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Edition de février 2010 Journal N° 45

Rédacteurs en chef: Mme Joubert Théodose G. Mr Denolly Roland

Equipe de journalistes

Ce1 Faïssal Zitouni, Marine Grand et Ludivine Lorente

Ce2 Djaocien Tahar, Léa Carmona

Cm1 Sarah Pitou, Khelya Zitouni Aude Iso, Maëlle Nodari

Cm2 Romane Bocquet et Emma Bellavia

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Editorial

Quoi de neuf dans nos classes ? En classe CM1/CM2 En classe CE2/CM1 En classe CP/CE1 En classe GS/CP En Maternelle En classe d’Adaptation

Nos dossiers Chambord Le concours de bonhommes de neige Hip-hop Mes chiens La Hongrie La luge Mon rottweiller et moi Je fais de la boxe Le musée de Tautavel Le berger allemand Mon voyage en Irlande

Espace intériorité Flash Evangile T’en penses quoi de ma question ? Toile de vie et Oasis

Nos rubriques habituelles Je mène l’enquête… Mots croisés Histoire d’une… expression A vos crayons Le coin des p’tits loups Le jeu des prénoms Mots d’enfants Le jeu des erreurs En direct du Collège A vos crayons Un peu de sérieux

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Le nouveau « Les Traces de nos Vies » est arrivé! Déjà le numéro 45… S’il n’est pas arrivé à Noël, comme à son habitude, c’est que désormais ils ne seront plus trois mais deux dans l’année. Problème de coût bien sûr, mais aussi de gratuité. Cet espace d’écriture, où vos enfants se racontent et tissent au fil des pages l’abécédaire de leur vie, nous tenons beaucoup à ce qu’ils vous l’offrent, comme un CADEAU … Ce journal est comme un printemps qui va naître. Il est fait de mille choses cueillies dans l’univers de vos enfants, d’une multitude de jeunes pousses ten-dres, prometteuses, créatrices de vie… Des pousses qui s’appellent émotions, centres d’intérêt, réflexions, sourires. Il vous donne aussi la dimension de notre projet d’école qui ambitionne de développer les Savoir-Etre chez l’enfant . Vous trouverez donc le premier des trois étages de notre fusée pédagogique : un cycle de théâtre pour les élèves de CE2/CM1. Aider les enfants à travailler l’écoute, à maîtriser leurs émotions, à occuper l’espace : lisez les articles de la classe et vous serez conquis. Dans les semaines qui viennent, les deux autres étages vont se mettre en mou-vement. Un cycle Cirque pour les CM1/2 et CP/GS et un conte musical pour les deux classes Maternelles. Ces trois temps forts sont destinés à offrir de nouveaux lieux d’expression à nos élèves et notamment à ceux qui rencontrent des difficultés scolaires. Ils doivent leur permettre de se mettre en situation de réussite et ainsi de se ré-habiliter aux yeux de leurs camarades et à leurs propres yeux. Une ambition qu’ils sauront saisir, j’en suis sûr. Bonne lecture

Le Directeur de l’école Roland DENOLLY

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Le jeudi 15 octobre, le papa de Corentin, Monsieur GREMERET, est venu dans notre classe nous expliquer les étapes de la fabrica-tion du pain. C’est le blé qui est à la base du pain puis-que c’est de son amande que l’on tire la farine. Les ingrédients indispensables à la fabrication

du pain sont : la farine de blé, l’eau, la levure (chimique ou le levain), du sel et... les mains du boulanger !

Tout est donc naturel dans le pain. La levure consomme de l’oxygène et du

gluten (présent dans le mélange farine + eau). Nous avons découvert dans quel or-dre mélanger les ingrédients. Les entailles faites sur le pain sont appelées la « signature du boulanger ». Elles ne sont pas simplement décoratives mais per-mettent au gaz carbonique (qui se dégage depuis le pétrissage jusqu’à une heure après la sortie du four) de trouver une issue pour s’échapper. Sinon, la pâte gon-flerait encore plus et la mie contiendrait encore plus d’alvéoles.

Nous avons également découvert que les pains portent des noms différents

selon leur poids mais aussi selon la région de France. La pâte à pain est la base d’autres pâtes comme la pâte brisée, la pâte à croissants ou à brioche.

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Sur des plans de travail installés pour l’occasion, nous avons mis de la farine et chacun a pu travailler son morceau de pâte. Il fallait faire attention de ne pas trop la malaxer ni la brusquer sinon la pâte s’affaisse. Laurent nous a montré comment faire une vache, mais chacun était libre de faire ce qu’il voulait. Nous avons fait des têtes de vaches, de singes mais aussi des chats, des tresses, des tortues... en met-tant des raisins secs pour faire les yeux.

Le lendemain, nous sommes allés dans le

fournil de Laurent et Karine GREMERET pour mettre en pratique nos connaissances théori-ques. Après un bon lavage de mains, nous nous sommes remémoré les quatre ingrédients de la pâte à pain avant de les voir en grosse quanti-té. Nous avons circulé à sens unique devant la machine qui en a pétri environ 11 kg ! Au fur et à mesure, des bulles se formaient dans la pâte et éclataient. Ces bulles de gaz carbonique étaient le résultat de la réaction chimique entre la levure, l’oxygène apporté lors du pétrissage et le gluten.

