous découvrons pour la première fois que les ombres peuvent aussi être blanches…Pour donner plus de puissance encore à ses histoires, Antoine Guilloppé ose même faire disparaître les mots de l’album Loup noir édité par les éditions Casterman.

Toutefois, ramener le travail d’Antoine Guilloppé à cette seule dualité du noir et du blanc serait réducteur tant il sait aussi utiliser la force des autres couleurs ; avec délicatesse il les installe dans sa page, en grands aplats énergiques ou encore avec des papiers japonais raffinés et découpés reproduisant des motifs textiles, en particulier dans sa série de petits contes zen Akiko édités par Philippe Picquier.

L'ailleursSes images sont essentiellement marquées par la présence forte de la nature, des arbres aux ramures sophistiquées et délicates qui s’entrelacent pour faire apparaître des animaux ; des ciels purs peuplés du silence et du bruissement des bêtes sauvages.

Au cœur de ses paysages, que ce soit au Japon (Takiji, série Akiko), dans le grand nord (Le voyage d’Anoki), ou au milieu des forêts (L’heure rouge, Première neige, Loup noir), des êtres fragiles et courageux cheminent à la rencontre de l’amour et de la vie, l’esprit curieux et le cœur à l’aventure.

La techniqueAntoine Guilloppé aime le cinéma et cela se voit dans la construction même de ses images. Plongées, contre-plongées, gros plans ou plans éloignés : la lecture se déroule au rythme des pages que l’on feuillette comme de véritables projections sur papier !

À ses débuts, Antoine Guilloppé utilisait avec gourmandise l’encre de chine au noir profond et dense pour saisir avec vivacité les formes sculptées des paysages, et s’il continue encore aujourd’hui avec cette technique, celle-ci s’est doublée d’un travail du trait : l’image obtenue étant ensuite scannée pour être noircie à l’aide de l’ordinateur.

Légende de l’image Antoine Guilloppé - Pleine lune

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Les dentellesLa parution de Pleine lune en 2010 marque un deuxième tournant. En effet, c’est cette année-là qu’Antoine Guilloppé décide de découper délicatement entre les lignes pleines et noires de ses images. Dès la parution de son album Loup noir, il rêve de pouvoir faire disparaître tous les espaces vides entre les branches. Puis cette idée s’estompe au profit des histoires qu’il a envie de raconter… Mais elle ne disparait pas tout à fait !

C’est alors, grâce à l’audace de la directrice éditoriale des éditions Gautier-Languereau, jumelée à la virtuosité et à la maîtrise technique d’un imprimeur que le challenge d’une découpe précise au laser est relevé. Les délicates dentelles d’Antoine sont nées :des images finement découpées dans du papier mat et épais qui laissent passer la lumière, portent des ombres sur les pages que l’on tourne doucement, créent pour l’œil la sensation de regarder un tissu d’autrefois. Blanches d’un côté, noires de l’autre, elles offrent la magie du théâtre d’ombres et se doublent de la poésie de son récit.Pour les lire il nous prend alors l’envie, comme lorsque nous étions enfants, d’éteindre la lumière et, munis d’une petite lampe de poche, de regarder se projeter sur les murs de notre chambre, les ombres des images découpées.

Deux autres albums (Plein soleil, Ma jungle) peuplés d’arbres et d’animaux naîtront ensuite, portés et racontés par ces fins découpages, ces jeux d’ombre et de lumière.

Et puis… il y a ce séjour durant lequel Antoine Guilloppé découvre New York, le croisement géométrique des rues ou les lignes verticales et vertigineuses des gratte-ciels. Il en revient la tête pleine d’une histoire citadine, délaissant pour un temps les espaces sauvages et silencieux pour la démesure et la magie New-Yorkaise : Little man, le dernier né de ses albums a vu le jour en octobre 2014.

BIBLIOGRAPHIE

Tous ces ouvrages sont disponibles sur le réseau herblinois de La Bibliothèque, vous pouvez ainsi cheminer dans l'univers d'Antoine Guilloppé. Pendant toute la durée de l'exposition, ils seront également consultables sur place.

Akiko la curieuse, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2004Akiko, petite fille japonaise vivant au pied du mont Fuji, trouve d’étranges empreintes sur le sol enneigé et part à la recherche du propriétaire de ces traces. Elle n'a peur de rien et parcourt un chemin semé d’embuches, aidée par le géant de glace et l’arbre. « Ici, au pied du mont Fuji, tout le monde connaît la fille du printemps ». Une belle surprise l’attend à la fin de son périple et, pour nous, une explosion de fleurs et de couleurs.

Loup noir, Antoine Guilloppé. Casterman, 2004, réédition 2013Il fait froid, l’orée du bois se dessine en ombre chinoise sur fond de nuit. Le loup guette, il rôde. Bientôt il neige, le hibou se réveille. Le garçon presse le pas. Trop tard ? Le loup surgit, il bondit… et sauve la vie du garçon.

