TABLE DES MATIERES

Bibliographie 3 1 – Le début de l'aventure 7 2 – Transcommunication 15 3 – Nature du milieu cosmique 27 4 – Le milieu cosmique selon la Tradition 33 5 – Le Prana. Vivre de Lumière 37 6 – Structure de l'être 43 7 – Les Plans Parallèles 55 8 – Courants telluriques et cosmiques 61 9 – Passages dimensionnels 7110 - l'Atlantide 7911 – Saint Germain 8712 – 42 années de recherches 9313 – Conditions pour la Pierre Philosophale 9714 – Le cycle opératoire 10315 – Mythologie grecque 10916 – Message de Nicodème 13317 – Cosmologie - 13718 - Trous noirs et matière noire 14319 – L'univers électrique 15120 – Vitesse de la lumière 15521 – Forces de l'univers 18122 – Fusion froide 19523 – Synchronicités 201

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24 – Changements 20525 – Pour un monde meilleur 20926 – Récapitulatif 21327 – Concordances 22328 – Clés pour l'Ascension 25729 – Collège Sacré 28130 – Remerciements 287Bibliographie 291

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INTRODUCTION  

J’ai toujours eu le sentiment de m’être incarné dans une dimension autre que celle à laquelle j’ai, de tous temps, aspiré. J’ai étudié la Science et ses applications multiples et j’ai compris qu’elles étaient, en fait, une infime partie de ce qui exista jadis et de ce qu’il était possible de redécouvrir. J’ai compris aussi qu’au lieu d’apporter le bien-être et le bonheur aux hommes, elles les avaient enchaînés et ancrés dans une dimension matérielle où l’élévation spirituelle et le retour vers les dimensions supérieures étaient devenus de plus en plus difficiles. Fort heureusement, depuis quelques années, nous recevons des messages, des informations sur la réalité de ce que nous sommes et la réalité de l’univers. Pourtant, nous sommes nombreux à rejeter ces informations : elles semblent tellement éloignées de ce que nous savons ! Combien de fois ai-je entendu la réponse : Si cela était vrai, nous le saurions depuis longtemps! Il faut beaucoup d’humilité pour comprendre que nous sommes loin de tout savoir et pour accepter d’examiner des idées qui semblent aller à l’encontre des connaissances acquises.

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Accès aux dimensions supérieures, terre creuse, modification de la grille magnétique terrestre, villes souterraines du réseau Agartha, énergie libre et gratuite en tout point de l’univers, mode de déplacement basé sur la modification de la masse et l’utilisation du champ subquantique, allongement substantiel de la durée de la vie, voici de nombreux sujets abordés dans les écrits de nos Frères de l’espace. Ils le sont avec beaucoup de hauteur et une connaissance que les voiles de l’oubli ne nous permettent pas de reconnaître. Que de scepticisme j’ai rencontré en abordant de telles possibilités ! Et pourtant, des scientifiques commencent à reconnaître l’énergie du vide qu’évoque Kryeon en ses ouvrages. Certains commencent à reconnaître la possibilité de l’existence de plusieurs plans de différentes fréquences. Science et Tradition constituent deux pôles d’attraction avec de passionnantes zones d’exploration. Jeter un pont entre l’une et l’autre, constitue le but de cet ouvrage. Il ouvre au lecteur des possibilités de compréhension scientifique sur des aspects de la Tradition et sur certaines affirmations de nos Amis qui tentent de nous aider à prendre un peu de hauteur. Il serait vraiment dommage de manquer le rendez-vous qui nous est proposé. J’ai essayé de rendre accessibles des questions scientifiques qui pourraient paraître de

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compréhension difficile. Mais si l’effort est nécessaire, il mérite d’être accompli. Comprendre ce qu’avancent nos Amis par une approche scientifique, permet d’acquérir la conviction de la réalité de leur message et l’importance qu’il revêt.

Changer de dimension, correspond à un changement de fréquence qui se produit sous l’action combinée de certaines énergies cosmiques et telluriques. Vous puiserez au travers de ce livre, la compréhension du phénomène. Elle vous permettra d’acquérir la sérénité et le lâcher-prise nécessaire, le jour où l’aventure se produira.

Aborder la Sainte Science permet de comprendre les bases d’une science millénaire qui pourrait avoir un rôle à jouer dans les temps futurs. Soria et Kryeon nous parlent de la possibilité de prolonger la durée de notre vie. Les Alchimistes ont toujours évoqué cette possibilité, même si elle fut réservée à ceux qui finalisèrent leurs recherches et réussirent à atteindre le but.

Quant au message de nos Frères qui surent conserver leurs traditions et leurs connaissances ancestrales, il constitue un tremplin vers la cinquième dimension. Écoutez leur sagesse et, surtout, mettez-la en application dans votre vie

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quotidienne. J’espère que nous serons nombreux à réussir le passage et qu’ensemble, le temps du test écoulé, nous serons à même, avec l’aide de nos Frères et S?urs de l'espace, de construire une autre civilisation qui apportera, enfin, le bonheur, la joie et la compréhension de ce que nous sommes tous, sans distinction : des enfants du soleil, dans la lumière de Vie.

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CHAPITRE 1

Le début de l'aventure.

Ce livre n’aurait jamais vu le jour si le voyage vers un autre plan de l’univers ne nous avait été proposé.

J’avais un ami. Il s’appelait Jean. Durant plus de dix années, nous nous sommes rencontrés une ou deux fois par semaine pour discuter de sujets inhabituels. Jean était passionné par le monde de l’étrange. Il avait eu l’occasion d'étudier auprès d'un professeur de physique, ancien élève de Madame Curie, qui professait que notre monde est beaucoup plus étrange que nous ne le soupçonnons a priori. Le professeur Rameau de Saint Sauveur parlait de mondes parallèles, de portes de passage d’un monde à un autre. Il parlait de mondes antimatière, d’extraterrestres et de leurs engins qu’il appelait vihmnas, et encore de bien d’autres sujets liés à la tradition, comme l’alchimie ou la science des druides... Et Jean, qui avait été l’élève de ce professeur, était intarissable sur ces sujets et sur beaucoup d’autres liés à l’histoire des civilisations et des religions. Il faisait ma joie de ces soirées que nous passions ensemble. Longtemps, nous avons essayé de percer de grands secrets.

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Un jour, Jean arriva à la maison avec, entre les mains, une étrange boîte. Il me déclara, d’un air bien mystérieux : À l’intérieur se trouve l’émeraude des philosophes ! Je découvris un sel vert que je reconnus immédiatement. Jean fut étonné que je perce si vite son secret. Et ce fut le point de départ d’une longue démarche que nous parcourûmes ensemble dans notre quête commune pour découvrir le grand secret des alchimistes. Dix années plus tard, nous convenions que le sel vert, présenté jadis comme l’émeraude, n’était pas le véritable sel des philosophes. Mais Jean, par son geste, m’avait permis de prendre conscience que l’alchimie était une science aussi concrète que notre physique et notre chimie. Avant ce jour, j’avais participé à des conférences sur l’alchimie et, à chacune d’elles, j’avais eu le sentiment que cette science était bien étrange et sans réalité concrète. Jean m’avait permis de changer d’opinion.

Aujourd’hui, il est parti vers cet autre plan dont il essayait de percer les mystères. Il était encore jeune, mais sans doute avait-il terminé sa mission ici-bas et était-il temps pour lui d’?uvrer avec des outils nouveaux, depuis d’autres lieux...

J’ai aussi une amie qui s’appelle Marie. Je la connus en même temps que Jean, il y a plus de

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quarante années. Elle fait partie de ces êtres étranges, doués de ce qu’il est convenu d’appeler des dons médiumniques et se trouve confrontée à la réalité de plusieurs plans, ce plan physique et matériel qui est le seul que la plupart des mortels, dont je fais partie, peuvent appréhender, et un monde astral et spirituel qui dispose de ses propres lois, différentes de notre monde, mais certainement tout aussi réelles, comme elle essaie de nous le faire comprendre.

Elle avait une maman qui s’appelait Rose. Elles étaient très attachées l’une à l’autre et ce fut un déchirement lorsque Rose, à la suite d’une longue et douloureuse maladie, partit pour l’autre monde. Elle précéda Jean de quelques années et retrouva certainement celui-ci avec beaucoup de plaisir, car ils se connaissaient depuis longtemps.

Marie est mariée et partage sa vie avec René qui devint mon ami. Je reconnais à René ses qualités humaines et son amour pour tout ce qui vit. Ils forment tous deux un couple rare et j’apprécie de discuter avec eux de sujets particuliers, comme j’avais l’occasion de le faire quand Jean était encore là.

Un jour, Marie me demanda s’il m’était

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possible de leur rendre visite. Elle avait, me disait-elle, des informations à me transmettre. Je ne fus guère surpris quand elle me conta avoir été contactée psychiquement par trois personnages qui semblaient bien informés des travaux et des recherches que nous effectuions. Sachant qu’il n’est guère prudent de prêter crédit à n’importe qui, même doué de capacités psychiques et capable de contacter un médium, elle demanda d’avoir des informations précises. Satisfaction lui fut donnée et ceux-ci lui permirent de connaître une facette de leur identité par l’intermédiaire de trois personnages qu’ils avaient été dans l’histoire des religions et de l’ésotérisme.

Nous avons convenu, cependant, que ce n’était pas suffisant et qu’il était prudent d’attendre et de voir venir. À espaces de temps plus ou moins réguliers, Marie recevait des conseils sur les travaux que nous avions entrepris et nous pouvions en constater la pertinence. Parfois, même des preuves concrètes et matérielles nous étaient données et nous pouvions progresser comme jamais nous n’avions pu le faire précédemment.

Marie avait appris à mieux connaître les trois personnages et elle connaissait même leur visage. Puis, un jour, c’était au printemps de la dernière

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année de ce deuxième millénaire, Marie ou René, je ne sais plus lequel, m’appela à nouveau au téléphone et me demanda de leur rendre visite. Ils avaient du nouveau !

Marie me raconta qu’elle s’était retrouvée, alors qu’elle méditait, dans un lieu, plus exactement une salle, probablement située sur un autre plan. Dans la partie centrale de cette salle se trouvait une grande table autour de laquelle étaient disposés de confortables sièges. À sa grande surprise, elle découvrit, me dit-elle, assis autour de cette table, sa maman et Jean à son côté. Tous deux semblaient beaucoup plus jeunes qu’à leur départ de notre monde. Un élan irrésistible poussait Marie vers eux, mais quelque chose d’autre la retenait. Elle prit alors conscience que trois autres personnes étaient assises autour de la table et reconnut en eux les êtres qui l’avaient contactée voici quelques années et qui lui transmettaient de temps à autre leurs messages. L’un d’eux prit la parole et dit à Marie : Rose et Jean nous ont convaincus de vous proposer une expérience particulière. Nous avons accepté et vous faisons la proposition suivante :

Vous constituerez un groupe de plusieurs personnes. Ensemble vous formerez un atelier de recherche et de travail. Votre objectif sera, en

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travaillant sur des thèmes particuliers que nous allons vous donner, d’améliorer votre conception de l’univers et votre harmonisation réciproque. Si vous travaillez de façon régulière et assidue, vous pouvez espérer rejoindre et connaître le plan duquel nous vous parlons et que nous appelons plan neutre. Nous vous proposons aussi, afin de pouvoir communiquer avec nous de travailler ensemble sur les problèmes de transcommunication.

Imaginez mon étonnement quand Marie me fit part de cette proposition. Certes, je travaillais depuis longtemps sur certains des sujets proposés, mais je n’avais aucune idée de ce que pouvait être le plan neutre. L’aventure était pourtant attrayante et le souvenir de Jean qui se passionnait tant pour les portes de passage d’un plan à un autre, était si vivace en mon esprit qu’il m’était difficile de refuser. Une aventure incroyable et un peu folle commençait !

Celle-ci allait me faire découvrir une impensable structure de l’univers que j’aurais eu beaucoup de difficulté à accepter si nos Frères de l’espace n’avaient confirmé qu’elle était celle de toutes les planètes et de toutes les étoiles. J’ai profité d’une aide bienveillante et de suggestions lors de mes recherches. Mais il ne s’agit, d’aucune

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manière, de textes transmis par une voix qui se serait mise à résonner au centre de ma tête. Ma démarche demeure scientifique, même si les aventures que je relate sont empreintes d’événements exceptionnels. Ce que j’écris permettra à des lecteurs d’acquérir la conviction que tout ce qu’ils pensaient être de beaux romans, est tout à fait réel. Ce que nous racontent nos Frères et S?urs de l’espace ou de l’intramonde, Kryeon, Soria, Adama et Mikos dispose d’une base scientifique qui est à notre portée et que vous serez en mesure de comprendre en parcourant ces pages.

 

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CHAPITRE 2

Trancommunication.

Il nous fallait d’abord apprendre ce qu’était la transcommunication. Pour cela, nous avons cherché dans la littérature, les livres qui traitent de ce sujet. Nous en avons trouvé un, de François Brune et Rémy Chauvin, qui a pour titre « En direct de l’au-delà ». Nous avons appris que, sous le terme générique de transcommunication, on entend toutes les techniques visant à communiquer avec les personnes décédées ou des personnes demeurant sur d’autres plans. Pour cela, les chercheurs dans ce domaine sont passés, depuis des siècles, par l’intermédiaire de médiums, ou ils ont fait tourner les tables. Mais, depuis quelque temps, s’est développée ce que les auteurs appellent la transcommunication instrumentale ou TCI, c’est-à-dire la communication par le moyen des instruments et en particulier le magnétophone. Cette technique offre l’énorme avantage de laisser une trace de la communication, évite au maximum les fraudes, ou tout au moins, permet de les déjouer facilement.

La méthodologie suivie au cours des expériences ne nous semblait guère compliquée. Il nous suffisait de disposer d’un magnétophone

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équipé d’une bande vierge et d’un dispositif de production de bruit de fond. Ce bruit de fond est indispensable et sert, selon les informations que nous avions recueillies, de support aux voix de l’au-delà. Ce bruit peut être émis par une radio, de préférence en langue étrangère, ou par un second magnétophone équipé d’une bande enregistrée.

À la fin de la lecture du livre de Brune et Chauvin nous étions plutôt sur l’expectative car, si la réalité du phénomène ne semblait laisser aucun doute, nous doutions de la réelle possibilité d’un vrai dialogue avec nos amis du plan neutre. L’avenir allait nous donner raison, mais ce fut cependant le point de départ de l’aventure.

Nous sommes trois, Marie, René et moi-même lors de la première séance. Après les enregistrements, nous tendons l’oreille, lors de la réécoute, pour percevoir entre les sons en langue étrangère, des mots ou des phrases, en français, qui ont pu s’enregistrer. Ce premier essai est un réel succès, car nous entendons parfaitement, tous les trois, et sans la moindre ambiguïté les paroles suivantes : «...pénétrer seuls dans l’alliance... montrer le chemin... ». Certes, nous ne comprenons pas exactement leur sens, mais nous sommes cependant incroyablement étonnés d’avoir, dès la

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première séance, obtenu un résultat que beaucoup n’obtiennent, paraît-il, qu’après de longs et multiples essais.

Forts de ce premier résultat, nous décidons d’expliquer notre aventure à des amis communs et nous leur proposons, de se joindre à notre groupe, s’ils le désirent. Ils acceptent et participent avec nous à d’autres essais. Nous sommes cinq, durant plusieurs semaines à pratiquer la TCI. Nous obtenons les mêmes résultats partiels, mais sans jamais pouvoir établir un vrai dialogue, ni comprendre ce qui nous est vraiment demandé.

Je vous l’ai dit, Marie est médium ! Elle a pourtant toujours refusé d’utiliser ses dons pour des communications avec l’au-delà. Elle a participé, dans le passé, à d’autres expériences qui nécessitent sa mise dans un état de conscience particulier. Mais à chacune de ces séances, elle est sortie fatiguée. Rien ne l’encourage donc à proposer ce genre d’expérience. Elle se contente de subir sa médiumnité et de recevoir, sans les provoquer, les messages de ceux qui, de l’au-delà ou d’autres plans, veulent bien s’adresser à elle. Or, au cours de l’une des séances de TCI, Marie nous dit : « Il faut que vous passiez par mon intermédiaire pour communiquer avec les personnes qui nous ont

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proposé l’expérience. Je ne suis pas tout à fait d’accord, mais j’accepte néanmoins que nous procédions temporairement de cette façon. »

Après la séance de relaxation nécessaire au passage de Marie dans l’état particulier qui lui permet de prêter sa voix à d’autres entités, nous attendons une manifestation avec, pour certains, quelques angoisses. René est habitué à la médiumnité de son épouse. Mais pour nos autres amis, comme pour moi-même, c’est la première fois que nous participons à une telle expérience. Et soudain, la voix de Marie parvient à nos oreilles. Mais ce qui est exprimé ne peut venir d’elle. Nous le savons immédiatement. Nous posons des questions et il nous est répondu clairement, sans hésitation et d’une façon parfaitement cohérente, dans des domaines que Marie ne peut connaître.

Nous demandons que nous soit répété le message que nous avons partiellement enregistré lors de la première séance de TCI. Il nous est répondu immédiatement : « Vous ne pouvez pénétrer seuls dans l’Alliance. Seuls des guides avisés peuvent vous montrer le chemin ». Puis la voix précise : « Il ne s’agit pas spécialement de copier l’expérience qui a été faite précédemment par d’autres groupes. Votre expérience se situe à un

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niveau différent et aucune preuve cachée ne vous sera refusée ».

Le plan neutre ne représente rien pour nous, aussi sommes-nous impatients d’avoir des informations sur les caractéristiques de ce plan. Voici la réponse qui nous est donnée :

« Le plan neutre peut être compris comme un univers intermédiaire. Il procède de la nature de tous les autres univers et en même temps est différent. C’est là un concept difficile pour vous. Vous devez faire un effort de compréhension pour aborder ce qui n’est pas de votre monde. »

J’insiste et demande plus de précisions : « Est-ce que ce monde neutre est bien un monde intermédiaire entre ce monde matériel sur lequel nous sommes et le monde sur lequel nous irons à notre mort ? » . Il nous est répondu :

« Il ne peut pas être exactement défini comme intermédiaire, mais réellement plan neutre, car dans le sens où la question vient d’être formulée, il est intermédiaire d’autres types d’univers que vous ne connaissez pas encore. »

Puis, sans que nous ayons posé d’autres questions, la voix nous précise :

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« Il existe, pour avoir accès à ce plan neutre, des portes induites 

 dans votre monde. Il y a des portes fixes et des portes dites éphémères qui ne s’ouvrent qu’à certains moments, lors de certaines conjonctions. Les portes fixes sont situées dans ce que vous appelez des hauts lieux. Les portent éphémères se déplacent à la surface de la terre, dans la terre, dans l’atmosphère de la terre. »

Je demande alors : « Est-il nécessaire d’acquérir un niveau de réalisation pour passer sur ce plan neutre ? ». La réponse vient immédiatement :

« Les humains non réalisés peuvent passer dans ce plan neutre. Cela ne requiert pas spécialement un niveau de réalisation, mais un niveau de conscience et de responsabilité important. »

Pris par notre émotion, nous oublions de demander le nom de la personne qui s’adresse à nous. Nous nous promettons de corriger cet oubli lors de la prochaine séance qui doit avoir lieu la semaine suivante.

Le jour venu, nous sommes tous convaincus

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d’entendre le nom de l’un des trois personnages qui communiquent habituellement avec Marie et dont nous connaissons parfaitement les noms. Mais notre surprise est grande quand, après avoir demandé : « Pouvez-vous nous dire votre nom ? », nous entendons un nom qui nous est totalement inconnu. Nous demandons immédiatement si la personne qui s’adresse à nous est en relation avec les trois personnages que nous connaissons. Il nous est répondu : « Nous travaillons en harmonie ».

Nous comprendrons par la suite que cette entité a une connaissance particulière sur les différents plans de l’univers, sur les portes de passage et assume certainement une responsabilité sur les expériences en cours, alors que les trois autres personnes sont plutôt liées au domaine que nous avons l’habitude d’appeler traditionnel et ésotérique.

Anhydriss, puisque c’est le nom sous lequel elle se présente, répond à notre demande quand nous lui demandons de préciser ce qui est attendu de nous :

« Votre rôle est, et sera, de donner une forme perceptible au plus grand nombre, de cette science dont la transcommunication est un élément. Il s’agit

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en fait d’ouvrir et d’accomplir régulièrement l’échange et la communication entre différents plans de l’univers. Cela est une nécessité aujourd’hui. Elle deviendra usuelle dans le futur. Votre rôle, puisque c’est la question qui vous préoccupe, est de contribuer, en vivant cette expérience, en la gardant en mémoire, à ce que d’autres puissent emprunter ce chemin. »

Lors de la séance précédente, il nous a été parlé de preuves cachées et nous souhaitons en savoir plus à ce sujet.

Nous demandons à Anhydriss de bien vouloir nous donner des précisions qu’elle donne aussitôt :

« Des preuves vous seront données régulièrement sous différentes formes : sous forme de messages, sous forme d’écrits, sous forme d’expériences, sous forme de synchronicités dans vos vies. Il vous appartient dès maintenant d’être attentifs à cet ensemble de signes ».

Les portes de passage et les hauts lieux, en relation avec ces portes, qui ont été évoqués lors de la séance précédente, nous intriguent et nous souhaitons des précisions. Chaque fois, des réponses précises nous sont données. Puis nous demandons si les lieux de pèlerinage sont en général

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des hauts lieux ? Voici la réponse qui nous est faite par Anhydriss :

« Certains d’entre eux, oui. D’autres ne répondent pas totalement à cette appellation. Pour qu’un lieu mérite le nom de haut lieu, il faut qu’il y ait, en ce point précis, rencontre entre un ensemble d’énergies, certaines de nature terrestre, dites telluriques, d’autres de nature cosmique, ainsi que d’autres énergies encore. Ces points de rencontre sont comme les points d’acupuncture. Vous le savez déjà, les pyramides d’Égypte ont ces hauts lieux, certaines cathédrales, certains temples, certains lieux dans la jungle, certains lieux sur des montagnes élevées, d’autres lieux sous terre, dans des grottes. Les anciennes civilisations savaient identifier ces lieux. »

Anhydriss parle aussi de l’Atlantide, mais nous reprendrons ses paroles lorsque nous évoquerons plus tard ce grand continent disparu sous les flots. Après nous avoir recommandé de la régularité dans l’expérimentation de la TCI et précisé que notre technique était déjà satisfaisante, Anhydriss nous informe que le temps qui lui est imparti est terminé et qu’une autre entité désire s’adresser à nous.

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Celle-ci se présente et nous avons la joie d’entendre le nom de l’une des trois personnes que nous commençons à bien connaître et qui nous transmet, par l’intermédiaire de Marie, des messages fort utiles pour l’avancement de nos travaux. Je ne rapporterai pas tout de suite le dialogue qui fut le nôtre, car il concerne exclusivement l’alchimie et j’évoquerai cet entretien, dans un autre ouvrage.

Anhydriss nous avait fait comprendre, au cours de ce second dialogue, ce qui était attendu de nous : nous devons être des pionniers, des découvreurs. Christophe Colomb avait ouvert la voie vers le Nouveau Monde, nous, nous devions découvrir le plan neutre, en tracer la route, pour que d’autres puissent emprunter le même chemin. Mais nous n’avions aucune conscience des tempêtes qui nous guettaient. Le voyage serait-il long ? Malgré toutes les précisions qui nous avaient été fournies, le chemin demeurait aussi vague pour nous que l’Amérique, pour Christophe Colomb.

Les premières difficultés ne tardèrent pas à arriver. Nous avions demandé à quel moment il serait souhaitable d’adjoindre d’autres personnes à notre groupe. Il nous avait été répondu que nous étions libres de décider des différentes phases de

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progression et que nous devions apprendre à agir en harmonie avec nos aspirations. D’un commun accord, nous avions donc décidé de proposer à d’autres amis de nous rejoindre. Nous nous connaissions depuis un certain nombre d’années et nous savions qu’ils se passionnaient aussi pour les questions scientifiques et ésotériques. Mais, parfaitement lucides et prudents, ils demandèrent à réfléchir. Ils participèrent avec nous à une séance de TCI qui, je dois l’avouer, ne fut pas une réussite. Néanmoins, ils décidèrent de se joindre à nous. Nous étions sept, le groupe AVALON était né ! Mais cela ne facilitait pas les choses, car les réunions devenaient plus difficiles. Chacun avait ses occupations professionnelles et la période des vacances se profilait à l’horizon.

Quelques réunions de TCI eurent lieu à nouveau, mais sans réel progrès. Les séances étaient épuisantes et nous ne voyions pas très bien où tout cela pouvait nous mener. Marie nous rappela alors qu’il nous avait été demandé de travailler sur différents sujets dont la matière, l’antimatière et l’Alchimie et qu’il fallait certainement aborder ces questions si nous voulions progresser.

Elle avait raison, même si elle et René se retiraient du groupe. Nous allions mettre par écrit le

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fruit de nos recherches. Il fallait le formuler pour que d’autres, derrière nous, puissent l’utiliser et que le chemin soit, pour eux, largement défriché. Voici donc, dans les chapitres qui suivent ce que j’ai, pour ma part, compris des sujets qui étaient ma spécialité, mais dont jamais je n’aurais pu imaginer la profondeur, sans l’aide de nos Amis du plan neutre.

J’aborderai la structure du milieu cosmique et la gravitation, les courants telluriques et les portes de passage. Je parlerai aussi de l’Atlantide. Il pourrait sembler que ces sujets n’ont pas de liens entre eux. Ils forment cependant un enchaînement indispensable à la compréhension de l’existence d’autres plans et la façon dont il est possible de s’y rendre.

La connaissance de la structure du milieu cosmique et du fonctionnement de la gravitation sont indispensables pour comprendre la formation des planètes, des étoiles et de l’univers. L’homme, ce microcosme, reflet du macrocosme, deviendra compréhensible dans ses structures les plus intimes. Et cette compréhension de la nature de ce que nous sommes nous permettra d’appréhender un certain nombre de phénomènes qui nous attendent lorsque la cinquième dimension se présentera à notre

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porte...

CHAPITRE 3

Nature du milieu cosmique

Je m’intéresse depuis longtemps au monde de l’étrange, mais je sais que ce qui semble aujourd’hui étrange et mystérieux, paraîtra demain acceptable et normal. Rappelez-vous, l’homme ne devait jamais dépasser les cent kilomètres à l’heure !

Le professeur Rameau de Saint Sauveur, qui fut l’élève de Madame Curie, professait qu’il existe des terres jumelles à notre terre et un plan neutre... Pourquoi pas, mais avant d’accepter cette hypothèse, il me fallait comprendre la possibilité théorique de cette construction de l’univers. C’est la raison pour laquelle j’ai, depuis de nombreuses années, étudié la matière et l’antimatière, en tenant compte de ce que nous révèle la Tradition, mais sans jamais m’éloigner de la logique et de la rigueur scientifique. L’expérience doit confirmer les

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théories !

J’ai étudié les sciences, et la physique m’a toujours passionné. Mais je suis resté lucide sur ce qui m’était enseigné et depuis longtemps Montaigne m’avait appris que mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine.

La physique des quanta ! Bien sûr, que je l’ai apprise ! Notre univers est construit sur la base de quatre forces fondamentales et il me fallait bien apprendre ce que notre science pouvait expliquer de ces forces, la gravitation en particulier. Sans elle, nous n’existerions pas et elle régit notre vie quotidienne. C’est une force attractive qui s’exerce entre toutes les particules de notre univers matériel. C’est à cause d’elle que la terre tourne autour du soleil et qu’il est impossible à la lune de prendre la tangente pour s’évader au loin. C’est à cause d’elle que les gouttes de pluie tombent vers le sol et qu’une pomme est venue interrompre la sieste de Monsieur Newton, lui inspirant la théorie de l’attraction universelle.

Mais qu’elle est l’origine de cette force ?

Selon la théorie des quanta, chaque force fondamentale a pour origine une particule. La force de gravitation serait consécutive à l’émission, par

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tout corps matériel, de particules appelées gravitons, de masse voisine de zéro, dont le spin impair provoquerait une attraction. Je suis joueur de pétanque et je n’ai jamais vu, quelque mouvement que je puisse donner à la boule, que celle-ci soit capable de provoquer une attraction sur les autres boules. Il y a là quelque chose qui heurte mon bon sens. Et je sais que les physiciens n’ont jamais réussi à détecter ces fameux gravitons. De plus, malgré tous les efforts qu’ils ont déployés, ils n’ont pu réussir l’unification des quatre forces fondamentales.

J’ai appris aussi les théories de la relativité : l’univers serait vide et la gravitation serait une conséquence des courbures de l’espace. Là encore, il y a pour moi une véritable contradiction. Comment le néant peut-il avoir des courbures ? Cette affirmation, si elle satisfait un mathématicien dans l’abstrait, peut difficilement me satisfaire. De plus, quand je demande comment la matière arrive à déformer les géodésiques de l’espace-temps, personne n’est en mesure de me répondre. Il me fallut de nombreuses années et de multiples recherches pour arriver à comprendre que l’espace n’est pas vide. Devant les résultats de l’expérimentation, certains physiciens sont arrivés à la conclusion qu’il contient de l’énergie. Mais ils

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parlent de l’énergie du vide et maintiennent toujours une évidente contradiction. Force est de constater qu’après un siècle de relativisme, il est impossible à la physique de faire un retour en arrière.

C’est pourtant ce qu’il m’a fallu faire pour comprendre que notre univers n’est pas vide et que, même s’il est parcouru par de nombreuses particules, il existe un substratum de base, au-dessous du niveau des quanta. Comprendre aussi que cet éther, dont on nia l’existence durant un siècle, existe bien. Et ce n’est pas parce qu’on l’appelle dorénavant champ subquantique, que cela change quoi que ce soit à la nature des choses. Ce qui compte, c’est la structure de cet éther ou de ce champ.

Et si nous comprenons que ce champ est constitué d’infimes particules ayant une charge électrique négative, constituant un substratum élastique, alors nous pouvons comprendre qu’il est à l’origine de la force de gravitation. Et j’irai même plus loin, qu’il est à l’origine des quatre forces fondamentales et même d’une autre force, qui participe à l’expansion de l’univers.

Mais je n’écris pas pour les physiciens, même si ceux-ci peuvent, à travers cet écrit, trouver des

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axes de recherches bien utiles pour l’avancement de la connaissance scientifique. J’écris pour les aventureux, ceux qui sont prêts à ne rien nier et à faire l’effort intellectuel nécessaire pour comprendre que notre monde est beaucoup plus merveilleux qu’il n’y paraît, que ces autres plans matière et ce plan neutre sont peut-être des réalités aussi concrètes que le plan sur lequel nous vivons... Et qu’il est possible d’aller voir.

J’insiste énormément et je me répéterai probablement souvent, car la parfaite connaissance de ce que j’appellerai dorénavant champ subquantique ou champ tout court, sa structure avec d’infimes particules de charge électrique négative constituant un milieu élastique, est fondamentale pour la compréhension, non seulement de la possible existence d’autres plans matière et d’un plan neutre, mais aussi et surtout des moyens qui permettent d’atteindre ces plans.

Je vous expliquerai dans un prochain chapitre les erreurs des théories de la relativité et comment il est possible de dépasser la vitesse de la lumière, grâce à la connaissance de ce milieu et de sa nature .

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CHAPITRE 4

Le milieu cosmique selon la tradition.

J’ai abordé jusque-là le milieu cosmique du point de vue de la science. Peut-être serait-il bon d’évoquer ce champ, constitué de petites particules vibrantes, du point de vue de la tradition. Sans doute avez-vous déjà entendu parler du prana, du nouss ou du khi de certaines traditions orientales, du douat des Égyptiens ? Il est, en effet, possible de considérer l’éther, le champ subquantique ou le milieu cosmique comme des termes équivalents qui se rapportent au même sujet.

Ce milieu est une sorte de fluide énergétique, une énergie partout active et présente. Elle serait à la base de toute vie humaine. Voici comment Hippocrate la définissait. Vous pourrez constater combien je suis proche des idées que développait ce grand philosophe : « Les corps des hommes et de tous les animaux se nourrissent de trois sortes de choses : d’aliments, de boissons et de force vitale. La force vitale se nomme souffle vital dans les corps et hors des corps. Elle est la plus puissante force de cohésion et d’action de tout ce qui existe. Ce pendant, elle est invisible à l’?il, seul le raisonnement peut la concevoir. Elle n’est absente

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de rien, on la retrouve dans tout. L’intervalle immense qui sépare la terre du ciel est rempli d’énergie vitale éthérée. C’est elle qui anime et fait se mouvoir le soleil, la lune et les astres. Elle est l’aliment du feu. L’eau de la mer aussi en contient, car, sans elle, les animaux aquatiques ne pourraient pas vivre. J’ajoute qu’elle donne la vie aux hommes et qu’elle établit les défenses naturelles dans les maladies. »

Dans La Sagesse Antique écrit en 1925 par Annie BESANT, il existe un appendice sur la chimie occulte. Je vous en transmets des extraits en rapport avec le sujet de mon étude :

« Pendant ces dernières années, de fréquentes discussions se sont élevées, entre hommes de science, sur la question de la genèse des éléments chimiques ainsi que sur celle de l’existence et de la constitution de l’éther. Le seul appareil de recherches infinitésimales que les savants possèdent est bien loin d’atteindre aux con fins de l’éther et nul parmi eux n’oserait, semble-t-il, envisager la possibilité d’examiner l’atome chimique. À l’égard de l’éther, les spéculations abondent et les observations manquent faute, bien entendu, de moyens pouvant rendre l’observation possible.

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Or l’homme possède des sens qui peuvent être rendus actifs par voie d’évolution, et dont le développement permet d’observer des objets qui dépassent la limite de réceptivité des cinq sens ordinaires. Ces derniers nous transmettent certaines vibrations du monde physique, mais leur capacité réceptive est encore relativement restreinte, et des vibrations en nombre immense, d’un caractère cependant physique, les traversent sans les affecter. Les sens plus subtils et plus délicats du corps astral sont encore latents chez la plupart des gens de notre race, et ne peuvent conséquemment pas servir à l’usage général. Mais ils permettent d’effectuer des observations dans les régions supérieures du plan physique, et amènent dans le champ de la vision directe des objets qui, par leur petitesse ou leur subtilité, échappent à la vue ordinaire. Il semble qu’il vaille la peine de publier quelques observations faites à l’aide de ces sens, d’abord parce qu’il est possible qu’elles suggèrent des hypothèses pouvant servir à élucider certains problèmes scientifiques, ensuite parce que la science, dans sa marche rapide, ne tardera pas à aborder, pour son compte quelques-unes de ces questions.

L’Occultiste sait que l’éther succède au gaz, comme le gaz au liquide. Il sait en outre que le

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terme « éther » englobe quatre états différents, aussi distincts les uns des autres que le solide, le liquide et le gaz, et que tous les éléments chimiques ont ainsi quatre états éthériques, dont le plus subtil leur est commun à tous, car il ne laisse subsister que les ultimes atomes physiques auxquels tous les éléments se ramènent en dernière analyse.

Pour la vision astrale, l’éther devient une chose visible. Il est vu, pénétrant toutes les substances et enveloppant chacune de leurs particules. Un corps « solide » est un corps composé d’un nombre immense de particules suspendues dans l’éther et qui vibrent en tous sens avec une rapidité extrême.

Les observations décrites ont été répétées à plusieurs reprises. Elles ne sont pas l’?uvre d’un observateur unique, et nous croyons pouvoir les considérer comme exactes. »

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CHAPITRE 5

Le Prana. Vivre de Lumière.

L'énergie cosmique constituée de micro électrons, est appelée « prana » par les ésotéristes. Au fil des siècles, plusieurs techniques virent le jour afin de permettre la meilleure assimilation possible de cette énergie qui maintient la santé du corps physique.

Différentes approches furent tentées au sein de l'hindouisme qui considère le "prana" comme une réalité complexe à la fois physique et métaphysique, spirituelle et matérielle. C'est, selon cette doctrine, le principe de la vie manifesté dans le souffle qui apporte une nourriture au corps par la respiration.

