SaPropriété

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Acausedubruitdelastationtoutautour,jenel'aipasentenduvenirderrièremoi,jusqu'àcequejepuissesentirsonsoufflesurmoncouetsavoixdansmonoreille,

—Bonjour,mapetite.Tuesprête?

Jetremblaisalorsquejesentaissonsoufflechaudsurl'arrièredemoncou.Samainpuissanteserpentaitmataillepourmetirerplusprèsdelui.C’étaitunephrasetrèssimple,maisemplidetantdepromesses.Iln'avaitpasbesoindemedirecequec’était.Jesavaisdéjà.Iln'étaitpasprêtdepartir.Etais-jeprêtepourlui?Oui,jel’étais.Celafaisaitdesjoursquej’étaisprête.J’allaisenfinl‘avoirtoutentierpourmoi-même.

Jehochailatêtependantqu’ilprenaitmamainetmefaisaitpivoterverslui.Ilplaçaleplusdouxbaisersurmeslèvresetreculaunpeupourvoirlesouriresurmonvisage.Ilmelançaitceregardqu'ilavaittoujoursaprèsm’avoirembrassé.C’étaitquelquechosedepresqueirréel.Ilcaressalecôtédemonvisageetmeditquejesuisbelle.Jenem'habitueraijamaisd'entendreçadesapart.Jerougisetjesentisquemesjouesviraientaurosevif.Jeregardaisurlesolpouressayerdecachermonembarras.Ilritdoucementetinclinasatêtependantqu’ilmeconduisaitverssoncamion.Ilouvritlaportepourmoietm’aidaàmonterdedanscommeilenavaitl’habitude.Puis,lorsqu’ilfermama

porte,jemepenchaiversluietrefermasaportepourlui.Jemesouriamoi-même,medemandantcommentai-jeeulachancedetrouverquelqu’uncommelui.Ilétaitdoux,gentiletattentionné.Toutca,c’étaitdesmotsquejepourraisutiliserpourledécrire,maisilyavaitd'autresmotsquimevenaientàl'espritetquisignifiaientbeaucouppluspourmoi.Ambitieux,intellectuel,disciplinéeetdistinguéétaientdesmotsbeaucoupplusappropriépourdécriremonprofesseuretjeletrouvaisaussitrèssexy.

Ils’assitàcôtédemoi.Jemetournaiversluietluisourit.Nesachantquedire,jememordislalèvreinférieureenprévisiondelasoiréeàvenirquenousallionspasserensemble.Ceneserapasquequelquesmomentsprécieux.Jeseraiscomplètementàluipendantunenuitentière.J’étaistellementexcitéeeténervéequ’ilmefûtimpossibledeluiparler.Toutcequejesavaisc’estquejenepouvaispasattendredemetournerverslui.Jeleregardaisattentivementenfilersaceinturedesécuritéetsetournerversmoipourmefaireface.Ilsaisitmonvisageetmetiracontreluipourmedonnerunbaiserquifitvibrermoncerveau.Sesmainsavaientglissédansmescheveuxetagrippétendrementmatêtependantqu’ilexploraitmabouchecommeluiseulsavaitlefaire.Commed’habitude,aveclui,j’avaislesgenouxencotonetj’étaisincapabledepenser.Toutengémissantjepassaimesbrasautourdesoncouetlemaintenaisaussiprèsquepossible.Pourmerapprocherencoreplusdelui,jetapaissurlesacdenuitavecmespieds.Quandilsentitmesonglescreuserdansàl’arrièredesoncou,ilritetrecula.

—Bientôtpetitefille,unpeudepatience.

Acontrecœur,jem’assisetfitlamoue.Celaluifitriredemoiànouveauetildémarralevéhicule.

Jel'aiécoutéparler,commejel'aitoujoursfaitavecunsouriresurmonvisage,etdésireuxd'entendrequoiquecesoitqu'ilavaitàdire.Jeriaissouventparcequ'ilétaittellementamusant.Ilnefallupaslongtempspourqu’ilgarelavoitureetm’ouvreànouveaulaporte.Untelhomme,samèreseraitfière.Jenesaistoujourspascommentfairefaceàcetaspectdesapersonnalité.Ilmetraitaitsibien.Cen’étaitpasquelquechoseauquelj'étaishabitué.Toutefois,j'apprenaisparcequecesleçonsétaientsifacilesàcomprendre.Cependant,jesavaisquecesoir;mesleçonsallaientêtrebeaucoupplusdifficilesetbeaucoupplusexigeantesqued’habitude.

Àmagrandesurprise,j’étaiscalmependantqu’ilprenaitànouveaumamainetmeconduisaitverssonbâtiment.Ilsemblaitnerienremarquer.Ilcontinuaitseulementdeparlerdesafamilleetdesontravaillerpendantquenousrentrionsàl'intérieur.Avecmonsacàmainetmonsacenbandoulièresur

monépaulejetenaisfermementsamaincommeunelignedevietandisquenousentrionsdansl'ascenseur.Lorsquelesportesserefermèrentderrièrenous,ilmepoussadansuncoinetaattaquamaboucheavecfuriemefaisantlaissertombermesaffairessurlesol.Jem’effondraisurluicommesijecherchaismonprochainsouffleàl’intérieurdelui.Ilperditcontrôledelui-mêmeetàlaplaceselevalabêteprimitive.Cettebêtequ’ilcachaitàl’intérieurdeluiétaitnormalementenchaînéparsaretenueetlaforcedesavolontélorsqu’ililétaitavecmoi.Pendantqu’ilembrassaitmoncou,ilgrognaitdoucement.Ilcaressasamainsurmonvisageetmapoitrineverslebas.Ilsaisitetpinçamonmamelonàtraversmesvêtementsaupointdemefairepleurerdeplaisiretdedouleur.

—Àmoi.Tuestouteàmoi.

