Les effets Allee démographiques : évidence...

Post on 17-Jul-2020

0 views 0 download

Transcript of Les effets Allee démographiques : évidence...

Les effets Allee démographiques :évidence empirique & détection

Stephen Gregory

ExaminateurChargé de recherche, INRAM. Xavier Fauvergue

DirecteurDirecteur de recherche, CNRSM. Franck Courchamp

ExaminateurProfesseur, Université Paris-SudM. Paul Leadley

JURY:

ExaminatriceProfesseur, Imperial College LondonMme. EJ Milner-Gulland

RapporteurProfesseur, USDAM. Andrew LiebholdRapporteurDirecteur de recherche, CNRSM. Jean-Michel Gaillard

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Con

text

eLa morue Gadus morhua (Canada)

La pêcheindustrielle

La pêcheartisanale

Con

text

eLa morue Gadus morhua (Canada)

Population disparue en 1992

La pêcheindustrielle

La pêcheartisanale

Con

text

eRoselin Carpodacus mexicanus (USA)

Expansion

Etablissement

Con

text

eRoselin Carpodacus mexicanus (USA)

Explosion démographique en 1960

Expansion

Etablissement

Con

text

eL’effet Allee peut faire chuter ou exploser les populations

Con

text

e

Un effet Allee est caractérisé par:

>> L’effet Allee est vu dans deux sens

Une « fitness » réduite dans une population diminuée

L’effet Allee peut faire chuter ou exploser les populations

Con

text

eLa « fitness » augmente lorsque la population augmente…

La « fitness » augmente lorsque la population augmente…B

ackg

roun

d Espèces invasives

Con

text

eLa « fitness » diminue lorsque la population diminue…

Con

text

e

Espèces menacées

La « fitness » diminue lorsque la population diminue…

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Deux types d’effet Allee : la définition de « fitness »

L’effet Allee élémentaire

L’effet Allee démographique

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?

Deux types d’effet Allee : la définition de « fitness »

L’effet Allee élémentaire• La fitness individuelle• e.x. nombre des œufs

L’effet Allee démographique

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?

Deux types d’effet Allee : la définition de « fitness »

L’effet Allee élémentaire• La fitness individuelle• e.x. nombre des œufs

L’effet Allee démographique• La fitness de la population• e.x. taux de croissance• dAE

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?

L’effet Allee faible

L’effet Allee fort

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?La puissance d’un effet Allee : dAE

L’effet Allee faible• Taux de croissance

positif à petite N

L’effet Allee fort

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?La puissance d’un effet Allee : dAE

L’effet Allee faible• Taux de croissance

positif à petite N

L’effet Allee fort• Taux de croissance

négatif à petite N

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?La puissance d’un effet Allee : dAE

L’effet Allee démographique et fort (dAE)Q

u’es

t-ce

qu’u

n dA

E ?

• dAE fort peut induire un taux de croissance négatif et conduire àune spirale d’extinction

Objectif de la thèseQ

u’es

t-ce

qu’u

n dA

E ?

Objectif de la thèse

D’évaluer la fréquence de l’effet Allee démographique dans lespopulations naturelles…

… et de voir si cette fréquence estaffectée par les méthodes et donnés utilisés.

Qu’

est-c

e qu

’un

dAE

?

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Etudes précédentes sur les dAEs

dAEs dans 20 populations< 1 %3269PlusieursdAEs dans toutes les populations100 %11Plantes

Petites populationsNon14PoissionsdAEs dans 112 stocks34 %330PoissionsPetites populationsNon25PhoquesdAE "possible” dans plusieurs stocks?128PoissonsPetites populationsNon11OiseauxdAEs dans 3 stocks commerciaux< 3 %128Poissons

DétailsdAE ?# PopsTaxa

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Etudes précédentes sur les dAEs

• La plupart des études focalisées sur 1 taxon

dAEs dans 20 populations< 1 %3269PlusieursdAEs dans toutes les populations100 %11Plantes

Petites populationsNon14PoissionsdAEs dans 112 stocks34 %330PoissionsPetites populationsNon25PhoquesdAE "possible” dans plusieurs stocks?128PoissonsPetites populationsNon11OiseauxdAEs dans 3 stocks commerciaux< 3 %128Poissons

DétailsdAE ?# PopsTaxa

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Etudes précédentes sur les dAEs

