Tour à Tour

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Tour à Tour Coproduction Théâtre ON M’LADIT – NØRN - Traberproduktion

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Tour à Tour

Coproduction Théâtre ON M’LADIT – NØRN - Traberproduktion

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Création

du 3 au 13 septembre 2009

Tour du Belluard Fribourg

Distribution

Texte Anne-Laure Vieli

Performance Georg Traber Chant Les NØRN: Anne-Sylvie Casagrande Edmée Fleury Gisèle Rime

Percussions Hervé de Pury

Jeu/mise en scène Anne-Laure Vieli

Musique Anne-Sylvie Casagrande

Régie-Eclairage Damien Sauser

Coproduction Théâtre ON M’LADIT / NØRN /

Traberproduktion

Contact

Théâtre ON M’LADIT Anne-Laure Vieli Case postale 1498 CH–1701 Fribourg Tél. 026 / 323 18 61

079 / 718 97 28

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Qui sommes‐nous, bonhommes du 21ème siècle ? 

Toujours en quête, avides de grignoter, toujours à grimper... 

Plus haut, plus beau, plus chaud... 

 

Monter les tours, bâtir l'avenir... 

Angoisse du patatra.... et si le jeu de cartes s'écroulait? 

 

Resterait le désir de tout recommencer et de s'élever encore.... 

 

 

Raconter cette aventure sans fin‐ sans oublier d'en rire... Un conte 

des temps modernes ou une histoire vieille comme le monde ? 

 

Des tours qui se chevauchent comme décor: celle du Belluard, celles de buildings projetés et celle 

de Georg Traber... Il va la construire tout en bâtons de frêne qu'il liera jusqu'à avaler 13 mètres de 

haut! 

Trois énergumènes: des sorcières, des folles ou des fantômes?  Les NØRN, prisonnières de la tour, 

leur voix pour chanter ses murs étranges qui les résonnent, un percussionniste pour les faire 

vibrer... 

Et une conteuse Anne‐Laure Vieli, qui glisse ses mots dans les interstices des chants, dans les 

meurtrières de la tour, dans l'écho d'une soirée un peu particulière... 

 

Un spectacle tout public pour conjuguer les arts, pour tisser à six une fable haute en couleurs et en 

pétulance. 

 

 

Co‐production du Théâtre ON M'LADIT, de NØRN et de TRABERPRODUKTION. Un performer, trois 

chanteuses, un musicien, une comédienne‐auteure qui s'allient pour raconter, harmoniser, 

interpeller, s'écouter, tricoter le récit. 

Des spectateurs actifs qui composent l’histoire comme un puzzle où l’image s’ajuste au chant 

imbriqué dans le conte. 

Un spectacle complet pour titiller les sens et chatouiller la citrouille et les émotions du spectateur. 

Théâtre ON M’LADIT  

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Le théâtre ON  M’ LADIT a été créé en 2002 à Fribourg par Anne‐Laure Vieli. 

Après avoir fondé en 1987 avec Jacqueline Corpataux  le Théâtre de l’ECROU, Anne‐Laure Vieli part 

à Moscou 12 ans plus tard travailler avec Youri Pogrebnitchko, metteur en scène russe reconnu. 

 

De retour en Suisse, elle présente avec le Théâtre ON M’LADIT une pièce qu’elle a écrite : 

«Strictement confidentiel».  

 

S’en suivent 4 créations du Théâtre ON M’LADIT, jouées par Anne‐Laure Vieli : 

‐ « Encore trois soeurs » d’après Tchékov, mise en scène Youri Pogrebnitchko 

‐ « Marie prénom d’emprunt », texte d’Isabelle Guisan, mise en scène Denis Maillefer 

‐ « Noir coeur de lumière », textes de Rezvani et Mac Carthy, mise en scène Lionel Parlier 

‐ « Monozygote », texte de Anne Baecher, mise en scène Christian Denisart  

 

 

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NØRN

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Traberproduktion                 

                                                              Un sac déposé par terre, dehors ou à l’intérieur d’une salle haute d’au moins 10 mètres. Il en dépasse le bout d’une corde de lin d’un diamètre de 8 mm. Tout autour, un fouillis de 47 perches de frêne. Chacune mesure 3 mètres de long et 45 mm d’épaisseur et se rétrécit vers les bouts. Un trépied formé de trois perches reliées au milieu par une corde se dresse au‐dessus du sac. Heinz grimpe sur le trépied et y reste accroupi un moment. De son juchoir, il ramasse la perche de frêne qui se trouve au sol, tout près de lui et saisit le bout de la corde de lin qui sort du sac. Il en détache 1 mètre et demi de corde et fixe la perche verticalement sur l’un des pieds du tripode, telle une branche pointant vers le ciel. Puis il attrape une deuxième perche, l’attache à la branche verticale et la connecte au trépied et au sol. En liant progressivement une perche à l’autre et à la structure en place.   Heinz bâtit un fondement d’où se dresse une tour qui monte vers le ciel. Il surprend par l’extrême aisance et agilité avec laquelle il se déplace dans son labyrinthe de perches. Ses mouvements sont fluides et il grimpe infatigablement ici et là pour construire sa structure et tester sa stabilité. Heinz interrompt trois fois son travail pour manger une pomme. A la dernière pause, la tour atteint son apogée. La façon de construire ne change jamais. Pourtant, la forme de la structure est toujours nouvelle. Le jour où Heinz bâtira son ultime tour, il la quittera par 

le haut. Jusque‐là, il détache patiemment une perche après l’autre, les appuie contre le trépied et jette les cordes par terre. Au bout de 3 ou 4 heures, Heinz se retrouve par terre et s’éloigne. Il reste un amas de cordes et un cône formé de perches de frêne.   