Ilmurmuracelaàplusieursreprisesdansmonoreillependantqu’ilcontinuaitàexcitermessensjusqu'àcequejesoitpresqueenveloppéeautourdelui.Jegriffaissesvêtementspourlesarracherhorsdelui.Lorsquel’ascenseurfutarrêté,ildûempoignermesmainsautourdesoncouetmeplacerverslebassurlesdeuxpiedsavantd'embrassermonfrontdoucement.Asemomentlà,penserclairementdevenaitunetachedifficile.Toutefois,jesavaisquec’étaitinutilemaintenant.Ilétaitencharge.Ilprendraitlatête,etjelesuivrais.C’estcequejevoulais.

Chaquepasdeplussemblaitattiserdavantagemessens.Jepouvaisentendrelebruitdusangseprécipiterdansmesoreilles.Ildéverrouillasaporteetmefitunsourirerapidepuisagitasamainpourmefairesigned'entrerenpremier.J’entraiàl'intérieuretmetintprèsdelaportedansl’attentequ’ilsejoigneàmoi.Unefoisquelaportefutfermée,ilmesaisitrapidement,enm’épinglantenplaceavecsamaincontremagorge.Ilregardaitvivementàtraversmesyeuxàdemifermés.

—Est-cequetusaisdepuiscombiendetempsjet’aivouluici?Ici,pourquetusoismiennemapetite?

Sesyeuxscrutaientmonvisagependantqu’ilparlaitetjefislavainetentativedesecouermatêteenréponse.Mesmainsétaientplaquéescontrelemétalfroiddelaported'entrée.Ilretiramesaffairesdemonbrasetlesplaçasurlesoldoucementsurlecôté.

—Tun’aurasbesoinderienpendantunelonguepériode,monpetitanimal.

Lorsqu’ilm’appelaitcommeca,unmilliondepapillonssemettaientàdanserdansmonestomac.Avecsamaintoujoursenrouléautourdemoncou,ilsepenchaetcommençaàavancerjusqu'àma

jupe.Jesentaisletissudouxglisserverslehautsurmesgenouxetseretrousséjusqu'àcequ'ilpuisseglissersamainentremescuisses.Illaissaéchapperungrognementprimitifprofondquandilsentitladentelledoucedemaculotteluibarrerl’accèsdel'endroitqu’ilvoulaitrevendiquer.J’ébauchaiunsourirenarquoisensachantquej’avaisdéjàpenséàretirerlaculotte.Toutefois,jesoupçonnaissaréactionlorsqu’ildécouvriraitquejel’avaittoujourssurmoi.

—Qu'est-cequejet'avaisdit?

Ilgrognait.Sesyeuxs’assombrissaientdeplusenpluspendantqu’ilattendaitmaréponse.

—Quevousalliezl’arracher,monsieur.

Jel'aiditàboutdesouffle,commesesdoigtsfortscaressaientleplidemonsexe.Jesavaisqu'ildevaitêtrecapabledesentirlafaçondontmoncorpsréagissaitfaceàlui,commeillefaisaittoujours.Gémissantjesentissamaintoucherladentelledélicatedelapetiteculotteetavecunbougonnementrapideetprofondill’arrachad’uncoupsec.Jelevistombersurlesolànospieds.Ladentelleroseglissasurleboutdemabotteetjesentilefluidechaudcouleràl'intérieurdemacuissealorsquejepoussaisuncriàcausedelapuissancedesonaction.

—Viensici,petitefille.

Ilpritmamainetmeconduisitverssonfauteuil.Ilmetintenfacedeluietm'aarrêta.

—Écartetespiedsetpenchestoi.Posetesmainssurlesbrasdufauteuil.

Savoixétaitbasseetprofonde.Jejetaiunpetitcoupd'œilversluietvulefeudanssesyeux.Ilétaitdevenuaccrocommeondit.J’écartaisdoncmespiedsetposamesmainsàplatsurchaquebrasdufauteuil.Jelevaimonculenl'airpourlui.Jebaissailatêteenbasetattendudevoircequ'ilcomptaitfairedemoidanscetteposition.Jen'aipaseuàattendrelongtemps.Ilsepositionnaderrièremoietcommençaàsouleverl'ourletdemajupe.Cettefois,ilexposamonculenl’airetrepliamajupesurmeshanches.

—Tellementbeauetpâle.Nousdevonscorrigercela,non?

Avecsamain,iltraçalacourbedemahancheetdemoncul.Ilcaressamapeaudouceetplongeâtsamainentremesjambes,taquinantleslèvreshumidesdemonsexe.

—Mm,prêtpourmoidéjà.

Jepouvaisentendrelessonsdouxethumidedesesdoigtsàl’intérieurmoi.Çamefaisaitjaillird’envie.J'essayaisd'appuyerdenouveausamainpourqu’ils’enfonceplusaudedans,maisilritetrecula.Ilretirasamainetparcefaitterminamontourment.Unsoupirplaintiféchappademeslèvres,commelapertedesontoucher,maisjesavaisqueceneseraitpaspourlongtemps.Bientôt,j’auraisbeaucoupplusdelui,etpourbeaucouppluslongtemps.Ilprolongeaitmonagoniemaintenant,maisjesavaisqueceneseraitpaspourtoujours.Jedevaisjustepatienterunpeupluslongtemps.

—Bientôt,trèsbientôtmonpoussin.Tuaurasmesdoigtsettellementplusderemplissagedanstadoucepetitechatte.Pourl'instant,jedoistedonneruneleçon.Mapetitefilleaétéunetrèsmauvaisefillecesdernierstemps,n’est-cepas?Jepensequ'ilesttempsqu’elleapprenneladiscipline.

Sachantcequiallaitarriveretàquelpointjelevoulais,jesentiunfrissond'excitationcouriràtraversmoncorps.

—Toutd'abord,tuasrendutondevoirenretardcettesemaine.Quandjetedonnedesdevoirs,tudoislesrendreàtemps.Est-cequetucomprends,mapetitefille?