• La plupart des études focalisée sur 1 taxon

• >5% dAEs avec des méthodes « différentes »

dAEs dans 20 populations< 1 %3269PlusieursdAEs dans toutes les populations100 %11Plantes

Petites populationsNon14PoissionsdAEs dans 112 stocks34 %330PoissionsPetites populationsNon25PhoquesdAE "possible” dans plusieurs stocks?128PoissonsPetites populationsNon11OiseauxdAEs dans 3 stocks commerciaux< 3 %128Poissons

DétailsdAE ?# PopsTaxa

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Etudes précédentes sur les dAEs

• La plupart des études focalisée sur 1 taxon

• >5% dAEs avec des méthodes « différentes »

>>> But : améliorer les taxa et les méthodes

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

dAEs dans 20 populations< 1 %3269PlusieursdAEs dans toutes les populations100 %11Plantes

Petites populationsNon14PoissionsdAEs dans 112 stocks34 %330PoissionsPetites populationsNon25PhoquesdAE "possible” dans plusieurs stocks?128PoissonsPetites populationsNon11OiseauxdAEs dans 3 stocks commerciaux< 3 %128Poissons

DétailsdAE ?# PopsTaxa

Etudes précédentes sur les dAEs

« Théorie générale » développée par Alan Berryman - quatredynamiques de populations principales :

Sélection des modèles : « Théorie générale » de lacroissance d’une population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

« Théorie générale » développée par Alan Berryman - quatredynamiques de populations principales :

= Pas de croissanceMarchealéatoire

Sélection des modèles : « Théorie générale » de lacroissance d’une population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

« Théorie générale » développée par Alan Berryman - quatredynamiques de populations principales :

= Pas de croissance

= Croissance constante

Marchealéatoire

Exponentiel

Sélection des modèles : « Théorie générale » de lacroissance d’une population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

« Théorie générale » développée par Alan Berryman - quatredynamiques de populations principales :

= Pas de croissance

= Croissance constante

= Croissance réduite lorsque la population est grande

Marchealéatoire

Densité dépendancenégative

Exponentiel

Sélection des modèles : « Théorie générale » de lacroissance d’une population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

« Théorie générale » développée par Alan Berryman -quatre dynamiques de populations principales :

= Pas de croissance

= Croissance constante

= Croissance réduite lorsque la population est grande

= Croissance réduite lorsque la population est petite

Marchealéatoire

Densité dépendancenégative

Exponentiel

L’effet Allee

Sélection des modèles : « Théorie générale » de lacroissance d’une population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

« Théorie générale » adaptée : modèles simples + l’effet Allee =modelès …

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

« Théorie générale » adaptée : modèles simples + l’effet Allee =modelès …

+ l’effet Allee

Densité dépendancenégative

Exponentiel ExponentielAllee

Densité dépendancenégative Allee

MarchealéatoireLe

s dA

Es

sont

-ils

répa

ndus

?Mesure des preuves dAE

« non-Allee » « Allee »

Densité dépendancenégative

Exponentiel ExponentielAllee

Densité dépendancenégative Allee

Marchealéatoire

Modèle nul =Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

« Théorie générale » adaptée : modèles simples + l’effet Allee =modelès …

Comparer l’évidence pour les modèles ‘non-Allee’ vs ‘Allee’ du tauxde croissance de 1198 plantes & animaux :

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

GPDD

Comparer l’évidence pour les modèles ‘non-Allee’ vs ‘Allee’ du tauxde croissance de 1198 plantes & animaux :

• Séries temporelles tirées d’une grande base de donnéess’appelée « Global Population Dynamics Database »

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

GPDD

Comparer l’évidence pour les modèles ‘non-Allee’ vs ‘Allee’ du tauxde croissance de 1198 plantes & animaux :

• Séries temporelles tirées d’une grande base de donnéess’appelée « Global Population Dynamics Database »

• 1198 espèces différentes (une série temporelle par espèces)

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

GPDD

Comparer l’évidence pour les modèles ‘non-Allee’ vs ‘Allee’ du tauxde croissance de 1198 plantes & animaux :

• Séries temporelles tirées d’une grande base de donnéess’appelée « Global Population Dynamics Database »

• 1198 espèces différentes (une série temporelle par espèces)

• La durée moyenne des séries : 22 ans

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

GPDD

Comparer l’évidence pour les modèles ‘non-Allee’ vs ‘Allee’ du tauxde croissance de 1198 plantes & animaux :

