P G L ditoriaErnest KOHN, Charles MANDERSCHEID, Maurice MEYSENBURG, Gaby RACH Le projet de loi...

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- 1 - SNPGL Bulletin d’ Information N° 1/2012 BULLETIN D‘INFORMATION DU SYNDICAT NATIONAL DE LA POLICE GRAND-DUCALE LUXEMBOURG A.S.B.L. ________________________________________ R.C.S. Luxembourg F 988 Siège Social : 9, rue Auguste Lumière L-1950 Luxembourg Adresse postale: SNPGL L-2957 LUXEMBOURG ________________________________________ Téléphone/Téléfax: 4997 2177 4997 2179 ________________________________________ Internet: www.snpgl.lu E-mail: [email protected] ________________________________________ No. IBAN SNPGL CCPL LU63 1111 1910 4754 0000 No. IBAN Fonds de Secours: CCPL LU79 1111 0442 7846 0000 No IBAN SNPGL Loisirs CCPL LU25 1111 0477 0073 0000 ________________________________________ REDACTION: Albert RESSEL, Guy ALTMEISCH, Steve Barbangelo. Jhemp FELGEN, Alphonse KAPGEN, Ernest KOHN, Charles MANDERSCHEID, Maurice MEYSENBURG, Gaby RACH _______________________________________ SOMMAIRE: Editorial 1 Léif Kolleginnen an Kollegen 3 Opgepasst ! 6 Wou ass d’Generalversammlung ? 7 Invitatioun A.G. 8 Ordre du Jour A.G. 9 Gewalt gegen Polizeibeamte 10 Werte Kolleginnen und Kollegen … 14 Um Rifo … 16 Ping Pong 17 CGFP-Erfolge 23 La reproduction d’articles, même par extraits, n’est permise qu’avec l’autorisation du SNPGL Les articles signés ne reflètent pas nécessairement l’avis du SNPGL Titelbild vum SNPGL E ditoria l Chères, chers membres, Nous avions annoncé notre assemblée générale ordinaire pour le mercredi, 21 mars 2012 à Hesperange au Centre Civique. Or, le Grand-Duché de Luxembourg a l’honneur d’accueillir SAR la Reine Béatrice des Pays-Bas pendant la période du 20 au 22 mars 2012. Sachant que beaucoup de nos membres seront de service à l’occasion de cette Visite d’Etat, nous avons pris la décision de reporter notre assemblée générale d’une semaine au 28 mars 2012. En ce début d’année le conseil d’administration a été encore et toujours sollicité dans le cadre des dossiers relatifs à «la nouvelle loi sur la discipline dans la Force Publique», «la réforme du statut de la Fonction Publique» et «l’amendement de la loi sur la Police et l’Inspection Générale de la Police». Le projet de loi relatif à la discipline dans la Force Publique a été déposé récemment à la Chambre des députés. Comme nous le souhaitions cette loi concerne l’Armée et la Police Grand-Ducale. Nous étions toujours favorables à une loi disciplinaire unique pour la Force Publique, donc l’Armée et la Police, les seuls corps de l’Etat soumis tant au statut qu’à la discipline militaire. Lors des discussions sur l’avant-projet de loi, nous étions entre autres d’avis, comme la Chambre des députés d’ailleurs, que l’Inspection Générale de la Police devrait s’occuper des enquêtes dans le cas où un cadre supérieur serait impliqué. Notre ministre de tutelle est passé outre avec comme conséquence que les cadres supérieurs de la Police se contrôleront eux-mêmes. On peut conclure que le texte de loi sous analyse reste axé principalement sur le contrôle des inspecteurs et des brigadiers par le cadre supérieur de la Police. Nous verrons bien si la Chambre des Fonctionnaires et Employés Publics ainsi que le Conseil d’Etat seront du même avis. Le SNPGL, pour sa part, ne cessera pas de combattre par tous ses moyens cette décision scandaleuse.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

BULLETIN D‘INFORMATION DU SYNDICAT NATIONAL

DE LA POLICE GRAND-DUCALE LUXEMBOURG A.S.B.L.

________________________________________

R.C.S. Luxembourg F 988 Siège Social :

9, rue Auguste Lumière

L-1950 Luxembourg

Adresse postale: SNPGL

L-2957 LUXEMBOURG ________________________________________

Téléphone/Téléfax:

4997 2177

4997 2179 ________________________________________

Internet: www.snpgl.lu

E-mail: [email protected] ________________________________________

No. IBAN SNPGL

CCPL LU63 1111 1910 4754 0000

No. IBAN Fonds de Secours:

CCPL LU79 1111 0442 7846 0000

No IBAN SNPGL Loisirs

CCPL LU25 1111 0477 0073 0000 ________________________________________

REDACTION: Albert RESSEL, Guy ALTMEISCH, Steve Barbangelo. Jhemp FELGEN, Alphonse KAPGEN,

Ernest KOHN, Charles MANDERSCHEID, Maurice

MEYSENBURG, Gaby RACH _______________________________________

SOMMAIRE:

Editorial 1

Léif Kolleginnen an Kollegen 3

Opgepasst ! 6

Wou ass d’Generalversammlung ? 7

Invitatioun A.G. 8

Ordre du Jour A.G. 9

Gewalt gegen Polizeibeamte 10

Werte Kolleginnen und Kollegen … 14

Um Rifo … 16

Ping – Pong 17

CGFP-Erfolge 23

La reproduction d’articles, même par extraits, n’est permise qu’avec l’autorisation du SNPGL

Les articles signés ne reflètent pas nécessairement l’avis du SNPGL Titelbild vum SNPGL

Editorial

Chères, chers membres,

Nous avions annoncé notre

assemblée générale ordinaire pour

le mercredi, 21 mars 2012 à

Hesperange au Centre Civique. Or,

le Grand-Duché de Luxembourg a

l’honneur d’accueillir SAR la Reine

Béatrice des Pays-Bas pendant la période du 20 au 22

mars 2012. Sachant que beaucoup de nos membres

seront de service à l’occasion de cette Visite d’Etat,

nous avons pris la décision de reporter notre assemblée

générale d’une semaine au 28 mars 2012.

En ce début d’année le conseil d’administration a été

encore et toujours sollicité dans le cadre des dossiers

relatifs à «la nouvelle loi sur la discipline dans la Force

Publique», «la réforme du statut de la Fonction

Publique» et «l’amendement de la loi sur la Police et

l’Inspection Générale de la Police».

Le projet de loi relatif à la discipline dans la Force

Publique a été déposé récemment à la Chambre des

députés. Comme nous le souhaitions cette loi concerne

l’Armée et la Police Grand-Ducale. Nous étions toujours

favorables à une loi disciplinaire unique pour la Force

Publique, donc l’Armée et la Police, les seuls corps de

l’Etat soumis tant au statut qu’à la discipline militaire.

Lors des discussions sur l’avant-projet de loi, nous

étions entre autres d’avis, comme la Chambre des

députés d’ailleurs, que l’Inspection Générale de la Police

devrait s’occuper des enquêtes dans le cas où un cadre

supérieur serait impliqué. Notre ministre de tutelle est

passé outre avec comme conséquence que les cadres

supérieurs de la Police se contrôleront eux-mêmes. On

peut conclure que le texte de loi sous analyse reste axé

principalement sur le contrôle des inspecteurs et des

brigadiers par le cadre supérieur de la Police. Nous

verrons bien si la Chambre des Fonctionnaires et

Employés Publics ainsi que le Conseil d’Etat seront du

même avis. Le SNPGL, pour sa part, ne cessera pas de

combattre par tous ses moyens cette décision

scandaleuse.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

En ce qui concerne les avant-projets en relation avec la réforme statutaire de la Fonction

Publique, nous avions en janvier une réunion avec Madame la Ministre de la Fonction Publique. Le

Syndicat Professionnel de la Force Publique (SPFP), donc le SNPGL ensemble avec les collègues

du Syndicat Professionnel de l’Armée Luxembourgeoise (SPAL) a présenté ses remarques et

doléances. Madame la Ministre nous informa en ce qui concerne la réforme en général.

Elle nous a rappelé que son ministère ne serait responsable que pour les points communs de la

Fonction Publique et que les détails seraient à résoudre avec le ministre de tutelle.

La réunion avec notre ministre de tutelle n’était pas encore fixée avant la rédaction du présent

éditorial.

L’étude en ce qui concerne les «accessoires de traitement», donc les primes, n’est pas encore

terminée, mais le sera, conformément à Madame la Ministre d’ici 2014. Des décisions seront

prises sur base des conclusions de cette étude.

Il est évident que le SNPGL ne sera pas d’accord avec d’éventuelles modifications à notre

désavantage.

Vu que nombre d’entre vous n’ont pas pu assister à l’assemblée générale le 23 mars 2011 à cause

d’une salle trop petite, compte tenu du succès extraordinaire de cette réunion, nous avons choisi

pour cette année une salle beaucoup plus grande, située également sur le territoire de la

commune de HESPERANGE.

Il s’agit de la salle des fêtes du Centre Civique.

Le SNPGL est fier d’annoncer à chaque occasion qu’il représente 96 % des collègues actifs des

carrières de l’Inspecteur et du Brigadier. Lors de notre assemblée générale, vous pourrez

montrer que les 96 % représentent le nombre non-négligeable de 1.623 policiers.

Tout est préparé pour vous accueillir le 28 mars 2012 à Hesperange.

Soyez nombreux au rendez-vous.