Sontonavaitchangé,etlavoixsévèredemonprofesseurréapparut.Jehochailatête,toujoursavecmatêtesuspenduentremesépaules,attendantlaleçonàsuivre.

Rapidementjesentisamaindansmescheveux.Avecunesecousserapideetpuissanteiltiramatêteenarrièrepourleregarder.

—Qu'est-cequec’est?Jenet’aipasentendu.Tucomprendscequejetedis?

Sabouchen’étaitqu’àquelquescentimètresdemonoreille.Legrondementprofonddesavoixfaisaitfrirelespetitescellulesdemoncerveau.Toutcequimerestaitpourtenterdeformerunephrase.

—Ouimonsieur,jehaletai.Oui,Monsieur.Jecomprends.

—Bonnefille.Illâchamescheveuxetmatêteretomba.Jelaissaiséchapperunlongsoupir.Mesjambesétaienttenduesmaisjen'osaispasbougerpourlesrégler.Jerestaisimmobilecommelabonnefillequej’étaissupposéeêtre.J’attenduquemonprofesseurcommençasapremièreleçon.

Ilmarchaitderrièremoi.Jesentaissamaincourirsurmoncorpsetarrêteraubasdemondos.Sonautremaintraçaitdespetitscerclessurlacourberondedemoncul.Ilmedonnaitlachairdepoule.

—Jevaistedonnerunefesséemonpoussin.Chaquefoisquejeteclaquejeveuxquetumeremercies.Compris?

—Ouimonsieur.Jedisimmédiatement.

Quandsamainmequitta,jefermaislesyeuxetprisunegranderespirationenattendantlepremiercoup.

Crack!

Lepremierétaitdur,maispastropdur,assezpourlaisserunepiqûredanssonsillage,maispasassezpourcauserplusd'unpetitgrognementenréponse.

—Jevousremercie,Professeur.Jegrimaçai.Apreslesmack,ilfitunedoucecaressepourcalmerladouleur.J’entendisunpetitbruitheureuxvenantdeluijusteavantqu'ilaitànouveausoulevésamain.

Crack!

—Jevousremercie,Professeur!

Cettefois,unpetitcrisortitdemaboucheàlapressiondesamainsurmachairtendre.Illafitsuivred'uneautrecaressedoucedesamain.—Tuesunebonnefille.Ilchantonnait.

—Es-tuprêtepourquelquechosed'unpeuplusdifficile,petite?Samaincaressaitlebasdemondos.Marespirationsecalmaunpeu.

—Oui,Monsieur.Jelesuis.

Jesavaisqu'ilétaitdoux,bienquesamainlourdenelefûtpaslasecondefois.Jesavaisaussiqueleprochainseraitencoremoinsdélicat.Jemepréparaimentalementenprenantunerespirationlongueetlente.Jesentiànouveausamainmebattre.Lapoignéedesamainseresserraunpeusurmondos.Ilvenaitdesoulevermajupeaudessusdemeshanches.

Crack!

Jeglapisfortementcequifaillitmefaireperdrepiedpourseulementuneseconde.Jemeremisdelabruluredelatroisièmeclaquesurmonculnu.Cettefois,samainavaitfrappéunpeuplusbas.Elleavaitattrapélachairsensibledemachatteavecleboutdesesdoigts.

—Jevousremercie,Monsieur,jesoufflaislentementtoutenrespirantdifficilementàtraverslesmots.

Mesyeuxfurentpiquésdelarmescarlestroisfesséessuivantessesuccédèrentrapidement.Lederniermefitmontersurmesorteils.

Jepouvaissentirladouleursurleglobemoudemesfesses.Jemesourisàmoi-mêmeàlapenséequecettesensationétaitsiagréable.

Leprofesseurtraçadepetitscerclessurlebasdemondosmecequicalmamadouleur.Marespirationdevintpeuprofondeetrapide.

—Tuesunebonnefilleaujourd'hui,monpoussin.Enlèvescesbottescommeçatunetomberaspassurmoi,ok?

Jehochaimatêteenréponse.Ilnemecorrigeapas.Jepensequ'ilsavaitquej'étaisdansmonpropremondeàcemomentlà.Jesavouraismentalementlesoinqu'ilmedonnaitavecmapunition.Ilsemitàgenouxderrièremoi.Jelesentismeretirerunebotteaprèsl'autremelaissantdansmeschaussettes.J’étaistoujourspenché,accrochéaufauteuil.Unefoisquejemefusallongéesurlesol,ladouleurdansmesjambess’allégeaunpeu,cequimefitreveniràlaréalitéaussitôt.

Quandilsereleva,ilattrapamesdeuxhanchesavecsesmainsetpressasonérectiongrandissantedanslacourbedemoncul.Ilmetaquinaitcaraufond,ilsavaitcequejevoulais.C’étaitàsontourmaintenantdelaisseréchapperunpetitgémissement.Ilentraitdansmoncul.Jesentislachaleurdemesfessesrougie.

—Tuesprêteàterminertaleçon,mapetite?

—Oui,Monsieur.Jelesuisprêt.

Déplaçantsamainaubasdemondos,ilrevintàl'endroitoùilavaitétéauparavant,toujourscaressantchaquecentimètredemoncorps.Detempsentems,ilfaisantglisserundoigtàl'intérieurdemachattedégoulinante.Celamefaisaitmalmaisj’avaisenviequ’illaremplisseavecsabitedure.Apresqu’ileutcaressémeslèvresexternes,jem’humidifiéeencoreplus.Illaissaéchapperungémissementetmurmuraquelquechosequejenesaisispas,maisjenepensepasquecequ’ilditétaitpourmoidetoutefaçon.

Lesonsonanimalqu'ilpoussaquandilmetouchaetsuquejelevoulaisfitnaitredessensationsfollessurmoietmoncorps.Savoirqu'ilvoulaitcelaautantquemoimefitsentircommesij'étaislareinedesacour.