• Séries temporelles tirées d’une grande base de donnéess’appelée « Global Population Dynamics Database »

• 1198 espèces différentes (une série temporelle par espèces)

• La durée moyenne des séries : 22 ans

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

GPDD

36 3037115152255603

2 mesures d’évidence :

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

2 mesures d’évidence :

• Évidence empirique (wAICc) = log vraisemblance ajusté et relatifaux autres modèles• mesure relative (%)

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

2 mesures d’évidence :

• Évidence empirique (wAICc) = log vraisemblance ajusté et relatifaux autres modèles• mesure relative (%)

• meilleur modèle (n) = modèle avec le plus de wAICc• mesure absolue

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

2 mesures d’évidence :

• Évidence empirique (wAICc) = log vraisemblance ajusté et relatifaux autres modèles• mesure relative (%)

• meilleur modèle (n) = modèle avec le plus de wAICc• mesure absolue

e.x.

*

55

Densitédépendance

négative

15

Densitédépendance

négative Allee

n

1005520wAICc

TotaleExponentiel

AlleeExponentielMarche aléatoire

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Mesure des preuves dAE

Résultats : 3 exemples d’espèces

Apeirasyringaria

Ovibosmoschatus

Taux

de

croi

ssan

ce d

e la

pop

ulat

ion

Taille de la population

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Légende :Marche aléatoireExponentielExponentiel AlleeDensité dépendance négativeDensité dépendance négative Allee

Cupidominimus

Résultats : résumé

RW EX EXAE ND NDAE

Évidence empirique

Légende :Marche aléatoireExponentielExponentiel AlleeDensité dépendance négativeDensité dépendance négative Allee

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Résultats : résumé

Évidence empirique

Légende :Marche aléatoireExponentielExponentiel AlleeDensité dépendance négativeDensité dépendance négative Allee

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Résultats : résumé

Évidence empirique

RW EX EXAE ND NDAE

Meilleur modèle

Légende :Marche aléatoireExponentielExponentiel AlleeDensité dépendance négativeDensité dépendance négative Allee

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Résultats : résumé

Légende :Marche aléatoireExponentielExponentiel AlleeDensité dépendance négativeDensité dépendance négative Allee

Évidence empirique

Meilleur modèle

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

12 %

<1 %

Conclusion : dAEs sont raresLe

s dA

Es

sont

-ils

répa

ndus

?

Conclusion : dAEs sont rares

• dAEs sont rares, peut-être à cause de :

– mécanismes « contre-dAE » comme compétition réduite– les populations n’ont pas montré un dAE pendant la période

observée

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Conclusion : dAEs sont rares

• dAEs sont rares, peut-être à cause de :

– mécanismes « contre-dAE » comme compétition réduite– les populations n’ont pas montré un dAE pendant la période

observée

• D’autres analyses suggèrent d’autres raisons :

– sources d’erreurs peuvent augmenter la variabilité– les méthodes statistiques utilisées n’ont pas pu détecter un dAE

dans une série temporelle de forte variabilité

Les

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Conclusion : dAEs sont rares

• dAEs sont rares, peut-être à cause de :

– mécanismes « contre-dAE » comme compétition réduite– les populations n’ont pas montré un dAE pendant la période

observée

• D’autres analyses suggèrent d’autres raisons :

– sources d’erreurs peuvent augmenter la variabilité– les méthodes statistiques utilisées n’ont pas pu détecter un dAE

dans une série temporelle de forte variabilité

• Un dAE a été détecté dans 13 espèces qui n’en présentaientpas auparavant, mais :

– les modèles étaient choisis pour leur généralité– les modèles étaient les mauvais descripteurs de la croissance de

ces populationsLes

dAE

s so

nt-il

s ré

pand

us ?

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ? Les dAEs génèrent de la variabilité

Les dAEs génèrent de la variabilité

• L’étude précédente montre que dAEs sont rares à cause d’une fortevariabilité dans les séries temporelles analysées

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Les dAEs génèrent de la variabilité

• L’étude précédente montre que dAEs sont rares à cause d’une fortevariabilité dans les séries temporelles analysées

• dAEs se manifestent dans les populations dont la taille diminue (ouaugmente)

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Les dAEs génèrent de la variabilité

• L’étude précédente montre que dAEs sont rares à cause d’une fortevariabilité dans les séries temporelles analysées

• dAEs se manifestent dans les populations dont la taille diminue (ouaugmente)

• Séries temporelles qui présentent un dAE possèdent des tailles depopulations très différentes & donc une forte variabilité

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Une forte variabilité masque la détection d’un dAEC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Série temporelle de faible variabilité montredensité dépendance négative

Une forte variabilité masque la détection d’un dAEC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Série temporelle de variabilité moyennemontre un dAE

Une forte variabilité masque la détection d’un dAEC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Série temporelle de forte variabilité montremarche aléatoire

Une forte variabilité masque la détection d’un dAEC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Questions & méthodesC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Questions & méthodes

• La forte variabilité peut-elle masquer un dAE ?