Dans la doctrine du yoga, le prana serait l’énergie qui circulerait par les canaux subtils se trouvant à l'intérieur du corps physique, invisible à l'?il nu, indétectable par des appareils. Il pourrait être ressenti comme un fluide engendrant des sensations et émotions diverses.

Dans les contextes chinois et japonais, on parle de qi, de chi ou de ki pour désigner cette

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“substance universelle" qui serait à l’origine de toutes les formes énergétiques et se manifesterait à travers des fréquences particulières selon les différents plans d'existence.

André Van Lysebeth émit l'hypothèse que le prana correspondrait aux ions négatifs de l'air environnant. Selon lui, ce prana serait l'énergie électronique de l'air, donnant le sentiment vivifiant procuré par un souffle approfondi.

Mais la théorie pranique y voit une force vitale plus fondamentale, base de toute vie. Elle se rapproche beaucoup plus du résultat de mes travaux qui voit dans le prana, cette énergie cosmique constituée de micro-électrons, énergie que nous introduisons au sein de nos cellules par la respiration.

Nous verrons comment utiliser cette énergie en la concentrant dans une matière purifiée, pour en faire une médecine capable de redonner la jeunesse.

Dans l’air que nous respirons, il y a cette énergie dont nous n’avons aucune conscience. Elle nourrit non seulement notre corps de matière mais également nos corps subtils.

Jasmuheen fut la première à populariser à

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travers le monde la possibilité de vivre uniquement d'énergie pranique. Aujourd'hui plusieurs milliers de personnes suivent son exemple et vivent sans manger. Mais le processus de jeûne prolongé, nécessaire afin d'habituer le corps à une meilleure assimilation du prana n'est pas sans danger. Nous disposons d'un corps de matière qui vibre à la fréquence de la troisième dimension et il n'est pas recommandé de le priver des éléments qui le maintiennent à cette fréquence. Vivre uniquement de prana ou de lumière, comme l'expérimente Jasmuheen, n'est certainement pas adapté aux conditions de vie qui sont les nôtres. L'important est de se nourrir d'aliments de qualité, issus d'une terre exempte de pesticides et de produits chimiques.

Mes travaux m'ont amené à penser que nous sommes un ensemble de corps physique, éthérique et astral. Nous savons que le corps physique est constitué de matière. J'ai émis l'hypothèse que le corps astral serait constitué d'antimatière, en comparaison avec les étoiles dont j'ai été amenés à comprendre la structure. J'ai eu la surprise de découvrir la confirmation de cette hypothèse à la page 274 du tome 12 de Soria intitulé : « Messages d'âmes ». Soria sous-entend que notre âme est composée d'antimatière dans cette affirmation :

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"L'antimatière veut communiquer avec la matière et vice-versa. Votre âme veut donc communiquer avec votre corps".

Compte tenu des énergies opposées de l'âme-antimatière et du corps-matière un isolant est indispensable entre ces deux éléments. L'âme-antimatière doit être protégée du corps-matière. C'est le rôle du corps éthérique de servir d'isolant. La comparaison avec un condensateur permet de comprendre cette nécessité. Le condensateur est un composant électronique ou électrique constitué de deux armatures conductrices appelées « électrodes » séparées par un isolant polarisable, ou « diélectrique ». Sans cet élément il serait impossible de stocker des charges électriques opposées sur ses armatures. Aussi est-il possible de comprendre que, sans le corps éthérique, l'âme-antimatière ne pourrait venir expérimenter la matière. Et sans le prana qui renforce l'étanchéité entre les deux, le corps ne pourrait vivre bien longtemps.

Nous devons reconnaître l'importance de l'énergie pranique, ainsi que son rôle dans la longévité. Cette énergie parvient au c?ur de nos cellules, véhiculée par le sang. Elle est indispensable à la vie, au même titre que l'oxygène de l'air. Cette énergie est à la base du processus de

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l'ascension, lorsqu'elle est introduite en suffisante quantité au sein de notre corps. Le processus qui s'enclenche permet l'activation du thymus qui régit ensuite l'ouverture progressive des centres psychiques, préparant une vie dans des dimensions plus subtiles.

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CHAPITRE 6

Structure de l'être.

J’aborde maintenant le sujet le plus important de ma recherche, car il peut apporter l’explication ultime à bien des problèmes de l’existence et la réponse à nombre de nos questions essentielles.

Il existe chez certains peuples une tradition selon laquelle chaque être ou chose a un double et que, si un être ou une chose vient en contact, en présence de ce double, l’un et l’autre disparaissent dans un grand bruit. C’est exactement ce qui se produit entre la matière et l’antimatière mises en présence l’une de l’autre, en l’absence d’isolant suffisant. L’antimatière est à la base même de la connaissance de l’univers et de la survie de celui-ci. Il peut aussi être l’explication de nombreux phénomènes étudiés jusqu’alors du seul point de vue du symbolisme ou de la gnose, le fil conducteur de recherches et conclusions dans de nombreux domaines et sur de nombreux plans. La Science peut alors compléter la Tradition, au même titre que la Tradition peut apporter à la Science des axes de recherches tout à fait passionnants.

Dans un précédent ouvrage, je vous ai parlé

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de l’importance de l’antimatière pour l’univers. Nous allons maintenant comprendre son importance pour l’homme, dans ses propres structures.

Quand on me suggéra ces hypothèses, je ne compris et ne vis nullement la relation que l’antimatière pouvait avoir avec la structure de l’univers et encore moins avec la nature de l’être humain. À l’époque, je pensais que la matière et l’antimatière s’annihilaient.

Puis vint, l’explication rationnelle et scientifique de la coexistence de la matière et de l’antimatière, non en tant que particules, mais en tant qu’atomes et antiatomes parfaitement constitués. Je compris alors ce qui m’était suggéré, de façon voilée. Je compris aussi les révélations d’un homme étrange qui disposait d’une connaissance scientifique peu commune. Élève de madame Curie, auteur de nombreuses publications auprès de l’Académie des Sciences, le professeur Rameau de Saint Sauveur enseignait que notre monde est beaucoup plus complexe qu’il ne le paraît de prime abord. Il soutenait, en particulier, que plusieurs mondes parallèles, plusieurs planètes existent dans le même continuum-temps que notre Terre. Certaines de ces planètes, disait-il, sont constituées de matière, d’autres d’antimatière et la

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dernière est neutre.

La fréquence des particules, selon ce Professeur, est décalée dans chacun des mondes. Ils sont en déphasage les uns par rapport aux autres. C’est ce déphasage spatio-temporel qui fait que lorsque nous sommes sur l’une de ces planètes, il nous est absolument impossible de voir, sentir, toucher ou entendre les autres mondes parallèles dans lesquels nous sommes tous emboîtés.

Pour vous en donner une idée, disait-il, il vous suffit de songer aux émissions radio. Prenons pour exemple trois postes émetteurs pouvant tous être captés par un récepteur. Chacun d’eux a une longueur d’onde bien déterminée, soit une fréquence qui lui est propre. Un récepteur ne captera qu’un seul poste, une seule émission à la fois et, pour en capter une autre, il faut accorder la fréquence du poste d’émission que nous voulons capter. Sur les mondes parallèles, il en est de même. Sur la Terre, nous avons une fréquence qui nous est propre et nous ne sommes pas accordés à Adhama ou à tout autre monde parallèle. Il nous semble qu’aucune autre planète n’existe.

Un point particulier, disait-il encore, est à noter en ce qui concerne la planète neutre : elle n’a

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aucune polarité. Elle s’adapte aussi bien aux planètes positives que négatives. Sans ce monde neutre, la coexistence des mondes de matière et d’antimatière ne pourrait exister.

La structure de notre être serait-elle calquée sur le modèle de l’univers et sa composition nous permettrait-elle de comprendre un certain nombre de phénomènes étudiés jusqu’à ce jour du seul point de vue de la Tradition ?

Je vous propose d’examiner ce qu’enseignaient les occultistes du siècle passé. Pour eux, nous sommes constitués de plusieurs corps :

1 – Le corps grossier, dont les éléments sont empruntés aux trois subdivisions inférieures du plan physique, c’est-à-dire les solides, les liquides et les gaz.

2 – Le corps éthérique, qui remplit le rôle spécial d’intermédiaire, d’agent transformateur grâce auquel l’énergie vitale rayonnée par le soleil peut être adaptée à l’usage des particules plus grossières.

3 – Le corps astral, qui est un véhicule à l’usage de l’homme intérieur, véhicule organisé et capable de se maintenir indépendamment du corps

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physique, bien qu’en lui étant relié. Tout en conservant une grande plasticité, il dispose d’une forme habituelle à laquelle il revient invariablement. Par l’exercice de sa pensée consciemment dirigée, l’homme peut affecter profondément son corps astral et l’amener à son perfectionnement. Il forme, selon les occultistes, un objet admirable, lumineux et coloré. C’est, dans la pleine acception du terme, un véhicule de la conscience. Lorsque, dans cette enveloppe, l’homme quitte son corps physique, il n’éprouve aucune discontinuité dans son état de conscience. Il rejette simplement son vêtement le plus lourd et se trouve ainsi délivré d’un grand poids.

4 – Le corps mental, qui, lorsqu’il est développé, devient un objet rayonnant d’une gloire et d’une beauté suprêmes, « l’Être lumineux », comme il a parfois été nommé. C’est aussi le « corps spirituel » de saint Paul. C’est le «corps éternel » qui revêt des corps sur les plans astral et physique.

La croissance de ce corps est d’une lenteur extrême. Il est aussi appelé « corps causal », parce qu’il rassemble en lui les résultats de toutes les expériences et que ces résultats agissent comme causes, façonnant les existences futures. Ce corps

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causal est le seul corps permanent parmi tous ceux que l’homme emploie.

De ces quatre corps reconnus par les occultistes, nous pouvons tout de suite reconnaître les trois premiers comme des véhicules temporaires empruntés par la conscience qui s’exprime au travers du corps mental.

Je n’aborderai pas l’éveil de cette conscience du « Soi divin », du rayon de « Lumière Une » qui se sépare de sa source solaire et se transforme en un « Individu ». L’évolution de cette conscience participe à d’autres lois qu’il n’est guère possible d’évoquer en ce chapitre.

Je demeurerai donc au niveau de ces trois corps temporaires, physique, éthérique et astral. Est-il nécessaire de vous en préciser la nature et la composition ? Ne découle-t-elle pas de façon simple et logique de mes travaux antérieurs ? Il n’est pas jusqu’au nom même du corps qui n’évoque sa structure et son rôle : le corps éthérique, constitué de cet « éther », de ces particules qui en constituent la trame et servent d’étanchéité entre le corps physique et astral, et permettent ainsi leur coexistence. La connaissance de la nature de ce corps va nous permettre de comprendre

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l’importance de certaines pratiques traditionnelles.

Un corps astral, qui entre dans notre environnement, va, de par sa nature même, attirer ces particules formant notre milieu cosmique et se constituer automatiquement, en vertu des lois de l’attraction électromagnétique, un écran, un « double éthérique », constitué de ces particules qui s’opposeront à la dissipation de l’énergie du corps astral, lors de son incorporation dans un corps physique. Mais, de même que le corps physique a besoin de la nourriture et de l’oxygène de l’air pour se perpétuer, de même le corps éthérique a besoin des mêmes particules qui le composent pour assurer le maintien de son rôle d’étanchéité et éviter que l’énergie du corps physique ne s’annihile avec celle du corps astral. Ainsi comprendrez-vous l’importance de la respiration. Elle apporte au corps physique l’oxygène dont il a besoin, mais aussi au corps éthérique cet élément que certains ésotéristes appellent le Nouss, d’autres le Khi ou le Prana formés des particules constitutives du milieu cosmique. Mais le transfert des particules depuis les poumons jusqu’au c?ur des cellules est excessivement difficile. Il est largement amélioré par les mouvements respiratoires que pratiquent les adeptes de certaines formes de yoga ou tout simplement ceux qui effectuent des exercices de

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méditation. Vous mesurez ainsi la grande utilité de la pratique régulière de ces exercices, et comprenez maintenant les explications d’Hippocrate que je vous ai cité dans un précédent chapitre.

Vous pouvez aussi comprendre que si nous pouvions trouver un moyen de rendre parfaite et de façon permanente l’étanchéité du corps éthérique, nous pourrions, en principe, acquérir l’immortalité. J’invite ceux qui s’intéressent à l’Alchimie, de réfléchir sur cette Sainte Science à la lueur de ces explications. Ils comprendront peut-être, tout au moins dans ses principes, comment agit la pierre philosophale. Celle-ci, vous le savez, permet à son heureux possesseur, non seulement de transmuter les métaux en or, mais surtout de lui procurer une santé parfaite et de prolonger très sensiblement sa vie.

Je ferai maintenant quelques remarques sur le corps astral. Sa nature même que vous avez devinée, nous permet de dire qu’il se présente comme une concentration de l’énergie du milieu, alors que notre corps physique se présente comme un trou dans cette énergie. De célèbres physiciens ont effectué des calculs sur la matière et l’antimatière qui permettent d’arriver à cette conclusion. Nous comprenons ainsi la nécessité de

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deux corps, le corps physique et le corps astral, avec un élément d’étanchéité entre les deux. Le corps physique seul ne pourrait exister. Nous retrouvons cette grande loi de l’équilibre que j’ai déjà évoquée : un haut nécessite un bas, un plus nécessite un moins, une haute pression nécessite une basse pression, un trou dans l’énergie du cosmos nécessite une concentration de cette même énergie. C’est la grande loi de l’équilibre, mais aussi la raison de la dualité dans la création du cosmos dont nous faisons partie. Ainsi notre corps mental ne pourrait-il s’incarner dans un simple corps physique. Et vous comprenez, je pense, les raisons qui font, qu’après la mort du corps physique, les corps éthérique et astral se désagrègent pour laisser l’entière liberté au corps éternel.

Je vous dirai aussi que le corps astral peut, sans problème, traverser n’importe quelle matière, qu’elle appartienne à ce plan ou à un autre. En effet, les particules situées entre les atomes d’antimatière vibrent à la même fréquence que les particules du milieu extérieur. Elles sont donc en opposition de phase avec n’importe quelle matière et peuvent annihiler leur mouvement.

J’avais pensé, au départ, arrêter là mes

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explications sur la nature et la structure des différents corps qui constituent notre être. J’estimais, en effet, qu’il était déjà difficile d’assimiler ces notions et qu’il serait hasardeux de vouloir aller plus loin, sans courir le risque d’être incompris. Mais ce que je devrai expliquer dans de futurs chapitres nécessite que j’aille au-delà. Cela est nécessaire pour comprendre ce qui se passe lors du passage sur l’une ou l’autre des sphères jumelles à notre terre. Examinons donc ensemble la structure plus intime du corps astral.

Toujours selon les occultistes, le corps astral comporte une série d’enveloppes ou d’écorces concentriques, la plus subtile au-dedans, la plus grossière au dehors, chaque écorce étant formée de la matière d’une seule subdivision du plan astral. Ce corps astral devient ainsi un ensemble de sept couches superposées, un septuple étui de substances astrales où l’homme éternel se trouve emprisonné, comme il l’est dans son corps physique.

Ce corps astral, n’est-il pas formé des mêmes matériaux que le c?ur antimatière de notre planète ? Et celle-ci n’est elle pas formée de différents types d’antimatière, d’écorces de plus en plus subtiles vibrant à des niveaux de plus en plus élevés ? Nous retrouvons cette immuable loi d’analogie où

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l’homme est fait à l’image de l’univers !

Nous pouvons aussi comprendre, et cela sera important pour les futurs exposés, qu’une seule de ces sept écorces est en phase avec notre corps physique. C’est nécessairement celle qui vibre à une fréquence harmonique de celui-ci. Mais les six autres « écorces astrales » ont un rôle à jouer, en relation avec chacun de nos centres énergétiques que nous appelons chakras. Nous verrons qu’elles nous permettent de voyager sur les autres plans matière, les terres jumelles à notre terre. Et nous verrons que ce voyage est possible au travers des portes éphémères ou par l’intermédiaire des portes fixes, en ces « Hauts lieux » de notre planète.

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CHAPITRE 7

Les Plans Parallèles ou sphères jumelles.

 

Nous allons voir qu'une sphère d'antimatière a la possibilité de se constituer plusieurs écorces qui s’imbriquent les unes dans les autres, constituant plusieurs plans, ou sphères jumelles, emboîtées comme des poupées russes. La littérature et les journaux relatent de nombreux cas de personnes qui se seraient retrouvées sur d’autres plans et qui en seraient revenues, d’autres aussi qui se seraient tout simplement volatilisées. L’histoire de la Marie-Céleste est la plus célèbre. J’aurai l’occasion de parler de certains de ces cas lorsque j’évoquerai le mécanisme des portes de passage d’un plan à un autre. Pour l’instant, j’essaie de faire comprendre la possibilité de l’existence de plusieurs plans, conformément à des lois physiques.

Encore faut-il, en toute logique, que plusieurs matières de natures différentes existent au moment de la formation de la terre, voici plus de quatre milliards d’années. Alors, remontons le temps avec les physiciens et voyons ce qu’ils pensent de la formation de notre galaxie, de notre soleil et de

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notre terre.

Formée il y a douze ou treize milliards d’années d’une masse d’hydrogène égale à deux cents milliards de fois la masse du soleil, notre galaxie, la Voie lactée, connaît un stade d’évolution tumultueuse au cours duquel d’énormes étoiles fabriquent beaucoup d’hélium et une petite quantité d’éléments lourds. Ces étoiles instables explosent en grand nombre et, au bout de deux milliards d’années peut-être, laissent aux générations ultérieures d’étoiles un milieu cosmique où l’hélium figure déjà à trente pour cent. L’histoire effervescente du halo est terminée et durant les dix à onze milliards d’années qui suivent, des générations d’étoiles naissent. C’est le cas de notre soleil, né il y a cinq milliards d’années, en bordure d’une spire de la galaxie et, autour de lui, s’organisent, presque tout de suite, les planètes rassemblant les débris solides du milieu.

Ce que je pense de la formation de notre galaxie correspond tout à fait à ce qui vient d’être dit. Je vais cependant apporter quelques informations complémentaires sur le mécanisme qui provoque les explosions et je vais, par la même occasion, démontrer qu’il se forme, au fur et à mesure du temps, plusieurs types de matière.

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Au moment de la formation de notre galaxie, c’est une masse de deux cents milliards de fois la masse du soleil qui se trouve projetée dans notre univers, mais cette masse contient autant de matière que d’antimatière, les scientifiques en sont convaincus. Nous sommes aussi dans un univers en expansion, les derniers calculs l’ont prouvé. La pression du milieu cosmique est donc infiniment plus grande, au moment de la création de notre galaxie, qu’elle ne l’est aujourd’hui. Or, il est une loi facile à démontrer : les forces de cohésion, au sein de la matière, comme de l’antimatière, ont pour origine la pression du milieu. Mais, pour l’antimatière, ces forces de cohésion sont d’autant plus grandes que la pression est importante, alors que pour la matière, c’est exactement le contraire. Cette loi a une conséquence capitale : au moment de la création de notre galaxie, dès la formation des premiers atomes d’antihydrogène, ceux-ci s’agglomèrent rapidement grâce aux forces de cohésion très importantes dues à l’énorme pression du milieu, tandis que les atomes d’hydrogène formés dans le même temps sont repoussés à la périphérie extérieure et projetés dans l’espace, car non soumis aux mêmes forces de cohésion. Mais, avec le temps, ils sont attirés par la masse d’antihydrogène qui s’est formée et s’agglomèrent autour de cette sphère de pression minimale dont

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j’ai parlé précédemment. Et l’inévitable arrive : l’hydrogène accumulé s’approche trop près de l’antihydrogène. L’étanchéité constituée par le milieu cosmique comprimé n’est plus suffisante et c’est l’explosion, projetant dans l’espace toute la matière, ainsi que plusieurs morceaux du c?ur antimatière de la première étoile constitutive de notre galaxie.

Pour mieux comprendre ce qui se passe, imaginez un condensateur. La plaque positive représente le c?ur antimatière et la plaque négative l’écorce de matière. Entre les deux se trouve un élément neutre que l’on appelle diélectrique. Il représente, dans notre comparaison, le milieu cosmique. Si vous comprimez le diélectrique en réduisant son épaisseur, vous verrez se produire entre les deux plaques un arc électrique et le condensateur explosera si l’arc est important. Eh bien, c’est exactement ce qui se passe au sein de notre première étoile cosmique : au fur et à mesure que l’hydrogène revient former l’écorce extérieure, l’épaisseur du milieu entre la matière et l’antimatière diminue et il arrive l’inévitable où tout explose sous l’effet d’un gigantesque arc électrique.

Vous comprenez, je pense, que le même processus se reproduit avec chacun des morceaux

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d’antimatière de la première explosion, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’un équilibre soit trouvé, que la pression du milieu soit moins élevée et que la quantité de matière qui forme l’écorce soit moins importante. Ces explosions périodiques et en grand nombre durent deux milliards d’années, selon les scientifiques. Entre la première explosion d’une hyper étoile et la dernière qui voit naître le c?ur antimatière de notre soleil et ceux, plus petits, des planètes de notre système, combien y eut-il d’explosions ? Impossible de le dire de façon précise, mais il est possible de faire un calcul approximatif qui permet de se faire une idée. Nous savons qu’il existe, dans notre galaxie, environ cent milliards d’étoiles. Si la première explosion donne mille morceaux, la seconde série d’explosions en donne un million et la troisième un milliard. Quatre séries d’explosions seraient suffisantes pour donner notre quantité d’étoiles. S’il y avait, à chaque fois dix morceaux, onze séries seraient nécessaires. Les scientifiques affirment qu’à chaque explosion, il y a formation d’éléments lourds qui sont les éléments constitutifs des futures planètes. J’affirme qu’à chaque série d’explosions, ces éléments sont de nature différente. Pourquoi ? Parce que formés dans des milieux où les conditions de pression ne sont pas identiques ! La matière, pour exister, doit être en équilibre avec le milieu cosmique extérieur. Plus

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la pression est grande, plus les électrons doivent tourner rapidement pour constituer un atome de matière et le maintenir en équilibre avec le milieu extérieur. On peut donc estimer qu’au moment de la formation des planètes, il existe un certain nombre de matières différentes, correspondant à chaque cycle d’explosions, probablement de l’ordre de trois à dix, peut-être plus. Et ces matières vont s’imbriquer les unes dans les autres, formant des plans de matière différents et imbriqués.

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CHAPITRE 8

Courants telluriques et cosmiques.

Si, comme moi, vous avez depuis longtemps entendu parler des courants telluriques et cosmiques, sans doute n’avez-vous jamais compris ce qu’ils sont vraiment, ni soupçonné l’importance qu’ils revêtent dans l’épanouissement de la vie et les équilibres subtils de notre planète.

J’espère que vous avez compris l’origine de la force de gravitation. C’est indispensable pour comprendre la genèse des courants telluriques et cosmiques. Cette force de gravitation a pour origine la différence de pression du champ, entre la face de la Terre tournée vers le soleil et l’autre face qui se trouve dans la nuit. La pression est différente pour chaque face et il est très facile de calculer la différence de pression, pour chaque unité de surface. Il suffit d’appliquer les lois de Newton qui permettent de calculer la force d’attraction totale, et de diviser par la surface apparente de la sphère terrestre, c’est-à-dire la surface intérieure à un grand cercle. Je rappelle que cette force est proportionnelle à un coefficient et aux masses de la terre et du soleil. Elle est aussi inversement proportionnelle au carré de la distance entre les

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deux astres. Ce calcul permet de déterminer une différence de pression égale à 3 000 tonnes par cm2.

La matière est perméable au milieu cosmique. Elle a la capacité d’absorber les particules du milieu que j'appelle micros électrons et d’en réorienter les vibrations, en les adaptant à sa propre fréquence. Ainsi la terre est-elle perméable au milieu cosmique, exactement comme une éponge l’est à l’eau. La nuit, sous une pression supérieure de 3000 tonnes au cm2, par rapport au jour, les micros électrons pénètrent la matière. Nous avons un flux cosmique dirigé vers la terre. Par contre, le jour, la pression à l’intérieur de la terre étant supérieure à la pression extérieure, les particules s’échappent de la terre qui les avait emmagasinées. Mais elles n’ont plus la même fréquence, elles vibrent au rythme de la matière qu’elles ont atteinte. L’onde cosmique est devenue un courant tellurique vertical. Ce courant tellurique a donc des caractéristiques vibratoires différentes de celles du flux cosmique initial.

Si le jour est de même durée que la nuit, ce qui est le cas aux équinoxes de printemps et d’été, la même quantité de particules entrée de nuit s’échappe de jour. C’est ce qui se passe tout au long de l’année aux environs de l’équateur, où la longueur du jour est sensiblement identique à celle

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de la nuit. Par contre, sous nos latitudes, entre le 21 septembre et le 21 mars, durant l’automne et l’hiver, la nuit étant plus longue que le jour, la terre se « gorge » progressivement de particules issues du milieu cosmique. Elles pénètrent de plus en plus profondément au niveau des plans de fréquences élevées. La terre est « imbibée » au maximum le 21 mars, au jour du printemps. C’est à cette date que le flux de courant vertical est le plus important. C’est exactement comme une éponge qui s’est imprégnée d’eau : la quantité d’eau qui ressort dès le début, quand on commence à presser, est beaucoup plus importante que la quantité qui ressort à la fin. Cela explique parfaitement les différences entre le printemps et l’automne, alors que des conditions climatiques sensiblement identiques génèrent des résultats opposés. La végétation explose le printemps venu et tout s’étiole au début de l’automne. Voyez-en la cause en ces courants telluriques qui, au printemps, produisent, en se combinant aux courants cosmiques, l’énergie nécessaire à la manifestation de la vie.

Vous avez donc un premier flux de courants cosmiques et telluriques, alternatifs entre le jour et la nuit, et ce que je viens de vous dire permet de les quantifier. Le flux tellurique varie entre le lever et le coucher du soleil avec une amplitude maximale à

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douze heures en temps universel. Il varie au cours de l’année avec un maximum au début du printemps et un minimum à la fin de l’été. Le flux cosmique varie, à l’opposé, avec un maximum à minuit et le 21 septembre, et un minimum le 21 mars.

Ces premiers courants cosmiques et telluriques sont appelés courants verticaux.

Il existe d’autres courants qui circulent du nord au sud et inversement, selon la période de l’année. Ils résultent du fait que l’axe de la terre est incliné par rapport au plan de l’écliptique. Au 21 juin, une partie du pôle Nord, délimitée par le cercle polaire, est éclairée 24 heures sur 24, et durant la période qui va du 21 mars au 21 septembre, une partie seulement de cette calotte arctique demeure en permanence dans la lumière du jour. L’inverse se produit en période hivernale. Ainsi, durant la période nocturne, la calotte glaciaire arctique se gorge-t-elle des particules du milieu qu’elle libère durant la période diurne. Vous pouvez comprendre la formation des courants telluriques longitudinaux ou courants Nord/Sud qui vont du pôle Nord vers l’équateur entre le 21 septembre et le 21 mars, avec une amplitude maximale, sur l’année, le 21 décembre et, durant la journée, à 12 h.

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Par contre, pour la période du 21 mars au 21 septembre, ils vont de l’équateur au pôle Nord avec une pointe le 21 juin et une amplitude maximale à minuit. C’est strictement l’inverse pour l’hémisphère sud.

Enfin, il existe un troisième type de courants telluriques, générés par la différence de pression entre le jour et la nuit, qui circulent parallèlement à l’équateur. C’est la raison pour laquelle ils sont appelés courants équatoriaux. Leur intensité est maximale à l’équateur et nulle aux pôles. Ils circulent d’ouest en est, entre minuit et le coucher du soleil, et d’est en ouest, entre le crépuscule et minuit. Dans nos régions, ils fluctuent au cours de l’année, avec un maximum d’intensité le 21 juin et un minimum le 21 décembre.

Les courants équatoriaux et les courants longitudinaux se conjuguent exactement comme deux rivières, à cette différence près que le flux tellurique peut s’inverser, ce que ne peut faire un cours d’eau. Le sens des courants n’est pas dans la stricte direction nord/sud ou parallèle à l’équateur, car de nombreux facteurs interviennent, comme la rotation de la terre, la conjugaison des courants ou la résistance du terrain. Ils suivent de préférence les rivières souterraines et vous savez qu’il existe un

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réseau profond à plusieurs centaines de mètres sous la surface de la terre. Les lits de ces courants sont appelés « veines du dragon ». Ces veines se sont probablement formées depuis des temps immémoriaux. Elles ne suivent pas obligatoirement le sens de la pente et contournent les terrains les plus denses, exactement comme le font les lits de nos fleuves et rivières. Elles peuvent aussi se déplacer avec le temps. Quand deux veines du dragon se rencontrent, elles forment ce que nous appelons un n?ud, point particulièrement sensible qui peut, en cas de saturation, être à l’origine de phénomènes physiques particulièrement désagréables, pouvant aller jusqu’aux tremblements de terre.

La connaissance de l’influence des courants telluriques et du tracé des veines du dragon constitue une science ancienne que maîtrisaient jadis les Celtes Druides. Afin de limiter les conséquences fâcheuses provoquées par la saturation de ces veines, ils érigèrent des pierres qui dissipent une partie du courant tellurique dans l’atmosphère et diminuent la pression. Les menhirs sont implantés en alignement sur les veines et les dolmens le sont sur les n?uds, un pied en amont, sur chaque courant qui arrive. Si vous avez compris que l’énergie nécessaire à l’épanouissement de la vie

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résulte de la conjonction, à la surface de la terre, des différents courants, vous avez aussi compris pourquoi les Celtes implantaient des menhirs dans leurs champs afin de favoriser les récoltes : la pierre levée permettait la remontée des courants telluriques et leur union avec les courants cosmiques.

Je ne voudrais pas alourdir ni compliquer mon propos, mais il me faut vous dire que nous venons d’étudier les courants induits par le soleil, mais qu’il existe aussi, suivant les mêmes lois, des courants telluriques induits par la lune. Cependant, compte tenu des mouvements de l’astre de la nuit, différents de ceux de l’astre du jour, les courants lunaires n’ont pas la même direction que les courants solaires et disposent par conséquent de veines spécifiques.

En effectuant les mêmes calculs que ceux effectués pour le soleil, nous pouvons constater que la différence de pression, induite par la lune sur la terre, n’est que de 0,2 % de celle induite par le soleil, soit 6 tonnes au cm2. Les courants induits par la lune devraient donc être dérisoires, mais ils ne le sont pas, car la fréquence de vibration induite par la lune sur les particules du milieu est nettement supérieure à celle induite par le soleil. En effet, la

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lune est composée par de la matière dense, alors que le soleil est essentiellement composé d’hydrogène. La terre s’imprègne des particules du milieu, sous l’action de la lune dans la période du dernier au premier quartier, soit durant plus de 14 jours. Le flux absorbé est ensuite rejeté du premier au dernier quartier lunaire. Vous pouvez ainsi mesurer l’influence de la lune sur la végétation.

Les flux longitudinaux, nord/sud, sont générés par la variation de la lune par rapport à l’écliptique. La lune va d’un point bas vers un point haut dans le ciel, c’est la lune montante, puis elle redescend et c’est alors la lune descendante, ceci en 27 j 13 h 18 mn. Ne confondez surtout pas avec la lune croissante qui va de la nouvelle lune à la pleine lune et décroissante à l’inverse, le cycle se faisant en 29 j 12 h 44 mn. Le cycle de la lune montante et descendante est beaucoup plus faible que le cycle solaire qui se fait en 365 jours, mais l’angle d’inclinaison de la lune est beaucoup plus important. Les flux nord/sud ne sont donc pas négligeables. Il existe encore des flux équatoriaux, mais plus faibles.

L’étude des courants lunaires est beaucoup plus complexe que celle des courants solaires, car le mouvement de la lune n’est identique à lui-même

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qu’au bout de 19 années. Les courants lunaires ont donc des cycles aux amplitudes variables durant toute cette période.

Certaines civilisations connaissaient très bien les différents courants solaires et lunaires. Ils édifièrent des « temples solaires » sur les veines générées par le soleil et des « temples lunaires » sur celles générées par la lune. Et, à l’intersection des courants solaires et lunaires, ils construisirent des « temples luni-solaires ». Ils surent aussi reconnaître des lieux où se manifestent des portes de passage vers d’autres plans. Ces lieux furent reconnus, dans notre histoire, comme de « hauts lieux », car il y a, en ces points précis, rencontre entre un ensemble d’énergies, certaines de nature terrestre, tellurique, d’autres de nature cosmique, ainsi que d’autres énergies encore, ainsi que nous le révéla Anhydriss.

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CHAPITRE 9

Passages dimensionnels.

Si vous avez compris la différence qui existe entre une sphère jumelle et une autre et quelle est la nature des courants telluriques et cosmiques, il vous est très simple de comprendre le fonctionnement d’une porte de passage d’un plan à un autre.

La seule différence entre deux plans réside dans la fréquence de vibration de la matière qui compose chacun d’eux. Si nous voulons passer d’un plan à un autre, il suffit donc de changer la fréquence de vibration des atomes qui constituent notre corps et de l’appairer à celle du plan que nous souhaitons atteindre. Facile à dire, me direz-vous, mais certainement très difficile à réaliser. Je ne vous contredirai pas et j’aurai plutôt tendance à être de votre avis. Mais reconnaissez que, du point de vue théorique, il n’existe aucune aberration à la réalisation d’une telle prouesse. Nous allons même voir qu’il existe, dans la littérature, de nombreux récits qui semblent accréditer le passage accidentel d’un plan à un autre. Mais avant de relater ces aventures et étudier certaines de leurs caractéristiques, je poserai les conditions nécessaires à la manifestation d’une porte de

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passage d’un plan à un autre.

Vous avez appris qu’un courant tellurique est un flux de micros particules qui circulent à l’intérieur de la terre. Ce flux de particules prend les caractéristiques vibratoires du plan au niveau duquel il circule. Vous savez maintenant que la terre, au niveau de nos latitudes, se comporte comme un vase qui se vide et se remplit de l’énergie cosmique. Ce flux et ce reflux s’effectuent chaque jour, tout au long de l’année et, selon la période de l’année, les courants telluriques descendent plus ou moins profondément au c?ur de la terre. Ils acquièrent ainsi la vibration du plan qu’ils ont atteint et au niveau duquel ils circulent.

Les conditions pour qu’une porte de passage se manifeste en un lieu de notre plan sont les suivantes :

1– Que ce lieu soit un point de remontée de courants telluriques.

2– Que ces courants qui se manifestent en ce lieu soient suffisamment puissants et aient séjourné suffisamment de temps au niveau d’un plan pour acquérir la vibration de celui-ci.

3– Que la remontée du courant tellurique,

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depuis le plan où il a séjourné jusqu’au niveau de notre plan, soit suffisamment rapide pour qu’elle ne modifie en rien la fréquence acquise.

Ces conditions étant posées, voyons maintenant les différentes portes qui peuvent se manifester. Nous avons vu qu’il existe des courants telluriques de différentes natures. Certains sont de purs courants solaires, mais la plupart sont des courants mixtes qui résultent de la combinaison de courants solaires et lunaires. Compte tenu de la variabilité du mouvement de la lune qui, je le rappelle, ne reprend la même position qu’au bout de 19 années, les courants luni-solaires se manifestent en des lieux extrêmement variables. Ils sont à l’origine de ce que nous appelons des portes éphémères. Il est pratiquement impossible de prédéterminer le lieu et l’époque de manifestation de ces portes éphémères.

Ce sont elles qui sont à l’origine d’aventures accidentelles et extraordinaires arrivées à certaines personnes dont le récit ne peut être accrédité par ceux à qui pareille aventure n’est jamais arrivée ou qui n’ont pas la possibilité de comprendre l’existence des sphères jumelles à notre terre. d’Amsterdam. Par contre, les purs courants solaires ont des cycles et des caractéristiques bien

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déterminés qui se reproduisent aux mêmes dates et aux mêmes heures chaque année. Ils se manifestent toujours dans les mêmes lieux. Ceux-ci ont été reconnus, au cours de l’histoire de l’humanité, et ont revêtu une importance capitale pour certaines civilisations plus avancées que la nôtre, dans ces domaines. Ils sont devenus de Hauts Lieux, gardés et protégés par ceux qui détiennent la parfaite connaissance de l’importance qu’ils jouent, en tant que porte de passage d’un plan à un autre, mais aussi en tant que lieu de manifestation de l’énergie indispensable à l’équilibre de notre planète.