RESSEL Albert

DDEENNGG VVIIRRDDEEEELLEERR AAMM SSNNPPGGLL ZZEE SSIINNNN ::

IInntteerreesssseevveerrttrriieedduunngg ffiirr aallll MMeemmbbeerreenn !! ((DDuu bbaassss nnëëtt aalllleenngg ggeelloooossss!!))

HHëëlllleeff bbeeii ddee vveerrsscchhiiddddeenneenn RReekkllaammaattiioouunneenn vviiss àà vviiss vvuunn ddeerr HHiieerraarrcchhiiee..

SSttaarrkk vveerrbbëëlllleeggtt AAssssuurraannccee RRCC aann DD..AA..SS..

GGrraattiiss AAmmeerriiccaann--EExxpprreessss KKaaaarrtt.. NNoorrmmaalleenn BBääiittrraagg aassss 6600 €€

NNiiddrreecchh CCôôttiissaattiioouunn !! ((DD’’MMeemmbbeerreenn vvuumm CCoommiittéé sscchhaaffffeenn ééiirreennaammttlleecchh !!))

OOnnss SSttäärrkktt:: MMiirr ssiinnnn eenngg ggrroouussss CCoommmmuunnoottééiitt aa mmiirr sscchhaaffffeenn mmaamm SSPPFFPP,, aa

mmaatt ddeerr DDaacchhoorrggaanniissaattiioouunn CCGGFFPP zzeessuummmmeenn!!

TTrraannssppaarreennzz iiwwwweerrtt oonnss AAaarrbbeecchhtt:: HHoommee--ppaaggee,, BBuulllleettiinn,, CCoommiittéé iiwwwweerr

TTeelleepphhoonn ooddeerr MMaaiill zzee eerrrreeeecchheenn!!

……

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Léif Kolleginnen a Kollegen No mengem leschten Artikel ob dëser

Plaatz, koumen, an doriwwer sinn ech ganz frou, déi eng oder aner Wuertmeldung. Ech

fannen dat ganz gutt an hëllefräich, och wann een iwwer Aart a Weis vun dësen Reaktiounen diskutéieren kann. Jiddefalls

hunn ech mech mat dem engen oder aneren ausgeschwat. Ech muss awer och

eventuell en klengen Mia Culpa maachen, well ech verschidden Saachen villäicht net esou „direkt“ ausgedréckt hunn wei ech

dat gemengt hat. No dësen Gespréicher mat de Kollegen, mengen ech kennen ze

soen, dass mir eis ob engem gemeinsamen Nenner getraff hunn, ouni elo hei wëllen all

ze vill an Detailer anzegoen. Allerdings wärt ech an dësem Artikel déi eng oder aner Fro, resp. Ureegung zitéieren an et

aus menger Siicht duerstellen. Als Resumé kann een jiddefalls festhalen, dass ech

selbstverständlech dofir sinn, dass et an der Police no dem Motto soll goen „the right man on the right place“ an daat

awer ob all Plaaz an eisem Corps. Ech sinn 100% dofir dass een nëmmen soll

Chef ginn wann en och déi néideg Kompetenzen huet. Wann déi nei Reforme duerchgezunn gëtt, hëlleft dat sécherlech

och dass déi richteg Leit ob den richtegen Plazen bleiwen, an dat mengen ech elo net

ironesch. Ob dësen Sujet (Reforme an der FP) kommen ech ganz um Schluss nach eng Kéier zeréck. Et dierf een allerdings

net vergiessen, dass mir als Force de l’orde dofir sollen suergen, dass Gesetzer an

Reglementer agehalen ginn. Dann ass et jo net ze vill verlaangt, dass mir eis mol selwer un eis aktuell Reglementer halen,

an, wann se dann net méi deenen heitegen Bedürfnisser entspriechen, eben geännert

musse ginn.

Ech hu schonn an fréieren Artikelen geschriwwen, dass ech der Meenung sinn,

dass mir Chefen ob Plaatz setzen hunn resp. haten, déi des Plaatz net esou ausgefëllt hunn wei se sollen, fir et mol

diplomatesch auszedrécken. Wuelverstanen am Sënn vun hiren

Kompetenzen, Kënnen asw. Mee wien soll

dat festleeën? Ob mat enger „Jobdescription“ all Problemer geléist ginn?

Zumindest awer missten do mol déi schwaarz Schof duerchfalen a vun viraus

eliminéiert ginn. Déi nei Reform gesäit jo och fir en

Bewäertungssystem anzeféieren, géint deen ech näischt hunn, fir dat eemol hei kloerstellen

(huet ee Kolleg gemengt). Ech hat just eppes géint déi Aart a weis wei en sollt

ausgeféiert ginn an hunn do den Här Kaiser zitéiert „verfroossen Pabeiertiger“.

Mee dësen Problem ass jo elo aus der Welt geschaaft ginn andeems den zoustännegen Minstère festgehalen huet, dass des

Bewäertung elo nach 3 mol maximal an enger „Carrière“ soll gemaach ginn (ouni

Stageszäit). Des Bewäertung soll dann an den sougenannten „Point clefs“ vun enger Carrière duerchgezunn ginn. Mee,

Kolleginnen a Kollegen, en Bewäertungssystem hu mir schonn ëmmer

gehat. Fir an all Grad kennen ze avancéieren mussen oder zumindest solle mir schonn divers Konditiounen erfëllen

ënner anerem – moralité a capacité physique fir mol nëmmen des ze nennen.

Mir hunn also schonn Méiglechkeet, oder

besser gesot eis Chefen hunn déi, fir duerfir ze suergen, dass keen kann ob en Posten avancéieren wann en net den

richtegen Mann/Fraa dofir ass. Oder eemol ganz krass ausgeschwat, wei ass et

méiglech, dass een deen sech bei all klengem Géigewand „unwohl“ mellt, een

wou all Mënsch weess dass en gären, ëmmer an oft drénkt (mir schwätzen hei net vun Softgedrénks), een deen mat

kengem kann asw, Chef vun enger Unitéit gëtt? All Mënsch weess et, mä keen

ënnerhuelt eppes dogéint. Eréischt wann Kand am Pëtz leit, da gëtt haart gejaut an all Mënsch weess eppes ze soen zu dësem

oder deem oder huet et ëmmer scho gewosst.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Dann hat och een Kolleg geschriwwen, dass hien sech schonn géing fir den

Syndikalismus interesséieren, mä „Ënnert all deenen Leit, déi een vertrëtt, sinn eng ganz Rei schwaarz Schof, déi vum System

profitéieren. An ech sinn op kee Fall bereed, mech fir sou Leit anzesetzen.“

Ech kann dozou just soen, dass wann all

Mënsch esou géif denken, mir ëmmer nach déi Paien hätten wei virun e puer Joer, mir ëmmer nach giffen ënnert deenen

selwechten Konditiounen schaffen wei „Freier“ asw. Mech perséinlech nervt dat

och munchmol wann een eppes fir de Corps ereeschen well an dann „Fuuchtsäck“, fir den selwechten Kolleg ze

zitéieren, och dovun profitéieren. Mee elo mol éierlech, wou ginn et dann net der

sougenannter schwaarz Schof. Wei oft hunn ech schonn héieren „och wann ech

nëmmen 1 PV am Joer schreiwen, da kréien ech déi selwecht Pai“. Daat sinn Aussoen déi mech richteg rosen maachen,

mä soll ech, resp. den SNPGL sech elo net méi fir déi aner gudd leit asetzen, nëmmen

well en Angscht muss hunn, dass en schwaarzt Schof mat profitéiert. Ech perséinlech freeën mech jiddefalls wa mir

eppes erreechen an all Polizist profitéiert dovun, och wann ech am Hannerkapp

muss hunn, dass deen een oder aneren dovun profitéiert deen et net verdéngt huet.

Sécherlech kann een iwwert alles

diskutéieren. Eise Büro steet jiddefalls ëmmer ob wann een en Uleies huet.

Jiddefalls ass et ëmmer besser dass een iwwert eppes schwätz wei wann een séin Frust ofschleckt an dann an engem

gewësse Moment alles an jiddereen verdaamt.

Dann nach kuerz eng Kéier zu eisem

leschte Bulletin. „Wann ech elo just op är läscht SNPGL-Info zeréckkommen, wou,

vun insgesamt 25 Säiten, grousszügeg gerechent villäicht 9 Säiten een direkten gewerkschaftlechen Aspekt hunn, froen

ech mech ob et méicht méi Wichteges gëtt wie Propaganda an Reklammen.“ Enner

anerem des Zeilenëmbroch huet e Kolleg eis gemailt. Ech well eis elo net rechtfertegen, mä mir waren der Meenung,

dass dat wéinegt wat mir zu deem Zäitpunkt wossten, onbedéngt eisen

Memberen misst matgedeelt ginn. Dass dat dunn villäicht nëmmen 9 Säiten waren, ass duerchaus méiglech. Dofir hu mir

duerno jo nach eng Kéier en Informatiounsblad eraus geschéckt an

Newsletter (fir dei wou sech ugemellt hunn) un eis Memberen gemailt. Ech muss jo kengem soen, dass déi iwwer 1000

Säiten och hier Zäit gebraucht hunn fir gelies ze ginn. Ob dëser Plaatz jiddefalls e

grousse Merci fir all déi Ureegungen vun Kollegen déi sech den Text och ënnert den Nol gerappt hunn an eis hier Meenung

matgedeelt hunn.

Zu der Propaganda: haut wëssen e ganze Koup Leit guer net méi wei et

„Fréier“ war. Ufanksgehälter, Primen asw ginn als selbstverständlech ugeholl (ass jo

och richteg esou). Mee eis Virgänger waren et déi sech vir des „Selbstverständ-lechkeeten“ agesat hunn. An dofir

rappeléieren mir ëmmer erëm dass et wichteg ass engem Syndikat beizetrieden,

och wann een net mat alles d’Accord ass.