1. Simuler des séries temporelles à partir d’un modèle dAEavec des valeurs de variabilité variées

2. Essayer de détecter dAE en utilisant les modèles decroissance précédents

3. Mesurer l’évidence empirique pour chaque modèle

• Peut-on surmonter ce problème en combinantplusieurs séries temporelles ?

1. Combiner plusieurs séries temporelles simulées et répéterles étapes 2. & 3.

2. Tester cette méthode avec les données réellesCom

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Questions & méthodes

• La forte variabilité peut-elle masquer un dAE ?

1. Simuler des séries temporelles à partir d’un modèle dAEavec des valeurs de variabilité variées

2. Essayer de détecter dAE en utilisant les modèles decroissance précédents

3. Mesurer l’évidence empirique pour chaque modèle

• Peut-on surmonter ce problème en combinantplusieurs séries temporelles ?

1. Combiner plusieurs séries temporelles simulées et répéterles étapes 2. & 3.

2. Tester cette méthode avec les données réellesCom

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Questions & méthodes

• La forte variabilité peut-elle masquer un dAE ?

1. Simuler des séries temporelles à partir d’un modèle dAEavec des valeurs de variabilité variées

2. Essayer de détecter dAE en utilisant les modèles decroissance précédents

3. Mesurer l’évidence empirique pour chaque modèle

• Peut-on surmonter ce problème en combinantplusieurs séries temporelles ?

1. Combiner plusieurs séries temporelles simulées et répéterles étapes 2. & 3.

2. Tester cette méthode avec les données réellesCom

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Méthodes : comment calculer RC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Pour chaque ST*, comparecomptage en année t et

t+1. A-il augmente ?

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ? Méthodes : comment calculer R

* ST = série temporelle

Pour chaque ST*, comparecomptage en année t et

t+1. A-il augmente ?

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ? Méthodes : comment calculer R

Tracer le % de comptagesqui ont augmentés en

fonctionne de leur taille enannée t

* ST = série temporelle

Les données réelles : les chauves-sourisC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Les données réelles : les chauves-souris

• 2 espèces de pipistrelle très proches :

– Pipistrelle pygmée– Pipistrelle commune

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Les données réelles : les chauves-souris

• 2 espèces de pipistrelle très proches :

– Pipistrelle pygmée– Pipistrelle commune

• La pygmée pourrait être sensible à un dAE (par rapport à la commune) :

– elles se rassemblent dans de grands groupes– elles sont philopatriques (elles restent dans le même nid)

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Les données réelles : les chauves-souris

• 2 espèces de pipistrelle très proches :

– Pipistrelle pygmée– Pipistrelle commune

• La pygmée pourrait être sensible à un dAE (par rapport à la commune) :

– elles se rassemblent dans de grands groupes– elles sont philopatriques (elles restent dans le même nid)

• Hypothèses

dAE dans r ?(ST individuelle)

Commune Pipistrellus pipistrellusDonnées simulées

Pygmée Pipistrellus pygmaeus

dAE dans R ?(ST combinée)

Espèces de chauves-souris

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Résultats : meilleur détection des dAEs avec RC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

RWEXNDAE

Donnéessimulées

Résultats : meilleur détection des dAEs avec RC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Pipistrellepygmée

Pipistrellecommune

sqrt( ) sqrt( ) sqrt( )

Sér

ies

tem

pore

lles

Indi

vidu

elle

s (r

)

Sér

ies

tem

pore

lles

com

biné

es (R

)

RWEXNDAE

Pipistrellepygmée

Pipistrellecommune

Résultats : meilleur détection des dAEs avec RC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Donnéessimulées

) ) )

Sér

ies

tem

pore

lles

Indi

vidu

elle

s (r

)

sqrt( sqrt( sqrt(

Sér

ies

tem

pore

lles

com

biné

es (R

)S

érie

s te

mpo

relle

sIn

divi

duel

les

(r)