En étudiant la circulation des courants telluriques, il est possible de déterminer l’heure au cours de la journée où se réalisent les conditions de manifestation d’une porte, comme nous l’avons évoqué. Nous ne vous donnerons pas immédiatement la solution à ce problème, car il serait grandement souhaitable que vous parveniez à déterminer, par vous-même, ces conditions. Croquis à l’appui, je vous suggère d’étudier la circulation de ces courants au sein de notre terre, en tenant compte que le flux cosmique pénètre la terre avec un maximum d’intensité à minuit, pour se transformer en courant tellurique qui circule en partie d’ouest en est, et en partie d’est en ouest. Il faut aussi tenir compte que cette circulation est influencée par la

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rotation de la terre. En étudiant le parcours des courants telluriques et cosmiques, vous pourrez découvrir qu’il se produit, à une heure particulière de la journée, une importante remontée de courants telluriques et, parallèlement à ceux-ci, une descente de courants d’origine cosmique.

J'y reviendrai, après avoir étudié les conditions de certaines aventures où certains faits corroborent les résultats de notre étude et me confortent dans la réalité de ces récits, aussi extraordinaires qu’ils puissent paraître...

 Des terres jumelles à la nôtre existent, n’en doutez plus, et il est possible de passer de l’une à l’autre. Anhydriss nous a affirmé qu’il existait, pour accéder aux autres plans, des portes induites. Certaines sont fixes et d’autres sont éphémères et ne s’ouvrent qu’à certains moments, lors de certaines conjonctions. Les portes fixes se situent dans certains « Hauts Lieux », alors que les portes éphémères se déplacent en permanence et sont probablement à l’origine de phénomènes exceptionnels. La documentation est riche en événements étranges qui pourraient bien être en relation avec ce phénomène d’ouverture aléatoire d’une porte entre deux terres jumelles.

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L’histoire la plus connue est celle de la Mary-Céleste qui voit disparaître toutes les personnes à bord, alors que le bateau demeure absolument intact sur une mer d’huile. C’est la même histoire qui arrive au yacht Joyicita le 3 octobre 1955. Ce jour-là, les 29 occupants du bateau disparaissent et celui-ci est retrouvé, sans la moindre avarie, près des îles Samoa.

Dans son ouvrage Hommes et civilisations fantastiques, Serge Hutin rapporte le fait suivant : « il existe dans le désert de l’Arizona un site où, fréquemment, les voyageurs voient apparaître une ville ne correspondant à aucun modèle terrestre». Ce mirage pourrait bien apparaître au travers d’une porte temporelle.

La Nouvelle République du 22 décembre 1969 relate un autre fait étrange : une musique sort de la mer à Nacekuke, en Cornouaille, et le porte-parole du ministère de la Défense déclare à un journaliste duNews of the World : Nous ne pouvons donner aucune explication à ces bruits.

Dans son ouvrage Invitation au château de l’étrange, Claude Seignolle cite le cas d’un voyageur arrivé en 1950 à Tokyo, lequel présente un passeport authentique émanant d’un pays que

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personne ne connaît et qui n’existe pas : le Tuared. Malheureusement pour lui, il est envoyé en hôpital psychiatrique...

Dans Les vrais mystères de la mer, Vincent Gaddis relate la disparition de l’ensemble d’une patrouille aérienne de six appareils, dans le fameux triangle des Bermudes. Les derniers mots d’un opérateur radio sont : « Nous ne parvenons pas à voir la terre... nous avons l’air perdus. . . nous ne savons pas où se trouve l’ouest, tout est de travers. . . étrange. Nous ne sommes sûrs d’aucune direction. Même l’océan ne paraît pas être comme il devrait être... ». Cette disparition a lieu le 5 décembre 1945.

Dans le même ouvrage, Vincent Gaddis signale également le cas d’un autre avion, le Lancastrian Star Dust, disparu, non vers le triangle des Bermudes, mais cette fois vers le Chili. Il doit atterrir à l’aéroport de Santiago, à 17h45, le 2 août. À 17h41, le pilote annonce l’arrivée pour l’heure prévue, puis il y a un bref silence et on entend le mot Stendec répété deux fois, puis plus rien ! L’appareil n’est jamais retrouvé et jamais personne ne peut donner d’interprétation à ce mot Stendec.

Dans Le matin des magiciens, Jacques

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Bergier signale un fait rapporté par Charles Hoy Fort : il s’agit d’un iceberg volant qui s’abat en débris sur Rouen, le 5 juillet 1853. C’est le même genre de phénomène que celui qui se produit en 1861 avec une pluie de poissons sur Singapour.

Mais l’histoire la plus détaillée, celle qui, pour moi, est aussi la plus riche en enseignements, est relatée par un homme à qui je souhaite rendre hommage au travers de ces lignes. Il fut grand Maître pour les pays de langue française de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose Croix (AMORC), puis légat pour l’Europe. Il édita un certain nombre d’ouvrages dont Rencontres avec l’insolite où figure cette histoire du Bossu d’Amsterdam. L’aventure que Raymond Bernard relate dans son ouvrage n’est pas la sienne, mais il savait que son interlocuteur lui racontait la vérité. Le récit que lui conta un homme à qui il arriva l’extraordinaire aventure de passer sur un autre plan, et d’en revenir est extraordinaire. Je vous renvoie à cet ouvrage pour le découvrir.

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CHAPITRE 10

L'atlantide.

Il n’est pas dans mon intention de vous démontrer que ce continent exista jadis et qu’il abrita une haute civilisation disparue dans les flots de l’Atlantique. Je supposerai que vous avez acquis suffisamment de connaissances à ce sujet. Mon but est d’évoquer simplement cet empire en relation avec ce que nous avons appris dans un précédent chapitre sur l’aspect scientifique des courants telluriques et cosmiques.

Peut-être, aussi, n’aurais-je jamais écrit sur ce continent disparu si je n’avais été en contact avec Anhydriss qui révéla être la représentante d’une ancienne civilisation qu’elle déclara être l’Atlantide. Et, lorsque je lui avais demandé de parler de cet ancien continent, elle avait répondu :

« L’Atlantide a été la forme de civilisation la plus évoluée que votre planète ait connue. La technologie était avancée ainsi que la spiritualité. Elles étaient, en fait, indissociables. Malheureusement pour l’existence de ce continent, un déséquilibre entre les énergies s’est produit et ce déséquilibre a engendré une issue fatale pour la

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civilisation atlante ».

L’Atlantide, dans son extraordinaire degré de développement dans tous les domaines, avait acquis la parfaite connaissance de la nature, de la puissance de ces forces cosmiques et telluriques. Les Atlantes appliquaient cette connaissance avec attention à l’agriculture et, surtout, au maintien harmonieux de l’ensemble de ces courants pour éviter toute catastrophe géologique qu’il était du pouvoir de l’homme de conjurer. C’est probablement pour faciliter ces équilibres vitaux pour la pérennité de leur continent qu’ils construisirent des pyramides, sur des endroits dûment étudiés. Elles avaient pour fonction de capter les courants cosmiques et de les faire pénétrer au c?ur de la terre afin de maintenir cet équilibre dont je viens de parler.

Naturellement, seul le collège des sages savait. Le peuple atlante et les pays colonisés utilisaient d’une manière pratique les effets de ce savoir, tout comme aujourd’hui, nous employons l’électricité sans avoir de connaissances précises à son sujet. De cet état de fait, il résulta parfois un usage abusif, des accidents et, finalement, la pyramide suprême ayant été altérée à la suite de menées ignorantes et ambitieuses, la catastrophe

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planétaire qui engloutit l’Atlantide transforma la surface de la Terre et se grava dans l’imagination populaire sous le nom inexact de déluge.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

Si le train d’ondes résultant de l’explosion des étoiles de seconde génération est une réalité, il est probable que nous nous trouvions à nouveau confrontés à une augmentation progressive de la pression du milieu, et si les conséquences ne peuvent être évaluées de façon précise, cette augmentation est inéluctable et aura probablement des conséquences sur l’environnement de certains plans et sur le nôtre.

Après la disparition du continent de l’Atlantide, en raison de ce qui s’était passé et également parce que cela était conforme au plan universel, les sages, qui savaient, occultèrent l’ensemble des connaissances préservées. Ce n’était plus un pays ou un continent qui retrouverait la puissance et la civilisation atlantes. C’est le monde entier qui serait appelé à devenir la nouvelle Atlantide. Dans une longue, très longue démarche couvrant des millénaires, l’humanité retrouverait peu à peu la lumière perdue et à nouveau, pour la dernière fois, ferait face à un ultime choix d’où

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pourrait résulter une ère d’extraordinaire civilisation.

Des gardiens furent chargés, depuis la disparition de l’Atlantide, de garder des lieux vitaux pour l’équilibre de notre planète. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ces Atlantes, rescapés de l’effroyable cataclysme, eurent une descendance et cette descendance existe encore actuellement, en sachant qu’elle est atlante. Cette perpétuation a été assurée et est encore assurée par des mariages rigoureusement maintenus au sein de la race elle-même. Ces atlantes n’ont épousé que des atlantes et il en a été ainsi depuis la catastrophe, c’est-à-dire depuis près de 12 000 ans.

Où sont-ils ? Sans doute éprouvez-vous quelques difficultés à croire que de tels êtres puissent vivre sur notre planète?

Pourtant, ils sont de par le monde, en des points rigoureusement choisis depuis toujours grâce à leur exceptionnelle sagesse. Les régions où ils sont rassemblés sont situées dans tous les continents et elles sont vitales au sens le plus absolu du terme. Ce sont des « centres de forces » et les Atlantes en sont, par conséquent, les gardiens vigilants.

Il m'est possible de vous révéler que le

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territoire français accueille deux cités intraterrestres habitées par les Atlantes, l'une sous la ville de Toulouse et l'autre sous le mont Bugarach.

J’avais demandé à Anhydriss, puisqu’elle s’était présentée comme représentante de l’Atlantide, de confirmer leur existence et de préciser leur rôle. Voici ce qu’elle répondit :

« Il y a effectivement aujourd’hui des gardiens. Ces gardiens, si vous faites référence à l’Atlantide, gardent des lieux atlantes. Ces lieux ne sont pas identifiés par vous comme de hauts lieux, car ils sont inconnus de votre civilisation. Ces lieux sont situés dans des points stratégiques de la planète, des points sensibles, des points d’énergie très particuliers. Jusqu’à ce jour, très peu d’humains ont pénétré dans ces lieux ».

L’humanité doit donc, à nouveau, être confrontée à un choix et celui-ci sera marqué par la réapparition de l’Atlantide, la résurgence du continent disparu. Il n’est pas nécessaire d’être prophète pour découvrir le choix auquel sera confrontée l’humanité. Je vous ai parlé des fabuleuses sommes d’argent consacrées à la recherche militaire et au déploiement d’armes de plus en plus sophistiquées et destructrices, alors que

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des millions d’hommes, de femmes et d’enfants souffrent et meurent de faim et ne disposent pas du minimum vital pour leur hygiène, leur santé et leur éducation. Les dirigeants de notre planète accepteront-ils d’unir leurs énergies pour lutter, enfin, ensemble et de manière efficace, contre les seuls ennemis qu’ils ont, en dehors de leur propre égoïsme : la faim et la misère. La pression des peuples sera-t-elle suffisante pour que l’heureux choix soit effectué ? Je l’espère !

J’avais demandé à Anhydriss de nous parler du rôle éminent que devraient jouer les atlantes. En tant que preuve vivante de l’existence et de la disparition de cette grande civilisation, seront-ils écoutés et suivis, irons-nous enfin vers cet âge d’or tant attendu ? Voici ce qu’elle répondit :

« Nous ne pouvons pas intervenir sur votre libre arbitre en vous révélant des conditions qui, pour vous, sont des conditions futures. La chose que je peux vous dire, c’est que ces gardiens sont entrés en action ainsi que la totalité de la nation atlante et, qu’actuellement, un travail très important est accompli. Nous solliciterons d’ailleurs la collaboration de nombreux assistants. Que ce travail connaisse une issue positive!»

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Avec elle, j’espère qu’une ère de paix s’instaurera de façon durable. Puisiez-nous être nombreux à ?uvrer pour ce but.

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CHAPITRE 11

Saint Germain et l'immortalité.

Le Comte de Saint-Germain demeure dans l'histoire et la légende comme le symbole du plus vieux rêve de l'homme, celui de l'immortalité.

Le véritable Saint-Germain qui ?uvrerait depuis les plans supérieurs afin d'aider l'humanité à transcender la troisième dimension fut-il ce personnage que l'histoire nous relate comme ayant vécu plusieurs siècles ? Rien ne permet de l'affirmer.

La naissance du personnage, connu des diverses cours européennes sous le nom de « Comte de Saint-Germain », n'a pu être établie que sur la base de quelques témoignages, dont celui du prince Frédéric II de Hesse, qui laissent supposer que Saint-Germain serait l'enfant illégitime d'un prince et d'une princesse et qu'il fut élevé à Florence. Quoi qu'il en soit, certains virent en lui le descendant caché de quelque personnalité royale et, dans cette filiation supposée, la raison de son intimité avec le roi Louis XV. Ces liens de parenté, dont aucun n'est formellement démontré, expliqueraient le train de vie aisé qu'il a toujours mené, son éducation et sa

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culture. Outre ses connaissances certaines en chimie, Saint-Germain est reconnu par ses contemporains comme un homme de très grand savoir, musicien habile et peintre de qualité.

Saint-Germain quitte Londres en 1746. Durant 12 années il aurait voyagé en Inde et au Tibet, mais nous n'avons aucune preuve de ces périples. On constatera cependant que le comte a une profonde connaissance de l'Orient.

Il arrive à Paris au début de 1758 et adresse aussitôt une requête à Marigny, directeur des Bâtiments du roi, dans laquelle il demande qu'une maison royale soit mise à sa disposition afin qu'il puisse y installer un laboratoire et une manufacture, promettant en échange à Louis XV le fruit de ses découvertes.

Il est étonnant que Marigny lui attribue rapidement le château de Chambord. Saint-Germain y installe ses assistants, ses ouvriers et son laboratoire. Pourtant, il sera le plus souvent à Paris et se trouve très vite invité dans les plus fameux salons. Il se fait présenter à la marquise de Pompadour.

Celle-ci, séduite, l'introduit auprès du roi qui apprécie immédiatement le brillant personnage.

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Deux anecdotes authentiques sont à l'origine des rumeurs sur les connaissances alchimiques et l'immortalité du comte de Saint-Germain. Saint-Germain possède une très belle collection de pierres précieuses et prétend devant le roi savoir rectifier les imperfections des diamants. Louis XV lui confie alors un diamant taché. Saint-Germain le rapporte quelques jours plus tard, parfaitement purifié. La seconde anecdote intervient lors d'un dîner avec la comtesse de Cergy, qui reconnaît en lui un homme vu à Venise cinquante années auparavant. Saint-Germain ne détrompe pas la vieille dame et l'histoire fait le tour de Paris.

Mais, si le comte s'est attiré la sympathie du roi, il s'est aliéné le puissant duc de Choiseul, principal ministre de Louis XV, qui lance une campagne pour le discréditer.

En 1760 Choiseul parvient à se débarrasser de Saint-Germain, en le faisant accuser d'espionnage. Tombé en disgrâce, le comte se réfugie aux Pays-Bas. Dans les années suivantes, il est signalé en Angleterre, en Italie, en Russie et en Prusse : partout, il cherche à monter des laboratoires pour poursuivre des recherches sur les pigments et les couleurs.

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En 1766, il se met sous la protection du roi de Prusse Frédéric II, mais le quitte l'année suivante pour se rendre à Gottrop, sur la Baltique, où il est hébergé par le prince de Hesse. Il y meurt en 1784, à l'âge de 93 ans.

Aussitôt la nouvelle connue, nombreux sont ceux qui refusent de croire à la mort du comte. Les témoignages affluent ; on le voit à Venise en 1788 ; il aurait prévenu Marie-Antoinette de l'imminence d'une révolution l'année suivante, assisté au congrès de Vienne en 1815 ; un Anglais l'aurait même rencontré à Paris sous Louis-Philippe...

Bien sûr, tous ces témoignages sont sujets à caution et ne prouvent nullement la longévité du Saint-Germain historique.

C'est au c?ur des archives du ministère des affaires étrangères que nous pouvons découvrir cette curieuse missive adressée par Saint-Germain en avril 1758 au marquis de Marigny, alors ministre en charge des manufactures du roi. Elle ne laisse aucun doute sur la réalité de cet étrange personnage. Dans cette missive, Saint-Germain explique qu'il a fait de grandes découvertes dans l'amélioration des procédés de teinture, chez lui en Allemagne, et qu'il serait heureux d'en faire profiter le royaume de

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France. Cette lettre est une véritable perle documentaire, puisqu'elle émane de l'homme qui allait fasciner l'Europe entière pour ses prétendues qualités d'alchimiste ! Mais ce comte de Saint-Germain reste encore aujourd'hui une énigme. La plupart des encyclopédies s'accordent à le qualifier de simple aventurier, tant sa naissance et ses motivations à vouloir approcher les têtes couronnées demeurent obscures. Au même titre que Nicolas Flamel, son nom est associé à la pierre philosophale mais, contrairement à Nicolas Flamel, les preuves que ce personnage ait réalisé le Grand ?uvre ne sont guère probantes. Autant, les écrits et la vie de Flamel ne laissent aucun doute sur sa qualité d'Alchimiste, autant ceux attribués au Comte de Saint-Germain, en particulier « La Très Sainte Trinosophie », conservée à la bibliothèque de Troyes, en Champagne, ne permettent guère d'être aussi affirmatif. Si cet ouvrage a quelques connotations alchimiques, il est loin de fournir un outil sérieux aux chercheurs.

Alors, le véritable Saint-Germain, le Maître ascensionné qui s'est donné pour mission d'aider l'humanité à s'extraire de la cage vibrationnelle où elle se trouve enfermée, fut-il ce personnage historique ? Il n'est guère important de répondre à cette question. Il m'est cependant difficile

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d'imaginer un véritable Alchimiste, détenteur du grand secret, se livrant à de telles aventures.

Il me suffit de savoir que le véritable Saint-Germain, le Maître ascensionné, Maître de la flamme violette, connaissant de la Sainte Science, créateur de l'Ordre des Frères Chevaliers d'Héliopolis, est au service de l'humanité, comme tous ceux qui, derrière lui, ont intégré cette chaîne de connaissance qui remonte à la nuit des temps. Ils sont là pour nous apprendre à refuser les leurres de ceux qui veulent nous maintenir en ce lieu et nous priver de liberté en nous imposant leurs lois injustes. Ils sont là pour nous rappeler que c'est par nos efforts personnels, en suivant l'une des voies de réalisation, que nous parviendrons à quitter ce plan où rien ne devrait nous retenir. Les Maîtres ne se présentent jamais sur ce plan sous leur véritable identité et, si nous avons la chance de croiser leur chemin, c'est à nous seuls qu'il revient de découvrir leur qualité de Maître.

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CHAPITRE 12

Mes 42 années de recherches alchimiques.

J'ai emprunté de multiples chemins et, bien souvent, j'ai dû, revenir en arrière, jusqu'au jour où mes expériences de laboratoire me permirent de penser que le sel vert sur lequel je travaillais était la matière première des Alchimistes. Mais la réalisation de l’?uvre nécessite deux matières et je dus poursuivre mes recherches pour découvrir cette seconde matière.

Je mis de nombreuses années pour découvrir le feu secret permettant la fabrication du dissolvant, seule et unique matière capable de purifier la pierre. Je disposais alors des deux seules matières nécessaires à la réalisation de l'?uvre.

Persévérance et ténacité sont nécessaires pour poursuivre durant de si longues années des recherches dont on ne sait jamais si elles aboutiront.

Comme Fulcanelli, il me fallut de longues années pour reconnaître le soufre philosophique, indispensable aux opérations, qu'elles soient premières au sens étymologique du terme ou bien qu'elles en soient leurs enfants. Je reconnaissais les

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symboles utilisés par les Alchimistes du passé pour les désigner. Découvrir les opérations devenait plus simple.

J'avais compris que le dissolvant universel était capable de réaliser la purification de la Pierre et de lui transmettre l'énergie qui en fait la valeur.

Travailler en collaboration avec d'autres chercheurs, comme ce fut le cas pour les trois alchimistes de Flers, est une solution pour découvrir la Pierre Philosophale. Valois fut le premier à réussir l’?uvre. Il transmit ses connaissances à ses autres compagnons, Nicolas de Grosparmy et Pierre Vicot.

L'un des Maîtres nous suggéra d'?uvrer à trois. Il en fut ainsi durant une vingtaine d'années, mais mes amis, lors de leur départ en retraite, s'installèrent dans d'autres régions de France. C'est ainsi que je me retrouvais seul pour ?uvrer. Mais de curieuses synchronicités conduisirent d'autres chercheurs à me rejoindre. Ainsi, je constatais la manière dont nous sommes guidés et comment se réalisent de surprenantes rencontres...

« Nous sommes les maillons d’une immense chaîne de connaissance qui remonte à la nuit des temps. Elle ne doit jamais être rompue. L’opportunité vous est donnée de vous intégrer dans

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cette chaîne. Si vous ne le faites pas, d’autres le feront... ».

Ces personnes qui m'ont rejoint témoigneront de la réalité de l'Alchimie et aideront les chercheurs à emprunter cette voie, assurant la continuité de la plus belle des Sciences qui soit en ce monde...

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CHAPITRE 13

Conditions pour élaborer la Pierre Philosophale.

Sans doute avez-vous compris mes explications sur l'origine des forces gravitationnelles. Celles-ci ne résultent nullement de particules qui attirent la matière lorsqu'elles se heurtent à elle, mais sont la conséquence de la différence de pression du milieu entre le côté diurne et le côté nocturne. Ainsi comprenons-nous que la quantité de particules praniques qui nous entourent est beaucoup plus importante la nuit que le jour. Il existe une différence fondamentale, du point de vue énergétique, entre ces deux moments de la journée.

Fulcanelli, dans « Le mystère des cathédrales » nous rappelle cette différence :

"Voyez les champignons; n'est-ce pas la nuit qu'ils naissent, croissent et se développent?... Et vous même, n'est-ce point la nuit, dans le sommeil nocturne, que votre organisme répare ses pertes, élimine ses déchets, reforme de nouvelles cellules, de nouveaux tissus au lieu et place de ceux que la lumière du jour a brûlés, usés et détruits ?"

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Alors, si nous devons permettre à l'énergie pranique de s'introduire au c?ur de la matière première, base des travaux alchimiques, est-ce le jour ou la nuit que nous devons travailler ? Il vous sera facile de répondre à cette question. Mais si, malgré cela, vous continuez à travailler quand bon vous semble, je rappellerai ce qu'exprime Fulcanelli dans l'un de ses ouvrages :

"Travaillez de jour si bon vous semble, mais ne nous accusez jamais si vos efforts n'aboutissent qu'à l'insuccès."

A la suite de Fulcanelli, je viens de vous rappeler l'une des conditions à respecter dans l'élaboration de la Pierre, ainsi que les raisons qui l'exigent. Mais si cela constitue une condition nécessaire, ce n'est pas une condition suffisante. D'autres conditions doivent être respectées pour que l'énergie la pénètre et y demeure.

Pour le comprendre, suivez-moi dans l'exploration de la réalité atomique. Nous connaissons la structure des atomes, mais la méconnaissance de l'énergie cosmique n'a pas permis à la physique moderne de franchir une étape décisive dans la compréhension de la matière et de ses échanges énergétiques, ni même de comprendre

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la nature de la lumière. Je rappelle combien cette notion a fluctué au fil des siècles :

Newton l'a présentée comme une émission de particules ; Huygens, balayant cette conception la proclame comme une propagation d'ondes ; Maxwell, détruisant à son tour cette assertion, la rattache aux ondes électromagnétiques ; aujourd'hui, on admet qu'il peut s'agir d'un aspect ondulatoire du phénomène lié à l'émission de corpuscules ou photons. Mais nous avons vu que la notion purement corpusculaire du photon est contredite par l'expérience.

Les échanges énergétiques au sein de l'électron sont étroitement liés aux particules cosmiques qui existent non seulement dans l'espace intersidéral, mais aussi au c?ur de la matière. Il existe, entre chaque couche d'électrons une sphère de particules cosmiques qui joue un rôle important dans la stabilité des atomes. Tout saut quantique d'un électron qui passe d'une couche à l'autre projette un jet de particules cosmiques qui interfèrent avec le milieu et créent ce que nous appelons lumière, l'une des manifestations des ondes électromagnétiques. Celle-ci serait donc d'origine ondulatoire par les ondes générées au sein du milieu, et d'origine corpusculaire par les micro-

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électrons projetés lors du passage de l'électron au travers de la sphère située entre les couches électroniques.

Pour comprendre la structure de l'atome, avec des sphères de micro-électrons entre chaque couche électronique, donnant à l'atome la capacité d'emmagasiner de l'énergie, il faut revenir à l'hypothèse des micro-électrons, exposée dans le chapitre précédent, mais aussi à l'hypothèse des micro-positons. Ainsi, les particules du modèle standard seraient un empilage de trois particules fondamentales :

- Le micro-électron.

- Le micro-positon.

- le micro-neutrino (association d'un micro-électron et d'un micro-positon).

A partir de cette hypothèse, il est possible d'expliquer l'origine du gluon dans la stabilité du noyau, ce qu'est le graviton dans la genèse de la force d'attraction gravitationnelle et de comprendre l'origine de la force électromagnétique. Je donnerai de plus amples détails dans les prochains chapitres.

Mais ce qui nous intéresse pour la Science

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que nous étudions, c'est l'existence des sphères de particules entre les couches d'électrons. Ces sphères offrent la possibilité d'emmagasiner de l'énergie pranique au sein de la matière. Nous venons de voir qu'il faut procéder de nuit, mais ce n'est pas suffisant. Les micro-électrons de l'espace doivent franchir la barrière des couches électroniques. Pour y parvenir, il faut provoquer une agitation moléculaire au sein des matériaux alchimiques.

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CHAPITRE 14

Le Cycle opératoire.

Voici une quinzaine d'années, je pensais connaître les matières et le cycle opératoire. Il me semblait que si je parvenais à réaliser plusieurs cycles, tels que décrits dans le « rituel de réception d'un Frère Aîné de la Rose Croix », édité par Monseigneur Caro, je parviendrais au but.

Je me trompais !

Voici les opérations décrites dans ce document. Elles sont en parfaite harmonie avec d'autres textes alchimiques que Caro connaissait certainement très bien :

"Tous les jours, à la même heure, notre ennemi faisait entrer la pluie... Puis, refermant l'ouverture, il ordonnait au volcan de nous secouer de plus en plus fort... Cette alternance de pluie et de tremblements de terre se faisait à heure fixe... Un jour les éléments se calmèrent et la paix revint à la surface des eaux. Un matin, la lucarne fut ouverte et notre prison bascula sur sa base. Tout le liquide sortit par le toit pour tomber dans une espèce de filet qui retenait au passage moultes terrestréités."

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Cette opération correspond à ce que les textes nomment « couper la tête au corbeau », c'est à dire enlever la partie supérieure, le sang du dragon, après la coction de plusieurs jours.

" L'herbe verte sans racine se mit à pousser, une douce quiétude m'enveloppait..."

Nous sommes dans la phase « végétation », l'apparition du « fraie de grenouille ».

"Il m'emmena au pays de la Dame blanche où l'on m'accueillit avec méfiance... On me fit faire sept ablutions, une par mois. Ma crasse se fondait comme détruite par une eau limpide et onctueuse qui ne mouillait pas les mains..."

Nous retrouvons les bains de Naaman. Nicolas Flamel en parle comme autant de lavures qui aboutissent à la Pierre au blanc.

"Nous traversâmes l'Asie, et après bien des étapes, nous aboutîmes dans un grand pays où se mouvaient des hommes rouges... Ils avaient l'habitude de nous asperger de sang."

La pierre au blanc passe à la pierre au rouge par imbibition avec le sang du dragon, ce que certains textes nomment « l'alimentation carnée ».

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Voici un cycle opératoire facile à réaliser pour celui qui connaît les matières, et pourtant il ne conduit qu'à l'insuccès. Je l'ai accompli un nombre incalculable de fois. J'ai, bien souvent, testé ce que je pensais être la médecine au blanc ou au rouge, sans constater le moindre effet tangible.

De nombreux textes alchimiques décrivent pourtant les mêmes opérations, en particulier cette cuisson en vase clos qui aboutit, lors de la décantation, à recueillir le sang du dragon :

Voici cette opération décrite par Philalèthe :

"Fais donc attention à ma doctrine. Prends le corps que je t'ai dit et mets-le dans l'eau de notre mer et fais cuire au feu continu qui convient jusqu'à ce que montent la rose et les nuées et qu'elles retombent en gouttes, jour et nuit, sans interruption... L'eau est rendue plus subtile par cette circulation continue et, enfin, elle extrait doucement et délicatement l'âme du soleil."

Voici, comme chez Caro, une opération parfaitement décrite qui conduit à la génération du soleil, or ou sang du dragon.

Michel Maïer, dans « Atalante fugitive » :

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"Il ne faut pas croire en effet que ce soit la cuisson vulgaire quant à la manière d'opérer... De même que la femme amène à maturité des poissons dans l'eau, les fait bouillir et cuire, de même le philosophe agit pareillement avec son sujet. Il le fait macérer dans sa propre eau, le liquéfie avec elle, le dissout, le coagule, le fixe dans le vase d'Hermès dont les jointures sont très rigoureusement fermées, comme il convient, de peur que l'eau ne s'exhale et que le contenu du vase ne soit brûlé... Grâce à ce procédé, la vapeur d'eau monte seule, pénètre et fait mûrir le contenu, le rend tendre et mou d'une façon beaucoup plus parfaite que s'il avait bouilli dans l'eau".

N'est-ce pas, à nouveau, la même opération décrite ?

Et même Basile Valentin, dans les « douze clés de la philosophie » nous décrit cette opération :

"Et sache que lorsque l'humidité de la terre monte, le nuage se forme, s'épaissit dans la partie supérieure et par son poids tombe en bas, de sorte que l'humidité enlevée est rendue à la terre. Et cela ranime, nourrit et fortifie la terre afin que les feuilles et les herbes y puissent pousser."

Qu'est-ce à dire ? Tous ces philosophes nous

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auraient-ils trompés en décrivant une opération qui ne mènerait nulle part ? Philalèthe, nous le savons, induisit les chercheurs en erreur en décrivant de fausses opérations, mais croire que Michel Maïer et Basile Valentin, puis derrière eux Kamala-Jnana/Caro les auraient aussi trompés...

La vérité est que ces opérations sont bien des opérations alchimiques relatives à la voie humide, mais il est indispensable d'en découvrir le but et le mode opératoire. Il m'a fallu de longues années pour le comprendre et envisager les cycles susceptibles de répondre au besoin de pureté et d'énergie. Ces auteurs laissent croire que la coction se réalise de manière uniforme en vase clos, ce qui n'est pas le cas. Fulcanelli nous en informe à la page 209 du tome 2 des « Demeures Philosophales » :

« Enfin, dans sa description si minutieuse de la coction, Philalèthe n'omet pas de faire remarquer combien l'opération réelle est éloignée de son analyse métaphorique, parce qu'au lieu d'être directe, comme on le croit généralement, elle comporte plusieurs phases ou régimes, simples réitérations d'une seule et même technique ».

La Sainte Science se découvre par un travail mené avec persévérance et détermination. Il faut

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mériter le grand secret ! Comme d'autres voies, elle est une voie de réalisation. Quarante deux années d'assidues recherches m'ont permis de découvrir les matières et les opérations de l’?uvre. J'ai donné de suffisantes indications pour que vous puissiez découvrir ces matières sur lesquelles Fulcanelli comme moi-même avons travaillé. Vous avez donc, à portée de main, le pinceau et la palette de couleur. A vous de manifester votre créativité. Un jour, après de longues années de travail en laboratoire, un travail approfondi sur vous-même en oratoire, vous parviendrez à découvrir le cycle des opérations pour faire de votre pierre le plus beau joyau de la terre. Vous serez alors un Artiste accompli, au service de la cause universelle pour un monde plus juste, humain et fraternel. Votre âme et votre esprit seront alors ravis que vous puissiez rejoindre celles et ceux qui ?uvrent pour ce but.

Si la Science alchimique vous semble difficile, si elle n'est pas votre voie de réalisation, réfléchissez aux clés que propose cet ouvrage afin de parvenir à la paix, entre votre conscience incarnée, votre âme et votre esprit. Vous parviendrez au même but que les Alchimistes, en vous épanouissant dans la connaissance de qui vous êtes sur le chemin de l'ascension.

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CHAPITRE 15

Mythologie grecque et Alchimie.

Les croyances concernant la création du monde dans la mythologie grecque sont connues par la « Théogonie » du poète grec Hésiode, qui vécut au huitième siècle avant Jésus Christ. Dans cet ouvrage, Hésiode bâtit la généalogie des divinités en s'appuyant sur de nombreuses croyances populaires. Cet ouvrage est le plus ancien poème religieux grec. A la suite d'Hésiode, Homère créa des ?uvres littéraires comme « l'Iliade » et « l'Odyssée » qui influencèrent la mythologie et la religion.

Selon les mythes rapportés dans ces ?uvres, le Chaos régnait au début du monde, puis plusieurs générations divines se succédèrent. Il y eut tout d'abord les enfants de Chaos, dont Gaïa, qui créa la terre, la mer et les montagnes. Les enfants que celle-ci engendra avec Ouranos formèrent la génération des Titans. Vinrent ensuite les divinités nées de l'union du Titan Cronos et de sa s?ur Rhéa qui générèrent les dieux olympiens dont Zeus.

Nous sommes en droit de nous interroger sur l'origine de ces Dieux ou Déesses dont certains

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dévorent, puis recrachent leurs enfants, qui sortent du crâne ou de la cuisse de leur père, ou qui disposent de cinquante têtes et cent bras. Eurent-ils un autre but que celui de divertir celles et ceux qui lisaient ces histoires extraordinaires ?

Aujourd'hui, la connaissance des opérations alchimiques me permet d'affirmer que les Dieux et Déesses du mont Othrys et du mont Olympe, représentent les matières qui naissent au cours du grand ?uvre. Les ouvrages à l'origine de la mythologie ont donc été écrits par des initiés qui connaissaient les opérations.

Plus tard, la création d'une multiplicité de Dieux et Déesses, dans d'autres ?uvres, s'éloigna de la réalité alchimique. Même si certains puisèrent en ces récits des sources d'inspiration, c'est le cas pour les travaux d'Hercule ou bien le récit du déluge vécu par le héros grec Deucalion dont le mythe réapparaît dans le récit biblique de Noé, ils n'offrent aucune possibilité d'interprétation chronologique des opérations. Par contre, les Dieux et Déesses du Mont Othrys et du mont Olympe incarnent les matières qui naissent les unes après les autres, depuis les matières initiales, base de la coction, jusqu'au soufre solaire, simple ou multiplié, aboutissement de l’?uvre.

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Puissent les Déesses et les Dieux grecs devenir pour vous une source d'inspiration pour la découverte des matières et la manière de conduire les opérations.

1 - Le temps d'OURANOS et de GAÏA.

Ouranos s'unit à Gaïa avec laquelle il engendre les  Hécatonchires, géants aux cent bras, les Cyclopes, puis les Titans. Il habitait sur le mont Othrys, terre dévastée par le déluge et les éruptions volcaniques, et se présenta à sa s?ur Gaïa, Déesse de la terre, sous la forme d'une pluie de cendres afin d'engendrer ses premiers enfants...