Zu den Reklamen: Et sinn keng Reklammen, well mir näischt dofir kréien. Mir hunn eis, iwwregens well ëmmer méi

leit duerno gefrot hunn mat ënner anerem der DAS zesummen gesat a gekuckt, fir eis

Memberen en besseren Tarif eraus ze schloen. A well DAS Nu mol déi war déi den beschten Tarif haten, hu mir eise

Memberen dat am Bulletin matgedeelt. A well ëmmer nach nei Memberen

bäikommen, steet et eben nach am Bulletin dran fir dass och des Memberen „am Bild sinn“. Genee dat selwecht gelt fir

American Express Kaart. Mee dëst just als Informatioun.

Ech mengen kennen ze soen, dass mir am

Moment awer ganz anerer, a vill méi grouss Problemer hunn. Dir wësst alleguer

dass déi grouss „Reforme“ virun der Dier steet. Ech ginn Gefill jiddefalls net lass, dass, an do mengen ech net nëmmen

Police, mä awer zu engem ganz groussen Deel, bei Lisette gelooss soll ginn. Ech hat

Méiglechkeet ze heieren, wat eis Kollegen aus deenen aneren Ënnerorganisatiounen vun der CGFP, vun hirer Entrevue bei den

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

zoustännegen Ministeren gehalen hunn. Et gëtt een Gefill net lass dass des Entrevuen

nëmmen zustanen koumen, well CGFP drop gehalen huet. Doléancen vun den eenzelnen Gewerkschaften sinn zwar wuel

ugelauschtert ginn, mä ech giff elo schonns bal soen, dass et domat dann och

gedunn ass. Ech sinn gespaant ob iwwerhaapt eng vun den Doleancen séin Nidderschlag am Projet fënnt, deen dann

deposéiert soll ginn.

An elo kennt PROPAGANDA:

Den 28 Mäerz hunn mir eis Generalversammlung zu Hesper am Centre

Kulturell. Jo mir hunn extra méi e grousse

Sall ugefrot, well mir der Meenung sinn dass et wichteg ass dass dir kommt.

Alleguer, ausser déi wou schaffen mussen. Mee och déi kennen, wann se grad e puer Minutten frei hunn, mat hirer Präsenz

weisen, dass se dozou geheieren. Elo gelt et. Mat enger staarker Präsenz weist dir

den Politiker an allen aneren dass mir eis esou einfach eisem Schicksal erginn an net mat allem d’Accord sinn wat do an deenen

1000 Säiten steet. Mir wëllen dat behalen waat mir hunn, well mir verdéngen eis et

all Dag.

Dofir alleguer den 28 Mäerz ob Hesper. A so net du häss et net gewosst wann et duerno ze spéit ass.

An dësem Sënn

FELGEN Jemp

Sekretär SNPGL

P.S. Am leschte Bulletin stoung nach dass GV den 21 Mäerz wier. Wéinst dem heegen Besuch aus

Holland, sinn mir dovun ausgaang, dass des Deeg vill vun eisen Memberen engagéiert sinn an

dann net kennen ob eis GV kommen. Dorfir hu mir decidéiert eis Versammlung ob den 28 Mäerz ze verleeën.

Dë SNPGL war staark, ass staark

a muss staark bleiwen… -

awer nëmmen wann’s Du Deng Gewerkschaft ënnerstëtzt!

Duerfir: Deng Plaatz zu Hesper

dierf nët eidel beiwen!

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

SSyynnddiiccaatt NNaattiioonnaall ddee llaa PPoolliiccee GGrraanndd--DDuuccaallee LLuuxxeemmbboouurrgg aa..ss..bb..ll..

OO pp gg ee pp aa ss ss tt !!

RReeggiioonnaallvveerrssaammmmlluunnggeenn

Méindes, den 05. März 2012 um 18,00 Auer

Esch/Uelzecht Salle de réunion

Direction Régionale

2ième

étage

Mëttwochs, den 07. März 2012 um 18,00 Auer

Lëtzebuerg Ecole de Police

Salle „Stuff“

Donneschdes, den 08. März 2012 um 18,00 Auer

Dikrich Salle de réunion

„nouveau bâtiment“

Freides den 09. März 2012 Generalversammlung vun der IPA Letzebuerg

11 22 .. GG EE NN EE RR AA LL VV EE RR SS AA MM MM LL UU NN GG ::

MMëëttttwwoocchhss,, ddeenn

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HHeessppeerr ((CCeennttrree CCuullttuurreell))

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Syndicat National de la Police Grand-Ducale Luxembourg a.s.b.l. - affilié au Syndicat Professionnel de la Force Publique

- affilié à la C.G.F.P.

- affilié à l‘EuroCOP

- R.C.S. Luxembourg F988

Adresse retour :

SNPGL

L-2957 Luxembourg

Lëtzebuerg, den 1.ten Mäerz 2012

Kolleginnen a Kollegen,

De Comité vum SNPGL invitéiert dech op déi statutaresch Generalversammlung, déi

mëttwochs, den 28. Mäerz 2012, um 18.00 Auer

zu Hesper, am Festsall vum Centre Civique, rte de Bettembourg/rue Gaessel, stattfënnt.

Den SNPGL, déi enzëg Policegewerkschaft vu Lëtzebuerg, déi dëse Numm verdengt, also deng Gewerkschaft, mir alleguerten zesummen, sti virun der enormer Erausfuerderung, eis Errungenschaften, déi eis Virgänger daaper erschafft an zum Deel och erkämpft hun, missen ze verteidegen.

Jo, et as esou wäit, dass mer eis mussen definitiv dorop astellen, dass se eis un de Pelz wëlle goen. Wen sin si? Et sin net nëmmen déi Ministeren, déi fir eis Verwaltung zoustänneg sin, nee, et sin se alleguerten, déi ganz Regierung steet jo dohannert.

De Moment, wou mir dat heiten an ´Dréckerei ginn, hu mir nach ëmmer keng Detailler kritt, wéi et fir eis Carrièren soll ausgoen. Mir mussen eis op dat Schlëmmst virbereeden.

E klengen Deelerfolleg kënne mir eis all op eis Kap schreiwen: nämlech, dass fir de Moment eis Primen nach net ugegraff gin. Bis virun de nächste Wahlen soll eng Etude iwwert sämtlech Primen beim Staat opgestallt ginn. Déi nächst Regierung soll dann dëst waarm Eisen upaacken.

Dofir heescht et elo méi wie je, dass mer mussen zesummenhalen an dëst bei eiser Generalversammlung no baussen weisen.

D’Regierung soll wëssen, dass se sëch mat der Police kee Spaass duerf erlaben!

Fir de Comité vum SNPGL

Maurice MEYSENBURG Generalsekretär

Albert RESSEL Präsident

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

12ème

Assemblée Générale

du

SYNDICAT NATIONAL DE LA POLICE GRAND-DUCALE LUXEMBOURG asbl (SNPGL)

Mercredi, le 28 mars 2012

à 18.00 heures

Salle des Fêtes du Centre Civique à Hesperange

rte de Bettembourg/rue Gaessel

Ordre du jour

1. Ouverture de l’assemblée générale par le président Aly RESSEL

2. Allocution de bienvenue de Monsieur Marc LIES, député-maire de la commune de

Hesperange

3. Rapport d’activité des secrétaires Maurice MEYSENBURG et Jean-Paul FELGEN

4. Discours du président Aly RESSEL

5. Rapport financier du trésorier Nico EICHER

6. Rapport financier du gérant du Fonds de Secours Jacques HEINTZ

7. Rapport des commissaires aux comptes

8. Approbation des comptes

9. Désignation des commissaires aux comptes

10. Questions au conseil d’administration

11. Vote de l’assemblée générale sur les activités du conseil d’administration

12. Le mot de la fin par le président Aly RESSEL

N.B. Les questions au conseil d’administration (point 10 de l’ordre du jour) doivent nous parvenir

pour le vendredi, 23 mars 2012 au plus tard.

**************************

Le Verre de l’Amitié sera offert par l’Administration Communale de Hesperange

**************************

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Gewalt gegen Polizeibeamte

Bereits seit einigen Jahren kann man feststellen, dass der gegenseitige Respekt wie er in einer zivilisierten Kultur gegenseitig zu schulden ist langsam aber sicher aus dem Weichbild

der Gesellschaft verschwindet. Viele beanspruchen für sich das Exklusivrecht auf Wahrheit und Recht und lassen fremde Meinungen nicht zu. Nur wenigen gelingt es noch einen Konflikt argumentativ und gewaltfrei zu lösen und immer öfters sind Streitereien mit Gewaltexzessen, Drohungen und Beleidigungen verbunden. Schlichten können nur wenige in der Gesellschaft diese Art von Auseinandersetzung. Und hierzu gehören besonders: Polizeibeamte in Uniform! Sie könnten einigend und beratend eingreifen, was vor einigen Jahren noch problemlos möglich war. Ältere Polizeibeamte und pensionierte Kollegen dürften sich mit Wehmut daran erinnern, dass die überwältigende Zahl der Einsätze dieser Art mit einer Aussöhnung beider Konfliktparteien endete. Heute allerdings sieht die Welt anders aus … Polizeibeamte sind zwischenzeitlich selbst zu Opfern von Gewalt worden.

