BülLETIPÏbmsenlis.com/data/pdf/js/1898/bms_js_1898_03_13_MRC.pdftotal daa tHtM à laiM eo Barops....

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^ N* H . r r ! iri:,^.!rrj -------------- »sai^ le et le Jendi: •'• ' liiviSj] iii'ii vdikTx,*: ' ûfr.y utf. lijiif/ ■kwu;.; étt'. 9tt/ sé*.' tnniM ii: -ftfr.i tto 4fy. ; /;■ ' '. OIV. rÀ B O ^ -:', VlMlto, aoLiHttim dà foim l,-6,i<iiiaM de j l'ip'N i^iVrifii riiqfe tMu les libraires daddperleiiei^t: , eld»ns«fltoWba»qimdepwiedêfhuwdeiwij5ih l/tlfiS V ^tett HM n p’értjèmals Dimanche 4S Mars 40isf: BXJIVBIAVXJ BédaoUon u AdnHiMilMi,''.: ; e, pliM da l'BM«I-4f(i-TUIt, ' t a i a l t / ' U JoomuL DB SBRùg est désigné i<mr psOKét dant fwfondiraemenf W Insbbtions JUDicuiitiij ' ' ' PRlll DES INSERTIONS -: Annonces :1a ligne, 0,90 0 . Rédanuw ; i« Faludlwre: laIlgM„p.fiOc. ., 7 \ On n’accepte pas d’ioBertionaa-dessons de Ifr.,, Les.annonces, réclames, etc,, çonoernentPaiis.e^-^ les Départements sont reçues dir^menianxboiMBX' ^ du Journal. " S BülLETIPÏ àmUêt 12 Marti Jendi) à sa sénnpa du. matin comme à celle 4Pil*K r^*wdi, 1A'Chambre a dis* enté la qnestion de rimpôt< des patentes;' elle'a. déféré d*«bord certains paten- lableê; pnis elle a voté, par 293: voix contre 225; Tamendement de Georges > BeRy» qni augmente oonsidérablement ration de la 16! des patèntes . da&slaloi de flnatices, a prononcé la di^bnction de Pàrdolë ÿài régie là patente des sociétés coopéràtives. An Sénat, la séance de jéndi « été con* Btcrée à Ip diiMinssioa d’une proposition, déjà votée à la Chambre, qui tend à la répression plus sévére des violences, actes de crnanté'ètàttentats commis envers les eniiuits. JLta proposition, éloqnemment sontenne par. M. Bérenger, rapporteur, n’a été contestée que par H. MOnsservin, qoi eût préféré :qn*an lien de laisser les taibonanx jhges. on dxât dan^ la 1q1 vig& Boxim^ desjenmnts^ôpirebâiidon m - •treinera' ponr antenrs la "prison éi‘ rimende, et aussi par M. Léonce de Sal, qoi, au lien du droit conféré aux sociétés Î rotectrices de l’enfance de poursuivre ’offlce les parents indignes, demandait tio’on, lenr donnât senlement le droit de dM enquêtes, qn’ellès triinsmèt* traient au parquet. Tous les articles de la-proposition n’ed ont pas moine été votés tels quels, et M. MilliArd, garde dès sceaux; a même apporté d’adhésion èxpresse du gouvernement à l’innovation juridique qui, par nnê réaction caraoté* riiée contre l’individualisme, fait passer Faction publique elle*même aux mains de certaines associations déterminées. ^ Ce débat clos, le Sénat s’est ajourné à mardi, non sans enfermer dans cet ajour nement une invite explicite à l’adresse de la Chambre, afin qu’elle se hâte d’achever le budget dé'1898. La Chambre ne par^t d’ùlleurs comprendre qu'à moitié ces appels, puisque,' aujourd’hui encore, elle I n suspendre la discussion financière S m donner à M. Dron, député radical s Tourcoing, le loisir d’interpeller M. Méline sur la politique générale et la qnestion cléricale : le besoin s’en iàisait ^sentir, et il prend vraiment bien son temps, M. Dronl... P’Espagne et des Etats-Unis nous Tiennent des nouvelles plus rassurantes eae ces jours derniers. Néanmoins, des I oenx côtés, on arme avec activité. I En Extrême-Orient, la situation tend à I •Ugraver : le Csar a adressé à son mi- I aiitre des finances un ukase et un rescrit I monnant l’afiectation à la construction I M nouveaux navires de guerre d’un cré- I mt de quatre-vingt-dix millions de rou- I Wm. En même temps, le ministre anglais 1 ula marine, demandait à la Chambre des I J^mones un cré(fit de 587 millions I w.OOOfr. Enfin, l’on annonce que les I mapes russes ont déjà pénétré en Mand- I TOurie, pour soutenir les réclamations I wla Russie sur Port-Arthur et Talien- I W«n. ■•WT*, «■ 180.000,000. total daa tHtM à laiM eo Barops. La Oraada- Bre- tagae, p m d’élaVage^ par uoeOèSflb da la gant 'Û'ü tria fi^ader de la' MosvfUe-OàlIe. ia etiié mflUandeduaot aoatprépoMadla-garnie .eevroBp6a»BBlane enaon genre. hxii.1. IL___ réeamiMQt, m « éleraor do Taamanie. lltFORHATlOHS fipançtlao, a ra liait la ré- I5 m oratoire ÇJTMûVj^eâiiQQ dû fitatoaü de Jolea 81- I • prononcé on diaconra aaqoel ■ i^Bda M. le comte'HpoaeonviUe. *<uage de flenra de raétoriqu. ri^propM dn eoneonra d’anlmaiix graa qol anra ■ y y>cWnement 4 Parla, aalt-on qnel eet le iSL . nonde où l’éleTage dn menton a Joaqn’à ■PMial donné lea metllaara réanltataf Crime de denx ebeminaeiix. Jeudi,' t léejlan, (laèrà), denz ebemmeanx a u- qnab an enltlvatenr, M. Lombard, avait donné Mile depnU lé veille dane une grange, reftiaéreat de p ar^ri H. Lombard ne lenr^donnul pna d’v - "•et. Cne intte a’engagea. 11; Lombard, nriné - un triden^ vonlnt expober lea d e » inlnia : un d n denz b^ m ee tira on eonp de feyolver.aar le nrmler qnl eétaon dupenn traveraé. . U i Lombard aortit ehercber dn aeeonra. ; A aon ràtour, léà denz vojagenra avalent ftü, npréa avoir mla le feu 1 la maiaon, qnl a été dé- jmute ontlérament. f - ! m mm ■><! ' JU’n des plan grande U pR au 4a wsofMit iM e a t le pTna peaplé.|la nMladoa, d’infit- I. de mMeaiaa et de ebm telena, eat-l’bôpUal .wrial de Hoaeon. , ' ' .tondé en 1104, aenl édifloo publie reipeeté par leffrovéble’ineendie de 1818, cet hôpital- a reen préa- de 600,000 enfanta en traitement. On v re çoit et l’on 7 aoigne maintenant environ 15,000 petite miüadea ehaqne année. _____________ , IKina oe vMte éubliaaement dëëEwité, nofoe- rape an oentre de ta ville une anpMfleie de plnalenra heetarea. on eomnta eomma- neMAnnki « heetarea, on eompte comme personnel { trente médeelas, .viagtHnz eUrorgiena, dnqaante aldéa ayant rang de doetenr, neuoenta infirmière et Iot / —■— B — uuHi œiuaiBDriBiflraeiin flrmièreq, et nn millier d’antoea employée et do- meatiqnea. Lapopniatlontotaledél'itabileaement. en ootopiennnt fes mnladea, dépaaae 7,000 per- aonnea. Moaooo, do reste, parait être la ville par ezoel .•noe dea — ------------ -------------- etfèt, eent tontes les en égard anrtont tanta. moaooo, dnreat», parait être la ville par ezoel- iMoe dea maiaona de ee genre. On y compte, en * sent vlngt-aept hoapioea et hopitanz pour les eapéêea de maladies ee qui oat énorme, ird anrtont i la popniatlon : 980,000 babl- Entre éleoteora : — Alors, dans voire eireonseriptton, c’eit en core nta avoMt qui te présentera T — Oni, M* Dnbagonz, antanr d'nn onvrage de droit intitnlé : a Dea eu de nnllité. s Uneantobiographiet An realatûànt: m™, guÿ)., . . Tin ..t liarribIui.Dl tronble I - O’eal do via d'Algérie, monaienr... Bt l'Al gérie» a été tellement remiée, dans cea derniara temps I... NOUVELLES MILITAIBES L e mepvioe de Z ans, . Un certain nombre de députés, apparte nant à toutes les nuances de la Chambre, ont discuté la question du service militaire de deux ans et se sont prononcés pour cette réduction. H. Le Hérissé a fait accepter les principes suivants: Service de deux ans pour.ious ; Dispense seulement pour les soutiens de famille effectifs ; 3<> Application de l’article 85 de la loi de 1889 sur l'instruction mili taire préparatoire. Une motion de H, Hillerand, demandant que le service militaire paisse ôire réduit à nn an après examen militaire, a été rejetée. La réunion a adopté une proposition de h ; Dazille demandant que le corps des sous- ûfflciers rengagés soit augmenté en raison des besoins nouveaux que créera le service militaire de deux ans. La réunion a ensuite voté un projet de résolution présenté par H. Jaurès et ainsi conçu : La Chambre invite le gonvernement à Jludler le plus tôi possible un projet de loi comprenant : I** Réduction du service militaire à deux ans; H Dispense pour les soutiens de famille effectifs ; 8“ Instruction militaire préparatoire ; 4* Augmentation du corps des sous-ofll- ciers rengagés. Le projet dq^^résolution signé de tous les ' membres du groupe sera déposé aojoâid’hni samedi. • La tubexHsnlose et la réforme* .E n .1878, il n'y aValt dans l'armée qué 3;8 cas pour mille de tuberculeux ; en 48 la proportion s'élevait pour mille soldais li 5,48 de réformes ou de décès ; en 1895, elle atféint' le'chiffre effrayant de 9,48 ponr mille, c’est^-idire que, depuis l’adoptloii du urvice ihllltairé obligatoire, l’affreuse ma ladie a triplé d'importance an moins dsns 1 armée. . . ,-*7 . -Si-ces-inilliersde malhearèux'iie'meiirrat~ pas to ^ dans les hôpitaux militaires, si une medicamentation soignée les arrache par fois au cimetière; ils n'en>sont pas moins les victimes désignées. Et, passant leurs trois années, de service à l’infirmerie, à l'hôpital ouen cobgé de convalescence, ils consti-*: tuent le ^ros noyau des indisponibles. Jusqu'iciiii était impossible dé se débar rasser de ces non-valeurs si onéreuses .DOttr le Trésor. . Le Conseil de révision, les Commissions de. réformes éliminaient évidemment les su jets cbex lesquels la maladie était.bien ca-- racténsée. Les autres restaient au corps el devenaient pour les valides un véi&ble dangen Désormais, il n’on serajplus ainsi. Sur la genCe hM loi dite de là réforme ■tempo raire. ' Cette loi se propose d’éliminer de l’ar mée, pour un temps déterminé, les hommes que leur état de santé précaire rend mo mentanément impropres à un service utile. “Siie SénarvôtôIdoL ce qui ne n'ôây'pâ^ rail naa HnnlAnv inn» a...»* .1 _ wu«s,B<uuuo( S09 uauisraues, lui-mème mortellement atteint. Sans partage celte fois, le Parlement anra fait œuvre utile dont lui seront reconnais sants I armée et le pays. Les oompafpiles ojrollates. Sim le rapport de U. Le Hérissé, la com mission parlementaire de l’armée a voté une proposition du député de l’Ille-et-Vilaipe, tendant à créer une compagnie de cyclistes. . comprendrait un effectif 11? hommes, dont 1 capitaine et 4 lieutenants ou sous-lieutenants. Il s’agit de réaliser un essai qui prépare rait la création de 25 compagnies. La médecine navale* Les instructions pour l’admission dans les trois Ecoles annexes de médecine navale en déposés à la Préfecture (bureau militaire) et dans les sous-préfectures, pû I on pourra en prendre connaissance.» ' Les candidats qui sollicitent leur admis-' sion auxdiles Ecoles devront se faire inscrire, du-Lfi septembre au 1*' octobre, à la Préfec ture du département où est établi le domicile. de leur famille ou de celui où ils poursuivent leurs études. CHROflIiVIIE DËPARTEHKNTALE %’oleg d e M M . lea D dpiitéa de roise. Séance du 5 mars. Scrutin sur l’ordre du jour pur et simple fin- torpeUallon de M. Coulant, relative à l’évaluatioa de billets de cbemiu de fer des militaires et ma rins). La Chambre a adopté. Ont voté pour; MM. Chevallier, Gaillard. Hainsselin et No81. A volé coMre : H. Bandon. Scratin sur l’ordre du jour pur et simple (in terpellation de M. Pasobal Grousset, invitant le * donner à l’Exposition coloniale »« 19TO nne grande ampleur, et &la préparer au int riAvna da ‘■«i.tran.vonaation-ep-musée 00- La (fhambre Ont voté pour; HH. Chevallier, Gaillard, Hainsselin et Noél. A voté contre : H. Bandon. Scratin sur l’amondoment de 11. Louis La- Mmbe, tendant à faire varier le droit de mnta- Uon par décès, en ligne directe, selon le nombre des enfants tarticle 7 de la loi de finances). l u Cbambro n ’a m adopté. Ont ' Jut nié pw r; HH; Baudon ét Gaillard. G n t Toté eonin; HH; GharalUer, Haina- atlin .1 Nodl. ' ^ a ü a 8or. le renvoi à la Commlesioa spéciale ’2^A*®?Dôement de M. Dansettè, relatif au cerll- ificat d mmatriCQlation des étrangers (article 7 do la loi de finances), j : La Chambre a adopté. ;J5ntvptôpoiir;M M . Chovallior, Gaillard jwinsseliu et Noél. ) A voté confire : H. Bandon. Séance du ^ mors.* sur l’amendement de M. Thonlonse à 1artlsje 8 de la loi de finances, demandant quo ,108 valeurs mobilières étrangères soient soumises auidroitcommun, et qne^le droit' de timbre au comptant de 0,50 ceniimès sur les fonds d’Etat étrangers soient portés à 1 trane. .La Chambre n’a pas adopté. Ont voté contre ’Oise. ' Tous les députés de Scrutin sur la disjonction de l'amendement de M. Fleury-Ravaiin à l’article 9 de la loi de û nances. La Chambre n’a pas adopté. ,Ont volé pour ; MM. Beudon, Chevelller et Noël. Ont volé conln ; HH. Gaillard el Haine- -seii^; Les élecUoDS lég^islatlves* Himtemmt de U. Hainsselin Dans une lettre très digne qu’il adresse à $68 élecleiu^, H. Hainsselin, député de l’ar- -rondissemeot de—Glermont,—déclare qu’il dMire consacrer à sa famille les dernières années de son existence et qu'il renonce à sereprésonter aux prochaines élections. II conseille l’union'aux républicains el les invite à choisir pour député un candidat qui 8 engMera à;wutenir une politique d’ordre et de liberté. On sait que demain dimanche un con grès d électeurs, réuni à Clermont, dési gnera le candidat des modérés à la succes sion de M. Hainsselin. Les grefliers de paix* La commission centrale des greffiers de ustice de paix de France, présentée par Mi Uubry, leurcollègne, sénaleurderYonne, a.été reçue par H. Milliard, ministre de la justice, qui a fait le plus bienveillant accueil aux délégués et a pris bonne note des desi- dorata des greffiers. Le ministre leur a fait connaître qu’à son avis l’extension de la compétance des justices de paix s’imposait et, averolle, la révision des tarifs. . L es preaCatloDs* Dans une de ses dernières séances, la Société des Agriculteurs de France a discuté le vœu suivant : r Que conformément au dernier vole du Sénat et &l’avis quatre fois renouvelé de l’immense majorité des Conseils généraux, le principe de la prestation en nature soit maintenu ; 2’ Que s'il était apporté quelques modifications a ce régime, celles'-oi aient ponr but et pour effet unique de dégrever dans une certaine mesure les petits contribuables inscrits seulement au rôle de la contribution personnelle. ' Après échauged observations ontreHM. de SegoDzac, Lavollée, de Couroonel et Allier, les différents paragraphes du vœu sont mis aux voix; le premier seul est adopté. Le concoui*s poup FCcole polytecholquet Le Préfet de l’Oise prie MM. les Maires de vouloir bien prévenir leurs administrés que le programme et rinstruction pour le concours d’admission à l’Ecole polytechnique ®u 4898 sont déposés à la Préfecture (bureau militaire) et dans les sous-préfectures, où les intéressés peuvent en prendre connais sance. Les candidats devront se faire inscrire avant le 1»» avril au soir, terme de rigueur, à la Préfecture du département où ils font leurs éludes. Société colom bophile de roiaeu La Société colombophile de l’Oise, dans sa séance du 5 mars, a décidé qu’une prime de 10 francs sera accordée à tout agent qui aura verbalisé contre une personne ayant capturé ou détruit un pigeon voyageur ne lui appartenant pas, comme l’indique la loi qui a été votée à ce sujet en février dernier. Cong;éa de Pdqaes. Les vacances de Pâques viennent d'être fixée) ainsi qu’il suit : Les élèves des lycées et collèges sortiront le mercredi 6 avril, à midi, et rentreront le lundi de la Quaslmodo, 18 avril, â l’heure réglementaire. Les mandats-poste* M. Tonli a déposé, mercredi, sur le bu- ^ u de la Chambre, un rapport cohcluant à I adoption du projet déposé par le gouverne ment pour la rôducilon des droits sur les mandats postaux. Voici quels seraient désormais, aux termes de ce projet, les droits sur les mandats de poste pour rintérieur de la France : JuMu'àâOfr., 0,05 par 5 fr. ou fraction de 5 fr. De 90,01 A 50 fr., 0,95. De 6p,01â100fr., 0,60. De HH),01 à 300 fr., 0,75. De 300,01 à 500 fr., 1 fr. Au-dessus de 500 fr., 1 fr. pour les pro- miers 500 fr. et 0,25 en sus par 500 fr. ou fraction de 500 fr. excédant. Les Airriculteurs de Séance. Dans.la séance du 4 mars du Ctengrés des Agriculteurs de France, les vœnx suivants ont été adoptés : Quo le propriétaire des biens ruraux destinés è la culture qui n’ont été ni loués ni coliivés f tendant une année obtienne du Conseil de prë- eciure le' dégrèvement de la portion d’impôt afférente au revenu perdu. ______ ______ pouvoirs publics poursuivent la ré- ,111-asiuu uca ifaudes sur les vins non seulement avec le Mncours de la science, mais encore en rechermient la provenance des produits vendus dans l’intérieur des villes à des prix qui en dé montrent l’origine illicite. . T l’usege des produits agricoles et la laciiite do leur circulation, les tarifs soient unifiés de façon qu’on n'ait pas à s'occuiicr si les produits ranfiés aux chemins de fer empruntent lignes, pour voir ainsi rompre l’unité du prix. Les nouveaux 'w agons du IVord. La Compagnie du Nord vient de mettre en circulation, sur ses lignes, de grandes et spacieuses voilures de 3* classe, comprenant chacune des compartiments pour dames et pour non fumeurs. Aux glaces des véhicules ont été adaptés des rideaux, et les suspen sions ont été améliorées dans des conditions telles que les effets du roulement sont insen sibles. La Compagoiedu Nord a également adopté, pour les grands express, le type'des voitures à boggies, c’est-à-dire à quatre essieux, em ployées par la Compagnie internationale des Wagons-Lits dans Tes grands express euro péens. Un train composé de sept de ces grands véhicules, d’un poids total de 200 tonnes, circule depuis quelques jours sur les grandes Ifgaes du Nord. Ce tram marche à une vitesse de plus de 75 kilomètres à l'heure avec une absence presque complète de chocs et de trépidations. 11 a même été constaté que l’effort de* traction était très sensiblement inférieur à celui qu’aurait né cessité un train de même poids composé de voitures ordinaires à deux essieux. G&isse nationale d*épax*gae« Résultats généraux pour l’ensemble des ^apements pendant le mots de janvier Versem** rétu b 411.366 déposants, dont 67.944 nouveaux..................... 44.440.739 fr. 14 Remboursem‘* à 117.355 déposant dont 23.243 pour solde..................... 28.379.996 fr. 06 mî5ü— 4AJ)60J43-fFj)8- Op^ratioiw effectuées dans le département de l’Oise pendant le mois de février. Versements reçus de 2.370 déposants, dont 305 nou veaux ................................ Remboursements à 694 dé posants, dont 160 pour solde.................................. 209.717 fr. 99 147.495 fr.'2l Excédent des Versements. 62.222 fr. 78 SËNLIS A «rnera SMÜis. Associatioh iPaiLoiEcmusii,. — D u s a , réunion de mercredi, la Conuil d'adminior, tration de l’Association philotechnlque do Senlis a décidé qu'une exposition pabliane , des travaux des élèves de ses. deux sectteas aurait lieu le samedi 2 avril, ôaVf» i*Qne desi salles de l’flôtelrdiKVille. . Séné sur les âifféîëhls geormicle style sere faite par M. Dupuis, président de l’Associa- tioa. Puis M. Lestocart fera pâseT'SOUS'IvS' yeux du public un certain nombre de projec-. ' tiens lumineuses reproduisant notamm?P.ti les plus intéressants ^isodes de la guerre de 1870-1871. Nous croyons pouvoir ajouter que, selon, toutes probabilités, la distribution des ré-, compenses aura lieu le dimanche 24 avril, dans la salle du Théâtre. S portVdLociPâniouB Sbnusirr. — Les. membres du S. V. S. se sont réunis jeudi' soir, à 8 heures, au siège ordloaire de leùi's séances, sous la présidence de M. dé Rays-i sac, vice-président. i Deux membres, MM. Colsenetet Foulon, ont adressé leur démission au bureau; M. Foulon parce qu’il quitte Senlis pour aller résider à Meàux. .. M.-.Vernier est admis comme membre de la Société. L’assemblée décide qu’une promenade aura lieuàDammarti0rledimancbe27 mûrs, 81 le temps le permet. Ceux qui votidrpnl y prendre part devront envoyer leur adhésion, avant le jeudi 24 courant, au sitee de ta' SociÂié, place de la Balle. U ÇONCRRT DE LA SOCldlfi HUSlCApK. — : Voici les noms des artistes dont la Société musicale s'est assuré le concours pour sou concert du 20 mars. H"* Deck, forte chanteuse de l’Opéra. U°‘* A. Menjaud, pianiste, profeseur à Ecouen, lauréate du Conservatoire. Devade, du Théâtre lyrique. M. Ganneval, baryton de l’Opéra-Comique. M. A. Meojaud, chanieur comique des sa lons et concerts de Paris. M. L. Bas, hautboïste de l’Opéra, 1” prix du Conservatoire. Les « Allégros », célèbres clowns musi caux dans leurs inléressanls exercices. Nous publierons le programme complet dans notre prochain numéro. La location est ouverte ches M“* Blcheron, au Théâtre. Nous ne saurions trop recom mander à nos lecteurs de ne pas attendre les derniers jours s’ils veulent être bien placés. Les lots de la tombola, qui sont exposés eu partie dans les vitrines de M. Nouvian, attei gnent le chiffre de deux cents, représentant une valeur de plus de 1.600 francs. Avis à ceux qui n’ont pas encore pris leurs billets ; il est temps d’y pourvoir. * * * Postes et 'TiLriGRAPUEs. •— Nous appre nons, avec plaisir, que les communications télégraphiques et téléphoniques sont reprises depuis jeudi soir avec Paris, Beauvais, Chan tilly et tout le réseau. C’est grâce à l’activité des agents préposés - ces services que l’on a pu obtenir un si irompt résultat; encore ont-ils dù procéder a des agencements provisoires; car les dé gâts sont tels, qu’ifs ne pourront pas être définitivement réparés avant trois mois d’ici* « * * Service anniversaire. — Aujourd’hui a été célébré, à la cathédrale de Senlis, un service anniversaire pour les membres de la famille de H. Levasseur, dont les décès suc cessifs ont si douloureusement ému l'an dernier tous ceux qui connaissaient l’hono-* B-famUleT-Gu-serappeUe qu’en quelques ; ours M. Levasseur perdit successivement sa emme, née Julie Polrée, ses deux filles, M"* Morand et M '** Léonie Levasseur, sa belle-sœur, M“»Jodarl, el sa nièce, Lucie Jodart. A l’occasion de ce douloureux anniver saire, nous adressons de nouveau à M. Le vasseur et à sa famille l’expression de nos bien sincères sympathies. FEUILLETON LE banqueroutier hh? ®i cravate blanche, pim- [^V*rilure rapide; H. Granvalon, agrté regagnait son étude. Comme il la porte rembourrée de son cabinet, rïïi 8® précipita, et, tout bks ; ■teJLJ ® président du tribunal de ■’*vaerce qui attend depuis une demi-heure. 1 ÏÏ?®®1 il entra. ^ I monsieur le président, toutes mes ^jl^^rloite: que vous voilà beau I Est-ce I l|J>»»alon souriait. vous mariez 1 bXÎ 1 ®®?1 reviens précisément to la demande officielle; vous serez ^onsleur 16'prtsldent,^ là première Titb I réTêl6i-moi te nom de — Oh i monsieur le président, vous me couvrez de confusion ! Puis, changeant de ton, et bas, avec l’ac cent demi-ému qui convient en pareil cas : — J’épouse... mademoiselle Glaire Sa- valle. Bravo I charmante personne, jolie, et un papa qui n’est pas précisément sur la paille. Fille unique t... Ohl mais parfait, pariait... et des talents, musicienne... elle récite très bien I... Jo l’ai entendue une fois... Bravo, bravo ! Maître Granvalon, un garçon assez corpu lent, au teint coloré, au front court, était médiocre Causeur. Aussi H cessa bientôt de sourire. Il pre nait môme, à mesure que le président se lançait sur les qualités dont la jeune fillé était parée, l'atlilude indécise et gauche, un E su boudeuse de l’écolier debout, les bras allants devant le maliro qui. l’ennuie à lui faire des phrases. ' — Sapristi I mais alors, dit le président, je tombe... très mal, mol, avec ce que je viens vous... demander. — Tout à vos ordres, fit l’agréé en s’incU- nant. —>Heu I heu I j’en doute. A dessein, le président fit une pause, (tenvaincu que la pilule ne passerait pas alsémeqt. il préférait laisser une certaine inquiétude s’amasser peu à pèu dons le cer veau de Granvalon. Les gens sùrsautont moins aux ennuis déjà pressentis. — Vous partez en voyage, ce soir, mon -CheV maître, vous filez à Bruxelles... cômmp un caissier I 11 riait el se frottait les mains, feignant de trouver à la chose un côte gel. mm,„A BnuêUei I ce m*» fit Oranvaloo, qui regardait au plafond d'un air abasourdi, mais... Et à quelle occasion f -- Pour une faillite, répondit le prési dent, qui, les pouces dans les entournures de son gilet, arpentait te bureau tout en causant. Fcba à peu, il enQall te ton et gesticulait de la téte. — Le mot faillite vous fait toujours faire la grimace... que voulez-vous, Il faut en prendre votre parti. Ce serait, en vérité, un métier trop agréable que le vôtre, messieurs les agréés, si vous n’aviez jamais autre chose à faire que de plaider. Le tribunal veut que vous rendiez au commerce le service de vous chaiger aussi des mauvaises affaires. Sans ceja, songez donc en quelles, mains tombe raient nos faillites, heinf Nous voyez-vous réduits à nommer syndic un Létracq, cet agent d’affaires de bas étage, ou on Potan- ceau, rat vorace qui s’insinue dans les ban ques sous couleur de contentieux et vous les ronge jusqu'à la moglle. Oifi t c’est vous, vous que nous prenons, ça n’est pas amu sant, mais il le faut l Eh bien, le mois der- .nier, vous avez été nommé syndic d’un... un fabricant de galoches... comment donc? celui qui est eu fuite t Le président faisait claquer son doigt comme un homme qui cherche vainement un nom qu’il a au bout des lèvres. — Bonrdeis, murmure Granvalon. — Oui, Le fiourdais I Eh bien, comme vous savez, on soupçonnait déjà qu’il se cachait à Bruxelles... A l’instant, on vient de découvrir son adreine... 'Tenes, void te renseignement sur ce papier... C'est Raudln, son prineiptl eréancier, qui l’a déolebé... 11 y esi, je crois, pour une forte somme... — ...ReltUvemeat, — Assez pour s’en occuper 111 a donc mis tout en œuvre, a remué ciel el terre afin de pincer son voleur G® dis voleur, car Le Bourdals, n’est-ce pas, avait fait sa peloté ayant de glisser la clef sur la porter) Eh bien I 11 le lient I 11 ne nous reste plus qu'à mettre la main sur le magot. Or, Raudin est venu me voir et il veut que vous parliez tout de suite. Il a une peur bleue que les recherches qu’on vient, de faire n’aient donné l’éyeil au.failli et qu'il ne prenne la poudre d escampette... Ohl c’est très en nuyeux, je le reconnais... un jour de fian- çaille» * Hàls;'monsieur le président... fit.Gran- — Bah.l soixante francs aller et retour, pas plusJ — Mats enfin, on m’attend ce soir chex M. Savallq... Mon père, mon oncle arrivent de Rouen ! Le président hocha la tète : “ AMops, mon cher Granvalon — et, adoucissant le-ton, Il mit la main sur l'é- Huv.uw.vwuM* iv-tuii, Il uii* la lUalU oUr I B- paule de son agréé : Oubliez Un instant que c esl le président qui parle et faites un vrai plaisir att vieil alni de votre famille. Je tiens ,à ce que vous alliez là-bas... J’ai des rai- sons... personnelles que vous devez com prendre et que je vous saurai gré de ne pas me eontralndrè à vous dire... Vous m’oôR- geroir enpàrtant...Est-ce enlendaf... Rouen Pf* !?*“ î famille reviendra, que diable I Allons, an revoir, bonvoyi^et La tâche est délicate, mats vôok êtes nnliablte homme et... ooll ool! vous révisirei. Je •eaiçi* — J’irai, monsieur le président, fit Gran- valon simplement. A cinq heures, l’agréé, en tenue de voyage, couverture sur l’épaqje, valise à la main, partait pour Rouen el de là pour Bruxelles. Il avait dissimulé, à sa fiancée, l’objet de ce voyage précipité, par crainte de quelque fâcheuse impression. Ce mot de syndic a quelque chose de si rébarbatif el, le rôle, de si brutal t On n’est guère flatté d’avouer à une jeune fille, élevée dans le luxe, qu’on coudoie à la journée des banqueroutiers... autant dire des galériens. Dans un court billet adressé àM. Savalle, Granvalon expll- quait à sa façon ce brosque départ. Il pré textait la nécessité de conférer avec son avocat de cassation belge sur une grosse affaire concernant la maison de laines Aubernon et G®, plaidée l’année précédente à Anvers, un procès sur lequel tônte l’Indus trie d’Elbeiif avait les yeux. Deux télégram mes pressants, envoyés coup sur coup, lui donoaientd'urgence rendez vous à Bruxelles pour le lendemain matin, et il avait dù par tir en hâte. Le devoir avant tout t En règle maintenant, sûr que les deux familles, à l’heure du dîner, feraient senti mentalement chorus pour le plaindre d’un si fâcheux contretemps, Granvalon, en garçon qui ne perd jamais de vue les côtés pratiques de l’existence, attaqua d'un vigoureux appé tit le panier de provisions dont il s’était muni au buffet avant de partir. Quand il eut bien joué des mâchoires, ses idées se firent un peu plus claires et il en profita pour jeter un coup de sonde dans les difflcollés de sa tâche. Evidemment, Il ne fallait p u revonfr les mains vMèii. Il l'ptt 4® tefiter 'lrprM âeai. S c était bien facile à deviner. Raudin le banquier, passait pour l’inspirateur; da Fanal d Elbeufy celte mauvaise petitefeuille de scandale, toujours prête à aboyer aux jambes de tout le monde, surtout des gens riches. Or, juste en ce moment, le président achevait ses six années de magistrature, au ' bout desquelles, d’ordinaire, il y a le ruban rouge. Hais encore faut-il être bien avec la préfecture I Et dans la circonstance, ça n’était pas chaud, disait-on. SI le malheur voulait que cet animal de Raudin choisit précisément l’instant pour faire campagne contre le président, cela suffirait à enlever à • rhooorable consulaire, en dépit de ses long» services, toute chance de décoration Aussi le succès de Granvalon. envovô. exprès à Bruxelles et revenant avec dot tonds pour les créanciers, serait un coup d éclat inappréciable, une sorte de traite tirée sur la reconnaissance du banquier - - Eh bien, alors, je ferai ce qu’il faudra, se dit Granvalon avec une énerrique résolnl tion de tout tenter pour réussir. Mais, à bien réfléchir, cela n’allait pas tout Seul. Le Bourdais n'était certes pas le premier venu ! Dans le quartier qu’il avait habité, on le dépeignaitcomme un acharné au travail. Levé dés cinq heures, hiver comme été, ne ronnaissanl ni dimanche ni fêtes, ne se dé* rangeant jamais, d’une économie sèvA-^^>- eùt été très bien vu, n’étail taciturne et ombraj - * ' s’ètre crueiiepieiiÂai 4ije|wnOTisqL « I «dDril.;