Ouranos et Gaïa représentent les deux matières nécessaires à la réalisation de l’?uvre. Gaïa, la déesse identifiée à la Déesse Mère, personnifie la matière première des Alchimistes.

Dans « Les douze clés de la philosophie », Basile Valentin nous informe « qu'un artiste qui n'a pas de cendre ne peut confectionner le sel pour notre art ». Sans doute est-ce la raison pour laquelle Ouranos se présente à Gaïa sous cette forme pour engendrer Cronos et Rhéa, symboles du sel double nécessaire à la réalisation de l’?uvre.

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Mais la fabrication de ce sel comprend de multiples opérations auxquelles nous allons être initiés par les aventures des enfants d'Ouranos et de Gaïa.

Premiers enfants nés de ce couple mythique, dieux dotés de cent bras et cinquante têtes, les Hécatonchires apparaissent tout d'abord sous l'aspect de monstres effrayants.

Dans le grand ?uvre alchimique le mariage des deux premières eaux, symboliquement représentées par Gaïa et Ouranos, donne naissance à une troisième eau qui ne mouille pas les mains. En observant l'apparition de cette troisième eau, vous comprendrez les raisons pour lesquelles Hésiode la représenta par ces êtres monstrueux qui envahissent le vase à une vitesse vertigineuse, comme s'ils étaient dotés d'une multitude de têtes et de bras.

Après les Hécatonchires, naissent les cyclopes, singuliers géants disposant d'un seul ?il rond au milieu du front, appelé « ?il du ciel ». Après l' « eau qui ne mouille pas les mains », vous verrez apparaître ces « yeux du ciel » à condition de soumettre le vase à une douce chaleur. Ces yeux annoncent la naissance des cyclopes.

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Divinités primordiales géantes, les Titans sont les troisièmes enfants du couple Gaïa-Ouranos. Ils précédent les Dieux et Déesses de l'Olympe dont le chef est Cronos. Du point de vue étymologique Titan est « celui qui habite dans les cieux ».

Premier maître du monde, considérant sa progéniture comme monstrueuse et craignant pour sa couronne, Ouranos expédia les Hécatonchires et les cyclopes dans le Tartare, la région la plus basse des enfers, puis empêcha ses nouveaux enfants, les Titans, de sortir du ventre de leur mère.

Vous procéderez de la même manière dans vos opérations. Vous rejetterez les premiers nés pour recueillir votre matière symbolisée par les titans dans le ventre de leur mère, afin de disposer de cette matière double, base du second ?uvre alchimique.

Mais l'histoire de Gaïa et d'Ouranos n'est pas terminée. Furieuse de l'attitude d'Ouranos, Gaïa incite les Titans, dont Cronos, le plus jeune de ses fils, à réagir. Celui-ci coupe alors le pénis de son père avec une faucille que Gaïa avait fabriquée dans son ventre. Ouranos se détache alors de son épouse pour devenir une divinité primordiale personnifiant le firmament étoilé.

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L’émasculation d'Ouranos, dans les opérations alchimiques, signifie que les réactions sont terminées et que les premières matières ne sont plus en mesure de réagir et de procréer. Le temps est venu de recueillir, dans le ventre de sa mère, Cronos, accompagné de sa s?ur Rhéa qui deviendra son épouse, en le séparant de ses autres frères et s?urs. Nous entamerons ensuite l'étape de la coction symboliquement représentée par l'aventure des Titans sur le mont Othrys, comme nous allons le voir.

2 - L'aventure des Titans avec CRONOS et RHEA.

Tout fils de science sait que la coction est symboliquement représentée par le règne de Saturne, nom latin de Cronos.

Nous avons recueilli Cronos en compagnie de sa s?ur et femme Rhéa et nous allons maintenant suivre certaines des opérations alchimiques au travers de leurs aventures.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, les deux matières à la base de la coction engendreront six matières parfaitement distinctes représentées par les enfants de Cronos et de Rhéa, soit,

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successivement dans l'ordre de leur naissance, Hestia, Déméter, Héra, Hadès, Poséidon et Zeus.

Cronos parvint à les manger tous, à l'exception de Zeus, que Rhéa avait confié à sa mère Gaïa. Elle lui substitua une grosse pierre enveloppée de langes, que son père dévora à sa place.

Selon Hésiode, Hestia est la fille aînée de Cronos et Rhéa, sans doute pour signifier qu'elle est l'une des principales matières de l’?uvre. Elle est l'aînée des Olympiens, sur qui elle garda toujours la préséance. Dans l'Olympe, la dignité d'Hestia n'est pas contestée, et l'on reconnaît son droit d'aînesse. Elle ne semble pas en avoir beaucoup usé, car elle se mêlait peu aux agitations des Immortels. Elle fut recherchée en mariage par Poséidon et Apollon. Elle ne voulut ni de l'un ni de l'autre. Pour mettre fin à leur poursuite, elle se plaça sous la protection de Zeus, et fit le serment solennel, qu'elle resterait vierge éternellement. Hestia partage donc avec Athéna et Artémis le privilège de la chasteté.

Hestia est le ciment de la famille olympienne, bien qu'elle n'ait jamais pu empêcher ses frères de se disputer. Elle est souriante, sensible et bienveillante. Elle aime prendre l'apparence d'une jeune femme, aux cheveux rouge brun, aux yeux bleu vert, la

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bouche sensuelle, la peau blanche comme le lait. Elle a une taille svelte, généralement cachée sous une robe blanche et ample. Cela ne l'empêche pas de porter d'autres couleurs, comme le vert par exemple... 

Mais pour respecter la chronologie des opérations, Homère indique dans « L'hymne à Aphrodite » que Cronos engendre Hestia « la première, et aussi la dernière », parce qu'elle est la dernière à être recrachée par son père.

Après la naissance d'Hestia, vont naître, de manière chronologique, Déméter, Héra et Hadès.

Dans les opérations alchimiques, il ne faut pas oublier qu'avant de les recracher, Cronos avale ses enfants ; deux sont des filles et l'un est un garçon.

Déméter, déesse de la terre et des moissons, porte la couronne d'épis de blé sur la tête et porte le flambeau. Héra a pour attribut le paon et la grenade et porte le diadème. Leur frère Hadès fut consacré Dieu des morts et du monde souterrain. A ce titre, il règne sur les enfers avec son épouse Perséphone et a pour attributs Cerbère, « le chien à trois têtes », ainsi que le casque d'invisibilité.

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Zeus est, selon Hésiode, le dernier-né des six enfants du Titan Cronos et de sa s?ur Rhéa. Cette descendance sera considérée comme la branche olympienne par opposition à celle des Titans. Cronos, craignant la prédiction de ses parents, Ouranos et Gaïa, selon laquelle il engendrerait un rival qui régnerait à sa place, avala ses enfants dès leur naissance. Pour qu'un de ses fils échappe à ce sort, Rhéa, sur le conseil de Gaïa, substituera au dernier-né une pierre emmaillotée. Emporté en Crète, il fut élevé par les nymphes du mont Ida, allaité grâce à la chèvre Amalthée dans une grotte secrète de Lyctos.

Ses premiers gestes d’adulte seront d’évincer le titan cruel qui l’a engendré : Cronos, géant monstrueux et primitif comme Ouranos, avide de pouvoir sans partage, le père provoquant des avortements et le fils engloutissant à son repas ses nouveau-nés. Si Ouranos fut neutralisé par son propre fils qui l’émascula au moment d’une étreinte avec Gaïa, Zeus va entreprendre à son tour d’abattre la puissance de Cronos. Courtisant la Titanide Métis, qui devait devenir sa première épouse, il la persuade de faire absorber à son père une boisson émétique. Cronos va ainsi rejeter les enfants engloutis. Zeus retrouve ses s?urs : Hestia, leur aînée, qui restera vierge, Déméter et Héra, qui

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seront ses épouses successives. Héra restera sa dernière épouse, maintes fois bafouée.

Selon Hésiode, avant Zeus est né un enfant qui porte le nom de Poséidon. Pour respecter l'ordre des opérations, Hésiode aurait dû le faire naître en dernier. C'est probablement la raison pour laquelle Homère, dans « l'Iliade », rectifiera ce point en faisant de Poséidon le frère cadet de Zeus.

Ce dieu sera le seul enfant représentant l'élément liquide. Il est le dieu de la mer et des océans. Il a pour sceptre le trident et réside dans un palais d'or au fond de l'océan.

De même, afin de respecter les opérations alchimiques, Hésiode, comme Homère, devaient marier Poséidon à Hestia. Il est vrai que Poséidon la recherchera en mariage, mais celle-ci, ayant juré de conserver sa virginité, se refusera à lui.

Je vois en ce refus l'indication qu'un tel mariage ne permet pas de conduire au but recherché. Nous sommes dans la voie humide et nous savons que cette voie est « sophistique » si l'on ne découvre la clé qui permet d'aller plus loin. Je dois reconnaître qu'il est difficile de parvenir au but par cette voie. Alors, pourquoi persévérer en cette voie si difficile ? La réponse est simple : la voie qui

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mène directement à l’élixir, ne peut être conduite que par un Alchimiste expérimenté ayant préalablement réussi la voie humide. Siméon nous le rappelle, dans l'un de ses messages :

« Il y a une voie rapide, mais il faut une grande maîtrise et une voie plus usitée, plus longue, mais aussi plus sûre et plus sécurisante pour l’opérateur et moins dangereuse. Donc, on n’encourage pas l’opérateur à la pratiquer, car il faut une maîtrise exceptionnelle du processus. Elle a été utilisée à certains moments de l’histoire par rapport à des besoins urgents, précis, mais toujours par des opérateurs qui avaient déjà réalisé l’autre forme plus lente. »

Dans la préface d' « Hermès dévoilé », Cyliani s'exprime ainsi :

« Je crois prévenir de ne jamais oublier qu'il ne faut que deux matières de même origine, l'une volatile, l'autre fixe ; qu'il y a deux voies, la voie sèche et la voie humide. Je suis cette dernière de préférence, par devoir, quoique la première me soit très familière ; elle se fait avec une matière unique ».

Le noir est la couleur symbolique de Cronos, alors que le gris est celle de Zeus ou Jupiter. Ce

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point est capital dans la reconnaissance des matières. Fulcanelli nous recommande, d'attendre la manifestation de la couleur verte après la noire. Dans le mythe de Noé, avant de rapporter le vert rameau d'olivier, la blanche colombe effectue une première sortie. Je conseille d'attendre la manifestation de la couleur grise, avant la verte.

Afin de poursuivre la découverte des opérations et des matières de la voie humide, découvrons la génération des enfants de Zeus.

3 - Zeus et les Dieux de l'Olympe.

On appelle « Olympiens » les douze grands dieux qui résident sur le mont l'Olympe. Mais ils ont aussi sur terre des endroits privilégies où ils aiment venir et où se situent leurs principaux temples. Les dieux sont immortels et conservent une éternelle jeunesse en se nourrissant d'ambroisie et de nectar.

Ces douze grands dieux forment une sorte de conseil qui régit les divers aspects de la vie des mortels avec l'aide de divinités secondaires.

Les douze Dieux du conseil olympien sont en réalité quatorze car quatre séjournent alternativement sur le mont Olympe.

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Nous avons fait connaissance avec Zeus, Déméter, déesse de la végétation et de la fertilité de la terre, Héra, déesse du mariage et des femmes et Poséidon, dieu de la mer, mais aussi Hadès et Hestia, première née de Cronos. La naissance, la vie et les aventures d’Artémis, d'Apollon, d'Athéna et de Dionysos vont nous donner des informations sur la suite des opérations. Puis Aphrodite, Hermès, Arès et Héphaïstos nous livreront leurs secrets, mais pour une autre voie.

Avec Léto, Zeus engendrera Artémis, plus fréquemment nommée Diane dans les textes alchimiques, puis son frère jumeau Apollon. La naissance de Diane/Artémis et d'Apollon est largement commentée dans ces textes.

Artémis est, dans la mythologie grecque, la déesse de la nature sauvage, de la chasse et des accouchements. Elle est associée à la lune par opposition à son frère Apollon, associé au Soleil.

Elle est la fille de Zeus et de Léto, la s?ur jumelle d'Apollon, ou simplement sa s?ur selon l'hymne homérique qui lui est consacré. Elle a le pouvoir de faire naître les épidémies ou de guérir. Elle est aussi la cause de morts subites.

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Diane que nous pouvons regarder comme la première fille de Zeus, pour respecter la chronologie des opérations, dispose du pouvoir de guérir comme de tuer, exactement comme la matière qu'elle représente dans le grand ?uvre alchimique. Elle est une médecine efficace à prendre en quantité raisonnable, quelques gouttes seulement.

Il existe plusieurs versions sur l'accouchement de Léto.

Héra ayant appris que Zeus l'avait trompée avec Léto, lui jette une malédiction, lui interdisant d'accoucher sur terre et en mer. Léto, bien décidée à mettre au monde ses enfants, se réfugie sur une toute petite île, où elle met au monde Artémis et Apollon.

Dans une autre version, Héra demande à tous les lieux de lui refuser l'asile, oubliant Délos, petite île perdue dans les flots. Léto s'y réfugie pour y mettre au monde les jumeaux. Poséidon, dieu des mers et des océans, crée une voûte liquide au-dessus de l'île afin de mieux la protéger.

Dans une troisième version, Poséidon, fait construire pour Léto une île, qu'elle nommera plus tard Délos. L'accouchement fut difficile car Lithie, déesse des accouchements, reçoit l'interdiction

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d'Héra de lui venir en aide. Léto, suppliante, lui propose un collier d'or et d'ambre pour qu'elle vienne l'aider à accoucher. Elle accepte et finit par l'assister au bout de 9 jours et 9 nuits de supplice. Le premier des jumeaux fut Artémis qui, aussitôt née, aide sa mère à mettre au monde Apollon.

Chaque version apporte des précisions sur les opérations alchimiques. Ainsi, prenons-nous connaissance de ces points véridiques : la voûte céleste protégeant la naissance de Diane et Apollon créée par le Dieu Poséidon et l'enfantement qui dure neuf jours.

Apollon est peut-être le dieu le plus grec de tous. Il a une longue histoire en Grèce avant l'époque classique. Dans « l’Iliade », il est décrit comme un dieu lunaire : son arc est d'argent, couleur liée à la nuit et à la lune.

Ensuite, de multiples évolutions l'amèneront à devenir un dieu solaire avec l'épithète de Ph?bus, la lumière de son arc et de ses flèches renvoyant aux rayons solaires.

Ce point est important dans la compréhension des opérations et matières de l’?uvre. En tant que frère jumeau d’Artémis, il fut le symbole d'une matière lunaire. En devenant le représentant du

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soleil, du soufre philosophique dans l’?uvre alchimique, il perd sa qualité de frère jumeau. Il est alors remplacé par Athéna qui apporte, avec sa mythologie, d'intéressantes précisions.

Athéna est la fille de Zeus et de Métis, déesse de la Raison, de la Prudence, de la stratégie militaire et de la Sagesse. Ouranos, le Ciel étoilé, prévient Zeus qu'un fils né de Métis lui prendrait son trône. Aussi, dès qu'il apprend que Métis est enceinte, il prend le parti de l'avaler. Mais quelques mois plus tard, alors qu'il se trouve sur les bords du lac triton, il ressent de terribles maux de tête. Il demande à Héphaïstos de lui ouvrir le crâne d'un coup de hache, pour le libérer de ce mal. C'est ainsi qu'Athéna jaillit de la tête de Zeus, brandissant sa lance et son bouclier, poussant un puissant cri de guerre. Par la suite, Athéna sera considérée comme la fille de Zeus seul. Très vite, elle rejoint les dieux de l'Olympe où elle prend une place importante. « L’Iliade », « l'Odyssée » et « les Hymnes homériques » la représentent comme la favorite de Zeus, celle à qui il ne peut rien refuser. Elle est la déesse de la Cité, mais c'est en tant que déesse de la sagesse, représentée par la chouette et par l'olivier, qu'elle s'impose en symbolisant la civilisation grecque au cours des siècles.

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A l'instar d'Hestia et d'Artémis, Athéna est une déesse vierge, à qui on ne connaît pas d'aventures.

La naissance d'Athéna qui sort toute armée du cerveau de son père Zeus est, du point de vue alchimique, révélatrice de la matière qui naît à la suite d'Artémis. Athéna aurait pu être sa s?ur jumelle, mais en la faisant sa demi s?ur, née du cerveau de Zeus, les initiés nous donnent de précieuses informations. La tête est la partie supérieure du corps, au même titre qu'un liquide qui surnage au-dessus d'un corps solide. « Il faut couper la tête du corbeau » affirment de nombreux textes. Il faudra aller plus loin et découvrir le moyen d'extraire le corps qui se cache en cette tête. La naissance d'Athéna est révélatrice des opérations, mais le décryptage de ses attributs l'est tout autant. Je ne puis dépasser certaine limite, mais celles et ceux qui ?uvreront avec persévérance découvriront, grâce à ces attributs, la manière de se servir d'Athéna dans les futures opérations.

Voici le dernier corps né des opérations de la voie humide. Ce corps est représenté par Dionysos, Bacchus pour les latins.

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Dans la mythologie grecque, il est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Il est une figure majeure de la religion grecque.

Ancien Feu divin comme l'attestent de nombreux éléments de sa légende et de son culte, il est le fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Le récit de sa conception montre que Dionysos est né de la Terre frappée par la foudre, la Terre Mère fécondée par l'éclair céleste du dieu Ciel, naissance caractéristique d'un Feu divin. Poussée par Héra, jalouse, déguisée en sa nourrice, Sémélé demande à contempler Zeus, de qui elle est enceinte, dans toute sa majesté. Incapable de supporter cette vue, Sémélé trouve la mort. Zeus tire alors son fils du ventre de sa mère et, s'entaillant la cuisse, y coud l'enfant pour mener sa gestation à terme. Ce récit de la gestation de Dionysos dans la cuisse de Zeus recouvre un noyau mythique très ancien : le feu allumé par la foudre est essentiellement « fils du Ciel ». Le Ciel est à la fois son père et sa mère, tandis que la Terre n'a qu'un rôle passif dans l'opération.

Après la naissance d'Athéna, seul un fils du ciel était en mesure de naître et ce fut Dionysos. En tant que dieu de la vigne et du vin, il est le digne représentant d'un élément liquide, comme son oncle

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Poséidon. Sorti de la cuisse de Jupiter, il revêt une extrême importance pour la suite des opérations.

Dans la version orphique du mythe, Dionysos est considéré comme « deux fois né » (c'est l'étymologie de son nom). Cette version cache une importante vérité alchimique.

Dans le panthéon grec, Dionysos est un dieu particulier, un dieu errant, un dieu de nulle part et de partout. À la fois vagabond et sédentaire, il représente la figure de l'autre, de ce qui est différent, déroutant, déconcertant, anomique. Et, pour cause, ce dieu, deux fois né, ne ressemble à aucune autre matière de l’?uvre. Dieu de l'ivresse et de l'extase, il est celui qui permet à ses fidèles de dépasser la mort. Le vin, comme le soma védique, est censé conduire à l'immortalité.

Afin d'aller plus loin dans cette voie humide et parvenir au soufre philosophique, j'invite à marier ce dieu et son double à l'une des déesses demeurées vierges blanches.

Parmi les dieux et déesses de l'olympe, il nous reste à découvrir les rôles d'Aphrodite, Hermès, Arès et Héphaïstos en tant que représentant des matières du grand ?uvre alchimique. Tous les

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quatre vont nous renseigner sur les matières utilisées dans la voie brève.

Dans la « Théogonie » d'Hésiode, Aphrodite naît de la mer fécondée par le sexe d'Ouranos que Cronos a tranché :

«...tout autour, une blanche écume sortait du membre divin. De cette écume une fille se forma... ».

La fille née de la blanche écume d'Ouranos ne laisse aucun doute sur la représentation symbolique de la matière désignée par Aphrodite. Elle naît de l'océan et, contrairement à Rhéa, ne restera liée à aucun homme. Ce n'est que plus tard qu'elle contractera mariage ou aura des enfants à la suite de liaisons extra-conjugales.

Chez Hésiode et les poètes postérieurs, Arès et Aphrodite sont présentés comme un couple légitime. Présentés dans « l’Iliade »  comme purement fraternels, les rapports d'Arès et d'Aphrodite deviennent dans « l’Odyssée » à la fois amoureux et adultères, puisque la déesse de l'amour y est mariée à Héphaïstos. Celui-ci, dieu du feu, de la forge, de la métallurgie et des volcans, assimilé par les Romains au dieu Vulcain, est le digne représentant d'une matière de la voie brève, marié à Aphrodite, que l'on travaille par le feu. Mais celle-

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ci, avant d'être soumise au feu, doit se marier plusieurs fois. D'où la nécessité de l'unir à d'autres dieux. Aphrodite trompe donc Héphaïstos avec Arès, dieu de la Guerre et de la destruction. La légende raconte qu'Hélios qui voit tout de sa position élevée, prévient Héphaïstos de cette relation adultère. L'époux crée un filet magique qu'il place sur le lit pour emprisonner le couple. Convoquant Zeus et les Olympiens, il leur révèle la duperie devant les amants emprisonnés. Les dieux y vont de leurs commentaires, en particulier Hermès qui dit que, pour coucher avec Aphrodite, il accepterait d'être découvert par tous les dieux.

Et c'est bien ce qui se passera par la suite, puisque Aphrodite aura une liaison avec Hermès pour engendrer Hermaphrodite, une divinité à la fois mâle et femelle.

Hermès est le fils de Zeus et de Maïa fille du géant Atlas, immortelle comme son père. Il naît un matin dans une caverne du mont Cyllène, en Arcadie. Des éléments importants de sa légende suggèrent de l'identifier à un « Feu divin ». Il est avant tout la personnification de l'ingéniosité, de l'intelligence rusée et de la chance. L'étymologie du mot « coup de chance », lorsqu'un bienfait arrive inopinément, se dit en grec ancien « hermaion »,

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évoquant le Dieu Hermès. Tous ces éléments nous mènent à penser que l'Hermès grec exprime la matière née du feu lors de la voie brève, laquelle conduit à l’élixir. Il faut, en effet, être béni des Dieux, rusé et chanceux, pour découvrir cette voie qui permet d'obtenir, en quelques heures seulement, ce qui demande de longues semaines par la voie humide. Son union à Aphrodite permet de poursuivre les opérations jusqu'à la réalisation de la Pierre Philosophale non multipliée.

Le soufre solaire s'unit au mercure commun pour engendrer le mercure philosophique, base de la coction du troisième ?uvre. Ce mercure est qualifié d'hermaphrodite car il renferme en lui la féminité du mercure et la masculinité du soufre. Ce qui est vrai pour la voie humide l'est aussi pour la voie brève.

Ainsi les dieux et déesses grecs, dans la mythologie d'Hésiode ou d'Homère nous dévoilent les matières du grand ?uvre alchimique dans ses réalisations humide et sèche. Pour comprendre ces interprétations, il faut connaître les opérations. Et pour les connaître il faut ?uvrer au laboratoire, observer et confronter ses observations aux textes alchimiques.

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Plus de quarante années d'assidues recherches m'ont permis de comprendre le rôle que jouent sur la scène alchimique ces divinités grecques. Lorsque la lumière se fera en votre esprit, que vous identifierez chacun des dieux et déesses à l'une ou l'autre des matières de l’?uvre vous ressentirez l'indicible joie du chercheur, proche du but, et vous redoublerez d'effort pour parvenir au terme de vos travaux.

Mais il me faut être sincère : les principales opérations décrites en ce chapitre font partie de la voie humide et il est préférable de découvrir une voie plus rapide qui conduit à la réalisation du plus beau joyau qui soit en notre monde, la Pierre Philosophale !

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Chapitre 16

Message de l'un des Maîtres.

Afin de nous guider sur le chemin de la Sainte Science, Nicodème jugea utile de transmettre ce message :

« Le poisson symbolise l'énergie vitale dans l'élément aqueux. Il faut capturer le poisson avec la nasse et en fourrer le gâteau des rois, le gâteau du roi.

Le poisson se transforme en chérubin et l'énergie fait le roi.

Simon/Pierre connaissait les clés, ils savaient que le poisson d'argent ou le poisson d'or, associé au premier poisson permettrait au poisson royal de devenir le Dauphin, le fils du roi.

Certains alchimistes sont parvenus à faire passer de l'énergie, mais ils n'ont pas réussi à la fixer car, pour cela, il faut savoir crucifier l'énergie.

La Sainte Messe vient de l'Ordre de Melchissédech. Étudiez-la ! Le processus alchimique commence avec la Cène et se termine

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avec la crucifixion.

Le sang du Christ avait des propriétés particulières qui ont été reconstituées par les Alchimistes R+C.

Le Saint Graal contient l'équivalent de la Sainte Ampoule, un liquide huileux et aqueux qui guérit, rajeunit et confère l'immortalité. Cette médecine, absorbée, développe la totalité de l'ADN.

Les quatorze stations du Christ sont à lire selon un mode alchimique. Le mont des oliviers est à rapprocher de l'huile d'olive, associée au sang du Christ. »

Lorsque je reçus ce message, je n'en compris pas le sens. Je le classais et l'oubliais. Douze années plus tard, en février 2019, je le retrouvais, par hasard, en faisant du rangement, et c'est avec la plus grande des surprises que j'en comprenais instantanément le sens.

Voici l'interprétation qu'il m'est possible d'en faire sans pour autant dévoiler plus que nécessaire. Peut-être cela permettra-t-il à celles ou ceux qui auront atteint un suffisant niveau de recherche, de parachever leur ouvrage :

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 De précédentes opérations ont permis à l'énergie vitale de pénétrer le poisson qui vit dans l'eau. Cette énergie, le poisson doit la transmettre à la galette, symbole de la matière première. Toutes deux sont feuilletées et se ressemblent.

Le poisson d'argent symbolise la pierre au blanc, et le poisson d'or la pierre au rouge. Il faut que le poisson transmette son énergie à l'une comme à l'autre.

Certains Alchimistes sont parvenus à transmettre l'énergie vitale au poisson, mais ils n'ont pas su la fixer dans la matière première ou dans le soufre philosophique, car ils n'ont pas su « crucifier » l'énergie.

Crucifier, en langage alchimique, signifie « faire apparaître la croix », c'est à dire coaguler le poisson.

La médecine universelle prise en faible quantité, quelques gouttes seulement, permet l'ouverture progressive des centres psychiques grâce au développement des douze brins d'ADN.

En 2016, je pus m'entretenir avec l'un des Maîtres qui me révéla qu'il fallait trois années pour parvenir à un état qui permet le fonctionnement

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parfait du véhicule humain et lui conférer l'immortalité. 

Je dirai, en résumé, que le message qui nous fut transmis, décrit en langage transparent pour celles et ceux qui ont atteint un certain niveau de recherche, les opérations qui permettent de fabriquer les poudres de projection, au blanc comme au rouge, mais il n'aborde pas l'introduction de l'énergie dans le corps du poisson et cela demeure la plus grosse difficulté de l'Art d'Alchimie...

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CHAPITRE 17

Cosmologie de l'univers

La découverte d’un milieu constitué de micro-électrons me conduisit à concevoir un univers jumeau, constitué de micro-positons.

En étudiant l’interaction de la matière et de l’antimatière avec ce milieu de particules positives, je me suis rendu compte que les astres pouvaient se reconstruire à l’inverse, la matière étant au centre et l’antimatière à l’extérieur. En voyageant en cet univers jumeau ils retournent vers le centre.

J’ai alors compris que le Big-bang n’était peut-être pas unique, mais correspondait à un phénomène périodique. Il n’y aurait donc pas un seul Big-bang, mais une série de Big-bang dont serait issue chaque galaxie. Ainsi pourrait-on expliquer le fait que certains amas galactiques relativement jeunes soient plus proches de nous que d'autres amas plus anciens.

Voici une cosmologie de l'univers que je propose : s'il existe un univers formé de micro-électrons et un univers jumeau constitué de micro-positons, ils doivent nécessairement découler d’un

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univers constitué de particules neutres d’où ces deux espaces seraient originaires. Si nous essayons d’imaginer la structure que peuvent prendre ces deux univers, en la comparant à ce que nous connaissons des zones dépressionnaires et anticycloniques dans un espace à deux dimensions, nous pouvons comprendre que ces univers jumeaux se présentent sous la forme d'un tore dont l'une des parties est en expansion et l'autre en contraction. Le diamètre du tore du premier univers augmente, puis se rétrécit pour rejoindre le centre. Les deux parties du tore tournent sur elles-mêmes et les galaxies se déplacent en un mouvement spiralé entre leurs parois.

Afin de comprendre le fonctionnement de cet univers, selon cette cosmologie, il faut considérer qu’il a toujours existé. Nous devons lui appliquer le principe selon lequel :

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

Le centre est à l’image du c?ur humain et les univers jumeaux comparables au système circulatoire, tantôt veine, tantôt artère. Les milieux de micros électrons et micros positons sont comme le sang rouge et le sang bleu…

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Au centre de l’univers, un champ de particules neutres sert de valve. Voici comment ce c?ur fonctionne :

Au départ, lors d’un Big-bang, un battement du c?ur de l’univers propulse une masse identique de matière et d’antimatière dans notre espace. Les conditions de pression sont telles que l’antimatière se structure en une immense sphère, première étoile à l’origine d’une galaxie. Sous les conditions de pression, la matière se désintègre en microparticules qui, progressivement, reviennent s’agglomérer autour de la sphère d’inversion de la pression du milieu générée par la sphère antimatière.

Cette théorie de la création d’une galaxie lors d’un mini Big-bang fera certainement réagir quelques astrophysiciens. Il n’existe pourtant aucune théorie valable sur cette formation et la découverte, relativement récente, d’un trou noir au centre de chaque galaxie peut accréditer mon hypothèse, comme je l’expliquerai plus loin.

Quand la pression exercée sur le milieu situé entre la matière et l'antimatière devient trop forte, cette première étoile explose. Nous sommes au début du cycle d’explosions des étoiles qui durera 2 milliards d’années et créera les étoiles constitutives

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de la galaxie.

Après la phase tumultueuse de notre univers, nous entrons dans un cycle de stabilité. La pression du milieu diminue avec l’expansion de l’univers. La sphère d’inversion s’éloigne alors du centre des étoiles, entraînant la matière avec elle. Ainsi, les étoiles grossissent, puis deviennent, selon leur taille, des naines blanches ou des étoiles géantes qui finiront par exploser pour ne laisser place qu’à des trous noirs.

Pour l’instant, nos instruments ne nous ont pas permis de voir ce qui se passe plus loin. Mais des calculs ont permis d’émettre des hypothèses sur la possible existence d'une « matière noire ».

Les astres continuent de se désagréger. La pression du milieu devenant de plus en plus faible, l’antimatière ne peut rester compacte et les trous noirs finissent par disparaître en de minuscules boules d’antimatière de la taille d’une planète, puis d’amas de plus en plus petits. La matière continue de s’agglomérer autour de l’antimatière, constituant certainement une partie de la matière noire dont nous décelons la présence par son interaction avec l’univers visible.

Entre notre univers et l’univers jumeau, une

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zone de particules neutres permet à la matière et à l’antimatière de poursuivre leur chemin sans se détruire mutuellement, puis de se reconstruire en cet univers inverse, jumeau de notre propre univers.

Dans celui-ci les étoiles sont constituées de matière au centre et d’antimatière à l’extérieur. L’univers est en contraction et lors de la phase ultime, une étoile géante réunifie les matériaux d’une galaxie en une sphère qui explose. Cette explosion provoque l’ouverture de la valve du c?ur de l'univers formé de particules neutres et les matériaux sont projetés à nouveau dans notre univers…

Une nouvelle naissance a lieu. Un cycle est bouclé.

Je viens de décrire un super univers constitué d’un univers et de son univers jumeau. Rien n’empêche d'imaginer l’existence d’autres supers univers qui s’épanouiraient de la même façon depuis le centre. Soria nous informe qu'il existe sept supers univers et que cinq sont en cours de création.

La forme torique de l’univers, ainsi que le parcours spiralé des galaxies à l’intérieur d'un tore, seront peut-être confirmés par les travaux d'astrophysiciens qui tentent de démontrer cette

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structure.

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CHAPITRE 18

Trous noirs et matière noire.

A – Nature d’un trou noir.

Les trous noirs seraient constitués d'antimatière comme le pressentent les scientifiques. A la différence d'une étoile, un trou noir ne s'est pas encore constitué un corps de matière ou bien il est une étoile morte, résultat de l’explosion d’une étoile géante.

Si le milieu cosmique est constitué de particules négatives, celles-ci sont attirées par les positons de l'antimatière et forment un bouclier de protection très dense autour de la sphère d'antimatière. Cette ceinture piège la lumière.

La vitesse de la lumière est une fonction de la densité du milieu. C'est la donnée qui manque à la théorie de la relativité. Cette vitesse tend vers l'infini quand la densité du milieu tend vers zéro et, inversement, devient nulle quand la densité tend vers l'infini. C'est ainsi que sa vitesse devenant nulle à proximité d’un trou noir, la lumière s'y trouve piégée et le corps apparaît noir.

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Comme je l'ai exprimé, une sphère antimatière attire la matière au niveau de la sphère d'inversion de la pression du milieu. Or, un trou noir est reconnu par les scientifiques comme un piège à matière. Mais la matière ne disparaît pas au c?ur du trou noir comme certains le pensent. Elle s'amoncelle au niveau de la sphère d'inversion. Il est ainsi facile de comprendre l'avenir d'un trou noir : il deviendra une étoile lorsque la quantité de matière sera proportionnelle à la quantité d'antimatière. Quelques astrophysiciens pressentent aujourd'hui que les trous noirs seraient à la base de la création des étoiles. Mes travaux leur fournissent des éléments de compréhension, accréditant leur hypothèse.

B- Trous noirs au centre des galaxies.

J’ai expliqué qu’une galaxie se formait périodiquement lors du battement du c?ur de l’univers. L’antimatière et la matière expulsées en même quantité réagissent de manière différente avec le milieu : l’antimatière se concentre en une énorme sphère, alors que la matière se diffuse dans l’espace. Avec le temps, celle-ci se concentre au niveau de la sphère d’inversion de la pression du milieu générée par la sphère d’antimatière. Quand la quantité de matière atteint un seuil critique, le tout explose. La

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matière est propulsée dans l’espace, tandis que les morceaux du c?ur antimatière sont propulsés au loin.

Pour justifier, de nos jours, l’existence d’un trou noir au centre de la galaxie, il faut imaginer que la partie centrale du c?ur antimatière de la première étoile géante resta figée sur place, alors que les morceaux de la périphérie se trouvaient propulsés dans l'espace. Cela est concevable. Il demeure donc une sphère antimatière au centre de ce qui deviendra, plus tard, la galaxie.

Lorsque les étoiles de seconde génération explosent à leur tour, elles envoient de la matière vers le centre, c?ur antimatière de la galaxie. Celui-ci récupère donc une partie de matière, atténuant la puissance du trou noir central. Cela fut observé par les astrophysiciens : les trous noirs, au centre des galaxies, sont moins actifs que les trous noirs issus de l'explosion des étoiles géantes.

De tout cela, il résulte un excès d’antimatière au centre de la galaxie et un excès de matière dans les espaces éloignés du centre. La poussière cosmique existe bien et les scientifiques ont établi que 40 000 tonnes de cette poussière tombent encore sur terre chaque année depuis des dizaines

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de milliers d’années.

Il est un autre fait scientifique reconnu : alors que la vitesse des planètes autour du soleil est inversement proportionnelle à leur distance de celui-ci, les étoiles tournent autour du centre de la galaxie à une vitesse pratiquement identique, variant de 210 à 240 km/s. Cela s'explique si l'on considère que le centre de la galaxie est un trou noir qui tourne sur lui-même. Comme pour les planètes, c'est le milieu qui entraîne les étoiles, mais le centre de la galaxie étant de l'antimatière, la courbe de pression du milieu n'est pas la même que celle du système solaire. Au-delà d'une certaine distance, le gradient de la pression du milieu étant très faible, l’entraînement des étoiles est presque uniforme.

C – Trous noirs issus de l’explosion des étoiles géantes.