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COUPURES  DE   

PRESSE    

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NØRN • 24 Heures, 26.9.07, Corinne Jaquiéry : UNE VAGUE D’ÉMOTIONS VOCALES « Trois femmes. Fascinantes comme un trio de planètes étincelant au firmament de nos imaginaires, proches comme des copines avec qui on pourrait parler de tout. Aussi différentes qu’unies dans leur recherche d’un son venu du fond des âges, venu du fond d’elles-mêmes. (…) A la fois étrange et familier, l’univers de Nørn attire comme un lieu artistique aux multiples possibles.» • Journal du Jura Bernois, 8.3.07, Rose-Mary Voiblet : UN SAMEDI SOIR MAGIQUE « Nørn, c’est énorme : un spectacle aussi beau que dans le ciel, un soir d’éclipse de lune. » • Feuille d’avis de St Prex, 11.3.07 : CONCERT VOCAL «De la pure magie. Dès la première seconde, on est immergé dans une poésie totale, par les sons, étranges, prenants, envoûtants même, sans oublier l’aspect visuel, essentiel, sorte de chorégraphie pleine de tendresse et de sensualité. Telles des sirènes aux bras élégants, aux mains fluides, aux mouvements du corps ralentis par l’élément liquide, les trois femmes-Nornes nous ont « cloués » à nos sièges, fascinés comme Ulysse à son mât… »

• 24 Heures, 8.11.06, C.Pa. : L’ENVOÛTANT DÉLUGE VOCAL DE TROIS ELFES AQUATIQUES « Leur nouvelle création explore l’élément liquide dans tous ses états, du clapotis à l’inondation, entre cataclysme et régénération.(…) Tapant, frottant, caressant, griffant une ribambelle d’instruments plus « nørniens » les uns que les autres, le percussionniste Hervé de Pury libère les voix de la contrainte d’assurer une base rythmique. Plus encore que dans Fridj, les timbres des trois sirènes tressent alors avec finesse des atmosphères tour à tour grave, sensuelle ou espiègle. »

• La Liberté, 17.10.06 : VERBI’ÂGE ET ROSE DES VENTS « …(elles) entrelacent dans leur style propre les influences du chant grégorien et des cultures populaires arabe, gitane, voire celte ou africaine. Comédiennes aussi, elles investissent leur chant sauvage ou mutin de cris tribaux ou de vocalises suraigües. Naturelles, à la fois directes et suggestives, trolle et fée clochette, bourdon et luciole, elles chantent comme si elles avaient un secret précieux à dire. »

•La Liberté, 9.5.06, Joëlle Challandes : L’ENVOÛTEMENT SELON NØRN « (…) Un bain iodé samedi soir au festival Altitudes. C’est le moment d’embarquer dans le nouvel univers ensorcelant du groupe : l’eau dans ses débordements. (…) Jamais vaincues par la tempête ou le vertige des hauteurs, elles reprennent de l’oxygène et poursuivent inlassablement leur chant. Gagné par leur emprise gestuelle et sonore, le spectateur a l’impression d’avancer sur les vagues de la vie avec elles. » • La Région Nord vaudois, 2.5.06, Céline Overney : DE LA CHALEUR AU PAYS DU FROID « Elles racontent des histoires. Intenses, souvent drôles, parfois violentes. Mais toujours comme des petits secrets. Elles nous révèlent d’étranges mystères dans leur langage sacré. »

• Thuner Tagblatt, 21.4.06, Heinerika Eggermann : EIN ABEND OHNE GLANZ UND GLORIE « Genial und daher einziger Höhepunkt des Abends bildete das Trio Vocal Nørn. Die drei stimmgewaltigen Frauen traten in phantasievollen Kostümen auf, die sie wie Schwäne erscheinen liessen. Exotisch auch ihre Fantasiesprache Nørnik, die ans Französische, Arabische und an Skandinavische Sprachen gleichermassen errinerte. » • La Région, 20.4.06, C.P. : LA LANGUE ENVOÛTANTE DE NØRN « Spectacle clin d’oeil, ludique, tout en mouvement et subtilités vocales, Fridj constitue un univers en soi, mystérieux et captivant, parce que généreux, frais et plein de charisme. En cela, Fridj est, sans vraiment le vouloir, une véritable leçon de séduction et d’innocence à la fois, dans ce que l’âme humaine a de plus communicatif, d’émouvant et d’universel. » • Presse-Hebdo du nord vaudois, 3.11.05, E.Ba. : ENVOÛTANTES SONORITÉ S DU NORD « Une expérience artistique qui laisse des traces. Forcément incompréhensible en tant que tel, le nørnik parvient pourtant, comme par magie, à emporter l’auditeur sur les chemins où les chanteuses l’invitent. Prouvant au passage que, pur la musique, les rythmes, l’harmonie et les sons comptent autant que les paroles. »  

 

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                                             Théâtre ON M’LADIT