MEDIENSPIEGEL 13.07 - Schweizer Brot · MEDIENSPIEGEL 13.07.2017 Avenue ID: 858 Artikel: 14...

25
MEDIENSPIEGEL 13.07.2017 Avenue ID: 858 Artikel: 14 Folgeseiten: 10 12.07.2017 L'Illustré Un manifeste en faveur de la biodiversité 01 12.07.2017 Schweizer Bauer Schlechte Getreideernte in Österreich 04 12.07.2017 Schweizer Bauer Klasse-II-Weizen ist gefragt 05 12.07.2017 Schweizer Bauer Rapsschoten sind aufgeplatzt 07 12.07.2017 Schweizer Bauer Es besteht ein Mykotoxinrisiko 08 11.07.2017 Tages-Anzeiger Geistige Nahrung 09 10.07.2017 Blick am Abend / Zürich Vatikan verbietet glutenfreie Hostien 10 08.07.2017 Finanz und Wirtschaft Anstieg des Weizenpreises ist übertrieben 11 08.07.2017 Schweizer Bauer Richtpreise für Brotgetreide bleiben 2017 stabil 14 07.07.2017 Agri Prix indicatifs inchangés pour 2017 15 07.07.2017 BauernZeitung / Zentralschweiz-Aargau Biogetreide bewährt sich in der Region 17 07.07.2017 Panissimo Mit Schweizer Brot eine Flugreise gewinnen 21 07.07.2017 Panissimo Eine köstliche Entdeckung 22 07.07.2017 Thurgauer Bauer Richtpreise für Bio-Getreide bleiben stabil 24

Transcript of MEDIENSPIEGEL 13.07 - Schweizer Brot · MEDIENSPIEGEL 13.07.2017 Avenue ID: 858 Artikel: 14...

  • MEDIENSPIEGEL13.07.2017

    Avenue ID: 858Artikel: 14Folgeseiten: 10

    12.07.2017 L'IllustréUn manifeste en faveur de la biodiversité 01

    12.07.2017 Schweizer BauerSchlechte Getreideernte in Österreich 04

    12.07.2017 Schweizer BauerKlasse-II-Weizen ist gefragt 05

    12.07.2017 Schweizer BauerRapsschoten sind aufgeplatzt 07

    12.07.2017 Schweizer BauerEs besteht ein Mykotoxinrisiko 08

    11.07.2017 Tages-AnzeigerGeistige Nahrung 09

    10.07.2017 Blick am Abend / ZürichVatikan verbietet glutenfreie Hostien 10

    08.07.2017 Finanz und WirtschaftAnstieg des Weizenpreises ist übertrieben 11

    08.07.2017 Schweizer BauerRichtpreise für Brotgetreide bleiben 2017 stabil 14

    07.07.2017 AgriPrix indicatifs inchangés pour 2017 15

    07.07.2017 BauernZeitung / Zentralschweiz-AargauBiogetreide bewährt sich in der Region 17

    07.07.2017 PanissimoMit Schweizer Brot eine Flugreise gewinnen 21

    07.07.2017 PanissimoEine köstliche Entdeckung 22

    07.07.2017 Thurgauer BauerRichtpreise für Bio-Getreide bleiben stabil 24

  • Datum: 12.07.2017

    L'illustré1002 Lausanne021/ 331 75 00www.illustre.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 66'692Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 34Fläche: 174'488 mm²

    Referenz: 66021291

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/3

    SOIXANTE VARIÉTÉS RÉUNIES EN UN CERCLE

    Sa collection de bles et d'autres cereales permeta Cednc Chezeaux de venfier l'adaptabilite dechaque variete aux conditions du pied du Jura

    BEAUTÉ- DE LA DIVERSITÉ

    Cette iniagede la collection desemences prise par drone estspectaculaire Mais à hauteur

    d'épis dussi, ce cercle decéréales est un ravissement

    pour les yeux. les épis dechaque variété ont en effet leur

    propre design, leur propreteinte, leur propre caractère

    SO

    IXA

    NT

    E V

    AR

    IÉT

    ÉS

    UN

    IES

    EN

    UN

    CE

    RC

    LE

    Sa collection de blés et d'autres céréales perm

    età C

    édric Chezeaux de vérifier l'adaptabilité de

    chaque variété aux conditions du pied du Jura.

    LA BEAUTÉDE LA DIVERSITÉ

    Cette image de la collection desemences prise par drone estspectaculaire. Mais à hauteur

    d'épis aussi, ce cercle deCéréales est un ravissement

    pour les yeux: les épis dechaque variété ont en effet leur

    propre design, leur propreteinte, leur propre caractère.

    Bericht Seite: 1/24

  • Datum: 12.07.2017

    L'illustré1002 Lausanne021/ 331 75 00www.illustre.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 66'692Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 34Fläche: 174'488 mm²

    Referenz: 66021291

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/3

    Un manifeste en faveur

    de la biodiversitéLe «crop circle» de Juriens (VD) est d'origine bien

    terrienne: il est l'oeuvre du céréalier bio CédricChezeaux, qui teste ainsi des semences anciennes.

    Photos REVILLARD/REZO - Texte PHILIPPE CLOT

    Texte PHILIPPE CLOT

    ans cette campagnepréservée du pieddu Jura vaudois, àla sortie du villagede Juriens (VD), desdizaines de variétésde blé et quelquesautres céréales

    forment un cercle solennel.Soixante sortes d'épis diffé-rents prospèrent ici en silence,sur moins d'un demi-hectare,disposés en petites parcellescontiguës, chacune légen-dée par un écriteau: blés deBoffiens, Vaulion, Probus,Blanc du Jura, Rouge du Jura,Blanchut, Rousselin, Vuite-boeuf, engrain, amidonnier,épeautre, spelta corse, péta-nielle blanche... Des noms poé-tiques ou des noms de villages,de rivières se bousculent endésordre. Chaque petite régiona en fait «son» blé, le plusadapté aux variations, mêmeinfimes, de climat, d'altitude,de sol. Ces variétés locales sontle résultat de siècles de muta-tion naturelle et de sélectionpar les paysans.

    C'est dans ce cercle magiqueque nous retrouvons le prota-goniste du documentaire Révo-lution silencieuse. Nous avionsrencontré Cédric Chezeaux etsa famille l'hiver dernier, dansdes neiges et un froid sibé-

    riens, à l'occasion de la sortiesur les écrans romands de cefilm qui racontait sa décisionde renoncer à la productionlaitière pour se concentrersur la production et la ventedirecte de farines biologiques.En cette fin de mois de juin,ce pacifique révolutionnairepeut enfin nous présenter seschers et magnifiques épis.Nous sommes ici dans sa col-lection de semences, organiséeen un cercle de 70 mètres dediamètre.

    Avant même de comprendrel'utilité pratique de ce véritablejardin botanique des céréales,c'est d'abord la majesté de cettecollection qui frappe le visiteuret qui motive sans doute le plusson auteur. Il émane en effetde cette biodiversité céréalièreune enchanteresse symphoniede teintes et de formes. «Et lescontrastes de couleurs vont

    encore s'accentuer durantles dernières semaines avantles moissons», se réjouit àl'avance l'agriculteur. Toutesces variétés ont chacune leurpropre histoire, mais ellespartagent la même noblesse.En étant ainsi réunies sur ces4500 m2, elles semblent rap-peler fièrement leur rôle vitalpour l'être humain au fil de lasaga presque dix fois millénairede l'agriculture. Dix mille ans

    de diversification et d'adapta-tion qui ont transformé la gra-cile herbe folle en épis charnuset nourriciers.«Ma manièrede faire de l'art»Mais cette ode circulairesemée avec et à la gloire dublé, Cédric Chezeaux l'a aussivoulue pour des raisons prag-matiques. «Avec cette collec-tion, nous pouvons vérifierl'adaptabilité des variétés decéréales au milieu local. Etpuis, en quelques années,elles vont aussi acquérir desbagages héréditaires précieux.La sélection massale, c'est-à-dire la sélection manuelle desgraines par le paysan, permetd'orienter encore plus fine-ment ce processus. Enfin, cettecollection joue bien sûr un rôlede pépinière.»