La plupart des trous noirs se seraient formés à la suite de la mort des étoiles géantes. Suivant son évolution, une étoile peut devenir une naine blanche, une étoile à neutrons ou, si sa masse est supérieure à 3,2 fois celle du soleil, un trou noir.

J'explique que la sphère d’inversion de la pression du milieu qui constitue le lieu où s’accumule la matière, s’éloigne du centre de

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l’étoile, à mesure que la pression du milieu diminue. Ainsi la matière s’éloigne de l’antimatière, transformant l’étoile en une étoile géante, avant de s’éteindre et de devenir un trou noir.

Le trou noir apparaîtra lorsque la matière se sera dispersée et éloignée de l’antimatière.

D – La matière noire.

La matière noire est un concept très important en cosmologie et en astrophysique moderne. Dans un certain nombre d'objets astrophysiques, les mouvements observés sont différents de ceux auxquels on s'attend en théorie, quand on essaie de les déduire de l'action gravitationnelle des masses observées. Tout se passe comme si une densité de masse invisible était présente.

Les grandes structures de l'univers, ainsi que le rayonnement de fond cosmologique, rendent compte des observations, à condition que l'univers contienne une grande quantité de masse sous une forme différente de la matière ordinaire.

Plusieurs questions se posent alors : cette matière noire existe-t-elle vraiment ? Si oui, de quoi est-elle constituée ?

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Ces problèmes de matière noire ont motivé un grand nombre de recherches qui aboutirent à d'importantes découvertes en astrophysique et cosmologie.

Une solution possible serait que les galaxies contiennent une composante non détectée, dont l'attraction gravitationnelle est responsable de l'écart observé. En fait, les calculs montrent que cette composante devrait être beaucoup plus importante que l'ensemble des composantes visibles, par un facteur de 5 à 10. Ce facteur dépend des hypothèses que l'on fait sur la façon dont cette matière noire est répartie dans la galaxie. Deux hypothèses ont été longtemps en concurrence : celle du disque maximale, dans laquelle la matière noire est répartie dans un disque épais qui se superpose au disque stellaire, et celle du halo, dans laquelle la matière noire est répartie dans un grand halo avec la symétrie sphérique. La deuxième hypothèse est aujourd'hui favorisée.

La cosmologie nous indique que la composition de l'univers serait approximativement de 73 % d'énergie noire et 27 % de matières réparties comme suit : 23 % de matières non baryoniques et 4 % de matières baryoniques.

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L'étude des galaxies indique que la grande majorité de leur masse est sous une forme invisible. L'observation des amas de galaxies permet de montrer aussi que la matière noire est distribuée de façon moins concentrée, plus étendue, que la matière ordinaire.

L'émergence de l'informatique mit à notre disposition un nouvel outil permettant l'étude de l'univers : les simulations numériques. En faisant des hypothèses sur les propriétés de l'univers primordial, il est possible de simuler son évolution jusqu'à nos jours, selon les lois de la physique, puis de comparer avec nos observations. Ainsi, les simulations permettent-elles de retrouver la distribution de matière noire autour des amas galactiques. Elles permettent alors d'aller un peu plus loin que la simple comparaison avec les observations.

En effet, ces simulations indiquent que, sur de petites échelles, la matière noire aurait tendance à former des grumeaux.

Nous avons vu qu'à un certain stade de leur évolution, certaines étoiles deviennent des géantes qui explosent. Après leur explosion, les parties de matière et d'antimatière se recombinent, dans un

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milieu très peu dense, en grumeaux de la taille d'une planète, sans la luminosité d'une étoile. Ces grumeaux diminuent à mesure que la galaxie s'éloigne du centre de l'univers.

Nous avons, à ce stade, de la matière non visible, mais cette matière noire que recherchent les astrophysiciens pourrait avoir une seconde origine. Il se forme, au cours de la phase tumultueuse de l'univers, des matières de différentes fréquences. Ainsi notre galaxie comprendrait 7 matières capables de s'emboîter les unes dans les autres. Nous savons qu'il existe encore de la matière diffuse de troisième dimension. Il est probable que les matières, de la quatrième à la septième dimension, soient plus importantes encore, car plus légères. Il est possible de démontrer qu'elles peuvent traverser notre matière de troisième dimension. Une grande énergie est actuellement déployée par les astrophysiciens pour mettre en évidence cette matière noire. Le C.E.R.N. effectue des expériences pour la capter sur des appareils hyper sophistiqués. Peut-être ces travaux déboucheront-ils sur la reconnaissance de ces matières invisibles à notre ?il, démontrant ainsi l'existence de plans parallèles dont j'ai évoqué l'existence.

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CHAPITRE 19

L'univers électrique

Le physicien norvégien Kristian Birkeland formula l'hypothèse de l'existence de courants électriques venant du soleil qui allumeraient les aurores boréales et australes de la Terre.

En 1973, des satellites détectent la signature magnétique des courants électriques dans les aurores, permettant ainsi de valider l'hypothèse de Birkeland.

Hannes Alfvèn, considéré comme le père d'une approche électrique de l'univers, obtient le prix Nobel en 1970 pour son travail sur ce sujet.

Plus récemment, Anthony Peratt, Donald Scott, David Talbott, Wallace Thornhill, d'éminents scientifiques se consacrent à cette étude.

Les affirmations de base de la théorie électrique de l'espace sont les suivantes :

1 - L'espace n'est pas vide mais rempli de plasma.

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2 - Les corps célestes ne sont pas neutres, mais chargés et reliés entre eux par des champs électriques et électromagnétiques.

Récemment, des satellites mirent en évidence les cordes magnétiques géantes qui relient la Terre à la haute atmosphère du soleil.

Au niveau du cosmos, les astrophysiciens détectent les mêmes champs magnétiques. Mais curieusement, ils n'évoquent que rarement les champs électriques au sein de l'univers.

Pour quelles raisons ?

Parce que ces physiciens sont incapables d'en expliquer la source. Ils préfèrent parler de champs magnétiques résiduels, des fragments de champs laissés par le Big-Bang.

Or, il est un fait connu depuis l'époque de Mickaël Faraday : seules des charges électriques en mouvement sont capables de générer des champs magnétiques. Un autre fait indéniable omis par les astrophysiciens, mais bien connus des électriciens : les particules qui génèrent un courant électrique et un champ magnétique doivent circuler dans un circuit fermé.

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Il est donc absurde de parler de champ magnétique résiduel sans parler de champ électrique fermé.

L'univers électrique conçu aujourd'hui par les théoriciens dont nous venons de parler fait ressortir le couplage en réseau actif électrique de tous les astres, que ce soit les étoiles ou les planètes. Tout serait donc interconnecté au sein de l'univers.

J'exprime la théorie suivant laquelle l'univers ne serait pas vide, mais constitué de micro-électrons. Cette théorie s'inscrit parfaitement dans l'hypothèse de l'univers électrique. J'explique que les forces gravitationnelles sont une résultante de la circulation de ces micro-électrons entre le côté nocturne et le côté diurne, le circuit des microparticules se bouclant dans l'espace. Le circuit électrique solaire et le circuit terrestre se rejoindraient et interagiraient entre eux, expliquant les cordes magnétiques qui relient la terre au soleil.

Il semble que l'hypothèse des micro-électrons de l'espace soit une notion de la plus grande importance à étudier et à approfondir non seulement en alchimie, mais aussi en physique et astrophysique. Elle est fondamentale pour nos futurs besoins en énergie et notre compréhension

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de l'univers dans lequel nous vivons.

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CHAPITRE 20

Vitesse limite de la Lumière.

L'espace n'est pas un vacuum comme les théories de la relativité l'ont laissé croire. La vitesse de la lumière n'est pas constante. Elle peut varier selon la pression du milieu qui occupe l'espace infini, que certains physiciens appellent champ subquantique.

Vous allez comprendre que la vitesse de 300 000km/s n'est pas une limite et qu'il est possible pour des engins spatiaux d'aller à des vitesses supraluminiques. Pour cela nous verrons ce qui confère la masse à un objet et comment il est possible de rendre cette masse proche de zéro afin de le propulser à d'inimaginables vitesses.

Commençons pas à pas afin de comprendre comment les théories de la relativité nous ont enfermés dans une fausse conception, conception selon laquelle jamais nous ne pourrions rejoindre des planètes situées à des années lumière, et jamais nos Frères et S?urs de l'espace ne pourraient venir jusqu'à nous. Pour une majorité d'humains, l'idée des OVNI et des extraterrestres est une utopie. Cette utopie est d'ailleurs savamment entretenue par nos

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dirigeants. Imaginez que nous apprenions qu'il existe des civilisations où les conflits n'existent pas et où chaque être humain est traité sur une même base d'égalité ! Trop dangereux pour celles et ceux qui souhaitent maintenir leur pouvoir sur les autres !

Voyons tout d'abord comment nous en sommes venus, par la science, à cette idée d'enfermement.

A la fin du 19ème siècle, les physiciens croient en l'existence de l'éther, qui, pour eux, est le support des ondes électromagnétiques. Afin de prouver l'existence de cet éther, deux physiciens, Michelson et Morlaix, construisent un appareil, appelé interféromètre, permettant de mesurer avec précision la vitesse de la lumière. Ils partent de l'idée selon laquelle, si l'éther existe, il doit exister un vent d'éther dans la direction opposée à la circulation de la terre autour du soleil. Celle-ci tourne à la vitesse linéaire de 30km/s, donc, pour les physiciens, il doit y avoir un vent d'éther qui va à cette vitesse. Ils pensent que ce vent doit ralentir la lumière dans le sens du parcours de la terre autour du soleil et l'accélérer dans le sens contraire, au même titre qu'un nageur va moins vite s'il remonte le courant d'une rivière et plus vite s'il le descend.

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Ces mesures s'échelonnent sur plusieurs années et, à chaque fois, il est prouvé que la lumière va à la même vitesse, quelque soit le sens de parcours. Les physiciens concluent alors que l'éther n'existe pas et que l'espace est vide. Nous verrons que les physiciens auraient dû émettre deux hypothèses : soit l'éther n'existe pas, soit l'éther existe et il tourne à la même vitesse que la terre. Dans cette hypothèse l'éther entraîne la terre. Nous verrons plus loin pourquoi il n'émirent pas cette hypothèse et pourquoi ce fut une erreur de ne pas le faire.

Lorsque Einstein émet, en 1905, la première théorie de la relativité, la relativité restreinte, il accepte l'idée que l'espace est vide. La vitesse de la lumière mesurée au niveau de la terre étant de 300 000 km/s, elle doit être, en toute logique, identique en tout point de l'univers. Comme un photon, de masse nulle, ne peut aller plus vite que 300 000 km/s, aucun objet ne pourra jamais dépasser cette vitesse limite. C'est ainsi qu'Einstein émet l'idée que la masse d'un objet augmente avec la vitesse et que cette masse devient infinie à la vitesse de la lumière, que l'on ne pourra jamais franchir. L'idée d'enfermement est née. Nous ne sommes peut être pas les seuls êtres vivants au sein de l'univers, mais jamais nous ne pourrons nous rencontrer !

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Cependant, vers les années 1910 un autre physicien, Sagnac, a l'idée de monter l'interféromètre sur un plateau tournant, de mesurer la vitesse de la lumière à l'arrêt, puis lorsque le plateau tourne. Il constate qu'en rotation la vitesse de la lumière est moindre, comme s'il y avait, cette fois, un vent d'éther.

Résumé dans deux notes publiées en 1913, Sagnac interprète le résultat obtenu avec son interféromètre tournant comme preuve de l'existence de l'éther, ce qui confirme la théorie ondulatoire de la lumière de Fresnel.

Cependant, deux années plus tard, en 1915, Einstein publie la théorie de la relativité générale. Il exprime la notion d'espace-temps, considérant que le temps et l'espace sont liés par cette constante qu'est la vitesse de la lumière. C'est ainsi qu'il devient possible d'exprimer les distances en temps et dire, par exemple, que le soleil est à 8 minutes lumière, au lieu de 150 millions de km, que le système solaire est à 30 000 années lumière du centre de la galaxie, et que notre galaxie, la voie lactée, se trouve à 2,5 millions d'années lumière de la plus proche galaxie, c'est à dire Andromède. Enfin, que l'univers observable est de 93 milliards d'années lumière.

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Confronté à l'expérience de Sagnac et, pour ne pas contredire la relativité restreinte, Einstein a cette idée de génie : expliquer que l'espace temps se courbe en présence d'une masse. La plus courte distance entre deux points, dans un espace courbe n'est pas une droite, mais une géodésique. Einstein démontre que cette géodésique s'allonge sous l'effet de la rotation du plateau et des forces centrifuges. La lumière parcourt ainsi une plus longue distance lorsque le plateau tourne.

Si les résultats de Sagnac prouvent l'existence de l'éther, ceux de Michelson prouvent, théoriquement, le contraire. Tout au moins les physiciens le croient-ils ! La courbure de l'espace temps telle qu'exprimée par Einstein a le mérite d'être compatible avec les deux résultats, ceux de Sagnac et Michelson. C'est la raison pour laquelle les théories de la relativité sont retenues par la majorité des physiciens. Nous sommes alors partis pour un siècle, ou presque, de relativisme. Cependant, quelques décennies plus tard des doutes s'insinuent dans l'esprit des chercheurs. On explique la gravitation par d'autres hypothèses comme celle des quanta. La gravité n'est plus l’?uvre des courbures de l'espace temps, mais celle de petites particules appelées gravitons.

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Il nous est impossible de nier les résultats obtenus à partir des théories de la relativité. La courbure de l'espace temps prédit, par exemple, la déviation de la lumière à proximité d'une étoile. Cette déviation reçoit la validation de l'observation et accrédite fortement, la validité des théories de la relativité. Mais nous verrons qu'il est possible d'expliquer cette déviation d'une manière physique et non mathématique. Le même résultat peut être obtenu par un milieu constitué de particules compressibles qui subirait une modification de sa pression en présence d'une masse.

Il me faut insister sur les conséquences néfastes des théories de la relativité qui font croire que l'espace est vide et qu'il ne sera jamais possible de dépasser la vitesse de la lumière. Quand à vouloir extraire de l'énergie du vide, cela semble absurde au vu même de ces théories. C'est la raison pour laquelle des chercheurs qui disent pouvoir extraire de l'énergie du vide sont exclus du CNRS. C'est le cas pour le professeur Vallée avec sa théorie de la synergétique.

Il faut donc abandonner l'idée de pouvoir rejoindre un jour la plus proche étoile, Sirius, qui se trouve à 8 années lumière de nous. La masse augmentant avec la vitesse, atteindre le quart de la

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vitesse de la lumière serait un exploit difficilement envisageable. Quant à aller au delà de Sirius et voyager au sein même de notre galaxie, il ne faut pas y songer !

Ainsi ces théories de la relativité créent-elles l'illusion de l'enfermement. Aller vers une autre galaxie restera à tout jamais du domaine de la science fiction ! Nous avons les « star wars » pour nous consoler !

Cette idée d'enfermement véhiculée par les théories de la relativité conviennent parfaitement à nos dirigeants qui mettent tout en ?uvre pour nier l'existence des OVNIS et faire taire celles et ceux qui affirment avoir eu des contacts avec des extraterrestres. Peut être avez-vous entendu parler des « men in black » rendu populaires par plusieurs films. Il existerait une brigade, aux États Unis comme en France, et certainement dans d'autres pays, chargée de faire taire celles et ceux qui se révèlent trop bavards au sujet des extraterrestres.

Je démontre, au travers de faits scientifiques que l'éther existe bien et que la vitesse de la lumière n'est pas constante. Si elle est de 300 000 km/s au ras de notre sol, elle peut varier au sein de l'univers, en fonction de la pression du milieu. Comme je l'ai

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dit au début de mon exposé, à la suite de l'expérience de Michelson et Morlaix, les physiciens auraient dû émettre deux hypothèses : soit l'éther n'existe pas, soit il tourne à la même vitesse que la terre. Vous constaterez que cette hypothèse ouvre la voie à des voyages interplanétaires à vitesse supraluminiques, et que nous pourrons, dans le futur, tirer de notre environnement l'énergie dont nous aurons besoin. Ainsi pétrole et nucléaire seront-ils amenés à disparaître. Souhaitons que ce ne soit pas trop tard, lorsque notre planète se sera rebellée contre les excès faits à son encontre et qu'il y aura encore suffisamment d'humains pour profiter de ces nouvelles technologies pouvant apporter le bien être à tous.

Vous verrez que cette hypothèse apporte aussi des explications aux techniques alchimiques.

Einstein est un génie. Il est parvenu à formuler, à partir des mathématiques, des notions exactes que nous ne pouvons nier, mais que nous pouvons expliquer, aujourd'hui, par la physique. Les mathématiques devraient être au service de la physique et non le contraire. Mais s'il parvient à de vrais résultats, Einstein parvient aussi à des résultats erronés comme la vitesse limite de la lumière et l'espace vide qui ont la néfaste conséquence de nous

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isoler dans l'espace.

D'ailleurs, Einstein reconnaît ses erreurs au cours d'une conférence faite à l'Université de Leyde le 5 mai 1920, traduite par son ami Solovine, intitulée : «L'éther et la théorie de la relativité». L'édition originale parut chez Gauthier-Villars et Cie en 1921. Voici la conclusion de sa conférence :

« En résumé, nous pouvons dire : d'après la théorie de la relativité générale, l'espace est doué de propriétés physiques ; dans ce sens, par conséquent un éther existe. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est inconcevable, car non seulement la propagation de la lumière y serait impossible, mais il n'y aurait même aucune possibilité d'existence pour les règles et les horloges et par conséquent aussi pour les distances spatio-temporelles dans le sens de la physique. Cet éther ne doit cependant pas être conçu comme étant doué de la propriété qui caractérise les milieux pondérables, c'est à dire constitué de parties pouvant être suivies dans le temps : la notion de mouvement ne doit pas lui être appliquée.»

Einstein est proche de la vérité. Nous verrons, en effet que l'éther existe bien et que la présence

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d'une masse confère à cet éther des propriétés particulières, non uniformes qui l'éloigne des milieux pondérables comme l'air ou l'eau.

Nous verrons aussi comment il est possible de concevoir des engins interplanétaires pouvant aller plus vite que la lumière, en les dotant d'une masse proche de zéro.

Je m'appuie sur sept expériences ou lois scientifiques pour prouver l'existence de l'éther et ses caractéristiques, alors qu'Einstein s'appuie sur la seule expérience de Michelson et Morlaix pour la nier. Les physiciens auraient dû émettre deux hypothèses :

1 – Soit l'éther n'existe pas.

2 – Soit l'éther existe et tourne à la même vitesse que la terre.

Essayons tout d'abord de comprendre pourquoi les physiciens de la fin du 19ème siècle ne retiennent pas cette seconde hypothèse. A l'époque aucune expérience de physique n'est en mesure d'expliquer comment le soleil peut entraîner l'éther sur une aussi longue distance. Uranus se trouve à 2,87 milliards de km du soleil. Comment l'éther peut-il entraîner une planète aussi éloignée ?

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Imaginez une sphère qui tourne dans l'eau. L'eau est entraînée par la sphère, mais seulement à quelques diamètres de la sphère. Comme l'exprime Einstein lors de sa conférence de Leydes, il faut que l'éther acquiert des propriétés particulières qui l'éloigne des milieux pondérables. Nous allons voir que tel est bien le cas !

L'éther est constitué de micro particules ayant une charge électrique négative que j'appelle micro électrons. Ces particules réagissent avec les électrons de l'hydrogène solaire, rigidifiant le milieu qui peut ainsi être entraîné sur une très longue distance.

Voici les sept lois ou expériences qui expliquent que l'éther existe et qu'il est constitué de particules à charge électrique négative.

La première de ces lois est celle de la vitesse des planètes autour du soleil. Mercure dispose d'une vitesse linéaire de 47,8 km/s, Vénus d'environ 35 km/s, la terre, elle, va à 30 km/s, Mars à 24, Jupiter à 13 et enfin Saturne à 9,7 km/s. Il est prouvé que ces vitesses sont inversement proportionnelles au carré de leur distance au soleil. Comment cette loi est-elle possible dans un espace vide ?

Nous savons que le soleil tourne sur lui-

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même en 28 jours. Imaginons qu'il entraîne l'éther qui glisse proportionnellement à la distance. Alors cette loi s'explique parfaitement et devient l'une des preuves de l'existence d'un éther.

Nous avons vu que l'expérience de Sagnac constitue une autre preuve et je n'y reviendrai pas.

La troisième expérience sur laquelle je m'appuie, mais aussi Erwin Lazlo, dans son ouvrage « aux racines de l'univers », est l'expérience de la double fente. Dans cette expérience, un photon projeté contre un plan percé de deux fentes, produit un double impact sur l'écran placé à l'arrière. Ainsi le photon, qui est une particule, traverse les deux fentes en même temps. L'explication logique est que la particule, le photon, induit des ondes, des vagues, au sein du milieu et que ce sont ces ondes qui induisent ce double impact. Cette expérience fait partie des paradoxes quantiques non expliqués par les physiciens, mais qui accrédite l'existence de l’éther.

L'expérience EPR eut un grand retentissement dans le monde scientifique lorsqu'il fut permit de la réaliser. Elle porte les initiales des trois physiciens qui l'ont imaginée, Einstein, Podosky et Rosen. Nous sommes en 1935 et

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l'expérience vise à mettre en évidence le caractère incomplet de la théorie quantique. C’est David Bohm qui le premier en 1951 propose une modification, celle-ci ne s’appuyant plus sur la mesure des paramètres position-vitesse de particules corrélées, mais sur la mesure de leurs composantes de spin. Partant de cette nouvelle idée, l’irlandais John Bell, du laboratoire IBM de Zurich, démontre, en 1964, que le résultat de ces mesures doit respecter certaines inégalités statistiques si l’argumentation EPR est correcte ou, au contraire, violer ces inégalités.

C’est en 1982 qu’a lieu l’expérimentation décisive réalisée par Alain Aspect et son équipe du laboratoire d'Orsay. Ils mettent en évidence, de façon irréfutable, la violation des inégalités de Bell et confirment que si l'on effectue une mesure sur l’une des particules jumelles, les probabilités associées à l’état de l’autre particule disparaissent. En termes plus simples, quand on joue sur le spin de l'une des particules, sa s?ur jumelle située à distance voit son spin modifié.

La théorie des quanta n’explique nullement comment l’état d’une particule peut déterminer l’état de l’autre. La possibilité que les instruments de mesure soient à certains égards interconnectés est

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éliminée à la suite des expériences d’Alain Aspect. Il faut donc expliquer ce qui devient un autre paradoxe quantique.

Certains physiciens, comme Costa de Beauregard, émettent l’hypothèse que la particule observée remonte le temps, pour informer sa jumelle de l'action effectuée sur elle, mais ils n'apportent aucune preuve.

Aujourd'hui, il nous est possible d'expliquer ce paradoxe quantique grâce à la réhabilitation du milieu. Si les ondes induites par la rotation de la première particule sont modifiées, sa s?ur jumelle voit son état modifié par la modification des ondes.

Ainsi, avons-nous quatre lois ou expériences qui prouvent l'existence de l'éther. Nous aborderons maintenant trois autres principes ou expériences qui prouvent que l'éther existe, et qui démontrent aussi qu'il est constitué de particules à charge électrique négative.

Je commencerai par l'effet Biefeld-Brown, du nom des deux physiciens qui découvrent ce qui, en physique, va devenir une loi : lorsque l'on soumet un condensateur à des charges et décharges sous haute tension et à haute fréquence, ce condensateur subit une force en direction de son pôle positif.

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En 1921, Townsend Brown travaille sur une expérience portant sur les tubes à rayons X, les tubes de Roentgen. Le jeune chercheur a l’idée de monter son tube en équilibre instable et lui applique une forte tension électrique, de l’ordre de 10 000 volts. Le tube a un léger sursaut, un peu comme s’il essayait de décoller. En 1923, l’effet est examiné pour la première fois en détail par Brown et le Dr. Paul Alfred Biefeld, professeur à l’université de Denison dans l’Ohio. Selon ce nouveau principe, un condensateur électrique chargé et déchargé de façon alternative subit une force dans la direction de son pôle positif. Cet effet est décrit dans un brevet que Townsend Brown dépose. Très longtemps, le silence est maintenu au sujet de cet effet, les scientifiques n’ayant aucun moyen d’apporter une réponse claire sur la source de ce phénomène.

A partir des années 30, Townsend Brown travaille pour le « Naval Research Laboratory » de la marine. Tous les projets de la marine auxquels il participe, sont classés top secret, en particulier le fameux projet « Philadelphia », qui consiste à rendre les bateaux invisibles à l'ennemi. Durant son séjour au « Naval Research Laboratory » et malgré la censure militaire, il poursuit en secret ses travaux sur l’application de l’effet Biefeld-Brown. Il construit des modèles réduits de véhicules spatiaux.

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Leur forme ressemble curieusement à celle des supposées « soucoupes volantes » et ce, pour des raisons d’efficacité maximale de propulsion. Étrangement, le phénomène des OVNI en forme de soucoupes est alors inconnu du grand public.

En 1953, Brown réussit à faire voler son gravitor, sur un parcours de 6 mètres de diamètre. L’appareil est relié à un fil qui lui fournit une tension de 50 000 volts. La vitesse de pointe de l’appareil est de 185 km/h.

En 1955, las d’attendre vainement une aide financière qui tarde à se manifester, Brown décide de se rendre en France, dans l’espoir de susciter un minimum d’intérêt. Il travaille pendant un certain temps pour la Société Nationale de Construction Aéronautique du Sud Ouest, laquelle réalisera plus tard la Caravelle et le Concorde sous le nom d'aérospatiale. La S.N.C.A.S.O. lui confie un laboratoire de recherche mais les militaires chargés d’évaluer l’intérêt de ses travaux, jugent que ce type de recherches ne mérite pas d’être poursuivi. J'ai connaissance d'une lettre de l'aérospatiale qui confirme que Brown a bien disposé d'un laboratoire au sein de cette société et que les généraux venus voir ses expériences, entre autre le général Tardy, ne sont nullement convaincus de l'intérêt militaire de

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ces expériences car aucun moyen pour embarquer l'énergie nécessaire sur un engin volant n'existe à l'époque.

Brown retourne aux États-Unis. À son arrivée il rencontre un homme fanatique de voyages spatiaux, Agnew Bahnson. Celui-ci met à sa disposition un laboratoire entièrement équipé. Il doit cependant interrompre ses recherches car Bahnson se tue l'année suivante dans un « accident » d’avion et ses héritiers ne montrent aucun intérêt par la propulsion électro-gravitique.

Malgré plus de 72 brevets dans 12 pays, jamais Brown ne parvient à développer sa découverte. Il fonde sa propre organisation de recherche et construit des modèles améliorés, tout cela dans l’état de la Californie, jusqu’à sa mort survenue le 22 octobre 1985.

Peut-être les connaissances d’aujourd’hui lui auraient-elles permis de comprendre les fondements de l’effet découvert avec son professeur et eut-il pu convaincre les institutions politiques de financer ses recherches.

Personne n'est en mesure d'expliquer comment se produit l'effet Biefeld Brown. Mais grâce aux connaissances sur la structure du milieu,

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j'ai pu fournir une preuve de cet effet, en démontrant que les particules du milieu sont attirées latéralement par l'électrode positive, comprimées, puis éjectées par l'électrode négative, provoquant, par réaction une force en direction du pole positif.

Ainsi cet effet constitue-t-il une preuve supplémentaire de l'existence des micro électrons.

Voici maintenant une preuve, toute simple, que vous pouvez reproduire vous-même si vous êtes un peu curieux ou que vous pouvez, tout au moins, voir en vidéo sur Internet : allez sous une ligne à haute tension, de 400 000 volts, s'il y en a une à proximité de votre domicile, et tenez un tube néon à la main. Vous verrez que le tube néon s'allume comme par magie.

Un tube fonctionne par décharge d'un courant électrique dans une atmosphère gazeuse de mercure sous basse pression. Lorsqu'on le met sous tension, des électrons sont émis par les deux électrodes de tungstène. Lors de cette expérience, comment le tube peut-il s'allumer, alors que nous savons que les molécules de gaz et de métal ne peuvent être excitées que par une décharge d'électrons, ou tout au moins de particules chargées négativement ?

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N'est-ce pas la preuve qu'un champ magnétique résulte de la mise en circulation des particules de l'espace par un champ électrique ? Et ces particules n'ont-elles pas nécessairement une charge électrique négative pour leur permettre d'allumer le néon ?

Cette expérience, simple et parfaitement connue, est une preuve convaincante de l'existence de ces micro électrons qui constituent le champ subquantique remplissant l'espace infini.

Voici la septième et dernière preuve, celle de l'univers électrique qui rassemble aujourd'hui une importante communauté de chercheurs.

Il y a un siècle environ, le norvégien Kristian Birkeland prouve que les aurores boréales ont un lien avec le soleil électrique. Plus tard, le suédois Hannes Alfvén reçoit le prix Nobel pour ses explications sur le circuit électrique solaire.

L'Univers électrique prend alors naissance, à partir des idées de ces deux astrophysiciens. Cette théorie se base sur les postulats suivants :

1 – L'espace n'est pas vide, mais rempli de plasma

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2 – L'univers est parcouru par un courant électrique qui relie les étoiles et les planètes entre elles.

Un plasma est un milieu constitué de particules, d'atomes ou de molécules ayant une charge électrique.

Cette théorie de l'univers électrique correspond parfaitement à ma théorie des micro électrons. Il est possible que s'établissent au sein du milieu des courants qui sont forcément des courants électriques, à condition qu'ils se bouclent. En effet, depuis Faraday, il est reconnu qu'un courant électrique ne peut exister que s'il se boucle. De même il ne peut exister un champ magnétique que s'il existe un champ électrique.

La force d'attraction gravitationnelle est induite par un courant électrique qui circule entre le côté nocturne et le côté diurne de notre planète. J'explique ainsi ce que sont les courants cosmiques et telluriques. Le courant électrique cosmique se boucle dans l'espace, entraînant la création du champ magnétique terrestre qui lui est perpendiculaire. La force d'attraction est donc une poussée qui résulte de la circulation des micro électrons et non une attraction, comme on le croit

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généralement.

Voici donc, non une seule, mais sept lois, expériences ou hypothèses qui accréditent l'idée selon laquelle l'éther existe et est constitué de particules élémentaires disposant d'une charge électrique négative. Ces particules vibrent en opposition de phase, créant un effet miroir. De ce fait, l'énergie est nulle en apparence et la rend invisible à nos yeux. Mais si l'on trouve le moyen de déstabiliser l'une des particules, nous pouvons extraire de l'énergie du milieu. Nous touchons ici à ce que de nombreuses personnes appellent l'énergie libre.

Pour une bonne compréhension du milieu cosmique et comprendre l'influence qu'exerce une masse sur ce milieu, je dois expliquer que toute matière repousse les particules du milieu par l'intermédiaire de ses électrons, créant un champ non uniforme. Aussi, la pression du milieu au raz de la terre n'est-elle pas la même qu'en altitude. Elle est plus faible. Il existe un gradient de la pression induit par une masse. Les lignes de même pression, que l'on appelle lignes isobares, sont rectilignes dans l'espace, mais elles se courbent en présence d'une masse. C'est ainsi qu'Einstein découvrit un phénomène purement physique qu'il expliqua par

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les mathématiques mais que nous pouvons expliquer plus simplement. Il existe un lien entre le rayon de courbure de l'espace temps et l'inverse du gradient de la pression du milieu induit par une masse.

Afin d'aller plus loin et expliquer comment il est possible d'aller à des vitesses supra luminiques, il me faut expliquer ce qui confère la masse ou le poids à un objet.

Dans le langage de tous les jours, personne ne fait la différence entre la masse et le poids d'un objet. Mais c'est une erreur car le poids et la masse sont deux grandeurs différentes qui ne rendent pas compte du même phénomène.

La masse d'un objet mesure la quantité de matière contenue dans cet objet c'est à dire la masse des particules, atomes ou molécules, qui le constituent. Ils créent ce que nous appelons la masse inertielle, c'est à dire la masse qui s'oppose au mouvement. La masse d'un objet est la même quel que soit l'endroit où se trouve l'objet dans l'univers. L'unité de masse est le kilogramme (kg). Les théories de la relativité, nous ont expliqué que cette masse varie en fonction de la vitesse de déplacement de l'objet.

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Le poids, lui, mesure la force d'attraction qu'exerce un astre sur un objet et cette force d'attraction est d'autant plus grande que cet astre a une masse élevée. Ce qui signifie que le poids d'un objet varie dans l'univers et dépend de l'astre où il se trouve. Ainsi sur la lune nous pesons environ six fois moins que sur la terre.

L'unité de poids est le Newton, nom donné à cette unité parce que ce fut Newton qui, le premier, s'aperçut que la Terre attirait les objets vers elle. Si un objet se situe à une grande distance d'un astre il ne subira aucune attraction et son poids sera quasiment nul. L'objet est en apesanteur, mais dispose de la même masse.

Poids et masse semblent donc être deux notions différentes, mais nous allons voir que ce n'est qu'une apparence.

Le poids est crée sous l'action de la circulation des micro électrons mis en mouvement par l'interaction entre deux masses, en l’occurrence, pour le poids de notre corps, entre la terre et notre corps physique. Un courant de micro particules nous traverse en permanence et se boucle entre notre tête et nos pieds. L'aura est le champ électromagnétique induit par ce champ électrique.

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C'est la résistance au passage du courant de particules qui crée le poids.

La masse, elle, devient tangible lorsqu'elle est mise en mouvement. Plus la masse est importante, plus il est difficile de la déplacer et plus elle va vite, plus sa masse augmente en relation avec sa vitesse. Là encore l'augmentation de la masse est due à l'éther qui traverse le corps.

Dans les deux cas, c'est donc le mouvement relatif entre le corps et l'éther qui induit le poids ou la masse. Pour le poids c'est l'astre sur lequel on se trouve qui induit la vitesse de l'éther et pour la masse, c'est le déplacement qui induit la vitesse relative entre l'éther et l'objet.

Si vous avez compris ce qui confère la masse à un objet, vous n'aurez aucune difficulté pour comprendre comment il est possible de conférer une masse nulle à cet objet, lui permettant de se déplacer à des vitesses supra luminiques : il suffit de faire un vide de particules devant la masse qui se déplace, en émettant un flux de positons.

Voici ce que dit Kryeon  en ses ouvrages :

«  Il vous reste à mettre au point la formule des sciences physiques. La première caractéristique

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de cette formule est de comprendre la densité de la matière ou masse.

« Vous voulez savoir ce qu'est l'antigravité ? Elle n'existe pas. Recherchez plutôt le secret de fabrication d'une masse variable. »

« Votre soi disant antigravité est en fait votre recherche du mécanisme qui crée les attributs de ce que j'appelle une condition sans masse... Pouvez-vous imaginer un objet avec une densité zéro, qu'elle qu'en soit la taille ? Bien peu de choses dans l'univers existent sous cette forme, mais elles peuvent être créées artificiellement en utilisant tout simplement les mécanismes de la masse, de ce qui détermine la masse réelle d'un objet. »

« Certains aspects d'un système lié peuvent être ajustés à certains attributs de masse, pendant que le dessous, le haut et d'autres côtés peuvent être ajustés différemment... Quelque chose qui n'existe pas au sein de l'univers dans une forme naturelle. Non seulement un attribut, ou un système connexe peut avoir une masse négative, mais un aspect peut aussi avoir une masse commune plus lourde qu'un autre. D'une précision coordonnée, ce système peut permettre un mouvement contrôlé avec précision sur tous les plans. »

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Selon la physique, un objet sans masse sera mis en mouvement avec une force minime qui lui conférera une vitesse pratiquement infinie.

Ainsi vous est-il possible de comprendre comment un engin de déplacement peut parcourir des milliers d'années lumière en quelques jours seulement.

Sans doute cet exposé vous permettra-t-il de sortir de l'idée d'enfermement qu'avait pu induire les théories de la relativité.

Contrairement à ce qu'on nous a laissé croire, nous serons, un jour, en mesure de rejoindre de lointaines galaxies. Mes théories ouvrent de nouveaux horizons avec la réhabilitation de l'éther et la compréhension des mécanismes des forces gravitationnelles, de la masse et du poids.

