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« PARCOURS en EMPLOI et en FORMATION Quels enseignements pour l’action ? » Dossier Documentaire 3èmes Rencontres interrégionales Céreq Dares InterCarifOref Rouen - Jeudi 22 septembre 2011
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« PARCOURS en EMPLOI et en FORMATION
Quels enseignements pour l’action ? »
Dossier Documentaire
3èmes Rencontres interrégionales
Céreq Dares InterCarifOref
Rouen - Jeudi 22 septembre 2011
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 3 -
Ce dossier documentaire a été réalisé par Emmanuel CHRISTAIN, documentaliste au Crefor Haute-Normandie.
Nous remercions pour leur précieuse collaboration les documentalistes des Carif Oref, du Cereq et de la Dares.
Sommaire
Une tentative de définition 5
Les outils de la mesure de l’insertion 7
Les principales sources d’étude des parcours 11
Bibliographie : trajectoires professionnelles 39
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Une tentative de définition
Un parcours professionnel désigne une succession de positions professionnelle, une
« série de statut et d’emplois clairement définis » (HUGHES, 1937). Les transitions
professionnelles rassemblent les diverses modalités de passage entres ces positions,
de l’enchaînement continu aux ruptures de trajectoires.
Selon Hughes (1958), la vie professionnelle est un processus biographique qui se
construit depuis l’entrée en activité jusqu’à la retraite en passant par tous les tournants
de la vie.
La transition professionnelle désigne « un enchevêtrement complexe de formation,
d’emploi, de chômage, de mobilité, vécu par les individus et géré par un certains
nombres d’institutions sociales » (Bouffartigue et al. 1989)
Il est attendu du “parcours” sens et sécurité dans un monde du travail envahi par la
flexibilité, voire la précarité. Il est en quelque sorte une version moderne de la pierre
philosophale, en ces temps troublés qui voient l’ordre ancien [du travail] se déconstruire
sans que, dans le chaos de la dérégulation, émerge un ordre nouveau qui concilie
compétitivité des entreprises et bien-être des personnes au travail. (LUTTRINGER, J.-M. 2006.
« Bâtir le parcours professionnel ». Le Monde. 21 février)
Luttringer et Willems proposaient en 2008 de distinguer, dans les usages du terme de
parcours professionnel, quatre dimensions distinctes.
La dimension pédagogique renvoie à l’ingénierie de formation, et notamment à
son individualisation.
La dimension « ingénierie des dispositifs » vise à fournir au parcours pédagogique
sa possibilité opérationnelle, en combinant les règles et les dispositifs existants
afin de produire un cadre juridique et financier « sécurisé » pour l’individu.
La dimension statutaire du parcours vise à apporter des solutions de continuité
permettant à la personne en transition de traverser des espaces juridiques
distincts.
La dernière dimension est le parcours professionnel au sens de trajectoire sur le
marché du travail.
Un parcours professionnel : C'est un cheminement qui s'observe à partir d'une entrée
dans la vie active professionnelle, avec la présence d'étapes successives, le tout
constituant une trajectoire jusqu'à la fin de carrière.
L'existence d'un parcours est corrélée à celle d'une trajectoire qui est constituée d'étapes
et de phases de transitions entre ces étapes.
Les étapes sont des phases plus ou moins longues, ayant une cohérence propre, les plus
courantes dans un parcours professionnel sont l'emploi, la formation.
Les transitions : quelques exemples des transitions emploi/formation,
formation/formation proposés par Véronique MELQUIOND du Carif-Oref des Pays de la
Loire. (Cf shéma)
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Les outils de la mesure de
l’insertion
Christelle Rebillon (Crefor Haute-Normandie)
Préambule
Les enquêtes d’insertion : une réponse à un questionnement …
Quel est le rapport existant entre le flux d’une filière de formation et les domaines
professionnels potentiellement concernés ?
Quelle est la cohérence entre la structure de sortie d’une filière de formation et les niveaux
de qualification du domaine professionnel visé ?
Quelle est la cohérence géographique d’une filière de formation avec ses débouchés ?
Quelle est, pour une filière de formation, le dispositif de formation le mieux à même de
s’adapter aux besoins des entreprises et à leurs pratiques de gestion de la main d’œuvre ?
…légitime
Dès lors que s’exprime un besoin économique sur un territoire
Dès lors que la définition d’une offre de formation s’établit dans le cadre d’une
programmation
Veiller toutefois à ne pas céder à la dimension réductrice d’une
vision trop adéquationniste
Les modalités de construction de l’offre de formation professionnelle ne se résument pas à
la seule indexation technique des filières de formation aux emplois
Un flux de formés dans une spécialité subit un ensemble de transformation avant de
participer à la définition de l’offre locale de la spécialité susceptible d’alimenter l’emploi
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Et considérer que la relation formation emploi n’est pas mécanique
La relation entre la formation et l’emploi est une construction complexe et non univoque…
…faite d’interactions entre de nombreux déterminants et des systèmes qui possèdent leur
logique propre :
o Les entreprises et la demande économique : les pratiques de gestion de la main
d’œuvre, au-delà des seuls savoirs acquis
o Les individus et la demande sociale de formation : les choix, les contraintes…
o Le marché du travail : filtre entre l’offre et la demande d’une spécialité
o Les acteurs qui agissent sur la relation emploi formation : stratégies différentes
Sans oublier que l’appareil de formation ne constitue pas la seule voie
d’alimentation des métiers
Les enquêtes d’insertion : objectifs, historique et
méthodologie
Objectifs
Analyser les conditions d’utilisation des compétences sur le marché du travail
Informer et aider dans la construction des projets d’orientation professionnelle
Evaluer la part des sortants réels d’une filière en partant d’une cohorte
Analyser les relations entre la spécialité de formation et les métiers dans lesquels elle se
diffuse
Apporter des informations d’aide à la décision et à la programmation d’actions de formation
Trois premiers niveaux de questionnement :
Quelle part d’une cohorte de sortants d’une formation s’est insérée 6, 12, 18… mois après
la sortie ?
Combien de temps mettent-ils pour trouver un emploi dans une spécialité ?
Dans quelle proportion occupent-ils les emplois pour lesquels ils ont été formés ?
Deux types d’enquêtes
Les enquêtes de placement
o Visent à mesurer une situation d’insertion à une échéance fixe (ex : 6 mois après la
sortie de formation).
o Une photographie à un instant T permettant de décrire la situation d’une
personne : emploi, formation, recherche d’emploi ; type de contrat, d’emploi,
adéquation emploi-formation, salaire, mobilité ; moyens d’obtention de l’emploi ;
motifs de la non obtention de l’emploi ; satisfaction par rapport à la formation.
o Permettent d’évaluer la durée entre la sortie de formation et l’emploi.
o Ne reflètent pas les trajectoires qui conduisent à chaque situation observée.
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Les enquêtes de cheminement
o cherchent à analyser des processus d’insertion sur une certaine durée (ex : une
situation tous les 6 mois pendant 3 ans).
o axées sur l’étude des trajectoires, permettant de recueillir des informations sur les
situations mois par mois, avec description de la dernière situation vécue ou de
toutes les situations.
o permettent d’estimer le temps moyen passé en emploi (ex : 7 mois la première
année, 9 mois la seconde année, 11 mois la troisième…)
o visent à évaluer l’évolution des emplois : contrats de travail, qualification dans
l’emploi, secteur d’activités, adéquation formation suivie-contenu de l’emploi
La méthodologie des enquêtes
Enquête
o Par questionnaires auto-administrés
o Téléphonique
o Par questionnaires, suivie d’une relance téléphonique
o En entretiens de face-à-face
La population enquêtée peut être :
o Exhaustive
o Par échantillon
Des enquêtes de cheminement :
o Rétrospectives, consistant à demander à l’ancien stagiaire de reconstruire par un
effort de mémoire tout son parcours depuis une date d’origine
o De panel, consistant à interroger un même groupe de personnes de façon
périodique et répétée sur la situation au moment de l’enquête ou sur les quelques
mois qui la précèdent
Des critères à prendre en compte pour l’analyse
Resituer les groupes-métiers de la population étudiée dans leur environnement statistique
plus large pour comparaison (part, évolution, type d’emplois)
L’accueil des jeunes dans certaines professions, la part des jeunes dans les métiers, les
emplois réservés aux jeunes
Conjoncture économique et stratégies d’évitement du marché du travail lorsqu’elle est
défavorable : prolongement des études, réorientation de la scolarité…
Mobilités vers le / un autre territoire
Positionnement sur une offre non qualifiée
Les enquêtes d’insertion nationales et régionales
L’Enquête complémentaire de l’Enquête Emploi de l’INSEE
o Enquête annuelle réalisée en face-à-face auprès de 30.000 jeunes actifs formés
moins de 10 ans auparavant (5 ans en moyenne).
o Permet de répondre à deux types de questions :
Que sont devenus les diplômés d’une même formation ? Quels sont leurs
chances d’accès et de maintien dans l’emploi ? Quel éventail de métiers est
exercé par des jeunes issus de la même formation ?
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D’où viennent les jeunes qui exercent un même métier ? Quel est le type,
le domaine de spécialité et leur niveau de formation ?
o Des données recueillies en continu qui permettent d’évaluer le chômage, la nature
des emplois et d’autres indicateurs décrivant le marché du travail.
o Enquête qui n’est exploitable que sur le plan national.
L’enquête « Génération » du CEREQ
o Enquête par questionnaire réalisée tous les 5-6 ans auprès d’un échantillon
représentatif de sortants d’un établissement de formation initiale d’une région.
C’est une enquête rétrospective réalisée trois ans après la fin de la formation.
o Permet de suivre la trajectoire d’insertion des jeunes sur plusieurs années et
d’établir des parcours d’insertion faisant apparaitre les différences entre régions
dans l’importance relative des types de parcours.
o Permet de repérer les stratégies de mobilité adoptées pour décrocher un emploi.
o Au niveau régional, quelques grands indicateurs d’insertion par niveau de diplôme
mais aucun par spécialité et encore moins sur un plan infra-régional
(représentativité de l’échantillon).
Les enquêtes IVA-IPA de l’Education Nationale
o Enquêtes par questionnaire réalisées tous les ans auprès des sortants des lycées
(IVA) et des apprentis (IPA) d’une région. Les sortants sont interrogés sur leur
situation 7 mois après leur sortie. Questionnaires adressés par les établissements
et exploités sur les plans régional et national.
o Visent la description d’une situation à un moment donné : situation d’emploi ou non
à sept mois, adéquation emploi-formation, type d’emploi, qualité de l’emploi…
o Existent depuis plus de 20 ans et permettent d’avoir des séries statistiques et de
suivre tout type de formation.