Au début du pétrissage, la pâte se cassait lorsque Laurent l’étirait. A la fin, il pouvait l’étirer sans la casser car elle contenait le vrai « réseau glutineux » dont nous avions parlé la veille.

Ensuite, Laurent a placé cette énorme boule de pâte à pain dans une diviseuse. Cette machine coupe des morceaux de taille identique. Chaque morceau per-

met de faire un pain.

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La règle du jeu: Le goal a devant lui une zone d’environ 2m que les joueurs n’ont pas le droit de fran-chir. On doit être sept joueurs par équipe. On n’a pas le droit de se déplacer avec le ballon. Soit on tire dans les cages, soit on fait une passe. Les cages sont plus petites que celles du foot. On joue à la main et le gardien a le droit d’arrêter le ballon avec

les pieds. Le ballon est petit. C’est un sport d’é-quipe.

Il faut jouer avec nos ca-marades.

Ecrit par Andy et Naofel (CE2)

Une séance de hand-ball en cours d’EPS avec Jocelyn

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Pendant dix semaines, nous avons 1h30 de théâtre par semaine avec Léon, no-tre intervenant. Pour la première séance, nous avons fait le jeu de l’électricité. On s’est mis en rond, on s’est tenu la main, on a fer-mé les yeux et l’on s’est passé de l’é-lectricité en pressant nos mains à tour de rôle. Cet exercice nous sert d’é-chauffement. Pour la deuxième séance, nous avons fait le jeu de la valise. Nous devons imiter une personne qui prend sa va-lise. Nous devons ouvrir la valise, prendre un objet, n’importe lequel, et mimer à quoi il sert. Ensuite, nous remettons cet objet dans la valise, nous refermons la va-lise et nous sortons de scène. Le théâtre, c’est SUPER!

Ecrit par Khelya et Sahra O.(CM1)

Des élèves en pleine ex-pression...

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Nous allons vous expliquer comment on fait un sketch. Il faut au minimum deux personnes. Il faut toujours veiller à l’ouverture public : ne jamais tourner le dos, toujours avoir un œil qui regarde le public. Ensuite, être attentif à la ré-action des spectateurs, être à l’é-coute. Enfin, pour que l’on puisse bien nous enten-dre, parler assez fort en articulant. Ne pas oublier non plus de mettre l’intonation quand cela est nécessaire. Faire un sketch, cela peut être amusant, strict ou encore simplement une blague. On adore cette activité, car cela nous ap-prend à être bien dans notre peau, à parler devant un groupe, à ne plus avoir peur lors-que l’on récite une poésie.

Ecrit par Léa et Lorély (CE2)

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Chaque vendredi matin, deux ca-marades viennent nous trans-mettre leurs connaissances. Ils nous apprennent des choses sur un voyage qu’il ont fait, une passion qu’ils vivent ou bien ils nous font réviser une notion

travaillée en classe et qu’ils ont compris. Ils vérifient si l’on s’en rappelle, nous l’expliquent et nous font faire des exemples. Ce moment dans la classe, sert à apprendre des choses que l’on ne savait pas. Cela nous aide aussi à nous exprimer devant un groupe.

Ecrit par Augustin et Benjamin (CE2)

Naofel nous parle du système so-laire...

...et Marko-des fossiles

Cette année, j’ai décidé de prendre des cours de guitare. La guitare est un instrument à cordes. On en joue avec les doigt ou un médiator. Le son des cordes est amplifié par la caisse de résonances. Le manche sert à faire des notes différentes. Pour pouvoir jouer de la guitare, j’ai du apprendre un nouveau langage:le solfège. Les notes sont écrites sur des lignes qui s’appellent des portées. Il y a aussi de notes qui s’écrivent entre les lignes .Les notes sont noires, blanches ou rondes. Les noires durent un temps, les blanches durent deux temps, les rondes quatre temps.

Ecrit par Théo (CE2)

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Le mardi 19 janvier, une personne qui travaille au centre de tri de Penol, est venue nous parler des déchets. Elle nous a d’abord expliqué que les déchets ont toujours existé. Autrefois ils étaient biodégradables, alors qu’aujourd’hui, tous ne le sont pas. Il faut donc trier. Puis, nous avons vu qu’il existait quatre poubelles différentes: une verte, une bleue, une jaune et la poubelle de la maison ou poubelle habituelle. Dans le container vert, on met du verre qui est recyclable à l’infini. Les journaux et prospec-tus sont jetés dans la poubelle bleue. Dans la jaune, on met des bouteilles transparentes (eau), colo-rées ou opaques (lessive), des briques alimentaires (lait, jus de fruit), des emballages métalliques (boîtes de conserve) et du carton léger (boîtes de céréales). Les yaourts et la vaisselle cassée vont dans la poubelle habituelle. Dans notre jardin, nous pouvons aussi installer un composteur que l’on remplira d’épluchures ou de fleurs fanées. Celles-ci vont se dé-composer et se transformer en terreau très utile pour les planta-tions. Les encombrants, les branchages et les pneus sont destinés à la dé-chetterie. Ensuite, nous avons fait un jeu. Chacun devait choisir la poubelle

