DIVERTIMENTO À TROIS · constitue l’une des pages les plus aventureuses de Mozart. Il culmine...

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17 JUILLET 2018 CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD DIVERTIMENTO À TROIS Daniel Sepec, Tabea Zimmermann & Jean-Guihen Queyras

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17 JUILLET 2018

CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

DIVERTIMENTO À TROISDaniel Sepec, Tabea Zimmermann & Jean-Guihen Queyras

17 JUILLET – 20H – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

VIOLON Daniel Sepec ALTO Tabea ZimmermannVIOLONCELLE Jean-Guihen Queyras

LUDWIG VAN BEETHOVEN ( 1770-1827 )

Trio à cordes n° 2 en ré majeur « Sérénade », op. 8 ( 1797 )

Marcia. Allegro - Adagio Menuet. Allegretto Adagio Allegretto alla polacca Tema con variazioni. Andante quasi allegretto

SÁNDOR VERESS ( 1907-1992 )

Trio à cordes ( 1954 )

AndanteAllegro molto

ENTRACTE

WOLFGANG AMADEUS MOZART ( 1756-1791 )

Divertimento pour trio à cordes en mi bémol majeur, K. 563 ( 1788 )

AllegroAdagioMenuet. AllegrettoAndanteMenuet. AllegrettoAllegro

LUDWIG VAN BEETHOVEN ( 1770-1827 )

Trio à cordes n° 2 en ré majeur « Sérénade », op. 8 ( 1797 )

On tend à ranger les cinq trios à cordes de Beethoven dans la catégorie « œuvres de jeunesse » et ce, à juste titre, car c’est bien à la plume d’un compositeur de vingt-cinq ans que l’on a affaire. Beethoven construit et affine jour après jour son langage personnel, ainsi que l’esprit réformateur dont il sera bientôt pourvu. Pour ce faire, il ne manque pas de renouer avec la tradition viennoise en profitant pleinement de l’héritage de Haydn d’une part, et de Mozart d’autre part. Le premier a donné ses lettres de noblesse à l’art de la variation, source inégalable d’inventivité dont Beethoven ne saurait se priver dans ce trio. Le second est passé maître dans l’art de la sérénade, divertissement incomparablement prolifique n’étant pas nécessairement relégué à un répertoire de seconde zone. De même que Mozart s’y est illustré, Beethoven s’en sert comme d’un tremplin pour gagner en popularité au cœur du microcosme viennois. Pari gagné !

Publiée à Vienne en 1797, la Sérénade opus 8 de Beethoven, auréolée de succès, est arrangée quelques années plus tard sous la forme de Nocturnes pour piano-forte et alto op. 42. Formation instrumentale atypique, le trio à cordes est un peu à la période classique ce que la sonate à trois était à l’époque baroque. Pour Beethoven, il s’agit surtout d’un exercice préliminaire avant d’affronter le genre « noble » du quatuor à cordes dès 1799.

Libre de contraintes formelles, la Sérénade est l’occasion idéale pour Beethoven de donner vie à ses idées musicales. Le trio s’ouvre ainsi de la même manière qu’il se referme. Entre la marche d’introduction et la marche conclusive, on assiste à un enchaînement de mouvements aussi brefs que contrastés parmi lesquels on peut retenir l’Adagio et l’Allegretto alla polacca. Quoique formant une entité cohérente, le violon, l’alto et le violoncelle n’en gardent pas moins leur souveraineté et jouissent d’un traitement égalitaire. C’est finalement sur l’opposition de rythmes tantôt vifs, tantôt lents que repose ce savant équilibre entre fantaisie et élégance.

AURÉLIE BARBUSCIA

SÁNDOR VERESS ( 1907-1992 )

Trio à cordes ( 1954 )

C’est un regard à la fois triste et sarcastique que Sándor Veress pose sur le monde, lui que Bartók lui-même considérait comme le plus grand talent hongrois. Longtemps tenu à l’écart avant de jouir d’une notoriété – certes méritée quoique posthume – l’artiste a souffert de solitude, celle qu’implique une vie de déraciné, une existence bouleversée par les revirements politiques de son temps. Né en Transylvanie, Veress étudie puis travaille aux côtés de Kodály et de Bartók à Budapest, avant de devenir le professeur de Ligeti et de Kurtág. C’est en Suisse qu’il trouve refuge en 1949 pour y vivre jusqu’à sa mort en 1992.