—Jevaist’endonnercinqautres,monpetitpoussin.Tun’espasobligédemeremercier,jeveuxjustequetutepenchesverslebasetrespires.Tucomprends?Etquandj’auraisfinit,tuvassucermabit,d’accord?

J’avaisenviedebondiràl'idéedeglissersabiteduredansmaboucheetdel'entendregémirpendantquejeluifaisaisplaisiretleremerciaispourmaleçon.Jemiaulaisethochaislatêtefrénétiquement,oubliantpresqued'utiliserdesmots.

—Ouimonsieur.Dis-jed’untonbrusquetandisquejesentaissamainglissersurmondos.

—Ouis'ilvousplaît.

—Bonnefille.Ilmurmuraencaressantmatêteetrepoussantmescheveuxsurmonvisage.

Deslarmescoulaientsurmesjoues.Jeluifisunfaiblesourireaumomentoùjerelevailatêtepourleregarder.Jevislefeuardentderrièresesyeux,justepourmoi.

—Baisseslatêteenbas,etprendsuneprofonderespiration.Jevaiscommencer.

Jefiscequ’ilmeditetlaissaretombermatêteentremesbrastenduspuis,j’attendispourlerestedemaleçon.Quandjesentissamainmefrapperunefoisdeplusjecreusaismesorteilsdansletapis.Mentalement,jemepréparaisàl’assautquiallaitvenir.

Avecunemainlourde,j’avaissentislapremièredescinqcoupssurmonderrière,etjepleuraisavecunglapissement.Mesjambestremblaient.Marespirationfutvivifiéelorsquequesamaintouchamachair.Jecriaisalorsqu’ilchangeaitdefesse.Lederniercoupsurmachatteendolorismefitcrierhautetfort.Ladouleurétaitréelle.Jefuscontentelorsquequetoutcelafutfiniparcequej’étaisprêteàluidired’arrêter.Maisaufond,jevoulaistellementluimontrerquejepouvaislefaire.

Quandileutfini,iltombaàgenouxderrièremoiets’empressad’embrasser,deléchertouteslesmarquesdedoigtetempreintesqu'ilavaitlaissésurmapeau.Ilcomplimentaitlabeautédemonderrièreetm’affirmaitquejem’étaiscomportéeenbonnefillepourluicesoir.Riennemefitplusplaisirquedel'entendrem’appelercommeça.Quandileutfinidebattrelachairendoloriedemoncul,celamefitgrimaceretunsouriretraversasonbeauvisage.Essuyantmeslarmesetmonmaquillagesurmesjoues,ilsepenchaetm’embrassadoucement.

Ilmetiraplusprèsdeluietapprofonditnotrebaiser.Sesmainsétaientenrouléesautourdemataille.J’étaissiprèsquejepouvaissentirsabitedurecontremonventre.Celamerappelacequemaprochainetâcheallaitêtre.Ilpritmamainetm’aidaàm’agenouillerdevantlui.Jenepouvaispasêtreplusheureuse.

J'avaisrêvéd'êtrelà,justecommeçapourcethommependantdenombreuxjoursetnuits.Agenouilléedevantluietluiservantcommeunebonnepetitefille.Sonpetitanimaldecompagnie.Levantlesyeuxversluiàtraversmescils,ilmesouritettouchasaceinturepuis,leboutondesonjeans.Jehochailatêtequandilhésitaunesecondeseulement,enattendantdevoirsij’avaisuneobjection.Jen’étaispascontre.Jeledésiraisénormément.Etjedésiraisaussimapunition.J’enavaisbesoin.Jedevaisl'avoirdansmabouchepourluimontrercombienj’étaisreconnaissante.

Ilretirasabitelancinantedesonpantalon.Mabouchecommençaitàhumectersachantcequiattendaitdetouchermalangue.

—Lesmainsderrièreledos.J’ouvrislabouche,moncœur.

Jehochailatêteetmismesmainsderrièremondosetmeserralescoudesaveclesdeuxmains.Ilpritsabitedanslamain.J’ouvrismabouchepourl’accueillir.Jesortid’abordmalangueplatepourqu’ilpuisseyglissersaqueueenentrantdansmabouche.Unlongsoupirprofonds’échappadeseslèvresaumomentoùillaposasurmalangue.Jeluisourisdoucementetfermamaboucheautourdesalonguequeuepuis,commençaàlesucerlentement.Celaprovoquadesfrissonsquiparcoururenttoutsoncorps.Ardemment,jel’avalaisiprofondémentvouluquesesmainsdurentrelâchersaqueue.Sesmainss’enroulèrentdoncdansmescheveuxdechaquecôtédelatêteetilsemitàpousséesabitedansmabouche.Jegémis.Ilsetortillaitsachantquecelam'excitaitdel'avoirdansmaboucheenfin.Legoûtsalédeluiremplirapidementmalangue.Jemedisaisquemapunitionétaitaussibonnepourluiquepourmoi.Avecdespousséesmesuréesilsemouvaitdansmabouche.Ildevintdeplusenplusinsatiableetbientôt,ilbaisaitmaboucheavecabandon.Grognantetmelouant.Savoixetsarespirationétaientpeuprofonde.J'aimaislefaitquej'avaisfaitçapourlui,luifaireplaisirdecettefaçon.Nousavonsadoréentendrelabêtetapisàl’intérieurdeluilutterpourêtremisenliberté.Jesavaisqueceneseraitpaslongavantqu'ilneselibèresurmoi,pourlapremièrefois.J’intensifiaimoneffortpourl'ameneràcetteconclusion.Jesuçaisplusduretroulaismalangueautourdelapointedesatêteenfléejusqu'àcequ'ilsereculabrusquement.Jeleretiraitdemaboucheavecunmouvementsirapidequejedûlelibéreravecunemoue.Unpetitgémissementtombademeslèvresenregardantverslui.J’étaisdéçuqu'ilpuisserefuserdeselibérerdansmabouche.

—Ah,mapetite.Viensavecmoi.