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Le vendredi 22 janvier, nous sommes allés au centre de tri de Penol. Nous avons fait deux groupes. Les uns ont regardé la cassette « Ma planète chérie », pendant que les autres visitaient le site. Pour cela, ils ont enfilé des casques. Il a fallu les régler à la grosseur de notre tête. A Penol, on trie uniquement le container jaune. Les dé-chets montaient sur un tapis et passaient dans un trommel. Ils arri-vaient ensuite sur un tapis roulant. Là, il y avait des personnes qui triaient de nouveau. Chaque employé s’occupait d’un type de déchet et le versait dans une poubelle spécifique qui se trouvait à côté de lui. Par exemple, une dame ne prenait que les bouteilles transparentes. A côté, un monsieur ne prenait que le carton. Quelqu’un s’occupait des erreurs de tri. Plus loin sur le tapis, un aimant attirait le métal. Les déchets sont ensuite compressés (une balle peut peser entre 100 et 700 kg) et envoyés dans les usines de recyclage. Dans la cassette, nous avons vu que les bouteilles transparentes pou-vaient être mis en paillettes et servaient ensuite à confectionner des pulls polaires ou bien des couettes. Avec les bouteilles opaques, on fa-brique des tuyaux, des arrosoirs, un siège -auto… Les canettes sont transformées en vélo ou en caddie. A Penol, il y a aussi un centre d’enfouissement. Un tracteur tasse les déchets. On a installé des bâches afin de ne pas polluer la terre. Tout près se trouve une station d’épuration qui sert à rendre propre l’eau qui s’écoule. Puis, nous sommes repartis tous très contents de cette visite. Nous sommes persuadés qu’il ne faut pas jeter n’importe quoi n’importe où. Notre Terre est belle. Si on continue de la polluer, elle sera bientôt invivable. Pensons aussi aux animaux qui comme les hommes ont besoin d’un environnement propre pour survivre. Retenons une seule idée:

PROTEGEONS NOTRE PLANETE

EN RECYCLANT !!!

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Depuis le mois d’octobre, nous correspondons avec une classe de GS/CP de l’Ile de la Réunion. Leur île se situe dans l’océan indien, « près » de Madagascar. Ils habitent à l’Abondance, à l’est de l’île, sur les hauteurs de St Benoît. En premier, nous avons reçu des photos de leur école, du groupe classe et de chaque élève. Dans leur classe, ils sont 22 filles et garçons et leur maîtresse s’appelle Estelle. Nous aussi, nous nous sommes présentés et nous leur avons envoyé le re-portage que nous avions fait pour la semaine du goût concernant la fabri-cation des pâtes de toutes les couleurs (à voir sur le site de l’école).

Leur classe

Leur école en hiver !!!

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Dans leur deuxième courrier, ils nous avaient fabriqué une grande affi-che sur tout ce qu’ils peuvent trouver à Noël dans leur île : le soleil, les fleurs, les « arbres rou-ges » (flamboyants) et toute leur nourriture qui est très différente de la nôtre. Ils mangent du riz à tous les repas ainsi que des graines comme les lentilles, les haricots blancs. Par contre, ils ne mangent pas de pain. Là-bas, en ce moment, c’est l’été et ils vont souvent se baigner.

« Ils ont trop de la chance!! » Ils étaient en vacances jusqu’au 25 janvier.

Juste avant les vacances de Noël, ils nous ont envoyé un ENORME co-lis, plein de surprises.

Nous avons d’abord senti avant d’ouvrir le colis.

Le colis était plein de fruits et de gourmandises.

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Nous avons goûté, 2 après-midi, avec des ananas, des fruits de la passion, des mangues, des letchis, du chocolat aux grains de sucre de canne, des pâtes de fruits, du miel de letchis…

«Nous nous sommes régalés! C’était méga bon! » Depuis quelques semaines, nous préparons notre réponse: des cartes de vœux avec des paysages de neige, une lettre de remerciements et notre vie en hiver avec toute la neige qui est tombée en janvier.

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Depuis le début de l’année scolaire, nous avons beaucoup cuisiné. En octobre, pour la semaine du goût, nous avons appris à faire des pâ-tes fraîches aux couleurs de l’automne :

• vertes : au basilic • rouges : à la sauce tomate • jaunes : au safran • marron : au chocolat.

Nous avons pris des photos, nous les avons remises dans l’ordre et nous avons légendé ces photos pour faire des panneaux . Début janvier, nous avons fabriqué des galettes pour fêter les Rois. Pour cela, les CP ont lu la recette et les GS ont expliqué tous les des-sins. Nous avons tous cherché des mots importants dans cette re-cette : sucre, œufs, galette, pâte, poudre d’amandes. Ensuite, nous avons fait des ateliers en classe pour préparer 6 galettes pour toute l’école.