Composé en 1954, le Trio pour violon, alto et violoncelle marque la première phase d’un exil helvétique à perpétuité. Avant d’amorcer ce profond déracinement et en guise d’adieu, Veress prend soin de composer son Threnos pour orchestre ( 1945 ) qui n’est autre qu’une lamentation funèbre. Car il s’agit là de saluer son maître défunt – Bartók – autant que son pays natal où la liberté créatrice est désormais menacée. Ayant initialement nourri l’espoir que le nouvel ordre social promu par les communistes serait favorable au développement de son langage musical, le compositeur subit une grande désillusion qui le condamne au silence, fort heureusement rompu au moment de fouler le sol de sa patrie d’adoption.

L’opus n’offre que deux mouvements : l’Andante déploie toute la veine lyrique du compositeur, tandis que l’Allegro molto se veut plus rythmique. Le Trio à cordes s’ouvre de manière austère : l’écriture est aussi sobre que dense, la texture sonore se fait épaisse. Pour autant, une certaine souplesse se dégage de ce mouvement dont le rythme s’accélère peu à peu, et qui finit par diversifier les modes de jeu en déployant pizzicati et glissandi. L’énergie soudaine du second mouvement rompt avec l’apparent statisme du premier. Agitation, obstination et fragilité contrastent avec la constance de l’Andante. En toile de fond, de nerveux ostinati et de toniques pizzicati se laissent entendre. Bouquet final : la caisse du violoncelle se fait percussion. Rien de révolutionnaire dans tout cela : juste l’implacable détermination de celui qui marche seul.

AURÉLIE BARBUSCIA

WOLFGANG AMADEUS MOZART ( 1756-1791 )

Divertimento pour trio à cordes en mi bémol majeur, K. 563 ( 1788 )

« Vous sentirez vous-même qu’il est sûr et vrai qu’on ne peut que mal vivre, ou qu’il est même impossible d’exister si l’on doit attendre une rentrée d’argent après l’autre ! Si l’on n’a pas une certaine réserve indispensable minimale […]. Si vous me faites cette amitié, je peux […] travailler l’esprit libre de soucis et le cœur léger, donc gagner davantage. » Mozart s’adresse ici à son ami et frère de loge maçonnique Mickaël Puchberg à qui il dédie ce Divertimento pour trio à cordes. 1788 est une année noire sur le plan matériel pour Mozart qui s’en remet à la générosité de ses compagnons francs-maçons. En dépit de l’indifférence viennoise vis-à-vis de son Don Giovanni et de la misère dans laquelle il s’enlise, Mozart ne cesse de composer.

Mi bémol majeur : c’est la tonalité que lui impose son commanditaire pour ce Trio. Loin de porter préjudice à ses idées musicales, les contraintes ont tendance à pousser Mozart vers l’excellence. Tantôt frivoles et insouciants, tantôt graves et dramatiques, les six mouvements de ce Divertissement illustrent à merveille les contradictions propres au langage mozartien. Violon, alto et violoncelle y sont par ailleurs traités sur un pied d’égalité.Le Trio s’ouvre dans un style concertant. Les trois archets sont comme surpris dans leur conversation, de quoi nous rappeler que la musique de chambre revêt l’allure d’un jeu de société. L’Adagio, étrenné par le violoncelle, nous plonge dans un profond recueillement et constitue l’une des pages les plus aventureuses de Mozart. Il culmine sur un la bémol aigu des plus exaltants au violon, renouant ainsi avec la tonalité initiale. Quintessence de l’art de la variation : l’Andante présente un thème naïf et pittoresque de huit mesures, immédiatement suivi de variations où la complexité contrapuntique est de rigueur. Grâce et séduction sont au rendez-vous dans l’Allegro conclusif qui se veut riche sans perdre en légèreté. N’est-ce pas le vœu de Mozart ?