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l / t l f i S V ^ t e t t H M n p’értjèmals

Dimanche 4 S Mars 4 0 is f:

B X J I V B I A V X JBédaoUon u A dnH iM ilM i,''.: ;

e, pliM da l'BM«I-4f(i-TUIt, ' t a ia l t / '

U JoomuL DB SBRùg est désigné i<mr psOKét dant fwfondiraemenf W Insbbtions JUDicuiitiij ' ' '

PRlll DES INSERTIONS -:Annonces :1a ligne, 0,90 0 . Rédanuw ; i« ■ •

F alud lw re: laIlgM„p.fiOc. ., 7 \On n’accepte pas d’ioBertionaa-dessons de Ifr .,,

Les.annonces, réclames, etc,, çonoernentPaiis.e^-^les Départements sont reçues d ir^m enianxboiM BX ' ^du Journal.

" S

BülLETIPÏà m U ê t 12 M a rti

Jendi) à sa sénnpa du. m atin comme à celle 4 P il* K r^ * w d i, 1A'Chambre a dis* enté la qnestion d e rimpôt< des patentes;' e lle 'a . d é f é r é d*«bord c e rta in s paten- lableê; p n is e lle a voté, p a r 293: voix contre 225; Tam endem ent de Georges

> BeRy» q n i augm ente oonsidérablem ent

ration de la 16! des patèn tes . da& sla lo i de flnatices, a prononcé la d i^b n c tio n de Pàrdolë ÿ à i rég ie l à pa ten te d es sociétés coopéràtives.

An S énat, la séance d e jén d i « é té con* Btcrée à Ip diiMinssioa d’une proposition, déjà votée à la Cham bre, qui ten d à la répression plus sévére des violences, actes de c rn a n té 'è tà tte n ta ts commis envers les eniiuits. JLta proposition, éloqnem m ent sontenne par. M. B érenger, rapporteu r, n’a été contestée que p a r H . MOnsservin, qoi eû t p référé :qn*an lien de la isser les taibonanx jh g es . on d x â t dan^ la 1q1 vig&

■ Boxim ^ desjenmnts^ôpirebâiidon m -•treinera' p o n r an ten rs la "prison éi‘ rim ende, e t aussi p a r M. Léonce d e Sal, qoi, au lien du d ro it conféré au x sociétés

Îrotectrices de l ’enfance de poursuivre ’offlce les parents indignes, dem andait

tio’on, l e n r donnât sen lem ent le d ro it de dM enquêtes, qn ’ellès triinsm èt*

traient au p arquet. Tous les a rtic les de la-proposition n ’ed o n t pas m oine été votés tels quels, e t M. MilliArd, garde dès sceaux; a m êm e apporté d’adhésion èxpresse du gouvernem ent à l’innovation juridique qui, par nnê réaction caraoté* riiée contre l’individualism e, fa it passer Faction publique elle*même a u x m ains de certaines associations déterm inées. ^

Ce débat clos, le Sénat s’est a jou rné à mardi, non sans enferm er dans ce t a jour­nement une invite explic ite à l’adresse de la Chambre, afin qu’elle se h â te d’achever le budget d é '1898. L a Cham bre ne p a r^ t d’ùlleurs com prendre q u 'à m oitié ces appels, puisque,' au jourd ’hui encore , elle

I n suspendre la discussion financière

S m donner à M. D ron, député radical s T ourco ing , le lo isir d’in te rp eller

M. Méline su r la politique générale e t la qnestion cléricale : le besoin s’en iàisait

^sentir, e t i l p rend vraim en t b ien son temps, M. D ro n l...

P’Espagne e t des E ta ts-U nis nous Tiennent des nouvelles plus rassurantes eae ces jo u rs dern ie rs. Néanm oins, des

I oenx côtés, on a rm e avec activ ité.

I En Extrêm e-O rient, la situation tend à I •Ugraver : le C sar a adressé à son m i- I aiitre des finances u n ukase e t u n resc rit I m onnant l’afiectation à la construction I M nouveaux navires de gu erre d’u n cré- I mt de qua tre -v in g t-d ix m illions de ro u - I Wm. En même tem ps, le m inistre anglais 1 u la m arine, dem andait à la Cham bre des I J^m o n es un cré(fit de 587 m illions I w.OOOfr. Enfin, l’on annonce que les I mapes russes ont d é jà pénétré en Mand- I TOurie, pour so u ten ir les réclam ations I wla Russie su r P o r t-A r th u r e t T alien- I W«n.

■•WT*, «■180.000,000.

total daa tHtM à laiM e o B arops. La Oraada- Bre- tagae, p m d’élaVage^ par uoeOèSflb da la gant

'Û'ü tria fi^ader de la' MosvfUe-OàlIe. i a

etiié mflUandeduaot aoatprépoMadla-garnie .eevroBp6a»BBlane enaon genre. hxii.1. IL___

réeamiMQt, m « éleraor do Taamanie.

lltFO R H A TlO H S■ fipançtlao, a r a liait la ré-I 5 m oratoire

ÇJTMûVj^eâiiQQ dû fitatoaü de Jolea 81- I • prononcé on diaconra aaqoel■ i^B da M. le comte'HpoaeonviUe.

*<uage de flenra de raétor iq u .

r i^ propM dn eoneonra d ’anlmaiix graa qol anra ■ y y>cW nem ent 4 Parla, aalt-on qnel eet le i S L . nonde où l’éleTage dn m enton a Joaqn’à ■PMial donné lea metllaara réanltataf

Crime de denx ebeminaeiix.Jeudi,' t lé e jla n , (laèrà), d enz ebemmeanx a u -

qnab an enltlvatenr, M. Lombard, avait donné M ile depnU lé veille dane une grange, reftiaéreat de p a r ^ r i H . Lombard ne lenr^donnul pna d’v - " •e t . C ne intte a’engagea. 11; Lombard, nriné - un triden^ vonlnt expober lea d e » in ln ia : un d n d enz b ^ m e e tira on eonp de feyolver.aar le n rm ler qnl eé ta o n dupenn traveraé. .

U i Lombard aortit ehercber dn aeeonra.; A aon ràtour, léà denz vojagenra avalent ftü, npréa avoir mla le feu 1 la maiaon, qnl a é té dé- jmute ontlérament. f - ! m mm ■> <! '

JU’n des plan grande U p R au 4a wsofM it iM e a t le pTna peaplé.|la nMladoa, d’infit- I. de mMeaiaa e t d e e b m te len a , eat-l’bôpUal

.wrial de Hoaeon. , ' '.tondé en 1104, aenl édifloo publie reipeeté par

leffrovéble’ineendie d e 1818, ce t hôpital- a reen préa- de 600,000 enfanta en traitement. On v re­ço it e t l ’on 7 aoigne maintenant environ 15,000petite miüadea ehaqne année. _____________, IKina oe vMte éubliaaem ent d ëëE w ité , n o fo e - rape an oentre de ta ville une anpMfleie de plnalenra heetarea. on eomnta eomma- neMAnnki «heetarea, on eompte comme personnel { trente médeelas, .viagtHnz eUrorgiena, dnqaante aldéa ayant rang de doetenr, n e u o e n ta infirmière e t Iot—/ —■ — B — uuHi œiuaiBDriBiflraeiinflrmièreq, e t nn m illier d’antoea employée e t do- meatiqnea. L apopniatlontotaledél'itabileaem ent. en ootopiennnt fes mnladea, dépaaae 7 ,000 per- aonnea.

Moaooo, do reste, parait être la v ille par ezoel.•noe dea — --------------------------etfèt, eent tontes les en égard anrtont tanta.

moaooo, dnreat», parait être la v ille par ezoel- iM oe dea maiaona de ee genre. On y compte, en * sen t vlngt-aept hoapioea e t hopitanz pour

les eapéêea de m aladies ee qui oat énorme, ird anrtont i la popniatlon : 980,000 babl-

Entre éleoteora :— Alors, dans voire eireonseriptton, c’e i t en ­

core nta avoMt qui t e présentera T— Oni, M* Dnbagonz, antanr d'nn onvrage de

droit intitnlé : a Dea e u de nnllité. sU neantobiographiet

♦An realatûànt:— m™, g u ÿ )., . . Tin . . t liarribIui.Dl

tronble I -O’eal do v ia d'Algérie, monaienr... B t l'A l­

gérie» a été tellem ent rem iée , dans cea derniara temps I...

NOUVELLES M ILITAIBESL e m e p v io e d e Z a n s ,

. Un certain nombre de députés, apparte­nant à toutes les nuances de la Chambre, ont discuté la question du service m ilitaire de deux ans et se sont prononcés pour cette réduction.

H . Le Hérissé a fait accepter les principes suivants: Service de deux ans pour.ious ;

Dispense seulement pour les soutiens d e famille effectifs ; 3<> Application de l’article 85 de la loi de 1889 sur l'instruction mili­taire préparatoire.

Une motion de H, Hillerand, demandant que le service m ilitaire paisse ôire réduit à nn an après examen militaire, a été rejetée.

La réunion a adopté une proposition de h ; Dazille demandant que le corps des sous- ûfflciers rengagés soit augmenté en raison des besoins nouveaux que créera le service militaire de deux ans.

La réunion a ensuite voté un projet de résolution présenté par H. Jaurès et ainsi conçu :

La Chambre invite le gonvernement à Jludler le plus tôi possible un projet de loi comprenant :

I** Réduction du service militaire à deux a n s ;

H Dispense pour les soutiens de famille effectifs ;

8“ Instruction militaire préparatoire ;4* Augmentation du corps des sous-ofll-

ciers rengagés.Le projet dq^^résolution signé de tous les

' membres du groupe sera déposé aojoâid’hni samedi. •

L a tu b e x H s n lo s e e t l a r é f o r m e *.E n .1878, il n 'y aValt dans l'arm ée qué

3;8 cas pour mille de tuberculeux ; en 48 la proportion s'élevait pour mille soldais li 5,48 de réformes ou de décès ; en 1895, elle atféint' le 'ch iffre effrayant de 9,48 ponr mille, c’est^-idire que, depuis l’adoptloii du urv ice ihllltairé obligatoire, l’affreuse ma­ladie a triplé d'importance an moins dsns 1 armée. . . ,-*7. -Si-ces-inilliersde m alhearèux'iie'meiirrat~ pas t o ^ dans les hôpitaux m ilitaires, si une medicamentation soignée les arrache p a r ­fois au cimetière; ils n'en>sont pas moins les victimes désignées. Et, passant leurs trois années, de service à l’infirmerie, à l'hôpital o u e n cobgé de convalescence, ils consti-*: tuent le ^ros noyau des indisponibles.

Jusqu 'ic iiii était impossible dé se débar­rasser de ces non-valeurs si onéreuses .DOttr le Trésor. .

Le Conseil de révision, les Commissions de. réformes éliminaient évidemment les su­jets cbex lesquels la maladie était.bien ca-- racténsée. Les autres restaient a u corps e l devenaient pour les valides u n véi& ble dangen

Désormais, il n ’on serajplus ainsi. S ur la

genCe hM loi dite de là réforme ■ tempo­raire. '

Cette loi se propose d ’éliminer de l ’ar­mée, pour un temps déterminé, les hommes que leur état de santé précaire rend mo­mentanément impropres à un service utile.

“S i ie S én a rv ô tô Id o L ce qui ne n'ôây'pâ^ra il naa HnnlAnv inn» a...»* .1_

wu«s,B<uuuo( S09 uauisraues, lui-mème mortellement atteint.