Sie werden beleidigt, bespuckt, getreten, geschlagen, bedroht und verletzt. Hierfür gibt es eine nahezu endlose Anzahl von Beispielen, wovon wir hier zum Einstieg nur drei Beispiele anführen möchten.

Montag, 21. Juni 2010 05.30 Uhr

Schlägerei in der Hauptstadt. 15 bis 20 Personen sollen darin verwickelt sein. Sofort eilen Polizeibeamte des zuständigen Kommissariates herbei. Anfangs können diese die Schlägerei nicht orten, entdecken dann aber eine große Blutlache. Die Beamten folgen der Blutspur und treffen dann an einer Bushaltestelle auf einen stark blutenden Mann. Dieser weist eine deutliche Schnittverletzung auf. Der Verletzte legt beim Eintreffen der Polizeibeamten ein besonders aggressives Benehmen an den

Tag. Schnell wird aufgrund der stark blutenden Wunde eine Ambulanz angefordert. Der Verletzte versucht sich vom Ort des Geschehens weg zu bewegen um den Urheber seiner Schnittverletzung zur Rechenschaft zu ziehen. Angesichts seines hohen emotionellen Grades an Aggressivität wird der Verletzte einstweilen von den vor Ort agierenden Polizisten zurückgedrängt und die Beamten reden beruhigend auf ihn ein. Allerdings fruchten sämtliche Überredungskünste der Polizeibeamten nicht. Der Verletzte schreit weiter und gestikuliert wie wild herum. Immer mehr Schaulustige eilen nun an den Ort des Geschehens.1 Mittlerweile muss der Mann festgehalten werden, da er zunehmend aggressiver und aufbrausender wird. Die Lage droht zu eskalieren. Die Beamten fordern ein erstes Mal Verstärkung an. Alle verfügbaren Einsatzkräfte auf dem Gebiet der Hauptstadt verfügen sich nun zum Ort der Handlung. Sofort bilden die nach und nach eintreffenden Beamten einen kreisrunden Sicherheitskorridor zwischen der Menschenmenge und den in Bedrängnis geratenen Beamten. Zwischenzeitlich und nach Einschätzung der Beamten vor Ort haben sich nun sehr rasch zirka 300 Personen vor Ort angesammelt. Das am Boden liegende Opfer ist von schwarzer Hautfarbe und die Schaulustigen sind es auch. Die Menge verwandelt sich langsam aber sicher in einen aggressiven Mob, welcher nicht zu verstehen scheint, dass die Polizei vor Ort helfend und schützend eingegriffen hat. Die Menge heizt sich gegenseitig auf und versucht schließlich den Sicherheitsring der Polizisten zu durchbrechen. Hieraufhin entsteht ein wilder Schlagabtausch zwischen Angreifern und Polizeibeamten. Letztere, in hoffnungsloser Unterzahl und überrascht von dem plötzlichen Gewaltausbruch, sehen sich gezwungen Pfefferspray einzusetzen um

1 Anmerkung des Artikelschreibers: Viele Leute hatten an

diesem Tag in der Hauptstadt gefeiert und befanden sich auf dem Nachhauseweg.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

die Angreifer auf Distanz zu halten. Die Widersacher weichen daraufhin einige Meter zurück und greifen zu sämtlichen auffindbaren Gegenständen und bewerfen die Ordnungshüter damit. Hierunter befinden sich sowohl Flaschen als auch Steine. Die Polizisten müssen nun jede Deckungsmöglichkeit nutzen um ihre physische Unversehrtheit zu sichern. Ein zweites Mal sehen sich die Beamten gezwungen Verstärkung anzufordern. Dieses Mal landesweit! Zur gleichen Zeit trifft die herbeigerufene Ambulanz ein. Die verletzte Person wird mit dem Krankenwagen in Sicherheit und zum diensttuenden Hospital gebracht.

Die Angreifer lassen derweil nicht von den sich verteidigenden Polizeibeamten ab und während den nun folgenden 60 Minuten kommt es erneut zu einem wilden Schlagabtausch. Den in Bedrängnis geratenen Polizisten gelingt es einige der Angreifer festzunehmen. Hierbei müssen Erstere höllisch Acht geben, nicht selbst Opfer einer Verletzung zu werden. Zwischenzeitlich treffen die Verstärkungen aus Mersch, Differdingen, Düdelingen und Esch/Alzette ein. Jetzt erst entfernen sich immer mehr Angreifer vom Ort des Geschehens, so dass der Aufstand nach fast 90 Minuten durch die massive Polizeipräsenz niedergeschlagen werden konnte.

Inzwischen ist auch die Meldung eingegangen, dass soeben eine zweite Person mit Schnittverletzungen im diensttuenden Krankenhaus eingeliefert wurde. Offensichtlich der Kontrahent des anderen Verletzten, welcher vorher durch die Polizeibeamten aus der Gefahrenzone evakuiert wurde. Die Polizisten erhalten später Meldung, dass die beiden Streithähne im Krankenhaus erneut aneinander geraten sind. Sofort verfügt sich eine Polizeipatrouille ins diensttuende Krankenhaus um Schlimmeres zu verhindern. Die Untersuchung kann nicht sofort in Angriff genommen werden. Beide Streithähne haben sich gegenseitig derart schwer verletzt, dass sie sofort notoperiert werden müssen …

Freitag, 09. Juli 2010 02:15 Uhr

Im Einzugsgebiet einer größeren Ortschaft, nahe der belgisch-luxemburgischen Grenze kommt es zum Streit. Mittlerweile sind 50 (fünfzig) Personen darin verwickelt. Die Polizei wird eiligst zur Hilfe gerufen … Am Ort des Geschehens sehen sich 10 Polizeibeamte einer ihr feindlich gesinnten Menschenmenge gegenüber. Die meisten Personen dieser Ansammlung haben einen Migrationshintergrund. Den Anordnungen der Polizei wird keinerlei Folge geleistet und die Polizisten werden von der Menge ‚belehrt’ dass sie ihr nichts zu sagen hätten. Es folgt eine Vielzahl von Beleidigungen an die Adresse der Ordnungshüter, die mittlerweile von einigen Personen hin- und her geschubst werden. Zu einem gegebenen Zeitpunkt, versucht sogar eine einzelne Person sich der Dienstwaffe eines der anwesenden Polizeibeamten zu bemächtigen. Der verantwortliche Einsatzleiter vor Ort sieht sich gezwungen den Einsatz abzubrechen um Schlimmeres zu verhindern …

Samstag, 10. Juli 2010 03:20 Uhr

Zwei Polizeibeamte bemerken dass eine Schenke im Süden des Landes trotz fortgeschrittener Stunde noch geöffnet ist. Mehrere Gäste befinden sich noch auf der Terrasse. Die beiden Kollegen wissen, dass der Inhaber und Gaststättenbetreiber vor 45 Minuten bereits von einer anderen Polizeipatrouille auf diesen Umstand aufmerksam gemacht wurde, mit der deutlichen Aufforderung verbunden sein Lokal zu schließen. Die beiden Polizisten machen den Lokalbetreiber erneut auf sein Fehlverhalten aufmerksam. Er soll sein Lokal schließen. Im Anschluss an diese Aufforderung verpasst der Besitzer des Lokals einem der beiden Polizisten einen Faustschlag mitten ins Gesicht. Hieraufhin folgen weitere Faustschläge des Gastwirten in Richtung des mittlerweile verletzten Polizeibeamten. Als die beiden Polizisten versuchen den gewalttätigen Gastwirt unter Kontrolle zu bringen, eilen diesem zirka 30 (dreißig) Gäste ‚zur Hilfe’. Die Polizeibeamten, die mittlerweile umzingelt sind, werden von der Meute hin- und

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

hergeschubst und diese versucht den Gastwirt ‚zu befreien’. Gegenstände werden auf die in Unterzahl agierenden Polizeibeamten geschossen, es hagelt Schläge von allen Seiten (in Richtung Polizeibeamte) und schlussendlich wird einer der beiden Ordnungshüter stranguliert. Erst als Verstärkung (zwei weitere Beamte) eintrifft, gelingt es den 4 Polizisten unter den größten Anstrengungen den wütenden Lokalinhaber sicher im Dienstfahrzeug unterzubringen. Während dem Abtransport des Gewalttäters, wurden weiterhin Gegenstände auf die Beamten geworfen. Die Gäste schrien dem abgeführten Gastwirtschaftsbetreiber Durchhalteparolen zu und dass sie ihm als Zeugen zur Verfügung stehen werden.

Lieber Leser, solltest du Polizeibeamter sein und deinen Dienst beispielsweise auf einem Interventionszentrum verrichten oder solltest du anderswo öfters im direkten Kontakt mit den Bürgern und Bürgerinnen dieses Landes stehen, wird dich dieser Artikel bis hierhin nicht richtig erschüttert haben. Du weißt Bescheid! Solltest du aber nicht im Polizeidienst arbeiten, ist jetzt wohl Aufklärung angesagt:

Die oben angeführten Fallbeispiele haben sich so zugetragen wie sie dort niedergeschrieben sind. Sie wurden lediglich in der Form abgeändert, dass keine Rückschlüsse mehr auf die Täter, den Ort, den Tag des Geschehens und die angegriffenen Polizeibeamten zu ziehen sind. Fakt ist, dass ähnliche Beispiele zum Alltag des Polizeiberufs gehören.