L’enquête de placement de l’AFPA
o Enquête postale suivie d’une relance téléphonique, réalisée chaque année auprès
des sortants de formation 6 mois après la fin de la formation. Des résultats
exploités sur le plan régional et national. Une antériorité depuis 1954 sur le plan
national, depuis 1985 sur le plan régional.
o Vise la description d’une situation à un moment donné : situation d’emploi ou non à
six mois, adéquation emploi-formation, type d’emploi, qualité de l’emploi…
o Outre l’emploi à 6 mois, mesure l’accès à l’emploi pendant les six premiers mois et
décrit le poste occupé (si ce n’est plus le cas au moment de l’enquête)
o A la mise en place de l’enquête, visait à évaluer l’adéquation entre formation suivie
et emploi trouvé ; par la suite, s’est penché sur l’observation de l’insertion
professionnelle avant la mise en place de mesures pour l’emploi.
o Une enquête de cheminement réalisée tous les dix ans au niveau national sur un
échantillon représentatif de sortants.
o Enquête rétrospective deux à trois ans après la sortie, qui vise à apporter un
éclairage sur les problématiques auxquelles une enquête à six mois ne peut
répondre :
évolution des niveaux de qualification dans l’emploi ou dans les emplois
successifs ;
maintien ou non à long terme dans le domaine professionnel ;
rotations emploi/chômage ;
effets de la conjoncture économique ;
itinéraires et types de parcours professionnels après la formation…
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Les principales sources d’étude
des parcours
Enquête d’insertion « Génération » - Céreq 13
Parcours 3 - Dares 16
Enquêtes IVA et IPA 19
Dispositif « Devenir des stagiaire » Afpa 22
Enquête OVE « Condition de vie des étudiants » 24
Subanor – Suivi des bacheliers normands 27
Enquête emploi en continu - Insee 29
Enquête santé et itinéraire professionnel (SIP) – Dress / Dares 33
Europe : Reflex et Cheers 36
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Enquêtes d'insertion « Génération »
Céreq
Un dispositif unique pour étudier les premiers pas
dans la vie active, selon la formation initiale suivie
A la fin des années quatre-vingt-dix, le Céreq a mis en place un dispositif d’enquêtes original qui permet d’étudier l’accès à l’emploi des jeunes à l’issue de leur formation initiale. Tous les trois ans,
une nouvelle enquête est réalisée auprès de jeunes qui ont en commun d’être sortis du système éducatif la même année quel que soit le niveau ou le domaine de formation atteint, d’où la notion de « génération ».
L’enquête permet de reconstituer les parcours des jeunes au cours de leurs trois premières années de vie active et d’analyser ces parcours au regard notamment du parcours scolaire et des diplômes obtenus. Certaines cohortes sont interrogées plusieurs fois pour suivre les débuts de carrière.
En s'appuyant sur un calendrier qui décrit mois par mois la situation des jeunes et sur des informations plus précises concernant le premier emploi et l'emploi occupé au bout de trois années
passées sur le marché du travail, ce dispositif permet non seulement d'analyser les trajectoires d'entrée dans la vie active mais aussi de distinguer, d'une génération à l'autre, les aspects structurels et conjoncturels de l'insertion.
Accéder aux résultats détaillés les plus récents
Quand l’école est finie, premiers pas dans la vie active de la Génération 2004 (2008)
Les dernières publications
Regards sur les dix premières années de vie active d’une génération. Premiers résultats de
l’enquête 2008 auprès de la génération 98, Nef , n° 45 , 2011 Sur les rails de la stabilisation dans l’emploi après dix ans de vie active, Bref , n° 285 , mai 2011 Le diplôme : un atout gagnant pour les jeunes face à la crise, Bref , n° 283 , mars 2011 Les docteurs en mal de stabilisation , Bref, n° 277, septembre 2010. Apprentissage contre professionnalisation : un faux débat, Bref, n° 276, juillet-août 2010.
Entrer en STS ou IUT, et après ?, Bref, n° 275, juin 2010. Les chiffres des lettres. L’insertion des diplômés de lettres et sciences humaines, Bref, n° 274, mai
2010. De l'enseignement supérieur à l'emploi : voies rapides et chemins de traverses, Nef, n° 43, octobre 2009. L'insertion des sortants de l'enseignement secondaire... des résultats issus de l'enquête Génération 2004, Nef, n° 42, juillet 2009. Qui sort de l'enseignement secondaire ? Origine sociale, parcours scolaires et orientation des jeunes de la Génération 2004, Nef, n° 41, juin 2009.
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« Génération 1992 »
Enquête 1997-1998 sur l’insertion des jeunes sortis de formation
initiale en 1991-1992
En 1997-1998, le Céreq a interrogé environ 27 000 jeunes sortis pour la première fois de formation
initiale au cours ou à la fin de l’année scolaire 1991-1992, dans le cadre de l’enquête Génération 1992. Ils ont été interrogés sur leurs premiers pas dans la vie active. Cet échantillon est représentatif de l’ensemble des jeunes sortis cette année là.
Les chiffres clés
Premiers résultats : Génération 1992 : profils, parcours et emplois en 1997, Bref, n° 149, 1999
Résultats de l'enquête :
Selon le niveau de formation, selon le diplôme obtenu en 1992 et la spécialité de formation, le cas de la filière « comptabilité-gestion ».
« Génération 1998 »
Enquêtes 2001, 2003, 2005, 2008 sur l’insertion des jeunes sortis de formation initiale en 1997-1998
Au printemps 2001, le Céreq a interrogé environ 55 000 jeunes sortis pour la première fois de formation initiale au cours ou à la fin de l’année scolaire 1997-1998, dans le cadre de l’enquête « Génération 1998». Ils ont été interrogés trois ans après leur sortie, sur leurs premiers pas dans
la vie active. Cet échantillon est représentatif de l’ensemble des jeunes sortis cette année là. Afin
de suivre leurs débuts de carrière, les répondants ont ensuite été interrogés en 2003 (cinq ans après leur sortie), en 2005 (sept ans) et 2008 (dix ans).
Le bilan méthodologique de l’enquête : Net.Doc, n° 25, 2006
« Génération 2001 »
Enquête 2004 sur l’insertion des jeunes sortis de formation initiale
en 2000-2001
Au printemps 2004, le Céreq a interrogé environ 25 000 jeunes sortis pour la première fois de
formation initiale au cours ou à la fin de l’année scolaire 2000-2001, dans le cadre de l’enquête
« Génération 2001 ». Ils ont été interrogés trois ans après leur sortie, sur leurs premiers pas dans la vie active. Cet échantillon est représentatif de l’ensemble des jeunes sortis cette année là.
Les chiffres clés
Premiers résultats : S’insérer lorsque la conjoncture se dégrade, Bref, n° 214, (2004) Résultats détaillés : Quand l’école est finie, premiers pas dans la vie active de la Génération 2001 (2005)
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« Génération 2004 »
Enquêtes 2007 et 2009 sur l’insertion des jeunes sortis de
formation initiale en 2003-2004
Au printemps 2007, le Céreq a interrogé environ 65 000 jeunes sortis pour la première fois de
formation initiale au cours ou à la fin de l’année scolaire 2006-2007, dans le cadre de l’enquête « Génération 2004 ». Ils ont été interrogés trois ans après leur sortie, sur leurs premiers pas dans la vie active. Cet échantillon est représentatif de l’ensemble des jeunes sortis cette année là.
Afin de suivre leurs débuts de carrière, les répondants ont ensuite été interrogés en 2009 (cinq ans après leur sortie). Ils le seront à nouveau en 2011 (sept ans).
Pour en savoir plus :
Une présentation méthodologique de l'enquête « Génération 2004 : Enquête Génération 2004. Méthodologie et bilan.
« Génération 2007 »
Enquête 2010 sur l’insertion des jeunes sortis de formation initiale
en 2006-2007
Au printemps 2010, le Céreq a interrogé environ 25 000 jeunes sortis pour la première fois de
formation initiale au cours ou à la fin de l’année scolaire 2006-2007, dans le cadre de l’enquête « Génération 2007 ». Ils ont été interrogés trois ans après leur sortie sur leurs premiers pas dans la vie active. Cet échantillon est représentatif de l’ensemble des jeunes sortis cette année là.
Les personnes enquêtées ont été tirées au hasard parmi celles présumées sorties du système éducatif en 2006-2007, grâce à une base de sondage constituée préalablement par le Céreq. Cette base a été réalisée grâce à la collaboration de la DEPP (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance), des rectorats, des universités et des autres établissements de formation ne dépendant pas du ministère de l’éducation nationale (centres de formations d’apprentis, lycées agricoles, écoles de l’enseignement supérieur…).
Sur l’ensemble de l’échantillon, environ 22 000 répondants sont associés à des extensions d’échantillon sur des territoires ou des formations, afin de répondre à des besoins d’informations ciblés.
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Parcours 3 Outil de suivi des bénéficiaires des Missions locales et des PAIO
Dares
Nouvel outil des missions locales :
Parcours3 contribue au système d’information du réseau des missions locales.
Il est centré sur le travail quotidien du conseiller dans sa relation avec le jeune.
Il est issu de l’évolution du logiciel Parcours 2 et de l’expérience acquise depuis vingt ans par le
réseau des missions locales et PAIO, accompagnant les jeunes dans leur parcours d’insertion.
Parcours3 utilise les technologies de l’Internet qui permettent une meilleure adaptation à toutes les
variétés d’organisation et de fonctionnement des missions locales. L’interface graphique et les
nouveaux outils d’aide à la décision apportent de nouvelles fonctionnalités attendues par les
conseillers.
Parcours3 intègre de puissants outils de requête et de représentation cartographique pour
permettre, en temps réel, le pilotage de l’activité des missions locales à tous les niveaux : local,
régional, national.
Le système d’information national
Le système d’information garantit la communication et l’échange
de données entre tous les niveaux d’organisation du réseau.
Les partenaires régionaux (État, conseil régional, association régionale des missions locales)
peuvent suivre l’activité à partir d’entrepôts de données :
• Les outils cartographiques permettent l’analyse sur le territoire régional.
• L’impact des différentes mesures ou programmes d’insertion peut être évalué
directement.
• L’analyse des demandes et besoins des jeunes apporte une aide précieuse à l’élaboration
des programmes régionaux d’insertion.
• Les développements complémentaires enrichissent le système en fonction des besoins
régionaux.
Pour le niveau national Parcours3 contribue à l’évaluation des politiques publiques d’insertion des
jeunes :
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 17 -
• Outil d’aide à l’animation et à la valorisation du réseau des missions locales.
• Accès à l’information globale, actualisée et exhaustive, sur l’activité du réseau.
• Connaissance des publics et de leurs difficultés : observatoire national de la situation des
jeunes.
• Communication avec d’autres systèmes d’information partenaires (INSEE, Education
Nationale...).
Pour le niveau local :
• La technologie Internet permet une utilisation facile pour les missions locales disposant
de plusieurs points d’accueil.
• Chaque structure dispose d’une base unique (plus besoin de consolidation des données)
• L’activité de la structure peut être située dans une dimension régionale ou nationale
grâce à des indicateurs fournis par les entrepôts de données.
• Les informations locales peuvent être enrichies par des données régionales ou nationales.
• Accés aux systèmes d’information partenaires emploi et formation
Un outil au service du conseiller
Parcours3 est l’outil quotidien du conseiller pour l’accueil et l’accompagnement des jeunes.
L’application permet de gérer et d’analyser les parcours d’insertion construits avec les jeunes :
• Les situations professionnelles (emploi, formation...).
• Les actes professionnels (propositions d’insertion faites au jeune par le conseiller).
• Les entretiens (demandes du jeune, suivi des propositions du conseiller)
• Les types d’accompagnement choisis en accord avec le jeune (information; conseil;
accompagnement sur projet; accompagnement renforcé).
Parcours3 offre de nombreuses fonctionnalités pour faciliter l’organisation du travail du conseiller :
• Définition et consultation d’alertes sur le suivi des jeunes, système de relance.
• Interface graphique de visualisation du parcours d’insertion.