Sans partage celte fois, le Parlem ent anra fait œuvre utile dont lui seront reconnais­sants I armée et le pays.

L e s o o m p a f p i l e s o j r o l l a t e s .Sim le rapport de U. Le Hérissé, la com­

mission parlementaire de l’armée a voté une proposition du député de l ’Ille-et-Vilaipe, tendant à créer une compagnie de cyclistes. . comprendrait un effectif11? hommes, dont 1 capitaine et4 lieutenants ou sous-lieutenants.

Il s’agit de réaliser un essai qui prépare­rait la création de 25 compagnies.

L a m é d e c i n e n a v a l e *Les instructions pour l ’admission dans les

trois Ecoles annexes de médecine navale en déposés à la Préfecture (bureau

militaire) et dans les sous-préfectures, pû I on pourra en prendre connaissance.» '

Les candidats qui sollicitent leur admis-' sion auxdiles Ecoles devront se faire inscrire, du-Lfi septembre au 1*' octobre, à la Préfec­ture du département où est établi le dom icile. de leur famille ou de celui où ils poursuivent leurs études.

CHROflIiVIIE DËPARTEHKNTALE%’o l e g d e M M . l e a D d p i i t é a

d e r o i s e .Séance du 5 mars.

Scrutin sur l’ordre du jour pur et simple fin- torpeUallon de M. Coulant, relative à l’évaluatioa de billets de cbemiu de fer des militaires et ma­rins).

La Chambre a adopté.Ont voté p o u r ; MM. Chevallier, Gaillard.

Hainsselin et No81.A volé coMre : H . Bandon.

Scratin sur l’ordre du jour pur et simple (in­terpellation de M. Pasobal Grousset, invitant le

* donner à l’Exposition coloniale »« 19TO nne grande ampleur, et & la préparer au

int riA vna da ‘■«i. tran.vonaation-ep-musée 00-

La (fhambreOnt voté p o u r; HH. Chevallier, Gaillard,

Hainsselin e t Noél.A voté contre : H . Bandon.

Scratin sur l’amondoment de 11. Louis La- Mmbe, tendant à faire varier le droit de mnta- Uon par décès, en ligne directe, selon le nombre des enfants tarticle 7 de la loi de finances).

lu Cbambro n ’a m adopté. Ont 'J u t n i é p w r ; HH; Baudon é t Gaillard. G nt Toté e o n in ; HH; GharalUer, Haina-

atlin .1 Nodl.

' a ü a 8or. le renvoi à la Commlesioa spéciale ’2^A*®?Dôement de M. Dansettè, relatif au cerll- ificat d mmatriCQlation des étrangers (article 7 do la loi de finances), j : La Chambre a adopté.;J5 n tv p tô p o iir;M M . Chovallior, Gaillard jw insseliu et Noél.) A voté confire : H . Bandon.

Séance du ^ mors.* sur l’amendement de M. Thonlonse à

1 artlsje 8 de la loi de finances, demandant quo ,108 valeurs mobilières étrangères soient soumises auidroitcommun, et qne^le droit' de timbre au comptant de 0,50 ceniimès sur les fonds d’Etat étrangers soient portés à 1 trane.

.La Chambre n’a pas adopté.Ont voté contre

’Oise.' Tous les députés de

Scrutin sur la disjonction de l'amendement de M. Fleury-Ravaiin à l’article 9 de la loi de û nances.

La Chambre n’a pas adopté.,Ont volé pour ; MM. Beudon, Chevelller

et Noël.Ont volé c o n ln ; HH. Gaillard el Haine-

-seii^;

L e s é le c U o D S lé g ^ is la t lv e s *H im tem m t de U. Hainsselin

Dans une lettre très digne qu’il adresse à $68 élecleiu^, H. Hainsselin, député de l’ar-

-rondissemeot de—Glermont,—déclare qu’il dM ire consacrer à sa famille les dernières années de son existence et qu 'il renonce à sereprésonter aux prochaines élections.

II conseille l’union'aux républicains el les invite à choisir pour député un candidat qui 8 engMera à ;w utenir une politique d ’ordre e t de liberté.

On sait que demain dimanche un con­grès d électeurs, réuni à Clermont, dési­gnera le candidat des modérés à la succes­sion de M. Hainsselin.

L e s g r e f l i e r s d e p a ix *La commission centrale des greffiers de

ustice de paix de France, présentée par Mi U ubry, leurcollègne, sénaleurderYonne, a .é té reçue par H. Milliard, ministre de la justice, qui a fait le plus bienveillant accueil aux délégués et a pris bonne note des desi- dorata des greffiers. Le m inistre leur a fait connaître qu’à son avis l’extension de la compétance des justices de paix s’imposait et, avero lle , la révision des tarifs.

. L e s p r e a C a t lo D s *Dans une de ses dernières séances, la

Société des Agriculteurs de France a discuté le vœu suivant :

r Que conformément au dernier vole du Sénat et & l’avis quatre fois renouvelé de l’immense majorité des Conseils généraux, le principe de la prestation en nature soit maintenu ;

2’ Que s'il était apporté quelques modifications a ce régime, celles'-oi aient ponr but et pour effet unique de dégrever dans une certaine mesure les petits contribuables inscrits seulement au rôle de la contribution personnelle. '

Après échauged observations ontreHM. de SegoDzac, Lavollée, de Couroonel et Allier, les différents paragraphes du vœu sont mis aux voix; le premier seul est adopté.

L e c o n c o u i* s p o u p F C c o l e p o l y t e c h o l q u e tLe Préfet de l’Oise prie MM. les Maires

de vouloir bien prévenir leurs administrés que le programme et rinstruction pour le concours d’admission à l’Ecole polytechnique ®u 4898 sont déposés à la Préfecture (bureau militaire) et dans les sous-préfectures, où les intéressés peuvent en prendre connais­sance.

Les candidats devront se faire inscrire avant le 1»» avril au soir, terme de rigueur, à la Préfecture du département où ils font leurs éludes.

S o c i é t é c o l o m b o p h i l e d e r o i a e uLa Société colombophile de l ’Oise, dans

sa séance du 5 mars, a décidé qu’une prime de 10 francs sera accordée à tout agent qui aura verbalisé contre une personne ayant capturé ou détruit un pigeon voyageur ne lui appartenant pas, comme l ’indique la loi qui a été votée à ce sujet en février dernier.

C o n g ;é a d e P d q a e s .Les vacances de Pâques viennent d'être

fixée) ainsi qu’il suit :Les élèves des lycées et collèges sortiront

le mercredi 6 avril, à midi, et rentreront le lundi de la Quaslmodo, 18 avril, â l ’heure réglementaire.

L e s m a n d a t s - p o s t e *M. T o n li a déposé, mercredi, su r le bu-

^ u de la Chambre, un rapport cohcluant à I adoption du projet déposé par le gouverne­ment pour la rôducilon des droits sur les mandats postaux.

Voici quels seraient désormais, aux termes de ce projet, les droits sur les mandats de poste pour r in té rieu r de la France :

JuM u'àâO fr., 0,05 par 5 fr. ou fraction de 5 fr.

De 90,01 A 50 fr., 0,95.De 6 p ,0 1 â1 0 0 fr ., 0,60.De HH),01 à 300 fr., 0,75.De 300,01 à 500 fr., 1 fr.Au-dessus de 500 fr., 1 fr. pour les pro-

miers 500 fr. et 0,25 en sus par 500 fr. ou fraction de 500 fr. excédant.

L e s A i r r i c u l t e u r s d e S é a n c e .Dans.la séance du 4 mars du Ctengrés des

Agriculteurs de France, les vœnx suivants ont été adoptés :

Quo le propriétaire des biens ruraux destinés è la culture qui n’ont été ni loués ni coliivés

ftendant une année obtienne du Conseil de prë- eciure le' dégrèvement de la portion d’impôt

afférente au revenu perdu. ______ ______pouvoirs publics poursuivent la ré-

,111-asiuu uca ifaudes sur les vins non seulement avec le Mncours de la science, mais encore en rechermient la provenance des produits vendus dans l’intérieur des villes à des prix qui en dé­montrent l’origine illicite.. T l’usege des produits agricoles etla laciiite do leur circulation, les tarifs soient unifiés de façon qu’on n'ait pas à s'occuiicr si les produits ranfiés aux chemins de fer empruntent

lignes, pour voir ainsi romprel’unité du prix.

L e s n o u v e a u x 'w a g o n s d u I V o rd .La Compagnie du Nord vient de mettre en

circulation, sur ses lignes, de grandes et spacieuses voilures de 3* classe, comprenant chacune des compartiments pour dames et pour non fumeurs. Aux glaces des véhicules ont été adaptés des rideaux, et les suspen­sions ont été améliorées dans des conditions telles que les effets du roulement sont insen­sibles.

La Compagoiedu Nord a également adopté, pour les grands express, le type'des voitures à boggies, c’est-à-dire à quatre essieux, em­ployées par la Compagnie internationale des Wagons-Lits dans Tes grands express euro­péens. Un train composé de sept de ces grands véhicules, d ’un poids total de 200 tonnes, circule depuis quelques jours sur les grandes Ifgaes du Nord. Ce tram marche à une vitesse de plus de 75 kilomètres à l'heure avec une absence presque complète de chocs et de trépidations. 11 a même été constaté que l’effort de* traction était très sensiblement inférieur à celui qu’aurait né­cessité un train de même poids composé de voitures ordinaires à deux essieux.

G & iss e n a t i o n a l e d* ép ax * g ae«

Résultats généraux pour l’ensemble des ^a p e m en ts pendant le mots de janvier

Versem** rétu b 411.366 déposants, dont 67.944nouveaux..................... 44.440.739 fr. 14

Remboursem‘* à 117.355 déposan t dont 23.243 pour solde..................... 28.379.996 fr. 06

mî5ü— 4A J)60J43-fFj)8-Op^ratioiw effectuées dans le département

de l’Oise pendant le mois de février.Versements reçus de 2.370

déposants, dont 305 nou­veaux ................................

Remboursements à 694 dé­posants, dont 160 pour solde..................................

209.717 fr. 99

147.495 f r . '2 lExcédent des Versements. 62.222 fr. 78

SËNLISA « r n e r a S M Ü is .

Associatioh iPaiLoiEcmusii,. — D u s a , réunion de mercredi, la Conuil d 'adm inior, tration de l’Association philotechnlque do Senlis a décidé qu'une exposition pabliane , des travaux des élèves de ses. deux sectteas aurait lieu le samedi 2 avril, ôaVf» i*Qne desi salles de l’flôtelrdiKVille. .

Séné sur les âifféîëhls geormicle style sere faite par M. Dupuis, président d e l ’Associa- tioa. Puis M. Lestocart fera pâseT'SOUS'IvS' yeux du public un certain nombre de projec-. ' tiens lumineuses reproduisant notamm?P.ti les plus intéressants iso d es de la guerre de 1870-1871. •

Nous croyons pouvoir ajouter que, selon, toutes probabilités, la distribution des ré-, compenses aura lieu le dimanche 24 avril, dans la salle du Théâtre.

S portVdLociPâniouB Sbnusirr . — Les. membres du S. V. S. se sont réunis jeudi' soir, à 8 heures, au siège ordloaire de leùi's séances, sous la présidence de M. dé Rays-i sac, vice-président. ■ i

Deux membres, MM. Colsenetet Foulon, ont adressé leur démission au bureau; M. Foulon parce qu’il quitte Senlis pour aller résider à Meàux. ..

M.-.Vernier est admis comme membre de la Société.

L’assemblée décide qu’une promenade aura lieuàDam m arti0rledim ancbe27 mûrs, 81 le temps le permet. Ceux qui votidrpnl y prendre part devront envoyer leur adhésion, avant le jeudi 24 courant, au sitee de ta' SociÂié, place de la Balle.

U ÇONCRRT DE LA SOCldlfi HUSlCApK. — : Voici les noms des artistes dont la Société musicale s'est assuré le concours pour sou concert du 20 mars.

H"* Deck, forte chanteuse de l’Opéra.U°‘* A. Menjaud, pianiste, profeseur à

Ecouen, lauréate du Conservatoire.Devade, du Théâtre lyrique.

M. Ganneval, baryton de l’Opéra-Comique. M. A. Meojaud, chanieur comique des sa­

lons et concerts de Paris.M. L. Bas, hautboïste de l’Opéra, 1” prix

du Conservatoire.Les « Allégros », célèbres clowns musi­

caux dans leurs inléressanls exercices.Nous publierons le programme complet

dans notre prochain numéro.La location est ouverte ches M“ * Blcheron,

au Théâtre. Nous ne saurions trop recom­m ander à nos lecteurs de ne pas attendre les derniers jours s’ils veulent être bien placés.

Les lots de la tombola, qui sont exposés eu partie dans les vitrines de M. Nouvian, attei­gnent le chiffre de deux cents, représentant une valeur de plus de 1.600 francs.

Avis à ceux qui n’ont pas encore pris leurs billets ; il est temps d’y pourvoir.

** *

Postes et 'TiLriGRAPUEs. •— Nous appre­nons, avec plaisir, que les communications télégraphiques e t téléphoniques sont reprises depuis jeudi soir avec Paris, Beauvais, Chan­tilly e t tout le réseau.

C’est grâce à l’activité des agents préposés - ces services que l’on a pu obtenir un si irompt résultat; encore ont-ils dù procéder

a des agencements provisoires; car les dé­gâts sont tels, qu’ifs ne pourront pas être définitivement réparés avant trois mois d ’ici*

«* *

Service anniversaire. — Aujourd’hui a été célébré, à la cathédrale de Senlis, un service anniversaire pour les membres de la famille de H. Levasseur, dont les décès suc­cessifs ont si douloureusement ému l'an dernier tous ceux qui connaissaient l’hono-*— B-famUleT-Gu-serappeUe qu’en quelques ; ours M. Levasseur perdit successivement sa emme, née Julie Polrée, ses deux filles,

M"* Morand et M'** Léonie Levasseur, sa belle-sœur, M“»Jodarl, el sa nièce, Lucie Jodart.

A l ’occasion de ce douloureux anniver­saire, nous adressons de nouveau à M. Le­vasseur e t à sa famille l’expression de nos bien sincères sympathies.

FEU IL LETO N

LE

b a n q u e r o u t i e r

hh? ®i cravate blanche, pim-[^V*rilure rapide; H. Granvalon, agrté

regagnait son étude. Comme il la porte rembourrée de son cabinet,

r ï ï i 8® précipita, et, tout bks ; ■ teJL J ® président du tribunal de■’*vaerce qui attend depuis une demi-heure.

1 ÏÏ?®®1 il entra. ’^ I monsieur le président, toutes mes

^ jl^ ^ r lo i te : que vous voilà beau I Est-ce

I l|J>»»alon souriait.vous mariez 1

bXÎ 1 ® ®?1 reviens précisémentto la demande officielle; vous serez

^ o n s le u r 16'prtsldent,^ là première

Titb I réTêl6i-moi te nom de

— Oh i monsieur le président, vous me couvrez de confusion !

Puis, changeant de ton, et bas, avec l’ac­cent demi-ému qui convient en pareil cas :

— J ’épouse... mademoiselle Glaire Sa- valle.— Bravo I charmante personne, jolie, et

un papa qui n ’est pas précisément sur la paille. Fille unique t... O hl mais parfait, pariait... et des talents, musicienne... elle récite très bien I... Jo l’ai entendue une fois... Bravo, bravo !

Maître Granvalon, un garçon assez corpu­lent, au teint coloré, au front court, était médiocre Causeur.

Aussi H cessa bientôt de sourire. I l pre­nait môme, à mesure que le président se lançait sur les qualités dont la jeune fillé était parée, l'atlilude indécise e t gauche, un

Esu boudeuse de l ’écolier debout, les bras allants devant le maliro qui. l’ennuie à lui

faire des phrases. '— Sapristi I mais alors, dit le président,

je tombe... très mal, mol, avec ce que je viens vous... demander.

— Tout à vos ordres, fit l’agréé en s’incU- nant.

—> Heu I heu I j ’en doute.A dessein, le président fit une pause,

(tenvaincu que la pilule ne passerait pas alsémeqt. il préférait laisser une certaine inquiétude s’amasser peu à pèu dons le cer­veau de Granvalon. Les gens sùrsautont moins aux ennuis déjà pressentis.

— Vous partez en voyage, ce soir, mon -CheV maître, vous filez à Bruxelles... cômmp un caissier I

11 riait e l se frottait les mains, feignant de trouver à la chose un côte gel.

mm ,„A BnuêUei I ce m * » fit Oranvaloo,

qui regardait au plafond d 'un a ir abasourdi, mais... E t à quelle occasion f

- - Pour une faillite, répondit le prési­dent, qui, les pouces dans les entournures de son gilet, arpentait te bureau tout en causant.

Fcba à peu, il enQall te ton et gesticulait de la téte.

— Le mot faillite vous fait toujours faire la grimace... que voulez-vous, Il faut en prendre votre parti. Ce serait, en vérité, un métier trop agréable que le vôtre, messieurs les agréés, si vous n’aviez jamais autre chose à faire que de plaider. Le tribunal veut que vous rendiez au commerce le service de vous chaiger aussi des mauvaises affaires. Sans ceja, songez donc en quelles, mains tombe­raient nos faillites, h e in f Nous voyez-vous réduits à nommer syndic un Létracq, cet agent d’affaires de bas étage, ou on Potan- ceau, rat vorace qui s’insinue dans les ban­ques sous couleur de contentieux et vous les ronge jusqu'à la moglle. Oifi t c’est vous, vous que nous prenons, ça n’est pas amu­sant, mais i l le fa u t l Eh bien, le mois der- .nier, vous avez été nommé syndic d ’un ... un fabricant de galoches... comment donc? celui qui est eu fuite t

Le président faisait claquer son doigt comme un homme qui cherche vainement un nom qu’il a au bout des lèvres.

— Bonrdeis, murmure Granvalon.— Oui, Le fiourdais I Eh bien, comme

vous savez, on soupçonnait déjà qu’il se cachait à Bruxelles... A l ’instant, on vient de découvrir son adreine... 'Tenes, void te renseignement sur ce papier... C'est Raudln, son prineiptl eréancier, qui l’a déolebé... 11 y esi, je crois, pour une forte somme...

— ...ReltUvemeat,

— Assez pour s ’en occuper 111 a donc mis tout en œuvre, a remué ciel el terre afin de pincer son voleur G® dis voleur, car Le Bourdals, n ’est-ce pas, avait fait sa peloté ayant de glisser la clef sur la p o rte r) Eh bien I 11 le lient I 11 ne nous reste plus qu'à mettre la main sur le magot. Or, Raudin est venu me voir e t il veut que vous parliez tout de suite. Il a une peur bleue que les recherches qu’on vient, de faire n ’aient donné l’éyeil au.failli et qu'il n e prenne la poudre d escampette... O hl c’est très en­nuyeux, je le reconnais... un jour de fian- çaille» *

Hàls;'monsieur le président... fit.Gran-

— Bah.l soixante francs aller et retour, pas plusJ

— Mats enfin, on m’attend ce soir chex M. Savallq... Mon père, mon oncle arrivent de Rouen !

Le président hocha la tète :“ AMops, mon cher Granvalon — et,

adoucissant le-ton, Il m it la main sur l'é-Huv.uw.vwuM* iv-tuii, Il uii* la lUalU oUr I B-paule de son agréé : Oubliez Un instant que c esl le président qui parle et faites un vrai plaisir att vieil alni de votre famille. Je tiens ,à ce que vous alliez là-bas... J ’ai des rai- sons... personnelles que vous devez com­prendre e t que je vous saurai gré de ne pas me eontralndrè à vous d ire ... Vous m’oôR- geroir en pàrtan t...E st-ce en lendaf... Rouen

Pf* !?*“ î famille reviendra, que diable I Allons, an revoir, b o n v o y i^e t La tâche est délicate, mats vôok êtes n n liab lte homme et... o o ll ool! vous rév isire i. Je •ea iç i*

— J ’irai, monsieur le président, fit Gran- valon simplement.

A cinq heures, l’agréé, en tenue de voyage, couverture sur l’épaqje, valise à la main, partait pour Rouen el de là pour Bruxelles.

Il avait dissimulé, à sa fiancée, l’objet de ce voyage précipité, par crainte de quelque fâcheuse impression. Ce mot de syndic a quelque chose de si rébarbatif el, le rôle, de si brutal t On n ’est guère flatté d’avouer à une jeune fille, élevée dans le luxe, qu’on coudoie à la journée des banqueroutiers... autant dire des galériens. Dans un court billet adressé àM . Savalle, Granvalon expll- quait à sa façon ce brosque départ. Il pré­textait la nécessité de conférer avec son avocat de cassation belge sur une grosse affaire concernant la maison de laines Aubernon et G®, plaidée l’année précédente à Anvers, un procès sur lequel tônte l’Indus­trie d ’Elbeiif avait les yeux. Deux télégram­mes pressants, envoyés coup sur coup, lui donoaientd'urgence rendez vous à Bruxelles pour le lendemain matin, et il avait dù par­tir en hâte. Le devoir avant tout t

En règle maintenant, sûr que les deux familles, à l’heure du dîner, feraient senti­mentalement chorus pour le plaindre d’un si fâcheux contretemps, Granvalon, en garçon qui ne perd jamais de vue les côtés pratiques de l’existence, attaqua d'un vigoureux appé­tit le panier de provisions dont il s ’était muni au buffet avant de partir.

Quand il eut bien joué des mâchoires, ses idées se firent un peu plus claires et il en profita pour je te r un coup de sonde dans les difflcollés de sa tâche.

Evidemment, Il ne fallait p u revonfr les mains vMèii. I l l'ptt 4® tefiter ' l r p r M â e a i . S

c était bien facile à deviner. Raudin le banquier, passait pour l’inspirateur; d a Fanal d Elbeufy celte mauvaise petitefeuille de scandale, toujours prête à aboyer aux jambes de tout le monde, surtout des gens riches. Or, juste en ce moment, le président achevait ses six années de magistrature, au ' bout desquelles, d ’ordinaire, il y a le ruban rouge. Hais encore faut-il être bien avec la préfecture I Et dans la circonstance, ça n ’était pas chaud, disait-on. SI le malheur voulait que cet animal de Raudin choisit précisément l’instant pour faire campagne contre le président, cela suffirait à enlever à • rhooorable consulaire, en dépit de ses long» services, toute chance de décoration

Aussi le succès de Granvalon. envovô. exprès à Bruxelles et revenant avec dot tonds pour les créanciers, serait un coup d éclat inappréciable, une sorte de traite tirée sur la reconnaissance du banquier

- - Eh bien, alors, je ferai ce qu’il faudra, se dit Granvalon avec une énerrique résolnl tion de tout tenter pour réussir.