Les scientifiques pourront puiser en cet ouvrage des sources d'inspiration. Mais mon objectif est, avant tout, d’apporter des connaissances aux chercheurs en Alchimie.

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CHAPITRE 21

Les Forces Fondamentales de l'Univers

Ces forces sont au nombre de quatre, à l'origine de l'univers et de toutes ses manifestations :

1- La force nucléaire forte.

Le noyau d'un atome est composé de particules appelées « nucléons » qui comprennent des neutrons électriquement neutres et des protons chargés positivement, extrêmement liés. La cohésion du noyau est assurée par l'interaction forte, force principale dans le noyau, qui maintient les nucléons ensemble et les empêche de s'éloigner les uns des autres. Elle donne naissance à l'énergie nucléaire. Un gramme de carburant nucléaire équivaut à une tonne de dynamite. Elle est cent fois plus forte que la force électromagnétique et n'agit que sur des particules massives comme le proton et le neutron.

2 - La force électromagnétique.

Cette force, bien supérieure à la force de gravité, agit sur les particules chargées, soit

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positivement comme les protons, soit négativement comme les électrons. Elle forme les atomes en attachant les électrons aux noyaux. Elle soude les atomes en les obligeant à partager leurs électrons pour former les molécules. Elle pousse encore les molécules à se combiner à leur tour en de longues chaînes, la plus haute expression de ces chaînes étant l'ADN qui permet la vie.

3 - La force gravitationnelle.

Découverte au dix septième siècle par Isaac Newton, cette force attractive agit sur toutes les masses. Elle est la plus faible des quatre forces de la nature, mais c'est elle qui a la plus grande portée.

4 - La force faible.

Cette force permet aux neutrons de se transformer en protons et vice et versa. Lors de la radioactivité bêta, un neutron se désintègre en donnant naissance à un proton. C'est en 1896 que le physicien français Henri Becquerel découvrit ce processus de désintégration, sur une plaque photographique.

5 -Théorie de l'unification des Forces Fondamentales.

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Jusqu’à présent, les physiciens ont découvert les quatre forces mais cherchent toujours une théorie qui pourrait les unifier. Ils pensent, en effet, que ces forces, en apparence fondamentales, résulteraient d’une seule et unique force plus fondamentale encore ou d'une seule cause. De cette idée sont nés les efforts de ces dernières décennies pour unifier les quatre forces que nous connaissons.

Trois américains, récompensés par le prix Nobel de physique en 1979, réussirent à unifier la force nucléaire faible avec la force électromagnétique en une seule et même interaction, baptisée « électrofaible ».

6 - Unification finale.

Reste à unir la relativité générale d'Einstein, qui s'applique à l'Univers, avec la mécanique quantique des particules, qui régit l'infiniment petit. Le fruit de ce casse-tête porte le nom de « théorie du tout ».

Dans ce cadre, est née la « théorie des cordes ». Selon cette théorie, les objets élémentaires sont représentés par des entités mathématiques linéaires à une dimension, les cordes, que l'on pourrait assimiler à de petits élastiques. Plus besoin d'une multitude de particules. Toutes seraient

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constituées de cordes, voire d'autres objets étendus, comme des membranes. Elles vibreraient dans un espace-temps à dix dimensions, ce qui en ferait un électron, un quark, un photon...

Cette théorie des cordes reste à élaborer plus concrètement et n'a pas encore été confrontée aux résultats expérimentaux. La quête du Graal des physiciens dispose encore de beaux jours devant elle !

7 - Hypothèses sur la formation des particules et l'origine des quatre forces.

Cela pourrait être beaucoup plus simple si les particules élémentaires et les quatre forces fondamentales avaient pour origine les micro-électrons constitutifs du milieu cosmique de notre univers et les micro-positons, constitutifs de l'univers jumeau, ainsi que les micro-neutrinos issus de leur combinaison.

Origine des Particules.

Supposons qu'un micro-électron et un micro-positon puissent fonctionner en couple, exactement comme un petit aimant, sans se détruire. Ce petit aimant, considéré comme un micro-neutrino, pourrait alors attirer d'autres couples.

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Positons-électrons.

A partir de cette hypothèse, il est possible de construire d'autres particules, celles-ci étant un empilage de neutrinos, couples de micro-électrons et de micro-positons. Si la particule est uniquement constituée de micro-neutrinos, elle sera neutre, mais si elle attire des micro-électrons sur sa périphérie externe elle acquerra une charge négative. Si elle attire des micro-positons, elle sera positive.

Il est alors facile d'imaginer la structure d'un électron ou d'un positon : un ensemble de couples de micro-neutrinos avec des micro-positons ou des micro-électrons à l'extérieur.

Noyaux

A partir du couple positon/électron qui forme un gros aimant, et des positons, il est possible de construire tous les noyaux des éléments connus. Un noyau serait un ensemble d'électrons/positons, avec des positons à la périphérie, fixés sur des électrons.

Certains me diront qu'il ne peut en être ainsi puisque électrons et positons s'annihilent. Cela est exact, mais cette annihilation est le résultat de la collision de ces particules. Jeter l'un contre l'autre deux paquets d'aimants, ils éclateront en petits

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aimants de base. Mais si vous les rapprochez doucement, ils se colleront l'un à l'autre.

Photons.

Les photons, de masse et de charge nulles, sont à l'origine de toutes les ondes électromagnétiques. Selon l'hypothèse émise, ce serait des « paquets » de micro-électrons, disposant d'une énergie plus ou moins grande, qui se manifesteraient sous forme d'ondes radio, ondes radar, micro-ondes, infra rouges, lumière visible, ultraviolet, rayon X ou rayon gamma. Ces derniers ont une énergie 10 000 fois supérieure à celle des ondes de la lumière visible.

Prenons, pour exemple, la lumière émise par un tube fluorescent. Celui-ci contient du mercure à l'état gazeux dont les atomes sont ionisés sous l'effet d'un courant électrique circulant entre les électrodes placées à chaque extrémité. Les atomes de mercure émettent un rayonnement ultraviolet, lequel est converti en lumière visible par la poudre fluorescente déposée sur les parois du tube. Le rayonnement ultraviolet est émis lors du saut quantique d'un électron du mercure qui passe de la couche électronique externe sur une couche plus interne pour revenir sur sa couche de départ. Les

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sauts quantiques sont l'unique cause des émissions électromagnétiques. 

S'il existe des sphères de micro-électrons entre les couches électroniques, il est facile de comprendre ce que sont les rayonnements électromagnétiques : des paquets de micro- électrons émis avec plus ou moins d'énergie par le saut quantique des électrons.

Le photon serait donc un paquet de micro- électrons.

Les micro-électrons ont une charge électrique, alors qu'un photon constitué de ces particules n'en a pas. Ce paradoxe s’explique par le fait que les micro-électrons, au sein du photon, vibrent en opposition de phase. Leur énergie globale est nulle et, de ce fait, un photon apparaît sans masse ni charge.

Force gravitationnelle.

J'ai démontré qu'elle avait pour origine les micro-électrons de l'espace, ces derniers correspondant aux gravitons du modèle standard.

Force Forte.

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Certains chercheurs pensent avoir démontré l'existence du gluon lors d'expériences d'annihilation d'un électron et d'un positon. De masse nulle, électriquement neutre, ce gluon serait le ciment nucléaire à l'origine de la force forte.

Selon les physiciens, le proton serait constitué de deux quarks up, avec une charge positive correspondant à + 2/3e, et d'un quark down, avec une charge négative de -1/3e, alors que le neutron serait constitué d'un quark up et de deux quarks down. Un quark down peut se décomposer en un quark up avec émission d'un électron et d'un antineutrino. A partir de ces données, nous pouvons comprendre qu'un neutron est constitué de plusieurs positons et électrons et qu'un proton a un électron de moins qu'un neutron.

Ainsi, le noyau serait un empilage d'électrons et de positons qui se colleraient les uns aux autres comme le feraient des aimants, avec un excédent de positons à la périphérie du noyau, collé à un électron plus interne.

La force forte s'expliquerait alors par l'attraction qu'exercent entre eux l'électron et le positon. Le ciment nucléaire serait, en fait, les micro-électrons et les micro-positions dont ils

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seraient constitués à leur périphérie. Le gluon de la théorie des particules du modèle standard correspondrait alors à l'une de ces deux particules associées à son opposé qui, ensemble, serait neutre. Notons que le gluon est un boson de charge et masse nulles comme l'est l'association d'un micro-électron et d'un micro-positon.

Force Faible

La désintégration bêta et la capture électronique sont deux modes de transformation des noyaux dues aux  forces faibles. L'une et l'autre modifient la composition en protons et neutrons d'un noyau, la charge électrique du noyau augmentant ou diminuant d'une unité. Cette variation de charge est compensée par l'émission d'un corpuscule chargé, un électron ou un positon, ou plus rarement par la capture d'un électron. Ces transformations sont accompagnées de corpuscules, les  neutrinos ou les antineutrinos.

Pour comprendre les processus quantiques mis en ?uvre lors de ces transmutations, il faut connaître les récentes découvertes en physique des particules.

Peter Ware Higgs est un physicien britannique qui reçut le prix Nobel de Physique en

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2013 pour la découverte du boson de Higgs qui porte son nom. Ce boson forme autour du noyau ce qui est appelé le « champ de Higgs ». Ce champ intervient dans les transformations nucléaires. Il confère, entre autre, une masse aux bosons de l'interaction faible. Cette particule élémentaire constitue l'une des clés de voûte du modèle standard de la physique des particules. Elle est susceptible d'ouvrir la voie vers une nouvelle physique.

C'est aussi mon avis, car pour moi, il y a corrélation entre le champ de Higgs et le milieu cosmique dont j'ai démontré la structure. La différence réside simplement dans la densité du champ. Le champ de Higgs est un champ super dense par rapport à la densité du milieu cosmique au niveau de la terre, mais la nature et la structure du milieu est la même. Seule la pression diffère. Cette corrélation permet de comprendre comment il est possible d'unir l'infiniment petit et l'infiniment grand, ce que recherche les physiciens dans des théories comme celle des cordes.

Pour leurs contributions majeures à l'unification des interactions faible et électromagnétique, Sheldon Glashow, Abdus Salam et Steven Weinberg reçurent le prix Nobel de physique, en 1979.

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Force Électromagnétique.

L'interaction électromagnétique est la deuxième des quatre forces élémentaires  dans l'ordre des puissances. Elle est près de cent fois plus faible que l'interaction forte, mais dépasse les interactions faibles et gravitationnelles d'un facteur 10 puissance 3 et 10 puissance 38.

Selon l'électrodynamique quantique les charges électriques interagissent par échange de photons.

Personne n'ignore que des charges électriques au repos s'attirent si elles sont de charges opposées et se repoussent si elles sont de même charge.

A partir de la connaissance du milieu cosmique, il est facile de démontrer que les forces électromagnétiques qui attirent ou repoussent les particules chargées résultent de l'interaction de ces charges avec le milieu.

La particule chargée positivement attire les micro-électrons de l'espace et la particule chargée négativement les repousse. La pression du milieu sur les faces en vis à vis est moindre que sur les autres faces et les particules s'attirent. Si les particules sont de même charge, c'est le contraire

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qui se produit et les particules se repoussent.

En fait la théorie quantique et la théorie des micro-électrons sont proches l'une de l'autre. En effet, il s'effectue une circulation de micro-électrons entre les particules et il y a bien des échanges de particules, mais au lieu que ce soit des photons qui, je le rappelle, sont des paquets de micro-électrons, ce sont les micro-électrons eux-mêmes qui interviennent dans ces échanges.

En électrostatique, la loi de Coulomb exprime la force de l’inter-réaction électrique entre deux particules chargées électriquement. Elle fut énoncée par le physicien français Charles Augustin Coulomb en 1785.

La force de Lorentz est la force subie par une particule chargée dans un champ électromagnétique. Elle doit son nom au physicien néerlandais Hendrik Antoon Lorentz (1853-1928).

La règle de la main droite permet de déterminer le sens et la direction des forces de Lorentz pour les particules déviées, de Laplace pour les machines électriques ou bien de de Lenz/Faraday pour la force électromotrice.

En fait, ces trois forces ont la même origine.

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Elles sont générées par l'interaction entre un champ électromagnétique et des particules chargées.

La création de cette force est simple à comprendre si l'on sait qu'un champ magnétique correspond à la mise en circulation des micro-électrons de l'espace par un champ électrique. Il est alors facile de comprendre qu'une particule chargée qui se trouve dans un champ magnétique, subit une force, par opposition des charges.

Ainsi les forces électromagnétiques, qu'elles s'expriment par interaction entre particules chargées ou par interaction entre ces particules et un champ électromagnétique, ont-elles pour origine les micro-électrons du milieu.

Conclusion.

Les quatre forces, gravitationnelle, forte, faible et électromagnétique auraient donc pour origine les microparticules constitutives de nos deux univers jumeaux.

Elles seraient à la base de la structure des mondes et de toutes les formes manifestées, ayant pour origine ce qu'il est convenu d'appeler le "sang du Grand Constructeur", constitué de microparticules négatives dans notre univers et

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positives dans l'univers jumeau. Cette énergie émane de la source et nous relie à elle.

Comprenez que ce que j'explique des forces fondamentales n'est pas en contradiction avec le modèle standard des particules de Fermi-Dirac et de Bose-Einstein. Je propose simplement de compléter cette théorie par les micro-électrons, les micro-positons et les micro-neutrinos dont il me semble avoir largement démontré l'existence.

La compréhension de la structure du noyau atomique des atomes permet d'expliquer comment s’opèrent les transmutations métalliques, tel que les Physiciens et les Alchimistes les réalisent.

Mais auparavant, nous allons examiner les dernières découvertes sur la fusion froide qui ressemble tellement aux transmutations réussies par les Alchimistes.

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CHAPITRE 22

La Fusion froide

Les Alchimistes des siècles passés affirment avoir effectué des transmutations à froid, en transformant le mercure ou le plomb en or.

Les scientifiques ont toujours refusé de croire à cette possibilité, jusqu'au jour, c'était en 1989, où deux électro chimistes, Pons et Fleischmann, déclarèrent avoir réussi à obtenir une réaction de fusion nucléaire à froid lors d'une banale expérience d'électrolyse effectuée avec une paire d'électrodes, dont une de palladium, reliées à une batterie et immergées dans de l'eau lourde.

Lors de cette expérience, ils auraient mesuré un important dégagement de chaleur excédentaire qu'ils interprétaient comme la résultante d'un phénomène de fusion nucléaire contrôlée.

Plusieurs équipes de recherche ont alors tenté de reproduire leurs résultats, sans y parvenir. Un comité organisé par le département de l'Énergie des États-Unis conclut qu'il n'y avait pas de preuves convaincantes et qu'aucune source d'énergie utile ne pourrait résulter de ces recherches. Cinq ans plus

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tard, la plupart des gouvernements et des chercheurs déclaraient ne plus poursuivre de recherches sur le phénomène.

Mais d'autres chercheurs, les professeurs italiens Piantelli et Focardi, en observant des échantillons de matière organique placés dans une atmosphère d'hydrogène sur un support de nickel, remarquèrent une production anormale de chaleur.

Andrea Rossi, sollicite en juillet 2007 le professeur Focardi, pour examiner ses propres travaux sur les réactions Ni-H. Ce dernier confirme que le dispositif Rossi fonctionne, et une collaboration s'ensuit.

Dans un article publié en 2010, Sergio Focardi et Andrea Rossi présentent un processus capable de produire de grandes quantités d'énergie par fusion nucléaire entre du nickel et de l'hydrogène.

Deux années d'essais plus tard est annoncée la construction d'un réacteur nickel-hydrogène par des réactions nucléaires à basse énergie (LENR).

Le processus est fondé sur l'utilisation d'une barre de nickel, chargée en hydrogène, dont la température est maintenue par une résistance

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électrique à environ 200-400 °C. Lorsque la réaction est déclenchée, la barre de nickel émet plus d'énergie que nécessaire pour ses besoins de chauffage. Il peut se produire une émission faible et discontinue de rayons gamma, qui pourrait indiquer une possible origine nucléaire du phénomène.

Un rapport écrit par des scientifiques suédois et italiens donne des informations détaillées sur l'expérimentation du nouveau réacteur d'Andrea Rossi.

Ce document montre que ce réacteur est parvenu à produire de la chaleur à haute température pendant un mois avec une charge de un gramme d'un combustible à base de nickel. Les mesures thermiques ont été faites avec beaucoup de soin. Elles ont montré la production de 3,6 fois plus de chaleur que de puissance électrique injectée. Pendant les 32 jours de fonctionnement, le réacteur a fourni un excèdent de 1,5 mégawattheures. Cette énergie ne peut être expliquée par une réaction chimique. Il s'agit donc d'un phénomène nucléaire.

Deux laboratoires utilisant des techniques différentes firent des analyses sur la poudre de départ ainsi que sur les cendres en fin d'expérience. Il constatèrent que le nickel 58 se transformait en

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nickel 62 par capture de 4 neutrons.

Le seul véritable problème, c'est que nul théoricien n'a pu expliquer comment cela fonctionne !

La logique veut que l'hydrogène, le plus simple des atomes puisqu'il est composé d'un seul proton et d'un seul électron, intervienne dans cette réaction nucléaire. Si l'électron de l'atome d'hydrogène est capté par un atome de nickel, le proton libre se transforme en neutron en capturant les particules du milieu, lequel neutron participe à la mutation du Nickel.

Mais il faut connaître et comprendre l'existence des particules du milieu pour imaginer comment un proton libre peut se transformer en neutron, en dehors du noyau et des forces faibles, en libérant, bien sûr, une petite quantité d'énergie.

En France, le débat est très vite clos : le haut-commissaire à l'énergie atomique (CEA), refuse d'engager des recherches sur la question de la fusion froide. Il n'est pas question de remettre en cause les faramineuses sommes d'argent investies par la France dans la fusion chaude du projet ITER qui devrait, en collaboration avec les japonais, aboutir dans 40 années, lorsque le pétrole se sera raréfié et

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que les centrales nucléaires seront amorties.

Il devient de plus en plus évident que les transmutations nucléaires à froid sont possibles. Nous avons vu dans le précédent ouvrage que la transmutation des Alchimistes est éloignée de celle qui se produit dans le générateur Rossi, même s'il s'agit, dans chacun des cas, d'une transmutation à froid.

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CHAPITRE 23

Les synchronicités de la vie.

L'un de mes amis et son épouse nous rendaient parfois visite dans la région de France où nous étions installés. Je l'invitais à poursuivre ses recherches. Mais il ne se sentait guère le courage de poursuivre seul ce qui, pour lui, semblait une inaccessible réalité. Mes autres amis, installés dans le sud-ouest, poursuivaient leurs recherches dans la voie du cinabre, jadis suivie par Monseigneur Caro.

Au cours de l'automne 2016 nous nous retrouvions pour une réunion amicale et des échanges sur nos travaux respectifs. Nous convînmes qu'il ne nous était plus possible d’?uvrer ensemble et que nos chemins étaient dorénavant différents.

Quelques années plus tard, je rencontrais Jacques et Andréa. Ils allaient m'aider à poursuivre mes travaux. Sans eux, je n'aurais sans doute pas eu le courage de poursuivre mes recherches. Ils furent le stimulant indispensable pour que je ne me décourage pas et que je puise, en nos échanges, l'énergie nécessaire pour surmonter les dernières difficultés.

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Je connaissais Jacques depuis longtemps. Nous étions amis, mais il n'avait jamais manifesté le moindre intérêt pour la Sainte Science et je me gardais bien d'aborder cette question avec lui. Nous avions partagé des travaux sur l'énergie libre. Il était passionné par les énergies non polluantes et avait réalisé quelques prototypes en ce domaine. Par contre, je ne connaissais pas encore Andréa.

Lors d'une réunion sur l'énergie libre, je fis la connaissance d'une agréable personne qui demanda de me rendre visite, accompagnée d'une amie, pour des échanges dans les domaines évoqués lors de notre rencontre. Cette amie, Andréa, allait manifester de profondes connaissances en symbolisme, littérature alchimique et un puissant intérêt pour la Sainte Science.

Sans doute n'y aurait-il jamais eu de suite si le destin n'en avait décidé autrement. Pourquoi Jacques me demanda-t-il s'il était possible de lui transmettre des informations sur l'Alchimie lors de son prochain séjour ? Cette demande et la rencontre avec Andréa étaient, pour moi, les synchronicités révélatrices de la voie que je devais suivre afin de répondre aux attentes de nos Maîtres.

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Je n'hésitais pas un instant et proposais à Andréa et Jacques, de leur transmettre mes connaissances sur les matières et les opérations de l’?uvre, en dehors des multiplications que je ne maîtrisais pas encore, ainsi que le symbolisme alchimique. En contrepartie, ils assureraient la promotion de mes ouvrages.

C'est ainsi, qu'ensemble, nous parcourûmes une partie des années suivantes, à la recherche de la pierre philosophale. Ensemble, nous avons décrypté les ouvrages de Fulcanelli, « Atalante Fugitive » de Michel Maïer, puis « L'entrée ouverte au palais fermé du roi » de Philalèthe. Andréa et jacques n'eurent aucune difficulté pour comprendre le Grand ?uvre et son symbolisme. Mais il faut reconnaître qu'il est plus facile de comprendre le symbolisme quand on connaît les opérations, que de découvrir les opérations au travers du symbolisme.

Lors du décryptage du « Mystère des Cathédrales » et des « Demeures philosophales » nous prîmes conscience que Fulcanelli est le plus grand Cabaliste et Alchimiste de tous les temps. Son ?uvre est presque complète et décrit, sous le voile du symbole, l’intégralité des opérations, celles de la voie humide comme celles de la voie brève. C'est la raison pour laquelle, mes ouvrages comportent peu

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de révélations. Je dois avouer que ni Fulcanelli, ni moi-même n'avons parlé des techniques permettant la fabrication du mercure philosophique. Nous nous devions de réserver cette partie de l’?uvre et laisser le soin aux étudiants en la Sainte Science d'obtenir l'aide de leurs guides ou de leurs Maîtres pour résoudre cet ultime secret.

En revanche, j'apporte en mes ouvrages, un éclairage nouveau sur cet Art si proche de la physique. L'Alchimie est, avant tout, la science de l'énergie, cette énergie dont les transmutations prouvent l'existence. Base de la formation de l'univers, des lois et des forces qui le régissent, son utilisation transformera notre monde et nous propulsera dans l'exploration des espaces infinis.

La Sainte Science est exigeante et seuls les plus aguerris et les plus motivés parviennent à la connaissance du processus opératoire.

Durant quelque temps, j'ai éprouvé des regrets de ne pouvoir poursuivre une collaboration avec mes premiers amis, partis à la découverte d'autres voies. Mais j'ai compris qu’il valait mieux que chacun progresse indépendamment et parvienne à la compréhension de l’?uvre par des chemins différents.

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CHAPITRE 24

Vers des changements fondamentaux.

Urantia Gaïa, notre si belle planète, est notre lieu de vie et d'expérimentation. Elle nous nourrit et nous offre une vie florissante. Plusieurs millions d'espèces y cohabitent.

Beaucoup de chercheurs, dans le domaine de l'énergie libre, rêvent de voir une plus grande application des énergies non polluantes, permettant de réduire les conséquences néfastes de notre consommation de pétrole et d'énergie nucléaire.

Mes ouvrages ont démontré la possibilité d'utiliser une énergie inépuisable issue des microparticules de l'espace. La manière dont ces dernières induisent les forces gravitationnelles, permet de concevoir les moyens pour produire cette énergie capable d'apporter une solution à la pollution de la planète.

Les intérêts en place le permettront-ils ? Dans le passé, beaucoup de chercheurs furent poursuivis et réduits au silence. Ce fut le cas pour Nicolas Tesla, l'inventeur du courant triphasé. Cet inventeur reçut le soutien des financiers lorsque ses

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découvertes servaient leurs desseins. Mais lorsque Tesla proposa la production d'électricité gratuite, tirée de l'énergie électromagnétique de la planète, et qu'il proposa de transmettre celle-ci à distance, sans fil, il fut réduit au silence par la suppression des financements capables de développer ses inventions. Les financiers n'avaient aucun intérêt à développer des technologies qui ne pouvaient les enrichir.

Ce fut la même chose pour des inventeurs comme Searl ou Schauberger, et beaucoup d'autres...

Il en est de même aujourd'hui, où ceux qui dirigent ce monde ne peuvent accepter l'émergence de solutions qui supprimeraient leurs intérêts. Il est fort probable que l'autorisation de produire des générateurs Rossi pour des applications individuelles sera refusée. Il existe pourtant des solutions intermédiaires, acceptables par tous.

Il est possible de développer des appareils réduisant les consommations d'énergie de manière sensible, tout en laissant aux intérêts en place le temps de se reconvertir. Déjà, se développent des matériels qui réalisent 10 à 20% d'économie.

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D'ici quelques années des économiseurs plus performants seront élaborés sur la base des connaissances transmises en cet ouvrage. Le développement de cette technologie démontrera le bien-fondé de l'existence des micro-électrons qui nous relient à la source de toute vie.

Puis, dans quelques années ou décennies, des générateurs autonomes verront le jour. Le pétrole et le nucléaire disparaîtront peu à peu, au fil de leur utilisation. L'instauration de la Paix, dans le respect absolu des différences, nous ouvrira la porte d'une collaboration fructueuse avec nos Frères et S?urs de l'espace. Une nouvelle ère s'ouvrira devant nous...

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CHAPITRE 25

Pour un monde meilleur.

L'ère des Poissons s'en est allée et l'ère du Verseau est commencée. Elle sera une ère de communication, d'échange et de partage, une ère où le collectif primera sur l'individualisme. Mais nous vivons encore dans les troubles du passage, dans les difficultés qu'éprouvent une majorité d'humains à comprendre qu'ils sont des êtres éternels, empruntant des véhicules éphémères, à qui il est offert une merveilleuse opportunité de changement.

Cet ouvrage offre des solutions à des énigmes scientifiques, mais il donne aussi des possibilités de réflexion au niveau de l'économie, de l'éducation, de la société, de la politique, de la santé, et bien d'autres domaines pour la création d'un monde plus humain auquel beaucoup aspirent aujourd'hui.

Il nous appartient de créer les changements attendus dans la voie qui nous motive le plus, écoutant notre talent et suivant notre passion. Il est possible de concrétiser des choses qui n’étaient pas réalisables auparavant. Notre monde dispose d’une réserve d’énergie spirituelle mise à sa disposition,

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afin de favoriser le plan qui doit s'épanouir. Il sera donné une force hors du commun à celles et ceux qui auront le courage d’être des acteurs et des actrices dans la création du nouveau monde.

La Science alchimique permet les transmutations métalliques et offre une médecine capable d'allonger la vie. Elle démontre l'existence d'une énergie issue de la Source et prouve que nous lui sommes reliés. Cette connaissance nous laisse entrevoir quelles sont nos origines et nous permet de comprendre que nous sommes issus d'un même Père. Ainsi l'unification de toutes les croyances est-elle permise par cette connaissance. Sur cette base, nous pouvons créer une société riche de ses différences dans l'amour inconditionnel, base de la Paix et de l'Harmonie des mondes libres.

Je vous invite à lire les ouvrages de Kryeon, Soria et Adama. Ces ?uvres offrent de multiples informations sur nos origines et notre destinée. Nous sommes invités à construire un monde où le libre arbitre ne sera plus source de mainmise et de pouvoir, mais la base d'une égalité acceptée entre tous les êtres, quelque soit le lieu où ils sont nés. La société future offrira la possibilité d'épanouissement sur le chemin que chacun choisira. Le monde libre ne permettra plus l'accumulation de richesses au

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profit de quelques-uns, mais offrira la possibilité d'un bonheur partagé.

Ce monde sera de toute façon, quels que soient les aléas pour l'atteindre. Ainsi le veut la destinée du monde. Nous sommes au temps de la Parousie et l'étape actuelle veut que les humains déterminent leur devenir, qu'ils choisissent entre ces trois possibilités qui leur sont offertes : poursuivre leurs expériences dans une troisième dimension, rejoindre un plan plus subtil d'expérimentation, ou bien réaliser l'union de leur trois natures dans la fusion du corps, de l'âme et de l'esprit. Ils se regrouperont, à un moment futur mais proche, selon les choix effectués. Cette étape est incontournable.

Il est souhaitable que nous soyons nombreux à faire les efforts pour rejoindre un plan plus subtil. Il y a toujours un effort à fournir, cela fait partie de l’expérience. Offrons simplement à notre mental la possibilité de s'apaiser et à notre c?ur de s'ouvrir. La partie divine, au centre de ce c?ur, nous guidera vers un chemin en harmonie avec la destinée du monde et l'époque de transition que nous vivons. Ainsi profiterons-nous de cette opportunité qui ne se représentera pas avant plusieurs millénaires.

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Trop d'humains pensent encore que rien ne perdure après la mort du corps physique et ne font aucun effort pour découvrir que nos chers disparus sont proches de nous et disposent d'une conscience élargie par rapport à celle qu'ils avaient en incarnation. La conviction de la survivance de l'âme est importante. Cette conviction est susceptible d'établir une fructueuse collaboration entre notre conscience incarnée et cette âme chargée de nous guider. Laissons notre ego de côté et interrogeons-la. Elle nous dira qu'elle ne souhaite plus expérimenter les conditions offertes par une troisième dimension et qu'elle désire nous offrir les possibilités de plans plus agréables.

Il existe de multiples preuves de la survivance de l'âme. Le jour où vous reconnaîtrez son existence, que votre conscience incarnée acceptera une collaboration intime avec elle, que vous déciderez d'apaiser votre ego et d'ouvrir votre c?ur, vous aurez créé les conditions d'une parfaite collaboration avec vos Frères et S?urs disposés à faire de même. Les portes des dimensions supérieures s'ouvriront pour vous et, ensemble, nous pourrons réaliser nos espérances communes, dans ce nouveau monde qui nous attend...

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CHAPITRE 26

Récapitulatif.

Voici le récapitulatif de ce que mes recherches m'ont permis d'apporter comme connaissances nouvelles à la physique, à l'astrophysique et à l'alchimie, mais aussi aux sciences de la vie.

A – ASTROPHYSIQUE.

1 – Structure du milieu cosmique.

L'espace n'est pas vide, mais constitué d'un plasma formé de microparticules à charge électrique négative. Les astrophysiciens qui ont émis l'hypothèse de l'univers électrique et obtenu, pour certains, le prix Nobel, trouveront dans mes ouvrages la validation de leurs travaux.

2 – Structure des étoiles.

Toutes les étoiles seraient creuses avec, en leur centre, un noyau d'antimatière, une couche de matière située à une certaine distance et, entre les deux, des micro-électrons servant d'isolant.

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3 – L'antimatière.

L'antimatière, au sein de l'univers, se cacherait à l'intérieur des étoiles et serait donc invisible à nos instruments.

4 – Force gravitationnelle.

Elle serait la résultante de la mise en mouvement des particules du milieu sous l'effet d'une pression plus importante du côté nocturne que du côté diurne. Il s'agirait d'une poussée et non d'une attraction.

5 – Trous noirs.

Ils seraient constitués d'antimatière, à la base de la formation des étoiles.

6 – Univers jumeau.

La théorie des univers jumeaux se trouve confortée par un certain nombre d'éléments, dont l'hypothèse des micro-positons qui découle de celle des micro-électrons. Elle confirme les travaux de Jean Pierre Petit, astrophysicien, auteur d'une théorie comparable à celle émise en cet ouvrage.

7 – Matière noire.

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En complément de la matière diffuse au sein du halo sphérique propre à chaque galaxie, elle serait à rechercher dans l'existence de matières de fréquences vibratoires différentes de celles que nous connaissons, lesquelles seraient invisibles à nos yeux, comme à nos engins de détection.

8 – C?ur de l'univers.

Ce c?ur serait la source de toute vie. Tout émanerait de ce lieu et tout retournerait à lui. Le Big Bang serait un phénomène périodique. Ainsi, de manière plus logique que les actuelles théories, l'univers existerait de toute éternité, rien ne se créerait, tout se transformerait...

B – PHYSIQUE.

1 – Énergie.

Les microparticules de l'espace ouvrent la voie à l'énergie libre et aux techniques qui permettront d'extraire l'énergie dont nous aurons besoin, sans polluer notre planète. Deux techniques seront mise en application dans le futur, celle développée par Nicolas Tesla à partir du champ électromagnétique de la planète et celle que nous tirerons des particules de l'espace pour nos voyages interstellaires.

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2 – Forces fondamentales.

L'unification de ces quatre forces est réalisable à partir des micro-électrons et des micros positons.

3 – Transmutation à froid.

Les transmutations alchimiques démontrent la possibilité des transmutations à froid, grâce à l'accumulation de micro-électrons au sein de matières purifiées.

4 – Formule E=mC2

Les réactions nucléaires de nos centrales et l'explosion de bombes atomiques ont permis de vérifier cette célèbre formule. La réversibilité de la formule peut être démontrée par l'Alchimie.

5 – Théories de la relativité.

Elles sont exactes, mais il faudrait les compléter en précisant que la vitesse de la lumière est une fonction de la pression du milieu. De même faudra-t-il remplacer la notion d'espace-temps par la notion de milieu cosmique déformable, le rayon de courbure de l'espace-temps correspondant à l'inverse

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du gradient de la pression du milieu.

6 – Vitesse de la lumière.

Elle est une fonction de la pression du milieu et peut, au sein de l'univers, varier de zéro à l'infini.

7 – Vitesse limite d'un objet en déplacement.

Cette vitesse limite est une fonction de la pression du milieu devant l'engin de déplacement. Elle peut être très supérieure à la vitesse de la lumière.

8 – Structure de l'atome.

L'existence de sphères de micros électrons entre les couches électroniques des atomes complétera notre connaissance de l'atome.

9 – Nature de la lumière.

Elle serait de nature corpusculaire par les micro-électrons éjectés hors des atomes, lors de sauts quantiques d'électrons et de nature ondulatoire par les vagues produites par ces particules au sein du milieu cosmique.

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10 – Particules fondamentales.

La liste des particules doit être complétée par les micro-électrons, les micro-positons et les micro-neutrinos, composants de toutes les autres particules, mais aussi de tous les atomes de matière et d'antimatière.

11 – Champ électromagnétique.

Il résulterait de la mise en mouvement des micro-électrons de l'espace sous l'action de la circulation en circuit fermé des électrons au sein d'un conducteur.

12 – Forces de cohésion.

Elles résulteraient du gradient de la pression induit par la pénétration des micro-électrons au c?ur de la matière.

13 – Moyens de communication.

Ils sont, aujourd'hui, basés sur la propagation d'ondes électromagnétiques à une vitesse proche de celle de la lumière. La connaissance du milieu cosmique permettra d'élaborer des moyens de communications qui ne seront plus basés sur la propagation de photons,

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mais sur la propagation d'ondes au sein du milieu. La vitesse de ces ondes est infiniment plus élevée que la vitesse de la lumière et permettra des communications ultra rapides. Il sera possible de communiquer d'un bout à l'autre de notre système solaire et même de notre galaxie.

C – SCIENCES DE LA VIE.

1 – Structure du corps.

La connaissance de cette structure et du rôle de l'énergie cosmique dans le maintien de la santé permettra à la médecine de faire un grand pas en apportant les soins adéquats au corps éthérique avant que la maladie n'apparaisse. Des appareils détecteront les fuites énergétiques au niveau des organes et permettront aux médecins de soigner les causes des maladies et non plus leurs simples effets.

2 – Structure de l'âme.

La connaissance de la nature de l'âme permettra de mieux comprendre qui nous sommes et ce que nous venons chercher au contact de la matière.

3 - Élévation de la conscience.

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L'Alchimie apporte des connaissances qui permettent cette élévation et affirme la volonté d’?uvrer pour un monde plus juste et fraternel.

4 – Longévité du corps humain.

L'Alchimie démontre, au travers de la médecine universelle, la possibilité de prolonger la durée de la vie, mais aussi la possibilité de développer les capacités du véhicule humain par la restauration des douze brins d'ADN.