    Il faut environ cinq ans, àpartir d'une poignée de grainsd'une variété, pour que ceux-cise démultiplient en quantitésuffisante pour cultiver delarges surfaces. Ce petit demi-hectare de la collection contri-bue donc à assurer l'autonomiede l'exploitation sur le plandes semences, en assurantthéoriquement à lui seul uneproduction permettant d'ense-mencer six hectares.

    Ce cercle, c'est aussi unformidable laboratoire pource céréalier qui pratique son

    métier avec le souci permanentde jouer pacifiquement avec lanature. Et c'est ainsi qu'il sèmepar exemple un mélange desept blés blancs et de huit blésrouges, complémentaires surles plans sanitaire et agrono-mique. «Certaines variétés auxtiges plus courtes soutiennentnotamment celles aux tigesplus élancées qui auraient ten-dance à se coucher.»

    Les farines issues de cesmélanges ont aussi des qua-lités boulangères inédites.Un public toujours plus largeraffole de ces miches qui sevendent comme des petitspains. L'offre ne suit plus unedemande en hausse constante.«Dès que ça porte le mot«ancien», les consommateurssont attirés. Il y a un effet demode, s'amuse le céréalier.Mais il faut aussi reconnaîtreque le pain ainsi fabriqué estune merveille.»

    Sa collection, Cédric Che-zeaux la considère enfincomme un outil pédagogiqueet la fait visiter au publicune fois par mois (www.fer-mearcenciel.ch). «E agricultureactuelle serait moins asserviesi elle avait conservé l'immenseconnaissance accumulée avantla révolution agrochimique.La chimie a prétendu avoirréponse à tout. C'était une

    Bericht Seite: 2/24

  • Datum: 12.07.2017

    L'illustré1002 Lausanne021/ 331 75 00www.illustre.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 66'692Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 34Fläche: 174'488 mm²

    Referenz: 66021291

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 3/3

    erreur. Il faut se réapproprierles anciens savoirs et expéri-menter nous-mêmes, dialogueravec la nature. Je partage avecdes collègues paysans cettepassion des bonnes céréales etdu bon pain. J'invite chacund'entre nous à entreprendresa révolution intérieure. Etmes amis boulangers adorent

    1

    eux aussi venir voir ces grainsvivants. Cela les motive. Quantà moi, cette collection, c'est unpeu une manière de faire del'art avec mon métier.»

    Symbole de résistanceCe cercle de culture est doncun manifeste. Un manifestenotamment contre la tendance

    actuelle à l'appropriation duvivant par quelques multi-nationales. Rappelons qu'enFrance, des paysans ou desassociations se font amen-der pour leur utilisation desemences anciennes ne figu-rant pas dans des cataloguesofficiels. Dans un contexteaussi absurde et injuste, le

    cercle de céréales de Juliensfait de la résistance.

    «Révolutionsilencieuse»,film de Lila Ribi.www.revolution-silencieuse.ch

    PORTE-PAROLELe succès, en début

    d'année, dudocumentaire dont ilétait le protagoniste

    a permis à CédricChezeaux de faire

    passer son messageen faveur d'uneagriculture plus

    respectueuse de lanature et des

    humains.

    Bericht Seite: 3/24

  • Datum: 12.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 7Fläche: 3'643 mm²

    Referenz: 66023936

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    Schlechte Getreide-ernte in ÖsterreichDie Getreideernte in Österreichbringe extrem unterschiedlicheErgebnisse bei Erträgen undQualitäten, schreibt aiz.info.Hitze und Dürre verursachtenvielerorts Notreife sowie eineschwache Kornausbildung.Laut Landwirtschaftskammersolle heuer im Bundesschnitt 22Prozent weniger Getreide als2016 eingefahren werden unddie Erträge auch deutlich unterdem langjährigen Durchschnittbleiben. Die Ungewissheit lähmtdie Preisfindung. Für Futtergers-te würden aber schon spürbarhöhere Preise als in der Ernte2016 bezahlt, heisst es. big

    Bericht Seite: 4/24

  • Datum: 12.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 7Fläche: 37'260 mm²

    Referenz: 66023944

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/2

    GETREIDE: Ernte 2017 und Anbauempfehlungen für die Ernte 2018

    Klasse-II-Weizen ist gefragt

    Je nach Region und Produktionsrichtung verlangt der Markt eine andere Zusammensetzungvon Weizenklassen und -sorten. (Bild: Agroscope)

    Die ersten abgeliefertenWeizen- und Rapspostensehen bezüglich Ertragund Qualität vielverspre-chend aus. Noch ist dieErnte aber nicht im Tro-ckenen. Swiss Granumgibt bereits Empfehlungenfür die Ernte 2018 heraus.DORIS BIGLERDie Rapsernte fällt heuer mitder Weizenernte zusammen.Bisher sind aber in den meistenRegionen erst wenige Felder ge-droschen worden. Erstaunlichist, wie trocken die ersten Raps-posten abgeliefert wurden. Vie-le Sammelstellenleiter sprechenvon Feuchtigkeitsgehalten umdie 6 Prozent. Die Erträge seiensehr erfreulich. Leider hat derHagel vom Wochenende einige

    Rapsfelder in den betroffenenRegionen ausgedroschen.

    Dem Weizen scheint die Tro-ckenheit an den meisten Stand-orten ebenfalls nicht geschadetzu haben. Silochefs, die bereitsWeizenposten erhalten haben,berichten von sehr guten Erträ-gen und guter Qualität. Die Fall-zahlen, sprich Auswuchs, hättenbislang keinerlei Probleme dar-gestellt, und auch die Hektoliter-gewichte seien hoch. Die Pro-teingehalte liegen meist leichtunter den hohen Vorjahreswer-ten, aber auf durchschnittlichemNiveau. Auch die Eiweisserb-senernte fällt deutlich besseraus als im miserablen Vorjahr.

    Mehr zur Raps- und Weizen-ernte lesen Sie voraussichtlichEnde nächster Woche, wenn dieErnte weiter fortgeschrittensein wird.

    1

    Bericht Seite: 5/24

  • Datum: 12.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 7Fläche: 37'260 mm²

    Referenz: 66023944

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/2

    ANBAUEMPFEHLUNGEN ERNTE 2018Zusammen mit den Marktpart-nern entlang der Wertschöp-fungskette erstellt Swiss Gra-num Anbauempfehlungen zurSteuerung des Getreide- undÖlsaatenangebots in derSchweiz. Aufgrund der spezifi-schen Bedürfnisse der Verar-beiter sind regionale Unter-schiede möglich. Die Sammel-stellen übernehmen eine wich-tige Rolle als Koordinations-und Informationsplattform.

    Beim Brotweizen wird eineAufteilung der Produktion aufdie Klassen von 40% Top, 40%Klasse I und 20% Klasse II an-gestrebt. Insbesondere biete dieKlasse II Absatzchancen,schreibt die Branchenorganisa-tion. Die qualitativen Erkennt-nisse (Proteingehalt) der Vor-jahre seien zu berücksichtigen. Suisse Premium/ Suisse Ga-rantie (Fenaco): Region West-schweiz: Anteil Top und KlasseI beibehalten, Klasse II erhö-hen. Region Mittelland: AnteilTop erhöhen, Klasse I reduzie-ren, Klasse II beibehalten. Re-gion Ostschweiz: Anteil Toperhöhen, Klasse I reduzieren,Klasse II beibehalten IP-Suisse: TopQ erhöhen resp.beibehalten, Top reduzieren,

    Klasse I und II erhöhen Bio Suisse: ausschliesslichAnbau von Top-Sorten gemässSortenliste FiBL.