Avecunsouriresournois,ilmefitmeleveretmeconduisisverssachambre.

Moncœursautaunbattement,sachantquedansquelquespetitesminutesjeseraisfinalementenveloppédanslesbrasdel'hommeàquijel'aitantdonné.Lesnuitsetlesjoursquej’aipasséàrêverdetoutcelapesaientsurmamémoire.Lachambresemblaitpluspetiteetbeaucoupplusintimequ'ilétaitvraiment.Ilm’arrêtaaupieddesonlit,seretournaversmoietmelançaencorecesourire.

Lemêmesourirequequandilm'avaitembrassé.C’étaitleregardd'unhommetombéamoureuxdelafemmedevantlui.J'auraifaitn’importequoipourceregard.Ilmefaisaitmesentirfemme.Ceregardfaisaitqu’ilétaitfaciledecroirequ'ilmevoulait,qu’ilnevoulaitquemoi.

Iltenditlamainpourtoucherànouveaumonvisage.Jepenchaisdoncmonvisagecontresondouxtoucheretfermaislesyeuxpourmevautrerdansunesensationdeluxure.Lepetitsourirequis’ébauchaitsurmonvisageétaitindiscutable.Quandjerouvrismesyeux,uneseulelarmetombaducoindel'œil.—Chut,madoucepetitefille.Ilessuyalalarmeetlaissatombersesmainsverslebasdemachemise.Ilmefitunclind'œilpourmefairesavoircequ'ilvoulaitdemoi.Sanshésitation,jelevaimesmainssurmatêteetlevitsoulevermachemisequ’iljetasurlesolàcôtédesonlit.Ensuite,ilpritdemajupedoucementàlataille,attentivementpournepasheurtermesfesses,illaglissaausoletprismamainpourm’aideràensortir.Mesjouesrougirentcarjemetenaisdeboutdevantluisansriend’autrequemonsoutien-gorgeetdesbas.Jemesentaisplusnuequejamais.

—Çaalors,tuessibellemonbébé.

Ilparlaitdoucementetavecrespect.Celafitramperunfrissonsurmondosetjelaissaisunrires'échapper.Çam’étaisbienégalelenombredefoisquejel'aientendudireça.Ilmedonneencoredesfrissonsàchaquefoisqu'ilmeledit.Ilsemitàgenouxdevantmoipuisglissaverslebaslelongdemesjambes.Illaissadespetitsbaiserssurmonmolletetrecommençalamêmechoseavecl’autrejambe.Lachairdepoules’accroissaitsurmapeauàchaquecontactdeseslèvres.J’atteignismondos,

décrochaimonsoutien-gorgeetj’englissailessanglessurmesépaules.Iltombasurlesolenfacedelui.Toutdesuite,illevalatêteversmoiavecunfeudanssesyeux.

Quandilsereleva,ilsoulevasachemisesurlatêteetlejetaàlapilecroissantedenosaffairesdélaisséesàcôtédesonlit.Jefrémisenprévisiondecequiallaitsuivre.

—Surlelitmonbébé,latêtesurlesoreillersetlèvetesgenouxpourmoi.Tupeuxfaireçapourmoi?

J'acquiesçaietobéisàmonprofesseur.Jemontaisursonlitetmecouchacommeilmel’avaitdemandé.Jetiraimesgenouxententantvainementdecouvrirmanudité.Jeleregardaisdelàoùj’étaisenleverlerestedesesvêtementsetgrimpersurlelitavecmoi.Ilrestaauboutdulit.Ilpritmesgenouxdanssesmains.Toutlentement,toutenmeregardantdroitdanslesyeux,illesécarta.Jerougisànouveaucommetoutétaitdécouvertàsonregard.Unsourireénormes’affichasursonvisage.

—C’estsijolimonbébé.Tusaisça?Écartetesjambespourmoi.

Encoreunefois,j'obéismaisjefermaimesyeuxtellementj’étaisgênésdem’exposertoutenueàlui.Iltiraunsouffleàtraverssesdentsetmurmuraquelquechoseavantquejenepuissesentirlatouchechaleureusedeseslèvresàl'intérieurdemacuisse.Iltraçadestendresbaiserstoutaulongdemacuissejusqu'àl'apex,puisfitdemêmeavecl'autrejambe.Jemiaulaisetsentaissabouchedoucelaissaitsestendresbaiserssurmachatte.Mesmainspincèrentmesmamelonspouressayerd'allégerlebesoinprofondquej'avaisdeluiàcemomentlà.J'étaisprochedelesupplierdemetoucherquandjesentisundoigthésitantbrosserlacouturedemonsexe.J'étaistellementhumide.

—Ohmonbébé!Tuestoutetrempée.Est-ceparcequetuassucémabite,petitefille?Est-cequetuaimesavoirmabitedanstabouche?

Jegémislorsqu’iltrempaundoigtàl'intérieurdemoietfrottamonclitorisgonflédesonpouce.Jen’enpouvaisplus.

—Ouiiii!

Jeronronnais,pinçaismesmamelonsplusdurement.Celaeupoureffetd’augmentermadouleuretm’empêchadejaillirtropvitecettefoisci.

—Ouimonchéri.J'adoretabitedansmabouche.

J'allaishaleterquandilenfonçaunautredoigtàl’intérieurdemoi.

—Putain,tuessiserré.Jemedemandesijepeuxmêmemettretoutemamainàl'intérieur.Faut-ilessayer?Allons-nousfairedeçataprochaineleçon?

Jeregardaisoncorpsàluietàtraversmesgenouxécartésetmemordaislalèvreinférieureensouriant.

—Oui,monsieur.S'ilvousplaît?Mavoixétaitfaible,maismonbesoinétaitincomparable.Jevoulaisdonneràcethommetoutcequejen'avaisjamaisdonnéàquelqu'und'autre.Jevoulaisluidonnerça.