RWEXNDAE

Résultats : meilleur détection des dAEs avec R

dAE dAEdéclinExponentiel

Donnéessimulées

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Pipistrellepygmée

Pipistrellecommune

sqrt( ) sqrt( ) sqrt( )

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEsC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

• Une population de forte variabilité va fluctuer fortement et montre unemarche aléatoire

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

• Une population de forte variabilité va fluctuer fortement et montre unemarche aléatoire

• Les deux situations empêchent la détection d’un dAE

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

• Une population de forte variabilité va fluctuer fortement et montre unemarche aléatoire

• Les deux situations empêchent la détection d’un dAE

• On peut combiner plusieurs séries temporelles dans une mesurequalitative de la croissance d’une population - R (Tobin et al 2007)

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

• Une population de forte variabilité va fluctuer fortement et montre unemarche aléatoire

• Les deux situations empêchent la détection d’un dAE

• On peut combiner plusieurs séries temporelles dans une mesurequalitative de la croissance d’une population - R (Tobin et al 2007)

• En utilisant R, on peut « retrouver » un dAE dans les sériestemporelles de forte variabilité

Com

men

t mie

ux le

s dé

tect

er ?

Conclusion : la variabilité peut masquer les dAEs

• Une population de faible variabilité est proche de sa capacité decharge et montre une densité dépendance négative

• Une population de forte variabilité va fluctuer fortement et montre unemarche aléatoire

• Les deux situations empêchent la détection d’un dAE

• On peut combiner plusieurs séries temporelles dans une mesurequalitative de la croissance d’une population - R (Tobin et al 2007)

• En utilisant R, on peut « retrouver » un dAE dans les sériestemporelles de forte variabilité

• R est recommandé à la recherche d’un dAE si les données sont demauvaises qualités mais suffisantesC

omm

ent m

ieux

les

déte

cter

?

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Chauves-souris : animaux sociauxL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

• Les chauves-souris constituent un grand grouped’espèces sociales (1100+ espèces)

• Il y a beaucoup de comportements sociaux :– rassemblement pour la thermorégulation– reproduction coopérative– l’échange d’informations– …

Chauves-souris : animaux sociauxL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

• Les chauves-souris constituent un grand grouped’espèces sociales (1100+ espèces)

• Elles ont beaucoup de comportements sociaux :– reproduction coopérative– l’échange d’informations– rassemblement pour la thermorégulation– …

Chauves-souris : animaux sociauxL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

• Les chauves-souris constituent un grand grouped’espèces sociales (1100+ espèces)

• Elles ont beaucoup de comportements sociaux :– reproduction coopérative– l’échange d’informations– rassemblement pour la thermorégulation– …

• Comportements sociaux ont besoin >2 individus

Chauves-souris : animaux sociauxL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

• Les chauves-souris constituent un grand grouped’espèces sociales (1100+ espèces)

• Elles ont beaucoup de comportements sociaux :– reproduction coopérative– l’échange d’informations– rassemblement pour la thermorégulation– …

• Comportements sociaux ont besoin >2 individus

• Les chauves-souris peuvent être sensibles aux dAEs

Chauves-souris : animaux sociauxL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

Pourquoi les chauves-souris ?L’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

Pourquoi les chauves-souris ?

• 9 espèces ont été surveillées annuellement enAngleterre depuis 1977 ; beaucoup de données

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Question & méthodesL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

Question & méthodes

• Est-ce que les chauves-souris montrent un dAE ?

Pour chaque espèce :

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Question & méthodes

• Est-ce que les chauves-souris montrent un dAE ?

Pour chaque espèce :

– Les données étaient traitées statistiquement pour enlever l’effetde facteurs densité indépendants :

• Météo : température & précipitation• Une tendance temporelle à cause de la destruction d’habitat

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Question & méthodes

• Est-ce que les chauves-souris montrent un dAE?

Pour chaque espèce :

– Les données étaient traitées statistiquement pourenlever l’effet de facteurs densité indépendants :

• Météo : température & précipitation• Une tendance temporelle à cause de la destruction d’habitat

– R calculé des données « traitées » & « non-traitées »

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Question & méthodes

• Est-ce que les chauves-souris montrent un dAE ?