    Die Produktion von Roggen,Dinkel und Biskuitweizen er-folgt in Absprache mit den Ab-nehmern.

    Um die Auslandabhängig-keit beim Futtergetreide redu-zieren zu können, wird emp-fohlen, die Anbaufläche vonFutterweizen, Körnermais undEiweisserbsen auszudehnen,von Gerste beizubehalten so-wie von Triticale zu reduzie-ren. Beim Anbau von Gerste istdem Bedürfnis der Futtermüh-len nach einem höheren Hek-tolitergewicht Rechnung zutragen. Bei der Triticale sindmutterkornresistente Sortengemäss Sortenliste zu wählen.

    Beim Raps sind die Zutei-lungen des Getreideproduzen-tenverbandes massgebend. Fürproduzierte Mengen ausser-halb der Zuteilung besteht wei-terhin keine Abnahmegaran-tie. Der Holl-Rapsanbau er-folgt im Vertragsanbau. Poten-zial besteht beim Anbau vonSonnenblumen, deren Flächeausgedehnt werden soll. big

    Bericht Seite: 6/24

  • Datum: 12.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 14Fläche: 25'233 mm²

    Referenz: 66024150

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    HAGEL: Schäden an Kulturen auf dem Agroline-Feldtage-Gelände

    Rapsschoten sind aufgeplatztDer Hagel hat den Brot-getreide-, Raps- und Ei-weisserbsenversuche aufdem Agroline-Feldtage-Gelände geschadet.

    HANS HIRSCHI

    Am Samstag, 8. Juli, hat das Un-wetter, das vor allem die RegionZofingen verwüstet hat, auchKölliken AG und somit die Kul-turen der Agroline-Feldtage ge-troffen. Zwei Hagelzüge zwi-schen 15.30 und 17 Uhr, gefolgtvon starken Regenfällen mit ei-ner Intensität von 50 bis 60 mmpro Stunde, haben zu sichtba-ren Schäden geführt.

    Massiv erschwerte ErnteDie Kulturen Raps und Ei-

    weisserbsen, die kurz vor derDruschreife standen, hat es amschlimmsten getroffen. Einer-seits sind rund 50 bis 60 Prozentder Schoten aufgeplatzt, ande-rerseits haben die hohe Regen-intensität und die Sturmböen zuLager geführt, sodass die Ernte-

    Hagel- und Sturmschaden im Rapssortenversuch. (Bilder: zvg)

    arbeiten massiv erschwert seinwerden. Aus diesem Grundmacht es keinen Sinn, die Sor-ten-, Düngungs- und Untersaat-versuche im Raps sowie denSortenversuch in den Eiweiss-erbsen auszuwerten.

    Lager im GetreideEbenfalls betroffen, sind

    sämtliche Brotgetreideversu-che. Hier ist der Hagelschadendeutlich geringer, dafür habenRegen und Sturm bei einigen

    Regenintensität und Sturmböen haben zu Lager geführt.

    E-PAPERMehr Bilder im E-Paper:

    www.schweizerbauer.ch/epaper.

    Sorten und Düngungsintensitä-ten zu 100-prozentigem Lager-getreide geführt. Das momen-tan herrschende feuchtwarmeWetter wird in diesen Bestän-den die QualitätsparameterHektolitergewicht und Fallzahl,aber auch den kg-Ertrag, der-massen negativ beeinflussen,dass eine Versuchsauswertungvermutlich unmöglich seinwird.

    Bei den Kulturen Körner-mais, Zuckerrüben, Kartoffelnund Sonnenblumen sind diemomentan sichtbaren Schädendeutlich geringer. Die Winter-gerste wurde zum Glück vordem Unwetter gedroschen. DieVersuchsresultate werden amSamstag hier veröffentlicht.

    *Der Autor arbeitet bei der Agroline. Video:www.schweizerbauer.ch

    Bericht Seite: 7/24

  • Datum: 12.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 14Fläche: 16'815 mm²

    Referenz: 66024173

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    GETREIDE: Mögliche Fusarien-Infektion

    Es besteht ein MykotoxinrisikoBeim Getreide der Ernte2017 ist von einem mitt-leren Belastungsrisiko mitdem Mykotoxin DON aus-zugehen.

    Swiss Granum überwacht imRahmen eines Monitorings dasRisiko der Belastung des Ge-treides mit dem Mykotoxin De-oxynivalenol (DON) vor undnach der Ernte. Die Einschät-zung basiert auf dem Fusarium-Prognosesystem FusaProg so-wie den Resultaten von Versu-chen und Feldbeobachtungen.

    Aufgrund der vorliegendenErkenntnisse ist für die Getrei-deernte 2017 mit einem mittle-ren DON-Belastungsrisiko zurechnen, jedoch mit regionalenUnterschieden. Gemäss demPrognosesystem FusaProg gabes dieses Jahr genau währendder Weizenblüte mehrere Tagemit günstigen Wetterbedingun-gen für die Infektion mit Fusari-

    um graminearum, insbesonderein der Deutschschweiz AnfangJuni. Die Entwicklung des Pil-zes in den Ähren und die Bil-dung von Mykotoxinen wurdenjedoch sehr wahrscheinlich vonder Hitzeperiode vom 19. bis24. Juni gebremst, denn dasAusbleiben feuchtwarmer Wet-terbedingungen vor dem Abrei-fen der Pflanzen hemmt dieEntwicklung des Pilzes und da-mit die DON-Bildung.

    Die Produzenten sowie dieSammelstellen werden zu ver-stärkter Aufmerksamkeit beider Ernte und Getreideannah-me aufgerufen. Insbesonderebei Getreide mit Vorfrucht Maisund pflugloser Bodenbearbei-tung sowie bei anfälligen Sor-ten. Die Ergebnisse des Analy-seprogramms von Swiss Gra-num und der Analysen der Be-triebe müssen abgewartet wer-den, bevor definitive Schlüsseüber die DON-Belastung gezo-gen werden können. sum

    Von Fusarien befallene Ähre mit der typischen lachsfarbenenVerfärbung. (Bild: zvg)

    Bericht Seite: 8/24

  • Datum: 11.07.2017

    Tages-Anzeiger + ZRZ / Bildung8021 Zürich044/ 248 44 11www.tagesanzeiger.ch

    Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 157'323Erscheinungsweise: 6x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 13Fläche: 17'233 mm²

    Referenz: 66003818

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    Glaubensfrage Der Vatikan verbietet glutenfreie Hostien. Das istnicht so schlimm. Es gibt Alternativen dazu. Von Edgar Schuler

    Geistige Nahrung«Leicht bizarr». Sogar Leute, die dem Vatikanfreundlich gesinnt sind, reagierten gestern irri-tiert auf die Meldung, der Papst verbiete gluten-freie Hostien. Ein Vorurteil scheint bestätigt: Derkatholischen Kirche steht die Reinheit der Glau-benslehre näher als das Wohl ihrer Schäfchen.

    Von denen leidet rund ein Prozent unterZöliakie. Die Krankheit kann zu tödlichen Darm-schäden führen; ausser die Betroffenen ernährensich absolut glutenfrei. Das heisst: Sie verzichtenauf Weizen und andere Getreidesorten sowie aufalles, was daraus hergestellt wird, namentlichBrot. Hostien, deren Konsum in der Messe einzentrales Ritual ist, sind aber Brot. Sie müssenaus «reinem Weizenmehl» bestehen. KatholischeZöliakiekranke würden durch das Verbot aus Romalso vom Empfang der Hostie ausgeschlossen unddamit aus ihrer Religionsgemeinschaft.

    Unsere Gewährsfrau von einer klösterlichenHostienbäckerei winkt ab: Natürlich biete die

    Meldung «ein gefundenes Fressen» für Kirchen-gegner, meint sie. Dabei sei das ein alter Hut. DerVatikan habe am Wochenende nur die langegültige Auffassung bestätigt.