Ilmefitungrandsourireenréponseetmelançaunclind'œilcoquinavantdesepencherversl'avantetdeplacerunbaisersurledouxmonticuleentremesjambes.Jerejetaismatêteenarrièreetpoussaunsoupirquandjesentissalanguechaudeglissersurmachatte.Ilmetaquinaittoujourslentementavecdeuxdoigts.Dedans....dehors.....Dedans....dehors....

Jemetortillaisetgémissaisàchaquefoisqu’ilpoussaitunpeuplus.Quandilajoutauntroisième

doigt,jepoussaiunsouffleanimal.Ilcontinuasonassautsurmachatteavecsalangue.Ilétaitdeplusenplusgourmand.Ilmeléchaitavecsalangue.Dessonspresquesauvagesetdespetitsgrognementssortaientdeseslèvresmerendantplushumidedesecondeenseconde.

—Baby,ohmondieu...merde...C’esttropbon.

Laseuleréponsequejepuluidonnerfutunenthousiasmerenouvelépourcequ'ilmefaisait.

Ilenfonçasesdoigtsplusprofondément.Jesentisunpincementrapidedesesdentsetcriaavecunbruitterrible.Labêteenmoifitunéchodansmatête.Mesmainsattrapèrentsatête,sesépaules,quoiquecefut.Jedevaisletoucher.Brusquement,ils’arrêtaetclaquadeslèvres.Avecunpetitcoupsecsurmonclitorisendolorisjepleuraistellement.J’étaisperdudanscemondedeplaisiretdedouleur.

—Est-cequejet’aiditquetupouvaismetoucher,monpoussin?

Ildonnaunautrepetitcoupsurlapartielaplussensibledemachattemefaisantpleurerencoreetserrermescuissesensembleinstinctivement.

—Non,gronda-t-il.Écartetesjambes.T’ai-jedonnélapermissiondelesfermer,oudelestoucher?Accroche-toiàlatêtedulitetnebougepasjusqu'àcequejeteledise.

Ilmefrappasurleclitorisetjeglapiscettefois.

Jem’agrippaisàlatêtedelit.Jelaserraisaveclesdeuxmainstoutentremblantpuis,jeregardaisverslebasverslui.

—Non,Monsieur,vousnem’avezpasditça.Jesuisdésolée.

J'essayaisd’avoirl’airtristemaislepetitsouriresurmonvisagetrahiàquelpointj’aimaissadominationetsoncontrôlesurmoi.J’ouvrisdenouveaumesjambesautantquepossible.Ilsepenchaetrecommençaàmelécher.C’étaitdeslongueslèchestranquillesquimerendirentfolleàchaquemouvementdesalanguehumide.

—Bonnefille,murmura-t-ilpendantqu’ilenfonçaitunautredoigtenmoi,cequienfaisaitquatremaintenant.Mondosétaitcourbéetjecriais.Ileutunpetitriresombrepuisilpinçaetsuçamachatte.Celamerenditdeplusenplusavidedecequ'ilmedonnaitetmemenadeplusenplusprèsdupointculminant.Çaalors!C’étaitsibon.Sabouchefaisaitdesmerveilleslorsqu’ilm’embrassé,maisriennepouvaitserapprocherdecequ'ilétaitentraindefaireavecsalanguesurmachatte.J’étaissitrempé.Jepouvaissentirl’humidités’intensifierdansmachattependantqu’ilcaressaitmoncul.Ilétaitférocedanssonassaut.Ilembrassait,léchaitetfaisaitpénétrersesdoigtsaufonddemoi.Marespirationétaiterratiqueetjenepouvaispaspenserau-delàdecequ'ilmefaisait,maisjesavaisquejenedevaispaslâcherlatêtedulit.

Ilmedonnaundernierpetitbaiserpuiséloignasonvisage.Jegémislorsquejenesentispluslachaleurdesabouchesurmoi.J'étaissiprès,etillesavait.Ilmetorturait,etj'adoraischaqueseconde.

—Ilesttemps,monbébé.Tucroisquetupeuxavoirtoutemamainmaintenant?

Jehochailatêteetgeignit.J'étaistropprès,jenepensaispasquejepouvais.Jesavaisqu'ilallaitessayerquandmême,etjevoulaisqu’illefasse.

—Oui,tupeux,majoliepetite.Détends-toi,etnejouispas.

Nepasjouir,était-ildevenufou?Mesyeuxgrandsouvertsleregardèrentavecunpeudepanique.Cen’étaitpasàcausedecequ'ilétaitsurlepointdelefaire,maisl'idéed'essayerderetenirl'orgasme

puissantquej'étaissiprèsd'avoirm’affolaitunpeu.

—MaisMonsieur,jedéplorais.

—Non,mabonnepetiteputetudoist’empêcherdejaillir.Jeveuxtesentirlefairepartoutsurmabitebientôt.Pascommeça.Tupeuxyarriver,jesaisquetulepeux.

Sonpetitsourirenarquoism’indiquaqu'ilnerendraitpascettetâchefacile.

Jem’allongeaisdoncetjefermailesyeux.J’essayaisdecontrôlermarespirationettentaisdefixermaconcentrationsurleplafond.Jelesentiremueravecuncertaineffort.Ilenfonçasondernierdoigtàl'intérieurdemachatte.Lorsquejesentileresteenmoi,jesoufflaisetvoûtamondosàcausedeladouleurqu'ilmecausait.Maisaufond,j’adoraischaqueseconde.Lesentimentd'êtresipleineetl’effetquecelaluifaisaitmeremplissaitdejoie.

—Bébé,magnifique.Justemagnifique.Tuesunesibonnepetitegarce.Tuesmapetiteputeàmoi,n’est-cepas,monpoussin?

—Oui.....Monsieur....Jesuistouteàvous.

Jehaletai.Jenepouvaisàpeinepenserclairementpourluirépondre,maisjesavaisquesijenelefaisaispas,jerecevraisunautrepetitcoupsecetdur.Etjemedébattaisdéjàpournepasjouir.