• Tableaux de bord standards de suivi de l’activité, construction de tableaux de bord
personnalisés.
• Création et gestion de groupes.
• Outils d’aide à la décision (éligibilité sur des programmes d’insertion).
• Recherche de l’offre de formation régionale.
• Catalogue local de l’offre de service rattaché à une nomenclature nationale.
Un outil au service du pilotage de l’activité
Pour contribuer au pilotage de l’activité des missions locales, Parcours3 intègre deux outils
d’analyse très puissants :
• Business Objects pour les requêtes et les tableaux de bord, MapInfo Professional® pour
la cartographie.
• La consultation des tableaux de bord standards est possible en format graphique (par
période, âge, niveau, programme) et en format carte (lecture des informations sur le
territoire).
• Des tableaux de bord peuvent être paramétrés en fonction des besoins locaux : ils
permettent d’analyser l’accueil et les services proposés aux jeunes.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 18 -
Les dix points clés
1. communication et échanges d’information entre tous les acteurs du réseau
2. langage commun au réseau (charte nationale et table de références pour les services)
3. accès possible aux autres systèmes d’information partenaires
4. outil fortement personnalisable localement et régionalement
5. nouvelles fonctionnalités d’aide à la gestion des parcours d’insertion (alertes, relances,
aide à la décision)
6. accès direct à l’offre régionale de formation
7. base de données unique pour la structure
8. analyse des données : requêtes prédéfinies, requêtes personnalisées, cartographie
9. interface graphique de visualisation des parcours d’insertion
10. technologie Internet
Accéder à la Charte nationale Parcours3 http://www.cnml.gouv.fr/documentation/IMG/pdf_Charte_nationale_P3__v2-1.pdf
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Les enquêtes IVA et IPA
Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative
Direction de l’évaluation et de la prospective
L’enquête Insertion dans la Vie Active (IVA/IPA) permet d’apporter un éclairage sur l’insertion des
jeunes sept mois après leur sortie des lycées d’enseignement général et technologique, des lycées
professionnels et des CFA. Réalisée depuis les années quatre-vingt, elle est donc un des éléments
pour réguler la carte des formations, tant en terme de niveau, que de spécialité de formation. En
effet, sensible à la conjoncture, l’enquête montre qu’en période de ralentissement les jeunes
restent une population exposée et sont pénalisés lorsqu’ils entrent sur le marché du travail. Mais
cette enquête, bien qu’à court terme, est aussi prédictive des conditions de réussite professionnelle
future.
Selon le diplôme ou niveau de formation atteint, le sexe et les spécialités de formation suivies les
conditions d’entrée dans la vie active diffèrent.
Déclinée au niveau régional, l’enquête rend compte également des disparités académiques,
disparités qui tiennent non seulement aux différences en terme d’offre de formation régionale, mais
aussi à la spécificité économique de chacune des régions. Dans le cadre régional, les données de
l’enquête sont donc un des éléments utiles à la révision de la carte des formations.
Un dispositif pour étudier les premiers pas dans la
vie active, selon la formation initiale suivie
Des analyses académiques ou régionales sont réalisées à partir des enquêtes d’insertion dans la vie
active des lycéens et des apprentis (enquêtes dites « IVA/IPA »). Ces enquêtes constituent le seul
dispositif national qui renseigne, tous les ans, l'ensemble des partenaires en charge de
l’enseignement et de la formation professionnelle (établissements, rectorats, collectivités
territoriales, milieux professionnels) sur l'insertion professionnelle des jeunes, quelques mois après
la fin de leur formation. C’est un outil régulier d'évaluation des résultats des politiques éducatives,
et de connaissance du devenir des élèves, à la fois au plan national et régional.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 20 -
Dispositif
Les jeunes sortant de formation technologique et professionnelle en lycée (IVA) et en CFA (IPA) et
ne poursuivant pas d’études sont interrogés sur leur situation au 1er février de l’année suivant leur
sortie de formation. L’enquête est menée d’abord par voie postale par les établissements, puis une
relance est effectuée par voie postale ou téléphonique.
L’interrogation des sortants de lycée (IVA)
Tous les sortants des classes technologiques et professionnelles de lycée sont interrogés (hors
lycées agricoles). La relance est effectuée par les services statistiques académiques.
Le champ minimum obligatoire de l’enquête a été réduit depuis 2003 à la moitié des spécialités,
interrogées alternativement, et depuis 2006, aux seules années terminales de formation. Toutefois,
un certain nombre d’académies préfèrent interroger l’ensemble des spécialités, afin d’avoir des
informations comparables tous les ans et pour toutes les spécialités de formation, ou même les
années intermédiaires de formation afin de connaître la situation des jeunes n’atteignant pas
l’année du diplôme.
L’interrogation des sortants d’apprentissage
(IPA)
Les sortants de tous les niveaux de formation - de Vbis à I - et de toutes les spécialités de
formation (y compris agricoles) font partie du champ de l’enquête.
Toutes les phases de l’enquête sont assurées par les CFA, sauf la saisie des réponses qui est
réalisée par les services statistiques académiques.
Taux de réponse
Au plan national, le taux de réponse de l’enquête IVA était de 56 % en 2007 et 53 % en 2008.
Celui de l’enquête IPA se maintient à 45 %. Pour les deux enquêtes, dans chaque académie, les
non-réponses sont redressées en fonction de la formation et du sexe des interrogés.
Collaborations et études détaillées
De nombreuses publications sont réalisées avec la collaboration d’autres institutions participant à
l’observation ou à la mise en œuvre des politiques de l’insertion professionnelle : Régions et
Observatoire Régionaux Emploi-Formation (Oref), Directions Régionales de l’ONISEP et de l’INSEE,
Centres Associés du CEREQ.
JAGGERS Christophe, LEPREVOST Élodie, DEPP. - Les apprentis en 2009 : une insertion
professionnelle plus difficile. - Note d'information : n° 10.15, octobre 2010
http://media.education.gouv.fr/file/2010/95/0/NIMEN1015_157950.pdf
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 21 -
L'insertion des jeunes dans la vie active et le pilotage de la formation professionnelle au
niveau régional
Les enquêtes d'insertion leurs enseignements. - Christine REBIERE, DEP
À l'issue des formations tertiaires de niveau V, des difficultés d'insertion persistantes pour des
jeunes toujours aussi nombreux. - Alberto LOPEZ, CEREQ
L'insertion des jeunes d'une région à l'autre : quels constats ? Quel les évolutions récentes ? -
Valérie ROUX, CEREQ
Le rôle du territoire et du tissu économique régional dans l'insertion. - David PIACENZA, Académie
d'Amiens
Forte baisse de l'emploi des sortants de lycée et d'apprentissage : IVA-IPA 2003. - Christophe
JAGGERS, DEP
L'utilisation d'IVA et IPA dans le pilotage de la formation en Alsace. - François DE WISPELEARE,
secrétaire général de l'OREF Alsace
(interventions au séminaire organisé par la DEP le 18 novembre 2003)
http://media.education.gouv.fr/file/49/7/2497.pdf
Les enquêtes d'insertion : cadre conceptuel et résultats Les dossiers n° 120 mars 2001. – 121 p.
http://media.education.gouv.fr/file/66/7/4667.pdf
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 22 -
Dispositif « Devenir des stagiaires »
Afpa
Ce dispositif d’enquêtes étudie le devenir professionnel des adultes ayant suivi une formation. Il donne des indications sur la situation des personnes six mois après leur sortie de stage et décrit de façon précise les caractéristiques des emplois trouvés. Il analyse la relation formation-emploi d’un double point de vue : le premier concerne la capacité de la formation à aider une insertion
professionnelle rapide ; le second, plus adéquasionniste, porte sur les conditions d’emploi en relation avec la formation suivie : contrat, qualification, salaire, filière professionnelle, etc.
Il s'agit d'enquêtes réalisées au fil de l'eau, les stagiaires en formation pour adultes sortant de formation de manière dispersée sur toute l'année. La production de résultats peut varier selon les régions. Il existe en général un rapport annuel portant sur le cumul des sorties d'une année entière. Dans certaines régions, ce document annuel est complété par des synthèses trimestrielles
s'appuyant sur des cumuls en années glissantes.
Caractéristiques des personnes avant la formation
caractéristiques sociodémographiques usuelles (sexe, âge, lieu de rési-dence, etc.) ;
formation et qualification ; itinéraires professionnels.
Caractéristiques de la formation
domaines et niveaux, nature, lieu de formation, etc. ; issue de la formation (départ prématuré, motifs, etc.) ; validation.
Caractéristiques de la situation à six mois :
situation au sens du BIT (emploi, chômage, inactivité, formation ou reprise d'études).
Caractéristiques de l'emploi trouvé :
métier, qualification, contrat, rythme et durée de travail, salaire, etc. ; lieu de travail, activité et taille de l'entreprise.
Adéquation emploi/formation :
échelles de mesures sur la proximité de l'emploi par rapport à la for-mation ; l'utilisation de connaissances techniques acquises en formation, l'utilisation de
connaissances autres que techniques acquises en formation.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 23 -
NSF pour caractériser les formations PCS et ROME pour caractériser l'emploi NAF 60 pour caractériser les secteurs d'activité des entreprises Zones d'emploi, département, région pour les localisations géographiques (ainsi que tout
autre zonage d'études compatibles avec le niveau communal) FAP pour regrouper les métiers codés en PCS ou ROME et regroupements internes Afpa
(EVOLIF, etc.) NES à différents niveaux de regroupement, pour l'activité économique des entreprises
Le caractère exhaustif de l'enquête permet de fournir des résultats au niveau national, régional et infrarégional.
Les enquêtes sont réalisées par envoi d'un questionnaire auto-administré au domicile des personnes. Certaines questions portent sur la situation par rapport à l'emploi au cours d'une semaine de référence se situant exactement six mois après la sortie de formation. Pour cette raison, les questionnaires sont envoyés dans une période proche de cette semaine de référence,
cela impliquant une gestion d'enquête au fil de l'eau. Les personnes ne répondant pas à l'envoi du questionnaire sont relancées jusqu’à deux fois de manière à assurer un taux de réponse de qualité.
Chaque région est dotée d'un outil et de paramètres standards de création des indicateurs de manière à assurer une cohérence nationale des résultats.
Les traitements les plus standardisés utilisent les indicateurs courant concernant les situations à une période donnée (emploi, chômage et inactivité au sens du BIT). L'accès à un emploi dans les six mois suivant la formation est aussi fréquemment utilisé. Ces indicateurs sont en général déclinés selon les domaines et niveaux de formations et étudiés en évolution dans le temps. D'autres variables sont souvent associés aux résultats « sectoriels », notamment l'ensemble des
descripteurs relatifs aux emplois trouvés et aux caractéristiques des entreprises d'embauche.
Il existe également des traitements spécifiques dans le cadre de besoins d'études plus ponctuels (typologies de publics, trajectoires géographiques entre domicile, lieu de formation et lieu d'emploi, etc.).
Diffusion interne à l'Afpa : directions centrales et régionale, établissements, enseignants, etc. Diffusion externe : partenaires SPE, collectivités territoriales, branches profes-sionnelles, etc.
Les exploitations de données sont réalisées au niveau national (observatoire national) sur
l'ensemble des données recueillies et au niveau des régions par des services spécialisés (observatoires régionaux) ou parfois dans les directions régionales de l’Afpa. Les bases de données ne sont pas diffusées en dehors de ces vingt-trois sites.