    Wichtiger aber ist: Das Verbot zielt nur aufHostien, die mit Ersatzmehl gebacken werden,etwa aus Mais, Hirse oder Sonnenblumenkernen.Man kann solche übers Internet tatsächlichbeziehen. Hostien aus stark glutenreduziertemWeizenmehl, wie sie etwa Schweizer Klösteranbieten, fallen aber nicht unter den vatikani-schen Bann. Und Personen, für die selbst kleinsteGlutenspuren gefährlich werden können, stehenbrotlose Wege offen. «Wenn ihr die Messe hört,ohne zur Kommunion zu gehen, sucht die geistli-che Kommunion und sammelt euch in euchselbst», sagte die Mystikerin Teresa von Avila.

    Sammelt euch in euch selbst. Ein Rat, den manAngehörigen aller Religionen geben kann. Er tutKranken und Gesunden gut.

    Bericht Seite: 9/24

  • Datum: 10.07.2017

    Hauptausgabe

    Blick am Abend8008 Zürich044/ 259 65 95www.blickamabend.ch

    Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 125'354Erscheinungsweise: 5x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 3Fläche: 9'689 mm²

    Referenz: 66007532

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    Neues ausAbsurdistanVatikan verbietet glutenfreieHostienGlutenfreies Kommunions-Brot kommt der katholischenKirche nicht in die Tüte!«Hostien, die überhaupt keinGluten enthalten, sind ungül-tige Materie», teilt KardinalRobert Sarah in einem Schrei-ben an die Bischöfe am Sams-tag mit. Der im Vatikan fürdas heilige Sakrament zustän-dige Geistliche fordert Herstel-ler von Hostien zu «absolu-tem Respekt» vor der Eucha-ristie auf. Demnach müssen

    Kommunionsbrot Allergikerdie Hostien aus ungesäuer- habens in der Kirche schwer.tem Weizenmehl hergestelltwerden. Für Kirchengänger mit einer Glutenintoleranz gäbees keine Ausnahme, man könne dann einfach Hostien mitweniger Gluten ausgeben. Doch die Mindestmenge muss im-mer noch reichen, damit die Zubereitung ohne fremde Zusät-ze geschehen kann. Auch der Wein müsse «naturrein, ausTrauben, und echt sein und nicht mit anderen Substanzengemischt», teilte der Vatikan weiter mit. man

    Bericht Seite: 10/24

  • Datum: 08.07.2017

    Finanz und Wirtschaft8021 Zürich044/ 248 58 00www.fuw.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 24'669Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 22Fläche: 76'198 mm²

    Referenz: 65982697

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/3

    Kaum Regen, dafür reichlich Sonne: Die Dürre im Korngürtel zwischen Nebraska und Ohio bedroht die diesjährige Weizenernte.

    Anstieg des Weizenpreisesist übertrieben

    Die US-Ernte fällt 2017 deutlich tiefer aus. Dennoch ist die Versorgung gesichert.GABRIELLA HUNTER

    Der Weizenpreis ist in den vergange-nen Wochen regelrecht explodiert.Seit Mitte Mai hat sich das Ge-

    treide an der Rohstoffbörse in Chicago umein Drittel auf 5.60$ je Scheffel verteuert.Die Notierung für US- Sommerweizen istzwischenzeitlich gar mehr als 50% gestie-gen und erreichte am Dienstag mit 8.10 $je Scheffel den höchsten Stand seit mehrals vier Jahren. Am Freitag lag der Preis

    wieder bei 7.75 $ (vgl. Grafik 1).Schuld an der Preisrally ist vor allem

    das Wetter. Nach langer Trockenheit imKorngürtel zwischen Nebraska und Ohio,dem wichtigsten Anbaugebiet der USA,dürfte die kommende Ernte deutlichschlechter ausfallen als erwartet. DieDürre sorgt dafür, dass sich die Pflanzenunterdurchschnittlich entwickeln. Gerademal 37% sind derzeit von guter Qualität,schätzt das US-Agrarministerium USDA.

    Letztes Jahr waren es mehr als zwei Drit-tel. Wenn im September die Erntesaisonbeginnt, dürfte der Ertrag deutlich tiefersein als 2016 und etwa auf dem Niveau derSaison davor liegen (vgl. Grafik 2).

    Zu hohe ErwartungAm Getreidemarkt kann das Wetterschnell zum Spielverderber werden. Wennsich die Bedingungen verschlechtern, än-

    Bericht Seite: 11/24

  • Datum: 08.07.2017

    Finanz und Wirtschaft8021 Zürich044/ 248 58 00www.fuw.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 24'669Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 22Fläche: 76'198 mm²

    Referenz: 65982697

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/3

    dem sich die Ernteaussichten in wenigenTagen markant. Besonders wenn sich diePflanzen in einer kritischen Phase befin-den wie derzeit in den USA: Während dieÄhren spriessen, braucht das Getreide be-sonders viel Wasser. Die jetzige Trocken-heit hat daher verheerende Folgen. Dennder sogenannte Sommerweizen ist für dienordamerikanische Produktion von gros-ser Bedeutung. Die US-Ernte findet erstim Frühherbst statt und fällt damit genauzwischen die Winterernten auf der Nord-und Südhalbkugel.

    Den Preisanstieg verstärkt hat zudem,dass die Ernteerwartung davor lange zuhoch gewesen war. Noch Ende Juni rech-nete der Internationale Getreiderat miteiner komfortablen Versorgungslage. DasUSDA ging sogar von einem grossen glo-balen Überschuss aus. Viele spekulativeAnleger hatten bis vor Kurzem auf einefallende Notierung gesetzt und wurdennun gezwungen, diese Short-Positionenam Terminmarkt mit Käufen zu decken.

    Marktführer EuropaWeizen ist nach Mais das zweitwichtigsteGetreide. Jährlich werden weltweit gut750 Mio. Tonnen davon geerntet. Dasgrösste Anbaugebiet ist mit einem Markt-

    anteil von mehr als 20% Europa, wo Wei-zenprodukte bei der Ernährung zentralersind als etwa im asiatischen Raum. Den-noch spielen China und Indien beimAnbau eine wichtige Rolle. Erst auf demfünften Platz folgen die USA mit einemkleineren Erntevolumen (vgl. Grafik 3).

    Der grösste Teil der globalen Produk-tion ist Winterweizen auf der Nordhalb-kugel. Europäisches und asiatisches Ge-treide wird bereits geerntet. Auch inEuropa haben die trockenen Bedingun-gen den Bauern einen mageren Ertrag be-schert. In der Folge dürfte das Angebot inder Europäischen Union (EU) gegenüberder Vorsaison um 8% sinken.

    Erstmals seit 2012 werden sich dieweltweite Weizenproduktion und der Ver-brauch diese Saison praktisch ausglei-chen. Gemäss der jüngsten Schätzung derWelternährungsorganisation (FAO) dürf-ten 2017 gut 730 Mio. Tonnen Weizen vonMensch und Tier verzehrt werden (vgl.Grafik 2). Damit würde aber noch ein klei-nes Überangebot resultieren.

    Europa belegt auch beim Konsum denSpitzenrang - vor China und Indien. Abergerade in den Entwicklungsländern hatder Verbrauch in den vergangenen Jahrenständig zugenommen. Das ist gemässdem USDA vor allem dem Bevölkerungs-wachstum geschuldet. Demgegenüber

    stagniert die Pro-Kopf-Nachfrage seit eini-ger Zeit. In den kommenden Jahren dürftesie sogar leicht zurückgehen, schätzt dasUS-Agrarministerium.

    Kein VersorgungsengpassAngesichts der andauerenden Trocken-heit ist die Wahrscheinlichkeit hoch, dassdie Ernteprognose in den kommendenWochen nochmals nach unten revidiertwird. Dann wäre selbst ein Angebotsdefi-zit nicht mehr ausgeschlossen. EinVersor-gungsengpass bei Weizen droht dennochnicht. Der weltweite Lagerbestand liegtmit mehr als 250 Mio. Tonnen auf einemRekordniveau. Daran wird gemäss derFAO auch die befürchtete Missernte inden USA wenig ändern.