Lentement,iljouaitàl'intérieurdemoi.Ilpoussait,tirait,ettournersamainaufonddemoi.Lasensationintensequ’ilmecausaitainsiquelespetitscoupsdelanguesurmachattereconnaissantefaisaittremblermesjambes.

—Jepeuxsentirtachatteserrermamain,petitepute.Nejouispasencore,tum’entends?

Jel'aientendu,maisj’étaissiprochequejenepouvaispasluirépondre.Jenefisquehochermatêteenréponse,etgémisavecuneautretorsiondesamain.Encorequelquestoursetilfinitpartirerlentementsamainhorsdemoi.Ilmecomplimentait,disantquej’étaisbelleetquej’étaisunebonnefillepourlui.

Dieu,l’effetquecesmotsonteusurmoi!L’entendrediredetelschosesc‘étaitcommem’affranchird’unpoidspesant,unechaînepuissanteenrouléesurmoncœuretmesintestins.Jepoussaisdesprofondsetlongssoupirs.J’étaisreconnaissantepourcepetitsursis.Jenesavaispascombiendetempsjeseraisenmesuredemeretenir.Mesjambesmolles,étaientétaléesgrandouvertdevantlui.Jesavaisquejenedevaispaslesfermer.

—Unetellebellefille,ettuestouteàmoi.N'est-cepasmonbébé?Dis-le.

J'ouvraismesyeuxpouretlevismontersurlelitpourmerejoindreàlatête.Sesyeuxétaientsombresetlubrique.Jesavaiscequiallaitarriver.Jelevoulais,non.J’enavaisbesoin.Jedevaislesentirenmoi,quenousfaisionsun.Christ,j’enavaisbesoin.

—Votrebébé,oui.Jesuistouteàvous.

Jerelâchailatêtedulitettouchaisonvisageavecmamainaumomentoùilsepenchapourm’embrasser.Lorsqueseslèvrestouchèrentlesmiennesjesoupiraiànouveau.

Sesmainserrèrentsurmoncorpspendantqu’ilsecouchaitàcôtédemoi.Sesdoigtspincèrentettirèrentmesmamelonspourmetaquiner.Jeressentaischacundesesmouvementsaufonddemoncœur.Sontoucherhabilemefaisaitmetordre.Unemaincaressamescheveuxetl'autreatterriverslebassurmachatte.Jesoulevaismeshanchespourlerencontreravantqu'iln’aitfaittoutlecheminverslebas.

—Siimpatientemapetitefille.Bientôt.Jesaisquetuveuxjouirpourmoi,non?

—Oui,Monsieur.Jedoisjouir.S'ilvousplaît,Monsieur,s'ilvousplaîtlaissezmoijouir.

Ilritetcaressasesdoigtstrèslégèrementsurmachatte.

—Tusiimpatiente!Situsavaiscequecelamefaitdet’entendremesupplier.Jepensequejeveuxt’entendreunpeuplusavantquejetedonnemabite.Dis-moitoutcequetuveux,petite.Surprendsmoicommeunebonnepetiteputeetjevaistedonnercequenousvoulonstouslesdeux.

—S'ilvousplaît,bébé.S'ilvousplaît,jenepeuxpasattendrepluslongtemps.Baisez-moi,professeur.Jedoismesentirvotrebitedureàl'intérieurdemoi.Jeveuxêtrevotrebonnepetitefille.Baisez-moibébé,s'ilvousplaît!

Meshanchesétaientcontrecarréesdanssamain.Ildessinaitdescerclesaveclescoussinetsdesesdoigtssurmonclito.Jemiaulaietpriaiqu’ilmeprenneenfinetmemarquecommeétantàlui.

—Soulèvestesgenouxencore,mapetite.

Jelevisbougerànouveau,jefiscommeilmedit.Jelevaismesgenoux,engardantlesjambesécartéespourlui.Monmaîtrepritpositionentremesjambes,s’agenouillapourquejepuisselevoiragirenmoi.Jegémisalorsquejeregardaissadurecolonnedechair,justehorsdeportéedemamain.Ilsavaitcequecelamefaisaitdesavoirquesabiteétaietoutpourmoi.Jel’airendutellementsensiblequ'ildevaitlaprendreenmainpoursesoulager.Toutescesnuitspasséesdansunbainchaud,jenepensaisàriend'autre.

—C’estcommeçamapetitepute?Tumefaisdurcir?

Cepetitsouriresournoisétaitrevenu.Jelaissaiséchapperunsonquin’étaitplushumaindepuislongtemps.J’avaisterriblementbesoindeluietsestaquineriesétaienttortueuses.

—S'ilvousplaît,bébé...s'ilvousplaîtj’aibesoindevous.

Sournoisementjeparvenaisàmetoucher,jelevaimesgrandsyeuxnécessiteuxverslui,lesuppliantavecnonseulementmesparoles,maisaussimoncorps.Jebrûlaispourcethomme,etleregardersefaireplaisir,metuait.

—Faites-le-moi,s'ilvousplaît.Faites-le.Jefislamoue,memordantlalèvre.S'ilvousplait,Monsieur.

Sonvisagechangeadoucementetilmesourit,etaussiautondemavoix.Ilfaisaitqu'ilavaitdit.Ilavaitattenduquejedeviennesabonnepetitefille.Letimbredemavoixdémontraitquej’étaisdevenusabonnepetitegarce.Ilsudoncquejeluiétaisentièrementsoumise.Jedépendaistotalementdelui.

J’étaisSapossession.

Voilàcequ'ilavaitattendu,ledernierdemacommandedonnéàlui,masoumissioncomplète.C’estquelquechosequejen’avaisjamaisdonnéàquelqu'und'autre.Ilseralepremieretleseul.

—Bonnefille.Ilditd'unevoixdoucemaisprofondelorsqu’ilseposasurmoipourm’embrasserd’unemanièredureetprofonde.