Pour chaque espèce :

– Les données étaient traitées statistiquement pour enlever l’effetde facteurs densité indépendants :

• Météo : température & précipitation• Une tendance temporelle à cause de la destruction d’habitat

– R calculé des données « traitées » & « non-traitées »

– R analysé avec 3 des modèles précédents

• Pas d’Exponentiel parce que les données étaient traitées avec unetendance annuelle ≈ (dé)croissance Exponentiel

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Résultat : exemple pipistrelle pygmée

Légende:Marche aléatoireDensité dépendance négativeL’effet Allee

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Résultat : exemple pipistrelle pygmée

Densité dépendance négativeL’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Données non traitées

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris Résultat : exemple pipistrelle pygmée

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

L’effet Allee

Données traitées

Résultat : exemple pipistrelle pygmée

Résultats: résuméL’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

Résultats: résumé

• 44.4 % (4 sur 9) des chauves-souris ont montré un dAE ; un %très important par rapport aux autres études

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Résultats: résumé

• 44.4 % (4 sur 9) des chauves-souris ont montré un dAE ; un %très important par rapport aux autres études

• Les 4 espèces présentant un dAE forment des groupes de taillesplus importantes

– Un grand groupe est peut-être indicatif d’un dAE

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Résultats: résumé

• 44.4 % (4 sur 9) des chauves-souris ont montré un dAE ; un %très important par rapport aux autres études

• Les 4 espèces présentant un dAE forment des groupes de taillesplus importantes

– Un grand groupe est peut-être indicatif d’un dAE

• La révélation d’un dAE chez 2 espèces est sensible à la météo

– température & précipitation doivent être pris en compte dansl’analyses des comptages de chauves-souris

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Résultats: résumé

• 44.4 % (4 sur 9) des chauves-souris ont montré un dAE ; un %très important par rapport aux autres études

• Les 4 espèces présentant un dAE forment des groupes de taillesplus importantes

– Un grand groupe est peut-être indicatif d’un dAE

• La révélation d’un dAE chez 2 espèces est sensible à la météo

– température & précipitation doivent être pris en compte dansl’analyses des comptages de chauves-souris

• L’exclusion du modèle Exponentiel n’a pas changé les résultats

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Conclusions : les « perils of sociality »L’

effe

t Alle

e &

la c

hauv

es-s

ouris

Conclusions : les « perils of sociality »

• Les espèces sociales, e.x. les chauves-souris, peuvent êtresensibles aux dAEs

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Conclusions : les « perils of sociality »

• Les espèces sociales, e.x. les chauves-souris, peuvent êtresensibles aux dAEs

• Les comportements de rassemblement ne protègent pas lesespèces d’un dAE

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Conclusions : les « perils of sociality »

• Les espèces sociales, e.x. les chauves-souris, peuvent êtresensibles aux dAEs

• Les comportements de rassemblement ne protègent pas lesespèces d’un dAE

• Le nombre d’espèces sociales qui sont sensibles à un dAE estgrand

– e.g. 44 % de 1100 espèces de chauves-souris représente 488espèces !

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Conclusions : les « perils of sociality »

• Les espèces sociales, e.x. les chauves-souris, peuvent êtresensibles aux dAEs

• Les comportements de rassemblement ne protègent pas lesespèces d’un dAE

• Le nombre d’espèces sociales qui sont sensibles à un dAE estgrand

– e.g. 44 % de 1100 espèces de chauves-souris représente 488espèces !

• D’autres études sur les espèces sociales sont recommandées…

L’ef

fet A

llee

& la

cha

uves

-sou

ris

Contexte

I. Qu’est-ce qu’un effet Allee démographique ?

II. Sont-ils fréquents dans la nature ?

III. Comment mieux les détecter ?

IV. L’effet Allee & les chauves-souris

Discussion

Dis

cuss

ion

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

• dAEs sont rares

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

• dAEs sont rares

• La rareté des dAEs peut-être un artefact des méthodes statistiques oudes données utilisées

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

• dAEs sont rares

• La rareté des dAEs peut-être un artefact des méthodes statistiques oudes données utilisées

• La mesure du taux de croissance qui est calculée à partir de plusieursséries temporelles (R) détecte très bien un dAE

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

• dAEs sont rares

• La rareté des dAEs peut-être un artefact des méthodes statistiques oudes données utilisées

• La mesure du taux de croissance qui est calculée à partir de plusieursséries temporelles (R) détecte très bien un dAE

• Démonstration empirique - les chauves souris :