D – ALCHIMIE.

Elle est la plus belle de toutes les sciences ! Elle est la « Sainte Science », la science de la pureté, la science de l'énergie !

Elle nous aide à comprendre qui nous sommes, d'où nous venons et où nous allons. Elle est l'espoir pour un monde meilleur, un monde sans souffrance où les corps que nous utiliserons nous offriront des possibilités incroyables et inconnues à ce jour.

En attendant ce futur enchanteur, nous pouvons mesurer les apports de l'Alchimie aux autres sciences, par ce récapitulatif de mes découvertes.

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Puissent les scientifiques et les ingénieurs offrir des applications pratiques, au service de tous les hommes et femmes de cette planète et non plus au service de quelques puissants seulement !

Puissions-nous être nombreux à expérimenter la Sainte Science, à l'élaborer le plus beau joyau qui soit en ce monde, et en faire un usage conforme à la Sagesse !

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CHAPITRE 27

Concordances.

Énergie de l’espace, terre creuse et continent central, soleil intérieur antimatière et sphères jumelles sont des sujets que peu de personnes osent aborder. Et pourtant, les recherches dans le domaine de l’énergie de l’espace pourraient à elles seules transformer notre civilisation et apporter d’incroyables avancées technologiques. Les hypothèses que j’ai émises disposent d’une base scientifique et répondent à des lois physiques faciles à comprendre. Elles demandent simplement à être validées par l’expérience. Encore faudrait-il qu’elles soient prises en compte et que les recherches soient entreprises.

Il est une autre validation que j’ai beaucoup appréciée, bien qu’elle sorte du domaine scientifique, celle fournie par Kryeon et Soria. Même s’ils ne peuvent transmettre des informations qui comporteraient des risques pour notre dualité et les niveaux d’apprentissage que nous devons expérimenter, leurs ouvrages sont riches en enseignements pour ceux qui se donnent la peine de les décrypter. Les indices qu’ils fournissent, comparés aux explications et aux hypothèses que

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j’ai formulées deviennent alors étonnamment éloquents.

C’est la raison pour laquelle j’ai pensé qu’il serait intéressant de mettre en parallèle mes hypothèses et les écrits de Kryeon et de Soria qui traitent des mêmes sujets.

ÉNERGIE DE L’ESPACE

De nombreuses expériences de physique démontrent que l’espace n’est pas vide comme la physique du 20ème siècle l’a affirmé. J’ai suggéré que le milieu cosmique serait une sorte de fluide énergétique équilibré, élastique et compressible qui peut être déstabilisé afin de libérer son énergie.

Voici ce qu’en dit Kryeon :

Page 243 du Tome 5 :

« Le treillis cosmique est la plus gigantesque énergie que vous n’ayez jamais pu concevoir. Il couvre l’univers entier et même davantage. Il est présent partout. Il n’existe aucun endroit, quelle que soit sa dimension, où il est absent. »

Page 254 du Tome 5

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« Le treillis cosmique est équilibré, mais il n’est pas inactif. Il possède une extraordinaire puissance. » 

STRUCTURE DU MILIEU COSMIQUE

Quelques physiciens reconnaissent l’existence de l’énergie de l’espace qu’ils appellent énergie du vide. Certains ont même calculé le potentiel fantastique de cette énergie. Mais, à ma connaissance, aucun n’émit d’hypothèses sur la structure de ce milieu et la nature de l’énergie qu’il contient.

J’ai suggéré que ce milieu était formé de particules de charge électrique négative constituant un milieu élastique. Ces particules, par leur interaction avec la matière, se structureraient sous forme de cellules à la dimension des atomes et se positionneraient sur deux portions de plan formant le haut et le bas de la cellule. L’énergie de chaque cellule serait équilibrée à zéro, l’énergie du secteur supérieur étant à même d’annuler l’énergie du secteur inférieur. La charge négative des particules crée un mouvement vibratoire opposé, équilibré et stable, permettant la sauvegarde de l’énergie. Ce mouvement peut être décrit comme un effet miroir. Une cellule ne peut venir au contact d’une autre

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cellule et il existe entre chaque cellule des espaces libres, comme il en existe entre chaque atome de matière.

Voici ce que suggère Kryeon :

Page 217 du Tome 2

« C’est la compréhension de la polarité et du comportement de petites particules qui est la clé de tout ceci... »

Page 212 du Tome 2

« Ce sont les mécanismes des petites particules qui déterminent en fait les attributs de la masse d’un objet et, par conséquent, la gravité et le cadre du temps de cet objet.»

Page 246 du Tome 3

« Comme je l’ai dit, sous sa forme équilibrée, la mesure de cette incroyable énergie serait équivalente à zéro, bien que le treillis cosmique soit puissant sur tous les plans et en tous lieux.»

Page 256 du Tome 3

« Le treillis cosmique n’est pas un filet. Il est

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multiforme et multidimensionnel. La véritable forme de ses cellules est semblable à des compartiments fermés... Nous appellerons ces cellules : cellules d’énergie. Elles ont l’apparence des alvéoles des ruches d’abeilles, à cette différence près qu’elles ont douze côtés. Leur énergie est mesurable même si, pour le moment, elle demeure invisible à vos yeux. Aussi, les cellules ne se touchent pas comme telles malgré le fait qu’elles soient adjacentes.

Page 260 du Tome 3

« Chacune des cellules du treillis cosmique a une puissance colossale, mais cette dernière est contrebalancée par une autre puissance qui l’accompagne et qui est dotée d’une polarité contraire. Ceci annule donc le potentiel apparent et le rend invisible à vos yeux. L’énergie, de ce fait, est nulle... C’est lorsque le treillis est délibérément déséquilibré que vous pouvez constater sa puissance. Si vous pouviez seulement comprendre comment manipuler cet état zéro, en parvenant à le déséquilibrer très légèrement, il en résulterait la libération d’une gigantesque énergie. » 

EXTRAIRE DE L’ÉNERGIE DU TREILLIS COSMIQUE

Déjà, Nicolas Tesla prophétisait : « Nos

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machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l’univers ». L’idée n’est pas nouvelle. Nous la trouvons déjà dans le mythe d’Antée.

Aujourd’hui, nombreux sont les chercheurs qui tentent de mettre au point des machines afin d’extraire l’énergie des particules du milieu, appelés tachyons par certains d’entre eux. Machine de Newman, dynamo gyromagnétique, et d’autres encore, auraient réussi l’exploit de produire plus d’énergie qu’elles n’en consomment. Mais aucun inventeur n’est arrivé à une exploitation commerciale de son invention.

Ces techniques qui utilisent des disques magnétiques en rotation semblent lourdes et peu efficaces. Celle que nous propose Kryeon présente, par contre, l’avantage d’être relativement simple et apparemment très efficace. Voici ce qu’il en dit :

Page 262 et 263 du Tome 5

« Nous souhaiterions que vous compreniez la façon d’utiliser le Treillis afin de pouvoir en retirer de l’énergie. Comprenez bien que ceci peut s’accomplir n’importe où, n’importe quand, sur la Terre ou dans l’es pace. Cela peut s’effectuer complètement, grâce au magnétisme, au

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magnétisme actif. On y parvient par la création de vastes champs magnétiques soigneusement définis qui doivent être actifs, créés avec l’énergie, et non pas existants à l’état naturel. Lorsque vous comprendrez le fonctionnement de tout ceci, vous découvrirez également que ce processus particulier n’est pas nouveau sur la planète et que vos scientifiques y ont déjà eu recours dans le passé. Au cours des époques où ce processus fut expérimenté, personne ne comprit ce qui se passa. Ce phénomène dépassait largement vos capacités à le contrôler, et vous ne connaissiez même pas les principes de base. Ce pendant, vous avez essayé quand même. Aujourd’hui, vous avez la possibilité de maîtriser cette expérience et, donc, de créer une énergie disciplinée et stable, apparemment issue du néant (l’effet zéro). Ce pendant, tout comme pour de nombreux autres processus physiques, une énorme quantité d’énergie sera nécessaire afin de déséquilibrer ne serait-ce que l’effet zéro d’une seule cellule. Aussi allez-vous devoir pomper une grande quantité d’énergie avant de pouvoir en constater les résultats. Une fois que vous comprendrez comment stimuler l’effet zéro afin de le déséquilibrer, vous bénéficierez alors d’un flot d’énergie constant de beaucoup supérieur à l’énergie que vous y avez mise. Ceci pourra être réalisé grâce à la création de votre propre petit

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conduit. Une cellule déséquilibrée provoque un état où les autres cellules qui l’entourent tentent de lui insuffler de l’énergie. Ceci crée un robinet qui puisera dans le Treillis aussi longtemps que votre travail correspondra à ce que ce Treillis s’attend à voir s’accomplir. Je sais que cela semble de la science-fiction, mais il peut éventuellement s’agir de la source d’énergie pour votre planète.

Voici comment cela fonctionne. Deux champs magnétiques positionnés correctement, dans votre contexte tridimensionnel normal, créeront un champ magnétique déterminé très spécifique. Il s’agit d’un champ magnétique comme vous n’en avez jamais vu et qui n’existe pas à l’état naturel. Essayez d’abord de positionner des champs magnétiques non identiques, en force et en patterns, l’un contre l’autre, à angle droit. N’ayez pas d’a priori. Pensez librement. Disposés de façon adéquate, ces deux champs magnétiques en créeront un troisième qui sera unique et qui représentera le produit des deux précédents. Ce troisième schéma constitue celui avec lequel vous allez travailler et il possède les potentialités permettant d’utiliser le Treillis. Après l’avoir créé, vous connaîtrez ses qualités particulières en constatant la façon dont il modifie dramatiquement les phénomènes physiques qui l’entourent. Sa manifestation ne sera pas

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subtile, croyez-moi. Vous saurez quand elle se produira. »

La connaissance acquise sur la structure du milieu cosmique me permet d’expliciter le processus que nous suggère Kryeon. Les explications qu’il nous transmet, ainsi que celles que je vais donner, motiveront peut-être quelques chercheurs à entreprendre des recherches dans ce domaine si important pour notre devenir et à expérimenter la technologie que je propose.

Si nous faisons passer un courant électrique dans l’enroulement spiralé d’un conducteur appelé bobinage, le passage des électrons provoque une action sur les particules du milieu. La réaction des particules situées à l’extérieur de la bobine est à l’origine de ce que nous appelons un champ magnétique. Au centre, les particules sont comprimées vers l’axe de la bobine, puis refoulées vers l’extérieur. Si nous envoyons dans la bobine un champ électrique continu pulsé de haute fréquence, nous créons un faisceau de particules semblables à un faisceau laser qui s’échappe de la bobine dans le même sens que le courant électrique.

Plaçons deux bobinages dont les axes sont perpendiculaires et situés dans un plan horizontal.

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Envoyons dans la première bobine un courant pulsé continu, d’une fréquence donnée et, dans la deuxième bobine, un courant de même fréquence, de même intensité, mais décalé de 90°, soit d’une demi-phase. Examinons ce qui se passe au croisement des deux faisceaux. Nous constatons que nous avons créé deux champs magnétiques de même intensité. Les axes de ces champs sont perpendiculaires au plan horizontal, mais tournent en sens opposé. Plaçons maintenant l’axe de la première bobine horizontalement et l’axe de la seconde bobine verticalement, le flux des particules vers le haut. Étudions les deux champs magnétiques créés, compte tenu de ce que nous avons appris de la gravitation et de l’action de la matière sur les particules du milieu. Nous constatons que l’un des champs est plus important que l’autre. Augmentons progressivement l’intensité du faisceau vertical. Le champ le plus important augmente en intensité, alors que l’autre diminue. Il se crée un conduit sous l’action du faisceau vertical. Quand l’énergie de la partie inférieure d’une cellule est totalement annulée, le conduit vertical créé alimente le seul champ qui demeure.

Pour comprendre ce phénomène, nous devons considérer que le faisceau vertical transmet de l’énergie et déséquilibre les cellules du milieu qui

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vibrent selon un axe passant par le centre de la Terre. Une partie de l’énergie transmise désactive le côté inférieur des cellules et une autre partie augmente l’énergie de la partie supérieure. Quand l’énergie de la partie basse est annulée, les particules de la partie haute s’intègrent dans le champ magnétique et lui insufflent leur énergie.

La loi de la conservation de l’énergie peut être vérifiée. En effet, l’énergie vibratoire d’une cellule se transforme en énergie magnétique, ou énergie rotative des particules G. Il suffira de placer de manière adéquate les matériels capables de transformer cette énergie magnétique en courant électrique pour extraire l’énergie du milieu sous une forme exploitable.

Le champ magnétique créé, essentiellement concentré dans le plan vertical formé par les deux faisceaux, sera de très forte intensité, car il sera nécessaire de mettre beaucoup de puissance dans le champ vertical avant de créer un conduit suffisant qui puisse alimenter le champ magnétique créé. L’intense gradient de pression des particules mises en mouvement au sein de ce champ aura une action sur la matière placée sur son trajet. Ce champ influencera le bobinage horizontal et mettra en péril l’issue de l’expérience si celui-ci ne dispose pas des

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protections adéquates. De même, ce champ pourrait endommager les cellules vivantes placées dans sa zone d’influence. Aussi est-il sage de vous rappeler les conseils de Kryeon :

Page 263 du Tome 5.

« Voici un conseil de prudence : que votre corps ne soit pas en contact direct au moment de cette expérience ! Réalisez cette dernière en suivant vos méthodes scientifiques. Avancez lentement, comprenez ce que vous êtes en train de constater avant de franchir l’étape suivante. Conduisez toutes les expériences en restant à distance. Souvenez-vous que le magnétisme joue également un rôle important au sein de votre organisme. »

Il est vital que nous trouvions des sources d’énergie non polluante. L’énergie du milieu est non polluante, inépuisable et se trouve partout dans l’univers. Ces quelques lignes contiennent l’espoir de voir disparaître une grande partie de la pollution de notre planète, grâce à la mise en application de cette technique de production de l’énergie dont nous avons besoin.

J’espère que ces explications permettront à des chercheurs d’entreprendre les expériences proposées et que vous serez nombreux à le faire. Si

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le succès couronne vos recherches, rappelez-vous que vos découvertes et les multiples applications qui peuvent en découler, doivent être au service de l’humanité entière et non réservées au profit de quelques-uns. N’hésitez pas à les rendre publiques, comme je le fais moi-même par cet ouvrage, afin qu’elles soient diffusées le plus largement possible. N’oubliez pas que nous formons une longue chaîne fraternelle et que la connaissance est volontairement fractionnée afin d’être transmise de l’un à l’autre. Je remercie Kryeon de m’avoir suggéré dans ses ouvrages cette étonnante possibilité que je soupçonnais depuis longtemps. Mais, sans ses suggestions, il ne m’aurait guère été possible de proposer la solution que je viens d’expliciter. Elle me semble tout à fait valable du point de vue de la théorie. Que vous, chercheurs et expérimentateurs, assuriez la suite de la mise en pratique, pour le plus grand profit de tous et de notre Planète qui pourrait, grâce à vous, retrouver sa beauté d’antan. 

TÉLÉPORTATION

Je ne dirai que quelques mots sur ce sujet, car il me semble que le chemin est encore long avant que nous ne parvenions à mettre au point cette technologie. Mais comprendre la façon d’extraire l’énergie du milieu permet aussi d’imaginer

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comment il est possible, en disposant plusieurs installations comparables à celles indiquées dans le précédent chapitre, de créer une sorte de conduit horizontal entre chacune d’elles. La matière, modifiée dans sa masse et sa fréquence au sein même des champs magnétiques créés, peut être transportée rapidement du premier lieu au second, puis au troisième... La matière sera stabilisée dans sa fréquence d’origine à l’endroit désiré.

Voici ce que dit Kryeon à ce sujet : Page 264 du Tome 5

« ...Oui, le treillis cosmique est également la clef permettant le déplacement rapide d’objets physiques importants, même sur de très courtes distances. » 

ORIGINE DE LA GRAVITÉ

La présence d’une masse au sein du milieu cosmique introduit un gradient de pression par interaction entre les électrons de la matière et les particules constitutives du champ. La force de gravitation est donc une conséquence de la modification de la pression du milieu et non une attraction résultant de l’émission de particules par un corps matériel, comme la théorie des quantas le suppose. En effet, une masse plongée dans un

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milieu modifié par la présence d’une autre masse, voit sa face la plus éloignée soumise à une pression supérieure à celle exercée sur sa face opposée. La rotation du soleil entraîne le milieu cosmique dans un mouvement de rotation et celui-ci déplace les planètes qui se positionnent ainsi dans l’espace par équilibre entre la force de gravitation et la force centrifuge. La vitesse de rotation du milieu au sein d’un système solaire dépend de sa distance par rapport à l’astre central et il en est de même pour chaque planète, puisque chacune est entraînée par le milieu. Cette loi des vitesses des planètes est confirmée par l’expérience.

Voici ce que dit Kryeon : Page 44 et 45 du Tome 7.

« Qu ’est-ce que la gravité, très chers ? C’est une autre force invisible. Les scientifiques ne la comprennent pas. Même si, selon leurs théories, elle dépend de la masse et qu’ils peuvent en voir le résultat, ils ne peuvent l’expliquer. Je suis ici pour vous apprendre qu’elle n’a pas particulièrement rapport avec la masse. La masse est toujours présente pour que la gravité puisse exister, mais il s’agit plus de ce que nous nommons action et équilibre. Perplexes, les physiciens, vont encore se gratter la tête si nous déclarons que la matière

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s’équilibre elle-même. Ce n’est pourtant pas très différent de ce que vous appelez l’osmose, définie comme le passage de l’eau à travers une membrane semi-perméable, d’une densité à une autre. La gravité est le résultat du besoin de la matière physique de s’équilibrer en présence d’une autre matière. C’est une question de déséquilibre, de compacité et de besoin d’équilibre dans la soupe des énergies de l’espace. Il vous est très difficile de voir l’ensemble de ce processus, car cela met également en jeu le Treillis cosmique, rem pli d’énergie invisible, qui nous entoure complètement et affecte la masse. Pensez à cela comme à une partie de ce que l’univers désire accomplir, une grande loi que personne n’a encore jamais étiquetée, nommée : pro pension à l’équilibre universel. C’est ça, la gravité. Vous y êtes tellement habitués que vous n’y pensez plus, à moins d’être victimes d’une chute. Tout ce que vous faites est contrôlé par la gravité. Toute votre vie tourne autour d’elle ; pourtant, vous n’y pensez pas parce qu’elle est invisible. Quelle grande force que cette chose invisible qui contrôle votre vie ! N’y aviez-vous jamais pensé en ces termes ? »

Sans doute aurez-vous noté la comparaison qu’établit Kryeon, afin de nous faire comprendre l’origine de la force de la gravitation, avec le

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passage de l’eau au travers une membrane osmotique. Rappelez-vous mes explications au sujet des courants cosmiques et telluriques. J’ai indiqué que le flux cosmique, constitué des particules du milieu, pénètre la Terre la nuit et s’échappe sur l’autre face le jour, sous la forme d’un courant tellurique. C’est la perméabilité de la Terre et la différence de pression entre ses deux faces, l’une exposée au soleil et l’autre à la nuit, qui génère l’écoulement permanent du fluide cosmotellurique, à l’origine de la force de gravitation. La terre joue ainsi le même rôle qu’une paroi osmotique. L’image donnée par Kryeon est parfaitement éloquente. Il précise aussi que la gravité est le résultat du besoin de la matière de s’équilibrer dans la soupe des énergies de l’espace. Il me semble que cela correspond tout à fait à ce que je viens d’expliquer de la circulation des énergies cosmiques et telluriques. 

ANTIGRAVITÉ

L’antigravité n’existe pas et il n’est pas possible d’annuler les forces gravitationnelles. Par contre, il est parfaitement possible de créer une force sur un corps qui s’opposera à la force de gravitation et provoquera le déplacement de l’objet sur lequel elle s’exerce.

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J’ai parlé de la loi mise en évidence par Towsend Brown et par le Professeur Biefeld qui veut qu’un condensateur chargé et déchargé de façon alternative subisse une force dirigée vers son pôle positif. Les particules du milieu, aspirées par l’électrode positive, puis refoulées par l’électrode négative, créent la force constatée. Le principe s’explique par la loi de l’action et de la réaction, au même titre que nos avions qui utilisent l’air ou nos fusées qui utilisent des gaz fortement comprimés.

Cette explication permet de comprendre une partie du phénomène, mais ne correspond pas à toute la réalité. En effet, contrairement à l’air ou aux gaz qui ne traversent pas la matière, les particules du milieu mises en mouvement par les pôles du condensateur, les traversent et génèrent une modification de la masse de la matière traversée.

Pour comprendre ce phénomène, nous devons comprendre l’origine de la densité de la matière. La densité d’un objet est une fonction de sa capacité à laisser s’écouler le flux des particules cosmiques. Vous avez compris que la force d’attraction gravitationnelle dépend de la résistance qu’oppose la Terre au passage des particules cosmiques. Cette résistance crée le différentiel de pression à l’origine de la force de gravité. L’image de la membrane

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osmotique, donnée par Kryeon, permet de bien imaginer le phénomène.

Il est donc facile de comprendre que la masse de la Terre est liée à la résistance qu’elle oppose au passage des particules du milieu et que si cette résistance était nulle, la masse de la Terre le serait aussi, de même que la force gravitationnelle exercée sur elle par le milieu modifié par la présence du Soleil ou de la Lune.

Cette résistance, la densité et la masse qui en découlent, sont liées au nombre des électrons de la matière, ainsi qu’à la position de ces électrons par rapport au noyau. Rappelez-vous les explications que j’ai données au sujet des forces de cohésion de la matière : plus la densité du milieu augmente, plus les particules ont de facilité pour pénétrer la matière. En effet, les particules G qui pénètrent la matière, exercent une force à l’encontre des électrons. Ceux-ci se rapprochent du noyau et laissent passer les particules plus librement. La densité et la masse d’un objet se trouvent ainsi diminuées par l’augmentation de la pression du milieu. Dans le procédé Brown-Biefeld, cette pression est une fonction de la tension de la charge électrique appliquée aux deux faces du condensateur. En augmentant cette tension, nous

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augmentons la pression du milieu au sein de la matière constituant les électrodes et diminuons, par conséquence, leur masse.

Ce procédé permet d’assurer le déplacement d’un engin dans le milieu sidéral par modification de sa masse et application d’une force liée au principe de l’action et de la réaction, les particules du milieu, aspirées à l’avant de l’appareil, puis refoulées à l’arrière créant cette force. Il est même possible de démontrer que nous pouvons obtenir une masse négative comme le suggère Kryeon.

Il serait intéressant d’étudier le comportement d’un engin de masse voisine de zéro ou négative sur lequel serait appliquée une force capable de le déplacer. Nous pourrions peut-être nous rendre compte que la vitesse de la lumière, donnée comme vitesse limite par la théorie de la relativité, est sans doute à remettre en cause ou à élaborer davantage et à compléter. Il manque à cette théorie une donnée fondamentale relative à la densité du milieu cosmique.

Voici ce qu’explique Kryeon au sujet de l’antigravité et de la masse :

Page 111 du Tome 6

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« Vous voulez apprendre ce qu’est l’antigravité ? Elle n’existe pas. Recherchez plutôt le secret de fabrication d’une masse variable. Et lorsque vous y serez parvenus, recherchez les deux autres variables qui l’accompagnent pour impulser une formule capitale de cohésion.

STRUCTURE DE L’UNIVERS

La compréhension des lois relatives à la structure de l’espace me permit d’imaginer une cosmologie dont je vous rappelle les grandes lignes, celle-ci n’étant, bien sûr, qu’une hypothèse :

Notre univers est en perpétuel mouvement et création. Il n’est pas issu d’un « big-bang » originel comme beaucoup d’astrophysiciens le pensent encore.

Périodiquement, un battement du c?ur de l’univers expulse les matériaux nécessaires à la formation d’une galaxie. Celle-ci se constitue, en premier lieu, sous forme d’une énorme sphère centrale d’antimatière à l’extérieur de laquelle se constitue une écorce de matière. Ce premier astre explose et génère plusieurs étoiles qui explosent à leur tour et ainsi de suite, jusqu’à ce que la pression du milieu permette une stabilité de ces étoiles. La galaxie ainsi créée se déplace en un mouvement

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spiralé entre les parois de deux tores qui se dilatent. Après la phase d’expansion, notre univers, déstructuré, entame une phase de contraction au cours de laquelle les astres se reconstruisent pour reprendre le chemin du c?ur de l’univers. Mais au cours de ce retour, le milieu cosmique, formé de particules de charge positive, génère des astres constitués d’un c?ur de matière et de sphères extérieures d’antimatière.

Voici ce que nous apprennent Soria et Kryeon : Soria, Page 90 du Tome 4

« Imaginez un c?ur d’où partent sept triangles. Le c?ur bat et chaque pulsation impulse une énergie nourrissant chaque triangle. Le flux pro pulsé par le c?ur est composé par des myriades de particules... L’Ile Atomique ou Ile Centrale est le c?ur du grand sidéral... Les battements de c?ur suggèrent les concepts primordiaux du Grand Architecte... Si nous empruntons une deuxième image, cela donne ceci : le grand sidéral tient à l’intérieur d’un cercle et, du point central part un écho. Celui-ci parcourra toute la zone puis, en se répercutant contre la paroi du cercle, n’aura d’autre choix que de revenir à son point de départ... Imaginons encore une autre possibilité. L’énergie émise rencontre un obstacle cherchant à la contenir

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dans une expression réduite. Toutefois, l’énergie, fluide par définition, ne peut être statique, car sa source la nourrit en permanence. Or, comme elle est ici retenue dans un moule étroit, elle essaie de se contenir, se contracte et se com prime, mais quand trop, c’est trop, elle relâche ses efforts et le moule explose en un tas considérable de particules éparses lui permettant enfin de reprendre sa route... Les énergies se déplacent au sein d’un mouvement sphérique, mais continu, la spirale... Chaque fois que cette forme se présente à vous dans une méditation, soyez assurés que vous recevez un encouragement à élargir la vue de vos schémas et de vos réalisations. »

Kryeon, Page 209 du Tome 3

« Il est temps de commencer à penser à une nouvelle théorie, et ensuite de voir comment elle résiste à l’examen de ce que vous observez réellement avec vos nouveaux yeux scientifiques. La vérité est qu’il y a eu de nombreux événements d’expansion séparés par de grands intervalles de temps. »

Kryeon, Page 232 du Tome 3

« En contemplant le cosmos qui vous entoure, vous avez formulé la théorie du big-bang, un

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événement créateur qui aurait engendré l’univers. Nous l’avons déjà déclaré que plus on se penche sur cette théorie, plus elle s’effrite. Vous remarquerez en outre que l’univers n’est même pas uniformément distribué ; des amas s’y sont formés ! Pas vraiment typique du produit d’une explosion en son centre. Certains d’entre vous commencent à découvrir, en toute humilité, qu’il existe des accumulations de matière éloignées qui sont d’un âge inférieur à celui d’accumulations de matière plus rapprochées. Ces faits démentent la thèse d’un seul événement créateur. »

Kryeon, Page 162 du Tome 2

« L’univers est organisé comme suit... À mesure que les demi cercles d’influence et de fonction s’élargissent et s’éloignent du centre, ceux qui sont les plus éloignés se retournent vers l’intérieur et redeviennent le centre. »

Kryeon, Page 173 du Tome 7

« Nous invitons les savants à se pencher de nouveau sur la question : pour découvrir la vérité, ils devront adhérer à une prémisse qu’ils ne sont pas prêts à accepter, à savoir que peut-être l’univers a toujours été. Tandis que les savants le nomment le big-bang, cet événement fut en fait un

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ajustement d’énergie, un changement de dimension, et il correspond à un phénomène cyclique. » 

TERRE CREUSE

Quand je découvris la structure possible des différents astres qui forment l’univers, qu’ils soient soleils ou planètes, je ne connaissais pas encore les écrits de Soria, ni le livre intitulé Telos. Je compris la possibilité de l’existence d’un continent central où les lois de la gravité étaient inversées, éclairé par un soleil intérieur, mais rien ne me permettait d’imaginer que ce continent abritait la vie. Puis, je découvris le récit de l’amiral Byrd qui racontait avoir découvert un continent au-delà du pôle Nord et observé une troupe de petits mammouths. Plus récemment, le récit d’un marin norvégien, Olaf Jansen, me fut transmis. Il racontait qu’à la fin du 19ème siècle, il avait voyagé en compagnie de son père au-delà du pôle et découvert une région où la température était clémente, les arbres gigantesques et où les habitants des lieux mesuraient de 3 à 4 mètres. Difficile de prêter crédit à ces récits, malgré mes travaux !

Mais quand je découvris les écrits de Soria et un peu plus tard ceux d’Adama et Mykos dans le livre intitulé Telos et que je lus les détails

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corroborant certaines particularités données dans le récit de ces voyageurs, je ne pus m’empêcher de croire à la réalité de leurs aventures et compris que cette structure des astres, imaginée du point de vue de la théorie, aussi incroyable qu’elle pouvait paraître, était probablement une réalité.

Notre Terre est creuse et un magnifique soleil antimatière éclaire un continent central où la vie s’est épanouie !

Voici les passages des écrits de Soria, Adama et Mykos qui confirment cette étonnante structure.

Soria, Page 112 du Tome 1

« Votre centre de la Terre est creux et possède son propre soleil générateur de vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d’insectes, d’animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière. »

Soria, Page 172 et 173 du Tome 3

« L’intérieur de votre Terre est creux ; un soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiques d’Urantia

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Gaïa... Votre conscience sera touchée par des in formations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d’accès du centre de la Terre s’ouvrent à quelques-uns d’entre vous afin qu’ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. »

Soria, Page 219 et 220 du Tome 3

« Toute planète habitée possède une cavité interne ainsi que son soleil approprié. Il n’y a rien d’exceptionnel à cela, votre planète étant simplement alignée sur un modèle universel. En réalité, la création même de la planète amène cette formation... Abordons maintenant le paysage interne d’Urantia Gaïa. On y trouve de grandes prairies fleuries, des lacs, des mers, des montagnes et des fleuves. Ce biotope est d’une grande beauté sereine et riche de ressourcement. Les constructions, il y en a, ne revêtent pas la lourdeur de vos habitations ; les matériaux empruntent l’aspect cristallin du minéral et les formes s’approchent du rond, de l’ovale. Vous ne trouvez pas d’angles en ces lieux de résidence. Je ne crois pas nécessaire d’en ajouter davantage sur les énergies utilisées, toutes non polluantes. Le bruit est banni, considéré comme une vexation de l’esprit. Quant au peuple animal, il se rap proche

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de celui vivant à la surface de votre planète. On peut tout de même préciser que l’on trouve des espèces anciennes tels les mammouths, mais que ceux-ci sont moins grands.»

Adama, dans Telos à la Page 29, 30, 31 et 42

« Toutes les planètes sont creuses, autant celles de ce système solaire que de l’ensemble de l’univers. Naturellement, elles ne possèdent pas toutes une densité tridimensionnelle, mais elles sont toutes creuses à l’intérieur. La plu part sont peuplées de société appartenant à diverses dimensions, surtout à la cinquième et au-delà. Bien qu’il y ait encore plusieurs astres tridimensionnels au sein de la création, ils comptent pour peu parmi ceux qui sont à cinq dimensions. Ils ne sont pas tous habités à leur surface, mais tous abritent des peuples à l’intérieur... Au centre de la Terre et sous la croûte terrestre sont rassemblées un grand nombre de civilisations très anciennes venues de mondes et d’univers éloignés il y a plusieurs éons. Bien que plusieurs aient conservé un certain degré de densité physique, toutes existent dans un état de conscience ascensionné qui relève de la 5ème ou de la 6èmedimension, ou de dimensions encore supérieures... Nous allons au centre de la Terre pour profiter de ses océans et de ses montagnes. En

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empruntant les tunnels, cela ne représente qu’un petit voyage d’une heure. Le milieu de la Terre est une zone franche où s’assemblent divers types d’êtres. Paradis luxueux et serein, c’est l’une de nos destinations vacances préférées. »

Mykos, dans Telos à la Page 113, 114, 117, 118, et 144.

« Quel plaisir de vous retrouver. Je suis Mykos et je m ’adresse à vous depuis l’intérieur de la Terre creuse, notre chez nous... Toutes les planètes possèdent des ouvertures aux pôles Nord et sud. Nous avons migré par celles-ci et découvert notre petit nid à l’intérieur. Le c?ur de la planète est si propre, si pur et si paisible que depuis cette époque nous n’en sommes jamais sortis... Nous goûtons une opulence telle que même votre imagination ne pourrait la concevoir... Les arbres et les fleurs sont éblouissants, ils se parent de teintes et de nuances scintillantes ; ce sont les joyaux qui embellissent nos demeures et nos domaines. Tout ici est monumental, pour employer vos mots. Même nos arbres et nos montagnes ont deux fois la taille des vôtres. Nos corps sont plus grands et plus volumineux ; en largeur et en carrure, ils mesurent plus du double... Nous baignons dans la lumière à spectre complet de notre soleil interne, suspendu

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dans le firmament. Le ciel constitue le centre même du globe creux et le soleil ne bouge pas, comme le vôtre semble le faire. Le nôtre est simplement accroché au beau milieu de l’espace, maintenu à cet endroit par les forces de la gravité agissant sur sa circonférence de façon qu’il s’équilibre parfaitement et reste en place. »

 TERRES JUMELLES

Au début de son évolution, lors de sa phase explosive, notre galaxie généra de la matière et de l’antimatière de différentes fréquences vibratoires.

Comme nous l’avons vu, les lois de la physique entraînèrent l’antimatière à se constituer en premier sous la forme d’une sphère qui attira ensuite, à une certaine distance, en zone d’inversion du gradient de la pression du milieu, les différentes matières qui s’emboîtèrent les unes dans les autres pour former des sphères creuses autour de la sphère centrale d’antimatière.

Nous sommes résidents de la surface extérieure de l’une de ces sphères creuses de matière, sans avoir conscience de toutes les autres, n’étant pas accordés à leurs fréquences. Nous vivons sur le 3ème canal, la 3ème dimension, mais la 4ème est tout aussi réelle, même si elle est plus

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éthérée. Il en est de même pour la 5ème dimension. Il suffit, pour prendre conscience de celle-ci et aller y vivre, de comprendre le fonctionnement de notre être global, en suivant le chemin de l’Ascension.

Kryeon, Page 201 du Tome 2

« Mes très chers, vous êtes syntonisés sur le 3ème canal, la 3èmedimension, mais il y a beaucoup d’autres dimensions autour de vous, tout aussi actives et tout aussi réelles. »

Soria page 122 du Tome 1

« Votre sphère est constituée de sept manifestations ou corps intérieurs et extérieurs. Chaque niveau possède sept réalités qui demandent à être découvertes. Vous n’en avez pas fini avec cette planète ! » 

STRUCTURE DE L’ÊTRE

Notre propre structure est le reflet de la structure de l’univers, car nous sommes formés des mêmes matériaux qu’une planète ou un soleil. Nous disposons d’un corps physique formé du limon de la Terre et d’un corps astral formé de sept couches subtiles de même nature que le soleil central de notre planète.

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Le corps éthérique, formé des mêmes particules qui emplissent notre univers, permet de maintenir l’étanchéité entre le corps physique et les sept corps astraux. Notre corps physique est syntonisé avec l’un des corps astraux, mais des circonstances particulières peuvent amener ce corps à se synchroniser avec un autre corps astral. La fréquence des cellules, alors modifiées, permet de prendre conscience d’un autre plan physique, celui qui se trouve appairé à la fréquence du corps astral correspondant.

Ces explications permettent de comprendre le processus qui s’opérera lorsque, sous l’action de circonstances cosmiques exceptionnelles, nous serons amenés à basculer dans la 4èmedimension.

Nous pouvons comprendre que ce basculement se produira si la résistance entre les corps astraux n’est pas trop importante. Il nous faut donc travailler à leur alignement et à leur harmonisation, si nous voulons profiter de la chance qui nous est offerte de découvrir les dimensions supérieures.