Les résultats des exploitations sont diffusés sous formes de publications aux différents
destinataires internes et externes, sous la responsabilité en région des directeurs régionaux de l’Afpa.
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 24 -
Enquête « Conditions de vie des étudiants »
OVE
Réalisée pour la première fois en 1994, cette enquête est réitérée tous les trois ans. Jusqu’en
2003, le questionnaire a été adressé par voie postale à un échantillon aléatoire d’un vingtième des
étudiants inscrits dans chaque université (IUT inclus), et remis aux élèves d’un échantillon raisonné
de classes supérieures de lycée (un dixième des CPGE et un vingtième des STS publiques). Le taux
de réponse moyen a été légèrement supérieur à 30 % et a permis de recueillir près de 25 000
réponses exploitables.
Les enquêtés représentent ainsi les étudiants inscrits au cours de l’année universitaire concernée
en université ou en classe supérieure de lycée, soit approximativement les trois-quarts des effectifs
de l’enseignement supérieur. Une extension expérimentale aux élèves des écoles sous tutelle du
ministère de la Culture s’est déroulée en 2004-2005 et, en novembre 2006, l’enquête a été menée
auprès des élèves d’écoles d’ingénieurs.
- représentativité nationale : pour corriger les distorsions associées aux différences
d’échantillonnage et à l’inégalité des taux de réponses selon l’âge, le sexe, la région, l’institution, le
cycle, le type d’études suivies, les données brutes ont été pondérées à la Direction de l’évaluation
et de la prospective, à partir des informations centralisées sur les inscriptions effectives dans les
établissements. L’enquête 2006, avec un échantillonnage plus large devrait permettre d’obtenir
une représentativité améliorée au niveau régional ;
- comparaison dans le temps : 5 enquêtes réalisées à ce jour (1994, 1997, 2000, 2003, 2006) et
une enquête en cours (2009) avec un questionnaire pour l’essentiel stable.
- un questionnaire complet : environ 250 questions autour des thèmes suivants : déroulement des
études, cursus ; ressources et dépenses ; rapport aux études, assiduité, techniques et lieux de
travail ; emploi du temps et rapport au temps ; relation avec la famille d’origine ; logement ;
alimentation ; pratiques culturelles ; citoyenneté ; mobilité ; santé, rapport au corps, pratiques
sportives ;
- les variables pouvant être utilisées dans le cadre d’une étude de mobilité sont les suivantes : lieu
du bac, lieu d’habitation des parents, nationalité, lieu d’études de l’année en cours, formation
suivie et lieu d’études des 4 années précédentes (si inscription dans l’enseignement supérieur),
type de logement, distance au domicile parental, fréquence des retours au domicile parental, poursuite d’études et insertion professionnelle envisagées dans la région (question posée
uniquement en 2006).
Dans la mesure où elle s’adresse à un échantillon d’inscrits, cette enquête est, sous sa forme
actuelle, confrontée, à trois limites :
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 25 -
- elle ignore totalement les bacheliers (ou apparentés aux bacheliers) qui ne se sont pas inscrits
dans l’enseignement supérieur ;
- elle ignore totalement les primo-inscrits qui abandonnent les études avant la période d’enquête
(mars-avril) ;
- de façon plus générale, elle ne recueille des informations que sur les étudiants qui sont encore
étudiants, autrement dit les «survivants », ce qui fait notamment obstacle à la compréhension des
mécanismes d’abandon d’études supérieures.
L'enquête Conditions de vie
Les genres de vie des étudiants sont très différents les uns des autres, et le développement de
l'enseignement supérieur tend à accentuer la diversité et à creuser les écarts. L'enquête statistique
par questionnaire, représentative de l'ensemble de la population étudiante, permet de faire
l'inventaire de cette diversité et d'en donner une description complète. Pour éclairer les relations
entre genres de vie et cursus, elle doit combiner une observation relative à tous les aspects
majeurs de la vie matérielle (ressources, logement, alimentation, etc.), à la structuration de
l’emploi du temps, à l’organisation des études et aux parcours suivis (type de baccalauréat obtenu,
situation scolaire et sociale au cours de l’année précédant l’enquête, etc.). Enfin pour suivre
l'évolution des conditions de vie et des parcours, cette enquête doit être renouvelée régulièrement.
L'OVE national a jusqu’alors adopté une fréquence triennale et réalisé cinq enquêtes de ce type de
1994 à 2006. La sixième enquête s'est tenue au printemps 2010. On trouvera en rubrique
méthodologie une présentation précise du champ observé, de la procédure d’échantillonnage et de
collecte.
L'enquête conditions de vie de l'OVE aborde entre autres les points suivants :
déroulement des études, cursus ;
ressources et dépenses ;
rapport aux études, assiduité, techniques et lieux de travail ;
jugement sur les études et les conditions de vie ;
emploi du temps et rapport au temps ;
relation avec la famille;
logement ;
alimentation, santé ;
pratiques culturelles ;
citoyenneté ;
mobilité.
L'enquête Conditions de vie
Population
De 1994 à 2006, l’enquête concernait les formations suivantes :
Toutes les universités publiques et privées, en prenant en compte toutes leurs
composantes (tous cursus, ensemble des filières disciplinaires, IUT, autres écoles ou instituts rattachés, antennes et centres délocalisés),
Les Sections de Techniciens Supérieurs (CPGE, public MEN, publics MEN-MESR, France
métropolitaine),
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 26 -
Les Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE, public MEN, publics MEN-MESR, France métropolitaine).
En 2010, l’enquête intègre, pour la première fois dans une même enquête, les formations suivantes :
Les écoles d’ingénieurs non universitaires,
Les écoles de commerce, gestion et vente,
Les Instituts de formation en soins infirmiers,
Les écoles sous tutelles du Ministère de la culture et de la communication.
Les enquêtés représentent ainsi plus de 80% des effectifs de l’enseignement supérieur contre 72% en 2006.
Echantillonnage et passation de l'enquête
En 2010, les étudiants interrogés se répartissent de la façon suivante:
1/15ème des étudiants en université (n=98500) ;
1/15ème des classes supérieures de lycées (STS et CPGE) (n=13600) ;
1/10ème des inscrits en écoles d’ingénieurs (n=6500), écoles de management (n=8400) et
d’un échantillon d’inscrits en Instituts de formation en soins infirmiers (n=3200) ;
1/5ème d’un échantillon d’inscrits en écoles sous tutelle du Ministère de la culture (n=3000)
Toutes institutions confondues, le taux de réponse moyen, de l'ordre de 25 %, a permis lors de chaque édition, entre 1994 et 2006, de collecter près de 25 000 réponses exploitables. En 2010, plus de 33 000 réponses ont été collectées.
Dates des recueils de données
De 1994 à 2006, les questionnaires sous format papier étaient envoyés aux étudiants en mars, de
façon à ce qu'ils soient remplis au cours d'un mois "standard", hors période de vacances scolaires, de révisions d'examens, ou de rentrée universitaire.
En 2010, les étudiants ont été invités par courrier à répondre à un questionnaire sur Internet de mars à juin 2010.
Pondération
Pour garantir une meilleure représentativité et éliminer les biais associés à l’inégalité des taux de
réponse, les données brutes sont pondérées à partir des informations centralisées par le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur les inscriptions effectives dans les établissements.
La taille très importante de l’échantillon, la pondération opérée selon des variables majeures à partir des bases de données les plus fiables sur la population totale, la prise en compte dans le
contenu et la forme du questionnaire des préoccupations et attitudes de sous-populations étudiantes habituellement réticentes à l’égard des investigations académiques, permettent d’estimer raisonnablement que l’enquête de l’OVE atteint un haut degré de représentativité du champ étudié.
Résultats
Enquête 2010 : http://www.ove-national.education.fr/enquete/2010
Enquête 2006 : http://www.ove-national.education.fr/enquete/2006
Enquête 2003 : http://www.ove-national.education.fr/enquete/2003
Enquête 2000 : http://www.ove-national.education.fr/enquete/2000
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 27 -
Partant de l’expérience initiée en 1994 en Basse-Normandie, Subanor est un projet réalisé dans le cadre d'une convention partenariale (rectorat de Rouen, Région Haute-Normandie, universités de
Rouen et du Havre, Draaf Haute-Normandie), visant à connaître les parcours post-bac (formation et insertion) des bacheliers haut-normands.
Tous les trois ans : constitution de la cohorte des bacheliers enquêtés. Actuellement, deux promotions sont concernées : bacheliers de la session 2005 et bacheliers de la session 2008.
Cinq enquêtes annuelles par cohorte. La première concerne l'ensemble des bacheliers, les suivantes concernent les sous-populations :
enquête 2 : réorientation après une année dans l'enseignement supérieur (18 mois après le baccalauréat) ;
enquête 3 : bacheliers professionnels 30 mois après le baccalauréat ; enquête 4 : parcours après un BTS, un DUT ou CGPE (3 ans et demi après le
baccalauréat) ;
enquête 5 : parcours universitaire (4 ans et demi après le baccalauréat) ; Données publiées environ un an après la réalisation de l'enquête.
Certaines dimensions sont prises en compte dans toutes les enquêtes, d'autres sont spécifiques à chaque enquête
Caractéristiques sociodémographiques du bachelier Caractéristiques scolaires Caractéristiques de la situation au moment de l’enquête Caractéristiques du parcours de formation et d’insertion jusqu’au moment de l’enquête
Opinion du bachelier
NSF pour caractériser les formations ; PCS pour caractériser les emplois ; NAF pour caractériser les secteurs d’activités des entreprises BEA, Apogée, extraits de la base élèves de l’agriculture, extraits de la base des CFA,
fichiers du baccalauréat ; codes géographiques, codes établissements.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 28 -
Région, département, bassin d’éducation et de formation, établissement.
Les individus à enquêter sont repérés à partir des bases de données.
Selon l’enquête, la collecte des informations sur la situation des jeunes suit un protocole différent. Enquête 1 : l’établissement d’origine (lycée ou CFA) procède à l’administration des questionnaires et les retourne au rectorat. Enquête 2, 3, et 4 : envoi d’un questionnaire auto-administré au domicile des bacheliers ou par mail si possible. Les jeunes ne répondant pas au questionnaire sont relancés par voie postale, puis par téléphone si nécessaire. Enquête 5 : travail sur les fichiers universitaires, pas d’enquête par questionnaire.
Le caractère longitudinal de l’enquête permet plusieurs types d’approche. Un certain nombre
d’indicateurs sont définis par le groupe de pilotage du dispositif. Certains sont applicables aux cinq enquêtes, d’autres sont propres à chaque enquête.
Quelques indicateurs : taux de poursuite d’études, part d’emploi, taux d’activité, taux de chômage, taux d’emploi. Des indicateurs caractérisent la situation et le parcours de formation, la situation de l’emploi, l’accès à l’emploi. Les différents indicateurs sont généralement déclinés selon le niveau de formation et le domaine de spécialité (voire la spécialité de formation), selon le genre.
Il existe également des traitements spécifiques dans le cadre de besoins d’études plus ponctuels.
Services et établissements de l’académie (rectorat, inspections académiques, lycées et collèges ; CIO, Dronisep), de la Région (élus, services, CFA), de la Draaf (services, lycées, CFA), services et département des universités. DGESCO et DEPP au niveau national.