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Fin janvier, nous sommes partis au lycée de St Siméon, pour cuisiner des gâteaux de différents pays : Portugal, Turquie, Maroc, Angleterre, Italie, Espagne et France. Les Terminales avaient organisé pour nous des ateliers de cuisine. Nous avons fait des équipes de trois élèves et choisi un pays. Les CP ont lu la recette aux GS pour pouvoir la réaliser. Ensuite, nous avons cuisiné. Pendant que les gâteaux cuisaient, nous avons réalisé chacun une affiche avec les ingrédients de la re-cette.

Les lycéens nous avaient prévu un pe-tit goûter sur place avec ce qu’on avait préparé.

Ils nous ont aussi préparé une assiette avec tous les gâteaux que nous avons emportée à la maison.

Nous, on aime cuisiner

mais surtout ... ce qu’on ADOOOORE, c’est …… goûter.

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Dans notre classe, nous travaillons sur les contes. Les contes traditionnels, les contes revisités, détournés. Les contes russes, méditerranéens,…. « Nous avons travaillé sur « Boucle d’or et les trois ours ». Nous avons appris à faire les boucles de Boucle d’or, en MS, et les lettres qui ressemblent à ses boucles, en GS. Les let-tres l, e, b et h écrites en cursive. Nous apprenons aussi à recons-tituer le titre de l’album. Nous travaillons sur les personnages, les lieux de l’histoire…. Nous avons aussi vu le conte : « Le petit bonhomme de pain d’épice ». A cette occasion, nous avons cuisiné un biscuit de pain d’épice en forme de bonhomme. Nous avons travaillé sur la re-cette. Et nous avons comparé « Le petit bonhomme de pain d’é-pice » à « Roule galette ».

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En ce moment, nous étudions « Hänsel et Gretel », avec la maison en pain d’épice, biscuit, bonbon, caramel, chocolat et su-cre ! A la bibliothèque, Christelle nous lit aussi des contes. Nous faisons des jeux en rapport avec ces jolies histoires. Parmi ces contes : « La petite moufle », « Le bonnet rouge », « Le bâteau de Monsieur Zouglouglou », « Quel radis dis-donc !»

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Depuis la rentrée de janvier, nous travaillons sur le conte de Natha Caputo: ROULE GALETTE. Nous avons ainsi fait des galettes et fabriqué des couronnes avec Monique et la stagiaire Alexandra. Nous avions déjà tiré les rois tous en-semble en mangeant les galettes fai-tes par les classes de GS-CP et de CM1-CM2. Mais ce n’était pas pareil !!! Nous avons fait des galettes comme dans la comptine:

Je suis la galette, la galette Je suis faite avec les grains de blé Ramassés dans le grenier, On m’a mise à refroidir, Mais j’ai mieux aimé courir, Attrape-moi si tu peux!

Nous l’avons attrapée ( comme le renard) puisque nous l’avons cro-quée! Mais, bizarre, bizarre??!! Chaque enfant a trouvé une fève et a ainsi pu mettre sa couronne sur sa tête et chanté la chanson:

Si tu trouves la fève dans la galette Tu mettras la couronne sur la tête Si tu ne la trouves pas, si tu ne l’avales pas, Alors ce sera-toi qui seras la reine ou le roi.

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Depuis Novembre, tous les mardis après-midi, les CE1 ont des problèmes ! Ils se creusent la cervelle, confrontent leurs idées, collaborent pour ré-soudre à deux ou trois des petites situations problèmes, mettant en œu-vre ce qu’ils ont déjà appris en classe ou bien inventant des solutions inédi-tes ! Raisonnement, rigueur mais aussi imagination et entraide sont nécessaires à la réussite du petit groupe qui doit se mettre d’accord sur la solution qu’ils proposeront à toute la classe : les maths au service du « vivre en-semble » ! A moins que ce ne soit l’inverse !

(atelier animé en classe par Maîtresse Monique)

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Pourquoi des « problèmes pour chercher » à l’école primaire ? Cinq objectifs différents peuvent être dégagés. 1. La pratique du « problème pour chercher » développe la capacité de l’élève à faire

face à des situations inédites. 2. Dans la résolution de ces problèmes, l’élève prend conscience de la puissance de

ses connaissances, même si celles-ci sont modestes. Il existe en effet toujours plusieurs moyens d’élaborer une réponse, faisant appel à des registres de connaissances différents : ainsi, certains élèves peuvent dessiner la situation et d’autres n’utiliser que le calcul.

3. L’activité de l’élève dans la résolution d’un « problème pour chercher » valorise des comportements et des méthodes essentiels pour la construction de leurs savoirs : prendre des initiatives (tenter, faire des essais…), être critique vis-à-vis de son travail (contrôler, analyser ses erreurs…), s’organiser, être méthodique (réduire le hasard, le nombre de cas à envisager), communiquer (par oral, dans le groupe et face à la classe, par écrit pour rendre compte de sa recherche).