Ursachenforschung ist also angesagt. Es ist nicht schwer herauszufinden, dass große Teile unserer Gesellschaft ein Problem mit Autorität haben. Man begegnet diesem Phänomen tagtäglich. Zugschaffner, Schiedsrichter, Feuerwehrleute, Lehrer um nur diese einmal anzuführen, könnten ein Lied davon singen. Und auch Polizeibeamte machen hier keine Ausnahme mehr. Im Gegenteil! Es scheint manchmal so als ob die Uniform der Polizisten, diese zu Zielscheiben macht. Dabei hat die gleiche Uniform sie noch bis vor ein paar Jahren geschützt. Als nicht mehr ungewöhnlich gilt in

Polizeikreisen auch die Tatsache, dass Polizisten sich immer öfters provozierenden und herausfordernden Jugendlichen gegenübersehen. Man ist geneigt die Frage zu stellen: „In was für einer Welt leben wir eigentlich!?“

Grundsätzlich sollte einmal klargestellt werden, dass Polizeibeamte gute und hilfsbereite Menschen sind. Sie eilen zu jeder Tages- und Nachtzeit zur Hilfe. Jedem! Sie machen keinen Unterschied zwischen Arm und Reich, zwischen nett und weniger nett oder zwischen schwarz und weiß. Kurz: Polizisten stehen im Dienste des Bürgers wie kaum eine andere Berufsart. Sie beschützen ihn nicht nur, sondern dienen ihm auch. Diejenigen in der Gesellschaft, die damit ein Problem haben, sollten sich einmal ein Leben ohne Polizei vorstellen. Was wäre dann? Würden die Stärkeren nicht die Schwächeren unterdrücken? Oder anders formuliert: Wären dann nicht Anarchie, Tor und Angel mit einem Mal geöffnet!?

Der Gesetzgeber sieht beim Strafbestand der Rebellion eine Gefängnisstrafe und/oder Geldstrafe vor. Dies ist richtig und gut so. Wäre da nicht eine Möglichkeit dabei straffrei auszugehen, die uns Kopfzerbrechen bereitet. Befindet man sich nämlich in einem pathologischen Trunkenheitszustand zum Zeitpunkt der Rebellion kann man dabei völlig straffrei ausgehen. In etwa könnte man noch mildernde Umstände akzeptieren … aber gänzlich straffrei!? Das geht entschieden zu weit! Das hat auch nichts mehr mit den Realitäten von heute zu tun. Übrigens stammt diese Jurisprudenz aus dem Jahre 1959 und ist im Strafgesetzbuch nachzulesen. Rechtsanwälte wissen das. Eine Anpassung an die Wirklichkeiten von heute ist längst überfällig! Diese Jurisprudenz gehört zumindest entschärft oder abgeschafft. Wie dem Artikelschreiber mehrfach zugetragen wurde, soll besagte Jurisprudenz bei der Urteilsfindung keinerlei Berücksichtigung mehr finden. Ein Grund mehr diese abzuschaffen oder aber in der Form zu entschärfen, dass lediglich mildernde Umstände zugesprochen werden können. Das SNPGL wird nicht akzeptieren, dass krankhafte Alkoholiker im Delirium

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Polizisten straffrei verletzen und im schlimmsten Fall sogar straffrei töten können. Das geht nicht!

Eine im Mai des Jahres 2011 eingesetzte Arbeitsgruppe des SNPGL hat einen Massnahmenkatalog ausgearbeitet und das neue Gewaltphänomen aus mehreren Blickwinkeln betrachtet. Festgestellt wurde, dass diesem Phänomen alleine mit restriktiven Mitteln nicht mehr beizukommen sein wird. Zwischenzeitlich müssen präventive Lösungsansätze her, die am Ende, sollten sie nicht fruchten, in legaler Repression münden müssen. Und last but not least … obwohl am meisten davon betroffen, kann die Großherzogliche Polizei gegen diese Negativerscheinung nicht mehr alleine vorgehen. Partnerschaften und Schulterschlüsse sind angesagt.

Für diejenigen Straftäter die Polizeibeamten Gewalt antun, fordert das SNPGL einstweilen zeitnahe Verurteilungen. Jemandem der Gewalt gegen Polizeibeamte ausübt, sollte die Freiheit rasch entzogen werden. Notfalls müssen Gesetzestexte in der Form abgeändert werden, dass solch gewalttätige und dadurch gefährliche Straftäter zeitnah weggesperrt werden können. Es glaubt doch sicher niemand im Ernst daran, dass Schläger die Polizisten angreifen und verletzen noch Halt vor anderen Mitbürgern machen? Es erübrigt sich in diesem Konnex wohl über Hemmschwellen zu reden.

Selbst wenn es bei Einsätzen zu geringen körperlichen Verletzungen kommt oder es „nur“ Beschimpfungen oder Beleidigungen hagelt, sollte niemand sich Illusionen machen. Auf Dauer geht das nicht spurlos an der Psyche des einzelnen Polizeibeamten vorbei. Betroffene Kollegen haben dem Artikelschreiber mitgeteilt, dass sie Probleme im Umgang mit anderen Menschen haben und sich zunehmend isolierter fühlen. Einige leiden unter Schlafstörungen und /oder haben Partnerschaftsprobleme, nachdem sie im Dienst Opfer von Gewalt wurden. Jeder weiß, dass diese posttraumatischen Belastungsstörungen sich negativ auf die Ausübung des Polizeiberufes auswirken.

Es besteht akuter Handlungsbedarf. Nicht morgen, sondern heute. Vor allem die Politik, aber auch die Gesellschaft, mit ihren Schulen, Vereinen und Elternhäusern sind gefordert. Jeder Einzelne muss seinen Teil dazu beitragen. Warten bis etwas passiert ist, um erst dann zu reagieren ist schlicht und einfach unverantwortlich! Das sollten sich vor allem diejenigen merken die versuchen dieses brutale Gewaltphänomen herunterzuspielen.

Erny KOHN Vizepräsident des SNPGL

FFIIRRWWAAAATT SSOOLLLLSS DDUU OOPP DD’’GGEENNEERRAALLVVEERRSSAAMMMMLLUUNNGG KKOOMMMMEENN??

Hei e puer Äntwerten:

Jonken Beamten, 4 Joer ugestallt:

„Mir musse weisen, dass mir ons nët alles gefaalen loossen!“

Jonken Beamten, 6 Méint ugestallt:

„Well et ons all betrëfft !“ Geet et nach méi einfach?!

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

WWEERRTTEE KKOOLLLLEEGGIINNNNEENN UUNNDD KKOOLLLLEEGGEENN

Als am Mittwoch, den 23. März 2011 unsere Generalversammlung im Centre Braun

in Hesperingen stadtfand, wurden sogar die anwesenden Politiker mächtig

überrascht. Vor dem Versammlungslokal stauten sich die Mitglieder die keinen Platz

mehr im Saal fanden. Der Saal war zu klein für die anströmenden

Gewerkschaftsmitglieder. Ja, einige mussten sogar die Heimreise antreten, wegen

fehlender Parkplätze!!

Wieso dieser Ansturm?

Wenige Wochen vor unserer Versammlung wurde die „Etude concernant la Fonction Publique“

bekannt. Uns drohten unter anderem finanzielle Einbussungen von über 900 € monatlich! Die

Mitglieder wurden hierüber informiert und brachten ihren Unmut vor. Und so wurde aus einer

Routinesitzung eine richtige Gewerkschaftgeneralversammlung. Applaus während den vorgetragenen

Reden, Unmutsäusserungen usw.

Die massive Präsenz und die Unmutsäusserungen hinterliessen bei den anwesenden Politikern und

Presseleuten einen bleibenden Eindruck. Dies wurde uns nachträglich bestätigt.

Resultat?

Das „stramme“ Bewertungssystem in dem die Staatsbeamten kündbar werden sollen, wurde

entschärft!

Die „Prime d’astreinte liée à la fonction“ stand zur Disposition, d.h. sollte nur noch für die

Kolleginnen und Kollegen zählen, die auf Schicht arbeiten. Diese Entscheidung wurde auf

2014 verschoben!

Die „Prime de régime militaire“ stand ebenfalls zur Disposition! Auch diese Entscheidung

wurde auf 2014 verschoben!

Dienstwohnungen sollten abgeschafft werden! Zumindest ist einstweilen die Vergütung der

Taxen vorgesehen.

Die Prämien (Astreinte und Militärregime) bleiben also einstweilen bestehen (bis 2014). Diese

Zurücksetzung ist zweifelsohne das Resultat deiner massiven Präsenz!

Eines mögen die Politiker nicht: negative Kritiken in der Öffentlichkeit.!

Und 2012?

Am Mittwoch, den 28. März 2012 findet um 18,00 Uhr in Hesperingen unsere diesjährige

Generalversammlung statt. Diesmal in dem Kulturzentrum in der Bettemburger Strasse nur einige

Hundert Meter vom letztjährigen Saal! Hier finden wir bessere Stationierungsmöglichkeiten und einen

grösseren Saal!

Auch hier müssen wir massive Stärke zeigen. Folgende Projekte, die uns voraussichtlich keine

Vorteile beschaffen werden, im Gegenteil, stehen an:

Reform des öffentlichen Dienstes!

Rentenreform

Disziplinarreglement

Wie du, verehrtes Gewerkschaftsmitglied, aus diesen Einzelheiten sehen wirst, geht unser/dein Kampf

in die nächste Runde. Und wieder werden Argumente und die massive Präsenz unserer Mitglieder uns

helfen, unsere = EURE, Forderungen bestmöglich durchzusetzen. Bei mehreren Zusammentreffen des

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

SNPGL-Vorstandes mit den verschiedenen Ministern wurde ersichtlich, dass uns ein rauher

Gegenwind ins Gesicht blässt.