Mais, à bien réfléchir, cela n’allait pas tout Seul.

Le Bourdais n 'était certes pas le premier venu ! Dans le quartier qu’il avait habité, onle dépeignaitcomme un acharné au travail.Levé dés cinq heures, hiver comme été, ne ronnaissanl ni dimanche ni fêtes, ne se dé* rangeant jamais, d ’une économie sèvA-^^>- eùt été très bien vu, n’étail taciturne et ombraj - * 's’ètre crueiiepieiiÂai

4ije|wnOTisqL «I « d D r i l . ;

Page 2: BülLETIPÏbmsenlis.com/data/pdf/js/1898/bms_js_1898_03_13_MRC.pdftotal daa tHtM à laiM eo Barops. La Oraada- Bre-tagae, pm d’élaVage^ par uoeOèSflb da la gant 'Û'ü tria fi^ader

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Soeiété MrsiBt® dani » dôU bérÿon I N ou» ten o M àn » t^w > » j« J® 'J^^^ '« n r i V L â VILLEnriM en^l89i!^eiiiande,lniU m m «nlà V .l® .l J J * ÿ ^ n .ii« tt in é iB e d e g r tq u % < jp « » ^ < n I a# mQOde I J ^ iM^tec-N o u s B'O». — Mo m » l.

h o nonb lw mbcHo ïb m . ■• « ■

W IM ClOW ^ »»«U boDh«or p^loogô.

PMsiiDiflniTion. - Hier w ir. au Café du mawi KléMan a denné une IntireManie

. , , a « i t » « « » •> « « « » ■ > « • Icirculaüon à pied sur lea roule».

U Secrétaire, Fautuat.

Pour copie contonne : U Préetdent,

U o u Ma rtin .

« W . . . t o . t t m y g r . , " , i « « t e » . a . } • - « to »UOM qie w 1 i » S dit 1 d . Monl«rt.lB iUront uo çpn«njerDour qoB, daDB Mi d»nil«n iot» . U WSialrM I» “ 1? d o '• " “ P'JS£?C‘'Ï I S ,

irïriüÂr» t»l6Bl d'eMamôWur: don» ^ li S r a i i d i o B » , to it qa’il imite dos tjpoo ottï i MMoniSSili» diforeo», oo «ncore d » monôlôgaiotM «n-rinom, ii (ait pwuTo d u o |

1 * m a r i a g ed e M . © e o p g e a C h a lm io .

1 lieu, i PWi», d œidi.

moloi lea éludai da lal “ "jtduW’f t î î J J L t t e i Uoua Qu’una aalion plus donoe loi psrtui^all | I blaotél de reprendra P'îee.Pe™ '” ! ? ; ^

acM preupu.fait lijnor M é p ié » i j ip ji,n ren ii

a . , S — h.

ilacement de M. Tracap égal^ [onn^re.

1 quand on___________________________• *'----------------1 M a r d i dernier a ou lieu, a pan», a re.u., ° T ^ S é M r é de^ionulampaHa m «l„ii«jae

mdut, U noue (ara (aire conuamance ayec I r e i ig ie ^ e H . b » ^ |. I d ép lo r lo n a i^ m o n itf^ l^ . « f f lamThédlredeeLUiipuUeoa. ?„% Edèle**U 8’ t dieinl douoemeni,

1 Clerinonl. aToc M*** Tabart. , , lyiu I noi l’ôm connu le eouvwiir d’un esprit aimable,c Nom rauDelon» d I Le» témoin» ôtaient, pow .Jf ô*® |* 1 Jun cœur ouvert au bien, d’nne sctonce au »er-

TudATRina S»»îf?; à Franck Chauveau, Tlc^Pÿ»!?^} de lou».

ralement pa» la peine de lire.

î î p!S»“ & t . . t u o m u r e M f ^ d . “ JP'fS? " * ™wuAni»ni un milUer der e a M a A ^ J p r " rlSS t '

% s ? n ï“e r te “p.'^’dS l

u Crém» Sinw» n’eat paa “

r « T Wpar toute» no» élégante» mondaine».

*^MeeUenî^Mi*d»difflcniléaP«nraceep- I u r M r i “ pa% t 'diV«)n appn-riÜoD.

B B T Z

Learand, negoeiau. . . . . . . . | S S r r e " d T a r .S " o ? m d ë « e » n 4 lL * “ ‘'^'laSilo, avoué près do la cour | archéologique de Senh», undender adieux

I Nous ioup~..w.w— ------de l’homme qui nous o»t enlevé

ujuriséonsulle wneultén’h^^ |-éaence du marché f e r m quil recennaii, ^ “^ 11 - i i>«niniiAdA ft'oxécuter 6t UOîüî ieUeron» souvent ce» belle» gnU}^ 1 f t S u ê r Trex^^^^imftnuinou»est enlevé et aoquM,nvw i payer.

, son beau-frôro.GaiU

> i s ^ ; r . ! .Æ : u « e Æ ; a v »

SremteîTnr*u“ .■«1 1 S ï - m é f e l T p in S b l e a u , anciên | m alt

TrHiuÉwl d e nlmpln p olio» du o n n ton do Bote-

AodienM du « m uri /S9».

: t . r u V n M Ï Ü e r a d d p r U d ^ . b 1

l L « r S V f p » ^ P S - ‘ « ' : ! i ’. * " : : r i r „ ^ ; r l b « r a u e r àA .-,

f e r p , r » 4 f S

ai. J i “ w S S S E f 1^ ? I

CHdH 1U.TH Danmeti-CnnsUIndld-dd dU teui de

Chanliilj, Tient de ddclarer, i Vaii de nw cenlriree, au» lea galeriea et 1» bibiieUitiiue du ciUleiu du duc d’A n n ie ne penrtpnt eir» OTTortee au pnblle le tb uTnl.

c Lea truTanx préparatoire» dont Je auli

i ’irtent de proï ■ O d in W n dt fpjaiUetdPOliir

cbareé, a-t-il dit, ne «ont pa» encore a ^ uTaocé» pour que VouToriure de» galeriespniisa àToir lieu à cette daie. ■

< D'ailieur». c’est à l'IiuUlnt s ^ qp il

i.vpiMieur» indl fr»,! perlé de» eon KSSouâéJutleoasi ^ rtb lT o re j-

appartient do décider k quelle d«t» « y a n » lleu^d’ouTrir au public le» galeries e t la- -- - -»— ^'.CqilO'

Ün rencbrbiiothéque du chateaur-.CdWe-dteiilon, selon toutes PtobabiUb^jJjto'^ * la

"^ A u ttrare de*la ',arrêtera sans dente le» l e n ^ " IS iiiÿ^Sîîî concernant le cbàteau de (dieiiMily, t» n ^ (ormé en musée, depar tagénéréuse rolonté du prince. >

Le sentiment de H; Dadmet est que les

U R . . P . A ^im ^ f S S S l i

saierios et la bibliothèque du chéteau seront buTortes au public dans les premiers Jours du mois de mai;'peut-être le ’ , q ÿ »«n.

J i ü — ttü ïS sw V ^ ,L Jornift* o» wn»» <

: S & £ !prépm

|^ | |D l a M a ? é iI^'fseonrSlr.V«.TBLtnT»l>él

comme oo s»it, FanDiventiré de là iitort.deH. le due ds'Amnale. C R É P Y -

tuiÿVmt ccndwiné à 1 (T. d’ameuda pour pisasga

qu'il non» offrira une » premier chef.

>:oû i rS u c e T e T p lM d’un wm peutnSmbra « “ rim litJilre loSa, al l 'é je^» « d '

I savoir, la vanété de ses connaissances^ ^ jHfo |

E T «T C lW lt DE 8 E H L I8du6au l*m a»»(8> 8-

Woisiances.

I; IPoterne.

Aumi;, manouvrier à Antilly.^eal i fr. d'amende pour dommage à la

s d’autrui.

Ainsi que nous l’àTon» déjà ^uneoeé dans l’UD de nos derniers numèrM, ie Gonteil municipal de Chanlllly, dan» sa séance du

•• ^ r , a adoplô le.proiet présenté parC T w ----------

La a li

_____ _ îtieL p e u r l* « f r a c t i o n ,I dans l e cimetière dé (Ubanti

Bell. - Gamotel (Albert), marchand à ^ U , itSidam nôà l lr . & n d e pour défaut de

guides.

^bantilly, d’un meon^ment sur lequel seront inscrits les noms des soldats nés dans cette ville et morte an ser> Vlc«"de;U France. , «

Ce projet, qui va être mis & exécution, x mprend la construction d’un piédestal en

ABeatfenr.géj Jl 0. Villavrèd

^ymnuil de SeiiliCher

^ a pro- I .« ¥ -CTand ICélesün-Marie), me de Meanx.net, 00 ,“""“°J..'r„ëV”TWsart et Scoté, I fo“ë & ’da”^ ” diü>WuM au raisiienl une Tén- ; ^ „ a j,emne-Eugônlo), impasse du Tcur-

' “ ” ’ * u T b - » - -

Lu Société de i’elimenution rolionnelle du bétuii organise son deuijéme congrès pour ie samedi t* et le lUudiié mara, au

* ' * K Æ “ q n e . ' : i . à l’ordre du jour qui 1 E n géJ r ie " n i is r M r â r ïï - . Lëmoine,-de BôronttraUé08,U(autcller:LfltementqtM)n | chauove; M. etM “*Gode-Monimou», par M. Cagny, Télénnairo à | g . . Simon, Ee •’am . ét i g

grand nombre d’autres parents et ami» de»

i X r m r ~ . V 1 n . " d è ï S t 7 i à r

S i .T é in * a rd “ . Z j S d " “ k I s K® 7 - - ‘'% P U iL de Pontarm è; Vatm eMmu niinuis. de Poniariuo, Ta»i« l tere générai, &e» o«'u~. An, Sflnüs • M“* veuve 1 dans la mémoire de ceux q iül ont approcn». wEugène O d A : .? u .1 M.’. Lemoino, de I u n'éliit pas soulqmont on protesseur . U était

D/cis.1 M. Géiin (lulas-François), ancien prolassanr,

69 ans, rue de la îreme. .8 H” Uéioin(JuUe-KU8a),épouBedall.LelèTra,ne ans rue de la Balle. .

8. M. Nantol» (Jules), jockey, 33 ans, me duPjjJ* ------------- tinvian

est condamnévoilure. . , ,

Etaoianv. — Basln (Jules), marchand à Eta-n u ow» i>ac. . panbourg-’sauii'Bttiuu. , dû.no I vteny, est condamné à 2 fr. d’amende pour

■ j a = Ê S j « » Æ ■ -

■ ____ pi„„. fidrianna), temma De- 1 comprend la construction o un piaunui eu^ ^ ï’^ îd êlo t (Améliw, (amma Thierry, da I pierre martirière d’EOTiile, surmonté de la

S Jmtneen (ente du Val d’Oane, d’une hau-t a S T d i ï ï « a i i , éTaluéasB D. t e ^ ^ _______M m B’ètra donné réolproqueinanl des coupa. -— —

Cuoanwon - Clairet (André), do Cuvorgnon, I jg tl d a Bnifotneurs a( Joektyt.est condamné k 3 tr.d’imando pour iTrassa. I sj,„,g|jj dernier, 6 mars, nous UTOns eu le

Ucorna(Ai«rad),aUltiTatourk CuTorgnon, piaiMr d’assister au brillant bal organisémdanmé à 1 D. d’amenda pour abandon do I P colonie anglaise, A Chanuily.

• Sur les mors, de»

A la snlte deI firad an s len a tiI £( refois, niant l l t f . Roametin | i ^ é poor voi

siqua, p S S r à m é K ^ n « g a ^ ^leur savant et colonste plein de goût, U a lait

le périrait plusieurs œuvres qui, » jl j (1 l’eassent mi» au premier plan, mai» U seS o c i é t é d ’A g r t c i ü t u p o

D l l ' a r r o n d i s s a n t DR SBNLJS

Séance épéciâlëdvi 8 mars.-M Mu'ptt è p rendra contre la flévré

aphteuse.M te PrÔBldént annonce à la Société qu’il

Va c J iîiv Jq u to ^ la demande de M. le Sous- Préfet de Sentis, e t il donne lecture de la

’* 'S » * lè t tre w n s S que la

**£e d^'ülô à ia sacristie a duré près de trois

’ " S “co“ «é‘ * » = " » ^Hôtel où a eu lieu un lunch.

NOUS profitons, de « l i e occasionreïouTOier aun nouToaun m ariés tous nos m eilleurs T œ u n de bonheur.

UDUsk go aruiaasa». -- -voulu, l’eussent mis au premier plan , rAfiisa tottiours à exposer et il mit autant de per-

, s t t c ^ r J S e r ignoré que d’autre, mefteni' d’acharnement à se faire connaute. ----- • .

Et cependant tous ses élèves savent *t Qu^étalt diffloUe d’alUer plus de goût à une > armndA clarté dans ses leçons, et eaux

n D a S ( Œ - r a - ^ w ) . c h a n t e q r a m b u - ” ^ r K s . rneduFaubourg-St-Martm. |

Pttéiicationi de M ariaga.(Néant).

Vttrsagw.

■ .««nu ((ÿnls). d é b ta t »c o S u r » T S . ' f S d o pour abandon da voiture. ' ,

Rfmviüê. — MaUce (François), manouyrier a Rouviile, est condamne en 2 fr. d’amende pour coupe de bols sur autrui.

l , e s o b s è q u e s d e M . G é r f n .uei wi oi M v— , . j©udi matin ont eu lieu le» obsèques de

fi AtA constatée aux abattoirs de la ville ûo i . „ Gôrin.ren’ii ly « liftii de orendre des mesures | ^ a«i narü à dix heures de la

12. H. Rulscbmann(ffippolyte), employé do 00^meree, demeurant à SeM8,et B_., Bouian- |

couturière, de-

parli - .U fête était superbe. .

panneaux de treillage sur lesquels conrent, comme painrelles, des^guirlandes d^ ver- doré et de Oeurs. Dans le fond. de Uk s a lle ,, deux statuettes sur socles entourées de plantes verte» du plus merveilleux effet.

Tous les lustres e t appliques, dont les flots de lumière au sont activés par lebecAuer. . . . .

Dès neuf heures e t demie, danseuses et danseurs arrivent en fouie, an-nom bre de-n

I léeUmer cette réj I H. Casiellant i I limia» H H . Nér I nos sommes ren liièmarB, àCrép I cesmessleurs I Ifliell. Casiellant l u ' i la condition

en secon■l'iso lerait- qui i - -’ -U a ii

450 personnes. . . . . .A minuit, le coup doeil était féeriquel.

Crépy ; qu’il y a ueu ue piwuuAo uayc. décUives pour en arrêter la propagation ,

. . y nnirfl san ita ire , failq arM H oiw lam T T ètérinaira .sV fu ioonnaitre qu’elle prend son origine au mar­ché dé la villette, et qu’à son avis le moyend’arrêter cette propagationen tout temps

m o 'is o S fu a f r a , '’™ do i« Treille, pom se diriger vers la cathédrale. Les coins dD.^f®P é S e n t tenus par : MM. Dupui.s, prôî»tdenldu Comité archéologique : Budm. président

raient fait avec d’autres

*^^h*en littérature, soit en dessin, soit dans les co S l d Œ et de grec, on wtiralt toujonrs de

% f o S S Ï Ï i S W “.ussl P ÿte : .™slà encore ses œuvres charmantes sont demeuiws peu connues, et ce n’était qu’en ie forçant qu’on pur sanjMuvaU en obtenir la production de auefques Cbapard r?—......V •''iiinurs d’un sentiment âwièvé el I Poreetmorceaux toujours d’un sentiment acm

I d’une forme impeccable. . . . . . . . . .De son séjour à Rome, la patne des arts,

la circu lation pédestre des ! . p au tra t, p résident d e la société d e | A,ai| revenu plus artiste et plus poète qu’anpara-a n i m a ü x provenant d u g rand m arché. . 1 o j-snj_prançoU-X avier ; l’abbé V atlier, a u - | Amant de la G r ^ et de B®®®

» - rr...Hi»A nnrés avoir en tendu la lecture | iao-4itimAsdBSainl-J08eph d e Com- | forme antioue qu André Chômer nous a rwiiiuéeu s o c fé lè ; après avofr entend^ da cette lettre et en avoir délibéré .

Considérant que le marché de la ViBeB® reçoit des animaux de toutes les régions de la France ; qu’il» sont tous débarqué» sur le Sèm e quai et suivent le même chemin pow se rendre à leurs places sur le m arché, qu il suffit qu’un seul animal soit atteint de la fièvre aphteuse pour contaminer tous les antres : que le» fatigues et la flôyre résultant du voyage les rend plus susceptibles encorede contracter la maladie;

C onsidérant que cette maladie a une pé- • n.i'ii nsi iiiiii(^!isihle au service

1 aUvteia-.^s.. -------- -

S î è S T t l a â m f f i ï d S â S n pro(os-

“ i ;* d f „ i f ‘“ nduii par ie . membra.

r n . ' Æ i e r . î r d a S T o u ' î s " ; * ^ ^ ^

sonnalilès do I V u T r i a Squelles nous avons iet Odenl. adjoints au maire de Senlis, J.-B .T urquel, conseiller d ’orrond issem anL V atin ,i u i4uo‘, c«j«io-llnii¥n. (tUlbOUrU. MOl-Considérant que ceue maïauio u uuo j/v- . . ^^ix. Sainte-Beuve, Guibourg, Moi-

riode latente; qu’il est impossible au service | J ? gjreQard, llallédent père et fils, Baran- sanilaire de la Villelie de la cons»ater pen- | » Dhuicque, agent d assurances,d a n t l e p e u de temps que les animaux passeol 1 ancien percepteur,

‘ “ ’c i a '^ n V q n e le marché de. Paris ap- .? ,rfo“u n r C e l a f ^

Jacob, Sommaire, Venier, Bonamy.autour de Paris et que des animaux en pro­venant sont envoyés jusqu à Lille ;

C onsidérant que cette concentration d un erand nombre d’animaux su r uo seul mar- ' ché en tre tlè n l d'une manière à peu près per­manente la contagion do la fièvre aphteuse, n u e leur dispersion ensmto dans tous le» villages conlàmine toutes les routes qui con­duisent aux abaltoiiâ el chez le» bouchers

forme antique qu André -daus son trop court passage la-bas, H a Wt pour donner des modèles a scs élèves cl lestotéresser à ses classes, des poésies exquises qui leur ont laissé un souvenir fnetoçable.,

VirKüe était son poète favori et il 1 atoait tant à cause des Céoraiquw ; en effet M. Géi^, né a la camuagne, afRclionnait les champs et la vue des travaux rustiques. Son insplrahon toi^oum variée toujours fraîche et sympatluqua nuvalt rien de ces inspirations eitraordlnair^s que nous avons vues depuis aux poètes qui s intitulent eux- mêmes décadents. . . . . • ,

La voix nocturne des forêts qm selèNO per arnica siUntia lunœ, comme la dit Virgile,, les allées pleines d’ombres et de parfums dos grands, •] narcs les fleurs nouvelles écloses autour des­quelles bourdonnent les mouches d’or a travere . Tes royous d’un soleil matinal, l arrivée du gai ! printemps qui vient tout rajeunir de sa baguette manique, voilà ce qui l’inspirait, ce qm le pous­sait à prendre le langage des d eux pour exprimer des sensations que la prose loi paraissait Inoa-

E t a l o n s a p p r o u v é s dans i’arronditttm vai de Scttw

jsour l'année 4898. Palai»-iloî/aL n é e n 4880, 4 m. 60, bai,

par sang prime 800 fr., apparleaaûl à M.

au .886, i m . 61, b ü ,pur sang prime 800 fr., apparlenaot à M.

saug, apparleuaul A M. R- Hennessj A Seu-

' “ bolaan , né e n . 883, i m. 60, bal pur saug au miarquis Maison à Maysel.

Pair-tfead, ne en 4889, 4 m. 64, grw, p ar sang, appartenant au prince Mural à Cham-

a 'h ^ ü rn m â S ^ ii’Due ta leu r de i ToÙim’Îm ’danseusê» en loilettea de 'bal, . y ^ l S ^ r o u t t è T i S l r ê l u T M ^ ^ W 1 iouie. plu., loue» la . une» que le. a u tre .: a.

I tooi tariez ^ faii l à MB représentai In e li voas n ’avi Iv é ^ e n te proro I Un procèi-T6r laiMaces.I fféits y avons IbttréBiuTante:

aean-B apüste), manouvrier, sujet belge, par un m araudeur demeuré introuvable.

CUVERGNONDimanche dernier, le nomméX... (André),

demeurant à Ctivergnon, s'est disputé avec Aliard (Léon), manouvrier, demeurant au même lieu, et lui a porté ÿ s coups ayant causé des blessures. D où proces-verbal contre le brutal agresseur.

quel entrain I ^ nAvant de commencer la seconde parue, il

a été distribué à ton» les danséuses et dan«

Hessieunà(fr<

seurs des accessoires de cotillon offerts par ’. . . . . . . . -----M. Vallon, maire. et.M . Poiret, conseil municipal.

Un orchestre composé de musiciens de talent, habilement dirigés par H. Dabols,noos a donné de ta betie et bonne masiqDS.

Nous devons aussi adresser tous nos com­plimente à H. Georges Matlhews, le si s|at«

xIa la aniAnia onoItticA.

Ilessienrt Xoos tenons è v

|l.Hervé-(;barlés-< l i t 6. Vilisvrède. liM iersar le ton Ifistolet, quoique i I Ount à la trolsi

a lirait à tmealKina

C R E I L

Datbique secrétaire de la colonie anglaise,^ , 1 ._ la MM..

L 'H a rm o n ie m u n lo lp a le .bly. , . ,MM, . _ 7A ftiATan 1 Demain dimanche, à irols heures, sur la

. J r t t s ' S b C r e J r b a î o r d a ’ U ' h i l d \ '**

l ’organisateur de ce magnifique bal.Noos nous empressons de remercier les

membres de la colonie anglaise qui, noos I ayant invité à ce bal, nous ont procoré le

plaisir d ’admirer cette inoubllablé fête.Un Invité.