Publication papier diffuée aux destinataires cités ci-dessus, et éventuellement à la demande. Consultation des publications sur le site internet de l’académie de Rouen. Mise à disposition de fiches par établissement à l’interne.
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Enquête emploi en continu
(à partir de 2003)
Insee
Définition
Réalisée par l'Insee, depuis 1950, l'enquête Emploi est la source statistique qui permet de mesurer
le chômage au sens du BIT. Elle fournit aussi des données sur les professions, l'activité des
femmes ou des jeunes, la durée du travail, les emplois précaires. Elle permet de mieux cerner la
situation des chômeurs et les changements de situation vis à vis du travail.
Depuis 2003, l'enquête Emploi est trimestrielle et sa collecte auprès d'un échantillon de ménages,
est réalisée en continu sur toutes les semaines de chaque trimestre.
Présentation de l'opération
Organisme responsable
Insee. Direction des statistiques démographiques et sociales (DSDS)
Type d'opération
Enquête
Objectifs
Cette enquête vise à observer à la fois de manière structurelle et conjoncturelle la situation des
personnes sur le marché du travail.
Elle s'inscrit dans le cadre des enquêtes "Forces de travail" défini par l'Union européenne ("Labour
Force Survey").
C'est la seule source fournissant une mesure des concepts d'activité, chômage, emploi et inactivité
tels qu'ils sont définis par le Bureau international du travail (BIT).
Thèmes abordés
Les questions portent sur l'emploi, le chômage, la formation, l'origine sociale, la situation un an
auparavant, et la situation principale mensuelle sur les douze derniers mois.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 30 -
Champ de l'opération
Champ géographique : France métropolitaine
Champ(s) statistique(s) couvert(s) restreint aux "logements ordinaires"
Caractéristiques techniques
Unité statistique enquêtée
Personnes de 15 ans et plus
Périodicité de l'opération
La collecte est trimestrielle. L'enquête est en outre réalisée en continu, toutes les semaines de
chaque trimestre.
Un même logement est interrogé six fois (les différentes vagues étant espacées exactement d'un
trimestre).
Les résultats de l'enquête font l'objet de publications trimestrielles ou annuelles.
Période et mode de collecte
La collecte est effectuée sous CAPI (collecte assistée par informatique), en visite pour la première
et la dernière interrogation de chaque logement, et par téléphone pour les autres entretiens.
Si une personne ne peut (ou ne veut) pas répondre, une autre personne du ménage peut le faire à
sa place
Historique
Juillet 2001 (démarrage de la première enquête emploi en continu)
Plan de sondage
L'échantillon est aréolaire. Les grappes ont été constituées à partir des informations collectées à
l'occasion de la campagne 2006 de la taxe d'habitation. Chaque année, cette base de tirage est
complétée par les logements nouveaux repérés dans les fichiers de la taxe d'habitation. La taille
moyenne des grappes est de 20 logements.
Au moment du tirage, on a utilisé une stratification par région et degré d'urbanisation. Chaque
trimestre, environ 67 000 logements sont identifiés comme résidences principales et
enquêtés. Ils sont renouvelés par sixième chaque trimestre.
Au final, les fichiers d'enquête comptent environ 108 000 personnes de 15 ans ou plus répondantes
chaque trimestre, réparties dans 57 000 ménages.
L'enquête Emploi est l'une des pièces centrales du dispositif statistique de connaissance de l'emploi
et du chômage. L'enquête apporte de nombreuses informations sur l'état du marché du travail et
son évolution : le volume de la population active, le nombre de chômeurs et le taux de chômage,
les caractéristiques des personnes présentes sur le marché du travail, de celles qui arrivent ou le
quittent, etc. Elle fournit aussi des données originales sur la structure par professions, sur l'activité
des femmes ou des jeunes, sur la durée du travail et sur les emplois précaires. Elle contribue ainsi
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 31 -
au débat social sur les politiques de l'emploi et de l'éducation et sert de support à de nombreux
travaux de recherche dans le domaine économique et social.
L’enquête Emploi est en outre l'unique source d'information qui permet de mettre en oeuvre la
mesure de l’activité suivant les concepts du Bureau international du travail (BIT), définis et adoptés
lors des conférences internationales des statisticiens du travail (1954 et 1982). Elle s'inscrit dans le
cadre des enquêtes sur les forces de travail réalisées dans tous les pays de l’Union européenne («
Labour Force Survey »). La France peut ainsi comparer le niveau et l'évolution de son taux de
chômage avec ceux des autres pays européens, mais aussi avec ceux des pays membres de
l'Organisation Internationale du Travail (OIT). 1
Une enquête Emploi en continu
La nouvelle enquête Emploi a démarré le 1er juillet 2001. Elle est trimestrielle et sa collecte se
déroule en continu tout au long de chaque trimestre, alors que l’ancienne enquête avait lieu une
fois par an, généralement en mars. Elle répond ainsi à la nécessité de mieux mesurer les évolutions
conjoncturelles de l’emploi et du chômage. Outre son changement de périodicité, l’enquête Emploi
a connu d’autres évolutions importantes. Le questionnaire a été modifié, à la fois dans un souci
d’harmonisation européenne, en vue d’une meilleure comparabilité avec les pays voisins, et dans le
sens d’un enrichissement de la connaissance relative à l’emploi, à la durée annuelle du travail, à la
pluriactivité ou encore à la formation continue.
La nouvelle périodicité de l’enquête
En théorie, la production de données trimestrielles peut être associée à différents modes de
collecte : collecte concentrée sur une période donnée du trimestre, collecte en continu tout au long
du trimestre. C’est cette seconde option qui a été retenue par l’Insee, notamment pour être en
conformité avec le règlement européen n° 1897/2000.
Outre qu’elle permet la production de données conjoncturelles sur l’emploi, cette nouvelle
périodicité offre la possibilité d’analyser les transitions infra-annuelles sur le marché du travail.
Chaque personne pouvant être interrogée jusqu’à six fois, pendant six trimestres consécutifs,
l’enquête peut fournir des éléments sur les parcours professionnels individuels à moyen terme (à
condition de tenir compte du fait que les personnes suivies six trimestres ne sont pas
représentatives de l’ensemble de la population).
Le nouveau questionnaire
Le nouveau questionnaire fournit une mesure harmonisée au niveau européen des concepts
d’emploi, de chômage et d’inactivité. L’approche européenne se veut la plus factuelle et la plus
objective possible. Le nouveau questionnaire offre également des informations plus riches que le
précédent sur le sous-emploi, sur la durée du travail et permet de mieux cerner la frontière entre
emploi, chômage et inactivité.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 32 -
Quelques étapes historiques de l’enquête Emploi
1950 Première enquête Emploi
1960, 1968, 1975, 1982, 1990 Refontes de l’enquête Emploi
1992 - 1995 Expérimentation d’une enquête Emploi trimestrielle
1997 Début de la refonte de l’enquête Emploi
1998 Début du dispositif léger, visant à anticiper les problèmes organisationnels et à mettre au point les méthodes d’exploitation d’une enquête en continu
Avril, octobre : test du questionnaire (papier) de la nouvelle enquête Emploi
2000 Juin, octobre : test du questionnaire informatisé (CAPI) de l’enquête Emploi en continu
2001 Février : répétition générale de l’enquête Emploi en continu A partir de juin : formation des enquêteurs
Juillet : début de la collecte
2002 Mars : dernière enquête annuelle
2007 Novembre : changements de définition de l’activité au sens du BIT, du champ de l’enquête et de la méthode de pondération appliqués sur l’ensemble des enquêtes depuis 2003. Décembre : publication trimestrielle des taux d’emploi et de chômage dans l’Infos Rapides.
Documentation méthodologique
La méthodologie de l'enquête Emploi en continu (Note méthodologique, 03/05/2010, 282
Ko, pdf) http://www.insee.fr/fr/methodes/sources/pdf/eeencontinu.pdf
Une histoire de l'enquête Emploi (Économie et statistique n° 362, 01/07/2003, htm) http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=es362c
Une nouvelle enquête Emploi (Économie et statistique n° 362, 01/07/2003, htm) http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=es362d
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 33 -
Enquête Santé et itinéraire professionnel (Sip)
Drees/Dares
L’enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP), conçue par la DREES et la DARES et réalisée en
deux vagues (2006 et 2010), explore les liens entre les problèmes de santé et les parcours
professionnels et conditions de travail.
Un rapport réalisé en 2003 par le Centre d’études de l’emploi (CEE) a conduit la Direction de la
recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) et la Direction de l’animation de
la recherche, des études et des statistiques (DARES) au constat suivant : les outils statistiques
disponibles abordaient rarement de façon combinée les questions de conditions de travail et
d’emploi et les questions de santé. Les rares opérations qui ont pu recueillir de façon équilibrée des
données sur les deux champs présentaient des limites importantes. Il a donc été décidé de réaliser
une enquête longitudinale en population générale ayant pour objectif premier de faire progresser la
connaissance sur les interactions entre le travail, l’emploi et la construction ou l’altération de la
santé : c’est l’enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP), dont la première vague a eu lieu fin
2006-début 2007 et la seconde fin 2010.
L’enquête SIP vise d’une part à mieux connaître les déterminants de la santé liés aux conditions de
travail et aux parcours professionnels : comment les conditions physiques et organisationnelles du
travail, les expositions aux risques, les discontinuités et les ruptures du parcours professionnel
contribuent-elles, dans la durée, à construire, à préserver ou à fragiliser leur état de santé ?
L’enquête devrait d’autre part permettre de repérer l’impact de l’état de santé sur le parcours
professionnel des personnes, les aléas de carrière ou les discriminations éventuelles qu’elles ont pu
rencontrer : en quoi des événements de santé, qu’ils soient déterminés ou non par l’environnement
professionnel, induisent-ils des ruptures ou au contraire sont-ils compatibles avec une continuité de
l’itinéraire professionnel, en fonction des ressources individuelles et collectives dont disposent les
personnes ? Là aussi, il est important de prendre en compte d’éventuels décalages temporels.
Un objectif complémentaire a été fixé pour la vague 2010 : disposer d’une observation des risques
psychosociaux encourus par l’ensemble de la population active au moment de l’enquête.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 34 -
L’enquête a été effectuée auprès d’individus vivant en ménage ordinaire en France métropolitaine.
Les individus étaient âgés de 20 à 74 ans en 2006 et ont été interrogés quelle que soit leur
situation vis-à-vis du marché du travail (actifs occupés, chômeurs ou inactifs, retraités, etc.).
Près de 14 000 entretiens ont été réalisés en 2006. La vague 2010 visait à réinterroger l’ensemble
des personnes interrogées en 2006. Dans les faits, 11 000 personnes ont pu être réinterrogées.
Pour satisfaire l’objectif complémentaire concernant les risques psychosociaux, un échantillon
complémentaire de personnes actives d’au moins 16 ans vivant en ménage ordinaire en France
métropolitaine a été constitué. Environ 2 500 personnes ont répondu.
L’enquête, réalisée en face à face, principalement à l’aide d’un ordinateur portable, a abordé
différents thèmes.
L’enfance et les études : les grandes caractéristiques et les événements marquants de la
vie privée au cours de l’enfance et dans la vie adulte, ainsi que les déménagements liés à
la vie professionnelle.