Akiko la rêveuse, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2006Après Akiko la curieuse, voici une nouvelle histoire où la petite Japonaise part à la rencontre d’un rêve si vrai qu’elle veut le rejoindre dans le monde réel. Au bord d’un lac, elle trouvera sa grand-mère, venue la saluer une dernière fois. C’est alors qu’un tourbillon de feuilles vole autour d’elle. Akiko est au printemps de sa vie et l’automne arrive. Un récit troublant où le temps du rêve pénètre la vie pour évoquer la présence aimante en nous de ceux qui s’en vont pour toujours.

Les babouches d’Abou Kassem, Nora Aceval, Antoine Guilloppé. Seuil, 2007Il était une fois en orient un riche marchand, Abou Kassen. Il était si avare qu’il portait les mêmes babouches depuis que ses pieds avaient fini de grandir ! Un jour pourtant, l’infortune commença à le poursuivre...

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Prédateurs, Antoine Guilloppé. Thierry Magnier, 2007Dans la nature, il y a deux catégories d’animaux : les proies et les prédateurs. Mais les vainqueurs ne sont pas forcément ceux que l’on croit : une chouette perchée au balcon d’un immeuble, un chat tapi dans l’ombre ; ils observent tous deux la même proie, une petite souris dans l’herbe, qui attend de pouvoir traverser le parc. Tandis que les deux «ennemis» sont retranchés dans leurs camps respectifs, guettant le moment propice pour sauter sur leur dîner, la tension monte, dans un suspens haletant.

L’heure du bisou, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2007Des bisous de maman, des bisous d’amour comme du velours, des bisous pour se réchauffer le cœur, des bisous câlins pour chasser les chagrins. Au creux du cou ils sont si doux. Pour les petits loups, ils sont partout les bisous ! Toute la tendresse et l’émotion d’Antoine Guilloppé pour les tout-petits.

Un jour, deux ours, Ghislaine Roman, Antoine Guilloppé. Milan, 2007C’était l’hiver des grands brouillards,Les matins ressemblaient aux soirs.À deux, les jours semblent moins longs,Ainsi, Igor trouva Samson...

Georges et Rose, Antoine Guilloppé. Autrement, 2008Georges n’est pas un cochon. Georges est un chien, mais il est rose. Bref, c’est un chien rose.Rose est une cochonne, mais elle est blanche. Rose est amoureuse de Georges…

Noël pour tous, Antoine Guilloppé. Glénat, 2008Du Nord au Sud ou d’Est en Ouest le Père Noël n’oublie personne. Mais à propos, qui pense à lui et à son cadeau ?

Grand Blanc, Antoine Guilloppé. Casterman, 2009Dans l’eau profonde, au cœur de l’océan, le prédateur guette sa proie. Une course-poursuite s’engage, pleine de suspense et de rebondissements. Entre blanc et bleu, entre air et eau, une histoire où l’eau retient son souffle.

Nanuq les mille vies d’un Inuit, Marie France Ehret, Antoine Guilloppé. Bilboquet, 2008Bonjour petite fille, je m’appelle Nanuq. Tu as mis un bel anorak rouge pour venir visiter les Inuits ! Tu les imaginais autrement, je parie ! Assieds-toi près de moi. Je vais te raconter ma vie, les mille vies où j’ai été baleine et phoque, ours polaire et chien de traîneau.

Akiko l’amoureuse, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2008Akiko n’a pas peur du noir et elle aime bien se promener la nuit au bord du lac. C’est là qu’elle rencontre Takiji qui, lui, a peur du soleil ! Le petit garçon est persuadé que la sorcière lui a jeté un sort…

Grand Corbeau, Béatrice Fontanel, Antoine Guilloppé. Casterman, 2009C’est l’histoire d’un grand corbeau qui « broyait du noir » parce qu’il était noir alors qu’il aurait tant aimé être habillé d’un beau plumage multicolore. Un jour d’hiver, ce grand corbeau rencontre un vieux poète qui lui révèle les qualités et la beauté de sa couleur noire… L’oiseau s’envole le cœur joyeux.

Les dents de ma maman, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2009Ma maman, quand elle montre les dents, c’est effrayant! Et pourtant, c’est souvent par amour pour ses enfants...

Akiko la courageuse, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2010La petite fille n’est, à vrai dire, pas vraiment courageuse. Elle aime la forêt. Elle la comprend. Elle en fait partie. Elle s’y sent protégée par les animaux qui la peuplent. Alors, pourquoi aurait-elle peur ?

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L’heure rouge, Marie-Astrid Bailly-Maître, Antoine Guilloppé. Élan vert, 2010Demain si le temps est clair, Mine la souris retrouvera le loup sous l’unique arbre du plateau désert. Quand le soleil et la terre se touchent, à l’heure rouge exactement.

Pleine lune, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2010Par une nuit de pleine lune, le loup ouvre les yeux, le renard sursaute. Quel est ce bruit qui réveille les habitants de la forêt ? Le hibou s’envole, toutes ailes déployées. Les cerfs sont aux aguets. Chauves-souris, sangliers, lapins : plus personne ne bouge dans la forêt. Seuls les ours sont rassurés dans cette nuit de pleine lune, bébé ours est né.