Etaient égalem enipre«juw. -i ^ fomaino tapUsée de vertes mousses, laLe oeinlre Maillard, de F ans, ami par- | pf^irio émaillée do pervenches et do primovèreé

soiinef do M. üério , et le D" Billon, vice- I vives couleurs, le nrèsTdotil de TAssocialion des anciens élèves en rose, les «b«nls «dançés du

iZ i-V in c e n i; MM. le chanoine Müller

doré„ trall 300 francs au baron (

^ ^riponl^nô en 4885,4 m. 59, alezan, sanssang anglais à M. Gibson à Chantilly.

Riqburdan II, né eq 4890, 4 m. 62, bat,sans sang, 800, à M. Gibson. j_ms i

B u fo rd , né en 4888, 4 m. 62, bai, dem^ sang , prime 800 fr., appartenant à M. Abel Bassigny à ia Chapelle-en-Serval.

Lenox, né en 4888, 4 m. 53, bai, d ^ i - sang, à M. Levergeois, à la Chapelle-en-Ser-

' “lieillu , nè e n i8 8 7 ,i m. 6 1 ,bai, par saug, à M. Tom Carier, à Chantilly.

En voici le programme :1. Le Bataillon de Fer. pas redoublé.2! Le Moulin du Kerl-CatanI, fantaisie.3. Comme dans un Jléw. mazmka.4. Lucie de Lamermoor. fantaisie.5. Le Bérot de Mazagran, marche avec tam*

bours et clairons.Le iVéeident, A. Varû.

Une chienne de chasse griffonne a été trouvée morte, dimanche, vers sept henr« du matin, en bordure de la piste des Aigles, à quatre cents métrés de la maison du garde, par un des garçons de l’entralneur Baroi auquel elle appartenait. La chienne avait reçu denx coups de fosil. L’autenr de cet acte de cruauté inutile, et qui tombe sotis l’application de la loi, mérite d’étre recher­ché et sévèrement puni.

_ jons, et cela llnrille s’est coi I cette affaire.I Voos voudrez < I àiister snr ce pç I sBnse personnell liilis disparaîtrait, I iliire, d’antant p I Mas avons accepi InntlssoDspersoD] I Tenilléx donc, liendei-vouB pour liât. Comme nous litodus à Crépy, I IftreàSeniis, aU

Beeevez, MessieSlONABD,

incfen offlei (o/mV

GÛUVIEUXLa période électorale est ouverte & Goo-

vieux pour l’élection municipale complé-

où iU s o n la b a llu s ; . , , ■ ,Considérant que p a r su ite de la ctrcum-

tionvail el des vaches,-----------, - . . .aux champs, la contagion est presque inévr table: que la fièvre uphleuse se manifesle aux pieds et à la bouche des animaux; que n ar suite de leur passage à pied, le sol de la route se trouve infecté par les pieds el par la bave qui tombe de leur bouche ;

(ao*’a°ln t ” ira)* RQuïier ( ie Cieip, Catin ( A ltu i lvillo); la H. K Robin, supérieur de bviu l-V inru l ; la plupart des Cl' prefe^

de l’iostitulion accompagnant une dô-

creusaiil sou dur sillon avaient le don d exclteV | sa vervo et de faire jaillir do son âme, eu accr harmonieux, autant de petits cbefs-d œuvre,

ilanibus date liUa ptenw. recommande Vir- |

E t r a n g e d i s p a r l t i o D eI l y a quelques jours, le 27 février der-

m. ^ i UM»r«lal amnlnvA AllOZ

fliiô" Jetez les fleurs ^ mains pleines. M. Gérto semait des fleurs de son esprit et de sa galtéluaiuoiuisa M'-.N. --- - . . . . I GAlirs IIU 1 luallkuviwia m..--.—r-*, . yog iicuta uu okm w....... — --- «

su r ces mômes roules des bœufs de lia- I ii ..îq^ i©urs élèves des classes supé- I iQur q© son existence, et 1 on sortait d unet des vaches, moulons, elc., se rendant eK®»®» . . euireiieh avec lui toujours ^us gai el plus Ins-

.. M,l nnm hra d ’ACr

nier, M.' Louis Margalet, employé chez M. Jules Geoffroy, représentant de la Sociém la France ouorière, dont une succursale existe rue des Boucheries, à C on^ i^ne , quittait son patron el se rendait à Creil et environs pour loucher diverses sommes dues

Le Chef, E. Liblond.Nous allons donc entendre cette Harmo­

nie. dont ia création intempestive a rompu l’harmonie qui existait depuis quarante el un ans entre les musiciens de la Fanfare.

Dans son numéro de dimanche dernier, le Journal de Sentie nous apprend que la tom­bola organisée en vue de Facquisiiion. d ma- trumenls de musique pour l Harmonie n’ayant produit que 3.656 francs au lieu des 4 OüO francs nécessaires, le Conseil munici­pal a voté 350 francs pour combler le dé-

*^*^P()urquoi n’avoir pas prélevé ces 360 fr.sur le boni de la fôle patronale, à laquelle i «léffêr' âu* Conseil municipal ciflq , llesmusiciaas d e rn a rm o m e OM y^ a a i io lérèu de l a c o * 'aracieux concours? — La vu e a neja laii uumm Ax^^

Ch«9t WitlàlÀgion d’ht

VèDdredi mi iFOUBoivante

1 vieux p o u r .............. - . , . • _m en ta ire d e c inq conseiller» municipaux, qui a u ra lieu le d im anche 20 m a rs pro-

*^*^Sur les différentes listes qu i clrculMl I dans la com m une, les candidate démission- I n a ire s son t com plètem ent écartés ; on peu

donc supposer d ores e t dé jà qu ’aucun d eux n e se ra réélu .

Les électeurs p a ra issen t décidés à en-

Messieui Koas n’avons

I lettre en doute V |iT u t de prendre

L i l n r u n grand nom bre d ’ecclésiastiques. Là mess” a ètè d iia par l'abbè V auier e l

. . . . . nrtr InhhA I.Atoiiier. OU— Il’absoute donnée par fa b b ô L ete llier, au­m ônier au Sacré-C œ ur de B eauvais, cousin

la fièvre aphteuse ues raesuios . so n t p rises contre les cu ltivateurs do la com m une où e lle a éc laté; qu 'ils ne peuventvw.uu.imu /Iq l’Ani'AinlALfUlUIUUw wu V..V “ ---- » *1 - , . . . . ,

.lus faire so rtir leu rs anim aux de i encein e d e la ferm e; qu’ils sont am si em pêchés de fa ire trava ille r leu rs bœufs, ce qui leur cause des perles ru ineuses au m om ent des sem ences e t des charro is de m oulons; q u ils n e peuvent p lus liv re r les an im aux vendusn i m êm e so rtir les fu m ie rs , • .» i j ’m lo insiu uu*ui. w v - . - v , . - - - — - - -.--t” --

Considérant que par une faveur qui n est I nrchêoloifique do Seulis. io suprême adieu a i un n as dans la loi, l'adm in istralion a toujours I dévoués, do nos plus savants cou-tolôrô le passage des an im aux nchfilés par | frères, les bouchers e t p rovenant de la Villetle,

u r c h œ ^ ^ ^ ^ été chan tés p a r les élôves d e l’Ecole des Frères.• Au cim etière, trois discours o n t été p ro - noncès : p a r M. Uupuis, au nom du Comilé archéologique, par M. ■'«sserro, o l p a r M. B udln, au nom des ancrons èlèTOS do sàin l-Y inconl :

Discours de U . D upuis. j'n i io triste devoir de dire, au nom du Comité\ . .1. Si. eiitsT*AmA niliaii n l'un

Quant aux qualités du cœur, il les possédait à

” °M ^cste*en ses rêves de fortune, il ^ s a ^ t obliKcr à l’occasion. Plus d’un a reçu de lui xoDaeii9-et-dee-leçon8-quUUonna|t sans çomi et dont il recevra la récompense là-haut.

11 avait la charité, la vraie, celle qui s e i e w sans bruit et sans ostentation : Il simple et solide du travailleur, bien que chez lui le travailleur fût doublé d’un homme d imagina­tion Il a gardé jusqu’à la lin la divine espérance.

Cotte espérance, j’en al la ferme conviction, ne fipra nas trompée. ,- Aussi c’est avec cotte consolante pensée que je vous dis adieu, ô maître tant regretté 1

* ï l p ® r u Ï Ï c le ir s in do 7 beu res 36 du I “ “ S l n “ n r è l e v V n r » o T l ' r 1m aliS è la garo do Compiègno. TWis jour» so u ^ a m d g . \ coronl lo u r m an d a t a ro c «élo e t inO gritê.passè ren t sans que l employé re v in t, n i n e [ q , ____ iab «taïukeesac imnrAvnAft dnclonnàt de ses nouvelles.

In a n ie l, à ju s to titre , M. Geoffroy se re n - " • ^ couran t, à Creil e t à Chantilly;

4 .009 francs su r les dépenses im prévues dn1 budget supplém entaire. . ,

• A vecquellesressonrcesl H arm onie paie ra- |

Urt Groupe d'éleeuurs.

8o"u8~prè7éxte de ne pas n u ire à la consom­m ation généra le ; qu il y a là u n e in ju sliw flag ran te ; que cette tolérance a pour résu l­t a t d e m ain ten ir la fièvre aphteuse , sans que les m esures p rises jusqu’ici a ie n t pu l e n -

^^^iJonsidérant que si les an im aux éta ien t tran sp o rté s de la gare aux abatto irs en voi­tu re , ils n ’au ra ien t plus contact avec le sol ■ s roules e t n ’y déposeraient p lus la con ta-

M iules Gérin comptait parmi les fondatenrs do notre Société. Il était au nombre dos omis du vieux pays senliaieu qm, le 29 novembre 1862, 50 rôiiuirciit pour en établir les bases, el, dès lo premier jour, il fut choisi çonuiio scçrélairo. C’était un juste hommage rendu à son;crud|tion cl à sa coinpétoncç artistique. Licencié és-leltres, rrofossour au Collège Saint-\ incent. il était tout naturelleraent désigné par sa coimaissanco de

Discoitrs de i l. B u d in .C’ost au nom do l’Association des anciens

élèves de Salnt-Vinceut que je viens dire à H. Jules Gôrin un adiou plein démoUon, de

" S I™ ? ? *ô o "S u e v iS é ra o S > v : qui nou. .vnit donné déjà notre fondateur. Il apportait à 1 œuvre de

1 compatriote, avec lo sentiment du éovom, les • 1 .1/. l’ADnrll Ia nltlR (lOXlblO Ot le

* "ca n s i( iè ran l que la consom m alion de la T l a n d e séra il ainsi assurée parleur e l qu elle_ - . . . - J_ MdlMi.MAA AAnHlIll

faisious souvent appel à ses connaissances si va­riées pour élucider un point obscur ou discuter une uuoslion d'estUétlquc.

Par uno élude opprufondic des langues an- ciomies. Il avait acquis une autorité quo nul ne in,.oriii'ii GnirisAnit d iiilorurétcr un

l'a rg e n t chez p lusieu rs clients. T rès surpris, le patron re n tra à Compiègne e t n e v it tou­jo u rs pas re v e n ir son m anda ta ire .

M. Geoffroy ne savait que penser de ce tte disparition lorsqu’il reçu t, m ercredi de rm e r, u n e lettre de M argalet, d an s laquelle ce lu i- ci lu i déclara it aVoir laissé le liv re de fiche» des clients chez M. V incent, aubergiste à Crépy-en Valois, puis, an bas de la m issive, l’employé faisait connaître son in ten tion d ’en fin ir avec U v ie. M. Geoffroy p a rtit dans ce tte localité c l trouva le liv re en question.

A près'l’avoir exam iné, le rep résen tan t de la F ran c e o w triè re constata que M argalet av a it visité ti uu te-qualre cliente e t avait tou­ché une som me d e 64 francs.

La feiuiuo do l ’employé, qu i dem eure rn e Jeanne-rt’Arc, n ’a plu» revu son m ari depuis le 27 b’v rier d e rm e r, celui-ci ne lui a pas éc rit et e lle ignore où il se trouve ac tuelle-

M argalet, qui a un bébé, v il d an s la

. l l r l r c mceaux de m usique ?

A -t-elle des m em bres h o n o ra ire s? ...Un Contribuable.

I de mare.

D im anche 6 m ars , la. Section des sapeurs- pom piers des Forge» de Creil a re p ris pour fa prem iè re fois de l’an n é e ses exercices de pompes.

le se ra il dans de m eilleures cond ilion ., I connsulu lorsiiu'll s'agissnil « '"derprôtor im p u isqu’e n é T ile ra il do nouT elle. (aligues au» | i „ ,o , de ^ ■an im aux destiné» à l’aba tto ir ;

Considérant que tous les bouchers on t deschevaux pour leu r com m erce; que les voi­tu re s à tran sp o rte r non seulem ent les m ou­tons e t les porcs, m ais m ôm e les bœ ufs, sont d ’ù n usage couran t; que lo tran sp o rt par T oiture spéciale n ’augm enterait le prix d unbôéôf’ d e ‘ 500 k i lo g . 'p a r ex e m p le 'à peine d ’une som me de 6 fraucs, soit I "A ’UUw owmeuw wv ». - — - i - .

Que les cultivateurs don t les anim aux sont séquestrés subissent des pertes au trem en t considérables; ,

Que la loi est form elle pour tous, e t qu en T en u de celte loi l ’adm inistration peu t in ­te rd ire toute sortie des anim aux de la VU- le tte ou toute en tré e su r le te rr ito ire du départem ent des anim aux en p rovenant dés 'in il y a infection ou seu lem ent contam ina-

K joulTr qu”™ litléroluro, c'dliU ,m ctesiquc Aussi reiroMvnll-oti dons son stylo 1 mlluoncc do la vicillo litléraluro grcwjuo, do ços autours la­tins dout il avait fait uoo si complète étude.

Mais il uo gardait pas pour lui souUcs trésors do la science acquise ; d était houroux de la commuDiquer aux autres, ot, dès sa jeunMso, il se consacra à l’onsoigucmont. Quand lo Collège où il avait professé avec succès changea do di­rection, Il resta à Sonlis et s y fixa d u n e façon dôllnitlvo, continuant, on leçons particulières, l’ousciguemont qu'il aimait à donner. bipuièi. 6 . lui

W . è K n to . p a r i . » da « ..«« Ir «t par I»facilité do son talent, U ressemblait à un hum» uiste do la Ronaissancc. Il restait, “ éaninom s^o son temps. Il possédait a fond les grands ocrl-

, vains de notre langue, ot n ignorait pas ceux de I l’Europe moderne. L'Italio, pendant un long sé­

jour qu'il eut l’occasion d y faire, lui ouvrit ses trésors. Il y enrichit à loisir les goûts et les apti­tudes exquises do l’arlisto qui était ®° 9“ ®révélaient la llnosse et la grâce de son crayon.

Cette haute culture dotait son d’une vertu particulière. Ses élèves recevaient de lui des impressions précieuses et durable^ Il les réduisait au mécontentement d eux-mêmes et au progrès constant. Il leur inspirait l amour du

m alheur ne so it su rvenu à son m ari, d ’au ta n t plus que ce d e rn ie r, s’ô tan t Irouvô plusieurs lAiM Rfina oiiv laire. avaifm anifostô l’in ten lion

U ne su rp rise a tten d a it H . R olchelin , leu r l len lenan t, c a r la Compagnie lui o ffrait u n e m édaille d ’a rg en t d e 4 " classe décernée p ar le goùvernem ent le 24 décem bre d e rn ie r pour acte» d e dévouem ent. La m édaille , renferm ée dan» un jo li cad re en velours, figurait a n m ilien d e l’inscrip tion su ivan te, im prim ée en lettres dorées su r le velqnr» : c S o uven ir a ffectueux de la C om pagnie des Sabeurs-J 'om piers des Forges de C r m d M. Michel R eichelin , son licuIcnonL »

La m éda ille fut présentée p ar le se rg en t i A lligne, en m êm e tem ps qu ’un superbe bou-

- - “ iporal Thieblem ont. Le fou rrierlie an nom des pom piers.

p o u r le m ois à B œ n f: 4»» c a té g o r ie . . . .

2 * c a t é g o r i e . . . . .— 3* c a t^ o r i e ..........

V eau ; 4 " c a té g o r ie . . . .— 2* ca tégorie........... _ 3* ca tégorie..........

M o u to n :4 " c a té g o r ie . . . . ^ 2* ca tégorie..........— 3* ca tégorie..........

4 L 50 4

liMunaoiquer vo Nous recevons

_ ■. CasteUsnt IWcondiUons é liBéiDarB, et no I Wons émises I IMS retire nette

Sseonséqaenc iRonle pour noi Ivoas prions de < |lNiDiné«.

Agr^z, Messie 's distingnés

‘ropriltai '4 Us Ript

n*^18.Vons voyez,

l iM efforts e t ■ l ’iVODS pu obl l l u ie .I O’sillenrs, H I ta d a e l une IbiKUroas. I l : In n n e . b

E ta t c iv il d u m ais de février .Naissances. - 5 « w is r : H em o, M‘| J ^

rite Alphooiins. — 6 : Bfuiet, R * n é-L o ^

_ j . Non» n InetioDs, quel I |h6 ; mais noI (u les mômes In e l. '

îi” Tfim rk. Ôoroinioe-HenmlUi. — J9 : Mi»^* ' L v  ^ « -A « g u » te . - 22 : Bshat, Mndslii»a-

. 26 ; Gnyon, Oermilne. iD Jcii. - 7 févrie* : Tauon, Grégoire-FloeW

ï fini 1/2. — 13 : Joly, Robert-Plortat, 6 ^ '

q u et p a r i a p ris la parole

Rsuion de ni SlORARD.

fois sans ouv rage, avaiftaanifoslôde m ettre u n term e à son existence. Que fan l-il co n c lu re? M argalet s’es l-il enfu i à l ’é tra n g er ; s’ost-il tué ou a - t- i l é té victim e d’u n guet-apens ? O n n e sa it à qnelle »uppo-

^'^VoicUe'^signaleraent du d isp a ru : âgé d e I « Ja ire ©t cfnq h eu res , e t e n tre M. Dm 28 ans , ta ille , t m . 74, cheveux c h ^ a ln s , I y „ ad jo in t, e t M. le Comm issaire de polj'^^ m oustache blonde, te in t coloré, cicatrices à I ^e» version» qu i on couren t sou t si dlffé-- - • . . ____k. ...... aI« A0Aln 1 . . -----A — A nAAAKnl*

• A la d e rn iè re heu re , nous sommes inform é p ar un co rrespondant qu ’il n ’est b ru it en r i l le que d ’une 'scène ex trêm em ent violente 'itti 80 se ra it passée a u cim etière d 'ab o rd ,ians le cabinet d u m aire , ensu ite , en tre ‘ ». -----

% m m l r e vuie Bisloriquo ôo Senlis, dont les1 „ ,o ;Z e n r e t l ë s o n ; ï « ^ ^ ^

lu joue gnuche e t su r le ç û ir cheTelu.A son tiépurt do Compiègne. M argalet jm r-

tn it un chapeau mou no tr. I j / ' î ) 'Chemise b lahche à col d ro it, d un pan ta lon b leu m arin , pèle rine caoutchouc, g ü e t n o ir , bottines élastiques.

ren tes, que nous rem ettons à n o tre prochain num éro de p lus am ples détails.

IbbI, qu’il y a Wme pour u i w dans la vii 4b les atleindi GeetioDs, sot

Tï fini 1/2 — 13 ; Joly, Robert-t^ior®»*, » H *“J®® ®®*'— 19 : MingoDt, A®g«"tioe, f«Çg ■ ^ jef lo reglA cUrd. 81 DU. 1/2. - 25 : Joly, 4liDD» l a o l A -2 6 :M u U o t , A dslbert-W jg p ff ii , 82 »nt. — 27 5 WalBl.RfiphisU 35 an .. - 28 : L.plaoo,Oetave, 28 «w . . '

Kar.-og««- - 6 » ™ « ' ’ mÎ » pPfittl, Diaiiouvrier, «t Doddud, Alphonsln*-**'^oouturière, domicilié* à OottfieM.

-domieUié à Gouvim», «t LyoR. Jallelt*-»»?»^^ mie. domeitique, dooiicibée * L*m(ylye;

(. 19 : Logeroi. G*briel-P«nl, m a r i â t1 ThM*e-AdolphiM, Ma* prcrfeedé^ d o m w »

* *19 :"w èber, OUri«tophe, chwr«aer, étenie-MiximilienDe, eomariàr»,

AHH . S

Ché: Vous Toijj

A uiourd’bni sam edi, à h n it heu res du so ir,-A m i_ . .1.» A 0r.k\«iftaA»lAT1PM TlAlo orofesseur Elégéan, des A m bassadeurs de

Dnria finnnArfl. sallo Cocliln, 34, Tuo de la

i i s s s î ^ sirnOliior sou jiigoincnl. Là aussi, fidèle aux

a;o ù » si dnh» ce» couditlons e lle au torise lo^ rIIa .«cA Ua tr\IArnnfîA

m a u re » nréso rT u lri»» qu ’e lle a édiclèes ;C onsidérant que

t a i s o rodn it plu» d an im aux , dos porcs en B arlicu lier, q u ’il n ’en consom m e, e t q u e son l ^ r ô i a l m o indre d u n i lu question ,

d’aflluor sou j i i g o i n c n l . -, .vieltlos traditions, M. Gérlu était un classique. Mais il no so cniitoiinait pas dans un cadio rcs- irclol et il aimait les arts dans leurs multiples manifoslntions. ,,,

Avoo une science si complète, un goût aussi sûr ot raisonné, H. Gérlu apportait a nos réu-

........................ ' l a l . Qu’Il I

I Z t r v o . Son InOucnoo .Wonhtonto so p ro lo n ^ r. ™r in nonsdo üt par l'iction cio ont d hommosm r in ponsdo üt par l'action oo tant unc^mmo» l,n'll n cintrlbqè è tM W W L Ç L ™ '',? * 'Æ : ;Son, lo respect, la reconnaissance. Il y en a par­tent mémo 6 l’Acadèmio (rançaise.

ono M. Jules Gôrin reçoive ici, de tous »«» anciens ôlèves, l'hoinra;go qni Im

leunesse, cetmônV uTïntérêt tonVspéolai:Qu’il se soit atti do POfdOD*',P®f discuter tes mérites d'une œuvre nouvotK d'une | cet artiste, ce maître éminent n^ ^ j , verrlèré ou une des productions de l orfèvrerie moderne, ou au conlralro qu’il fût question d ap-

-...iiiA. AuiiiAtiniiAft nnanonB rencon-préoior lés quiiitôs estlièUquos que nous rencon- îro n sd lm sT M l aucl»n, il »»T«il M klyw r 1m '

ami et ce brooiKitcnr du beau ot du bien, ca vrai

S e r m e n t ,Jo d6c1.ro »t j'.ram m , avec aincéritè, Q nolam .il la Conjo n'a tra h it aap6r.nca_Sa coiïoVqni l'emploient au loin do lonr boanté. Oo célôbro lavon a it ie moiiionr do Franco.