4. Les phases d’échanges et de débats développent les capacités argumentatives de l’élève. Les débats qui s’instaurent soit dans les groupes, soit dans la classe conduisent les élèves à valider ou réfuter une proposition. Un élève qui est persuadé du bien-fondé de son idée, de l’intérêt de la piste qu’il veut explorer, ou de la solution qu’il a trouvée, devra convaincre ses camarades. La raison doit l’emporter sur la passion. En mathématiques, la majorité n’a pas toujours raison !

5. Ce type d’activité contribue à l’éducation civique des élèves. Les moments de recherche sont plus efficaces si on s’entraide : les idées proposées par les uns, même erronées, alimentent celles des autres. Les moments de débats offrent également l’occasion de travailler l’écoute, la prise en compte et le respect de l’autre.

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Chambord fait partie de la famille des châteaux de la Loire. Il est grand, beau, majestueux et entouré de grandes forêts. Il a de grandes pièces très belles. Il a des toits arrondis et pointus .

Les rois aimaient beaucoup chasser à cette époque. Ils mettaient des bouillottes dans leurs lits car il faisait très froid dans ce grand châ-teau. La cheminée n’arrivait pas à chauffer tout le châ-teau.

Il fait partie de mes préférés dans les châteaux de la Loire.

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Je fais du hip-hop depuis une année à St Siméon. Mon professeur s’appelle Joackim. J’aime bien les pas et les mouvements que l’on fait. Comme je sais marcher sur les mains, il m’apprend des figures. J’ai fait un spectacle au téléthon.

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Oward, c’est mon chien. Il est noir et blanc, avec les yeux marron. Il se couche dans sa cor-beille qui est dans la maison, près de la chambre de mes parents.

Buz, c’est mon deuxième chien. Il est noir et un petit peu blanc. Il a les yeux marron. Je les caresse, je joue avec eux : je leur lance une balle. Je les porte dans mes bras. Je les aime beaucoup.

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La Hongrie se situe à plusieurs kilomètres d’ici. Là-bas j ai beaucoup de cousins et de cou-sines que je ne vois pas souvent. J y vais pour les vacances. Il y a de très beaux paysages. Pour y aller nous traversons un pont qui porte 2 noms : le pont de la Liber-té et le pont Elisabeth. Là-bas, ils ne parlent pas français, la langue qu’ils utilisent s’appelle le hon-grois.

Mon papa est originaire de là-bas.

Le parlement de Hongrie à Budapest

Le palais royal, ancienne ville fortifiée de Buda

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Dimanche, j’ai fait de la luge avec Kévin. C’était chez moi, dans mon jardin.

Il y avait beaucoup de neige. Il m’a pris en photo. Au bout d’un moment, j’étais toute mouillée. On s’est bien amusé.

Maman m’a donné un cacao chaud. Elle a lavé ma salopette. Elle est gentille ma maman.

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Moi et mon chien, on s’est fait une partie de boules de neige dans ma cour. Mon chien est venu dans mon camp et il voulait me lancer une boule de neige. Mais elle a fondu dans sa bouche! Il a huit ans, c'est-à-dire mon âge. Sa peau est noire. Il est impo-sant mais très gentil. Avec mon père, on l’emmène se promener dans la plaine, vers la croix. Il court très vite! Le soir, il se couche dans sa cabane. Il n’aboie presque jamais la nuit.

Ecrit par Benjamin (CE2)

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Je fait de la boxe depuis l’année dernière à Saint Etienne. Mon entraî-neur de boxe s’appelle David. Ma maman et ma sœur en font aussi. Il y a des cours pour les adultes. Au début pour commencer,il faut saluer. Puis ensuite, on s’échauffe. Pour s’échauffer, on fait plein d’exercices très différents. Après on met ses protections :pour les dents ,les tibias, les poignets. Il y en a qui vont au sac ,d’autres vont au ring. On peut aussi faire de la corde à sauter ou alors il y a quelqu’un qui s’appelle Fabien qui aide David en faisant faire des pattes d’ours. La boxe c’est vraiment bien! Quand on a beaucoup d’entraînement,on fait des compétitions.

Ci-dessus, David et Fabien. En bas, Yassin et Matéo en En blanc, Khelya et Ga-

brielle à la lutte.

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Le musée de Tautavel, c’est un musée sur la Préhistoire. Tautavel se situe au-dessus de Perpignan. Les hommes préhistoriques se classent du plus ancien au plus récent: australopithè-que, homo habilis, homo érectus, homo sa-piens néandertal, homo sapiens-sapiens, Cros Magnon, Néolithique.

Les femmes pouvaient être mère à 9 ans et tous mourraient dans la vingtième année. Ils avaient aussi le front plus plat et allongé qu’au-jourd’ hui, ils étaient petits, musclés et trapus. Ils avaient la mâchoire plus grosse et plus de dents car ils mangeaient beaucoup plus que nous, notamment de la viande crue. Ils avaient les han-ches plus larges et

s’habillaient avec des peaux de bêtes qu’ils tuaient. J’ai adoré cette visite.

Ecrit par Léa (CE2)

L’homme de Néandertal...