L’emploi et le travail : les épisodes successifs de l’itinéraire professionnel (emploi, chômage
ou inactivité), les principaux changements de travail et de conditions de travail, le travail
actuel (contraintes temporelles, nuisances, dimension collective du travail, autonomie,
moyens de travail, type de reconnaissance ou son absence) et l’appréciation globale des
enquêtés sur leur itinéraire professionnel.
Les activités sociales, actuelles et antérieures, ainsi que le sentiment d’isolement.
Les revenus du ménage.
La santé : les événements de santé, passés ou actuels (maladies, accidents, handicaps),
leur interaction avec l’itinéraire professionnel et leur reconnaissance administrative
(affections de longue durée, mise en inaptitude / en invalidité), la santé physique actuelle
perçue, ainsi qu’un relevé d’éléments sur la santé mentale, les gênes fonctionnelles,
douleurs et restrictions d’activités au moment de l’enquête.
Dans le questionnaire de la vague 2010, les enquêtés étaient réinterrogés sur les caractéristiques
du travail et de la santé au moment de l’enquête ; les risques psychosociaux faisaient l’objet d’une
interrogation approfondie. Ils étaient également interrogés succinctement sur les principaux
événements vécus entre 2006 et 2010 concernant leur situation professionnelle, leur santé et leur
vie privée.
L’échantillon complémentaire a été interrogé exclusivement sur le volet travail et sur les aspects de
la santé pouvant être impactés par les risques psychosociaux.
La vague 2006 de l’enquête SIP s’appuyait sur un questionnaire informatisé (CAPI), une grille
biographique et un auto-questionnaire. La grille biographique permettait de reconstituer l’itinéraire
professionnel de l’individu et de situer dans le temps certains événements marquants de sa vie
familiale et privée (déménagements, naissance d’enfants, etc.). L’entretien se poursuivait par la
description et la saisie dans le questionnaire informatisé de chaque phase : emplois longs, courts,
chômage ou inactivité. À chaque étape décrite, un lien était fait avec l’état de santé. Si l’enquêté
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 35 -
déclarait une maladie, un handicap ou un accident, un ensemble de questions relatives à ces
problèmes de santé étaient posées à l’enquêté à la suite de l’itinéraire professionnel. Au terme de
l’entretien mené par l’enquêteur, l’enquêté se voyait proposer un auto-questionnaire portant
notamment sur ses pratiques en matière de consommation d’alcool et de tabac, qu’il devait remplir
et renvoyer ultérieurement.
Pour en savoir plus sur la méthodologie de l’enquête :
http://jms.insee.fr/files/documents/2009/102_4-JMS2009_S15-2_BAHU-ACTE.PDF
La vague 2010 de l’enquête SIP se déroule intégralement sous CAPI. Après un entretien en face à
face avec un enquêteur, un auto-questionnaire sous CAPI avec casque audio est soumis à
l’enquêté ; il comporte les mêmes questions de santé qu’en 2006 ainsi que quelques questions sur
des risques psychosociaux (expositions à des violences notamment).
Bahu M., Coutrot T., Herbet J.-B., Mermilliod C., Rouxel C., 2010, « Parcours professionnels
et état de santé », Dossiers solidarité santé, DREES, n° 14 (également paru en Premières
synthèses, DARES, 2010, n° 001). http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/article201014.pdf
Coutrot T., Mermilliod C., 2010, « Les risques psychosociaux au travail : les indicateurs
disponibles », DARES Analyses, n° 081. http://www.travail-emploi-
sante.gouv.fr/IMG/pdf/2010-081-2-2.pdf
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 36 -
Europe : Le projet REFLEX
L’enquête européenne CHEERS
Le projet REFLEX
Le projet REFLEX (Research into Employment and Professional Flexibility) a été conduit par un
consortium d’équipes de recherche de seize pays (quinze pays européens et le Japon), piloté par le
Centre de recherche sur l’éducation et le marché du travail (Research Centre for Education and the
Labour Market), Université de Maastricht, financé en partie par l’Union européenne dans le cadre
du 6è PCRD (Programme cadre de recherche et développement).
REFLEX a pour objectifs de répondre à trois interrogations : quelles sont les compétences acquises
par les diplômés de l’enseignement supérieur et mobilisées par les employeurs ? Comment les
établissements contribuent-ils à la construction de ces compétences ? Quelles sont les tensions qui
peuvent apparaître entre les diplômés, les établissements de formation et les employeurs, et
comment les résoudre ?
Une enquête a été réalisée en 2005 dans quinze pays européens auprès de jeunes diplômés de
l’enseignement supérieur, sortants des 2e et 3e cycles universitaires, d’écoles spécialisées, de
commerce et d’ingénieurs, interrogés cinq ans après la fin de leurs études. Les pays concernés par
cette investigation sont : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique (Flandres), l’Espagne, l’Estonie, la
Finlande, la France, l’Italie, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la République
tchèque, la Suède, et la Suisse. L’échantillon est représentatif des différents secteurs de
l’enseignement supérieur dans chaque pays. Le taux de réponse moyen est de 30 %, allant de 70
% pour les Suédois à 18 % pour les Estoniens. Près de 40 000 jeunes, dont 60 % de femmes, ont
participé à cette enquête d’insertion unique en Europe. Le questionnaire comprenait une centaine
de questions et portait notamment sur les études et les situations professionnelles des diplômés.
REFLEX permet ainsi d’étudier les débuts de carrière de ces diplômés sur différents marchés du
travail, de dégager les tendances communes au niveau de l’Europe et de saisir les particularités de
chaque État.
Pour en savoir plus : www.fdewb.unimaas.nl/roa/reflex/
http://www.fdewb.unimaas.nl/roa/reflex/
http://www.fdewb.unimaas.nl/roa/reflex/
Ce projet a pu s’appuyer sur une précédente enquête européenne, dénommée CHEERS (Careers
After Higher Education: A European Research Survey), et menée en 1999 en partie par le même
consortium et pilotée par le centre de recherche sur l’enseignement supérieur (International Centre
for Higher Education Research), Université de Kassel. Près de 35 000 jeunes ont répondu à cette
enquête, dont la moitié de femmes, sortis en 1995 des mêmes formations de l’enseignement
supérieur dans onze pays européens et au Japon. Pour en savoir plus : www.uni-
kassel.de/incher/cheers.
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 37 -
À lire également
• « Comparaison internationale : à la recherche de jeunes diplômés de l’enseignement supérieur
compétents en informatique », J.-J. Paul, J. Murdoch, Formation Emploi n° 82, avril-juin, La
Documentation française, 2003.
• « Génération 2004, des jeunes pénalisés par la conjoncture », O. Joseph, A. Lopez, F. Ryk,
Céreq, Bref n° 248, janvier, 2008.
Pour en savoir plus :
• The Flexible Professional in the Knowledge Society : General Results of the REFLEX Project, J.
Allen and R. van der Velden, Research Centre for Education and the Labour Market, Maastricht
University, the Netherlands, 2007.
• Careers of University Graduates, Views and Experiences in Comparative Perspectives, U. Teichler
(Ed), Higher Education Dynamics 17, Springer, United Kingdom, 2007.
• « Être diplômé de l’enseignement supérieur, un atout pour entrer dans la vie active », J.
Calmand, P. Hallier, Céreq, Bref n° 253, juin, 2008.
www.cereq.fr/pdf/b253.pdf
• « Higher Education and Graduate Employment », J.-J. Paul, U. Teichler, and R. van der Velden
(eds), European Journal of Education, special issue, 35(2), 2000.
Source : Deux enquêtes uniques en Europe Céreq Bref n° 257 octobre 2008
www.cereq.fr/pdf/b257.pdf
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 38 -
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF // Rouen 22/09/2011 - 39 -
Bibliographie :
trajectoires professionnelles
Bibliographie réalisée par le Centre de ressources du Carif Oref des Pays-de-Loire.
La partie consacrée aux enquêtes longitudinales a été réalisée par les documentalistes du Céreq.
Sommaire
Enquêtes longitudinales : ..................................................41
Présentation des sources, des enquêtes et des méthodologies ..................... 41
L’entrée dans la vie active .................................................46
Zoom : Orientation ................................................................................ 46
Insertion des jeunes diplomés ................................................................. 46
Insertion des diplômés de l’enseignement supérieur .................................. 47
Insertion des apprentis et lycéens ........................................................... 48
Insertion des jeunes « sans diplôme » et/ou « sans qualification » .............. 48
La vie active ....................................................................49
Zoom : Transitions ................................................................................ 49
Zoom : Salariés ..................................................................................... 49
Zoom : Contrats aidés ............................................................................ 50
Zoom : Demandeurs d’emploi ................................................................. 50
Zoom : Intérim ..................................................................................... 50
Zoom : Vae .......................................................................................... 51
Allongement de la vie active ..............................................51
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 40 -
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 41 -
Enquêtes longitudinales : présentation des sources, des enquêtes et des méthodologies
Bibliographie réalisée par les documentalistes du Céreq - 13/07/2011
__________________________________________________________________________ Sommaire
ALIAGA Christel, DUPLOUY Bérangère, JUGNOT Stéphane, et al. Enquête « Génération 2004 » :
méthodologie et bilan : 1ère interrogation - printemps 2007. Marseille : Céreq, 2010, 148 p. (Net.Doc ; 63). Disponible en ligne <http://www.cereq.fr/index.php/publications/Enquete-Generation-2004-methodologie-et-bilan>. (Consulté le 13/07/2011)
ANSIEAU Dominique, BREUIL-GENIEZ Pascale, HOURRIEZ Jean-Michel. « Le Panel européen : une
source statistique longitudinale sur les revenus et les conditions de vie des ménages ». Economie et statistique, 2001, n° 349-350, pp. 3-15. Disponible en ligne : <http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/estat_0336-1454_2001_num_349_1_7411>. (Consulté le 13/07/2011)
BIDART Claire. « Trajectoires d'insertion professionnelle des jeunes : évolution des catégories dans
une enquête qualitative longitudinale ». Cahiers de recherche GRS, 2005, n° 20, pp. 173-215. Disponible en ligne : <http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/13/30/09/PDF/GRS-TexteBidart.pdf>. (Consulté le 13/07/2011)
BOURDON Sylvain, BELISLE Rachel. Note méthodologique pour une enquête longitudinale sur les
transitions et l'apprentissage de jeunes adultes en situation de précarité. Sherbrooke: Équipe de recherche sur les transitions et l'apprentissage, 2008, 41 p. Disponible en ligne : <http://www.erta.ca/media/publications/ERTA%20Note%20metho%20ELJASP.pdf>. (Consulté le 13/07/2011)
BREUIL-GENIEZ Pascale, VALDELIEVRE Hélène. « Le Panel européen : l'intérêt d'un panel
d'individus ». Economie et statistique, 2001, n° 349-350, pp. 17-40. Disponible en ligne : <http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/estat_0336-1454_2001_num_349_1_7412>. (Consulté le 13/07/2011)
BRINGE Arnaud, LAURENT Raphaël. Les clefs pour : reconstituer des histoires individuelles à partir
de données de suivi démographique. Paris : Collections du Ceped, 2005, 85 p.
CANALS, Valérie . Analyse territoriale de l'insertion professionnelle. Dynamique de la mobilité
statutaire des jeunes sortis du système de formation initiale. Montpellier : CRPEE, 1997. 94 p.