Innerhalb der Gewerkschaft wurde kontrovers diskutiert, und das ist gut so! Leider entstand hie und da

eine gewisse Polemik. Dies, weil verschiedene, interessierte Mitglieder, einige Artikel der

Gesetzesprojekte aus dem Zusammenhang rissen, und/oder bloss ihre persönliche Situation

betrachteten. Auch wurde schon mal den Mann gespielt, anstatt den Ball! Diese Polemik hat sich

gelegt und es ist wieder Sachlichkeit eingetreten.

In den anstehenden Regionalversammlungen werden die Vorstandsmitglieder auf diese Punkte

eingehen und mit den interessierten Kolleginnen und Kollegen diskutieren. So funktionniert

Demokratie.

Stehe für deine Meinung ein. Unterstütze deine Gewerkschaft, Vertreterin von über 96 % der

Polizistinnen ud Polizisten!

Eines ist sicher:

AAUUSSCCHHLLAAGGGGEEBBEENNDD WWIIRRDD AAUUCCHH DDIIEESSMMAALL DDIIEE MMAASSSSIIVVEE PPRRÄÄSSEENNZZ DDEERR

MMIITTGGLLIIEEDDEERR BBEEII DDEERR GGEENNEERRAALLVVEERRSSAAMMMMLLUUNNGG SSEEIINN!!

Es ist DEINE Generalversammlung!!!

Bei den Politikern und auch in der Presse muss nachhaltiger Eindruck entstehen!

Betroffen sind ALLE, aber besonders die jungen Beamtinnen und Beamten. Auch die, die noch in der

Ausbildung in der Polizeischule sind! Wenn Ihr mit den beträchtlichen Benachteiligungen die in den

verschiedenen Projekten vorliegen, einverstanden seid, dann braucht Ihr NICHT zu der

Generalversammlung am 28. März 2012 zu kommen! Ansonsten:

Diesmal geht es wirklich um die so oft zitierte „Wurst“.

WWEENNNN NNIICCHHTT JJEETTZZTT,, WWAANNNN DDAANNNN!!

Also: bis zum 28. März 18,00 Uhr!

Charel Manderscheid Rentner, jedoch zu deiner Verfügung von Montags bis

Mittwochs von 08,30 bis 11,30 Uhr in deinem

Gewerkschaftsbüro!

Kollegin, Kolleg -wann d‘Sozialerrungenschaften (Congé, Rouhdeeg asw), de Niveau

vun dengem Gehalt, d‘Erhalen vun denge Primen an denger Pensioun dir net egal sinn

-wann‘s du hannert denger Gewerkschaft stees -wann Solidaritéit an Eenegkeet keng Friemwierder fir dech sinn dann sin ech glécklech dech Kolleg an Kollegin op eiser Generalversammlung ze

begréissen.

GUY ALTMEISCH CP Bieles

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

UUMM RRIIFFOO ........

• De RIFO leeft souzesoen op der Felge a schafft aktuell mat 27 Leit woubäi de Chef

an säin Adjoint matgerechent senn. Den „échec“ vum neie System aus Manktum un

Effektif gouf well 2009 virausgesin an gett awer duerchgezunn. D’Leit schaffen bis

zu 14 Deeg um Stéck!1

• Police iwwerhellt an noher Zukunft all Gefangenentransport sou datt den UGRM

massiv Leit brauch.2

• Effektiver vun verschidden Unitéiten senn 12 Joer no der Fusioun nach emmer um selwechte Stand

wéi am Joer 2000. 3

(Bsp C.I. Wolz)

• Enner anerem d’Stad (Gare) soll weider opgestockt gin. 4

• Eng 50 Commissiaires en chef stinn virum Pensiounsalter.5

• Déi nächst 12. Promotioun zielt aktuell 51, déi läscht 13. Promotioun zielt nach 35 Schüler an der

Policeschoul. 3

• Enner anerem de Miess- an Erkennungsdéngscht resp. SPJ an SREC schaffen schon laang iwwert

dem Limit.

D’Leit wessen mat internen Emstrukturéierungen e.a. am SRPR, SRPS an SREC net méi wou a wéi se

an Zukunft schaffen.

Mir senn net am Zirkus an awer jongléiere mer mat den Zuelen an Effektiver vir de Public ze

berouegen.

Et geet vir an hannen net duer an Zuelen weisen datt keng Besserung an Aussicht ass.

D’Generaldirektioun liwwert weider politesch korrekt Aentwerten op parlamentaresch Froen fir

d’Gemidder vum grousse Public ze berouegen.

D’Gemidder an der Police senn awer um kachen!

Gewalt géint Police hellt wéi an den Nopeschlänner zou an trotzdem as net virgesinn vir d’Artikelen

iwwert d’Rebellioun am C.P. unzepassen.4

1.470 ongefiltert Androungen am JDI wéinst Rebelliounen an de läschte 6 Joer

66 Affairen wéinst Rebellioun 2010 an der Sitzung wat net heescht datt dat 66 Affären aus dem Joer

2010 senn.

Den Art 32. aus dem Statut du Fonctionnaire iwwert d’Protectioun vum Fonctionnaire gett mat

Directiven gedréint a gekéiert bis d’Beamten aleng do stinn an den Staat aus senger Verantwortung

raus as.

Et geet mettlerweil net nemmen méi aleng em d’Staatsbeamtenrefom mee dorëms datt mir net méi fir

serieux geholl gin.

Datt mer domadder net méi averstanen sënn, musse mer duerch eis massiv Präsenz op der

Generalversammlung den 28ten Mäerz 2012 weisen. D‘Politik an Direktioun mussen erkennen datt

mir och eng Stëmm hunn!

1 rapport 2009/049206 vum 26.11.2009 + Dengschtplang RIFO 2011)

2 Projet de loi °n

6382 3 Liste de dislocation

4 Aentwert op d’parlamentaresch Fro n°1813 v. 22.12.2011

5 Liste d’anciennetée

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

PPPIIINNNGGG .........

PPPOOONNNGGG ...

Das überzeugende Wortspiel von Ansicht und Antwort. (Basierend auf einem Faltblatt der Gewerkschaft der deutschen Polizei)

Ansichten:

"Gewerkschaft? Nein danke! Ich kann gut für mich alleine einstehen!" "Es hat sowieso alles keinen Zweck!" "Ich lass mich doch nicht vor den Karren einer Gewerkschaft spannen! "Wozu Gewerkschaft? Die uns Regierenden sitzen heute ja doch am längeren Hebel

!" "Mir ist der Beitrag zu hoch !" "Haftpflicht das geht auch ohne SNPGL. Ich bin privat versichert !" "Als einfaches Mitglied bin ich doch nur ein Rädchen im Getriebe ¨!" "Beitritt und Ende: Ich zahle brav meinen Jahresbeitrag und höre nichts mehr!"

Ping ... "Gewerkschaft? Nein Danke! Ich kann gut für mich alleine einstehen!" Pong ... Aus der Sicht des Einzelnen mag diese nicht seltene Einstellung vielleicht

stimmen. In der Praxis stösst sie allerdings schnell an Grenzen. Wer hat schon was gegen Eigenverantwortung und Selbstbewusstsein?

Eigenverantwortung und Selbstbewusstsein sind wichtig. Daran zweifelt niemand. Dennoch hat der

Einzelne letztlich keine Alternative - es ist und bleibt unverzichtbar, einer Gewerkschaft beizutreten.

Das SNPGL schätzt Eigeninitiative. Und sie schätzt Solidarität und Gemeinschaft - denn das macht sie so

stark. Im gesunden Eigeninteresse des einzelnen Mitglieds. Solidarität und Eigeninitiative schliessen sich

nicht aus.

Wer für sich alleine stehen möchte, zeigt damit klar und deutlich, dass er (oder sie) genügend

Selbstbewusstsein und einen wohl unerschütterlichen Glauben an das eigene Durchsetzungsvermögen

mitbringt. Selbstbewusst im Arbeitsumfeld, nicht zuletzt im Umgang mit Vorgesetzten und dem

Dienstherrn, sind dem SNPGL mehr als willkommen. Stolz auf Können und Kompetenz ist jeder

Kollegin und Kollegen nur von Herzen zu wünschen.

Aber, Hand auf‘s Herz: Spricht etwas Selbstbewusstsein dagegen, dem SNPGL beizutreten? Nein, es spricht dafür: Wir sind

durch unsere Mitglieder stark geworden. Und umgekehrt werden selbstbewusste Mitglieder noch stärker

durch den SNPGL. Denn hier haben sie mehr Möglichkeiten als im Alleingang. Denn hinter dem SNPGL

stehen über 2100 Mitglieder. Das ist eine Stärke, die im Falle eines Falles, selbst die selbstbewusstesten

Kolleginnen und Kollegen dankbar zu schätzen wissen. Beispielsweise, wenn es Probleme mit

Vorgesetzten oder in Disziplinarangelegenheiten gibt.

Bei Rechtschutzangelegenheiten, bei einem Unfall mit dem Dienstfahrzeug oder Waffeneinsatz im Dienst.

Manchmal wirkt es schon Wunder, wenn ein SNPGL-Vertreter bei einer Unterredung zugegen ist, in der

ein Vorgesetzter und ein Beamter nach einer Lösung ihrer Differenzen suchen.