AURÉLIE BARBUSCIA

Daniel Sepec

Le violoniste allemand Daniel Sepec étudie dans sa cité natale de Francfort avec Dieter Vorholz, ainsi qu’à Vienne auprès de Gerhard Schulz. Il participe à des master classes de Sándor Végh et du Quatuor Alban Berg. Il devient en 1993 premier violon solo de la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême, avec laquelle il se produit aussi régulièrement en tant que soliste. Il enregistre avec cet ensemble deux albums consacrés à des œuvres de Jean-Sébastien Bach et aux Quatre saisons d’Antonio Vivaldi. En tant que premier violon solo invité, il joue au sein de l’Orchestre de chambre d’Europe, de la Camerata Academica de Salzbourg et de l’Ensemble Oriol de Berlin. Soliste, il apparaît aux côtés de l’Academy of Ancien Music avec Christopher Hogwood, avec l’Orchestre des Champs-Élysées et Philippe Herreweghe, ou bien encore avec l’Académie de musique de Vienne sous la direction de Martin Haselböck. Il se consacre tout particulièrement au répertoire baroque et au jeu sur instruments anciens, notamment avec l’Ensemble Balthasar Neumann conduit par Thomas Hengelbrock. Son interprétation des Sonates du Rosaire d’Heinrich Ignaz Franz von Biber lui vaut le Prix des critiques de disques allemands. En compagnie d’Andreas Staier, il enregistre un CD où il joue sur un violon ayant appartenu à Ludwig van Beethoven. Membre du Quatuor Arcanto, sa discographie avec cette formation comprend des partitions de Mozart, Schubert, Brahms, Debussy, Ravel, Bartók, sans oublier Dutilleux. Professeur à la Haute École de Musique de Bâle de 2010 à 2014, il enseigne aujourd’hui à la Haute École de Musique de Lübeck.

Tabea Zimmermann

Formée auprès d’Ulrich Koch à la Hochschule für Musik de Fribourg et auprès de Sándor Végh au Mozarteum de Salzbourg, Tabea Zimmermann effectue des résidences à Weimar, Luxembourg, Hambourg avec l’Orchestre symphonique de Bamberg et est artiste en résidence au Museums-Gesellschaft de Francfort en 2015-2016. Après avoir enseigné à Sarrebruck et Francfort-sur-le-Main, elle est depuis 2002 professeure à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin. Elle remporte entre 1982 et 1984 plusieurs concours à Genève, Budapest et Paris ainsi que de nombreux prix nationaux et internationaux pour ses performances artistiques, tels que le Frankfurter Musikpreis, le Hessischer Kulturpreis, le Rheingau Musikpreis, le Prix international de la Fondazione Accademia Musicale Chigiana de Sienne et le Prix Paul-Hindemith ( Hanau ). En 2017, elle est reconnue comme « Artiste de l’année » par les International Classical Music Awards ( ICMA ). Si sa carrière de soliste l’amène à se produire aux côtés de nombreux orchestres réputés comme l’Orchestre philharmonique de Berlin, le London Symphony Orchestra, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de Paris et l’Orchestre philharmonique tchèque, elle s’investit également dans le domaine de la musique de chambre, collaborant avec des artistes tels que le pianiste Leif Ove Andsnes, le violoniste Christian Tetzlaff et le clarinettiste Jörg Widmann. Ambassadrice du répertoire contemporain, elle crée la Sonate pour alto solo de Ligeti – qui lui est dédiée – ainsi que les Concertos pour alto de Sally Beamish, de Wolfgang Rihm et de Heinz Holliger. Elle joue également Monh de