Squelette d’un ours

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La copine de mon père a un berger alle-mand. Il s’appelle Cheyenne. Il a 9 ans et je l’adore. Le berger allemand est un chien musclé. Il

peut servir dans la police pour renifler des pistes. Il sert aussi lors d’un tremblement de terre pour re-trouver les personnes coincées dans les décombres, sous les gravats. Actuellement, il sont très utiles à Haïti. C’est un chien très obéissant.

Un chien très utile à la so-ciété.

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L’été dernier, avec mes parents, nous avons pris l’avion pour l’Irlande. En Irlande,il pleut tout le temps, mais parfois il y a des rayons de soleil. Comme il pleut, les paysages sont beaux et pleins de couleurs.

Il y a beaucoup de choses à visiter : un village ancien, un château etc. Nous avons dormi dans des bed and breakfast différents chaque soir. Ce sont des lieux où des personnes nous logent pour dormir et nous donnent le petit déjeuner. Chez nous, on appelle cela des chambres d’hôtes. Nous avons fait le tour de l’Irlande du sud.

Ce qui m’a le plus touché, ce sont les beaux paysages qui donnent envie d’y retourner ou simplement d’y aller.

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Présente ...

Jésus arrive dans un village. Les gens se pressent pour l’écouter. A la sortie du village, Bartimée, un aveugle rejeté par tous, fait la manche au bord de la route.

Il voit arriver Jésus et l’appelle. Les amis de Jésus le font taire violemment...

Mais Jésus a compris sa souffrance. Il l’appelle et ...le guérit! Il lui dit: « Va, ta foi t’a sauvé! »

Bartimée n’en revient pas! Il a retrouvé la vue et ouvre de grands yeux. Il est décidé désormais à suivre Jésus.

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L’histoire en images est remise en ordre...

Jésus est invité à un mariage. Au milieu du repas, il n’y a plus de vin! Marie en parle à Jésus. Marie va voir les serviteurs.

Faites tout ce qu’il vous dira!

Jésus ordonna que l’on rem-plisse les jarres d’eau jusqu’à ras bord...

Quand on sert l’eau au maître de la fête, elle est changée en vin! Alors il dit:

D’habitude, on boit le bon vin au début. Mais toi tu as gardé du bon vin jus-qu’à la fin du repas! »

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Le 4 janvier 2010, une heure de réflexion a été proposée à tous les élèves de l’école. Nous appelons ce temps d’écoute et d’échanges TOILE de VIE pour les plus jeunes, OASIS pour les plus grands. . En voici quelques échantillons ...

Cycle 1 : Nuits blanches et Nuits noires : les enjeux de la nuit Quand c’est tout noir, moi j’ai toujours peur. Moi, j’ai peur des ombres, du bruit. Quand je suis couché, j’entends toujours les loups. Papa et maman nous lisent une histoire si on est sage. Si mon frère et moi on fait les fous, on « perd l’histoire ». Moi, ma maman elle reste avec moi pour m’endormir. Des fois, je prends la place de papa dans le lit de maman quand il est parti. Si je fais un cauchemar, je vais dormir avec mon frère, ça me rassure.

Quand on est fatigué, on ne veut plus travailler à l’école. Si je ne dors pas, je ne pourrai pas jouer à la DS.

Moi, des fois, je « plonge dans les cauchemars » et je me bats contre les monstres. Des fois, on regarde des choses pas jolies à la télé et on fait des cauchemars. La maison est fermée à clé : les monstres ne peuvent pas rentrer dans la nuit. Et la lune ne

dort que d’un œil pour nous surveiller avec les étoiles. De toute façon, la lune et les étoiles sont plus nombreuses que les monstres !

Je réfléchis la nuit pour savoir pourquoi j’ai été méchante avec ma copine et du coup je ne dors pas.

Je ne veux pas qu’on ferme les volets : je veux voir la nuit ! Moi, quand je dors, mon chien il me lèche. Heureusement qu’il y a la lumière des WC allumée, le Bisounours qui fait une lumière arc en

ciel, la veilleuse Dora, la petite lampe Titi, et... les doudous ! Sur mon oreiller, j’ai des girafes, des éléphants, des animaux et une couette de Oui-Oui

qui me protègent.

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Cycles 2 et 3 :

L’être et l’apparence

On peut utiliser son apparence pour se défendre ou cacher nos difficultés.

Il faut se méfier des personnes trop gen-tilles qui peuvent en réalité être malhonnê-tes... et inversement !

Quand on ne connaît pas la personne qui veut nous donner quelque chose, il faut de-mander l’avis de nos parents.

Quelqu’un peut être moche vu de l’exté-rieur, avoir honte de son apparence et être beau de l’intérieur.

Parfois on ment pour ne pas faire de la peine à une personne que l’on aime. On peut être gentil mais pauvre... On peut avoir une tête de méchant et un bon cœur. On

peut avoir l’air gentil et l’être vraiment ! On ne montre pas toujours qui l’on est vraiment à l’intérieur par peur, par pudeur. Ou

alors, on n’a pas conscience d’être si agressif, râleuse ....et si personne ne nous aide à en prendre conscience, on peut être mal perçu(e).