Darauf ist Verlass: Das SNPGL steht ihren Mitgliedern zur Seite. Mit Vertrauensleuten, die sich engagieren und die für ihre Mitglieder handeln. Mit allem Beistand.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Es gibt immer mehr Zweifel an der Politik. Das führt zu vermindertem Interesse. Früher waren die Fronten auch klarer - auch die Linien zwischen Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmern auf der einen Seite und den Arbeitgebern auf der anderen. Dies ist einer der Gründe dafür, weshalb die Bereitschaft, sich gewerkschaftlich zu organisieren nicht immer so klar und eindeutig gesehen wird - wie es notwendig wäre. Abseitsstehen aber führt zu nichts.

Ping ... "Es hat sowieso alles keinen Zweck" Pong ... Frust ist ein schlechter Ratgeber. Und Resignation bringt niemanden weiter. Die Alternative: Handeln - oder das Heft aus der Hand geben.

Jeder sollte sich eindringlich fragen , ob er oder sie in Zukunft im gesellschaftlichen Leben und im

Arbeitsleben noch ein Handelnder sein will oder ob über seinen eigenen Kopf hinweg verhandelt und

gehandelt wird. Mitmischen oder abnicken - das ist die Frage.

Fest steht: Gewerkschaft in der Demokratie versteht sich nicht nur als tarifvertragliche, sondern auch als

gesellschaftliche mitgestaltende Grösse, z.B. beim Arbeitsschutz ... Und gewerkschaftliches Engagement

kann einiges bewegen, beispielsweise die grosse SPFP-Demonstration 1986 (nach den blutigen

Banküberfällen - Tod unseres Kollegen Patrice CONRARDY-) in Luxemburg Stadt zum Thema

"SËCHERHÉT FIR ALL BIERGER". Resultat: Aufwertung der Gehälter, Verbesserungen in der

Ausrüstung, sowie Aufstocken von Personal. Gemeinsamkeit bringt Stärke! Einzeln fällt man leicht

zurück.

Ohne Bpmbenleger hätten wir sowieso nichts erreicht!!

Umfragen von Meinungsinstitutionen ergaben, dass rund 86% der Arbeitnehmer meinen, dass Gewerkschaften notwendig seien.

Die Lizenz zum freien Denken setzt niemand aufs Spiel, der einer Gewerkschaft beitritt. Im Gegenteil: Gewerkschaften leben gerade von der aktuellen Diskussion, von einem oft konträren Willensbildungsprozess - und dem Respekt für Meinungsvielfalt.

Ping ... "Ich lass mich doch nicht vor den Karren einer Gewerkschaft spannen!” Pong ... Muss ja auch niemand. Dass Gewerkschften starre Kader festgefügter

Weltanschauungen sind, gehört zu den zählebigen Zerrbildern, die mit der Wirklichkeit

von heute nichts zu tun haben. Das ist Sache.

In Gewerkschaften verbinden und verbünden sich vielmehr Menschen verschiedener politischer und

weltanschaulicher Überzeugung. Die eigene Meinung ist Voraussetzung, wenn es um Meinungs- und

Willensbildungsprozess innerhalb des SNPGL geht.

Hier kann und soll jedes Mitglied sich aktiv beteiligen. Die Positionen, die von dem SNPGL in der

Öffentlichkeit vertreten werden, werden durch die Mitwirkung der Mitglieder definiert. Somit sind diese

Positionen stets das Ergebnis einer demokratischen Willensbildung. Wobei im Übrigen auch davon

abweichende Meinungen natürlich ihren Platz in der Gewerkschaft haben. Ein Beispiel hierfür sind

Briefe mit gegenteiligen Meinungen, die uns erreichen. Wir stellen uns der Kritik.

Die Grenzen der Toleranz.

Die Pluralität der Meinungen und Überzeugungen findet indes dort ihr Ende, wo es gegen die Verfassung geht: Wer politischen Extremismus und Ausländerfeindlichkeit vertritt, wird und darf kein SNPGL-Mitglied werden!

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

In schwierigen Zeiten kommt es ganz besonders auf eine starke Gewerkschaft an. Wer anders denkt und danach handelt, wendet sich gegen seine Interessen. Und mehr noch: Die CGFP stimmt gemeinsame Aktionen der Gewerkschaften ab und stellt sie auf die

Beine. Sie vertritt aktiv eine gemeinsame gewerkschaftliche Linie gegenüber der Politik, den

Vorgesetzten und anderen gesellschaftlichen Gruppierungen. Zudem unterstützt er die Arbeit der

Mitgliedsgewerkschaften auf vielen Feldern. Wirf doch mal einen Blick auf die Leistungen unserer

Dachorganisation:

Nur wenn Leistungen und Angebote stimmen, kann eine Gewerkschaft die Interessen ihrer Mitglieder

optimal vertreten. Das heißt nicht, dass sie keine Mängel hat und niemals Fehler macht.

Besuche auch unsere Internetseite:

www.snpgl.lu

Ping ... "Wozu Gewerkschaft? Die uns Regierenden sitzen heute ja doch am längeren Hebel!" Pong ... Wenn jeder Polizist so dächte, stünde einer Übermacht Obrigkeit früher oder

später nichts mehr im Wege. Und was wäre dann? Das kann sich jeder ausmalen:

Ohne starke Gewerkschaften sind wir den Forderungen und Anmassungen der Obrigkeit schutzlos

ausgeliefert.

ES GEHT NICHT OHNE GEGENMACHT. Nur starke Gewerkschaften können wirksam Paroli bieten. Darum ist Mitgliederstärke für das SNPGL

so lebenswichtig. Weil es die Gegenmacht zur Obrigkeit liefert.

TATSACHE IST FREILICH AUCH: Die Zeiten sind schwierig. Steigende Arbeitslosigkeit und finanzielle Engpässe setzen einen ganz engen

Spielraum. Da kann das SNPGL nicht Träume vom Himmel holen. Aber sie hat auch unter ungünstigen

politischen und wirtschaftlichen Vorzeichen eine Menge erreicht. Oft ist es schon ein grosser Erfolg,

Schlimmeres zu verhindern.

Heute kommt es auf Stärke an. Auf Mitgliederstärke. Hier sind wir stolz auf eine Mitgliederstärke von über 2100 Männern und Frauen im SNPGL. Zusammen mit unserer Dachorganisation SPFP (Polizei und Armee) kommen wir sogar auf über 3000 Mitglieder! Mehr denn je. Denn, je mehr sich Arbeitnehmervertretungen splitten, um so mehr profitieren davon letzlich nur unsere Gegner.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

Ping ... „Mir ist der Beitrag einfach zu hoch!" Pong ... Das ist eine Aussage für Skeptiker, die noch nicht richtig nachgerechnet

haben. Denn der Mitgliedsbeitrag zahlt sich aus. Für 55 € Sicherheit !

Nehmen wir die nackten Zahlen: Der Mitgliedsbeitrag in dem SNPGL beläuft sich auf 55 € . Mit anderen

Worten: Das ist nur fair, sieht man die monatlichen Beträge bei anderen Luxemburger Gewerkschaften!

DIE KOSTEN IM KLARTEXT:

Beispiele verdeutlichen, was das in "Euro und Cent" bedeutet:

Wir überweisen pro Mitglied:

35,00 € als Mitgliedsbeitrag an die CGFP

2,50 € an die SPFP (Syndicat Professionnel de la Force Publique) und

1,50 € an EuroCOP

Für unsere Kasse bleiben pro Mitglied 16 €.

Von diesem Geld wird dann unsere Zeitung gedruckt, Bürokosten fallen an usw.

Dafür gibt es den umfassenden gewerkschaftlichen Schutz, die gewerkschaftliche Interessenvertretung

und die Vielzahl wichtiger Leistungen des SNPGL und der CGFP.

Die Vorstandsmitglieder arbeiten ehrenamtlich!

Ohne Beiträge keine Gewerkschaft!

Nur eine mitgliederstarke Gewerkschaft vermag ihre Unabhängigkeit zu bewahren, und damit ihr

Gewicht und ihre Durchsetzungskraft gegenüber den Arbeitgebern, sprich der Hierarchie,

durchzusetzen.

Die Bilanz liegt offen.

Mit dem Jahresbeitrag finanziert das SNPGL ihre umfangreichen Aufgaben und Leistungen. Womit es

angehalten ist, sorgsam zu wirtschaften.

Alle Einnahmen und Ausgaben des SNPGL werden regelmässig genau kontrolliert, überprüft und sind offen in einem Rechenschaftsbericht nachzulesen.

Ping ... „Haftpflicht, das geht auch ohne SNPGL. Ich bin privat versichert!" Pong ... Das mag sein. Fragt sich nur, ob damit alle Risiken abgedeckt sind. Denn

private Anbieter schließen Leistungen unter bestimmten Bedingungen aus. Die

Schutzfunktion des SNPGL geht daher sehr viel weiter.

Vorsicht, Gefahr!

Darum geht es: Privatversicherer schließen Waffengebrauch aus!

Das hat einschneidende Konsequenzen für den Dienstalltag der Polizeibeamten.

Fazit: Gut zu wissen, dass das SNPGL diesen Leistungsausschluss nicht kennt.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

D.A.S. - RECHTSSCHUTZVERSICHERUNG

Unsere Mitglieder haben die Möglichkeit zu vergünstigtem Tarif eine Rechtsschutzversicherung bei der

DAS, Europas Nr.1 im Rechtsschutz, abzuschliessen.

Diese Vergünstigungen (Haftpflicht und Rechtsschutzversicherung) bestehen natürlich nur bei Bezahlung

des Mitgliedbeitrags!

Im Jahre 1995 hatten die Gewerkschaften der Gendarmerie und der Polizei einen Vertrag über die

Benutzung der Kreditkarte mit AMERICAN EXPRESS abgeschlossen. Die Mitglieder der zwei

Gewerkschaften konnten diese Karte ohne Einschreibegebühren und ohne jährlichen Beitrag

beantragen.