£ loir« Smpcrlo, m p a r/U m tu r V aitiitr,

L A C H A P E LLE -E N -S E R V kLLe nom m é X ... (Louis-A ngusto), demen-

■■ iio-en-SnrT ui, n otèr n i t à - U C hupolloon-SnrT ui, n « ‘ “ 'T,'''* « n augPiiD t dS lR ik c ltuM », i 1»W « E U E

P aris , d o n n e r a , ------------------------ ,,R épublique, une séance de preslidigitalion e t de transform ations, sulvio d au d ilio n s m usicales. . ,

Demain d im anche, m êm e séance au Café d e la Ville, à la m ôm e heure.

Nous conseillons fortem ent aiix Crelllois de profiler de ce lle occasion qui ten r procu­re ra uno agréable so irée ; ca r M. Elëgéam

1 es t u n a r tis te deI so n lan ssiv arlé esq u o ré c ré a tiv e» .p a illeu rs , !“ 1 ils au ro n t p robablem ent u n e Jolie » u r-

prU e.

M4tente-I

Dewïoîx, Emite-Honry, 1à Creil, et Chempego*, Louiee-Jnlleniie, \n ière , domiciliée à Gonvleo». nm^wclz'l

PuèKcolion* de Mariages. - K S i jBmile-Henry, e t Chempegoe, Loulee-J®““ ^ |

" '*E nuï'L ogerot, 0*brlel-Pftul, e t BergBj ràie-Ado'phine, eoi-nommft*. AaiMiI’

Entre LMOard, J-*»"’ , 1- 1 lié i OonriMn, M ( - « '“ d. ''fH don, doinlMU». i Ohampignj (Yonna).

m o n t a t a i r e

u sen m ii» dn m iêre , M.(«UT d'ucudèiiMe, ucc(im||.gnè.do M.Inspoctour prim aire , o t do « . j F » " ' r o i w ï , m aire , t reml». on p i ^ g tU T a , E * . à U n , im ttW W M , 1»

^ réméré l^aes que ' ^ n l r d e t*4Uil du©,

/ b VOUB-d ■h en rapp wtninent a ' Dioins, on

•éUil,c Sî.ens obll

Brait m ■Jem’a ^ l

,®4fl ; TooB “ hncs qui

les hon Cordial

Page 3: BülLETIPÏbmsenlis.com/data/pdf/js/1898/bms_js_1898_03_13_MRC.pdftotal daa tHtM à laiM eo Barops. La Oraada- Bre-tagae, pm d’élaVage^ par uoeOèSflb da la gant 'Û'ü tria fi^ader

JO Ü B N A t D E 8 H P S

Aux vigrnobles Réunisl« , RM du ChÉM — tM L WI i ’ir»n t d« preoièM »l»w . P "

r i M HiDiMr* <l» riutracUnn pnbliqu le

TH IV CRH tTlruieon lodlTldiu demennat d Creil

dee eo im et W l de» ble»»iire»»tt t S m é Jaiioeu Solireider, 80

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I u u , TWber

U n r e m è d e e f f i c a c e .

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é>«4lfte4UbMMto(«*r« iàébm 4» I9UNV, rcM-

C « trongMt*

aSMWHs n— IM» w »9»i* III*»

r S î u o ïd l iiIm i f id r * d i n u a l t c * I w r o a

Si awi ^iM o n : 8 i r . M « firotico p o rt êt tmbaUagê,

S. TBLOTf» D é p o ^ t^ i L v IdlM (Swm).

c b é p y - ^ - v a l o i s

La alaup Caatallant.Senlis, la 41 m art 4898»

Faits divara.Du» U n ^ t d« raoraredi k Jeadi. de* manu-

deon se sont lotrodoils d m let bâtiments de rtûèjeniie Uitertei tetaeUemebt ooenpés par j^n» sieurs tooetelres. *

Ils ont b it mün-basse sur des Upias, des tè< des oicnons, etc.

L u Ttotimes de oês toU sont MM. CoortU et Moatonnel.

. MU BiéBte nolt» le sieur Gadot, débitant à

La toomelle, a aura été victime d’on vol de lapins. *

Les vislteors noctnràas ont négligé de laissor leur adresse. La police a onvert une enquête.

BCTHiSY-SAINT-PIERREUn grave accident est arrivé mercredi

dernier A rusine de M. Lefèvre-Leqnanx. H . L ^ o s (Brnest), ouvrier scienr, a eu les trois doigts de la main droite coopte.

8AIN TIN E8IM flouvelles allum ettft.

Le problème difflcile de la suppression du phospnore b i ^ c . dans la fabrication des allumettes est enfln résolu, e t ainsi vont disparaître les causes de la nécrose époii> vantable qui martyrise e t empoisonne le. personnel ues manufactures d'allumettes. Il y a longtemps que des ingénieurs, des som­mités médicales étudiaient les moyens de combattre les désastreux effets de la nécrose, s’appliquant A remplacer le phosphore blanc,

• . . , ^ cause du mal, par une autre substance inof-M e a e to .H ^ d â s i lè e q s o td 8 to r U J v -tenstvet-^Ofr ce m erveilleux' résultat vient « V8iu.-Arf., M i<h«r <iti obtonu, A la suite de longues e t labo­

rieuses recherches, par U. Sivène, ex.direc- teur de la mantuacture d’allumettes de Tré- lazé, actuellement inspecteur des manufac­tures de l’Etat.

C’est l'établissement de Trélazé qui a été choisi comme champ d'expérimenlatien, et voici l’allumette diteTnompAe, qui semblait avoir réalisé tous les desiderata, remplacée par un autre genre de beaucoup plus sensible d'abord et sans aucun danger pour les pré­parateurs au point de vue de la santé, puis­que avec la nouvelle allumette estsnpprimée toute manipulation de sels de plomb. Avec ce système disparaît tout danger pour les ouvriers, car tonte matière nocive est doré­navant exclue de la fabricaUon, et d’autre part le public peut être assuré maintenant d ’avoir.des ailomettes inflammables, c’est-A- dire d 'une excessive sensibilité, puisqu’elles

{>rennent feu an simple frottement, non seu* ement sur la boite qui n’a plus besoin de

préparations spéciales^ mais aussi sur quel­que surface que ce soit, même la plus fisse. Elles ne redoutent plus l'humidité, avantage incontestable, puisqu’elles prennent feu même après avoir été baignées dans l’eau.

La manufacture de Trélazé prépare en ce moment des quantités très importantes de ces nouvelle^ allumettes, qui porteront la maiHiue S. G. Si te public se montre satis­fait, aussitôt la fabrication sera étendue a u manufactures de Harseille, Bégles, Pantin et Saintines.

VAUCIENNE8Les préparatifs se poursuivent, A Vau-

ciennes, pour le mariage de M^* de Cornois avec U. Anatole de Vivaise.

La bénédiction nuptiale sera donnée aux jeunes époux dans l’é l i s e de Vauciennes, et la noce se fera A la fabrique de sucre.

H. de Cornois veut que tout son personnel prenne part A cette féie de (amilie, il vent que cenx qui sont A la peine soient A l'hon­neur. Plus de deux cents employés e t ou­vriers, o ccu ^s par la sncreiie de Vau­ciennes, tant A l’usine que dans les fermes de Hermont, le Plessis-aux-Bois et Vau­ciennes, Prendront part au festin.

Le grand industriel, qui a su s'attacher un personnel si dévoué donne, en cette circons­tance, un exemple, malheureusement trop

' rares de nos jours, de la solidarité qui de­vrait exister entre les patrons et leurs subal­ternes, A tons les degrés.

Nous rendrons compte de cette belle cérémonie, qui est fixée au samedi 26 cou­rant. _______ ..

L’Electricité pour tous.Uoe dêoooverU KieDtifiqae qui iotéreMMa e«r-

tdoemeut tout le monda at qm rendra de grindt ■arvioaa les fiunillaa ponr la qnwtion d’éclai- nge, aat ealU qni oonaiita à ahsimiior le pétrole A rélMtÀBté.

O'eal A- eetuc qui brflleot dti' pétrole qne je m'adreme t mon procédé est laoile, lans danger et bon marené et permet d'obtenir ane Inmière ébloniasante eambmble à l’éleetridté. La dépense eet de 6 eentinae par Jotur. Ponr a’en oonvaioere, H anfflt de demander A M. Berna, 6, me de l'BgliM, A Livt; (Saine et-OiM){ aaaBOpetitea

éehantiuon pour on moi* d’éclairage. MODE D’EMPLOI

i Lorsque la lampe est garnie de pétrole, y Ujouler une tablette pour obtenir la lumière désirée.Accompopncf chaque demande d 'un m andat

m a, Marg*** ' lané-Loni*. *“ il — J9:Mit»«* '* at, Madald**-'

tgoire-Plor*"^.’loraat, 6 .H tin e , fu ff*, Camille-^ ‘ dalbert'DéijÇolaa-A«br«M*rJl u e , Bdoii*A*i j

Bttîtt.,)hon*ina-M*mi '

irlial, forgwgi JnIlattaB«P“ *morlava. _

t ' à o S w ü f t I

arriar, do n ijj f olienna, A

Entra

, et B e r g « j^ l

«oaber, d o i^ )ao{m, MM (Yonne).

loliTeoi,

, H . ï» o rW * ri

r ü i G. v ill» rè d e , rM aclenr en chef du ^MWitai de S m lti.

Cher aimi,. A Is snllé de l ’A i l e de H, CâstolUnt I lira dans le num éro du 27 février de l’ffcAo I Si faioii, n iant que vos premiers témoins, IMil. Rommetin e t Meunier, lui aient dé­l i r é pour vous une réparation par les l iiMs, vous nous avez chaînés d’aller lui litdsm er cette réparation.I H Cisiellant nous a désignés comme ses llim ias MM. Néry e t Leconie avec qui nous I MO* sommes rencontrés dimanche dernlér, liiéinars, A Crépy, hôtel des Trois Pigeons.I Ces messieurs nous ont d ’abord fait savoir liisM . Gasleliantinenoas ferait des excuses Iw 'é la condition qu’elles seraient réeipro- Im * ; an second lieu que M. Castellant latieepierait-que le pistolet; ensuite gne I TOCS auriez h n i r e connaître votre étot civil l à Ni représentants et lés motifs pour les- InsU vous n ’avei pas donné suite A une lirtetdeDte provocation.I Uu procès-verbal fui signé constatant ces

|* i l0 u y avons répondu le 7 m ars par ü lla tres iu ran te :

Senlis, ce 7 mars 1898.Messieurs Néry et Loconte,

A Crépy-en-Valois.Messieurs,

I Xoos tenons A Votre disposidon l’état dvil de iLHervé-Cbarlés-Gostave un Heequetdé Rauville l i t 6. Villavrède. Notre désir formel de vous laKoersor le terraio nous dédde A accepter le llHfttc», quoique notre ami soit l’oBensé.I Qunt a la troisième condition de M. Castellant,

ftlt^ait A uneaffaire précédente, noos vous in- Kins, et cela sur notre honneur, que M. de

lln ilile s’est conduit en galant homme dans I cette affaire.I Tons vondrez donc bien, Messieurs, ne pas I bdeter sur ce point, car nous y verrions une I sBnûe personnelle devant laqnelle M. de Rau- I Yüie disparaîtrait, et dest A nous que vous auriez liliire, d’autant plus que, par le fait même que I Mas avons accepté de le représenter, nous ga- InntlssoDS personnellement son honorabilité.I Teniilex donc, Messieurs, nous indiquer un |mâei-vons potu* arrêter les conditions du oom- Itat. Comme nous nous sommes, la première fols, Iradus A Crépy, le rendez-vous cette fois devra litre à 8 ^ , a tel endroit que vous nous désl-

perex.Beeevex, Messieurs, nos salutations distinguées,

SioNABD, Paul Butbt,Ancien oAteigr,. 8ottf-ii«tit«nant de r i t e r v e

Chevttliotr ou 12* dragone.I di ta Légion d ’honneur.

Vendredi m atin noua recevions la ré- I po u suivante :

Cr^y, ce 10 mars 1898.Messieurs,

Koos n’avons aucune raison personnelle de I lettre en doute votre parfaite honorabilité, mais, Im ot de prendre une décision ferme, nons de- • Idoos en référer au principal intéressé et lui liNunaoiquer votre lettre.

Noos recevons sa réponse ce matin.M. Castellant nous dit s’en tenir strictement

aacondiUons énoncées dans le procès-verbal iM ê mars, et nous déclare qu’en raison des pré- lUioiu'émises dans votre dernière lettre, il ■mu retire net le mandat qu’il nous avait donné,

la eonséquence, n’ayant plus aucune autorité ■onle pour nous présenter devant vous, nous

Inm prions de oonâdtor notre mission comme lUnnlnée.

I Agréez, Messieurs, rassurance de nos sentl- II distingués,

Nter. _______ E. Licoirra.I P r o p r i i ta ir e , Imprimeur, aireet ^ r î e e e d e la R é p u b l iq u e , de l’EdiO lépublioain.

n‘ 18.Vons voyez, cher ami,- que, malgré tous

■loi efforts e t toutes nos concessions, nous li'avoDs pu obtenir une réMlution satisfal- |hote.- O’aillenrs, M. Castellant professe A l’égard I co duel une théorie qui sera fort goûtée des IloUroas. Il n ’admet le duel sous aucune I 0. Nons n ’avons pas A discuter ses con- InctioDs, quel que soit le motif qui les ins- I |he ; mais nous estimons, nous qui n’avons I les mêmes vues que H. Castellant sur le I loel, qu’il y a plus de courage A tirer l’épée, I Mme pour une mauvaise cause, qu’A fouil- I hr dans la vie privée des gens ^ u r essayer I is les atteindre dans leur honneur et leurs I tSeetioDs, sous prétexte qu’on ne pense pas I ttnme enx.I Avec le r ^ r e t de n ’avoir pu mieux servir l^ in lé ré ls , veuillez agréer, cher ami, l’ex- I inssioo de nos m eilleurs sentiments,

StoRABD. Paul B u m .

voyer cantonal le 49 janvier 48A7. Au mo­m ent de sa misa A la retraite, le 4*' ju in 4884, il était agent-voyer cantonal A Crépy- en-Valoif, o d H a’éla it fait apprécier par ses imtiludes, son zèle e t son activité.

I l a lla ensuite prendre sa résidence A Bhtti» e t fut nommé peu après m aire de ta commune. Depuis lors, Il l 'a ad m in is t^ . avec sagesse e t clairvoyance e t son souvènlr restera vivant dans le cœur de l'honnéteet. laborieuse population de ce village. •

Nons pdressoDs A u famille nos sincères condoléances.

À r r o n d b s e m e n t s T o i s in s .

vert, avajt répandu son liquide, dans toute la subelance cérébrale. Sur le chemin suivi par ’Torbal pour ren trer chez son patron, te c flu irâ iioA t il l ’étailflervi pour commettre son cHme fut retropvé tout ouvert, fiché en terre e t encore taché du sang de sa victime.

L^accusé, sans nier son crime, prétend ne 14 sentmnir de rien. Les renseignements re­cueillis sur sa moralité et sur sa probité ne sont pas mauvais, mais il est sournois et Violent lorsqu’il a bu.

Bn eonséquence, le nommé Torbal est acQ i^ d’avoir, A Formerio, le 42 décembre

Volontairement porté des coups e t fait destitessures au nommé Buée (Albert), les- q uds coups portés et blessures faites sans intention de donner ia mort l’on pourtant occauonnée.

Le jury rapporte un verdict de culpabilité, mitigé par l'admission des circonstances a t-BEAUVAI8

H. Rocoffort, qui a dû récemment quitter I u airaouon d u /o u rn a l condamne Torbal «n c in , annéesBeauvais, oû il a su se créer de si solides l sympathies, o te n tre a u Jfonifeur de l'Oise, I d eiûpfttoûnemeni.oû sa collaboration n’aura d ’ailleurs aucun caractère politique.

Notre excellent confrère M. René Quélin demeure, bien entendu, rédacteur en chef du ifontteur, sous la direction de H. Avonde.

' Nous apprenons la mort, survenue subite­ment hier A sept heures du soir, de H. An­chois, ouvrier peintre A Beauvais. U a succombé A ope attaque d'apoplexie.

H. Anchois a habité longtemps Senlis.Ëlace de l'Hôtel-do-Ville et avait épousé

[»• Bomio, fille do son prédécesseur ; il était FoB^dO'M rBuatvearfOM ier.

Nous adressons A sa famille nos sincères condoléances.

COMPIEGNECourse* de, CqmpiègM,

Le nombre des journées de courses est porté cette année A cinq, au lieu de trois ; elles auront lieu aux dates ci-après :

Samedi 2 avrlf (courses plates), l u n d i 6 ju in , lendemain de la féte de

Compiëgne (courses militaires).Commûsatres : MM. de Karnë, chef d’esca­

drons au 5‘ dragons ; Kepp, capitaine à l’état- major; Barbey, capitaine au 64*.

Siarter : M. Pournier-Sarlovèxe.Jfardtff ju iiie f (courses plates).Jeudi f*' teptembre (courses a ’obstacles). Jeudi 13 oeiobre (courses plates).Sur la déinande faite par H. Chovet,

M. le Ministre de ragriculture a porté A 2.500 francs, au lieu de 4.000 francs, la subvention accordée sur les fonds de l’EtaL

Üne brute.Un brigadier du 5* dragons, en gàrniéon {

A Compiègne, nommé Paul Lefévre, Agé de I 28 ans, originaire de Villenoze (Seine), a I comparu devant le Conseil de guerre I d'Amiens, présidé par le lieutenant-colonel ! de Fragnier, du 72* de ligne, sous l’accusa- ' tlon de voies de fait envers un inférieur et de complicité d’outrage public A la pudeur.

Le 40 janvier dernier, vingt et un hommes du 5* dragons avaient été mis A la salle de police. Parmi eux se trouvait Lefévre, qui était chargé de la surveillance des cavaliers punis e t du maintien du bon.ordre. Il s'ac­quitta singulièrement de sa (àche.

Dans la soirée, il donna Tordre aux cava­liers Bouigeois e t Méry d’enlever leurs chaussures et de parcourir, pieds nos, auSas gymnastique, le local de la salle de po-

ce. Les maihenreux obéirent. Au bout d’une dem i-heure, Méry, souffrant des pieds, exténué de fatigue, s'affaissa dans un coin. Hais il dut immédiatement se relever sur l’ordre du brigadier, qui le fit placer A lenoux, an milieu du local, et lui fit réciter a prière suivante : c Sainte Marie de Com-

piégne, protégez te 5* dragons I > I l voulut ensuite lui faire fumer un cigare trempé dans l’urine, et, comme Méry trouvait que ce cigare avait un c mauvais goût t , le bri-

Ï;adier lui appliqua deux coups de poing sur e nez.• Puis, toujours sur Tordre du brigadier

Lefévre, les cavaliers Bourgeois et Méry re­prirent leur course au pas gymnastique. Chaque fois qu'ils passaient devant le lit de camp. Ils recevaient un coup de ceinturon sur les reins. Cette scène aura iusqu’A dix heures du soir et fut suivie d une autre scène d’une obscénité révoltante.

Le brigadier Lefévre, dont ia défense a été présentée par M* PagUn, a été condamné A deux ans de prison.

C o n r d ’A s s i s e s d e l 'O is e .4r* session de 4898.

Présidence de H. Dbsrozixrs.

N K Ü I L L Y - E N - T H E L L K

DIEUDONNEUn vol de 25 bouteilles de vin, estimées

79 francs, a été commis mercredi dernier, au préjudice deM"* veuve Vast, habitant Dieu- donne. L’amateur de vins A bon marché so- rait un charretier du pays nommé Lonis- Joseph X ..., Agé de 26 ans.

. P O N T -S A IN T E -M A X E N C E

E ^ C 9 r è u n i o c e n d la i i ^ e .. Àbit, le berger de Champien.

Dans la soirée du 9 janvier 4898,’ le nommé Abit (Jules), berger, an service d 'un cu ltifiten r de Champien, se présentait en é tat jlivresse chez trois débitants d'Avrl- eourt, qni lui refusèrent A boire. Il entra dans une violente colère, e t se retira en pro­férant des menaces. Il fut alors arrêté par le gaûrde champêtre de la commune qui Ten- lOrBia au violon, mais le laissa sortir peu après. A ce moment, l’accusé quitta la com-

■ mune-'^'Avricourt , ” l*esprit- troublé • par- Tivresse et agitant sans doute des pensées de vengeance.

Vers dix heures et demie du soir, en effet, on aperçut une vive lueur causée par Tin- rendie. d ’une meule,contenant environ 700 gerbes de blé e t 4.300 gerbes d’Avoine, apr partenant au sieur Gellée-Legendre ; celui-ci courut immédiatement vers la meule et ÿ

.a r r iv a assez tôt pour constater que le feu aviüt été mis A uoe hauteur d ’un mètre cin­quante environ et du côté opposé A la route.

* La meûle devint entièrement la proie des flamihes. Elle était évaluée 4.500 francs ; son propriéleire, assuré pour 4.300 fr. seulement A la Compagnie le Soleil, subit donc un pré­judice de 200 fri

Soupçonné, Abit fut arrêté et avoua son crime,-qu’il m it sur le compte de l’ivresse.