    Entsprechend haben die Analystenihre Preisprognosen bisher nur leicht an-gehoben (vgl. Grafik 4). Für das dritteQuartal erwarten sie im Schnitt einenScheffelpreis von 4.70$ für US-Weizen ander Rohstoffbörse in Chicago. Der steilePreisanstieg in den vergangenen Wochenwar wohl übertrieben. Doch bis zur US-Ernte im September sind weitere un-erwartete Wettereinflüsse nicht ausge-schlossen. Dann kann sich die Weizen-notierung in kurzer Zeit schnell nachoben, aber auch nach unten bewegen.

    Bericht Seite: 12/24

  • Datum: 08.07.2017

    Finanz und Wirtschaft8021 Zürich044/ 248 58 00www.fuw.ch

    Medienart: PrintMedientyp: PublikumszeitschriftenAuflage: 24'669Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 22Fläche: 76'198 mm²

    Referenz: 65982697

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 3/3

    1 Weizenpreis steigt sprunghaft

    - Weizen (CBOT) in Ct./Scheffel

    2 Produktion und Verbrauch nähern sich an

    Produktion Verbrauch- US-Sommerweizen in Ct./Scheffel in Mio. Tonnen

    800

    600

    400

    2002016 2017

    700

    600

    500

    400

    300

    200

    100

    008 09 10 11 12 13 14 15 16 17°

    Quelle:Thornson Reuters / FuW A Schätzung Quelle: USDA, FAO / Grafik: FuW, sp

    3 Europa dominiert die Weizenproduktion 4 Prognosen zeigen nach oben

    27%Andere

    4%Ukraine

    4%Kanada

    7%USA

    Total

    754MM. Tonnen

    21% Durchschnittliche Preiserwartung für das dritte Quartal

    EU US-Weizen (CBOT) in $/Scheffel

    4.70

    4.65

    17%China 4.60

    12%4.55

    Indien

    8%Russland 4.50

    Quelle: USDA / Grafik: FuW, sp

    3.5.2017 3.6.2017 3.7.2017

    Quelle: Bloomberg / Grafik: FuW, mg

    1 Weizenpreis steigt sprunghaft

    - Weizen (CBOT) in Ct./Scheffel

    2 Produktion und Verbrauch nähern sich an

    Produktion VerbrauchUS-Sommerweizen in Ct./Scheffel in Mio. Tonnen

    800

    600

    400

    2002016 2017

    700

    600

    500

    400

    300

    200

    100

    008 09 10 11 12 13 14 15 16 17°

    Quelle,Thornson Reuters / FuW A Schätzung Quelle: USDA, FAO / Grafik: FuW, sp

    3 Europa dominiert die Weizenproduktion 4 Prognosen zeigen nach oben

    27%Andere

    4%Ukraine

    4%Kanada

    7%USA

    leTotal

    754Mio. Tonnen

    21%Eu US-Weizen (CBOT) in 5 /Scheffel

    Durchschnittliche Preiserwartung für das dritte Quartal

    4.70

    4.65

    17%China 4.60

    12%4.55

    Indien

    8%Russland 4.50

    Quell, USDA / Grafik, FuW, sp

    3.5.2017 3.6.2017 3.7.2017

    Quell, Bloornberg / Grafik: FuW, mg

    Bericht Seite: 13/24

  • Datum: 08.07.2017

    Schweizer Bauer3001 Bern031/ 330 95 33 www.schweizerbauer.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 30'195Erscheinungsweise: 2x wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 13Fläche: 11'004 mm²

    Referenz: 66008080

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    NACHRICHTEN

    Richtpreise für Brotgetreidebleiben 2017 stabilDie Kommission «Markt-Qua-lität Getreide» von Swiss Gra-num beschloss an ihrer Sitzungvom 5. Juli 2017 die Erntericht-preise für Brotgetreide gegen-über dem Vorjahr unverändertzu belassen. Dieser Entscheidsei Ausdruck der sehr guten Zu-sammenarbeit aller Marktpart-ner der Wertschöpfungskette,schreibt die Branchenorganisa-tion in einer Mitteilung. Gleich-zeitig sei er auch das Bekennt-nis aller Marktpartner zu Sta-bilität für die einheimischeProduktion und für die Verar-beitung von Brotgetreide. Zu-sammen mit den Übernahmebe-dingungen von Swiss Granumbilden die Preise die Grundlagefür die erfolgreiche Vermark-tung der diesjährigen Ernte.

    Die Richtpreise für Futterge-treide und Eiweisspflanzen derErnte 2017 wurden bereits imMärz bestimmt und sind eben-falls unverändert gegenüberdem Vorjahr. big

    Brotgetreide

    Weizen Top

    Weizen I

    Weizen II

    Weizen III

    Weizen Biskuit

    Roggen

    Dinkel A

    Ernterichtpreise(Fridt)

    52.00

    50.00

    49.00

    45.00

    49.00

    40.00

    56.00

    Definition der Richtpreise: Ernte- bzw.Herbstrichtpreis für Brotgetreide, abSammelstelle und den Übernahmebedin-gungen der Swiss Granum entsprechend.

    Futtergetreide

    Futterweizen

    Gerste

    Triticale

    Hafer

    Körnermais

    Eiweisserbsen

    Ackerbohnen

    Weisse Lupinen

    Richtpreise (Fridt)

    36.50

    34.50

    34.50

    30.50

    36.50

    37.00

    34.50

    42.50

    Definition der Richtpreise: Produzen-tenrichtpreis für gelieferte, gereinigte,trockene und den Übernahmebedingun-gen entsprechende Ware.

    Brotgetreide Ernterichtpreise(Fr. /dt)

    Weizen Top 52.00

    Weizen I 50.00

    Weizen II 49.00

    Weizen III 45.00

    Weizen Biskuit 49.00

    Roggen 40.00

    Dinkel A 56.00

    Definition der Richtpreise: Ernte- bzw.Herbstrichtpreis für Brotgetreide, abSammelstelle und den Übernahmebedin-gungen der Swiss Granum entsprechend.

    Futtergetreide Richtpreise (Frfdt)

    Futterweizen 36.50

    Gerste 34.50

    Triticale 34.50

    Hafer 30.50

    Körnermais 36.50

    Eiweisserbsen 37.00

    Ackerbohnen 34.50

    Weisse Lupinen 42.50

    Definition der Richtpreise: Produzen-tenrichtpreis für gelieferte, gereinigte,trockene und den Übernahmebedingun-gen entsprechende Ware.

    Bericht Seite: 14/24

  • Datum: 07.07.2017

    Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46www.agrihebdo.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 9'666Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 13Fläche: 24'405 mm²

    Referenz: 65983315

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/2

    CEREALES PANIFIABLES

    Prix indicatifs inchangés pour 2017La commission«Marché-QualitéCéréales» de SwissGranum laisse les prixindicatifs «récolte»des céréales panifiablesinchangés.

    Arséance du 5 juillet, laommission «Marché-Qua-

    lité Céréales» de Swiss Granuma convenu des prix indicatifs«récolte» des céréales pani-fiables 2017. Les prix indicatifsde l'année dernière restent in-changés. Cette décision estl'expression de la très bonnecollaboration entre tous lespartenaires du marché au seinla chaîne de valeur ajoutée. Ilconfirme également leur enga- Swiss Granum a convenu des prix le 5 juillet dernier.gement en faveur d'une stabi-lité de la production et de latransformation indigènes. Cesprix forment, ensemble avecles conditions de prise encharge de Swiss Granum, labase pour une commercialisa-tion optimale de la récolte2017. Les prix indicatifs pourles céréales fourragères et lesprotéagineux pour la récolte2017 ont déjà été déterminésen mars. GRANUM

    Bericht Seite: 15/24

  • Datum: 07.07.2017

    Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46www.agrihebdo.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 9'666Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 13Fläche: 24'405 mm²

    Referenz: 65983315

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/2

    Prix indicatifs descéréales panifiablesde la récolte 2017

    Blé TOP 52

    Blé I 50

    Blé Il 49

    Blé III 45

    Blé biscuit 49

    Seigle 40

    Epeautretype A 56

    Définition du prix indicatif:Prix indicatif «récolte» resp.«après-récolte» pour lescéréales panifiables, départcentre collecteur, répondantaux conditions de priseen charge de Swiss Granum.