Bis heute haben hunderte von Mitgliedern dieses Angebot genutzt.

Angesichts der grossen Anzahl von Nutzern die in den letzten Jahren hinzugekommen sind, und nach

Vereinbarung mit AMERICAN EXPRESS, können wir auch weiterhin folgendes anbieten : Sie

brauchen also auch weiterhin die jährliche Gebühr von momentan 64.- EUR für die Karte nicht

zu bezahlen!

Ping ... „Als einfaches Mitglied bin ich doch nur ein Rädchen im Getriebe." Pong ... Das mag anderswo stimmen. In dem SNPGL stimmt es nicht. Denn das

SNPGL ist da präsent, wo das Mitglied arbeitet. Wir haben nicht umsonst die

„Delegierten“ eingeführt als Ansprechpartner. Das bedeutet: kurze Wege zum

persönlichen Gespräch, zu Rat und Tat. Von nichts kommt nichts.

Außerdem: Wie immer im Leben kommt es darauf an, was Mann und Frau daraus machen. Aktive Mitglieder haben mehr Möglichkeiten. Zum Mitdiskutieren, zum Mitreden, zum Mitentscheiden. Denn alle Mitglieder sind eingeladen, sich am Leben und an der Willensbildung in dem SNPGL zu beteiligen. Das ist nun nicht jedermans und jederfraus Sache. Viele bleiben gern passiv. Nichts sähe die Gewerkschaft lieber als noch mehr aktive Mitglieder. Dass Gewerkschaft vornehmlich eine Veranstaltung für Funktionäre sei, ist ein zähes Vorurteil. In dem SNPGL gibt es vielfältige Möglichkeiten, mitzureden und mitzuentscheiden. Sofern das Mitglied es auch tatsächlich will. FUNKTIONSTRÄGER HABEN EIN DEMOKRATISCHES MANDAT.

Das Vorurteil, dass die Funktionäre in Gewerkschaften etwas abgehoben den Kurs bestimmen, läuft ins

Leere. In den SNPGL-Vorstand hat sich noch niemand alleine ins Amt gewählt. Jede Funktion ist ein

demokratisches Mandat.

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HAND AUFS HERZ:

Und was wäre, wenn es das SNPGL nicht gäbe? Schwer vorzustellen, was passiert. Allenthalben wird

versucht, den Rückwärtsgang einzulegen und Leistungen und Rechte für unsere Laufbahnen wieder

zurückzufahren. Dagegen hilft nur eine starke Gewerkschaft. Eine Gewerkschaft, die nicht nur bei

großen, sondern auch bei kleinen Angelegenheiten vor Ort helfen kann.

Schon daher lohnt es sich, einfach Mitglied in dem SNPGL zu sein.

Stärke bündeln: Warum das SNPGL Mitglied in der SPFP, der CGFP und bei EuroCop ist.

Aus guten Gründen ist das SNPGL Mitglied in der SPFP und in der CGFP, der Dachorganisation der

Gewerkschaften im öffentlichen Dienst. Die CGFP bündelt gewerkschaftliche Positionen, Initiativen und

Forderungen über die Grenzen der Einzelgewerkschaften hinaus, das gilt nicht zuletzt für die

Tarifpolitik. Dabei bleiben die Einzelgewerkschaften in ihrer Politik unabhängig.

Ping ... „Beitritt und Ende: Ich zahle brav meinen Jahresbeitrag und höre nichts mehr!" Pong ... Zeitungen, Briefe, Regionalversammlungen, Generalversammlung,

Internetseite, Gespräche, E-Mails, Newsletter - Mitglieder vom SNPGL können viel

erfahren. Wissenswertes und nützliches aus erster Hand. Ansprechpartner und Service auf kurzen Wegen.

Mitglieder bleiben erfahrungsgemäss nur Mitglieder, wenn unter dem Strich die Leistung und die

Betreuung stimmen. Dafür engagieren sich in dem SNPGL Kolleginnen und Kollegen. In unserem Land

kennt jeder jemand im Vorstand. Berührungsängste wird es wohl keine geben. Der Weg zum

Ansprechpartner ist kurz.

SORRY, AUCH WIR MACHEN MAL FEHLER

Natürlich: Niemand ist perfekt. Auch das SNPGL nicht. Wo Menschen arbeiten, kommen schon mal

Fehler vor.

Alle Vorstandsmitglieder des SNPGL sind ehrenamtlich engagiert und der Terminplan läuft manchmal

über.

Im Falle eines Falles bemühen wir uns nachhaltig, Fehler abzustellen. Aus Fehlern zu lernen. Und wir

sind uns nicht zu fein, uns bei einer Kollegin oder bei einem Kollegen zu entschuldigen. Auf den Punkt

kommen. Das Gespräch suchen und Verärgerungen nicht in sich hineinfressen. Das hilft in doppelter

Hinsicht: Hilft dem Betroffenen bei seinen Problemen und hilft den Vorstandsmitgliedern, Fehler zu

erkennen und abzustellen.

BHW

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

CGFP-Erfolge

Resultate, die sich sehen lassen! Im Laufe der Jahre hat die CGFP, bzw. ihre Vorgängerorganisation, zahllose Verbesserungen für die

aktiven Staatsbeamten und Staatsangestellten, für die pensionierten Staatsdiener und ihre Hinterbliebenen erkämpft.

Die wichtigsteni Etappen im Überblick:

1948 - Gehälterrevision 1951 - Schaffung der Staatsbeamtenkrankenkasse 1954 - Grundlegende Reform der Pensionsordnung Einbeziehung der öffentlichen Funktion in die obligatorische Unfallversicherung 1963 - Grundlegende Reform der Besoldungsordnung 1964 - Schaffung der Berufskammer der öffentlichen Beamten und Angestellten 1967 - Erhöhung der Witwenpension 1968 - Einführung des passiven Wahlrechts 1970 - Ausmerzung der Härtefälle der Gehälterordnung 1972 - Reform des Dienstrechts der Staatsangestellten Erhöhung der Anfangsgehälter 1973 - Gehälterrevision 1974 - Reform der Krankenversicherung Gehälterreform der Staatsangestellten 1977 - Einführung des CGFP-Bausparsystems 1978 - Harmonisierung der Laufbahnen und Verbesserung , der Aufstiegsmöglichkeiten für

Beamte und Angestellte 1979 - Ausführungsbestimmungen zur offenen Laufbahn Grundlegende Reform des Beamtenstatuts 1983 - Schaffung des „Institut de formation administrative" (heute INAP) . Anpassung des Beamtenstatuts Einführung von Zinssubventionen beim Eigenheimerwerb Neuordnung der Rekrutierungsbestimmungen Harmonisierung der Prüfungsprozeduren 1984 - Voraussetzungen zur Einführung der gleitenden Arbeitszeit Einrichtung einer allgemeinen Kantine für Staatsbedienstete 1986 - Harmonisierung der Beförderungsmöglichkeiten Einführung der Möglichkeit des Verwaltungswechsels Erhöhung der Anfangsgehälter um eine Biennale Schaffung der Substitutionsgrade Ausmerzung der Härtefälle 1987 - Verbesserung der Bestimmungen über den unbezahlten Urlaub und Urlaub für

Halbtagsarbeit 1988 - Einführung des fakultativen Ruhestands bei 57 Jahren und 20 Jahren Schicht- oder

Nachtdienst 1989 - Erfall einer zusätzlichen Biennale am 1.1.1989Verbesserung der Zinssubventionen beim

Eigenheimerwerb Erhöhung der Anfangsgehälter um eine Biennale 1990 - Einführung eines halben 13. Monatsgehalts 1991 - Festlegung der Entschädigung für Überstunden Gesetzliche Neuregelung und Verbesserung der Bestimmungen über die offene Laufbahn 1992 - Einführung einer abgabefreien Essenszulage 1993 - Aufwertung der Wechseldienstzulage (prime d'astreinte) 1995 - Graduelle Erhöhung der Jahresendzulage bis auf ein ganzes Monatsgehalt ab 1999 2000 - Umwandlung der „Biennales°- Gehaltsstufen in „Annales" Erhöhung des Jahresurlaubs allgemein um einen Tag, um einen zweiten Tag ab dem 55. Lebensjahr Erhöhung der Obergrenze für Zinssubventionen bei einem Darlehen zum Eigenheimerwerb von 4

auf 6 Mio. Franken (150 000Euro). 2002 - Übertragung der Rententischbeschlüsse „mutatis mutandis" auf den öffentlichen Dienst 2003 - Reform des Beamtenstatuts: Einführung des Teilzeitdienstes, Reform der

Disziplinarordnung, Einführung der Arbeitsmedizin usw.

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SNPGL – Bulletin d’ Information N° 1/2012

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Neben der kontinuierlichen Verbesserung der Laufbahnstruktur sind auch die über die Jahre durchgeführten realen Besoldungsanpassungen (durch Erhöhung des Punktwerts) ein gewerkschaftliches Verdienst der CGFP. Zum 1. Januar 1999 beliefen sich die von der CGFP ausgehandelten Gehaltserhöhungen auf insgesamt 82,87 Prozent.

Urteilen Sie selbst: Wo würde die öffentliche Funktion heute stehen, wenn es die CGFP nicht gäbe?!

Wo andere Gewerkschaften schwadronieren und polemisieren, leistet die CGFP konkrete Arbeit. Sie ist ein Gesprächspartner, der vom Arbeitgeber Staat ernst genommen und respektiert wird.

http://www.cgfp.lu/