Georges Lentz, Notte di pasqua de Frank Michael Beyer et, avec l’ensemble Resonanz, Filz de Enno Poppe. Elle enregistre tous les classiques du répertoire pour alto. Avec le Quatuor Arcanto, elle enregistre plusieurs disques sous le label Harmonia Mundi autour d’œuvres de Bartók, Brahms, Ravel, Dutilleux, Debussy, Schubert et Mozart. En 2016, à l’occasion de deux concerts dans le cadre de la carte blanche donnée à Jean-Guihen Queyras, elle se produit au Festival d’Aix-en-Provence avec le Quatuor Arcanto, ensemble avec lequel elle a beaucoup joué, notamment au Carnegie Hall ( New York ), à la Fondation Calouste Gulbenkian ( Lisbonne ), au Palais de la musique catalane ( Barcelone ), au Théâtre du Châtelet et à Cité de la Musique ( Paris ), à la Philharmonie de Berlin et au Konzerthaus de Vienne, mais aussi en Israël, au Japon et en Amérique du Nord. Cette même année, elle donne un concert avec l’ensemble Resonanz au Musikfest Berlin et interprète le Concerto pour alto de Michael Jarrell au Festival Musica de Strasbourg avec l’Orchestre national des Pays de la Loire dirigé par Pascal Rophé. En 2017, elle joue avec l’Orchestre symphonique de Vienne dirigé par Ingo Metzmacher, avec l’Orchestre de la Suisse romande sous la direction de Pascal Rophé ainsi qu’avec le Konzerthausorchester Berlin dirigé par Mario Venzago. En 2017, elle encadre la résidence de musique de chambre de l’Académie du Festival d’Aix et joue en quintette à deux altos ainsi qu’en quatuor avec piano aux côtés des jeunes ensembles à cordes de la résidence. La saison 2017-2018 est marquée par sa nouvelle collaboration avec l’ensemble Resonanz au sein duquel elle était en résidence entre 2013 et 2015 à la Philharmonie de l’Elbe à Hambourg. Elle

se produit en concert avec le Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin et Lahav Shani ainsi qu’avec l’Orchestre de chambre d’Europe et David Robertson au festival musica viva des Bayerischen Rundfunks ( Munich ). Elle participe à une tournée de concerts avec l’Orchestre de chambre de Paris et Les Siècles sous la direction de François-Xavier Roth. En outre, elle donne deux créations mondiales : une pièce par Brett Dean avec l’Orchestre de chambre suédois et un concerto pour alto de York Höller avec l’Orchestre du Gürzenich de Cologne, puis avec l’Orchestre philharmonique de Séoul.

Jean-Guihen Queyras

Que ce soit comme soliste, en formation de chambre ou en solo, le violoncelliste Jean-Guihen Queyras multiplie les projets et les collaborations à l’international. Sa carrière l’amène auprès des plus grands orchestres du monde ; de l’Orchestre de Philadelphie à l’Orchestre de Paris, en passant par l’Orchestre symphonique de la radiodiffusion bavaroise, le Philharmonia Orchestra de Londres, l’Orchestre symphonique de la NHK à Tokyo, l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre du Festival de Budapest et l’Orchestre de la Suisse romande. Il joue ainsi sous la direction de chefs tels que Philippe Herreweghe, Iván Fischer, Yannick Nézet-Séguin, Jiří Bělohlávek, Oliver Knussen, Herbert Blomstedt et Sir Roger Norrington. Il est par ailleurs régulièrement engagé comme soliste par divers ensembles de musique ancienne, comme le Freiburger Barockorchester, l’Akademie für Alte

Musik Berlin ou le Concerto Köln. Le Muziekcentrum Vredenburg d’Utrecht, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Bijloke de Gand ou encore le Wigmore Hall à Londres lui ont offert des cartes blanches, de même que le Festival d’Aix-en-Provence, qui lui offre l’opportunité en 2014 de partager la scène avec Alexandre Tharaud et le Freiburger Barockorchester, puis en 2016 avec ses partenaires du Quatuor Arcanto, Daniel Sepec et Tabea Zimmermann. Défenseur du répertoire contemporain, il donne vie aux œuvres d’Ivan Fedele, Bruno Mantovani, Jörg Widmann, Peter Eötvös, Henri Dutilleux, Pierre Boulez, Gilbert Amy, Michael Jarrell et Johannes Maria Staud. En février 2016, il crée Ouroboros, concerto pour violoncelle et orchestre à cordes de Thomas Larcher, aux côtés de l’Amsterdam Sinfonietta. Le violoncelliste collabore avec la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker et crée en 2017 Mitten wir im Leben sind / Bach6Cellosuiten, spectacle mettant à l'honneur l'intégrale des suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach. Sa discographie comprend maints enre-gistrements parus chez Harmonia Mundi – dont « Thrace ( Sunday Morning Sessions ) » en 2016. Un album en duo avec Alexandre Tharaud rendant hommage à Brahms a paru en janvier 2018 chez Erato. Sous le label Harmonia Mundi, plusieurs disques ont été gravés avec ses principaux partenaires de musique de chambre : les membres du Quatuor Arcanto, la violoniste Isabelle Faust et le pianiste Alexander Melnikov. Au cours de la saison 2018-2019, on le retrouvera en tournée au Japon puis aux États-Unis avec l’Orchestre symphonique de Détroit dirigé par Nikolaj Znaider et le DRSO Berlin avec Ton Koopman. Il effectuera une tournée européenne en duo avec Alexandre