Cedefop. La transition du système éducatif vers la vie active. Exploitation des données statistiques nationales . Luxembourg : Office des publications officielles des Communautés européennes, 1999, 95 p. Disponible en ligne : <http://www.cedefop.europa.eu/download-manager.aspx?id=14126&lang=en&type=publication>. (Consulté le 13/07/2011)
Céreq, Ministère de l'éducation nationale. Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance. Enquêtes d'insertion professionnelle. Quels outils pour les régions ? Marseille : Céreq, 1996. 4 p.
MARTINELLI Daniel. Comment interpréter les disparités locales d'insertion des diplômés du
supérieur ? . Marseille : Céreq, 2004, 65 p,. (Relief ; 3). Disponible en ligne : <http://www.cereq.fr/index.php/publications/Comment-interpreter-les-disparites-locales-d-insertion-des-diplomes-du-superieur>. (Consulté le 13/07/2011)
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 42 -
CLERSE, IFRESI. L'insertion professionnelle : nouvelles approches, nouveaux débats. Journée
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continue. Evaluation des politiques régionales de formation professionnelle initiale et continue : 2000-2002. Paris : CCPRAFPC, 2004. 274 p.
DEGENNE Alain, GIRET Jean-François, GRELET Yvette, éds, et al. Les données longitudinales dans
l'analyse du marché du travail. 10es journées d'études sur les données longitudinales dans l'analyse du marché du travail, 21, 22 et 23 mai 2003, Caen. Marseille : Céreq, 2003. 553 p. (Documents série Séminaires ; 171) .
DEGENNE Alain, GRELET Yvette, VERGNIES Jean-Frédéric, éds., et al. Construction et usage des
catégories d'analyse. 8e journées d'études sur les données longitudinales dans l'analyse du marché
du travail, 17-18 mai 2001, Marseille. Marseille : Céreq, 2001. 303 p. (Documents série Séminaires ; 156). Disponible en ligne : <http://sun1.cereq.fr/cereq/Colloques/longitudinal/actes.htm>. (Consulté le 13/07/2011)
DEGENNE Alain, MANSUY Michèle, WERQUIN Patrick, éds. Trajectoires et insertions
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DEGENNE Alain, MANSUY Michèle, PODEVIN Gérard, éds, et al. Typologie des marchés du travail.
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DEGENNE Alain, GRELET Yvette, LOCHET Jean-François, éds. et al. L'analyse longitudinale du
marché du travail : les politiques de l'emploi. 4e journées d'études sur les données longitudinales
dans l'analyse du marché du travail, 22 et 23 mai 1997, Paris. Marseille : Céreq, 1997. 386 p.(Documents série Séminaires ; 128)
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DEGENNE Alain. « Insertion professionnelle et méthodologie : le marché du travail des jeunes en question » . Formation emploi, 1997, n° 60 , pp. 17-19. Disponible en ligne :
<http://pmb.cereq.fr/doc_num.php?explnum_id=128>. (Consulté le 13/07/2011)
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ESPINASSE Jean-Michel, VINCENS Jean. Rationnement de l'emploi et trajectoires
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2969_1989_num_30_2_2597>. (Consulté le 13/07/2011)
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4663_1996_num_51_2_6152>. (Consulté le 13/07/2011)
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<http://www.cereq.fr/index.php/publications/Les-cheminements-longs-donnees-methodes-et-apports-pour-les-analyses-du-marche-du-travail>. (Consulté le 13/07/2011)
COUPPIE Thomas, EPIPHANE Dominique, GIRET Jean-François, éds., et al. Evaluation et données longitudinales : quelles relations ? XVIIèmes Journées d'étude sur les données longitudinales dans
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3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 45 -
STOEFFLER-KERN Françoise, MARTINELLI,Daniel, éds. Parcours de formation et insertion
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série Observatoire ; 134)
VILTER Sylvie, JENNY, Jacques, FERRAND Michèle. « L'analyse des trajectoires : ressources qualitatives et quantitatives ». UTINAM : Revue de sociologie et d'anthropologie, 2000, n° 4, 201 p.
VINCENS Jean. « L'insertion professionnelle des jeunes : à la recherche d'une définition conventionnelle » . Formation emploi, 1997 n° 60, pp. 21-33. Disponible en ligne : <http://pmb.cereq.fr/doc_num.php?explnum_id=129>. (Consulté le 13/07/2011)
ROUSSET Patrick , GIRETJean-François , GRELET Yvette . - Les parcours d’insertion des jeunes : une analyse longitudinale basée sur les cartes de Kohonen. - Marseille : Céreq, 2011, 38 p. (Net.Doc ; 82)
Consulter la publication sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/index.php/publications/Les-parcours-d-insertion-des-jeunes-une-analyse-longitudinale-basee-sur-les-cartes-de-Kohonen
CHUICCHINI Pascal/CLAVIER Dominique. - Méthode d'accompagnement et de pilotage des parcours d'insertion (Mappi). - Paris : Qui plus est, 2009. – 120 p. Collectif d'auteurs. - Démarches et outils d'orientation des adultes. - Actualite de la formation permanente, n° 218, 2009. – 96 p. BEAUPERE Nicolas, GIRET Jean-François. - Etudier l'insertion des étudiants : les enjeux
méthodologiques posés par le suivi de l'insertion des diplômes de l'enseignement supérieur au niveau local, régional et national. - Marseille : Céreq, 2008. - 50 p.
Sommaire
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 46 -
L’entrée dans la vie active
Zoom : Orientation L'orientation scolaire et professionnelle dans un monde incertain. - Formation Emploi , n° 109 , 2010, 160 p. FERREIN Jean-Louis/NAUD Didier. - L'orientation professionnelle : une démarche porteuse de sens. - Paris : Demos, 2010. - (Vie professionnelle). - 92 p.
Collectif d'auteurs. - Orientation : quels repères pour trouver son chemin ? Résultats d'une enquête auprès de 2 600 jeunes en scolarité. - Marseille : Céreq, 2008. - 52 p. BORRAS Isabelle/LEGAY Agnès/ROMANI Claudine. - Les choix d'orientation à l'épreuve de l'emploi. - Marseille : Céreq, 2008. - 47 p.
Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance ; PEAN Sylvaine. - Les orientations post-baccalauréat : évolution de 2000 à 2007. - Note d'information, n° 09.15, 01/06/2009. - 8 p. Consulter le n° 09.15 de Note d'information sur le site du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pid20727/notes-d-information.html
Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche. - L'information des étudiants sur les débouchés des formations et leur accompagnement vers l'insertion professionnelle. - Paris : Ministère enseignement supérieur recherche, 2007. – 64 p.
Insertion des jeunes diplomés RECOTILLET Isabelle , ROUAUD Pascal , RYK Florence . - Sur les rails de la stabilisation dans l’emploi après dix ans de vie active. - Bref , n° 285 , 2011 , 4p.
Consulter le document sur le site du Céreq.
http://www.cereq.fr/index.php/actualites/Sur-les-rails-de-la-stabilisation-dans-l-emploi-apres-dix-ans-de-vie-active ARRIGHI Jean-Jacques , MORA Virginie . - Le retour en formation en début de vie active : un effet ambivalent sur l’accès à l’emploi. - Net.Doc , n° 83 , 2011 , 78 p. Consulter le document sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/index.php/publications/Net.Doc/Le-retour-en-formation-en-debut-de-vie-
active-un-effet-ambivalent-sur-l-acces-a-l-emploi Collectif d’auteurs. - Le diplôme : un atout gagnant pour les jeunes face à la crise. - Bref , n° 283 , 2011 , 4 p. Consulter le document sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/index.php/publications/Bref/Le-diplome-un-atout-gagnant-pour-les-jeunes-face-a-la-crise
BUYCK Catherine. - Jeunes diplômés : l'accès au marché de l'emploi reste difficile, malgré une
amélioration de la situation (Pierre Lamblin, Apec). - AEF, n° 146406, 04/03/2011 Consulter l'édition 2001 du Panel Apec entreprises sur le site de l'Apec. http://presse.apec.fr/Presse/Actualite-de-l-Apec/Panel-Apec-Entreprise-Edition-2011
MONCEL Nathalie. - Quels emplois pour les débutants diplômés du supérieur ? Une analyse de la qualité des emplois au cours des trois premières années de vie active de la Génération 2004. - Net.Doc , n° 67 , 2010, 26 p. Consulter le document sur le site du Céreq : http://www.cereq.fr/index.php/publications/Quels-emplois-pour-les-debutants-diplomes-du-superieur-Une-analyse-de-la-qualite-des-emplois-au-cours-des-trois-premieres-annees-de-vie-active-de-la-Generation-2004
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OCDE. - Des débuts qui comptent : des emplois pour les jeunes. - Paris : OCDE, 2010. - 176 p.
DHOQUOIS Anne. - Premier emploi : quand les jeunes racontent. - Paris : Autrement, 2010. - (Acteurs de la société). - 271 p. Apec, Collectif d’auteurs. – Un accompagnement nécessaire pour bien débuter sa vie professionnelle. - Paris : Apec, 2010. – 11 p. http://jd.apec.fr/Emploi-
stage/content/download/78257/488927/version/1/file/Cadres_debutants_sept_2010.pdf Apec, Collectif d'auteurs. - Les jeunes diplômés de 2009 : situation professionnelle en 2010. - Paris : APEC, 2010. – (Les études de l'emploi cadre). - 92 p. http://presse.apec.fr/Presse/content/download/65417/470647/version/1/file/Enqu%C3%AAte+JD+2010.pdf
Positive entreprise LANXADE Thibault/GRI Françoise. - Jeunes et entreprises : réussir la connexion. - Paris : Editea, 2008. - 172 p. LOPEZ Alberto. - Les modes de stabilisation en emploi en début de vie active. - Marseille : Céreq,
2004. - 45 p.