Une personne qui se montre supérieure aux autres peut être mise à l’écart, provoquer des jalousies.

Quand un copain est bagarreur ou dit de vilaines choses, c’est qu’il est timide ou veut atti-rer l’attention. Il a peur de ne pas être aimé. Il faut lui apprendre à mieux s’exprimer, à mieux s’y prendre pour se faire des amis.

On a parfois peur de ne pas être aimé tel qu’on est. Ce n’est pas de notre faute si on a un défaut.

On se respecte entre amis car on se connaît vraiment. C’est dans notre nature d’avoir une part de colère en nous. Ce serait bizarre si on était

tous gentils. Se montrer agressif parfois, cela montre que l’on a du caractère. Cela fait du bien d’imaginer un monde où il y aurait plus de gentillesse. Ce que l’on ne voit pas est dans le cœur. On ne peut pas vivre en se méfiant de tout le

monde. En écoutant son instinct, on peut savoir si une personne est méchante ou pas. (exemple de La Belle et La Bête)

Pour faire confiance à quelqu’un et savoir qui il est, il faut du temps car les apparences sont parfois trompeuses. (exemple de Blanche-Neige)

Face aux autres, on croit toujours avoir raison mais il faut accepter de changer de point de vue.

Quand les parents se disputent, l’enfant souffre dans son cœur car les apparences montrent qu’ils vont peut-être se séparer.

Faire des choses ensemble et discuter aide à dé-couvrir le vrai visage d’une personne (la nouvelle femme de papa, un nouvel élève dans la classe...). Cela prend du temps si on veut la connaître en profondeur et pas seulement en apparence.

Changer d’attitude et d’apparence peut influencer l’image que l’on a de soi et aider à changer de l’inté-rieur (exemple du clochard réinséré). Choisir des

gestes et des mots plus doux apaise de l’intérieur aussi.

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Au lendemain de la Toussaint, c’est quoi la mort ? Est-ce que tu en as peur ?

Réponse des enfants : • La mort, c’est comme quelque chose qui se casse. • Une fois qu’on est mort, c’est tout noir. • On m’a dit qu’on a des morts tout autour de nous. • A notre mort, notre âme monte au ciel et va au Paradis, si on a été

sympa, sinon elle va … ailleurs ! • On peut se faire brûler. • Je sais pas si c’est pareil quand on arrive au Paradis en cendre ou en

cercueil. • J’ai pas peur de la mort : c’est peut-être parce que je suis bien por-

tant ! • Moi j’ai surtout peur de souffrir d’une maladie ! • J’ai peur d’être brûlé, j’aime bien les vers de terre ! • Jésus, quand il est mort, il a mis des couleurs dans le ciel !

Ce qu ‘en pense le livre « Qui donc est Dieu ? » Bayard Presse Notre corps aujourd’hui, c’est une organisation géniale, beaucoup plus

compliquée et perfectionnée qu’une fusée Ariane ! Mais le principal, c’est qu’il nous permet de bouger, de parler, de sourire, d’entrer en relation

avec les autres. Personne ne peut prouver qu’il y a une vie après la mort. On peut simple-ment le croire. Mais même si l’on y croit cela n’empêche pas d’avoir peur

de la mort, de la souffrance, et d’être triste. La mort donne froid dans le dos ! Même si on croit que Dieu nous ressus-citera tout entiers, même si cette espérance donne un sens à notre vie,

la mort et la douleur, c’est quand même dur à avaler… ***********************************

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QUESTION POSEE :

« Est-il possible de vivre sans rien savoir du tout ? » Une femme, 62 ans : « Si nous nous référons à l’époque de la Pré-histoire, je pense que OUI. Mais s’agissait-il de savoir ou d’ins-tinct ? » Un homme, 65 ans: « Si on ne savait rien, on ne connaîtrait ni no-tre histoire, ni l’histoire de notre pays, ni sa géographie. » Une femme, 60 ans: « Il est impossible de vivre sans savoir. Ima-gine toi au réveil, tu ne sais pas l’heure, ni le jour, ni la saison. Tu ne sais pas si la lumière du soleil va s’éteindre, tu ne sais pas quoi manger et pourtant tu as faim. Il faudrait chaque jour tout tes-ter, tout essayer et toujours recommencer.» Un homme, 32 ans : « Oui, certaines tribus vivent sans rien sa-voir du monde qui les entoure et sont-ils pour autant plus malheu-reux que nous ? Par contre des personnes qui ne savent rien sont des proies faciles pour des manipulations et pour créer des conflits et de la haine. »