I l est éondamné en deux années d ’empri­sonnement. _ _ _ _ _ /

Audience du mercredi 9 mart. A f f a i r e L e f e b v r e . — Attentat

d la pudeur.— Eûtile Lefebvre, ouvrier bontonnier, né le

5 février 4878, A Aubin-Saint-Vaast, arron­dissement de Montreuil-sur-Mer (Pas-de- Calais), demeurant A Lormaison, estre&voyé devant ia cour d’assises de TOise, sous Tin- culpalion d'une tentative criminelle com­mise sur la jeune L ..., Agée de moins de

! quinze ans, sa sœur.I Reconnu coupable sur la question subsi­

diaire avec circonstances atténuantes, Le- febvre est condamné en deux années d'em­prisonnement. -

L .e f r a t i* io ld e d e IV an te ix il .ünbeau-frère irascible.— La famille Varin.

Braconnier devenu assassin.L’accusé est un grand gaillard, la tété en

forme de pain de sucre, les cheveux coupés ras, forte moustache rousse, les traits angu­leux. Avec son foulard enroulé en corde aatqhr du cou, l’accusé ne paye pas dom ine; il doit être redoutable lorsque le vin ou Tal- cool Ta surexcité.

Sur la table des pièces A conviction sont déposés le .vfusil qui servit A commettre le m eurtre e t un paquet de munitions.

Acte d'accusation.L’toeoaé Varin habitait chez son frère, A_ le

I UoieoDMBve, eommane deNaoteail. Le 9 Janvier,I vera qoette henree dn loir, au retour de Crépy,I oû il a’étiüt rendn pour acheter des eepinlea, il ee

montra mêoontent du repaa que lui servait aa beUe-aœer} après avoir jeté à terre et caaaé ffi- vere rériidentê, il projeta aur elle une marmite remplie d'ean- Son frere, PranqoU Varia, inter­vint alore et parla d’aller chercher la gendwmerie; ■a femme Ini avant dit qu’elle ne voulait pae reater seule aveeson Dean*frère, il l’aceompagna dehore. A peine venaiLU de rentrer dane la maûon, qu’on entendit retentir an conp de feu, anivl de cria d’appel: l’aeeneé, qni avait aaiai son fufil tout armé à l’on des anglee de la pièce avmt, A une diatanee de trois mètres i peiae, tiré aur son frère.

La femme Varin secourant, trouva son mari I affaïaeé près la' porte d’entrée, atteint d’une pro­

fonde bleeenre A l’aiaeelle. Il put d’abord ae rele­ver, maie rêtmnba aneaitêt ; avee Talde de Taecoaé. le bleaaé f i t porté aur aon lit. Cependant, frappe de atupenr, Bdmond Varin avait rechargé aon arme en diûnt qu’il allrit ae anieider. II quitta brutqueaxeot la maieon et, quelques ioatsnta plna tard, il eè présentait, Tœil hagard, dn sang sur le vitage, ebû la femme Tirlet, débitante, è laquelle il demandait en toute bflte du vulnéraire. Comme celle-ci lui demandait quel usage il voulait en faire, il répondit, aena autre explleation, que tfé-

jiaA «ni» Mr». lAfomma Tirlet nréauma 1m deux frè res s’étaient battu , comme eeli produiamt estez souvent.

La viefime auoeomba trois jours plus tard des

Nanteall-lo-HaudoolD, a re ç a , la 9 janvier, la visite de Taccusé, qol lui a paru sorexclté p a r la boisson.

d« f^motn. — M. Cireux, garde cham- A Dreizelles, sê trouvalUhez i|n épi­

cier de Nanteuil, lorsque l'accusé fit irrap - Uon dans le débit, demandanUveo insistance dn vulnéraire. Ce jour-lA, Varin n ’éta it pas en é tat d’ivresse.

6* témoin. — M. Lépiue, charron A Ver- signy. confirme' la précédente déclaration.

6* témoin. — M. le docteur Grenier, maire de Nanteail-le-IIaudouin, appelé A faire les constatations sur le corps de Varin, conclut que la mort a été déterminée p ar les blessures du conp de fusil.

Le réquisitoire.H. Scherdlin réclame du jury un verdict

sévère contre Varin : ses antécédents déplo­rables, son crime odieux coutre son frère qui ne le menaçait pas. tout demande que le m eurtrier soit impitoyablement frappé. '

£ a défense.M* Bernard, avant de présenter la dé­

fense, dit qu’il demandera A la Cour de poser au jury la qoestien subsidiaire de coups et blessures ayant occasionné la mort sans intention de la donner, et dépose des conclu­sions en ce sens. .

La Cour dit qu’il y a lieu de faire droit A ces conclusions, et qu’en conséquence la question sera posée.

Dans une habile plaidoirie, M* Bernard s'efforce de démontrer que Varin est moins violent qu’on ne Ta dit, et prie les ju rés de né pas se montrer plus sévères que ia vic­tim e qui^ avant d ’exi^rers^-pardonnAA-son-meurtrier.

Une question subsidiaire est posée, sur la demaûde du défenseur : « L’accusé est-il coupable d’avoir porté des.coups ayant occa­sionné la mort sans intention de la donneur ? >

Le verdict.A quatre heures et demie les jurés se re­

tirent pour délibérer.Après trois quarts d’heure de délibéra­

tion, ie jury rapporte un verdict négatif sur la première question et affirmatif sur les deux autres, avec admission de circonstances atténuantes.' En conséquence Varin est condamné en

six années de réclusion.

SenlLi, ee 42 m ars 4898.

A MM. Signard e tP au l Butet, Senlis.

Chéra am ii,I donc au boni de ces. labo-I heues négoifiatioas — e t sans résultat 1 Je I ^ remerdie sincèrement de toutes tes 1 1Naex que vous vous ê tes. données pour I ^ D ir de M. Castellant la Mparation qui I h était due.1 vous-demande pardon devons avoir

eu 60 rapport avec ce triste sire qui évl- I ^^ffient a joué, de complicité avec ses I one pitoyable comédie — résoluI R il était, dès Tabord, A esqnivér par des

''" 'i obliques e t déloyaux le chAtimentI avait mérité.I m'abstiens d’apprécier sa piteuse aill-

; vous l'avez fait vous-mêmes en des I I QOi reoeontreront Tadhésion de | ]_ les hommes d’honneur. .

Cordialement A vous,H. DU H icouxt Dl Rauvilli,

dit G. Vil u t b Am .

' C om m ieg lo n d 'h y g lè n a o n n to n n le .La commission, d'hygiène cantonale s'est

réunie mercredi dernier, 9 mars, A deux heures de Taprés-midi, sous la présidence de H. Berdln, maire, président de ladite commission, en vertu d 'une lettre de H. le Sous-Préfet de Senlis, en date du 47 janvier dernier.

Ont été déclarés iBslallés dans leurs fonc­tions par suite du renouvellement de la deuxième série : MM. Genoux, Frigaux, Lesenne, Molette, Conrsin.

PuisM . Vacossin, à été nommé en rempla­cement de H. Grété.

Enfin, il a été procédé A la nomination d’un vice-président et d ’un secrétaire.

H. Friganx a été réélu comme vicorprésl- d e n t,e tH . Vacossin a été nommésecrétaire.

La commission d'hygiéne se tn ^ v e donc ainsi constitué :

Président : H .'B erdin, maire de Pont; vice-président : H. Frigaux*,'secrétaire : H. Vacossin; membres : MM. Colirsin, Ge­noux, Devert, Frigaux, Lesenne, dlGanron, d 'H u le tle , d'Lescare.

Audience du 8 mart.A f f a i r e T o r b a l . — Un pompier

assauiné.Le 42 décembre 4897, vers dix heures

-Iroirqttarte^tt'Soirrlo^tommô-Topbal-et-le^ sieur Maure quittaient le débit de la dame Parment, cafetière A Formerie, où ils avaient pris ensemble leur repas du soir. Tous les deux étaient gais, sans être ivres. Ils se di­rigèrent vers la place du Marcbé-aux-Herbes, du côté de THôtel-de-Ville, oû se trouvaient réunis les pompiers qui fêtaient la Sainte- Barbe; Lorsqu'il fnt arrivé sous les fenêtres de la mairie, Torbal se m it A tenir des pro­pos menaçants contre , les pompiers. « Tous ces propres A rien, disait-il, ils sont là-haut...Je vais y m onter... Il n ’y en aura pas on quim’empêchera d 'entrer... Je chanterai mieux _____ ^_______ _ , .

Ju’eux... S’il y en a un qui veut m'empécher ] moment oû 11 a tiré enr aon frère, l’aeenié ne ae 'en trer, il aura affaire A moi) > Les actes I u i t rendu un compte ezaet de Taote qu’il com-

de violence succédèrent bientôt aux me- mettait : encore aoua l’impreaiion de la diacuaaionl a a i v e n tit de ae produire en tre aa bello-iœ nr e t

" ’S ^ 'e ire t .o r la placo doHerbes, Torbal avisant un passant Inoffensif 1 qu’au* aeuiea loapirationa de aon caractère

I . Il allait même pour se 1 L» réputation de Taccniè eat déteatable ;

I aaitea de'aa bleeaure. l.e meurtrier, qui fut arrêté I dèa le leudemain dn crime, a prétendu ne ae lou-

venir de rien, ayant agi aoua rempire de l’ivreue. Or, l'infonnatiôa a révélé que le 9 janvier, aoit i Crépy oû il avut déjeuné, aoit i Nantenil oû il a’était anèté avee un aieur Lelièvre en revenant de Crépy, il avait bn trèa modérément. Bien plna,

I lea témoina qui le virent aoit avant, aoit aprèa le I crime, a'aeeordent i dire qn’Edmond Varin lenr

avait aemÛé en poaa^ion complète de aon aang-f«>iA-Il ne aemble paa douteux d ailleurs que, au ..k 11 - »:_< mnw. t.Xra nA BA

A Tissue des débats relatifs A ces deux affaires, la Cour d’assises, siégeant A huis clos, H. le président Gaillard remplaçant H. Herselin, assesseur, a condamné par contumace, sans interdiction de séjour, en vingt années de travaux forcés, le nommé Théodore Merle, ancien insliluteur libre et soldat au 38* régiment de ligne, déserteur, rêcônhu coupable d’attentats ~ criminels sur des enfants dont l'instruction lui était con­fiée. , ,

La Cour a jugé ensuite, pour abus de confiance, le nommé Louis Waysse, né A Saint Jal (Corréze), ancien receveur des contributions indirectes A Méru.

Après la lecture du rapport de H. Herse­lin et les réquisitions de M. Scherdlin, la Cour a condamné par contumace Waysse en vingt ans de travaux forcés et huit mille francs d’amende.

Audience du jeu d i tO mars.P è r e d é n a t u r é .

L'affaire Caron. — Les scandales de i/oufa- fatrc. — Ün vilain personnage.

Le nommé Jérôme Caron, Agé de 40 ans, ouvrier d'usine, demeurant à Montataire,

~tei renvoyé devant la Cour d’assises sous Tluculpation d’alleutals commis sans vio­lences sur la jeune Julienne-Léonie, sa fillq, née ie 46 septembre 4886, et ia jeune Lau­rence Caleloy, née le 34 octobre 4886.

Les débats ont lieu à buis clos.M. Depret, substitut, réclame un verdict ) sôvôre justice contre Caron dont les actes

monstrueux méritent le plus dur châtiment.M* Faisant, avocat à la Cour d'appel de

Paris, fils du distingué président duTribunal de Senlis, demande au jury de tenir compte de ses aveux a Caron, qui a toujours été un bon ouvrier, qui fait vivre par son travail une nombreuse famille et dont l’attitude est tout A fait repentante.

Reconnu coupable sur les trois questions, mais avec admission de circonstances atté­nuantes, Caron s'entend condamner eu cinq années de réclusion et A la déchéance de la paissance paternelle.

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B£SUlTiT D'DI PABI - DEDX G&GUITSD’u n de no* correspondants :L’indiierétiou, défaut gènètoleiaanl .blâmable

chei le commua deamortela, devient uuptineipe, preaque au devoir, pour on reporter eonatien-. meax, anrtoet quand il.a’ogit d’un fait intteeaeant et utile eu publie. C’eat pourquoi je vaia, ■*!)* Twupifiê, râpt6aôli%n7ûl»ï*BSnie oonvèriâtiùh ' que je enrpria il y e quelques jour* entre M. Etienne'Mernae (de Lapaue, commune de Saint- Sordot, Lot-et Ôaronne) et Tun de aee omii. J'eepère que toua deux me pardonneront an fa­veur du but humanitaire de mon indiaorète atten­tion: '

Eh bien I dit M. Marnac, un homme vigou­reux et de bonne mine. Je croie, mon ami, que lu as bel et bien perdu ton pari. Si tu veux tiien t’en •ouvenir, la dernière foie que tu vina me rendre visite, tu me trouvât elofie au Ut par l’affrenee goutte. J’avais les artienlatio&a enfleea et donlou- reneet à nu tel point que Je ne ponvata tenter un mouvement eane laister échapper un cri { e eet à grand’peine ane l'on pouvait me ehauger de lit tant le moindre dérangement m’était pénible. Je ne ponvMt'fermer Toeil, paa plut le jour que la nuit, met eonffraneet ne me iriaaaut aucun répit. Et oet aeeèt, depuU troit eut, revenaient A iater- vallet rapprochn.

~ En effet, répondit ton imi, tu avait eeeayé d’nne foule de remèdet et de traitementi qui n’avaient pu te guérir ni te tonleger; J’en aveie fait Texpérienee ponr me maladie de cœur taut être plue heureux. O’eat alors qu’en déteepoir de canee tu nie parias de ton intention d’eetayer de* Pilulee Piok pour peraonnèt pftita dn D* 'Wil- liame, que tu avait entendu vanter par un de tee amia guéria.par-ce-remède. -Renda aeeptique par - Tinutilité de met tentatlTea, Je te fit le pwi que, paa plot que lea antrea, ce médicament ne te dé- barrataerait de la goutte.

— Me voilà cependant, tu le vola, aur pied, marchant eam aeoonra d’aucune aorte et pouvant enfin me promener. Ea-tu convainou, maintenant?

— Je anit bien forcé de me rendre à Tévl- dence et J'avoue que Je eule heureux de perdre mon pari, puisque tu aa retrouvé'la aanté. Si,je pouvaia seulement en dire autant I

— Mais, dit M. Marnac, mon exemple te prouve que tu n'at qu'un moyen, c'eit de prendre cet Pilulei Piuk qui m'ont guéri. Notre ptri ferait deux ffognanla.

— Tu aa rûBon et je vais en acheter tans plui tarder.

Sur c:a mott, la conversation a prit fin et je m’eu allai, enchanté du hasard qui me Tavoit fut surprendre : ce qui prouve que rindiecrétion a parfois du bon.

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RHUI8Aujourd'hui samedi ont en lieu en l’église

de Rhnis, sa paroisse, les obsèques de H. Victor-Zacharie Lefévre, maire de la com­mune, décédé en son domicile le 8 mars 4898, dans sa 75* année.

M. U fèvre avait été nommé ^ n t- v o y e r ituroam énire le 89 janvier 4845 et agent-

loi chercha querelle, i____________ -battre avec lui e t retirait son paletot, quand on intervint pour les séparer. C’est alors que le sieur Maura, voyant la mauvaise tour­nure que prenait -la dispufe, quitta son ca­marade Torbal. Le sieur Féray, employé dans la môme ferme qneTorbal, ayant voulu, A son tour, ramener Taccùsé chez son pa­tron, une discussion nhqolt entre eux. A ce montent, le sieur Buée (Albert), qui faisait partie de la Compagnie des pompiers et se trouvait surexcité par la boisson, voulut im­poser silence A'Torbal. Une lutte s’engagea, et tous les deux tombèrent A terre. lo rs ­qu’ils se forent relevés, Feray les engagea A cesser leur différend et voulut les séparer

violent. La répntatioB d. il travoill* raremsnt et s'adoone surtout au bra- coanogei il aété ecadamné pluiienrs foia, noiam- ment pour eonps et Meuores, il est redouté dans la commoM.

L’interrogatoire.D. — ' De mauvais renseignements ont été

recueillis sur vous dans les pays que vous avez habités. Votre casier judiciaire est déjà orné de 'o |n q condamoations. Vous viviez chez votie frère ; le jour du crime, une dis­pute s’est élevée entre vous e t votre belle- sœuriA mropos de votre déjeuner î

n . — ,0û me Ta dit, je ne me le rappelle pas.

.V... ...______________ . Et la môme réponse est faite par Varinmais l’accusé, qui s'ôtait reculé, se précipita I (gmea qaeslions du président.q u e l q u e s instants après sur Buée, en d irent: Son système de défense, c’est qu’il éu< Tu n ’en as' pas encore assezl » et il lui I qu'il n’a plus souvenir de ce qu’il porta des coups. Buée tomba sans proférer f^it. Le président lui fait remarquer qu’il un seul cri, pendant que son agresseur pre- o'éiait pas surexcité, comme Tont d’ailleurs nait la fuite avec une (elle repidité qu il fut I afpnpû tous les témoins.

‘" f i .a»» a .o ir ro- I '‘«■'“ •'o» ■<«pris connaissance. Il porialt trois blessures, deux anx bras e t la troisième-A la téte, Ces trois blessures avaient été faites avec un couteau. L’aulopsiè a démontré, que. seule, la blessure A la téte éUH morlello: la peau et Tos du crâne avalent été perforés A la hauteur de la fosse tomporale droite, le i enveloppes du cerveau aveient été décbiréei et le iin u i de la dure-mère, largement ou-

4** témoin. — H. Frénols, brigadier de gondarmerie A Nanteuil-le-Uaudouin, rend compte des résultats de Tenquéte ouverte par lui quand U foi averti du meurtre.

2* témoin. — M** Varin, veuve de la vic­time, belle-sœur de Taccusé. raconte ia scène qui eo t4 ieu chez elle A propos du déjeuner, scène qui amena Varin A tirer snr son frère,

g* mmoin. M- Lelièvre, boucher

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l 'é ^ e ^ t_ p a r le^mbds^^e | çn Jouissance , Ûxée aude M* lU a jB i , notaire i Beu

«wurninU à M t eüM.quinze Mars mil huit cent quatre- vingt-dix-huit.

— Domicile élu eu i’Etude de M* Beau-1A lareq u éted eM .J^ tÿ n e-Ja j^u M j ^ poot-Salnie-Ma-'

Mandei. anoien marchand boulanger,propriétaire, demeurant à Beu, t»3uu«.

« Agissant en sa qualité de c créancier et comme oxer-

int éux termes de l'article I ■ xiOOduCéodeCivU.lesdrolU c et actions de : 1* M. Pierre-

Pour Insertion S igné: A, BEAUCHAHPS.|

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C k a i d r i B < é r i e - P I * | i k n i «Dana Panrondiaaeawnt do'OlennoDt.

S'adresser au Bureau du Jôumal.

A r t. 4.

î î & S p ’r S Œ f eIPivnMIlIvihrtt '

A wi» ut ______________ uw,» .V __________________ p o u rro n t être rétmU.v in u ld em so ran t à Senlis, rue Saint-|rier,marc^and.^eb]oyoIcties, a r t i c l e » i ^ g j ^ y^Q le B S a r d l H üalw , numéro 10; I d e t o e et de photographie, couloH 9 Z 3 Ê M v m l S 9 S

vn vmUanoe OU eux dûment I Icrie et machines à coudre, exploité I heu rt de m id i.' jp a rlu l , Grande Hue, numéro 72.. I En l'audience des criées du Tribunal

*s II ifmmto. «AmmncAr 1 L 'eutrée 6U Joulssanco 0 été ûxéo I oivU de première Instance de Senlis,

f v )

2* M. rierre-Erançois wrauKBr, ■ - t- iioi«t«A«uT manouvrier, demeurant ci-devant è | lB tü d e d e a Baléieaux.BeU, et actuellement i Paris, numéro '62, passage Chitelet ;

3* H. Alexis-François B éranger. maçon, demeurant i Paris, numéro 62, passage Qifttelet;

Co-Ucitants;N'ayant pas d’avoué constitué ;E t en exécution d’un Jugement'

rendu nar défaut, au profil du s ieu r, ,«u, j .Mandéh ès-auaiilé, contre les sus- douze Mars mil huit cent quatre-vingl- nommés, par ie Tribunal Civil de dix-huit, enregistré; première instance de Senlis, le vingt- y appert :

.inrarriBtriS. Madamo Charlotte-Eadoxle,TnoLxnn, épouse de H. Denls-Edonarà

Abt. 5.Etude de M’ SA IN TE -B EU V E,

avoué à Senlis.

Demiuiile en BépiinUoii lu Biens.

D’un exploit dù ministère de Fou-

poursuivant la vente ;2* A M’ VITRANT, avoué & Cler-

mont;8* A H’ BÉRA, huissier à Neuilly-

en-Thelle;4* A H* BRICOGNE, bnissier

Houy ;5‘ Au Greffe du Tribunal civil

, / « S i r . a p r o i i r d i . i e « r | . o m h u i i ^

^ x Janvier dernier, e n ^ s t r é ;- n sera procédé,-le DifiEmchs troie i e r i f tn ti h u i t cent qua tre-ting t- d to-huit. d une heure très précise de relevée, en l’Etude et p a r le mi­nistère de H* MézlèCe, notaire à BeU, commis h cet effet, è la vente par aitite de liclution, au plus offrant et dernier enobérisseur, à i’extinction des feux, de l’immeuble dont la dé­signation soit :

D É S I G N A T I O N Commune de Belx.

U n e P r o p r i é t é , sise à Betz, ru e Beauxis-Lagravo, comprenant : Une maison, située dans une ruelle donnant sur la rue Beauxis-Lagravo, comprenant habitation par bas chambre, grenier au-dessus couvert en tuiles; à la suite, grange, cave; Bur cette cave, petite maison ; toit a porcs, étabioet petit hangar; le tout aussi couvert en tuiles. .

Grand jardin potager, situé derrière e t en cété dos bâtiments ci-dessus, fermé de haies vives et d’un grillage, avec puits au milieu de ce jardin.

Ladite propriété d’un seul ensem­ble, contenantquinzo ares ironte-deux centiares, tenant à l'est MM. Hézièro et Legrand, â l’ouest Madame Doucet, au nord Madame Brissct, au midi Madame Doucet, H. Lépine et la ruelle.