Céreq, Collectif d'auteurs. - Quand la carrière commence… Les sept premières années de la vie active de la génération 98. - Marseille : Céreq, 2007. – 115 p. Apec Collectif d'auteurs. - L'insertion professionnelle des jeunes diplômés. Promotion 2006. - Paris : APEC, 2008. - 75 p. Céreq. - Quand l'école est finie... Premiers pas dans la vie active de la génération 2004. -
Marseille : Céreq, 2008. - 86 p. Collectif d'auteurs. - Douze ans de vie active et quelles carrières ? Approche compréhensive des parcours professionnels dans quatre familles d'emploi. - Marseille : Céreq, 2007. - 223 p. Céreq, MANSUY Michèle. - L'influence du secteur du premier emploi sur la trajectoire
professionnelle. - Marseille : Céreq, 2004. – 43 p. - (Notes emploi formation, n° 10, mars 2004) Centre d’études et de recherche sur les qualifications
www.cereq.fr Apec
www.apec.fr
Insertion des diplômés de l’enseignement
supérieur Taux d'insertion professionnelle des étudiants par université et par discipline : première enquête
nationale d'insertion professionnelle des diplômés de master Ministère Enseignement supérieur Recherche/Céreq. - 15/10/2010 Consulter les résultats de l'étude d'insertion des diplômés de master sur le site du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pid24447/taux-insertion-professionnelle-des-etudiants.html
LOPEZ Alberto, HALLIER Pierre. - Comparer les universités au regard de l'insertion professionnelle de leurs étudiants : quelques simulations à partir des enquêtes « Génération ». - Marseille : Céreq, 2009, 29 p. (Net. Doc ; 54) Consulter le n° 54 de Net. Doc sur le site du Céreq www.cereq.fr/cereq/Net-Doc-54.pdf
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 48 -
BEAUPERE Nicolas, GIRET Jean-François. - Étudier l'insertion des étudiants : les enjeux
méthodologiques posés par le suivi de l'insertion des diplômes de l'enseignement supérieur au
niveau local, régional et national. - Marseille : Céreq, 2008 , 50 p. (Notes emploi formation ; 28). VINCENS Jean. - L'emploi des diplômés : la responsabilité des universités. - Toulouse : Lirhe, 2008. – (Note). - 18 p. GIRET Jean-François, MOLINARI-PERRIER Mickaële, MOULLET Stéphanie. - 2001-2004 : les
sortants de l'enseignement supérieur face au marché du travail. - Marseille : Céreq, 2006, 37 p. (Notes emploi formation). Collectif d'auteurs. - Parcours étudiants : de l'enseignement supérieur au marché du travail. - Marseille : Céreq, 2003, 86 p. http://www.univ-angers.fr/pagdiv.asp?ID=1276&langue=1
Insertion des apprentis et lycéens
CRUSSON Laure. - Les apprentis sortis du système scolaire en 2004 : 86 % des jeunes en emploi trois ans après la fin du contrat d'apprentissage. - Dares Analyses, n° 77, 01/11/2010. – 8 p. Consulter le n° 077 de Dares analyses sur le site du ministère du Travail. http://www.travail-solidarite.gouv.fr/etudes-recherche-statistiques-de,76/etudes-et-recherche,77/publications-dares,98/dares-analyses-dares-indicateurs,102/
Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance / JAGGERS Christophe/LEPREVOST Elodie. - Les apprentis en 2009 : une insertion professionnelle plus difficile. - Note d'information, 01/10/2010. – 6 p. Consulter le n° 10.15 de Note d'information sur le site du ministère de l'Éducation nationale. http://www.education.gouv.fr/pid270/les-notes-d-information.html Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance. - Insertion des apprentis et des
lycéens. Publications académiques régionales 2005-2006. - Paris : Ministère Enseignement Supérieur Recherche, 2008. - n.p.
Insertion des jeunes « sans diplôme »
et/ou « sans qualification » BEAUPERE Nathalie, BOUDESSEUL Gérard. ‐ Quitter l'université sans diplôme : quatre figures du
décrochage étudiant. - Bref, n° 265, 2009, 4 p. Consulter le n° 265 de Céreq Bref sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/pdf/b265.pdf Collectif d'auteurs. - Une formation qualifiante différée pour les jeunes non diplômés ? Un éclairage à partir du cheminement professionnel de jeunes sortis du système éducatif en 1998. - Marseille :
Céreq, 2008. - 136 p. Conseil de l'emploi des revenus et de la cohésion sociale. ‐ L'insertion des jeunes sans diplôme : un
devoir national. - Paris : La Documentation française, 2008. – (Rapport‐CERC). ‐ 113 p.
Consulter le document sur le site de la Documentation française.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/084000377/index.shtml GASQUET Céline. – Les jeunes « sans qualification » : un groupe hétérogène, des parcours
d’insertion divers. - Céreq Bref, n° 202, novembre 2003, 4 p. Consulter le site du Céreq. http://www.cereq.fr/pdf/b202.pdf
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La vie active
Zoom : Transitions Garf. - Sécurisation des parcours professionnels : de la formation vers une ingénierie des parcours. - Paris : Garf, 2010. - (Études du Garf). - 39 p. Apec, Collectif d’auteurs. – Le changement de métier chez les cadres : regards croisés cadres, entreprises et professionnels de l’accompagnement au changement. - Paris : Apec, 2010. – (Les
études de l'emploi cadre). - 43 p. http://jd.apec.fr/Emploi-stage/content/download/38409/142233/version/2/file/21046-
3ne8hwbmrmb.pdf
Céreq . - La flexicurité à l'aune de l'approche par les capacités. - Formation Emploi, n° 113,
01/01/2011. – pp. 3-109 Collectif d'auteurs. - Flexicurité, sécurisation des parcours professionnels et protection sociale. - La Revue de l'Ires, n° 63, 01/03/2010. – 192 p. SCOUARNEC Aline. - La prospective des métiers au service des transitions professionnelles : d'une
logique du subir à une logique du choisir. - Education permanente, n° 181, 01/12/2009. – pp. 35-45 Collectif d'auteurs. – Derrière les diplômes et certifications, les parcours de formation et leurs effets sur les parcours d'emploi : XVes journées d'étude sur les données longitudinales dans l'analyse du marché du travail.. - Marseille : Céreq, 2008. – (Relief, n° 24). - 476 p.
DENAVE Sophie . - Les conditions individuelles et collectives des ruptures professionnelles. - Université Lumière – Lyon 2, 2006. Commissariat général du plan. - Les mobilités professionnelles : de l'instabilité dans l'emploi à la
gestion des trajectoires. - Paris : La Documentation française, 2003. – 126 p. - (Qualifications et prospective)
Zoom : Salariés
DESCAMPS Renaud . - Les dépenses de formation des entreprises en 2009 : un effort en trompe-l'oeil. - Bref , n° 284 , 2011 , 4 p. Consulter le document sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/index.php/publications/Bref/Les-depenses-de-formation-des-entreprises-en-
2009-un-effort-en-trompe-l-oeil
PARMENTIER Christophe. - Encadrer et sécuriser les parcours professionnels : des outils pour accompagner les salariés. - Paris : Dunod, 2011. - (Fonctions de l'entreprise. Ressources humaines). - 213 p.
ROUILLEAULT Henri. - L'emploi au sortir de la récession : renforcer l'accompagnement des
transitions professionnelles. - Paris : Ministère Travail Emploi Santé, 2010. - - 215 p. Consulter le rapport sur le site de La documentation française. http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/114000045/index.shtml BRUYERE Mireille/LIZE Laurence. - Emploi et sécurité des trajectoires professionnelles : la nature de l'emploi détermine la sécurité des parcours professionnels. - Économie et Statistique, 01/10/2010. – pp. 95-113
Consulter l'article sur le site de l'Insee : http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ES431F.pdf
3èmes Rencontres DARES CEREQ Inter CARIF OREF / Rouen 22/09/2011 / - 50 -
Conseil d'analyse économique ; LEMOINE Mathilde/WASMER Etienne. - Les mobilités des salariés. -
Paris : La Documentation française, 2010. - 243 p.
Consulter le rapport sur le site du Conseil d'analyse économique. http://www.cae.gouv.fr/spip.php?breve16 LHOTTE Christine/MERSON Caroline. - Formation professionnelle : organiser le départ en formation des salariés. - Liaisons sociales Numéro spécial, n° 15602, 30/04/2010. – pp. 7-97
MERIAUX Olivier. - Les parcours professionnels : définition, cadre et perspectives. - Education permanente, n° 181, 01/12/2009. – pp. 11-21 SCOUARNEC Aline. - La construction des parcours professionnels : enjeux et leviers d'action des entreprises. - Education permanente, n° 181, 01/12/2009. – pp. 57-64
MORIER Francis. - Le bilan de compétences : une clé pour les parcours professionnels. - Paris : Garf, 2010. - (Études du Garf). - 30 p.
Zoom : Contrats aidés FENDRICH Yannick. - L'insertion professionnelle des personnes sorties de contrat aidé en 2008 : un accès à l'emploi relativement peu affecté par la dégradation de la conjoncture. - Dares Analyses, n° 78, 01/11/2010. – 12 p. Consulter le n° 078 de Dares analyses sur le site du ministère du Travail.
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/etudes-recherche-statistiques-de,76/etudes-et-recherche,77/publications-dares,98/dares-analyses-dares-indicateurs,102/
Zoom : Demandeurs d’emploi Pôle emploi ; BONNET Anita/GAUMONT Sandra. - Enquête "sortants de formation" : plus de 60 % des bénéficiaires de formations financées par Pôle emploi sont en emploi six mois après la sortie de formation. - Reperes et analyses statistiques, n° 19, 01/12/2010. – 4 p. Consulter le n° 19 de Repères et analyses statistiques sur le site de Pôle emploi.
http://www.pole-emploi.org/communication/publications-@/communication/index.jspz?id=42954
Zoom : Intérim Direction des études et synthèses économiques ; BLASCO Sylvie/GIVORD Pierre. - Les trajectoires professionnelles en début de vie active : quel impact des contrats temporaires ? - Paris : Insee, 2010. - (Document de travail). - 32 p. Consulter le document sur le site de l'Insee. http://www.insee.fr/fr/publications-et-services/docs_doc_travail/g2010-07.pdf
Fonds d'assurance formation du travail temporaire (Faf-TT). - Les effets de la formation sur l'insertion professionnelle des intérimaires. - Paris : Faf-TT, 2009. - 111 p. Faf-TT ; Collectif d'auteurs. - Les effets de la formation sur l'insertion professionnelle des intérimaires. - Paris : Faf-TT, 2010. - (Études). - 95 p.
Faf-TT . - Les effets de la formation sur l'insertion professionnelle des intérimaires. Contrat de
professionnalisation, CDPI. - Paris : Faf-TT, 2008. - 55 p. FAF-TT. - Les effets de la formation sur l'insertion professionnelle des intérimaires. Le congé individuel de formation. - Paris : Faf-TT, 2008. - 35 p.
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Zoom : Vae DEGUERRY Nicolas. - 24e journées professionnelles de l'Anacfoc : trois exemples territoriaux de sécurisation professionnelle. - Le Quotidien de la formation, n° 1536, 24/05/2011
Accéder au site de l'Anacfoc. http://www.anacfoc.fr/?p=830 LABRUYERE Chantal. - La validation des acquis de l'expérience (VAE), un outil pour sécuriser les trajectoires. - Breves du Cereq, n° 5, 01/02/2009. – En savoir plus sur le site du Céreq. http://www.cereq.fr/editorialvae.htm
CAZAUTETS Emilie/GARCIA Alice. - Étude des effets de la VAE sur les parcours de vie professionnels. - Nantes : Reseau des universites de l'ouest atlantique, 2009. - 51 p. Gilles PINTE/Roseline LE SQUÈRE. - De la flexibilité à la sécurisation des parcours professionnels : l'outil VAE et les intérimaires. - Savoirs 4/2007 (Hors série), p. 81-93.
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Allongement de la vie active
SARAZIN Béatrice. - Allongement de la vie professionnelle : comment agir ? - Travail et Changement, n° 337, 01/05/2011. – 16 p. Consulter le n° 337 de Travail et changement sur le site de l'Anact.
http://www.anact.fr/portal/pls/portal/docs/1/7406376.PDF FOURNIER Christine . - Former les seniors, un objectif à reformuler. - Bref , n° 278 , 2010, 4 p. Consulter le n° 278 de Bref, intitulé : sur le site du Cereq. http://www.cereq.fr/index.php/publications/Former-les-seniors-un-objectif-a-reformuler
Collectif d’auteurs. – Les bonnes pratiques des entreprises en matière de maintien et de retour en
activité professionnelle des seniors: rapport d'études. - ARACT, 2009 Consulter l’étude sur le site de l’Aract. http://www.anact.fr/web/publications/NOTINMENU_affichage_document?p_thingIdToShow=6961420
Site du ministère du travail pour l’emploi des seniors.
www.travail-solidarite.gouv.fr/emploi-seniors/v2/
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