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Une femme, 38 ans : « Vivre sans connaissance serait bien triste, car sans elles il est alors difficile de communiquer avec les autres. Les connaissances nous permettent de réfléchir, d’échan-ger... » Une femme, 21 ans : « Non, car il y a des choses trop importan-tes à savoir comme les informations du monde entier. Ca nous concerne tous. Et on a la chance d’aller à l’école pour apprendre ! » Un homme, 30 ans : « Non, c’est impossible. Il faut se servir du vécu des personnes qui nous entourent pour prendre les bonnes décisions et avancer dans nos vies. Chaque opinion, chaque avis est différent. Ca crée la diversité. » Une femme, 42 ans : « Au fur et à mesure que nous grandissons, notre savoir grandit avec nous. Le simple fait d’observer permet d’apprendre. Il est donc impossible de vivre sans rien savoir du tout. » Une femme, 47 ans : « Le savoir nourrit notre réflexion. Nous sommes des êtres de perception et de relation. Sans savoir, nous ne pourrions pas interpréter les messages reçus, nous ne pour-rions pas évoluer. Nous serions probablement comme les hommes primitifs, qui longtemps sont restés dans l’ignorance. »

LE COMITE DE REDACTION VOUS REMERCIE D’AVOIR PARTICIPE

A NOTRE ENQUETE

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1 - Il vit dans les égouts. 2-Il nous réchauffe à la maison. 3-Il brille dans le ciel. 4-Il vole dans les airs. 5-Elle roule. 6-On s’assoit dessus.

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Se faire

GRAISSER LA PATTE

Son origine remonte aux habitudes des vendeurs de jambon dont la foire se tenait rituellement sur le parvis de Notre Dame, à Pa-ris. Afin de se concilier les bonnes grâces des inspecteurs chargés de la surveillance des ventes sur la foire, les marchands leur glissaient dans la main...un gros morceau de lard. C’était au sens propre, graisser la patte! Aujourd’hui, l’expression signifie: donner illégalement de l’argent à quel-qu’un pour obtenir quelque chose.

ON N’EST PAS SORTI DE L’AUBERGE

Vers les années 1800, sur une route de montagne de l’Ardèche, des aubergistes qui paraissaient très honnêtes profitaient du sommeil de leurs clients pour les assassiner et dérober leurs biens. Cela dura 20 ans avant qu’enfin les tenanciers démasqués soient rendus à la justice et exécutés. Cette histoire étrange, au fil des siècles, donna naissance à l’ex-pression on n’est pas sorti de l’auberge. On l’utilise aujourd’hui lorsque l’on se trouve dans une situation diffi-cile, de laquelle on aura du mal à sortir.

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Ça veut dire quoi...

C’est monter C’est monter les escaliers

C’est monter à la corde Cà veut dire qu’il y a beaucoup de monde

C’est quand il y a beau-coup de noix

Commentaires de p’tits loups de 3, 4 ou 5 ans sortant de leur tanière à l ’Ecole Notre Dame...

C’est « coquiller » les noix

Inonder!

C’est quand on reçoit du monde chez nous.

Porter des noix dans un panier

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Kacyline chante « Ouvrez la pou-lette aux mille couleurs »

Constance a une canapuche ’ ( capuche )

Virgil a écrié sur sa main

Louis-Enguerrand mange des petits six (suisses) et des fesses de grenouilles

Il a une patate au lait dit Lilou ( pâte à modeler )

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Retrouve les 7 erreurs qui se sont glissées dans le dessin du bas.

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A St François, les profs sont sym-pas mais il faut s’habituer à leurs différents caractères! En 6ème, il n’y a pas classe le

mercredi.

Au collège Mariotte, il y a plus de devoirs qu’en primaire. Il faut se souvenir du nom de chaque prof et bien connaître son emploi du temps. Apprenez bien vos leçons au fur et à

mesure! Sinon gare aux contrôles « surprise »!

Je suis à St François. J’adore le sport (lutte, badminton) mais je n’aime pas bien la techno. On peut être aidé par les profs. On s’organise facilement pour ses devoirs. On se fait pleins d’amis!

On est obligé de dire Madame et Monsieur aux profs. On a un peu le tract. Le self a été un gros changement. Et attention, pas de bêtise, sinon des points en moins sur le permis ou col-lé!!! Ça rigole pas à St François….

Marine

Florian

Anaëlle

Elie et Florian

La bande de Notre Dame...

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Histoire d’un tablier…

Te souviens-tu du tablier de ta grand-mère? Le principal usage du tablier de Grand-mère était de protéger la robe en dessous. Mais en plus de cela:

• Il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau. • Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines

occasions, pour nettoyer les frimousses salies. • Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les œufs, les pous-

sins à réanimer et parfois les œufs fêlés qui finissaient dans le four-neau.

• Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d’abri à des enfants timides.

• Et quand le temps était frais, Grand-Mère s’en emmitouflait les bras. • Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au-dessus du feu

de bois. • C’est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque

dans la cuisine. • Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après

que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux. • En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de

l’arbre. • Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c’était surprenant

de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière. • A l’heure de servir le repas, Grand-Mère allait sur le perron agiter son

tablier et les hommes aux champs savaient aussitôt qu’ils devaient pas-ser à table.

• Grand-Mère l’utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sor-tie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu’elle refroidisse. De nos jours, sa petite fille la pose là pour la décongeler!

Il faudra de bien longues années avant que quelqu’un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses!

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