Croc blanc, adaptation du texte de Jack London par Arsène Lutin, Antoine Guilloppé. Auzou, 2011Manger ou être mangé, telle est la loi de la nature dans le désert blanc de froid et de glace où Croc-Blanc naît. Mi-chien, mi-loup, c’est un sang mélangé qui va apprendre, après de durs traitements, à refaire confiance à l’Homme et découvrir l’amour. Grands espaces, sentiments bruts et actions se mêlent dans cette adaptation du texte de Jack London, récit épique et bouleversant, illustré par Antoine Guilloppé.

Première neige, Marie-Astrid Bailly-Maître, Antoine Guilloppé. Élan vert, 2011Autour du vieux pommier, tout est blanc et silencieux. Mine la souris attend Gaspard le loup. Ils ont promis de se retrouver aux premiers flocons pour dessiner leur amitié sur le tapis de neige.

Takiji l’audacieux, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2011Takiji est déjà apparu dans les petits contes zen. Le voilà qui découvre lui aussi la forêt son royaume, où il apprend à apprivoiser ses peurs en les faisant plus petites que lui-même.

Qui dit noir dit blanc, Mario Urbanet, Antoine Guilloppé. P’tit Glénat, 2011Inspirés des fables d’Esope et de La Fontaine, Mario Urbanet à la plume, et le génial Antoine Guillopé à l’illustration, co-signent un album magnifique sur la différence. 10 contes magiques et enchanteurs qui font rêver, penser et s’évader ... En Laponie avec la grande baleine blanche, au Congo avec coq le Rock...

Plein soleil, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2011La savane s’éveille doucement sous le soleil. Zèbres, lions, girafes, crocodiles et rhinocéros regardent passer le jeune Issa. Qui peut dire où il va ? Et si dans la lumière dorée du soleil, Issa allait retrouver sa belle ?

99 animaux cachés, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2012Un Cherche & Trouve mystérieux dans la jungle signé Antoine Guilloppé. 99 animaux cachés à retrouver dans une somptueuse fresque de près d’1,70 mètre de long ! Une frise à afficher pour jouer, rêver et s’émerveiller...

La moufle, Bernard Villiot, Antoine Guilloppé. Élan vert, 2012Une moufle traînait dans une clairière par une nuit d’hiver. Un rat transi de froid passa par là. Ni une ni deux, il en fit son nid. Mais bientôt un crapaud se glissa lui aussi dans l’abri, puis un hibou, un lapin, un renard, un sanglier et même un ours ! La moufle allait-elle résister ?

Ma jungle, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2012La jungle est mon royaume. Ici rien ne m’échappe...

Le voyage d’Anoki, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2013Il fait froid dehors. Le soleil se cache sous la brume épaisse du matin. Anoki sort de son igloo. Tout autour, la banquise craque. Aujourd’hui, le jeune garçon a décidé de partir à la recherche du Grand Blanc. La légende raconte qu’il ressemble, trait pour trait, à un ours polaire, si haut qu’il touche les étoiles. Anoki s’aventure seul dans l’immensité silencieuse de la banquise. Il ne voit pas la nuit tomber. Le Grand Blanc est tout près.

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Les musiciens de la ville de Brème, Frères Grimm, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2013Un vieil âne fatigué, qui avait porté tant de sacs au moulin, décida de prendre la route de Brême espérant y devenir musicien. Sur son chemin, il rencontra un chien de chasse, un chat puis un coq qui s’enfuirent avec lui. Un soir, les quatre compagnons découvrirent une maison habitée par des voleurs…

Tout d’un loup, Géraldine Elschner, Antoine Guilloppé. Élan vert, 2013J’avais les oreilles droites, des crocs blancs et pointus, l’échine un peu courbée sous mon poil argenté. Tout d’un loup ! disaient les gens. Personne ne m’approchait. Personne n’aurait osé. Mais un jour...

Akiko la voyageuse, petit conte zen, Antoine Guilloppé. Picquier jeunesse, 2014Akiko reçoit un message. Elle part pour une longue marche et prend sous son aile un lapin blessé, avec lequel elle poursuit son périple jusqu’à une jolie maison près d’une rivière...

Little Man, Antoine Guilloppé. Gautier Languereau, 2014Cassius a fait un rêve. Il a rêvé qu’il avait le droit de traverser le pont. Il a rêvé qu’il courait si vite que personne ne pouvait l’arrêter. Comme suspendu à son rêve, Cassius s’accroche aux grillages de New-York. Il songe qu’il traverse le pont de Brooklyn, et poursuit son chemin en une course vibrante à travers New-York. Il songe à quel point il aime cette ville qui le réconforte, il songe aussi qu’avant, il habitait loin d’ici. Avant, quand c’était la guerre, avant qu’il ne traverse l’Océan.

Légende de l’image Antoine Guilloppé - Akiko la courageuse, petit conte zen

Textes extraits des sites internet des éditeurs.

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