– un dAE était détecté chez la pipistrelle pygmée en utilisant R, où laméthode traditionnelle ne l’a pas détecté

– L’analyse de 9 autres espèces de chauves-souris avec R a montré laprésence d’un dAE chez 44 % ; un % très fort

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

• dAEs sont rares

• La rareté des dAEs peut-être un artefact des méthodes statistiques oudes données utilisées

• La mesure du taux de croissance qui est calculée à partir de plusieursséries temporelles (R) détecte très bien un dAE

• Démonstration empirique - les chauves souris :

– un dAE était détecté chez la pipistrelle pygmée en utilisant R, où laméthode traditionnelle ne l’a pas détecté

– L’analyse de 9 autres espèces de chauves-souris avec R a montré laprésence d’un dAE chez 44 % ; un % très fort

• Le % important de dAEs chez les chauves-souris suggère que lesautres espèces sociales sont sensibles à un dAE

Qu’est-ce que l’on retient de cette thèse ?

Dis

cuss

ion

Les lacunes

Dis

cuss

ion

Les lacunes

• Les analyses utilisées sont «frequentist»; d’autres méthodes, e.g.Bayesian, pourrait donner des résultats différents

Dis

cuss

ion

Les lacunes

• Les analyses utilisées sont «frequentist»; d’autres méthodes, e.g.Bayesian, pourrait donner des résultats différents

• Les 1198 séries temporelles sont géographiquement biaisées (dans lenord)

Dis

cuss

ion

• Les analyses utilisées sont «frequentist»; d’autres méthodes, e.g.Bayesian, pourrait donner des résultats différents

• Les 1198 séries temporelles sont géographiquement biaisées (dans lenord)

• Toutes les analyses étaient des séries temporelles ; les donnéesindividuelles et les données expérimentales peuvent aussi révéler desdAEs

Les lacunes

Dis

cuss

ion

• Les analyses utilisées sont «frequentist»; d’autres méthodes, e.g.Bayesian, pourrait donner des résultats différents

• Les 1198 séries temporelles sont géographiquement biaisées (dans lenord)

• Toutes les analyses étaient des séries temporelles ; les donnéesindividuelles et les données expérimentales peuvent aussi révéler desdAEs

• Cette thèse a focalisé sur les espèces sociales mais, e.x. :– reproduction sexuelle– prédation

peuvent faire manifester un dAE chez n’importe espèce

Les lacunes

Dis

cuss

ion

Conclusion de thèse

Dis

cuss

ion

Conclusion de thèse

La recherche de l’effet Allee démographique est plutôtthéorique, peut-être due à des difficultés dans sa détection.

Cette thèse nous aide à comprendre pourquoi ils sont difficilesà détecter.

En plus, elle présente une méthode pour mieux les détecter.

Dis

cuss

ion

Conclusion de thèse

La recherche de l’effet Allee démographique estplutôt théorique, peut-être due à des difficultésdans sa détection.

Cette thèse nous aide à comprendre pourquoi ilssont difficiles à détecter.

En plus, elle présente une méthode pour mieux lesdétecter.

J'espère que ce travail… conduira à plus d’étudesempiriques sur l’effet Allee démographique.

Dis

cuss

ion

Perspectives

Dis

cuss

ion

Perspectives

Deux questions claires sortent de ce travail :

1. R est-elle utile à la recherche d’autres dynamiques depopulations ?

Dis

cuss

ion

Perspectives

Deux questions claires sortent de ce travail :

1. R est-elle utile à la recherche d’autres dynamiques depopulations ?

2. Les espèces sociales sont-elles plus sensibles aux dAE ?

Dis

cuss

ion

R

Dis

cuss

ion

R est une mesure récemment publiée par Tobin et al. 2007 (EcologyLetters 10: 36-43)

R

Dis

cuss

ion

R est une mesure récemment publiée par Tobin et al. 2007 (EcologyLetters 10: 36-43)

• Adaptée à utiliser « data binning » ; les comptages similaires sontrassemblés dans des « bins » qui décrient leurs tailles (Freedman Diaconismethod)

R

Dis

cuss

ion

R est une mesure récemment publiée par Tobin et al. 2007 (EcologyLetters 10: 36-43)

• Adaptée à utiliser « data binning » ; les comptages similaires sontrassemblés dans des « bins » qui décrient leurs tailles (Freedman Diaconismethod)