    Prix indicatifs descéréales panifiablesde la récolte 2017

    CulturePrix

    indicatifs(CHF/dt)

    Blé TOP 52

    Blé I 50

    Blé II 49

    Blé III 45

    Blé biscuit 49

    Seigle 40

    Epeautretype A 56

    Définition du prix indicatif:Prix indicatif «récolte» resp.«après-récolte» pour lescéréales panifiables, départcentre collecteur, répondantaux conditions de priseen charge de Swiss Granum.

    Bericht Seite: 16/24

  • Datum: 07.07.2017

    BauernZeitung /Zentralschweiz-Aargau6210 Sursee041 925 80 40www.bauernzeitung.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 12'349Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 10Fläche: 114'846 mm²

    Referenz: 65977170

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/4

    iBiogetreide bewährt sich in der RegionAckerbau / Auch in der Zentralschweiz und im Aargau stellen immermehr Bauern auf Bio um. Und verdienen gut, vor allem mit Weizen.

    Getreidebauer Cyriak Schnyder begutachtet den Reifegrad einer Ähre in der Versuchsparzelle mit der Sorte Wiwa. In rund zehn Tagen kann der Biobrotweizen in St. Erhardgedroschen werden. schere)

    BG Brämmatt

    119 ha LN umfasst die BGBrämmatt in St. Erhard/LU.Milchwirtschaft mit 120 Kühen,Futterbau und 90 ha Acker-bau dominieren. Neben22 ha Mais werden 10 haBrotgetreide (Weizen undDinkel), 4 ha Saatgetreide,3 ha Eiweisserbsen und 6 haSchnittsonnenblumen fürGärtnereien angebaut. js

    Bericht Seite: 17/24

  • Datum: 07.07.2017

    BauernZeitung /Zentralschweiz-Aargau6210 Sursee041 925 80 40www.bauernzeitung.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 12'349Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 10Fläche: 114'846 mm²

    Referenz: 65977170

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/4

    Josef SchererST. ERHARD «In unserer Regiongeht Biogetreide recht gut», sagtCyriak Schnyder. Der erfahreneGetreidebauer und Saatzüchterist seit 12 Jahren bei der Betriebs-gemeinschaft BG Brämmatt mitdabei, hat dann die eingebrach-ten Flächen auf Bio umgestellt.Die BG mit vier Partnern hat gar20 Jahre Erfahrung mit Bioland-bau.

    Wiwa bewährt sich

    Vorteilhaft seien im Getreidebaudie Biozüchtungen wie Wiwa,auf der Brämmatt die Hauptsor-te beim Brotweizen. Diese brin-ge einen guten Ertrag und dasUnkraut werde genügend unter-drückt. Und die Sorte sei in derhier niederschlagreichen Regionauch genügend resistent gegenAuswuchs, sagt Schnyder. «Wirhatten noch nie Probleme mitden Fallzahlen.» Angebaut wirdauch die Sorte Titlis, vor allemnach den Ackerbohnen in dienährstoffreicheren Böden. Dawäre die hochwachsende Wan-da eher nicht geeignet, sie liegeab. Auf der Brämmatt wird klarauf Bio-Brotgetreide gesetzt, we-gen der deutlich besseren Wirt-schaftlichkeit als beim Bio-Fut-tergetreide. Gerste werde schongar nicht angebaut.

    Nur noch Bioweizen

    Langjährige Erfahrung mit Bio-getreide hat auch Hans-PeterZemp aus Buchrain, der den59-ha-Betrieb der PapierfabrikPerlen seit 1995 in Pacht bewirt-

    schaftet. Dort wird bereits seit1974 Biolandbau betrieben. Frü-her hat der Landwirt viele ver-schiedene Getreide angebaut;Gerste, Triticale, Hafer, Dinkel,Weizen. Seit einigen Jahren setzter aber konsequent auf Biowei-zen. 10 ha der Sorte Wiwa sind esdieses Jahr. Sonst habe sich auchSiala bewährt, vor allem punktoErträge. Eher nachteilig sei hieraber die Backqualität.

    «Bioweizen bringt hier diebeste Wirtschaftlichkeit», sagtZemp. An diesem Standort sindauch die Erträge gut, 45 Kilo imlangjährigen Schnitt, allerdingsmit Schwankungen von 40 bisüber 50 Kilo. Das schenkt ein,bei den aktuellen Richtpreisenvon 106 Franken für den Mahl-weizen. Vom Anbau her einfachwäre auch Triticale, dieses Ge-treide erreiche aber nicht dieErträge, welche für eine guteWirtschaftlichkeit aufgrund derPreise (82 Franken) nötig wären.Aufgehört hat Zemp auch mitDinkel, die Tallage eigne sichoffensichtlich nicht dafür.Schlechte Erfahrungen hat Zempzudem mit Gerste gemacht:Krankheitsdruck und die Er-tragsschwankungen seien zugross. Konsequent setzt er aufden Pflug, für die Unkrautbe-kämpfung im Frühjahr genügeso der Striegel.

    Pflügen und spät säen

    Mit dem Aufbau der Legehen-nenhaltung auf 2000 Plätze hatAlois Lötscher aus Gisikon sei-nen 14-ha-Betrieb vor 14 Jahren

    auf Bio umgestellt. Neben 80 ArenKörnermais produziert er ebensoviel Bioweizen. Die Sorte Titlishabe sich bei ihm bewährt, derBrotweizen wird in der Eich-mühle Beinwil verarbeitet. Pflü-gen im Herbst, nicht zu früh säenund im Frühjahr den Striegeleinsetzen: Damit habe er guteErfahrungen gemacht, sagt Löt-scher. Der Krankheitsdrucklasse sich auch ohne Pflanzen-schutzmittel im Griff halten.Gerne würde er mehr Biogetrei-de anbauen, wenn ihm mehrFläche zur Verfügung stünde.Ein grosser Teil sei aber Hang-lage. Dort weiden noch sechsMutterkühe. Alois Lötscher istüberdies vom geplanten Hoch-wasserschutzprojekt an derReuss stark tangiert, ein Gross-teil seiner ackerfähigen Flächenwürde dabei wegfallen.

    Futtergetreide gesättigt

    Spezialisiert auf Biogetreide hatsich in der Region die Eichmüh-le Beinwil, wo gegen 1000 t ange-nommen werden, dazu vieleSpezialsorten, wie Paul Villigererklärt. Biogerste habe es nun al-lerdings genug, von einer Aus-dehnung rät er ab. Bio- Futter-weizen wäre noch sehr gefragt,glaubt er. Sättigungstendenz zei-gen hingegen Bio-Triticale, aberauch Bio-Raps. Besonders grosssei die Nachfrage und damit dasAnbaupotenzial bei den Brotge-treidearten Bio-Weizen und Din-kel, aber auch bei Speisehafer imVertragsanbau.