M I S U A P R I XEn outre des ciiarges, clauses et

conditions énoncées au cahier des charges, déposé eu r ttu d o de M' Mô- zière, notaire à üetz, où toute per­sonne peut eu prendre connaissance, l’immeuble sus-désignô sera crié sur la mise & prix do quatre cents francs, fixée par le jugemcui L ( i f ï f r précité, cl..................... *

Fait et rédigé parTavoué soussigné, occupant pour le poursuivant.

Senlis, le 12 Hors 1898.Signé : G. LEVIEUX.

Enregistré. ,

ya d re tte r p o u r les renseignements : 1’ A M’ LEVIEUX, avoué à Senlis,

poursuivant la vente ;2’ A M' HÉZIÉRE, uotairo h Betz,

dépositaire du cahier des charges.Pour insertion

Gamkivallb, anden entreprenenr de maçonnerie, avec lequel elle demeure à Senlis; ,

A formé sa demande en séparation de biens contre ledit sieur Gamrb- VALLB, son mari, et M'Escavy, avoué à Senlis, syndic de la faillite du sieur Gaknbvallb. et que M‘ Sainte-Beuve, avoué à Senlis, a été constitué pour ladite dame sur cette demande.

Pour extrait :S ip é : A. SAINTE-BEUVE.

A D J U D I C A T I O NA LOVVBE&

. i n s M r o i n d . dVIUOT-LE-DAVIEN et BABGNT

f r o ir l u aHlehnl.Ce* hleiu dépendeel de II e iu c e iÿ n {

de M. F n id o e iM , de IbeqMUiiaij S é M u m p our l u ro uu iiium ouU :

A ■ ' W z ik u , no m te k BeU.

Maison avec J^lrdinA S E N l d l S

S’adresser : k M* PBTlTt'notaire, oaèM .L E ^E tlT «

p n E î F l I l i Œ i BDR

48 becterea de boniiM TMvea ctU o laB erbagM ,,

8|T0ATI0N AVAItTAOlUBR

i O U I S S O c F l I I E p i T E

S’adresser k H. DOBIGNT, k Sarron (Oise).

M U lra in,.VcftFoTiS.Thfo-.ïik4.1fiM’ 'OT 1 mWPïMSCS ‘ -------------------------- ÿ è Pon

A NANtEUO-laE-HAUDOUIN ' ~ Ipy ou n e Tblera* u* 1

^ d W Tieui^

P a r le m in i i£ e $ 1 k * ù w o o d r .

Etude de r t ’ UUBRCMQQ^bnlBaleri SmiliB.

A P l i A I I X YAu donticUe de Me Constent B u t,

U Dimanche 43 Mare, à u n e heure, Par le ministère de M* Ddbxsdoq,

faoissièr i Senlis.

M“ ,1 U R T IN , avoué k

Etudes de,UlKKjrODR

H U S O N ^ b Î ^ G E O I S EAVEC QUMD jftR dIN

Sise k L é n o im , route Nationale,

2k 98* 47» de BoisOU 6ARENNE8 I . huissier k Cbanüliy,

E n n e u f PdrceUee, I l e DJMANCBE 43 MàBS 4803,Terroirs de Léviomw et Boisst- I d «ne heuré de relecée,

Fbisnot, ID ans la maison qn habitait le sieurA v e n d r e p a i i k d j u tü M t i o i i , ^ 1 0 5 2 ™ ’ c o u n .i . i .Sa 1«,maison d’EcolA de Uvifue»,* • -■ -

l é m l M ï i ^ ë ' a ' ' a « i t ^ notaire kB e tt,

JOLY. u.Chantilly.

I iR.'iD iB a R it a mMBCNIIIDISES 1 HTÉilIEL

Dépendant de la faillite du ' sieur I FmuiAin) MoniT, ancien entrepreneur de maçonnerie k Goarieux,

Four 6 fr. on reçoit 5 N *9.T . Par* tioipant au 1** tirage 48 À 9 rü p ro ­chain, des F a ra u a a L o ts e t prime valant 6 francs.'

Opération autorisée : I lo t de 600.000 _ . — 1 lot de 100.000 fr. e t 60 lou variés. — Ecrire d e suite : k fthifois des R m riers. 16, rue MUtén^ Paris.

D D U i i m S S j r O F F R E S

O n d e n u u h d e à : i o n e r »dains un village de rarrondlssemont ou endroit éloigné de tout bruit, p o u r tm malade,' « p p a i p t e m e i i t meu­blé de quatre pièces o n p e t i t e ■anieoB *

Adresimr i^opositions -. émîtes au Bureau d u Journal.

leD im anchs t7 Jfara, d « im h e u r e l Q p ^ Q d Q i f i j i i s t i e e d e P e d x — I de Font-S‘'-Maxence. *I 6MDE gUkiiîiTÉ DE B0INE8

Ces biens appartiennent k M. FralHon- UICHANDMS ITHtTltlKI

A r 'eiuMré oti A MiouerA l'AUIABUI

GRAl^DE MAISONELEVÉE SUR CAVE

Sise k NANTEDIL-LE-HAUDODIN, sur la Place.

........... M. Cabtiir. k Ormoy-;le-Davlen, ousur les lieux k M. Gibbbt, greffier.

Art. 6.T R I B U N A I a d u S U N I i l S

Faillite G annevalle.

Loscréancicrsdo la faillite Edouard- Denis Ganmkvalle, entrepreneur de maçounerio à Seuils, sont iuvités à se rendre au Greffe du Tribunal de Senlis, au Palais de Justice, le L undi v ing t-hu it Mare co u ra n t, d d ix heurte, pour vérifier et aOlrmer leur créance.

Le Greffier d u T ribunal, DETROYE.

en l’Etude et par le ministère de H' Damobb, notaire,

l e Dimanche S A vril 4898, à 9 heurte V D’tnfi

Grande PROPRIÉTÉSituée k LûUVRES,

rue de Paris, numéro 44, Comprenant bâtiments d'habitation

et d’exploitation pouvant servir au commerce, k l'industrie ou à un nour- risseur;

2’ n’uuBMAISON BOURGEOISE

Sise à MARLY-LA-VILLE, rue d’Amont,

DE CONSTRUCTION RéCBNTB

t f o u i a s M i c e d e s u i t e .

MAISON A LOUERA . S E 1 Ï V I j X - I S

7 , ru e Saint-Yves, C on tanun thu lt Pikeuu d'habitation.

avoob o a n d e r i e y b O o h e r i , c o u r »

é c u r i e & r e m i s e *

I J 0UI88INCE DE SUITES'adresser k M. DESPREZ, H ' de porcs

k Senlis, 30, FaulF-S-Martin.

DMouobes, de Noyon.

u k rii üTuni

v e n d r e W ‘ ®4ittdloattQnLe Dimanche *7 J fa rs , d 3 heurte

En la Mairie de LèTlgneaP ar le minUtère de M'Minfeu,

notaire,

EbViron 7k,de TerreE h iS P iieee ,

Terroirs de Lévionen, Rouvillu et Baront.

Ces bnmeubles appartiennent k pi* Foumier-Vulfrano.

S'adresser pour tous rensrignements, à M* MtzikRB, noiaife.____

de palntre .en bfttlmenta, MEUBLES S OBJETS MOBlUERS

A v e a i l M ' A i u B n c i i è i p e sA PONT-SAINTE-MAXENCE

m e de la Ville, l e Dimanche 43 Mare, à une heure,

etjo u re lu ieonfr.Par le ministère de M’ Potinoibr,

greffier de paix.

U i r M * D U V l Y I s a , à R u o a y * l i r è a k Q r é n r » d e * MCiKUdeatfelUIFVtfV0MMliihié> M ia t l a d o M q rd ■ e â o e m lq u a .

0^ ’O u d le m « R d è ^ pour une ferme des enrironi. n u wném m gé, l’homme comme Ja rd in ie r, 'ét ,U femme pour l’Intérieur.

Bonnes riférm cteeaigéte.S’a4^«s#er an borean du Jo am al

amp B<Mi la rd l i i la r^ M a M r lé , s e t i i u B t o u B d u I r a » élaouua*

«mr. D u b m a r é o h a lD i marié, M em uncU s A a v a t a r un f o B r ia d a s B a w a o h a ia r l a .4 a j i u l t a ,'dans 'un 'bon cèntre'dé (mlture, o n p l a ç a d a m s une b o n u a t e r m e a n f a b r i q u a *

BOfinM.rAfépenoea.S'adresser au B t i ^ u du JoamaL

A y a n t s d ’A s s u r a n c a S ] O ' N o r d » sont demandés dans tous les cantons de l’arrondissement de

'^Béhiiér— Gondmonsexoepttottiieues. S'adresser k MM. LAUGBE, père

et fils, k Bury (Oise).i* —

Quatre o n t d a m l a m è m - m aiioa.S'adresser an Borean dn Jonm iL

«m hOndémand^poori^arda ■ p r o p r i é t é e t c h a m a i où hom­m e actif et sérieux, mùrlé ou non, pouvant entre te m ^ rider' jardinier; B o b s Maflraa* I j o g é *

Ecrire k M. DELASSUE» poste res­tante k Amiens.

M B C i A * e t C b . I ,B > H f Ô I N E » oultivatenrS ^ Duvy, d e m a n d a n t un o u v r i e r s s b a r - '

W * d ^ n n a h o m m e »excriieates référ^ees»- d ^ p l a c e d e v a l e t d e o h iR iB b re / I S'adresser an bureân ^tilûobaL

D è r n a n d d P a r t o u t d e s A f l o n tM

A 8 0 arw U 4 0 ant A 6 0 «n* A 6 0 OfujA 7 0 ans

7 S 4 . » e s 7 . » |x ^ x « »

A 4 0 ane. a o i . » t a 4 5 au*. > » » » • - . i " 2 1Benseisneiaeiits OtamUI» j OR— r ia u n s . a i , »«Ha»

V I A '50 anio

Etude M’ FERTË, notaire k Senlis, m e Betlon, n* 18.

A V e n d r e p a r a d j u d i c a t i o n

DEUX MAISONSDONT UNE GIRNIE DE iOBlLICR

Sises k VINEUIL.commune de Saint-FIrmin,

Le IHmanche t1 Mare, d 9 heures,. , ,1 E n lam alsond’EcoledeV lneall,

A H. HONGROLLE, agriculteur k p „ „j,uslkfii de H 'B u T k , uolairc

Etude do M' Georges LEVIEUX,licoücié eu droit, avoué à Seuils,

rue Soiut-HUnire, u ' 10,Suce’ dü M" Alluahd et Ciialmin.

V O aP ar suite de saisie immobUiire,

En un seul lot,DR : UNE

MUSON D'HABITATION

Marly;Et à H' DANGER, notaire k Louvres. |

(>iininiiiie i e BonnenU-en-'Iïlols.

A D J U D I C A T I O NDU

T â A V A U X

Signé : G. LEVIEUX.

r- ART. 2.Etude de H' BEAü GHAMPS, notaire k

Pont-Sainte-Maxenoe.

MODIFICHTIOJI_DE SOCIÉTÉ

Aux termes d’uu aclo sous signa­tures privées, fait en autaul d'origi­naux que do parlios intéressées, en date à Paris du ciuq Février mil huit cent quatro-vingl-uix-huit, portant cettû mentiou :

Euregistré k Pont-Salute-Maxcnce, le trois Mars mil liuit cuut quatre- vingt-dix-huit, folio 13, case 5. Reçu trois francs, décimes soixante-quinze centimes. "

(Signé) GnéGOiRB. Lequel a été déposé au rang des

minutes do M* Ueauchamps, notaire à Pont-Sainte-Maxence, suivant acte reçu par lui, le deux Mars mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, enregis­tré.

Il a été apporté aux statuts de la Société en nom collectif: A .D efranec e t C", dont io siège est k Pont-Sainto- Haxenco, qui a pour but la fabrica­tion et la vente des pavages et dalla-

Ses céramiques, laquelle a été cons- tuée par acto reçu par M' Legrain, notaire k Choisy-le-Roi (Seino), le

sept Juin mil huit cent quatre-vingt- >tin, les modiflcalions suivantes :

La raison sociale A. Defranco et Compagnie ost remplacée par celle Defpanoa * Compagnia.

M. Raymond J aunbz, Ingénieur dos Arts ét M anufactures, directeur d’usine, demeurant k Pont-Sainte- Maxence, est nommédireotüur-gérani avec les pouvoirs attachés k cette fonction.

Un extrait dudit acte mo- dificatif de Société a été dé- TOsé k chacun des Greffes du Tribunal de première instance de Senlis et do la Justice do paix de Pont-Sainte-Maxence.

Four insertion : Signé : BEAUCUAMFS,

X J I V - J A . H D I 1 VSis à BÉTHISY-SAINT-PIERRE,

ruü Saint-Pierre. L’adjudication aura lien le M a r d i

v i n g t - u c o f M a r s IG SkG » heure de m idi,

Bu l'audience des criées du Tribunal civil de première instance de iis, au Palais de Justice de ladite ville, rue de la République.

S'adresser pour tes renseignements: r A M’ LKVIEÜX, avoué k Senlis,

rue Saint-lUlaire, n ' 10, poursuivant la vente;— 2TrM*-fi¥MAflDri»uis8ier-k-Grépy* cn-Valois;

3’ El au Greffe du Tribunal civil de Senlis, où le cabior des charges est déposé. _________

Lo Maire do la commune de Bon- ncuil-en-Valois fait savoir qu’il sera procédé, lo Dimanche 3 A tr i l , A deux heures de l’apris-m idi, k la Hairio.de Bonneuii, on présence de l’Agent-Voyer cantonal et du Rece- vour municipal, k l’adjùdicallon, au rabais et sur soumissions cachetées, des travaux ci-après désignés, sa­voir :

P rem ie r Lot Chemin vicinal n* 7, do Crépy k

Emévillo, c o D s i r u c t l o n d 'a n e

k Senlis.

mI mb étusb

A vendre par adjudication TRUlS MAISUNS

S itu to à CUAKANT,Le Dimanche 3 A vril, d 3 heures,

. A Gbamant, en la salle de la Mairie, Et par le ministère de M* Fbrtû,

notaire k Senlis.

BRASSEUSE, OGNUN.i VlLLERS ' ---- ,--------------------------------- .1 etYYILLERS,

•O U o r;, d O h tu ra ,sur uno longueur de 269 mètres kl partir du chemin vicinal n* 2. Tra­vaux évalués, d'après lo dovis dressé 1 par M. l’Agent-Voyer cantonal, k la somme totale do l e l O O francs.

cuter pcudaut les années I898et 1899, 1 - , .sur le ru de Bonneuii et le faux ru I A VCQOlrti p a r RCyucllCRlIO Il de Duy, sur les territoires des com- i t Mardi 99 Mare, d deux heures, munesdoBonneuil-cn-Valois, Morien- U PEiudede M'FkîixoN,val et Froenoy-la-Rivièrû , évalués .------- -------- notaire,___________annuellement, d’après lo devis dressé I qqq de 1 bect. 80 ares, par M. i;A8™l-Voyer, i la somme U , olaio do fr. 0 4 r ‘ . . .

Etude de M' Georges LEVIEUX,licencié .en droit, avoué k Senlis.

y ' T S t ^ ' t jp u aPar suite de aurencbère du sixième

DR

UNE FERM Ed itü Ferme de lilois,

s i tu é e à SAINT-VAAST-ÜE-LONGMONT

L’a d iud ica tiO D a u r a l ie u lo M cu * d l i t b M a r s f S O i d ,

heure de m idi.En l’audience dos criées du Tribunal

civil de première instance do Sculis, BU Palais-do-Justico, rue do ' République.adresser pour les renseignements r A M* LEVIEUX, avoué k Sonlis,

poursuivant la vente;3 ' A M* MARTIN, avoué k Senlis,

ayant poursuivi la première vente;3* A H* SAINTE-BEUVE, avoué

k Senlis, présent k la vente;4* A H' MENNESSON, notaire

Vorbcrle;6* A H« VASSEUR, huissior k Pont-

Sainlc-Maxoiico.

Etude de M' 8 AINTS-BBUVB, avoué k Senlis.

VENTE SUR LICITATIONn i 1*

UNE MAISONSisokMONTATAlRE,

sur le bord du chemin de Vitolk Creilaveo

ClPoanBtanMB « t D kpandaneat,COUD t JIR O m DERRIÈRE

2* KT5* 9 7 “ de T e rre

Sis terroir de MONTATAIRE, lien dit les Marris de Vital,

Etude de M* FÉTIZON , notaire k Sentis.

A vendre par adjudication im

Marché de Terre> 8 Ilect. 8 4 Ares t t t Centiares

situé terroirs de

A BrasieoM, en la-Mairie, Par ie ministère de M* FdTtxoK,

notaire k Senlis.

itn g a de M* B âl.ttR A O l. notaire kChaotilIy*

A vendre par adjudicationa * l-Etnde et p » le m to lto e

de M-B A iim u i , noteire à CluiiiUly, En présence de M* D o llx t, notaire

k Méry-sur-Selne, l e Mercredi 93 Mare, à 9 heures,

r PNB

MUSON D 'H U tniT lD NSise k CHANTILLY,

m e de l’Abreuvoir, n* 16,Dana laquelle s'exerce le commerce

d ’Boittcnltenr, avec Jard in pota­ger d'une contenance de 4.352 m ètre i enriron,

2* UNB

MAISON D’HABITATIONSise k CHANTILLY,

n ie de l’Abreuvoir, n* 14.

MtMB ÛTODB

A Vendre par adjudication En la Mairie de Coye

Le Dimanche 3 A vril, à deux heures, Par le ministère de M* BiLiiBXüX,

notaire k Chantilly,

EN E P R O PR IÉ T ÉSise i GOÏE, ra e (ft l'Abremoir.

MlMaiTTODS

^ j r o a s a - x E R ï i ^ Q aA L’A H IA BU

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Propriété d'Agrément«veo

P aro , S ource e t beaux A rb ree ,A dix minutes de la gare

de Chantilly,Appelée Le Pavillon des Fonfainw .

VENTE MOBILIÈREAprès le décès de M. Lhoilubb,

entrepreneur de jardins,A C h a r t i l l t , rue de l ’Abreuvoir, 14, Le Dimanche 90 Mars, à u n e heure,

Par le ministère dudit M* J o l t .

■SUB^TODI

VENTE MOBILIÈREPOUR CA08B DE D iPA R T.

A CHAMIiLLY (Olie),Place de i’Hosploe Condé, n* 1,

le s Dimanche 98 et L u n d i 98 Mars, d un e heure de relevie.

Par le ministère dndit M* J olt.

M âm a MA8AH9» 88

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Les devis de ces travaux, portant clausos et conditions de leur exécu­tion, sont déposés k la Mairie de Don- noui), ainsi qu’au bureau do l’Agent-1 Voyer cantonal, où chacun pourra on prendre connaissance.

Nul no sora admis k concourir kl'

Appartenant k M. le D' Durean.

Etude de M’ 0 . LOMBOIS, notaire k Préey-sur^tise.

VENTE MOBILIÈREPar lu ite de dècèa.

'adjudication s’il n'est porteur d'un .e Dimanche 13 Mars, A une heure, ;erliticat do capacité délivré depuis ............................cerliticat

moins do trois ans par un homme de l’art et visé par l'Agent-Voyer can-* tonal dans les dix jours qui précéde­ront l'adjudication. -

Le rabais devra porter sur tous les prix du bordereau et èiro présenté ou-nombre rond, sans fractions do centimes.

Fait k la Mairie do Bounouil, le 10] Mars 1898.

l e Afaire, MALIN.

jo u rs sutoanfa s’i l y a lien,A SAINT-LEU-D’ESSERENT

rue de l'EgÜso, en la demeure de M. Boulbt, Par lo ministère de M* Lombois,

notaire k Précy-sur-Oise.

ASPERGES D'ARGENTEUILFerleoUonnèea A SèlecUonnéai,

TRÈS DROSSES Grand rendem ent, b&tives&tardivea

rninniTQ ) lo c c u l. . . . 4 fr. GRIFFES I lo u fiiic ... 3 0 Emballages franco do toutes gares.

Etude de M* RICHARD, notaire k Pont-Sainte-Maxence.

M A I S O I YSise k BRASSEUSE, ru e du Soleil,

S8 a. OS c. de TerreEn deux Pièces,

Sises terroir diÿBRASSEUSE,A. vendre par adjudication

I En la Mairie de Braaaenae,I Par le ministère do H* Richard I notaire k Pont-Saiute-Maxonce,' l e DiHwncha 90 Mars, A 9 heures.

BFICIAS CONTRE-PLAHTÈS aiuda de m - d e s a b u b :, nèùirede 1 à 3* de haut, à oboiair.

Contre mandat k M. LsimuN, propr. k Sonlis (Oise).

A C è d e s * d e I S s e t t ePonr 16 re tire r dea aflatrea,••^Dans lo canton de Creil,

T R È S BON FONDSDE

C a fé -R e i i ta n P A n t»M atip ieljsnup Nooee r i B anquets. I

S'adresser au Bureau dn Journal.

k CreUJOIse).

A N t l D I C A T l O WPar le ministère do M’ Desabib,

; En la Mairie de St-Len-d'E iietent, Le Dimanche to Mars 1898,

d dcua; heures,

Sise k SAINT LEU, place Daroche,

I D é a x P i è c e s d e T e r r eTerroir do Saint-Leu,

BTU n e P i è c e d e B o ls

Terroir de Momout-S aint-Eloi,

MkMB ÉTDDB

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qui n’auraient pas encore reçu notre Catalorae illus­tré ■ S a i s o n d 'E t é » , d’en faire la demande kU. JXm mOIOIiG'-rarii

L’envoi leur en sera fait aussltèt g r a t l s e t t r a n c a

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lieu dit le Bois Coupé.

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1 H" PETIT, notaire à Sen­lis;

BALÈZBAUX, notaire k Chantilly.

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En la Mairie de Pontarmè.iM ’ REAUCIIAMPS, no­taire k Pont;

DESADIE, notaire k Creil.

3 N Æ A I S O NSituée k VERNEUIL-SUR-OISE,

rue do la Mivoye,A vendre par ad,judicatton

Fn la Mairie de Vemeall,U Dimanche 97 Mare, d deu» heure» Par le ministère de M* B x a u c h a m p s ,

notaire k Pont-Sainte-Maxence,En préAonco de U* Dbsabib, notaire

k Creil.

Etude de M * l i c n l c q a e . notaire k Nantenii-le-Haudooln.

A vendre par adjudicationPar Balte de départ,

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