—Mabonnepetitefille.Ilcaressamatêteetm’embrassaànouveauetcettefoisnoussoupirâmestouslesdeux.Mesbrass’enroulèrentautourdeluietletirèrentplusprès.Mesonglesratissaientsondospourl'ameneràmoi.Jepouvaissentirsonbesoinpressantdansmacuisse,etentendrelegrondement

danssapoitrinedevenirdeplusenplusfort.Ilétaitcommeunebêteaffamée.Jeparlaisdoucementàtraversseslèvresentrelesbaisers.

—Àvous,monsieur.S'ilvousplaît,marquez-moi.Jesuisàvousmaintenant.

Jesentissonsouriresurmeslèvresavantqu'ilnerecula.Ilfrottasonnezcontrelemienpendantjusteuneseconde.Puis,sesgenouxécartèrentmesjambesencoreplus.Avecsesdeuxmains,iltenaitmatêteenplace.Mesyeuxétaientgrandsouverts.Ilsepenchaetpressaseslèvressurmoncou,puismorditdoucementavecjustelabonnequantitédepressionpourmefairepleurer.J'étaisplusqueprêt,maisilavançaitàsaproprevitesse.Ilavaitbesoindecelaautantquedemoi.Aprèsqu’ilm’aitmorditunpeuplusfort,ils’arrêtaetretirasesdents.Marespirationétaiterratiqueetmesonglesavaientgriffétellementsondosqu’ilyavaitdusangsurmesoreilles.Monclimaxétaitsiprochequejepouvaislesentirsurmalanguependantqu’ils’introduisaitdeplusenplusenprofondeur.Iltouchalefondetgrognad’unevoixbasseetprofonde,

—Putain,tachatteesttellementserré.C’estsi...si...bon.

Jegémisànouveauenroulantmesjambesautourdesatailleetl'attiraplusprofondencore.

Ilseretirauncourtinstant,puisretournarapidementdanslesprofondeursdemachatteenlaissantéchapperungrognementsourd.C’estcequ’ilfaisaitquandmachatteétaitserréeautourdelui.

—Merde!Ilbougonna.

Sabouchesedéplaçaitverslebasdemoncorpspendantqu’ilcontinuaitàplongerdanslesprofondeursdemachattegourmande.Sesdentspincèrentmesseins.Ladouleurmefitlevermeshanchesverslehautpourlerencontrer.Ilalleratteindrel’orgasme.Lorsquejelerencontrai,j’atteignislemien.Jepleuraisetlasuppliaisd'unemanièrequej’ignoraisquej’enétaiscapable.Mesjambess’enroulèrentsurlui,mesbrasaussi.Mesdoigtslegrattèrentpourluimontrermonbesoin.Dessonsetdesparolessortirentdemeslèvres.Jenepouvaispluscontinuer.Jelesuppliaisdejouir,pourmoi.

—S'ilvousplaît,bébé....S'ilvousplaîtjouissez.Pourmoi...

Jegémissais,matêterenverséeenarrière,enessayantsidurdenepasjouirencore...Ilnemedonnaitpasencorelapermission.

—Madoucegarce.Tuesàmoi!

Toutallaittrèsvite.Jepouvaissentirsonpointculminantarriveràsonapogéeàchaquepousséeprofondeaudedansetendehorsdemoi.Leslarmesremplirentmesyeuxàcausedelamorsuredeladouleuretdesarugosité.C’étaitsafaçondefairepourquejeconcèdequej’étaissapossession

—Oui!Baisez-moimonsieur...Baise-moibébé...Puis-jejouirmonsieur...s'ilvousplaît...?Jebesoindejouirpourvous...Jesuishorsdemoi.

Jen’enpouvaisplus.Ilétaitàl'intérieurdemoietpoussaitdessonsbestiauxquimerendaientsauvage.

—Regardesmoi.Ilhaletaetempoignamescheveuxfermement.Toutemonattentionfutportéesurlui.Sesyeuxétaientnelâchaientpasmonvisage.Jeleregardaisattentivementpendantqu’ilgrognait.Jelesentaisgonflerl'intérieurdemoietgrogner.

—Jouispourmoipetitefille.FaislepourtonMaître.Maintenant!

Ausignal,moncorpséclatadelamanièrelapluspuissantequej’euressentidetoutemavie.Ilfutsecouéetleserratrèsforttandisquedessonsquiétaientloind'êtrehumainsortaientdemabouche.Moncorpsétaitsecouéencadenceaveclesien.Jecriaissonnomplusfortquejamais.Ilremuaitenaccéléré.Lorsqu’ilcriamonnomjesentisabiteexploserenmoi.Ilmeremplitaupointqu’ilyeuunefuitelelongdemescuisses.Sesyeuxnequittaientjamaislesmiens.Ilétaittoutsecouéparsonpropreorgasme.Ilmepénétraunesecondefoisetprovoquaenmoiunsecondorgasme.Moncorpsréponduànouveauquandillesentientrerenmoi.Ilétaitentraindememarquercommeétantàlui,etseulementàlui.

Lorsquenotrerespirationfutcalmée,etnouspuissentréfléchirànouveau,ilsetiralentementdemoi.Jepouvaissentirlamoiteursousmoncul.Jesourisachantquec’étaitmoiquiluiavaitfaitjouirsidur.Monprofesseurmitsonbrassousmoietmepositionnadanslapositiondufœtus.J’étaisenveloppéetserrédanssesbras.Ilm’embrassaitsurledos,l’épauleetlecou.Ilronronnaitquej’avaisétéunebonnefille

—DORTpourl'instantmabelle.Jeteprendraiencorequandtuteréveilleras.

Jesourisfaiblementparcequelesommeilm’emportaitdéjà.

—Oui,monsieur.

Jemeblottitdanssesbrasetlaissaéchapperunpetitbruit,jefusemplidusentimentd'êtreprotégédanssonétreintependantquejedormaisdanssesbras.

—Bonnefille.

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