    Bericht Seite: 18/24

  • Datum: 07.07.2017

    BauernZeitung /Zentralschweiz-Aargau6210 Sursee041 925 80 40www.bauernzeitung.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 12'349Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 10Fläche: 114'846 mm²

    Referenz: 65977170

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 3/4

    Spätsaaten sind erfolgreicherFlurin Frigg, wie schätzen Siedas Marktpotenzial für Bio-getreide in der Region ein?Flurin Frigg: Aufgrund der stei-genden Anzahl an Umstellungs-betrieben nimmt das Angebotan Biofuttergetreide zu. Dazukommt die beschränkte Ver-marktungsmöglichkeit für Bio-mahlgetreide während derUmstellungsphase. Potenzialsehe ich im Bereich Futterweizen,der aufgrund der Fruchtfolgeallerdings nicht immer ganzeinfach ist. Oder auch beimKörnermais an geeignetenStandorten. Bioraps kann allen-falls über regionale Mühlenvermarktet werden, aber auchdie Fenaco sucht noch Produ-zenten. Für Brotweizen undDinkel ist die Nachfrage immernoch gut und die Anbautechnikausgereift. Aus wirtschaftlicherSicht lassen sich diese Kulturensicher gewinnbringendproduzieren.

    Was hat sich in derRegion bewährt?Eine generelle Aussageist schwierig, denn derStandort ist entscheidend.Grundsätzlich lassen sichalle Kulturen, welche vorder Umstellung bereitsangebaut wurden, auchbiologisch produzieren.Mit mehr oder wenigerAufwand, versteht sich.Während der Umstellungempfehle ich den Anbauvon einfachen Kulturen wieGetreide. Oder, wenn genügendArbeitskapazität vorhandenist, auch Mais, dies im Hinblickauf die Beikrautregulierung.Mit zunehmender Erfahrungkönnen dann auch andere

    Kulturen angebaut werden.

    Worauf ist beim Anbauzu achten?Standortangepasste Kulturenund Sorten sind sehr wichtig.Bei Wintergetreide sindSpätsaaten gemäss meiner

    FlurinFrigg

    Erfah ung erfolgreicher alsFrühsaaten. Aber auch das iststandortabhängig. Bei Früh-jahressaaten lohnt es sich zuwarten, bis der Boden sehrgut erwärmt ist. Insbesonderebeim Mais.

    Haben Sie Tippsfür Umsteller?Sehr hilfreich ist es, bewährteAckerbauern nach ihren Erfah-rungen zu fragen. In Maschinensollte nicht zu früh investiertwerden. Während der Umstellunglohnt es sich, verschiedeneGeräte auszumieten und derenArbeit auf den eigenen Feldernzu beurteilen. Zentral ist dieSortenwahl: Beim Getreideist die Resistenz gegenüberKrankheiten zu beachtenund beim Mais die Reifezahlund Jugendentwicklung.

    Interview js

    Flurin Frigg ist Bioberater

    im Kanton Luzern.

    NA

    CH

    GE

    FR

    AG

    T

    Bericht Seite: 19/24

  • Datum: 07.07.2017

    BauernZeitung /Zentralschweiz-Aargau6210 Sursee041 925 80 40www.bauernzeitung.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 12'349Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 10Fläche: 114'846 mm²

    Referenz: 65977170

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 4/4

    Noch viel Potenzial

    Aufgrund der guten und weitersteigenden Nachfrage dürfteder Trend für vermehrtenAnbau von Biogetreide auch inunserer Region weiter steigen:Davon ist Peter Suter vom LZLiebegg überzeugt. Zwar seienderzeit gewisse Sättigungs-tendenzen erkennbar, so beiFuttergetreide wie Gersteund Triticale. Bio Suisse setztdeshalb auf Mengensteuerung,nicht zuletzt über den Preis,um ein Überangebot zuverhindern.

    Bei Futterweizen und vorallem auch Biobrotgetreidesieht Suter noch viel Potenzial,

    dort liegt die Eigenversorgungerst bei rund 50 Prozent.»Wer umstellt und ackerfähigeBöden hat, nimmt Getreidesicher in die Fruchtfolge.»Der Deckungsbeitrag sei mitdoppelt so hohen Preisen wiefür ÖLN-Weizen wirtschaftlichsehr interessant, der Anbaurelativ einfach.

    Das aktuelle Biogetreidejahrbezeichnet Suter anbau-technisch als »angenehm».Die Kulturen stünden gut,die mechanische Unkraut-bekämpfung konnte beitrockenen Bedingungendurchgeführt werden. js

    Bericht Seite: 20/24

  • Datum: 07.07.2017

    Panissimo3001 Bern031/ 388 14 15www.swissbaker.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'581Erscheinungsweise: 26x jährlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 35Fläche: 5'224 mm²

    Referenz: 65978284

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    Mit Schweizer Brot eine Flugreise gewinnenDer Verein Schweizer Brot veranstaltet noch bis zum 15. Juli denKundenwettbewerb Hoch hinaus mit Schweizer Brote. Das Vorgehen

    ist einfach: Ein Foto zum Thema schiessen, das ein Schweizer Brotzeigt, und unter #brotmoment auf Instagram, Twitter oder via www.facebook.com/schweizerbrot hochladen. Beim Wettbewerb zählennicht die Likes. Eine Jury wird die drei gelungensten Bilder prämieren.Es gibt Flugtickets von Swiss für einen Europaflug für zwei Personen imWert von 500 Franken zu gewinnen. Teilnahmeberechtigt sind Perso-

    nen ab 18 Jahren. Die Sieger werden über den gewählten Social-Me-dia-Kanal benachrichtigt. Infos: www.schweizerbrot.ch/wettbewerb. pan

    Bericht Seite: 21/24

  • Datum: 07.07.2017

    Panissimo3001 Bern031/ 388 14 15www.swissbaker.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'581Erscheinungsweise: 26x jährlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 33Fläche: 63'207 mm²

    Referenz: 65978287

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/2

    Malerot

    Eine köstliche EntdeckungGegrillte Maiskolben mit gesalzener Butter, Maissalat, Suppe und auch Maisbrot - den schmackhaftenZubereitungsvarianten von Mais sind kaum Grenzen gesetzt.

    Mais bedeutet je nach Sprache «Unsere Mutter», «Unser Leben., «Unsere Ernährerin..

    Als Christoph Kolumbus den Maisnach Europa brachte, wusste ernoch nicht, dass er von der Entde-ckung Amerikas zurückgekehrt war.Und er wusste auch nicht, welcheBereicherung die Getreidepflanzefier den europäischen Speiseplansein würde. Via Italien, wo der Mais«grano turco» genannt wurde, Tür-kenkorn, gelangte er im 17. Jahr-hundert auch ins Linthgebiet, dasdie Schwyzer Bezirke March und

    Höfe umfasst. Allerdings ist es beiMais wichtig, zwischen Futter- und

    Bei Mais ist wichtig,zwischen Futter- undZuckermais zu unter-

    scheiden.

    Zuckermais zu unterscheiden. Zu-ckermaiskolben - also der Mais, der

    in der Küche zum Einsatz kommt- sind früher reif und haben zarte-re und- zuckerreichere Maiskörnerals der Futtermais. Letzterer wirdhauptsächlich in der landwirt-schaftlichen Produktion als Futter-mittel eingesetzt.

    Mais aus.der LinthebeneDie Linthebene, einst ein Sumpfge-biet, hat schwere, wässrige Böden.UrDinkel und Mais ertragen dieseUmstände besser als Weizen. Nachder Einfiihrung des Türkenkorns

    entwickelten hiesige Dörfer resp.einzelne Bauernfamilien ihr eigenesSaatgut. Daraus resultierte einereiche genetische Vielfalt, die zureigenständigen Sorte Linthmaisfiihrte. Wer sich im Kanton Schwyzan die Fersen der regionalen Mehl-und Brotgeschichte heften will,dem sei die «Linth-Tour» empfoh-len. Der gleichnamige Verein orga-nisiert seit der Jahrtausendwendeim Gebiet zwischen dem oberenZürichsee und Walensee diverseErlebnis-Agronomie-Touren. Se-henswert ist etwa die altehrwürdigeMühle in Tuggen, die zurzeit res-

    tauriert wird. Schon bald soll dorteine historische Getreidemühle mitteils über 100-jährigen Maschinen

    Fot

    os: M

    aIS

    in d

    er K

    üche

    . von

    Erl.

    ruig

    er, F

    ona

    Ver

    lag

    Bericht Seite: 22/24

  • Datum: 07.07.2017

    Panissimo3001 Bern031/ 388 14 15www.swissbaker.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'581Erscheinungsweise: 26x jährlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 33Fläche: 63'207 mm²

    Referenz: 65978287

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 2/2

    und Steinen wieder den Betriebaufnehmen. Rund 20 Kilometerweiter westlich, im Klosterdorf Ein-

    Wer sich an die Fer-sen der regionalenMehl- und Brotge-schichte heften will,dem sei die «Linth-Tour» empfohlen.

    siedeln, verarbeitet die Grotzen-mühle seit über 325 Jahren auf altenSteinmühlen unentwegt Korn zuMehl.