Seuls, notre volonté, notre intention et notre amour le permettront, l’amour tolérance, l’amour qui respecte la vie, l’amour partage désintéressé, qui

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ne demande rien en retour.

Kryeon, Page 162 du Tome 2

« Il est ironique de constater que dans la structure de vos propres cellules, dans votre corps, se trouvent des indices sur la structure de l’univers. »

Soria, Page 185 et 192 du Tome 1

« Vous possédez un certain nombre de corps et les plus proches de vous sont au nombre de sept, qu’il vous faut harmoniser et mettre en résonance... Les formes physiques changent jusqu’au moment où vous décidez de garder ce corps pour la résonance des sept corps. »

Soria, Page 264 du Tome 1

« Nous osons vous rappeler que vous êtes un ensemble de corps qui fonctionnent par l’intermédiaire de votre dernier corps, le véhicule physique que vous recevez à votre naissance, et qu’il est bon de prendre en compte tous les besoins de chaque corps et de recourir à votre volonté pour donner à chacun le moyen d’expérimenter son champ d’action. Nous vous rappelons que votre corps physique est le plus bel outil de la création,

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que vous faites partie de cette infime part de la création qui a l’honneur d’expérimenter le dernier jouet du Grand Constructeur et que ce dernier vous invite à passer à la phase de maîtrise pour laisser s’exprimer vos corps subtils, source d’une réalité plus grande de la création. »

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CHAPITRE 28

D'autres clés pour l'Ascension.

J'ai longuement travaillé avec les ouvrages de Kryeon et de Soria. Je les recommande à tous les chercheurs. Voici ce que Soria dit sur l'avenir de ses ouvrages :

"Mes écrits vous emmènent dans la nécessité de réfléchir, de ressentir et de choisir votre trajectoire immédiate... Dans un temps proche, ces livres deviendront des livres de références pour l'ensemble de cette humanité et pour les visiteurs célestes. Alors, je souris lorsque vous m'envoyez vos déceptions de sentir que vous êtes peu nombreux à les lire... Il y a d'autres livres parus qui prendront leur plein essor dans les dix ans à venir, comme les miens...."

L'enseignement de Soria est important pour celles et ceux qui désirent comprendre le monde dans lequel nous vivons et qui recherchent les clés de l'élévation spirituelle. Je ne doute pas que cet ouvrage fera, comme ceux de Soria, partie des ouvrages de références pour le futur.

J'ai longuement parlé du but qui nous est

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commun : l'unification du corps, de l'âme et de l'esprit, en vue de leur ascension vers d'autres réalités. Nous devons comprendre et mettre en application les clés comportementales capables de nous aider à progresser vers ce but.

Il est parfois difficile de comprendre le rôle de chacune de ces trois identités, pourtant indispensables au retour de notre intégrité. Nous avons tendance à nous identifier au corps, sans toujours comprendre le rôle de l'âme et de l'esprit. L'âme est née pour aider, lorsque la communication entre l'esprit et le corps rencontra des difficultés.

J'ai longuement développé les différences qui existent entre le corps, l'âme et l'esprit et la possibilité pour ces trois entités de s'unir pour atteindre un état qualifié de « Maître ascensionné ».

1 - Le corps, véhicule de l'âme.

Le rôle du corps physique est de fournir de l'énergie aux pensées, aux regards et aux sentiments afin de transmettre de la connaissance à l'esprit. Le corps est avant tout un vaisseau spatial permettant à l'esprit d'explorer la densité.

Aussi, prendre soin du corps physique est-il l'un des fondements de notre élévation. Ce corps est

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le point d'ancrage de notre âme et de notre esprit. Nous devons aimer ce corps et lui fournir les éléments susceptibles de l'élever et non de le détruire comme trop d'humains le font par l'usage abusif de drogues, tabac, alcool ou autres produits chimiques médicamenteux. Offrons la paix et la sérénité à ce corps et ne lui demandons pas d'entrer en compétition avec d'autres. Nous lui avons trop longtemps refusé les besoins vitaux tels que le repos, la joie de vivre, le plaisir et le partage.

Même si le corps physique est une entité intelligente, au même titre que l'âme et l'esprit, avec un pouvoir décisionnel, (il nous le fait savoir lorsque nous le maltraitons), il est avant tout un outil de déplacement. Aussi faut-il le conduire avec conscience et respect.

L'intelligence développée par le corps se transmet d'incarnation en incarnation par le biais de la mémoire glissée dans la cellule mère lors de la procréation. Elle s'infuse alors dans les nouvelles cellules. Ainsi le corps porte-t-il une bibliothèque venant des vies antérieures. Il est important de le savoir, afin de bien comprendre que l'union du corps, de l'âme et de l'esprit est un mariage de trois intelligences expérimentées auxquelles nous devons apporter la plus grande attention.

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L'âme est une substance issue du corps. Les toxines que nous accumulons dans nos cellules affectent la biochimie de l'âme, l'isolant parfois du corps physique. Aussi, la qualité de notre environnement, de notre alimentation, de nos vêtements est-elle importante pour un retour de l'harmonie entre l'âme et le corps, avant que vienne s'y joindre l'esprit, dans le cadre de l'état ascensionnel recherché.

Le moteur de la beauté est à offrir au corps et à l'âme pour leur épanouissement conjoint. La beauté permet la joie qui génère la paix, laquelle permet l'émergence de l'amour. La beauté est la base de l'élévation future du corps, de l'âme et de l'esprit. Elle s'exprime dans le caractère, le langage, les gestes, les pensées et les sentiments qui nous animent dans la vie de chaque jour.

Malheureusement, cette beauté n'a pas été offerte à l'âme qui transporte aujourd'hui les mémoires encombrantes de nos indécisions et de nos incohérences. Toutes les blessures contractées dans nos vies antérieures se retrouvent dans la mémoire de l'âme. Aussi est-il fondamental, pour retrouver la paix et rétablir les liens entre le corps et l'âme, d'éliminer les mémoires douloureuses du passé.

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Cette libération mémorielle doit se faire aussi bien dans les cellules de notre corps que dans celles de l'âme, afin qu'ils retrouvent tous deux la beauté d'expression, meilleure réponse possible à tout ce que nous avons traversé dans ce monde d'illusion.

En éliminant ces mémoires encombrantes, nous ferons un premier pas vers cet état recherché, but commun à chacun d'entre nous, l'état de Maître ascensionné.

2 - Le sourire.

Le sourire crée un pont entre deux personnes. C'est une forme de l'amour facile à offrir. Il est une essence précieuse qu'il faut savoir s'offrir, car lorsque nous sommes capables de nous sourire et de sourire à la vie, nous pouvons guérir bien des maux. Il fait partie des Sciences de la vie.

Le silence est le complice du sourire et, lorsqu'ils se marient tous deux, ils ouvrent la porte à la maîtrise. Mais il ne faut pas oublier l'équilibre qui veut que le silence soit d'or lorsque la parole est maîtrisée.

Lorsque nous vivons seul, il est aisé de s'appliquer les Sciences de la vie, mais lorsque nous acceptons de partager notre intimité, leur

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application s'avère plus difficile. Nous portons alors notre regard sur les deux aspects, féminin et masculin, de notre personnalité incarnée. Il nous est alors possible d'ancrer les connaissances acquises par la qualité du relationnel que nous entretenons avec celle ou celui qui partage notre vie.

En incarnation, le repos n'existe pas. La vie n'est faite que d'études et de mises en application afin de parvenir à l'illumination de l'être. Le sourire et le silence maîtrisés sont des guides sur le chemin qui y mène.

3 - États d'âme.

Nous devons comprendre que notre âme est reliée à notre corps et qu'elle ne peut nous quitter. Certaines âmes ressentent des sentiments de frustration et d'exaspération. Ces sentiments se répercutent au sein des humeurs corporelles et agissent sur les états d'âme.

Le corps enregistre les mouvements de l'âme et y répond par des contractions cellulaires. Alors que notre vie devrait être un mouvement harmonieux engendrant un caractère équilibré, elle manifeste trop souvent l'agacement, les sautes d'humeurs et la difficulté relationnelle.

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A l'origine, la cellule a été créée pour se régénérer et maintenir la beauté du corps. Nos maladies et mal-êtres sont des interpellations de notre âme pour que nous réagissions et que nous nous positionnions autrement dans le jeu de la vie.

Nous devons comprendre l'inutilité de la souffrance, de la vieillesse et de la mort. La Sainte Science qu'est l'Alchimie est là pour nous le rappeler et nous dire que nous pouvons transcender ces états. La Science de la vie, par la voie du c?ur, nous l'affirme de la même manière.

4 - La compétition.

Il est temps de prendre conscience de la manipulation planétaire destinée à nous faire entrer dans une robotisation à peine déguisée dont la puce sous la peau est la prochaine étape. Nous avons, pour une vaste majorité d'entre nous, répondu au moteur de la compétition qui facilite cette manipulation, en nous installant dans l'égoïsme et les tensions qui en découlent.

La compétition est un cancer qui gangrène la société et engendre la peur, ouvrant la porte aux maladies. La compétition est la pire menace déployée par les manipulateurs pour nous mettre en esclavage.

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Ainsi, si nous voulons retrouver l'harmonie relationnelle avec notre âme et collaborer ensemble à notre élévation, devons-nous rejeter la compétition et installer une harmonie durable.

La compétition ferme les portes du progrès et notre âme sait qu'elle nous mène à une impasse. Elle sait que cette compétition engendre l'égoïsme, une véritable maladie de la personnalité.

Au fil du temps, la compétition et l'égoïsme agissent conjointement pour générer le stress, l'hyper agitation et la nervosité. Aujourd'hui, les êtres humains sont sous une tension permanente qui dénature les sentiments et engendre une kyrielle de maladies dites modernes.

5 - Humour et tendresse.

Il est urgent que celles et ceux qui aspirent à un autre monde changent leur relation avec cette société de consommation et revisitent leur mode de nourriture.

Ainsi cette civilisation a-t-elle généré cette trilogie que sont la compétition, l'égoïsme et le stress. Mais nous ne sommes pas responsables de l'attitude des autres et nous avons tout loisir de nous désolidariser de ce monde s'il ne nous convient plus

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et de préparer un autre monde plus serein et plus fraternel.

Pour construire ce nouveau monde, Soria nous offre la clé de l'humour et de la tendresse :

« L'humour devient une marche essentielle pour gravir votre escalier de lumière et pour vous couronner. L'humour vous rapprochera de la clé de la tendresse. Oui, bien sûr, envers les autres, mais surtout envers soi. »

Avec le temps, la tendresse aide à la réconciliation des deux partenaires de vie que sont l'âme et le corps et prépare la venue de l'esprit. Elle permet de guérir les maux traversés au cours des incarnations, en libérant l'âme des mémoires encombrantes.

« C'est une émanation de lumière qui appelle le rayon rose d'amour et le rayon bleu de la paix, se traduisant par des manifestations mariant ces deux rayons, intégrant les paroles, les gestes, les actions du quotidien et créant une osmose en la matière et l'antimatière. »

Ainsi la tendresse serait-elle la clé capable de réconcilier et d'unir de manière stable et durable le corps/matière et l'âme/antimatière. Nous devons

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réfléchir à cette proposition et adopter cet état d'être dans toutes nos relations avec nous-mêmes et avec les autres.

6 - Corps/matière et âme /antimatière.

La Sainte Science, comme les Sciences de la vie que nous étudions en cet ouvrage ont pour objectif de ramener l'unité entre le corps, l'âme et l'esprit. Il est donc vital de comprendre les besoins de chacun. L'esprit est volontaire, et cela depuis sa première immersion dans la densité. Il souhaite expérimenter et déployer sa lumière. Le corps est l'outil de navigation de l'esprit. Au fil du temps, ses cellules ont développé une conscience qui finit par réfuter l'autorité de l'esprit. Le corps réclame du repos, alors que l'esprit souhaite explorer à fond la densité, d'où l'émergence d'actions indépendantes qui résultent aussi de la mésentente du corps et de l'âme, comme nous l'avons expliqué précédemment.

L'harmonie et l'unité sont donc à rétablir entre ces trois partenaires en vue de leur union et ascension commune. En cette époque si importante, nous pouvons quitter le groupe des laboureurs pour nous installer dans celui des Maîtres. Nous ouvrirons alors la porte à ces pouvoirs supérieurs qui résultent de cette unité du corps de l'âme et de

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l'esprit.

Il faut savoir que les ondes générées par cette civilisation matérialiste s'opposent à cette union. Aussi devons-nous redoubler d'efforts pour procéder à une restructuration importante de notre vie et à la mise en ?uvre des clés fournies par la Science de la vie, tout aussi importante que la Science alchimique.

Notre corps combat énormément pour sauvegarder son intégrité remise en cause chaque jour par les ondes nocives émises en permanence. Elles transportent des messages subliminaux qui accentuent les désordres relationnels entre le corps et l'âme.

Le moment est venu de prendre conscience et de comprendre que nos élites ne répondent pas aux intérêts élevés de l'harmonie relationnelle. Au nom de l'argent les banquiers génèrent un monde de riches et un monde de pauvres. Au nom de l'éducation, on asphyxie le cerveau de données inutiles. Au nom de la loi, on s'arroge le droit de tuer, même de jeunes enfants...

Quand donc, allons-nous réagir et appeler des dirigeants pour qu'ils agissent au "nom du c?ur de la source de toute vie" ?

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Notre âme tarde à s'ouvrir à la sagesse universelle parce qu'elle se trouve au c?ur de cette civilisation, saturée d'énergies inférieures. Offrons-lui un terrain d'envol vers des énergies plus gratifiantes.

L'humanité est à une période charnière de son évolution. Devant elle se profilent les grandes ouvertures de la matière et de l'antimatière dont la cohabitation vous a été révélée dans cet ouvrage. Progressivement, nous assisterons à une fusion entre la matière et l'antimatière d'Urantia. Nous devrons alors nous ajuster à la beauté des mondes de Haute Sagesse.

Ne souriez pas, car derrière cette union se profile le moteur de l'Ascension planétaire, qui entraînera certains parmi nous vers des hauteurs insoupçonnées. Nous comprendrons alors ce que souhaite nous transmettre Soria : « l'âme, l'antimatière du corps, voici une belle leçon de vie à méditer encore et encore jusqu'à créer la mélodie d'amour entre ces deux partenaires. »

7 - La créativité.

En incarnation, nous empruntons trop souvent des détours qui, aux yeux de l'âme, sont des pertes de temps. Elle aspire à nous voir prendre

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d'autres chemins et clôturer ce champ d'expérience de troisième dimension. L'Ascension vers les dimensions supérieures est offerte aux humains, mais cette opportunité se fermera bientôt et ne se représentera pas avant quelques millénaires.

Alors, quel sera notre choix : poursuivre notre expérience en cette dimension, nous élever en une fréquence plus subtile ou retrouver nos dons divins grâce à l'union des trois facettes que nous sommes, âme, corps et esprit ?

Si notre choix se porte sur la troisième solution, nous pourrons alors rejoindre un lieu de vie que les Sages ne souhaitent pas évoquer, mais qui permet à l'être réalisé de découvrir tous les espaces de vie et d'expérience qu'offre Urantia Gaïa.

Notre âme souhaite une plus grande détermination de notre part et souffre de nos prises de position qui changent avec le temps. Imaginons la détermination d'un Alchimiste qui doit maintenir le cap contre vents et marées durant plusieurs dizaines d'années, et parfois au cours de plusieurs vies.

Le nouveau cycle qui s'ouvre avec l'ère du verseau nous offre l'opportunité d'approcher la vie d'une autre manière. Nous devons apprendre à

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respecter nos rythmes d'études et d'intégration. Comme tous les alchimistes, nous devons apprendre à passer alternativement de l'oratoire au laboratoire, de l'étude à l'application.

La créativité est le terrain d'expression de l'âme qui, lorsque nous créons, peut nous transmettre ses impressions, ses messages et sa guidance. Notre âme rayonne lorsque nos mains créent un objet intégrant les beautés de la vie. Les Alchimistes sont des artistes qui créent de leur main le plus beau joyau qu'il soit possible de produire. Mais nous pouvons aussi nous tourner vers les arts floraux, ornementaux et tout ce qui peut embellir la vie. Le service aux autres est une forme de créativité. L'évolution veut que les humains passent du service à soi au service aux autres. Dans ce dernier service il est possible de faire fleurir notre créativité, tout en respectant le libre arbitre de chacun.

La créativité canalisera les humeurs de l'âme. Il n'est pas nécessaire pour cela de devenir un artiste renommé. Mais en pratiquant un art, que ce soit l'art d'Alchimie, de la peinture, du jardinage ou autre, nous établissons un partenariat avec notre âme et notre quotidien peut changer.

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Aujourd'hui, nous n'avons plus d'alternative, soit nous restons accrochés au passé, soit nous mettons en place de nouvelles relations avec notre âme et la créativité en fait partie. Notre esprit, en observant le processus entre nous et notre âme, apprendra la patience et sera comblé d'apprendre au travers de cette créativité.

Nous sommes dans le monde de l'initiation, de l'apprentissage et de la gestion des choix. Il nous est demandé d'agir avec détermination afin de mener nos choix vers la plus grande perfection possible. Pour l'Alchimiste, cette perfection s'exprimera dans le rubis magique capable de guérir, rajeunir et transmuter.

Pour l'instant, la créativité scientifique ne respecte pas le monde du vivant. Nous sommes tous des scientifiques, mais nous l'ignorons. J'espère que cet ouvrage permettra à de nouveaux créateurs de se lever et de ramener la science dans l'intelligence de la vie. La science gagnerait d'être au service de la communauté et non au service de ceux qui nous dirigent. Les créateurs de cette voie pourraient alors s'épanouir dans une véritable créativité qui ravirait leurs âmes.

8 - La réalisation.

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Notre âme cherche la connaissance dans tous les royaumes de l'esprit qui lui sont accessibles, afin de nous les transmettre. C'est ainsi que nous avons parfois une illumination, une pensée extraordinaire qui émerge. Notre âme constitue un moteur d'évolution et de positionnement. Aussi, devons-nous mesurer la chance que nous avons de disposer d'une telle partenaire, ce qui n'est pas le cas pour tous les esprits partis en exploration de la densité.

Il est grand temps que nous écoutions cette partenaire de vie et que nous lui donnions la place qui lui revient, en reconnaissant le travail qu'elle accomplit pour nous sortir de l'impasse dans laquelle nous sommes avec notre esprit.

Il est temps d'entrer dans la paix et de reconnaître le statut d'utilité universelle à l'âme dont nous sommes les créateurs. Accordons à notre enfant, le mérite qui lui revient !

Dans cette reconnaissance, nous ferons le premier pas vers notre réalisation. Derrière ce vocable, nous trouvons l'acceptation de notre esprit de vivre en paix, en harmonie et en symbiose avec notre âme, lui faisant une place et lui permettant d'offrir à son Père/Mère créateur, le corps, la jeunesse et la santé dont elle détient les clés.

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Lorsque nous serons parvenus à cette réalisation, la lumière de notre esprit circulera librement entre les trois partenaires de vie, la conscience incarnée, l'âme et l'esprit qui, à ce jour, vivent éloignés les uns des autres.

Préalablement, nous devrons installer en nous l'amour, la paix, le respect, la douceur et l'humour pour que les maux de l'âme s'apaisent, les douleurs du corps disparaissent et que l'esprit oublie la longue attente subie pour retrouver la maîtrise perdue du véhicule.

L'esprit redeviendra le maître d'?uvre suprême, le corps et l'âme lui permettront à nouveau de recueillir l'information qu'il recherche. Cependant, l'âme et la conscience incarnée garderont la connaissance de la méthodologie la plus appropriée pour la conduite du vaisseau corps et pourront définir la meilleure manière d'approcher une situation.

Pour ce but, il sera important que nous nous réappropriions le pouvoir des mots « oui » et « non » et que nous oubliions les « peut être » et les « faux semblants ». C'est en exerçant ce pouvoir de décision que nous éliminerons de nos vies, en quelque lieu qu'elles se déroulent, les tentatives de

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manipulations dont nous serons toujours l'objet.

9 - Le respect.

Nous avons pu observer combien, au cours des âges, l'esprit de vengeance avait pu conduire à des guerres dévastatrices. Il est, encore aujourd'hui, bien installé dans l'esprit de nombreuses consciences incarnées. Nous devons lutter contre cet héritage biologique ancestral, ce marécage qui nous enlise dans les basses fréquences, au même titre que le désir de pouvoir.

Notre âme est incapable de nous aider lorsque nous glissons dans ces sentiments de bas étage. L'âme est une émanation de lumière issue de la lumière du corps physique. Nous pouvons nous appuyer sur elle pour recevoir des solutions à nos problématiques caractérielles et quotidiennes. Consultons notre esprit, mais aussi notre âme avant de retenir l'attitude à engendrer. Arrêtons de nous soumettre à des influences extérieures nocives.

Notre âme, au cours de nos multiples expériences de vie, a recensé les erreurs comportementales émises dans l'incarnation. Elle est en mesure de nous délivrer de sages conseils afin d'éviter de renouveler les mêmes erreurs. Apprenons donc à l'écouter et à la respecter.

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Le respect est une clé importante dans l'instauration de la paix et de l'harmonie relationnelle. Cette clé peut nous aider sur le chemin de notre retour vers notre haute lumière, vers la réalisation à laquelle nous sommes en droit de prétendre.

10 - Le rêve.

Un créateur ne subit pas sa vie. Il la crée, en partenariat avec son âme et son esprit. Aussi devons-nous apprendre à dérouler notre fil de réflexion en intégrant de manière équilibrée les désirs de l'âme et de l'esprit. En réinstallant une harmonie relationnelle entre ces trois partenaires engagés ensemble dans l'exploration des mondes finis au sein d'un même véhicule, nous résoudrons une grande partie de nos difficultés quotidiennes.

Aujourd'hui, les rêves des uns et des autres sont trop disparates. La conscience incarnée rêve de survie quotidienne, l'âme rêve d'exploration de l'espace/temps et l'esprit rêve de futures expériences. Il est grand temps de considérer la valeur de ces trois désirs, de ces rêves, afin de créer une unité d'action. Ce sera à partir de cette unité que nous toucherons la porte de notre réalisation.

Celui qui choisit d'unifier ses trois rêves dans

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la voie alchimique met de l'ordre dans sa vie quotidienne pour se libérer des contraintes de survie matérielle. Il agit ensuite avec conscience et persévérance dans la voie choisie, en collaboration avec ses partenaires qui savent qu'au bout du chemin chacun trouvera la récompense qu'il attend : plus de contraintes matérielles, la santé et la longévité du véhicule, l'exploration de nouveaux champs d'expériences et la rencontre avec de nouvelles formes de vie.

Nous n'avons pas toujours conscience de la présence de notre âme et de notre esprit lorsque nous nous incarnons et que nous prenons les commandes du véhicule corps. Pourtant, ils prennent place avec nous, mais en retrait, laissant le soin à la conscience incarnée de conduire le véhicule où bon lui semble. La majeure partie du temps nous n'entendons guère ces passagers qui aimeraient pourtant découvrir d'autres paysages et vivre d'autres aventures que celles que nous leur offrons depuis si longtemps.

Nous sommes tellement plus enclins à répondre favorablement aux sollicitations des manipulateurs qui souhaitent nous maintenir au sein de leur troupeau, plutôt que de faire alliance avec ces deux partenaires de vie capable, pourtant, de

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maintenir le véhicule en vie très longtemps et de le conduire vers des contrées plus attrayantes.

Lorsque nous parvenons enfin à écouter ces partenaires, à réunir en une seule action les rêves de chacun, nous générons de nouvelles aventures et arrêtons de tourner en rond. Nous entrouvrons la porte de notre réalisation.

Selon Soria :

« La meilleure gymnastique énergétique demeure de rêver et d'être éveillé en même temps ».

Les Alchimistes, mais aussi celles et ceux qui suivent d'autres voies de réalisation, sont des rêveurs éveillés qui rêvent de jeunesse éternelle, mais aussi de vie épanouie dans la beauté, la fraternité, la compréhension mutuelle et l'échange équilibrée avec toutes les formes de la vie.

La conscience incarnée a su épauler l'esprit par la création de l'âme. Il est vraiment temps que nous reconnaissions la valeur de cette création et que nous acceptions tout ce qu'elle est en mesure de nous offrir. L'unité d'action sera notre porte de sortie vers d'autres réalités plus agréables.

Voici les paroles de Soria, dans son ouvrage

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« Messages d'âmes » :

« L'antimatière veut communiquer avec la matière et vice versa. Votre âme veut donc communiquer avec votre corps. En cette période, vous n'avez guère de choix sauf celui d'intégrer cette information. Vous aurez tout à y gagner, car votre mode relationnel deviendra de qualité et votre état de santé, corporel et holistique, s'installera dans une harmonie oubliée. »

Si j'en crois certains physiciens comme De Broglie, Bohm ou Viguier, la matière serait un vide dans l'énergie du cosmos. Seuls l'âme et l'esprit antimatières seraient une concentration de cette énergie et, à ce titre, éternels. Le corps matière, même s'il peut vivre et fonctionner durant des millénaires, ne peut durer indéfiniment. Il est cependant un véhicule indispensable à l'antimatière pour explorer les mondes de matière qui ne sont peut-être que des illusions, puisque constitués de vide, mais néanmoins essentiels à la conscience de l'âme et de l'esprit antimatière afin de progresser dans la reconnaissance de leur propre nature. Et puis, un jour, le véhicule matière ne sera plus nécessaire... Alors s'amorcera le retour vers la source de toute vie.

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L'unité s'en vient et un futur exceptionnel attend celles et ceux qui accepteront de créer cette unité qui ne fait pas disparaître la différence, mais l'embellit. Ensemble, dans le respect mutuel de nos trois natures, nous découvrirons un autre théâtre de vie où la matière se manifestera avec plus de légèreté.

N'est-il pas étrange de constater que nous recherchons l'union du corps, de l'âme et de l'esprit, au même titre que les Alchimistes recherchent, dans la Pierre Philosophale, l'union du sel, du soufre et du mercure ?

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CHAPITRE 29

Le Collège Sacré.

J'ai révélé, dans mon précédent ouvrage, l'existence du Haut Conseil chargé de guider l'humanité vers les grandes échéances de son développement permettant d'offrir aux hommes les circonstances de leur progression vers la source de toute vie.

Lorsque Siméon, Zaccharie et Nicodème nous contactèrent, leurs premières paroles furent «  nous sommes au temps de la Parousie, préparez-vous ! Préparez-vous !». La Parousie, c'est le temps de l'Apocalypse et de la Révélation.

Aussi, ce qui était jadis caché ou connu seulement de cercles initiatiques fermés est-il aujourd'hui révélé.

L'homme, en général, ignore son importance. Voici ce que j'exprimais dans mon premier ouvrage : « Le secret le plus farouchement défendu par ceux qui voulurent nous asservir, relève de l'amour de soi et de notre divinité résidant au centre de notre c?ur. Ils ont tout fait pour nous faire croire que nous n'avions aucune valeur, que nous étions coupables

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d'un péché originel, que s'aimer était une forme de narcissisme coupable... Peur et sentiment de culpabilité nous ont éloignés de la joie du véritable amour de soi, en tant qu'enfant divin expérimentant tout simplement les jeux de la vie ».

Une telle « Science du Soi » n'a rien à voir avec l'exaltation de l’ego et cela est suggéré par le Conseil Sacré.

Les temps sont venus de révéler l'existence du Conseil Sacré. Douze sages, avec à leur tête le « Sublime », ?uvrent dans le cadre de la plus pure Tradition pour le développement spirituel de l'Homme.

Ce « Collège Sacré » dépend du « Haut Conseil » et de Maha, mais sa mission est absolument distincte. Il concerne le domaine de l'initiation, de la formation intérieure, de l'évolution et, en dernier analyse, de la réintégration. Le Collège Sacré est une force qui couvre l'immensité du champ initiatique. Il ?uvre afin que s'établisse entre les êtres humains la fraternité basée sur la tolérance, la compréhension et la participation de chacun aux activités de l'autre. Nul ne doit se sentir à l'écart ou en retrait car nous sommes un sous des aspects multiples.

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Le Collège Sacré, par les moyens qui lui sont propres, suggère aux hommes que le passé est un fondement et que seul l'avenir a de l'importance. L'ère nouvelle s'est installée et l'humanité est en route pour une nouvelle grande étape. L'homme doit apprendre à réagir de manière différente à celle qu'il avait coutume dans le passé et travailler pour rejoindre un espace de vie plus attrayant que j'aidécrit dans « UN AUTRE MONDE ».

Si vous souhaitez plus d'informations sur le Collège Sacré, je vous invite à lire « La citadelle cachée des sages » de Raymond Bernard.

Beaucoup de personnes, et même des initiés, ne croiront certainement pas les révélations que je vais faire maintenant.

Vous avez appris que les membres du Haut conseils étaient des êtres très en avance sur le plan spirituel, mais ils sont mortels comme la plupart des humains. Quand le nouveau Président est proposé à cette fonction et qu'il l'accepte, il est intronisé, non pas sur ce plan, mais sur un plan de plus haute fréquence. En fait, il est intronisé dans la cité administrative du réseau de l'Agartha. Il doit se rendre en ce lieu, mais puisque le « Collège Sacré » dépend du « Haut Conseil », il rencontre le

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Sublime et les onze autre membres, avant son intronisation.

En 1986 Shambala mineure, située dans l’Himalaya, était encore la cité administrative de l'Agartha. En route vers ces lieux, le Maha de l'époque s'arrêta dans les environs de Gangtok, là où se trouvait le Collège sacré.

Aujourd'hui, la cité administrative du réseau de l'A....., nouveau nom de l'Agartha, a changé au profit de Télos, située au c?ur du mont Shasta. Le Collège sacré s'est installé sur la côte pacifique, proche de cette montagne sacrée.

Pourquoi faire ces révélations ? Pour répondre au v?u de celui qui les a faites qui, un jour, a écrit « Je perçois, au delà des années un « futur » où ces révélations constitueront la solution de la grande énigme et l'explication de ce que l'on a coutume, d'appeler le services des Maîtres. »

Mais il est une autre raison. Dans peu de temps, une partie de l'humanité passera dans la fréquence de la cinquième dimension pour construire un NOUVEAU MONDE. Celui-ci se construira en collaboration avec le Haut Conseil et le Collège Sacré qui seront alors connus de tous. Dans ce monde on parle de Conseils, de Conclaves

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et d'Assemblée. En aucun cas, la Conscience Unifiée ne s'accommode d'une structure pyramidale. Rien ne sera caché, nous vivrons la fraternité et la solidarité. Personne ne sera exclu.

Mon premier ouvrage a décrit le monde qui nous attend. Les deux ouvrages suivants « les plus grands secrets du monde » vous donnent des informations qui vous permettent d'espérer que ce monde n'est pas une utopie, ainsi que des clés qui permettent de le rejoindre.

Puissions nous être très nombreux à y parvenir !

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CHAPITRE 30

REMERCIEMENTS.

Je ne puis terminer cet ouvrage sans évoquer celles et ceux qui me permirent d'acquérir les connaissances révélées, mais aussi celles et ceux qui ?uvreront pour les transmettre afin que la chaîne des connaissances se perpétue dans le futur des temps.

Ma profonde reconnaissance va tout d'abord à Monsieur Raymond Bernard qui fut Grand Maître, puis légat pour l'Europe, de l'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix. Il assuma des responsabilités que le monde reconnaîtra un jour, mais je n'en parlerai pas ici. Le premier, il nous initia à la nature de l'âme, au rôle de l'antimatière dans la construction des mondes et des véhicules que nous utilisons. Il créa un Ordre qui se perpétue aujourd'hui et offre une aide précieuse aux chercheurs dans la connaissance des Sciences de la vie.

Je remercie aussi, pour leur bienveillance, nos trois Maîtres Alchimistes qui nous aidèrent à progresser dans la compréhension du Grand ?uvre, ainsi que nos Frères et S?urs issus d'horizons lointains qui nous transmirent des connaissances sur

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des technologies qui verront le jour dans le futur. Je remercie mon amie Marie qui fut leur porte-parole et ?uvre pour créer des liens entre différents plans de l'univers. Sans eux et sans elle, je ne serais jamais parvenu à comprendre et à proposer des solutions qui serviront pour l'avènement d'un monde plus juste et fraternel.

Il me faut aussi remercier les Maîtres du collectif Kryeon qui transmirent des informations confirmant mes découvertes.

Enfin, ce que nous avons appris des Sciences de la vie émane, pour l'essentiel, du collectif de Maîtres ascensionnés Soria. Ils donnèrent d'importantes informations sur les réalités de la création. Ce collectif est installé, aujourd'hui, en cinquième dimension de notre planète et ?uvre pour l'ancrer dans sa haute destinée. Les informations transmises constituent le plus bel enseignement que notre monde ait connu.

J'espère que nous serons nombreux à les rejoindre, afin d'?uvrer pour que cette planète cesse d'être un lieu de conflit et devienne une planète relais vers les nouveaux mondes et assume son rôle de bibliothèque de l'espace.

Je remercie aussi celles et ceux qui croisèrent

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mon chemin et participèrent, d'une manière ou d'une autre, à ce que cet ouvrage soit publié. Je n'oublie pas mes amis Andréa et Jacques qui m'aidèrent à parachever l’?uvre. ils le feront connaître au plus grand nombre possible de chercheurs.

Enfin, je dirai que sans ma compagne je ne serais jamais parvenu à toutes les connaissances acquises au cours de cette vie. Elle n'a jamais participé à mes travaux, mais elle m'a offert, durant ces longues années, les conditions matérielles indispensables à leur réalisation. Jamais, je ne l'ai entendue se plaindre des longues périodes que je passais dans mes laboratoires d'Alchimie ou de Physique, ainsi qu'en Oratoire. Aussi mérite-t-elle, autant que moi-même, de jouir des bienfaits qu'ils sont susceptibles d'apporter. Je lui serai éternellement reconnaissant et je demeure convaincu que nous maintiendrons dans le futur des liens qui nous permettront de nous souvenir de cette vie passée ensemble, en quête, chacun à sa manière, des connaissances sur la vie et l'univers, mais aussi sur ce joyau à nul autre pareil, la Pierre Philosophale...

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BIBLIOGRAPHIE

Le mystère des cathédrales Fulcanelli

Les demeures philosophales Fulcanelli

Dictionnaire de philosophie Kamala Jnana

Deux textes alchimiques Roger Caro

L’alchimie expliquée Canseliet

Les douze clefs de la philosophique Basile Valentin

L’entrée ouverte au palais ferméPhilalèthe

?uvres Nicolas Flamel

Atalante fugitive Michel Maïer

Le feu du soleil Robert Amadou

Télos tome 1, 2 et 3 Adama

Aux racines de l'univers Ervin Lazlo

Ames courageuses Robert Schartz

Éther et théorie de la relativité Solovnie

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Lémurie, continent perdu Cervé Wishar

La vie des Maîtres Spalding

Voici le temps du monde fini Albert Jacquard

Traité du ciel terrestre Lavinius

Théogonie Hésiode

L'Odyssée Homère

L’Iliade Homère

A l'intérieur de la terre Radu Cinamar

La sagesse antique  Annie Besant

Rencontre avec l’insolite  Raymond Bernard

En direct de l’au-delà  François Brune

Hommes et civilisations fantastiques   Serge Hutin

Invitation au château de l’étrange Claude Seignolle

Les vrais mystères de la mer  Vincent Gaddis

Le matin des magiciens  Bergier / Pauwels

L’immortalité alchimique  Serge Hutin

Les grandes voies du soleil  Soria

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Maîtrise du corps ou unité retrouvée Soria

Voyage  Soria

L’être solaire  Soria

Fleurs d’esprit  Soria

Messages d'âmes Soria

Les Clés Soria

Graduation des temps  Lee Carroll

Aller au-delà de l’humain  Lee Caroll

Partenaire avec le divin  Lee Carroll

Alchimie de l’esprit humain  Lee Carroll

Messages de notre famille  Lee Carroll

Franchir le seuil du millénaire  Lee Carroll

Un nouveau départ  Lee Carroll

La citadelle cachée des sages Raymond Bernard

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