Tharaud, assurera la création mondiale d’un concerto que lui écrit Tristan Murail et sera l’invité de la Cello Biënnale Amsterdam. Jean-Guihen Queyras est professeur à la Musikhochschule de Fribourg-en-Brisgau et est directeur artistique des Rencontres musicales de Haute-Provence ( Forcalquier ). Il joue sur un violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696, prêt de l’association Mécénat Musical Société Générale, depuis novembre 2005.

CARTE BLANCHE À TABEA ZIMMERMANN

11 JUILLET – 18H COUR DU PRESBYTÈRE, PLACE DE L’ARCHEVÊCHÉ

TÊTE-À-TÊTE avec Tabea Zimmermann

12 JUILLET – 12H HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE

MASTER CLASS PUBLIQUE

Tabea Zimmermannavec les ensembles de la résidence de musique de chambre de l’Académie

Accessible avec le

13 JUILLET – 20H CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

CONCERT L’Alto à l’honneur

Tabea Zimmermann en compagnie d'Andrea Hill & Edwige Herchenroder( Lauréates HSBC 2010 et 2013 de l’Académie )

Brahms, Loeffler, Bray, Kodály, Liszt

In Black Light de Charlotte Bray – CRÉATION MONDIALE

Commande avec le soutien de la Sacem

14 JUILLET – 21H30 HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE

CONCERT DE FIN DE RÉSIDENCE

Tabea Zimmermann & Sindy Mohamed*Viola, Viola de George Benjamin

et avec les ensembles de la résidence de musique de chambre de l’AcadémieSssh de Diane Soh – CRÉATION MONDIALE

Accessible avec le

17 JUILLET – 20H CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

CONCERT Divertimento à trois

Daniel Sepec, Tabea Zimmermann & Jean-Guihen Queyras

Beethoven, Veress, Mozart

*Ancienne artiste de l’Académie du Festival d’Aix

MARLÈNE ASSAYAG & LE QUATUOR ARODPortrait d’une muse8 JUILLET – 15H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

STÉPHANE DEGOUT & ALAIN PLANÈSRécital de mélodies françaises 9 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

JONATHAN ABERNETHY & HÉLIO VIDAChants du voyageur12 JUILLET – 21H30 | HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE

TABEA ZIMMERMANNL’Alto à l’honneur13 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

ORPHEUS XXIMoslem Rahal Quartet14 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

ISABELLE ADJANI, ANNE ALVARO, ROKIA TRAORÉ…Soirée au profit de SOS Méditerranée15 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

JORGE PARDO TRIOFlamenco sans frontières16 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

DANIEL SEPEC, TABEA ZIMMERMANN & JEAN-GUIHEN QUEYRASDivertimento à trois17 JUILLET – 20H | CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD

ORCHESTRE DES JEUNES DE LA MÉDITERRANÉE Création interculturelle18 JUILLET – 21H30 | HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE

Concert symphonique La Mer22 JUILLET – 17H | GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE

COLLECTIF KAHRABACe murmure dans la nuit du monde20 JUILLET – 15H & 20H | BOIS DE L’AUNE21 JUILLET – 11H & 15H | BOIS DE L’AUNE

FESTIVALD’AIX-EN-PROVENCE DU 4 AU 24 JUILLET 2018

TOUTE LA PROGRAMMATION SUR WWW.FESTIVAL-AIX.COM

Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert, qui garantit la

gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable.

Festival d’Aix-en-Provence Palais de l’Ancien Archevêché13100 Aix-en-ProvenceN° de licences d’entrepreneur de spectacles1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276

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