    Daraus entstehen nicht nur Po-lenta, Mais-Pizza oder Tortilla-Chips, sondern auch feinste Mais-brote, die dank ihres geringen Glu-tenanteils besonders bekömmlichsind.Marlies Keck, Verein Schweizer Brot

    Rezept Maisbrot: www.

    schweizerbrot.ch/blog/maisbrot

    Maismehl: Glutenfreie AlternativeHinter dem Begriff Gluten - auchKlebereiweiss genannt - steckenverschiedene Proteine, die

    natürlicherweise in den Körnernvon Weizen, Roggen, Hafer und

    Gerste, aber auch in Dinkel,

    Grünkern, Einkorn, Emmer und

    Kamut vorkommen. Gluten bildetzusammen mit dem zugegöbenen

    Wasser beim Kneten einegummiartige, elastische unddoch formfeste Masse, die dem.Teig Stabilität verleiht. Für rund

    1% der Schweizer Bevölkerung

    sind Getreideprodukte aberunverträglich, da der Kleber-

    eiweiss bei ihnen zu Magen-

    Darm-Beschwerden führt. Mais,

    also auch Maismehl, ist gluten-

    frei und entsprechend gutbekömmlich und leicht zuverdauen. Aber Achtung: nichtjedes Maisbrot ist auch gleichglutenfrei. Einige Maisbroteenthalten nämlich auch einenAnteil an Weizenmehl.

    Bericht Seite: 23/24

  • Datum: 07.07.2017

    Thurgauer Bauer8570 Weinfelden071/ 626 28 88www.vtgl.ch

    Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'000Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 551.003

    Auftrag: 551003Seite: 19Fläche: 21'157 mm²

    Referenz: 66008664

    ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, Postfach, 8027 ZürichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch

    Ausschnitt Seite: 1/1

    Richtpreise für Bio-Getreide bleiben stabilAn den Richtpreisrunden zu Futter- und Brot-getreide gab es eine Einigung auf stabile Richt-

    preise für Knospe-Futter- und -Brotgetreide.Knospe-Brotgetreide bleibt gesucht, dagegenist das Angebot von Gerste, Hafer und Triticale

    genügend gross. Bei diesen Kulturen ergreiftBio Suisse mit der Branche Massnahmen, umein Überangebot zu verhindern.

    Produzenten und Verarbeiter haben sich im Rahmen

    der Richtpreisrunden von Bio Suisse auf stabile Pro-

    duzentenrichtpreise bei Knospe-Futter- und -Brotge-

    treide geeinigt. Die Übernahmebedingungen 2017

    entsprechen den Bestimmungen des Branchenver-

    bandes swiss granum.

    Grössere Inlandversorgung beimBio-Brotgetreide2017 wurde so viel Bio-Ackerfläche umgestellt wie

    noch nie. Aufgrund der vorausgesetzten Umstel-lungsjahre wird dieser Effekt mit zwei Jahren Verzö-

    gerung im Bio-Brotgetreidemarkt spürbar sein. Die

    Verarbeitungsmengen sind ebenfalls weiter wach-

    send. Dennoch dürfte eine leichte Verbesserung der

    Inlandversorgung möglich sein.

    Die Branche geht davon aus, dass den Verarbei-

    tungsbetrieben beim Weizen 35 bis 45 beim Rog-

    gen 35 bis 45 % und beim Dinkel 55 bis 65 des

    Bedarfs aus inländischer Produktion zur Verfügung

    stehen werden.

    Markttransparenz beim Bio-FuttergetreideBei Gerste, Hafer und Triticale zeichnet sich nahezu

    eine Vollversorgung ab, weshalb Bio Suisse unter

    Einbezug der Branche ein Massnahmenkonzept für

    diese Kulturen erstellt hat. Dieses basiert auf einer

    umfassenden Markttransparenz und sieht dafür Fol-

    gendes vor: Eine verstärkte Absatzförderung, die

    Anpassung der Produzentenpreise an die Erforder-

    nisse des Marktes, Einschränkungen von Importen

    ab 15. Juli 2017 sowie die Einführung eines Rückbe-

    halts auf dem Richtpreis von Gerste, Hafer und Triti-

    cale für Umstellbetriebe im ersten und allenfalls

    zweiten Jahr ab Ernte 2018. Die Höhe des Rückbe-

    halts resultiert aus der Differenz zwischen konven-

    tionellem Preis und Bio-Richtpreis. Der Betrag würde

    bei einer Überversorgung zur Deklassierung verwen-

    det werden.

    Die Förderbeiträge für Ackerbohnen und Eiweiss-

    erbsen müssen für die Ernte 2017 angepasst wer-

    den. Die Förderung der Körnerleguminosen wird

    finanziert durch eine Importabschöpfung auf Bio-

    Futtergetreide. Da der Anbau von Körnerlegumino-

    sen stetig gewachsen ist, jedoch die Menge Bio-Im-

    portgetreide stabil bleibt, wurde eine Anpassung der

    Förderbeiträge nötig. Diese betragen für Ackerboh-

    nen und Eiweisserbsen neu acht Franken pro hun-

    dert Kilogramm. Jene für Soja und Lupinen verblei-

    ben auf Vorjahresniveau bei fünfzehn Franken pro

    hundert Kilogramm.

    Die Erntemengen Bio-Futtergetreide konnten im

    letzten Jahr gesteigert werden, und auch für dieses

    Jahr wird mit einem kräftigen Wachstum zu rechnen

    sein. Der Mischfuttermarkt hat sich 2016 positiv ent-

    wickelt, und für das laufende Jahr wird ebensoWachstum prognostiziert. Die Branche geht davon

    aus, dass 2017 ein Inlandanteil über alle Futtergetrei-

    de zwischen 50 und 55 % erreicht wird.

    bio- suisse. ch

    Bericht Seite: 24/24

    InhaltsverzeichnisL'Illustré 12.07.2017 Un manifeste en faveur de la biodiversitéSchweizer Bauer 12.07.2017 Schlechte Getreideernte in ÖsterreichSchweizer Bauer 12.07.2017 Klasse-II-Weizen ist gefragtSchweizer Bauer 12.07.2017 Rapsschoten sind aufgeplatztSchweizer Bauer 12.07.2017 Es besteht ein MykotoxinrisikoTages-Anzeiger 11.07.2017 Geistige NahrungBlick am Abend / Zürich 10.07.2017 Vatikan verbietet glutenfreie HostienFinanz und Wirtschaft 08.07.2017 Anstieg des Weizenpreises ist übertriebenSchweizer Bauer 08.07.2017 Richtpreise für Brotgetreide bleiben 2017 stabilAgri 07.07.2017 Prix indicatifs inchangés pour 2017BauernZeitung / Zentralschweiz-Aargau 07.07.2017 Biogetreide bewährt sich in der RegionPanissimo 07.07.2017 Mit Schweizer Brot eine Flugreise gewinnenPanissimo 07.07.2017 Eine köstliche EntdeckungThurgauer Bauer 07.07.2017 Richtpreise für Bio-Getreide bleiben stabil