• Tobin et al. (2007) ont utilisé « locally weighted regression » : ici, Ranalysée avec les modèles de dynamique prédéterminés

R

Dis

cuss

ion

R est une mesure récemment publiée par Tobin et al. 2007 (EcologyLetters 10: 36-43)

• Adaptée à utiliser « data binning » ; les comptages similaires sontrassemblés dans des « bins » qui décrient leurs tailles (Freedman Diaconismethod)

• Tobin et al. (2007) ont utilisé « locally weighted regression » : ici, Ranalysée avec les modèles de dynamique prédéterminés

• Question : R peut-elle différencier entre plusieurs modèles decroissance de population ? à tester…

R

Dis

cuss

ion

R est une mesure récemment publiée par Tobin et al. 2007 (EcologyLetters 10: 36-43)

• Adaptée à utiliser « data binning » ; les comptages similaires sontrassemblés dans des « bins » qui décrient leurs tailles (Freedman Diaconismethod)

• Tobin et al. (2007) ont utilisé « locally weighted regression » : ici, Ranalysée avec les modèles de dynamique prédéterminés

• Question : R peut-elle différencier entre plusieurs modèles decroissance de population ? à tester…

• Bon à savoir : On peut calculer R avec les séries temporelles courtes ;les ST doivent avoir > 2 nonzero observations

R

Dis

cuss

ion

Les espèces sociales & l’effet Allee

Dis

cuss

ion

Les chauves-souris montrent un fort % de dAEs mais, s’applique-t-il aux autres espèces sociales ?

Les espèces sociales & l’effet Allee

Dis

cuss

ion

Les chauves-souris montrent un fort % de dAEs mais, s’applique-t-il aux autres espèces sociales ?

• Des études récentes suggèrent que le rassemblement en groupediminue la chance qu’il se manifeste un dAE

Les espèces sociales & l’effet Allee

Dis

cuss

ion

Les chauves-souris montrent un fort % de dAEs mais, s’applique-t-ilaux autres espèces sociales ?

• Des études récentes suggèrent que le rassemblement en groupediminue la chance qu’il se manifeste un dAE

• Les chauves-souris se regroupent pour se reproduire, et cesanalyses ont révélées des dAEs

Les espèces sociales & l’effet Allee

Dis

cuss

ion

Les chauves-souris montrent un fort % de dAEs mais, s’applique-t-ilaux autres espèces sociales ?

• Des études récentes suggèrent que le rassemblement en groupediminue la chance qu’il se manifeste un dAE

• Les chauves-souris se regroupent pour se reproduire, et cesanalyses ont révélées des dAEs

• On devrait utiliser R à la recherche des dAEs chez d’autresespèces sociales : e.x. les suricates ou les lycaons

Les espèces sociales & l’effet Allee

Dis

cuss

ion

Les chauves-souris montrent un fort % de dAEs mais, s’applique-t-ilaux autres espèces sociales ?

• Des études récentes suggèrent que le rassemblement en groupediminue la chance qu’il se manifeste un dAE

• Les chauves-souris se regroupent pour se reproduire, et cesanalyses ont révélées des dAEs

• On devrait utiliser R à la recherche des dAEs chez d’autresespèces sociales : e.x. les suricates ou les lycaons

• R devrait être utile à la détection des dAEs chez les espèces nonsociales

Les espèces sociales & l’effet Allee

stephen.gregory@u-psud.fr

Thanks :

Jean-Michel Gaillard, Sandy Liebhold, EJ Milner-Gulland, XavierFauvergue & Paul Leadley

Franck Courchamp & other collaborators

Donna Harris, Liz & Dave Gregory

Céline Bellard, Elsa Bonnaud, Laetitia Giraud et all in bâtiments362 & 360

Notes and extra slides

Bet

ter d

etec

ting

dAE

sCalculating R

t3

t2

t1

t3t4

t2

t1

t3

t2

t1

t3

t2

t1

t4

t3

t2

t1

t3

t2

t1

t3

t2

t1

t4

t3

t2

t1

t3

t2

t1

-t3

t2

-t4

t3

t2

-t3

t2

-NY-YYN-YYR

Bet

ter d

etec

ting

dAE

sCombining time series improves detection

RWEXNDAE

Indi

vidu

altim

e se

ries

Top-

rank

mod

els

Soprano pipistrelle Common pipistrelle Simulated

Bet

ter d

etec

ting

dAE

sCombining time series improves detection